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Travail soigné
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Travail soigné

Author: stereolab

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Description

Travail soigné, c’est le podcast des gens qui aiment leur métier et qui en parlent bien. Dans cette série, Hervé Hauboldt vous invite à découvrir des personnalités hors du commun, leur rapport au travail et leur satisfaction intime d'exercer leur métier avec soin. 

Production : Stereolab / Musique : Blue Dot Sessions.

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27 Episodes
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Aujourd’hui, Hervé vous conduit dans l’atelier de Lise Stoufflet, une artiste peintre à l’univers singulier, nourri de situations troublantes, de malaise et parfois d’angoisse, transfigurés par la douceur d’un style surréaliste et onirique. Une atmosphère à première vue éloignée de la bonne humeur de Lise, qui pratique son art avec humilité et discrétion. Dans cet épisode, Lise s’interroge sur son identité d’artiste, la naissance de son style et son processus créatif. Elle évoque le regard du public sur son œuvre, qui ne la met pas toujours à l’aise, et cherche l’origine de sa satisfaction dans son travail.   REPÈRES Visite de l’atelier (1:10)  Comment devient-on artiste ? (2:00)  Trouver son style (5:05)  Le processus créatif de Lise (9:30)  Le quotidien d’une artiste (12:50)  Deux toiles dans l’atelier (16:10)  Quand une toile est-elle finie ? (18:40)  Le regard des autres sur son travail (20:15) Construire une œuvre et s’inscrire dans le temps (22:40)   Production : Stereolab – Musique : Blue Dot Sessions. Retrouvez l’actualité de Travail soigné via les comptes Stereolab.fr sur Instagram, Threads et Facebook et envoyez vos suggestions pour de prochains épisodes à hello@stereolab.fr Merci de votre soutien sur votre plateforme d’écoute préférée (un abonnement, 5 étoiles, des petits cœurs, un commentaire sympa) ainsi que sur Podmust.com
Aujourd’hui, Hervé vous emmène à la rencontre de Thibaud Vouge, menuisier parisien, créateur de l’Atelier du Renard. Encouragé par ses parents à suivre des études tant qu’il n’avait pas trouvé sa voie, Thibaud termine son cursus dans une école de commerce qui lui permet de travailler dans le marketing et la communication mais sans conviction ni plaisir. À la faveur d’une rupture conventionnelle, Thibaud s’oriente vers la menuiserie qui représente à ses yeux un compromis intéressant entre technique et créativité. Il suit une formation courte qu’il complète sur le terrain en travaillant pour un artisan puis en partageant l’atelier de menuisiers expérimentés. Assez vite s’impose l’idée d’avoir sa propre entreprise qu’il installe dans le 13e arrondissement de Paris puis à Antony en banlieue sud. Il n’y a qu’à voir Thibaud évoluer dans son atelier pour deviner qu’on est sur son terrain de jeu favori. Thibaud aime les bons et beaux outils, qui au-delà de la qualité d’exécution, donnent envie de s’en servir et du cœur à l’ouvrage mais il apprécie toutes les facettes de son métier, de la relation avec ses clients au perfectionnement du geste.   REPÈRES Visite de l’atelier (2:00). La nécessité de créer son entreprise (5:25). L'accueil des apprentis et la transmission (7:35). Un métier aux tâches variées (10:15). Un travail bien fait (12:40). Les sources de satisfaction de Thibaud (15:20). Faire la part des choses entre passion et travail (18:35).   Production : Stereolab – Musique : Blue Dot Sessions. Retrouvez l’actualité de Travail soigné via les comptes Stereolab.fr sur Instagram, Twitter et Facebook et n’hésitez pas à envoyer vos suggestions pour de prochains épisodes à hello@stereolab.fr Merci de votre soutien sur votre plateforme d’écoute préférée (un abonnement, 5 étoiles, des petits cœurs, un commentaire sympa) ainsi que sur Podmust.com
Bien que la reconversion professionnelle ne soit pas l’objet de Travail soigné, le phénomène est assez répandu pour que je croise deplus en plus la route de personnes qui ont choisi de bifurquer. “Trouver un sens à ce qu’on fait” revient fréquemment dans les conversations, et la personne que je vous propose de rencontrer aujourd’hui en est l’illustration parfaite. Ancienne ingénieure dans le secteur du bâtiment, Céline Lecaillon est devenue taxi PMR il y a deux ans. PMR pour “personnes à mobilité réduite”. Affiliée à la compagnie G7, Céline conduit quotidiennement des personnes en situation de handicap à leurs rendez-vous médicaux ou pour leur sorties et loisirs. Un accompagnement qui va bien au-delà de la conduite d’un point A à un point B qui procure à Céline la satisfaction d’être utile.   REPÈRES L’origine du choix de Céline (1:20). Les particularités du métier de taxi PMR (4:10). Les raisons de la reconversion de Céline (7:40). Un métier qui repose sur les relations humaines (9:30). Une image sociale désastreuse... (12:55). La liberté de travailler comme on le souhaite (15:30). La satisfaction de rendre service (17:05). Un rapport au travail qui n'a pas changé (18:45).   Production : Stereolab – Musique : Blue Dot Sessions. Retrouvez l’actualité de Travail soigné via les comptes Stereolab.fr sur Instagram, Twitter et Facebook et n’hésitez pas à envoyer vos suggestions pour de prochains épisodes à hello@stereolab.fr Merci de votre soutien sur votre plateforme d’écoute préférée (un abonnement, 5 étoiles, des petits cœurs, un commentaire sympa) ainsi que sur Podmust.com
Ça faisait longtemps que je voulais rencontrer un apiculteur et puis il y a parfois des occasions manquées, un mauvais timing, le boulot des uns ou des autres qui fait obstacle… Et puis, vous le savez, ce n’est pas qu’une question de métier mais de personnalité, surtout. Mais ça y est, c’est bon, je l’ai trouvé. Et dans un lieu, assez inattendu… Nous sommes en plein 19e arrondissement de Paris, aux jardins de La Villette pour être exact, juste à côté de la Grande Halle, pour celles et ceux qui connaissent. Alors que les pourfendeurs de la culture bobo se détendent immédiatement et reprennent leur souffle, notre apiculteur du jour n’a rien du hipster reconverti qui soigne sa com’ sur les réseaux. Pierre Merlet, 25 ans aujourd’hui, s’est intéressé à l’apiculture quand il était lycéen en Mayenne, déjà conscient des enjeux écologiques de notre époque. Une fois étudiant à Sciences Po Paris, Pierre a répondu à un appel à projets de la Ferme de la Villette pour y installer des ruches, produire du miel évidemment, mais surtout partager son savoir et sensibiliser les urbains à la cause environnementale.   REPÈRES L’origine de l’intérêt de Pierre pour l’apiculture (1:30). Le projet des ruches de La Villette (2:40). Les ruches de La Villette et les abeilles locales (4:30). La spécificité du miel urbain (6:20). Les quatre saisons d’une ruche (9:00). Au plus près des ruches (13:25). Le travail de l’apiculteur (17:00). Le rapport avec les abeilles (19:10). Le travail de Pierre et ses convictions (19:50).   Les ruches de La Villette : https://www.ruches-lavillette.com/ Production : Stereolab – Musique : Blue Dot Sessions. Retrouvez l’actualité de Travail soigné via les comptes Stereolab.fr sur Instagram, Twitter et Facebook et n’hésitez pas à envoyer vos suggestions pour de prochains épisodes à hello@stereolab.fr Merci de votre soutien sur votre plateforme d’écoute préférée (un abonnement, 5 étoiles, des petits cœurs, un commentaire sympa) ainsi que sur Podmust.com
Une fois encore, je vous fais visiter mon quartier, à proximité de la rue de Charonne et du boulevard Voltaire dans le 11e arrondissement de Paris. Et une fois, encore, c’est justifié car je vous conduis aujourd’hui dans un des premiers commerces que j’ai découvert en m’installant ici : la librairie La Friche. Assez vite, j’y ai remarqué Manu l’un des cofondateurs du lieu. Un charmant gaillard taillé comme un déménageur, tatoué comme un marin, le regard bleu acier et les cheveux gris impeccablement coupés en brosse… Pas tout à fait l’image qu’on se fait habituellement d’un libraire. Et ça tombe bien car nous ne sommes pas dans une librairie tout à fait comme les autres. Manu nous parle de l’origine de son métier, de sa façon de l’exercer, de l’image sociale du libraire, de ce commerce ouvert sur le quartier et de ce qui fait la particularité d’une librairie. REPÈRES Présentation de l’invité. (0:50) Visite de la librairie. (1:50) A l’origine de la vocation. (3:15) Le projet de cette librairie. (4:15) Après 15 ans de métier. (5:25) Le marché de l’édition. (6:35) L’image sociale du libraire. (8:15) La ligne éditoriale de La Friche. (13:10) Le statut particulier du livre. (15:45) Le livre et le lieu. (17:35) Librairie La Friche : http://librairielafriche.fr/ Production : Stereolab – Musique : Blue Dot Sessions. Retrouvez l’actualité de Travail soigné via les comptes Stereolab.fr sur Instagram, Twitter et Facebook et n’hésitez pas à envoyer vos suggestions pour de prochains épisodes à hello@stereolab.fr Merci de votre soutien sur votre plateforme d’écoute préférée (un abonnement, 5 étoiles, des petits cœurs, un commentaire sympa) ainsi que sur Podmust.com
Pour ce nouvel épisode, je vous emmène chez ma dentiste… Pour tout vous dire, je ne la connais que depuis quelques mois mais il se trouve que dès ma première consultation, j’ai instantanément compris que j’avais trouvé une perle. Je n’étais pas tombé sur des tortionnaires jusqu’ici mais je n’avais jamais ressenti autant d’attention envers moi sur ce fauteuil que l’on trouve rarement confortable. Un truc évident. Et ça n’a pas manqué, à l’issue du rendez-vous je lui proposais de l’interviewer ! Et le moins que l’on puisse dire, c’est que Cécile a joué le jeu, saisissant l’occasion pour s’interroger sur son rapport au travail, à son métier, se livrant spontanément avec toute l’humanité qui la caractérise. Car ce qui la passionne au-delà de son métier, ce sont ses patients. REPÈRES Présentation de l’invitée. (0:50) Arrivée dans le métier par hasard. (2:05) Un cabinet pas comme les autres. (5:00) La relation avec les patients. (7:30) Un métier très technique. (11:30) L'image sociale du dentiste. (13:50) “On en s’ennuie pas dans notre travail”. (15:50) “La richesse de mon métier”. (19:00) Production : Stereolab – Musique : Blue Dot Sessions. Retrouvez l’actualité de Travail soigné via les comptes Stereolab.fr sur Instagram, Twitter et Facebook et n’hésitez pas à envoyer vos suggestions pour de prochains épisodes à hello@stereolab.fr Merci de votre soutien sur votre plateforme d’écoute préférée (un abonnement, 5 étoiles, des petits cœurs, un commentaire sympa) ainsi que sur Podmust.com
Au cours du premier épisode de cette troisième saison, consacré à l’onomaturge Olivier Auroy, vous avez entendu trois brèves séquences au cours desquelles il rencontrait Clara, une cliente à la recherche du nom d’un chewing gum à la menthe. Des échanges que nous avons dû mettre en scène car, comme vous pouvez l’imaginer, les rendez-vous d’Olivier sont généralement confidentiels. Claire Jéhanno, qui prêtait sa voix à Clara, et Olivier, ont pris leur mission tellement au sérieux qu’on a voulu vous en faire découvrir un peu plus... Alors si vous êtes curieux de savoir comment se déroule un rendez-vous avec Olivier, et quels autres noms il a pu proposer à Clara, on vous invite poursuivre l’écoute de cet épisode bonus. Retrouvez Olivier Auroy sur Instagram : https://www.instagram.com/olivierauroy/ Et sur son site : https://onomaturge.com/olivier-auroy Production : Stereolab / Illustration de couverture : Julina Jean-Joseph / Musique : Blue Dot Sessions. Retrouvez l’actualité de Travail soigné via les comptes Stereolab.fr sur Instagram, Twitter et Facebook et n’hésitez pas à envoyer vos suggestions pour de prochains épisodes à hello@stereolab.fr Merci de votre soutien sur votre plateforme d’écoute préférée (un abonnement, 5 étoiles, des petits cœurs, un commentaire sympa) ainsi que sur Podmust.com
Pour commencer cette nouvelle saison, Hervé vous emmène à la rencontre d’Olivier Auroy qui exerce la profession d’onomaturge ! Ah, on vous devine interrogatifs… Olivier invente des noms. Des noms de produits, de marques, de services ou de sociétés… Qu’il s’agisse d’un parfum, de bas de contention, d’un satellite, du chien d’une milliardaire, d’une start-up ou encore d’un sextoy, rien n’émousse sa créativité. Et son amour des mots, qui remonte à l’enfance, l’a également conduit à écrire cinq romans à ce jour. Mais plutôt que de nous entretenir au calme de son bureau, Olivier nous emmène au jardin du Palais Royal où il vient parfois chercher l’inspiration. C’est à l’ombre des tilleuls qu’Olivier raconte l’origine de sa vocation, les tourments d’une recherche de nom, et la satisfaction de dénicher une pépite ! Au cours de cet épisode, vous aurez aussi l’occasion d’assister à une prise de brief qui va conduire Olivier à rechercher le nom d’un chewing gum aux sensations fortes. Retrouvez Olivier Auroy sur Instagram : https://www.instagram.com/olivierauroy/ Et sur son site : https://onomaturge.com/olivier-auroy REPÈRES Présentation de l’invité. (0:50) Les atavismes des grands-pères. (2:05) Les sujets compliqués. (3:10) Prise de brief avec une cliente. (4:15) Le protocole de la recherche de nom. (6:40) Les différents moments de la création. (8:20) La nécessité d’avoir des contraintes. (9:35) L’inné et l’acquis. (10:40) Les pépites. (12:20) Deuxième rendez-vous avec Clara. (13:05) Accompagner le client. (15:40) Fin du rendez-vous. (17:10) La satisfaction. (19:50) Le goût pour la littérature et l’écriture. (20:35) Production : Stereolab / Illustration de couverture : Julina Jean-Joseph / Musique : Blue Dot Sessions. Retrouvez l’actualité de Travail soigné via les comptes Stereolab.fr sur Instagram, Twitter et Facebook et n’hésitez pas à envoyer vos suggestions pour de prochains épisodes à hello@stereolab.fr Merci de votre soutien sur votre plateforme d’écoute préférée (un abonnement, 5 étoiles, des petits cœurs, un commentaire sympa) ainsi que sur Podmust.com
Travail soigné, c’est le podcast des gens qui aiment leur métier et qui en parlent bien. Dans cette série, Hervé Hauboldt vous invite à découvrir des personnalités hors du commun, leur rapport au travail et leur satisfaction intime d'exercer leur métier avec soin. Production : Stereolab / Illustration et couverture : Julina Jean-Joseph / Musique : Blue Dot Sessions.     Retrouvez l’actualité de Travail soigné via Stereolab.fr sur Instagram, Twitter et Facebook et n’hésitez pas à envoyer vos suggestions pour de prochains épisodes à hello@stereolab.fr  Merci de votre soutien sur votre plateforme d’écoute préférée (un abonnement, 5 étoiles, un commentaire sympa) et n'hésitez pas à parler de Travail soigné autour de vous. 
Puisqu’il n'a pas été possible de réaliser de reportages pendant la période de confinement, nous avons choisi, pour finir cette deuxième saison, de rassembler quelques extraits piochés parmi les 16 épisodes déjà en ligne, afin de permettre à quelques-uns de les découvrir et à d’autres de les entendre différemment. En se concentrant sur les deux questions principales de ce podcast : le rapport que l’on entretient avec le travail, et la satisfaction que l’on en retire. Nous commençons avec Charles Coquet (S1E08), dont la passion dévorante comme l’environnement professionnel ou la vie sociale, encouragent à n’être que luthier. Pia (S2E02), sage-femme en région parisienne, estime que l’hôpital est nécessaire à son équilibre tandis que David Thomas (S1E04), écrivain, mène aujourd’hui la vie dont il rêvait adolescent. Gloria (S2E04), danseuse au Crazy Horse, lie intimement sa passion pour son métier à l’endroit où elle l'exerce, au point qu'ils sont devenus indissociables. Nicolas (S1E06), concierge dans un palace parisien, évolue dans un lieu exceptionnel au contact de clients hors normes, dont il est amené à satisfaire toutes les envies... Leur satisfaction devient la sienne, tout en gardant les pieds sur terre. Karen (S1E03) a connu plusieurs carrières avant de devenir céramiste et de développer un sentiment de plénitude en travaillant. Une autre invitée qui a changé de vie, c’est Claire (S2E07) : formée aux métiers de la communication et du marketing elle s’est finalement tournée vers l’ébénisterie et la restauration de mobilier ancien, qui lui permet de marier travaux manuels et intellectuels. Michaël (S1E02), tailleur, à l’abri du monde dans sa boutique parisienne, la satisfaction se manifeste régulièrement par la collaboration créative qu'il entreprend avec ses clients. REPÈRES Charles Coquet, luthier : “C’est quoi ma vie, à part la lutherie ?” (1:25) Pia, sage-femme : “Je vais bien parce que je vais au travail” (3:10) David, écrivain : “J’ai du mal à parler du rapport au travail d’écrivain”. (4:25) Gloria, danseuse au Crazy Horse : “Quand je parle du Crazy Horse, c’est très difficile de parler de travail”. (6:25) Nicolas, concierge de palace : “Je sers avec plaisir mais je fais la part des choses”. (7:25) Karen, céramiste : “L’important, c'est “la route”, ce n’est pas le résultat !” (9:25) Claire, ébéniste : “Je me suis retrouvée, dans le sens où l'ébénisterie est un métier manuel et intellectuel” (11:45) David, écrivain : “La seule satisfaction que je peux avoir dans l’écriture, c’est quand le travail est fini”. (13:55) Gloria danseuse au Crazy Horse : “La satisfaction vient des sensations que l’on éprouve sur scène”. (16:05) Michaël, tailleur : “Le premier essayage, c’est un moment très particulier”. (17:45) Claire, ébéniste : “Je me suis imposé des règles car j’aurais pu perdre ma vie personnelle à cause d’un travail que j’aime” (19:30) Pia, sage-femme : “la plus grande joie, c’est l’accompagnement”. (20:35) Charles, luthier : “Je préfère toujours l’instrument à venir”. (21:15) Production : Stereolab / Illustration et couverture : Julina Jean-Joseph / Musique : Blue Dot Sessions. Retrouvez l’actualité de Travail soigné via les comptes Stereolab.fr sur Instagram, Twitter et Facebook et n’hésitez pas à envoyer vos suggestions pour de prochains épisodes à hello@stereolab.fr Merci de votre soutien sur votre plateforme d’écoute préférée (un abonnement, 5 étoiles, des petits cœurs, un commentaire sympa) ainsi que sur Podmust.com
Pour cet épisode, on espère vous surprendre en vous emmenant à la rencontre d’une personne et d’un métier que vous n‘auriez probablement pas envisagés. Peut-être reconnaîtrez-vous cette voix si particulière, car notre invité ne montre jamais son visage, laissant libre cours à toutes les spéculations le concernant avec d’autant plus de jubilation qu‘elles sont généralement erronées. François Simon est critique gastronomique émérite. Journaliste en Bretagne dont il est originaire, il rejoint la rédaction du Matin de Paris au début des années 80 avant d’être débauché par le magazine Gault & Millau. Lui qui, de son propre aveu, se nourrissait de pizzas et de yaourts au chocolat, découvre par lui-même l'univers de la gastronomie. C’est à la fin des années 90 que je découvre ses critiques de restaurants dans l’émission culturelle de Thierry Ardisson Rive Droite Rive Gauche sur Paris Première. En caméra cachée, ce dandy parisien imprime un style sévère mais juste, drôle et tranchant, qui lui vaut quelques inimitiés. Mais ne vous y trompez pas, cette mauvaise réputation qu’il ne cherche pas à démentir, reste la meilleure des couvertures : cet anonymat est le gage de son intégrité mais aussi le masque d'un homme discret, sensible, truculent et raffiné. Pour l’occasion, notre entretien a commencé, en toute discrétion, micro caché, à la table d’un restaurant japonais du 6e arrondissement de Paris et s‘est poursuivi plus librement dans les rues avoisinantes. Retrouvez François Simon sur Instagram : https://www.instagram.com/francoissimon/ Et sur son blog : https://www.simonsays.fr/ REPÈRES Présentation de l’invité. (1:00) Le restaurant de notre déjeuner. Réécrire au sujet d‘un restaurant. (2:25) À table. Laisser faire le restaurant. (3:10) À table. Éviter les interférences, rester à sa place. (3:50) La perception des moindres détails. (4:50) L’ambiance. (7:00) La mauvaise influence des guides. (7:45) L’anonymat de François Simon. (9:00) L’art de la disparition. (9:45) Conserver son anonymat. (12:10) Une anecdote révélatrice. (13:35) Le restaurant est un théâtre. (15:30) La critique, seul ou accompagné (16:15) Les critères de la dégustation. (18:50) Les clichés, les clashes. (20:20) Retarder la conclusion, le reflux des impressions. (20:50) Un boulot de rêve. (22:40) Production : Stereolab / Illustration et couverture : Julina Jean-Joseph / Musique : Blue Dot Sessions. Retrouvez l’actualité de Travail soigné via les comptes Stereolab.fr sur Instagram, Twitter et Facebook et n’hésitez pas à envoyer vos suggestions pour de prochains épisodes à hello@stereolab.fr Merci de votre soutien sur votre plateforme d’écoute préférée (un abonnement, 5 étoiles, des petits cœurs, un commentaire sympa) ainsi que sur Podmust.com
Aujourd‘hui, en pleine période de Pâques et malgré les circonstances, Travail soigné vous emmène chez un chocolatier... Nous sommes à Savigny-sur-Orge, à une vingtaine de kilomètres au sud de Paris, et sous ses allures de commerce de quartier, la boutique “À la Reine Astrid” abrite une chaîne de production comme on trouve peu en France. Christophe Bertrand, son propriétaire, est l‘un des rares artisans chocolatiers à torréfier lui-même ses fèves de cacao pour produire sa matière première. Un savoir faire qui va de pair avec une démarche éthique qui s‘affranchit des certifications pour privilégier les circuits courts et une distribution équitable des revenus. Et vous verrez qu’en la matière, Christophe ne se contente pas de beaux discours... Dans cet épisode, vous suivrez chaque étape de fabrication de cette gourmandise universelle, de l’ouverture du sac de fèves au moulage des œufs de Pâques. Retrouvez les créations de Christophe Bertrand sur le site https://www.alareineastrid.fr et dans ses six boutiques de la région parisienne (Meudon, Ville d‘Avray, Savigny-sur-Orge, Rambouillet, Versailles et le Mesnil-Saint-Denis). REPÈRES La fabrication artisanale du chocolat, de la fève à la tablette. (1:40) La facilité de création. (3:00) L‘atelier de torréfaction et les composants du chocolat. (4:00) Les pays producteurs. (5:35) La fermentation du cacao et l'importance du terroir. (6:40) Le chocolat industriel. (10:10) Une relation particulière avec un village camerounais. (11:10) Torréfaction des fèves indiennes. (13:55) Visite du labo et confection des chocolats de Pâques. (15:40) L‘équipe de la Reine Astrid. (20:10) Une petite production soumise aux aléas des récoltes. (20:50) Les méfaits du green-washing de l‘industrie agro-alimentaire. (22:05)   Production : Stereolab / Illustration et couverture : Julina Jean-Joseph / Musique : Blue Dot Sessions. Retrouvez l’actualité de Travail soigné via les comptes Stereolab.fr sur Instagram, Twitter et Facebook et n’hésitez pas à envoyer vos suggestions pour de prochains épisodes à hello@stereolab.fr Merci de votre soutien sur votre plateforme d’écoute préférée (un abonnement, 5 étoiles, des petits cœurs, un commentaire sympa) ainsi que sur Podmust.com
Aujourd'hui, Hervé vous emmène dans son quartier, Faubourg Saint-Antoine, à Paris, près de la place de la Bastille, découvrir l'atelier d'ébénisterie de Claire Butel, spécialisée dans la restauration de mobilier ancien. Bien que la reconversion professionnelle ne soit pas la raison d'être de ce podcast, c'est un phénomène dont nous sommes de plus en plus témoins, ou acteurs. Souvent, l'approche de la quarantaine agit comme un révélateur... Mais Claire s'est rendu compte, bien avant d'autres, que son environnement de travail ne la satisfaisait pas pleinement. Au cours de cet épisode, elle vous raconte son parcours, ses premiers pas dans le métier, la passion qui l'anime et les raisons qui l'ont poussée à se consacrer à un artisanat qui conjugue harmonieusement les travaux manuels et intellectuels.   REPÈRES Visite de l'atelier Mooibos. (1:40) Le parcours de Claire et sa reconversion professionnelle. (3:35) Un métier manuel et intellectuel. (6:00) Lancer son affaire. (8:25) Vivre de sa passion. (9:25) Surmonter les difficultés de la reconversion. (10:15) L’accueil des voisins artisans de la cour du panier fleuri. (11:15) Le quotidien d’une ébéniste. (12:20) Le rapport au temps. (14:15) Examen d'un cabinet d’ébène (15:45) Le travail de restauration. (18:15) L’attrait de la restauration, l'histoire des objets et de leur propriétaire. (19:30) Le rapport de Claire à son nouveau travail. (23:00)   Production : Stereolab – Musique : Blue Dot Sessions. Retrouvez l’actualité de Travail soigné via Stereolab.fr sur Instagram, Twitter et Facebook et n’hésitez pas à envoyer vos suggestions pour de prochains épisodes à hello@stereolab.fr Merci de votre soutien sur votre plateforme d’écoute préférée (un abonnement, 5 étoiles, des petits cœurs, un commentaire sympa) ainsi que sur Podmust.com
Aujourd'hui, Travail soigné vous emmène à La Défense, le quartier d'affaires de l'ouest parisien à la rencontre d’Elodie Garnier qui est ingénieure et conductrice de travaux chez Bouygues Construction. Et en matière de travaux, Elodie voit plutôt grand : depuis plus de trois ans, ce petit gabarit de jeune femme dynamique aux yeux rieurs est en charge de la double peau vitrée assurant l'isolation et la ventilation de la tour Alto, immeuble de 38 étages et 150 mètres de haut qui a la particularité d'être évasé (son sommet étant deux fois plus spacieux que sa base). Si vous êtes curieux de savoir comment une jeune femme a trouvé sa place et s'est épanouie dans un milieu professionnel aussi historiquement masculin que le bâtiment, enfilez votre casque et vos bottes pour visiter le chantier. REPÈRES Le parcours d'Elodie. (1:50) Les différentes composantes du bâtiment. (2:30) La particularité du projet “Alto”. (3:50) L'organisation et la logistique d'un tel chantier. (6:00) Visite du chantier. (8:20) Un travail qui s'inscrit dans le temps long ; les différentes phases d'un chantier. (10:25) Une journée de chantier. (12:10) L'aspect humain. (13:00) Poursuite de la visite du chantier jusqu'au sommet de la tour. (15:45) Comment faire sa place en tant que femme dans un milieu professionnel très masculin. (16:10) Les relations humaines dans le bâtiment. (17:15) Production : Stereolab / Illustration et couverture : Julina Jean-Joseph / Musique : Blue Dot Sessions. Remerciements : Jessica Swiderski. Retrouvez l’actualité de Travail soigné via Stereolab.fr sur Instagram, Twitter et Facebook et n’hésitez pas à envoyer vos suggestions pour de prochains épisodes à hello@stereolab.fr Merci de votre soutien sur votre plateforme d’écoute préférée (un abonnement, 5 étoiles, des petits cœurs, un commentaire sympa) ainsi que sur Podmust.com  
Aujourd’hui, Travail soigné quitte à nouveau Paris pour vous conduire en Aveyron, à Saint-Georges-de-Luzençon pour être exact, au pied du viaduc de Millau, et découvrir les coulisses de la marque de maroquinerie Bleu de chauffe dont les produits respirent l'artisanat et l'amour du travail bien fait. Et c'est Alexandre, l'un de ses fondateurs, qui nous ouvre les portes de l'atelier. Associé à Thierry depuis 10 ans, il développe une ligne de maroquinerie inspirée des anciens sacs de métier, qui cultive un esprit vintage mariant simplicité des formes et qualité des matières. Et vous allez voir que le succès ne les a pas fait renier leurs valeurs humanistes, bien au contraire. Au-delà de pouvoir maîtriser le processus de création et de production de A à Z, Bleu de chauffe a fait le pari du made in France et des filières vertueuses depuis sa création, réalisant 100 % de ses produits en Aveyron sans recours à la sous-traitance. REPÈRES Le parcours d'Alexandre et les raisons de sa passion pour la maroquinerie. (01:30) Les origines de Bleu de chauffe. (2:30) La spécificité du cuir tanné végétal. (4:15) Les machines utilisées dans l'atelier. (6:10) L'inspiration des produits. (8:15) Visite de l'atelier de confection. (9:40) La mise en valeur du travail des artisans. (11:10) les débuts de Bleu de chauffe et le pari du Made in Aveyron. (12:45) La croissance de Bleu de chauffe et le respect de ses valeurs. (14:50) Production : Stereolab / Illustration et couverture : Julina Jean-Joseph / Musiques : Blue Dot Sessions. Remerciements : Tommy Hubert. Retrouvez l’actualité de Travail soigné via Stereolab.fr sur Instagram, Twitter et Facebook et n’hésitez pas à envoyer vos suggestions pour de prochains épisodes à hello@stereolab.fr Merci de votre soutien sur votre plateforme d’écoute préférée (un abonnement, 5 étoiles, des petits cœurs, un commentaire sympa) ainsi que sur Podmust.com
En cette fin d'année, Travail soigné vous ouvre les portes du mythique Crazy Horse situé dans le très chic 8e arrondissement de paris, entre la Tour Eiffel et les Champs-Elysées. Gloria di Parma, l’une de ses danseuses les plus capées va vous faire visiter les coulisses de cette institution des nuits parisiennes qui, depuis sa création en 1951, s'est toujours distinguée des cabarets traditionnels et autres revues à plumes en affirmant son style inimitable mariant humour et glamour. Constituée d'une trentaine danseuses, la troupe se partage entre la scène parisienne et des tournées à travers le monde qui entretiennent la notoriété du lieu. Danseuse professionnelle originaire de Parme et complètement étrangère au monde du cabaret, Gloria est devenue, en 2011, la première italienne a rejoindre la troupe depuis plus de trente ans. Parmi les histoires et rumeurs qui ont construit la réputation du cabaret, il y a notamment celle d'une discipline très stricte au sein de l'équipe. Depuis sa création, le Crazy Horse célèbre la beauté du corps féminin, qu'il habille de lumières dans des mise en scène qui alternent séduction et second degré. Au fil des années, s'est aussi constituée une galerie de personnages créés par la direction artistique. REPÈRES Le rituel de la balance et le poids des danseuses. (01:30) L'origine de son arrivée au Crazy Horse. (3:00) Une école de la rigueur (4:10) Son intégration dans l'équipe. (5:05) La particularité des numéros du Crazy Horse. (6:15) Le nom de scène des danseuses et la création des personnages. (7:20) Visite des coulisses. (8:30) Répétition du solo “Undress to kill”. (9:20) Le rythme de travail. (10:20) Le travail invisible. (11:35) Le Crazy aujourd'hui et sa direction féminine. (13:05) Un travail et une passion indissociables. (14:25) Le regard des autres. (15:15) La vie des loges. (16:40) L'évolution du Crazy. (19:15) Et après le Crazy ? (20:35) Production : Stereolab / Illustration et couverture : Julina Jean-Joseph / Musiques : Blue Dot Sessions ; The Cure : Lullaby (Fiction Records) pour le numéro Undress to Kill. Remerciements : Jessica Saugier (agence Pascale Venot), Silvia Reissner et toute l’équipe du Crazy Horse. Retrouvez l’actualité de Travail soigné via Stereolab.fr sur Instagram, Twitter et Facebook et n’hésitez pas à envoyer vos suggestions pour de prochains épisodes à hello@stereolab.fr Merci de votre soutien sur votre plateforme d’écoute préférée (un abonnement, des étoiles, des petits cœurs, un commentaire sympa) ainsi que sur Podmust.com
Aujourd’hui, Travail soigné quitte Paris, direction Reims et ses vignes pour vous faire rencontrer Alexandre Ponnavoy, chef de cave de la prestigieuse maison de champagne Taittinger. Vous allez avoir le privilège de visiter l’impressionnante cuverie ultra-moderne et d’apprendre toutes les étapes de fabrication de ce vin pétillant synonyme de fête. Originaire de Bourgogne, Alexandre suit des études d’agronomie puis complète sa formation par un Master en œnologie et se spécialise dans les vins effervescents. Il accomplit des missions de conseils en France comme à l’étranger pendant une dizaine d’années avant d’être recruté par la maison Taittinger à seulement 36 ans, en vue de succéder au chef de cave. Ce qui séduit particulièrement Alexandre dans l’élaboration du Champagne, c’est sa complexité et la technicité de sa fabrication. L’assemblage de différents cépages, de différentes parcelles, de différentes années, propre à l’appellation, permet à l’œnologue de pérenniser le style de la maison tout en y apportant sa touche personnelle sur les cuvées millésimées.   REPÈRES Le parcours d'Alexandre, de l’agronomie à l’œnologie. (01:30) La challenge de devenir Chef de cave. (3:20) Un travail d’équipe (4:10) Les étapes de fabrication du Champagne. (6:20) Visite de la cuverie. (9:25) La spécificité de l’assemblage. (11:45) La dégustation. (12:40)  La notion du temps. (16:10) La satisfaction du chef de cave. (19:49) Production : Stereolab / Illustration et couverture : Julina Jean-Joseph / Musiques : Blue Dot Sessions. Remerciements : Marion Asal (agence Pascale Venot). Retrouvez l’actualité de Travail soigné via Stereolab.fr sur Instagram, Twitter et Facebook et n’hésitez pas à envoyer vos suggestions pour de prochains épisodes à hello@stereolab.fr Merci de votre soutien sur votre plateforme d’écoute préférée (un abonnement, des étoiles, des petits cœurs, un commentaire sympa) ainsi que sur Podmust.com 
Aujourd'hui, Travail soigné vous emmène à la rencontre de Pia Laborde, sage-femme à l'hôpital Foch de Suresnes en banlieue parisienne, dont le métier ne se résume pas, loin s'en faut, à l'accouchement des femmes enceintes. Ce qui frappe de prime abord quand on la rencontre, c'est l'énergie et la bienveillance qui émanent de ce petit gabarit de jeune femme, dont le métier et l'hôpital sont indispensables à l'équilibre. Arrivée dans cette profession par hasard “mais à la bonne place”, comme elle le précise, Pia participe à un moment clé de la vie d'une femme ou d'un couple et doit concilier des aspects humains, techniques et logistiques. Elle fait preuve d'une grande humilité et se remet quotidiennement en question, et si le rythme et les contraintes du métier mettent parfois les nerfs à rude épreuve, Pia se nourrit des histoires auxquelles elle est confrontée. Cet épisode est l'occasion de faire découvrir les facettes méconnues d'un métier qui bénéficie d'une image sociale très positive. REPÈRES Le parcours de Pia et le “hasard” de son orientation. (01:30) Visite du service Néonatalogie. (2:35) Les missions de Pia. (4:00) Le métier de sage-femme. (5:25)  Le métier au quotidien, une remise en question permanente. (6:00)  Consultation, deux semaines avant le terme. (7:30)  La manière de pratiquer le métier. (9:15)  Une addition de moments uniques. (10:45)  Savoir faire la part des choses. (12:00)  L'évolution du métier. (14:15)  Un métier aux multiples facettes, plus exposé. (14:45)  L'image sociale du métier de sage-femme. (15:45)  Chaque patiente est une histoire. (17:20) Un métier indispensable à l’équilibre de Pia. (20:15)     Production : Stereolab / Illustration et couverture : Julina Jean-Joseph / Musiques : Blue Dot Sessions. Remerciements : Claire Akouka. Retrouvez l’actualité de Travail soigné via Stereolab.fr sur Instagram, Twitter et Facebook et n’hésitez pas à envoyer vos suggestions pour de prochains épisodes à hello@stereolab.fr  Merci de votre soutien sur votre plateforme d’écoute préférée (un abonnement, des étoiles, des petits cœurs, un commentaire sympa, on prend tout !) ainsi que sur Podmust.com 
Quoi de mieux qu'un bon café pour entamer cette nouvelle saison de Travail soigné ? Dans cet épisode, Hervé vous emmène à la rencontre de Christophe Servell, pionnier du café de spécialité en France et créateur de la marque Terres de café.  Le café de spécialité, vous en avez déjà peut-être goûté dans un bon coffee-shop mais cela reste encore obscur pour beaucoup... Pour résumer : la différence entre le café industriel et le café de spécialité, c'est un peu le même écart qu'entre de la piquette et un grand cru. D'ailleurs, vous entendrez souvent Christophe comparer le vin et le café. Ce fin gourmet consacre toute son énergie au service d'une filière responsable qui garantit une qualité exceptionnelle de la terre à la tasse. Alors attendez-vous à redécouvrir cette boisson si particulière avec laquelle nous entretenons tous un rapport très personnel.    REPÈRES  L'origine du projet. (01:30) La filière du café de spécialité. (04:37)  Visite du site de production : le café vert. (07:10)   Augmenter les volumes et la qualité. (09:40) La mise en place de partenariats avec les producteurs. (11:10) Le rituel du “cupping”. (12:47) La torréfaction. (14:48) Préserver la fraîcheur du café. (16:00) Les capsules Terres de café. (18:03)   Le conseil en boutique. (19:27)   Préparation d'un café avec Christophe. (20:52) Pour en savoir plus Christophe et Terres de café : https://www.terresdecafe.com/fr/   Production : Stereolab / Illustration et couverture : Julina Jean-Joseph / Musiques : Blue Dot Sessions. Remerciements : Marion Asal (agence Pascale Venot). Retrouvez l’actualité de Travail soigné via Stereolab.fr sur Instagram, Twitter et Facebook et n’hésitez pas à envoyer vos suggestions pour de prochains épisodes à hello@stereolab.fr  Merci de votre soutien sur votre plateforme d’écoute préférée (un abonnement, des étoiles, des petits cœurs, un commentaire sympa) ainsi que sur Podmust.com 
Dans ce dernier épisode de la saison, Travail soigné vous ouvre les portes de l’atelier de lutherie de Charles Coquet, dédié à la fabrication de violons, altos et violoncelles.  Bien que ce métier inspire naturellement l’admiration et la curiosité, certains aspects en sont méconnus et soulèvent des problématiques très intéressantes. Les canons de l’instrument comme sa fabrication n’ont quasiment pas changé depuis près de cinq siècles et pourtant si le luthier d’aujourd’hui reproduit le geste, il n’en apporte pas moins sa pierre à l’édifice. C’est en tout cas la philosophie de Charles qui respecte l’héritage tout en affirmant sa personnalité.  Charles a étudié le violon pendant 15 ans avant de s’orienter vers la lutherie, qu’il a apprise en Angleterre. N’étant pas issu d’une famille de musiciens, ce choix s’apparentait à un saut dans le vide, mais la passion de Charles pour la fabrication s’est vite confirmée et n’a fait que croître à mesure qu’il avançait dans son apprentissage. Il ouvre son propre atelier en 2008, où son passé de violoniste constitue assurément un atout dans sa relation avec les musiciens.  Au cours de l’entretien, vous aurez le privilège d’assister à l’essai d’un instrument de Charles par le talentueux violoniste Hugues Borsarello. REPÈRES Visite de l’atelier. (1:30) Le violon vu par les musiciens. (2:49) La relation de Charles avec les musiciens. (4:40) Le “son” de Charles. (5:35) Les modèles de violons hérités de la lutherie ancienne. (6:50) Les étapes de fabrication du violon : le travail du bois. (9:15) Les finitions : le vernis. (12:30) Essai d’un instrument par le violoniste Hugues Borsarello. (14:35) Le réglage de l’instrument. (15:25) Le rapport de Charles à son métier. (16:35) La transmission : le travail avec les apprentis. (19:05) L’évolution et l’avenir du métier. (20:30) La quête de perfection. (22:10)   LIENS Pour en savoir plus sur l’atelier de Charles Coquet : https://www.charlescoquet-luthier.fr/  Et sur le violoniste Hugues Borsarello : http://borsarello.com    Production : Stereolab / Illustration et couverture : Julina Jean-Joseph / Musiques : Blue Dot Sessions.     Retrouvez l’actualité de Travail soigné via Stereolab.fr sur Instagram, Twitter et Facebook et n’hésitez pas à envoyer vos suggestions pour de prochains épisodes à hello@stereolab.fr   Merci de votre soutien sur votre plateforme d’écoute préférée (un abonnement, des étoiles, des petits cœurs, un commentaire sympa) ainsi que sur Podmust.com 
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