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L'Epicurieuse
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L'Epicurieuse

Author: Delphine Le Feuvre

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Bienvenue dans votre nouveau podcast qui décortique l’actualité des popotes et épluche les tendances de la tambouille, chaque premier dimanche du mois.
Je suis Delphine Le Feuvre, journaliste et blogueuse à mes heures perdues.
Une épicurienne avide de curiosités culinaires, qui à force de traîner ses guêtres et son micro dans les repaires à bonne chère, a décidé de passer de l’autre côté du micro.
21 Episodes
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Chaque premier dimanche du mois, on s’installe autour de la table et on décortique un sujet autour de notre assiette, dans votre podcast de curiosités culinaires. Pour attaquer l’année du bon pied, on va voir, tenez, si vous avez le pied marin… Direction la baie de Saint-Malo, pas très loin de Cancale, à la rencontre des algues marines… vous connaissez forcément la nori, cette algue japonaise que l’on retrouve dans les fameux makis.  Mais que ce soit dans la cuisine asiatique ou dans les recettes d’autres pays, les algues sont de plus en plus prisées des gourmets.  Et en France, c’est en Bretagne que ces végétaux sont les plus répandus. La grande majorité des sites de production et de transformation se trouve en effet dans cette région. On y trouve près de 700 espèces de macro-algues. Les macro-algues ce sont, contrairement aux micro-algues, des algues potentiellement comestibles… Si beaucoup sont utilisées dans la cosmétique et dans l’agro-alimentaire, on en entend parler de plus en plus pour leur utilisation alimentaire… car les algues sont ce qu’on appelle des super-aliments, bourrées de nutriments bons pour la santé.  Pour évoquer l’algoculture et la cuisine de la dizaine d’algues qui sont comestibles, donc, je me suis rendue à Saint-Méloir-des-Ondes, en Ille-et-Vilaine. C’est là que se trouve l’entreprise C-Weed Aquaculture, créée en 2000. Avec son associé, Magali Molla cultive et élève des algues dans leur concession sur la Rance, un fleuve du nord de la Bretagne. Trois algues : le wakamé, le kombu royal et l’alaria. Ils exploitent également des gisements d’algues de rive, en l’occurrence la dulse, la laitue de mer et la nori dont je parlais tout à l’heure. Ils s’occupent donc aussi de la récolte et du séchage des végétaux. Ils ont facilement obtenu le label bio en 2010, puisque la culture des algues ne nécessite pas d’intrants. Elles utilisent pour se développer les sels nutritifs dans l’eau de mer et l’énergie lumineuse.  Pour savoir comment déguster ces algues, que C-Weed vend sous forme de paillettes, j’ai fait appel à Maud Vatinel, cuisinière et autrice d’un livre sur le sujet. Elle nous donnera tout plein de conseils pour appréhender ces ingrédients d’un nouveau genre ! Cap sur l’ouest et embarquement immédiat dans la baie de Saint-Malo ! C-Weed : https://www.c-weed-aquaculture.com Site de Maud Vatinel : https://www.baroudeuseculinaire.fr Instagram : @lepicurieuse_podcast Twitter : @LepicurieuseP  Facebook : L'Epicurieuse
Chaque premier dimanche du mois, on s’installe autour de la table et on décortique un sujet autour de notre assiette, dans votre podcast de curiosités culinaires. Dans ce dernier épisode de 2019, on va parler de l’agriculture urbaine, avec deux interlocuteurs qui produisent des aliments en ville, en l’occurrence à Paris, à deux échelles différentes, et dans deux lieux assez opposés.  L’an prochain, ouvrira à l’est de la capitale une ferme urbaine sur le toit du parc des expositions. C’est présenté comme le plus grand projet du genre au monde. Objectif affiché : produire une tonne de fruits et légumes par jour en saison.  Mais tous les agriculteurs urbains n’ont pas ni les moyens ni l’envie de se lancer des défis d’une telle envergure. Alors finalement, est-ce qu’on parle de cultures anecdotiques ou de réelles solutions pour parvenir à l’auto-suffisance alimentaire en ville ? Ca questionne en tout cas la manière dont les citadins s’alimentent, la provenance des produits et comment on pense la ville de demain.  Pour nous éclairer sur le sujet, on va partir à la rencontre de deux cultivateurs urbains. Théophile Champagnat a co-fondé La Caverne, une ferme souterraine bio installée dans un ancien parking porte de la Chapelle, à Paris.  Amela du Bessey gère quant à elle, avec ses trois sœurs, la maison d’agriculture urbaine Bien Elevées. Depuis deux ans, elles font pousser du safran sur les toits de Paris, de région parisienne et bientôt de Lyon.  Chacun à leur manière, ils contribuent au développement d’un écosystème local, qui court-circuite les circuits de distribution alimentaire traditionnels.  Instagram : @lepicurieuse_podcast Twitter : @LepicurieuseP  Facebook : L'Epicurieuse
Chaque premier dimanche du mois, on s’installe autour de la table et on décortique un sujet autour de notre assiette, dans votre podcast de curiosités culinaires. On embarque cette fois pour le Japon, afin de parler ensemble de l’ikejime, une méthode d’abattage du poisson qui nous vient tout droit d’Asie et qui diffère de ce qu’on pratique nous, sur nos côtes, en France. Ce moyen de mise à mort, dont le nom signifie "tuer vivant", a trois vertus : premièrement, l’animal souffre moins… deuxièmement ses chairs se conservent plus longtemps … et enfin c’est surtout meilleur au goût ! En plein Paris, j'ai déniché une adresse encore un peu confidentielle, mais qui attire de nombreux curieux : Ebisu, qui est à la fois une poissonnerie et un restaurant. Le gérant, Patrick Fernandez, passionné de pêche et de poisson, est surtout l’un des pionniers de l’ikejime en France. Il n’y a en effet que très peu de pêcheurs et de poissonniers qui savent le pratiquer, même si c’est en plein essor. Allez, c'est parti sur la route de l'ikejime ! Instagram : @lepicurieuse_podcast Twitter : @LepicurieuseP  Facebook : L'Epicurieuse Ebisu, 30-34, rue du Chemin Vert, Paris 11. Vous trouverez aussi du poisson ikejime sur le site Poiscaille, qui vent la pêche d'artisans raisonnés, en circuit-court.  Enfin, on ne peut que vous recommander la lecture de "L'art du sushi", superbe bande-dessinée qui retrace la culture du sushi au Japon, par Franckie Alarcon.
Chaque premier dimanche du mois, on s’installe autour de la table et on décortique un sujet autour de notre assiette, dans votre podcast de curiosités culinaires. Dans ce nouvel épisode, on va s’intéresser à une spécialité qui dépasse les frontières : la bière. J’ai profité d’une petite halte au pays de la carbonade flamande, du waterzoï et des gaufres pour découvrir ce qui se cachait derrière le mot de lambic. Vous l’avez peut-être déjà lu sur certaines cartes de bières, au milieu des IPA et des triple, mais savez-vous quelle est sa particularité ? Un petit indice : c’est une bière qui, assemblée ou aromatisée, devient gueuze ou kriek.  Pour en savoir plus, je me suis rendue au mois de septembre dans la banlieue ouest de Bruxelles. La capitale et ses alentours sont en effet le seul et unique lieu de production possible de ce type de bière. Celle-ci est en effet fabriquée grâce aux Brettanomyces, des micro-organismes qu’on ne trouve que dans la vallée de la Senne. Ce sont ces petites bactéries et levures sauvages qui permettent un phénomène de fermentation spontanée. Dans la région, il n’existe qu’une petite dizaine de brasseurs de lambic et une quinzaine de coupeurs.  Je suis arrivée à Dilbeek, lieu d’implantation de la brasserie Timmermans, pile quand les températures commençaient à être propices à la fabrication. En effet, les brasseurs de lambic doivent attendre qu’il fasse assez froid, d’une part pour que l’air ne charrie pas de bactéries nuisibles, d’autre part, pour que la bière refroidisse rapidement.  Trêve d’explication, je vais laisser la parole au pro du lambic, un belge à l’accent chantant. Alexandre Lefebvre s’occupe du marketing au sein de la brasserie Timmermans, et c’est lui qui nous offre un petit tour du propriétaire.  Instagram : @lepicurieuse_podcast Twitter : @LepicurieuseP  Facebook : L'Epicurieuse
Chaque premier dimanche du mois, on s’installe autour de la table et on décortique un sujet autour de notre assiette, dans votre podcast de curiosités culinaires. Si l'on consomme 40 000 tonnes de miel en France chaque année, on ne sait pas vraiment toujours d’où il provient ni comment il est fabriqué. Dans l’Hexagone, on ne produit en effet plus que 8 000 tonnes de miel (2018), la faute au réchauffement climatique, à l’utilisation des pesticides qui déciment les ruches, notamment les fameux néonicotinoides, et aux invasions de frelons asiatiques. Cela fait donc 32 000 tonnes qui viennent d’ailleurs… le tout dans une législation assez floue. On trouve dans nos rayons des miels venant d’Union européenne, mais de plus en plus du miel chinois ou importé d’Amérique du sud.  Les apiculteurs remettent donc en question la traçabilité et la composition de ce nectar. En effet, les industriels de l’agroalimentaire n’hésitent pas à commercialiser des miels auxquels ils ajoutent du sucre, ou des miels mélangés… Gare, donc, aux étiquettes mensongères, qui cachent de plus en plus un miel frelaté. Le gouvernement prépare d’ailleurs un décret pour rendre obligatoire l'étiquetage des pays d'origine du miel. A partir de janvier, les mentions évoquant un mélange de miel "originaire" et "non originaire de l'UE" devront disparaître des pots, jugées trop floue. Il faudra désormais indiquer les pays par ordre d'importance dans les mélanges…  Pour déchiffrer ces fameuses étiquettes, je me suis rendue cet été dans le Var, à la rencontre des équipes de la toute nouvelle marque Miel Martine. Un projet né au château de la Martinette, en plein cœur de la Provence, qui se veut 100% transparent, du butinage de la fleur à la mise en pot des miels.  Allez c’est parti, je vous embarque au pays des cigales ! Instagram : @lepicurieuse_podcast Twitter : @LepicurieuseP  Facebook : L'Epicurieuse
Chaque premier dimanche du mois, on s’installe autour de la table et on papote popote entre gourmets dans votre podcast de curiosités culinaires. Le soleil ayant enfin décidé de pointer le bout de son nez, si on se laissait tenter par un cornet ou un pot… de glaces ? Vous allez le voir, il est bien loin le temps où l’on se contentait des traditionnelles boules choco-vanille ou des cônes bourrés de colorants avalés à la va-vite sur la plage… et je ne parle même pas des mister freeze qui ont bercé notre enfance ! La glacerie gagne ses lettres de noblesse et certains redoublent d’inventivité pour renouveler le genre. Parmi eux, David Wesmaël, qui a ouvert il y a un an tout pile La Glacerie en plein Marais, à Paris. Outre une petite vitrine de bacs de glaces et sorbets naturels, on trouve des créations qui nous font sérieusement penser à de petits bijoux. Barres glacées avec enrobages croustillants, bonbons glacés moelleux et fondants... un vrai travail d’orfèvre ! De l’autre côté de la Seine, Marie-Laure Pollet et Olivia Berdah ont installé un véritable petit boudoir où elles servent des fruits givrés réalisés à partir de sorbets de haute volée ! Cap sur l’Italie chez Fruttini by MO ! Croyez-moi, vous n’allez pas rester de glace ! Instagram : @lepicurieuse_podcast Twitter : @LepicurieuseP Nos adresses complètement givrées : La Glacerie, 13, rue du Temple, 75004 Paris Fruttini by MO, 24, rue Saint-Placide, 75006 Paris Mais aussi... Une glace à Paris, 15, rue Sainte-Croix de la Bretonnerie, 75004 Paris (d'autres adresses) Glazed, 54, rue des Martyrs, 75009 Paris Grom, 16, rue Vieille du Temple, 75004 Paris (d'autres adresses) Ô sorbet d'amour, promenade Sainte Catherine, 33000 Bordeaux (d'autres adresses) Isabella, 3, esplanade Robert Vasse, 84800 L'Isle-sur-la-Sorgue
Chaque premier dimanche du mois, on s’installe autour de la table et on papote popote entre gourmets dans votre podcast de curiosités culinaires. Aujourd’hui on va analyser une technique de conservation qui fait des étincelles dans le paysage gastronomique… le fumage. Evidemment, cette méthode utilisée depuis des millénaires pour préserver les aliments, au même titre que les salaisons ou le séchage, est davantage prisée aujourd’hui pour ses effets gustatifs. C’est très à la mode en Scandinavie et aux Etats-Unis, et ça commence à bien prendre en France. Et ça tombe bien car c’est le sujet que l’on va aborder avec nos deux invités du mois ! Pour commencer je me suis offert une parenthèse carnivore avec Paul Loiseleur, directeur des restaurants Melt. Il a transformé un rade des Batignolles en barbecue texan, en y installant un grand fumoir à viandes. Ensuite on fera un petit tour du côté des poissons fumés avec Armen Petrossian, qui nous dira tout sur le fumage à froid du saumon ou encore de l’aiglefin. Si si, vous savez, c’est le nom du poisson qu’on appelle haddock une fois fumé ! Je vous sens en plein brouillard, alors c’est parti, pleins phares sur la cuisine fumée ! Instagram : @lepicurieuse_podcast Twitter : @LepicurieuseP Nos adresses qui embrasent la capitale : MELT : 83, rue Legendre, 75017 Paris / 74, rue de la Folie Méricourt, 75011 Paris Petrossian, 18, boulevard de Latour-Maubourg, 75007 Paris Mais aussi... Fumé, 10, rue Berryer, 75008 Paris The Beast, 27, rue Meslay, 75003 Paris
Chaque premier dimanche du mois, on s’installe autour de la table et on papote popote entre gourmets dans votre podcast de curiosités culinaires. On en mange tous les jours sans le savoir, pourtant quand j’ai commencé à m’intéresser aux aliments fermentés, la première réaction des gens autour de moi n’a pas été celle que j’avais imaginée. Et oui, le terme de fermentation inspire à la plupart des gens du dégoût car on le rattache à des notions de gaz, de pourri, de moisissure. Mais si je vous disais que la choucroute, une pinte d’IPA, une bonne tranche de comté ou tout simplement une belle miche de pain au levain, c’était des aliments fermentés ? Fermentation, ça a aussi l’air d’être le nouveau mot-clé des gourous d’un mode de vie sain. Alors, fascinée par ce procédé ancestral et voyant que les chefs d’aujourd’hui remettent cette méthode à la mode, je me suis renseignée sur le sujet, notamment auprès de la papesse française de la fermentation, Marie-Claire Frédéric. Auteure d’un blog sur le sujet, elle vient d’ouvrir en plein centre de Paris une cantoche spécialisée dans la fermentation. Ça s’appelle Suri. Suri ça veut dire rendu aigre par un procédé de fermentation. Et ça ressemble un peu à Sylki, sauf que Sylki, c’est le deuxième lieu dans lequel on m’a donné rendez-vous pour ce podcast, dans le 13e arrondissement de la capitale. Les joyeux lurons à l’origine du projet servent plusieurs soirs par semaine des boissons fermentées qu’ils fabriquent sur place. Si je vous dis kéfir ou kombucha et que ça ne vous dit rien, je vous invite à bien nous écouter jusqu’à la fin. Allez c’est parti, en route vers le monde merveilleux des micro-organismes ! Instagram : @lepicurieuse_podcast Twitter : @LepicurieuseP Nos adresses qui agitent les bocaux : Suri, 108, rue Réaumur, 75002 Paris Sylki, 9, rue Esquirol, 75013 Paris Mais aussi... NE/SO, 6, rue Papillon, 75009 Paris Fermentation Générale, 37, rue de la Folie Méricourt, 75011 Paris Yam'Tcha, 121, rue Saint-Honoré, 75001 Paris La 5e saveur, 50, rue Brémond d'Ars, 29300 Quimperlé Les Apothicaires, 23, rue de Sèze, 69006 Lyon Noma, Refshalevej 96, 1432 København K, Danemark
Chaque premier dimanche du mois, on s’installe autour de la table et on papote popote entre gourmets dans votre podcast de curiosités culinaires. Saviez-vous qu’en 2017, l’art du pizzaïolo confectionnant une pizza napolitaine a été inscrit au patrimoine immatériel de l’Unesco, rien que ça ! Attention donc à ne pas confondre cette pizza à la pâte fine, légèrement craquante, aux bords dodus, avec sa concurrente, la romaine, plus épaisse et moelleuse, moins digeste. On assiste aujourd’hui partout en France à la prolifération de ce plat importé d’Italie qui fleure bon la tomate fraîche et le basilic. Mais justement, avec toutes ces pizzerias qui fleurissent à chaque coin de rue, comment s’y retrouver ? Finalement, à quoi ça tient, une bonne pizza napolitaine ? Pour répondre à toutes mes interrogations, je suis allée à la rencontre de la crème de la crème des pizzaiolos du sud de la botte. Mes deux invités du mois ont la pizza dans le sang, et ont en commun l’amour des beaux produits. Par-dessus tout, ils ont chacun une histoire particulière avec cet artisanat ancestral. Guillaume Grasso a ouvert sa pizzeria dans le 15e arrondissement de Paris il y a un an tout pile. Une carte courte, sans chichi ni blabla, voilà ce qui m’a séduite chez lui. Julien Serri vient quant à lui d’inaugurer Magna, dans le 9e. Un spot 100% street food où la pizza napolitaine prend des formes… inattendues ! Alors comme dirait la grand-mère de Julien, "magnà, magnà"… dans la langue de Molière, ça donne "mange, mange, parce que c’est bon !" Instagram : @lepicurieuse_podcast Twitter : @LepicurieuseP Guillaume Grasso la vera Pizza Napoletana, 45 Rue Brancion, 75015 Paris Magnà, 48 Rue Notre Dame de Lorette, 75009 Paris
Chaque premier dimanche du mois, on s’installe autour de la table et on papote popote entre gourmets dans votre podcast de curiosités culinaires. Gwyneth Paltrow, Demi Moore ou encore Georgia May Jagger s’y sont mises, pourquoi pas nous ? Ces stars ont en commun de prôner les vertus de la raw food. Contrairement au régime crudivore, qui consiste à ne manger que des aliments crus, la raw food désigne une alimentation souvent végétalienne, non-raffinée, non-industrielle, et une cuisson jusqu’à 42 degrés maximum. Passé cette température, les vitamines et les enzymes qui améliorent la digestion, sont détruits. Ce mois-ci envoyons valser nos casseroles et nos poêles ! Certains ne mangent plus que comme ça, d’autres vont s’en inspirer pour quelques recettes. Au cours de mes pérégrinations, j’ai découvert une cuisine recherchée, éloignée des simples salades ou autres tartares que je pouvais imaginer. William Pradeleix vient d’ouvrir avec sa femme, Marie, son deuxième restaurant Raw dans le 7e arrondissement de Paris, après un premier lieu dans le Marais. Il s’est lancé dans l’aventure de la raw food après un séjour de deux ans à San Francisco. William propose une cuisine principalement crue mais non restrictive.Le péché mignon de Frédéric Marr ? Le chocolat. Mais pas n’importe lequel ! Dans son labo-boutique qui fleure bon le cacao en plein Sentier, il concocte des tablettes et autres truffes à base de cacao… cru. Contrairement à la fabrication du chocolat traditionnel, Frédéric zappe l’étape de la torréfaction, qui consiste à chauffer les fèves. Alors, prêt(e)s à adopter la raw food ? Instagram : @lepicurieuse_podcast Twitter : @LepicurieuseP RAW restaurant, 44 Rue de Fleurus, 75006 Paris Rrraw chocolat, 8 Rue de Mulhouse, 75002 Paris
Chaque premier dimanche du mois, on s’installe autour de la table et on papote popote entre gourmets dans votre podcast de curiosités culinaires. En ce début d’année 2019, que je vous souhaite douce et gourmande, chers auditeurs qui nous écoutez depuis bientôt un an, j’ai eu comme un flashback. Un flashback de mes années étudiantes pendant lesquelles chaque week-end, je passais derrière le comptoir d’un charcutier-traiteur et servais avec envie terrines, pâtés et autres joyeusetés carnivores. Je les emballais soigneusement dans un papier rose un peu kitsch, admirant les jolies tranches colorées et les pâtes garnies de viande et de légumes. Si la cuisine charcutière est un pilier de la gastronomie française, elle connaît un sacré lifting depuis quelques années. On pourrait dire que tout a commencé avec la création du championnat de pâté en croûte, en 2009, qui donne naissance à des créations toutes plus modernes les unes que les autres. Une modernisation nécessaire à une époque où les boucheries sont prises pour cible par certains militants vegans et où la consommation de viande de manière générale est remise en question. Je suis donc allée à la rencontre de ceux qui font la cuisine charcutière d’aujourd’hui ! Donner rendez vous à Gilles Verot au moment des fêtes, c’est l’assurance de le trouver le nez dans son oreiller de la belle aurore… Imaginez un immense pâté en croûte, garni de pas moins de douze viandes, de truffes noires des Alpes de Haute-Provence et de foie gras de canard... Il est disponible seulement 4 samedis par an dans les boutiques Maison Verot. Dernière chance pour y goûter, le 26 janvier prochain ! Le credo d’Arnaud Nicolas, meilleur ouvrier de France catégorie charcutier-traiteur ? Charcuteries cuisinées. Dans son restaurant-boutique parisien, pâté en croûte de volaille et foie gras cohabitent avec de jolis saucissons lyonnais et autres terrine grand-mère. Accrochez vos ceintures, ça va envoyer du pâté !! Instagram : @lepicurieuse_podcast Twitter : @LepicurieuseP Le grand livre de la charcuterie - Terrines, saucisses, pâtés en croûte, Arnaud Nicolas, Fabien Pairon, Christian Segui : https://www.decitre.fr/livres/le-grand-livre-de-la-charcuterie-9782841239917.html Maison Verot, trois adresses de boutiques à Paris : https://www.maisonverot.fr Arnaud Nicolas, deux restaurants-boutiques à Paris : http://arnaudnicolas.paris
Chaque premier dimanche du mois, on s’installe autour de la table et on papote popote entre gourmets dans votre podcast de curiosités culinaires. Il est sur notre table au petit-déjeuner, au déjeuner, au goûter et au dîner. 90% des Français en consomment au quotidien… je veux bien sûr parler du pain, aliment de base s’il en est de notre gastronomie. Il existe aujourd’hui 32 000 boulangeries en France, presque une par commune donc, et les Français consomment en moyenne 120 grammes de pain par jour. Et du pain, il y en a de toutes les sortes, et de plus en plus : baguette, tradition, pain complet, pain aux graines, pain de campagne… Pourtant, de Quimper à Annecy en passant par Paris, le goût du pain se standardise et s’uniformise. L’explication à cela, on va le voir, se cache du côté des industriels qui dictent leur loi et imposent leurs propres recettes et leurs procédés de fabrication mécaniques et rapides. En réaction à ce mouvement, on voit apparaître depuis quelques années des néo-boulangers, parfois même des paysans boulangers. Ces derniers, qui seraient environ 200 en France aujourd’hui, sont des artisans installés à la ferme qui cultivent leur propre blé. Tous ont à cœur de remettre au goût du jour d’anciennes variétés de céréales pour produire un pain bon et sain. Pour faire le point dans tout ce pétrin, j’ai fait appel à Marie Astier, auteure du livre « Quel pain voulons-nous ? ». Cette journaliste est partie d’un constat simple : on ne sait pas aujourd’hui comment sont fabriqués les pains que nous mettons sur notre table au quotidien. J’ai également traîné mon micro au Bricheton, la micro-boulangerie parisienne de Maxime Bussy, unique en son genre. Ses miches à base de farines anciennes, levain et eau de source parisienne se vendent chaque jour comme des petits pains. Nota bene auditif : pour des raisons pratiques, l’interview de Marie Astier a été effectuée à distance et le son n’est pas optimal, optimal ! Mille excuses ! Page Facebook du Bricheton : https://www.facebook.com/LeBrichetonOfficiel/ Lien du livre de Marie Astier : http://www.seuil.com/ouvrage/quel-pain-voulons-nous-marie-astier/9782021331127 Instagram : @lepicurieuse_podcast Twitter : @LepicurieuseP
Chaque premier dimanche du mois, on s’installe autour de la table et on papote popote entre gourmets dans votre podcast de curiosités culinaires. Vous écoutez peut-être ce podcast pendant votre pause-café, ça tombe bien ! Ce mois-ci, nous allons nous intéresser à des petits grains consommés en Europe depuis le dix-septième siècle, le café, aujourd'hui premier poste d’importation après le pétrole en France et deuxième boisson consommée par les Français après l’eau. En septembre a d’ailleurs eu lieu le premier concours de meilleur ouvrier de France torréfacteur de café. L’occasion de s’intéresser à la production et à la consommation de ce breuvage. Selon une étude publiée il y a quelques mois, sept Français sur dix boivent du café au quotidien. Vous faites peut-être partie de ces aficionados de la caféine, ou peut-être aimez-vous tout simplement déguster une pâtisserie au café le dimanche midi. Quoi qu’il en soit, connaissez-vous le café de spécialité, aussi appelé café de terroir ? Il représente presque 2% des importations de café en France. C’est peu, mais on est là sur la crème de la crème du café, ce que les Américains commercialisent depuis les années 70 sous le nom de « specialty coffee ». Le principal intérêt de ces cafés réside dans leur traçabilité. Exit les cafés vaguement localisés Ethiopie, Brésil ou encore Costa Rica, désormais le consommateur veut savoir précisément ce qui est versé dans sa tasse. Pour en parler mieux que moi, j’ai rencontré Anne Caron, élue meilleure torréfactrice de France en 2017, dans la brûlerie familiale située à Châtillon, tout près de Paris. Elle nous racontera notamment pourquoi le sourcing du café est un enjeu majeur. J’ai ensuite échangé avec Guy Krenzer, directeur de création de la maison Lenôtre. Au début de l’année, Guy a totalement revu sa gamme de pâtisseries au café après une formation à la Caféothèque de Paris. Allez, servez-vous un ristretto, un allongé, un latte ou encore un Macchiato, et c’est parti ! Bonne écoute ! Instagram : @lepicurieuse_podcast Twitter : @LepicurieuseP
Chaque premier dimanche du mois, on s’installe autour de la table et on papote popote entre gourmets dans votre podcast de curiosités culinaires. Vous revenez peut-être de vacances, ou alors comme moi, elles approchent, et si vous êtes sortis boire des coups cet été, vous aurez peut-être remarqué que quelque chose est en train de changer sur la scène de la mixologie. La mixologie, c’est l’art du cocktail, qui se démocratise de plus en plus, avec des bars spécialisés qui ouvrent partout chaque jour. D’ailleurs, à la fin de l'épisode, je vous ai recensé toutes les bonnes adresses que vous m'avez refilées pour s'envoyer un verre dans un cadre cool en France et un peu ailleurs... N'hésitez pas à nous partager les vôtres sur Instagram ou en commentaires ! Depuis peu de temps, la scène de la mixologie devient de plus en plus mixte. Il a fallu attendre 2016 pour qu’une femme soit pour la première fois sacrée meilleur bartender du monde - en l’occurrence, la Française Jennifer Le Néchet. Pour ce septième épisode de l’Epicurieuse, j’ai voulu échanger avec deux femmes influentes dans le secteur. D’une part, Carina Soto Velásquez, bartender colombienne qui a fondé le groupe Quixotic Projects. C’est une équipe qui a lancé des établissements comme la Candelaria, le Glass ou plus récemment les Grands Verres au Palais de Tokyo. Elle travaille dans les bars et les restaurants depuis une quinzaine d’années et s’est spécialisée dans les cocktails il y a 10 ans. Elise Drouet est quant à elle barmaid chez Combat, LE bar à cocktails incontournable dans le quartier de Belleville, à Paris. Une équipe 100% féminine a fondé l’endroit l’été dernier, ce qui nous a permis de dresser un petit bilan de la situation des femmes dans le milieu autour d’une limonade artisanale bien fraîche. Bonne écoute ! Nos meilleures adresses pour shaker son verre et son booty : The Glass, 7, rue Frochot, 75 009 Paris. Combat, 63, rue de Belleville, 75 019 Paris. Le bar caché du Buddha Bar, 8-12, rue Boissy d'Anglas, 75008 Paris. & toutes VOS adresses : https://www.google.com/maps/@46.3733387,-0.7051476,6z/data=!3m1!4b1!4m2!6m1!1s1QaWLM81BUICI_ChEgBnjhChUueltrtn5 Plus d'infos sur www.toutendouceurs.com Instagram : lepicurieuse_podcast Twitter : delphinelfv
Chaque premier dimanche du mois, on s’installe autour de la table et on papote popote dans votre nouveau podcast de curiosités culinaires. Ah, le Brésil, son Pain de Sucre, ses plages paradisiaques, sa gastronomie haute en couleurs... rêvons un peu et échappons-nous de notre quotidien en embarquant sur un vol destination Rio de Janeiro ! Pour ce sixième épisode de l'Epicurieuse et dernier de la saison avant notre retour en septembre, on part à la découverte de la cuisine du Brésil, et notamment de ce qu'on y déguste à l'apéritif... et oui, coupe du monde oblige, il faut bien trouver des choses à se mettre sous la dent... et dans le gosier !! Première étape chez Rafael Gomes, chef brésilien qui nous accueille dans son tout nouveau restaurant parisien, Itacoa. Itacoa comme le nom d'une plage près de Rio, sur laquelle le chef avait l'habitude, plus jeune, de faire des "grands barbeuques" comme il le dit. On file ensuite chez Boteco, dans le Xe arrondissement de Paris, où Nicolas nous attendait avec tous les ingrédients nécessaires pour réaliser une caïpirinha traditionnelle - citron vert, sucre, cachaça. De quoi faire passer les bolinhos de bacalhau et autres tapas à la brésilienne dont nous parlait Rafael. Nicolas a vécu plusieurs années à Sao Paulo, et connaît l'apéro brésilien sur le bout des doigts ! Nos spots pour se croire au Brésil Boteco, 48, rue de l’Échiquier, 75010 Paris. Cours de caïpirinha le samedi, de 16h à 18h : 50€. Itacoa - pour les paos de queijo et l'açaï bowl, 185, rue Saint-Denis, 75002 Paris. Plus d'infos sur www.toutendouceurs.com Bonne écoute ! Instagram : lepicurieuse_podcast Twitter : delphinelfv
Chaque premier dimanche du mois, on s’installe autour de la table et on papote popote dans votre nouveau podcast de curiosités culinaires. Cuisiner, c'est bien. Cuisiner de manière responsable, c'est mieux. Qui ne s'est pas retrouvé plusieurs fois devant des produits abandonnés dans son frigo ou sa corbeille à fruits et légumes, parfois même pas entamés ? Personnellement, j'ai pris conscience que c'est un aspect de la cuisine auquel je ne faisais pas assez attention : avant de faire les courses, je regarde peu ce que j'ai déjà dans mes placards, par exemple. Ayant réalisé cela, j'ai décidé de vous en parler dans ce cinquième épisode, afin de me et de vous sensibiliser aux enjeux du gaspillage alimentaire. Chaque année, nous gaspillons sur terre environ un tiers des aliments produits pour la consommation humaine – en France, entre 20 et 30 kilos de nourriture comestible, par an et par personne. Mes deux invités du jour essaient de lutter à leur manière contre le gaspillage alimentaire. François Pasteau est précurseur en la matière. En 1995, il ouvre l’Epi Dupin dans le sixième arrondissement parisien, restaurant responsable mais surtout laboratoire à idées pour bien manger en abîmant le moins possible la planète. Colette Rapp & Adeline Girard ont quant à elle lancé leurs confitures "Re-belle" en 2015. Le concept m’a tout de suite séduite : récupérer des fruits et légumes destinés à la poubelle dans les supermarchés Monoprix partenaires, et transformer le tout en délicieuses confitures grâce à des recettes ingénieuses. C'est un beau projet initié par des membres du mouvement Disco Soupe, qui sensibilise au gaspillage alimentaire. Nos initiatives anti-gaspi coups de cœur : L'Epi Dupin, 11, rue Dupin, 75 0006 Paris, 01-42-22-64-56. Confitures Rebelle Too Good to Go : une appli facile d'utilisation - vous vous géolocalisez, et découvrez les produits en fin de vie à sauver dans les commerces aux alentours ! Leur slogan ? "Réduis le gaspi, mange à petit prix !" Save Eat : une appli doublée d'un blog qui nous apprend à cuisiner sans gaspiller ce qu'on a à la maison ! Un Mooc pour lutter contre le gaspillage alimentaire : Les Retoqués : cette petite entreprise solidaire créée par Anne-Charlotte transforme des pommes déclassées en "éclats de fruits" sans aucun additif. Des snacks sains et responsables ! Kolectou : un beau projet imaginé par Emma & Noémie, qui récupérent et transforment le pain gaspillé des boulangeries en une préparation pour pâtisserie prête à l'emploi. Le projet photographique "Ugly produce is beautiful" : Sarah Phillips sublime sur ses photos des fruits et légumes "moches", qui ne rentrent pas dans les critères de la grande distribution. Plus d'infos sur www.toutendouceurs.com Bonne écoute ! Instagram : delphine_lf Twitter : delphinelfv
Chaque premier dimanche du mois, on s’installe autour de la table et on papote popote dans votre nouveau podcast de curiosités culinaires. Dans ce quatrième épisode, on va parler cinquième quartier, même si je préfère employer le terme de plats canailles pour les désigner. Eux, ce sont les rognons, la tête de veau ravigote, les tripes, la langue de bœuf, les pieds de porc, ou encore les tripoux d’Aurillac… Les cuisiniers raffolent de ces morceaux de viande considérés par le plus grand nombre comme peu ragoûtants. Il faut dire qu’ils n’ont pas eu de chance, puisqu’ils ont été totalement bannis des tables françaises dans les années 90 pendant la crise de la vache folle. Alors moi, la vue d’une cervelle chez le boucher me rebute. Ne parlons même pas des bocaux de tripes que ma grand-mère refile en douce à ma mère et qui me filent tout bonnement la nausée. Et pourtant, on assiste aujourd’hui au grand retour des produits tripiers ! Je me suis dit qu’il était dommage de se prétendre épicurieuse et de ne pas traîner mon museau du côté des abats. Histoire de ne pas se laisser abattre, je vous emmène en immersion chez Maurice Vadorin, la dernière triperie de Paris. Le regretté Maurice a laissé place à un successeur tout aussi tripant. Proba Sivasamboo est sri-lankais, et après plus de 20 ans de boutique, il a repris les rênes, et va nous donner ses conseils pour apprécier au mieux ces morceaux choisis. Ensuite nous irons à la rencontre d’un bon vivant, d’un fan de bouffe comme je les aime. Christophe Philippe est le chef sans chichi du restaurant L’Amarante, dans le 12ème arrondissement de Paris. Il cuisine au quotidien ces produits souvent peu onéreux, mais riches en fer et en protéines. Tout cela devrait nous permettre de comprendre pourquoi on reste babas des abats ! C’est parti pour un trip tripier ! Les tripes trippantes à Paris Triperie Maurice Vadorin, 176, rue Lecourbe, 75 015 Paris. Restaurant Amarante, 4, rue Biscornet, 75 012 Paris. Plus d'infos sur www.toutendouceurs.com Bonne écoute ! Instagram : delphine_lf Twitter : delphinelfv
Chaque premier dimanche du mois, on s’installe autour de la table et on papote popote dans votre nouveau podcast de curiosités culinaires. Dans ce troisième épisode, le chocolat "bean to bar", comprenez "de la fève à la tablette". Ils sont une poignée de chocolatiers en France à torréfier eux-mêmes leurs fèves de cacao. Avec deux d’entre eux, je vous emmène à la découverte de ces coulisses chocolatées, des plantations du monde entier jusqu’à leurs ateliers cacaotés. Patrice Chapon vient d’ouvrir une boutique non loin d’Odéon, à Paris. Chapon et la chocolaterie. L’air y respire la gourmandise, il y a même un bar à mousses au chocolat. Stéphane Bonnat est quant à lui originaire de Voiron, dans la vallée de la chartreuse en Isère. Dans sa famille on travaille le cacao depuis plusieurs générations. Cet arrière-petit-fils de chocolatier vient d’ouvrir une première boutique dans la très chic rue du Faubourg Saint Honoré à Paris. Les murs y sont littéralement recouverts de tablettes de toutes les couleurs ! Dealers de chocolat à Paris : Maison Bonnat, 189, rue du Faubourg Saint-Honoré, 75 008 Paris. Chapon et la chocolaterie, 34, rue Saint-Sulpice, 75 006 Paris. Plus d'infos sur www.toutendouceurs.com Bonne écoute ! Instagram : delphine_lf Twitter : delphinelfv
Chaque premier dimanche du mois, on s’installe autour de la table et on papote popote dans votre nouveau podcast de curiosités culinaires. Dans ce second épisode, les saveurs de la cuisine syrienne. Loin de leur terre natale, j’ai rencontré à Paris deux autochtones, deux passeurs de saveurs… et de bonne humeur. Ils ont en commun et en héritage un patrimoine culinaire aux mille couleurs. Myriam Sabet a quant à elle créé il y a un an Maison Aleph, une pâtisserie pleine de douceur, près de l’Hôtel de Ville à Paris. Autour d’un chocolat chaud onctueux, elle nous confie ses savoirs sur la cuisine de ses origines (3:07). Basem Albatin est né à Nawa, un petit village à 5 kilomètres de la frontière avec la Palestine. Il tient aujourd’hui le deuxième Daily Syrien implanté à Paris (5:50). Allez, c’est parti, on embarque pour la Syrie ! La Syrie à Paris : Maison Aleph, 20, rue de la Verrerie, 75 004 Paris, 09-83-03-42-02. Daily Syrien II, 12, rue des Petites Écuries, 75010 Paris, 01-42-29-33-86. Plus d'infos sur www.toutendouceurs.com Bonne écoute ! Instagram : delphine_lf Twitter : delphinelfv
Chaque premier dimanche du mois, on s’installe autour de la table et on papote popote dans votre nouveau podcast de curiosités culinaires. Dans ce premier épisode, le sarrasin. Une petite graine qu'on va décortiquer ensemble (1:55), avant de fabriquer des pâtes à base d'une farine de sarrasin extra-fraîche (3:50, et de découvrir comment cette jolie fleur blanche, cultivée notamment sur les terres de Bretagne, atterrit dans nos assiettes… et dans nos verres ! (6:00) Allez, c’est parti, en route sur les traces de cette graine de zinzin ! Dealers de blé noir Atelier Soba, 36, rue Popincourt, 75 011 Paris. Kasha, 9, rue des Récollets, 75 010 Paris, 09-51-76-34-26. Maison du Sarrasin, 10, rue de l’Orme, Saint-Malo, 02-99-20-05-02. Plus d'infos sur www.toutendouceurs.com Bonne écoute ! Instagram : delphine_lf Twitter : delphinelfv
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