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Ceci n'est pas...

Author: Ceci n'est pas...

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Loin des mythes de la communication, des sirènes du marketing moderne et de la viralité des petites phrases, « Ceci n’est pas… » questionne les évidences et examine les images du monde qui nous entoure...
9 Episodes
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Aujourd’hui, on va parler de psychologie sociale, et en particulier de deux expériences de psychologie sociale qui ont été menées dans les années 1960 et 1970 aux Etats-Unis. Il s’agit des expériences de Milgram et de Stanford, qui ont toutes deux connues un succès énorme à travers le monde.  Pourtant, elles font souvent l’objet de mauvaises interprétations, et sont utilisées à tort pour décrier les médias de masse et leurs effets sur la population. Notamment, la télévision et ses programmes de télé-réalité, qui abrutiraient les foules et seraient capable de nous faire faire n’importe quoi. D’ailleurs, on retrouve aussi des petits frères et soeurs de ces expériences et de ce qu’elles dénoncent, dans la culture populaire, d’Acide Sulfurique d’Amélie Nothomb, à la saga américaine Hunger Games.  Alors, que sont exactement les expériences de Milgram et de Stanford, et qu’en est-il des expériences de soumission aux médias de masse ? Sommes-nous tous les moutons obéissants des enfants de la télévision ? 
Vous en avez sans doute déjà beaucoup entendu parlé, mais aujourd’hui, on va parler de storytelling... Qu’est-ce que c’est ? En bon français, c’est l’art de bien raconter les histoires. Et c’est la base de toutes les formes de communication : politique, publicitaire, les sites internet, les discours, et bien d’autres encore.  Fini le temps d’une communication purement technique ou commerciale, impossible de passer à côté des histoires. De l’épopée mythique à la plus petite anecdote, le storytelling a littéralement envahi les moindres recoins de la pub. Pourquoi le storytelling a-t-il rencontré un tel succès ? Comment sont construites les publicités qui y font appel ? Qu’est-ce qui peut bien lier Harry Potter et la marque de jardinage Gamm Vert ? C’est ce que je vous propose de découvrir dans ce nouvel épisode de Ceci n'est pas...
A la fois très utilisés comme archétypes dans les discours et publicités, et en même temps parfois hautement polémiques, les symboles religieux font partie intégrante de notre système d’images et de représentations collectives.  Comment le religieux est-il utilisé pour nourrir la communication commerciale des marques dans notre société laïque ? Quelles réactions suscitent-elles dans le monde religieux ? Et, à l’inverse, comment les religions, notamment la religion catholique, s’est-elle elle-même appropriée les techniques de communication pour promouvoir son discours ? C’est ce que je vous propose de découvrir dans ce nouvel épisode de Ceci n'est pas.
Ce mois-ci, nous avons beaucoup parlé d’un sujet passionnant : les couleurs et leur symbolique dans la communication. Après avoir décortiqué deux associations de couleurs, le jaune et le bleu puis le rose et le bleu ; et après avoir analysé la relation unique qui lie le vert et le thème de l’écologie, je vous propose cette semaine de terminer notre série spéciale “Couleurs dans la communication” avec un quatrième épisode dédié aux couleurs politiques.  Puisqu'on le sait, couleur et politique sont intimement liées dans nos représentations collectives. D'ailleurs, ne parle-t-on pas de “couleur politique” ? Mais leur symbolique a beaucoup changé. Et si je vous disais que le Bleu était avant une couleur de gauche et que le rouge était la couleur des Républicains…  Alors, depuis quand les couleurs et la politique partagent-elles leur destin ? Et que nous raconte cette relation symbolique ?
Aujourd’hui, on poursuit notre série spécial couleurs dans la communication. Après avoir essayé de comprendre pourquoi le bleu et le jaune était une association connotée petits prix, puis avoir déconstruit la relation entre la couleur verte et l’écologie, on se penche dans cet épisode sur une nouvelle combinaison de couleurs : le bleu et le rose.  Pourquoi et depuis quand associe-t-on le bleu aux petits garçons et le rose aux petites filles ? Et comment se mêlent, à travers cette opposition de couleurs et de genre, marketing, histoire et politique ? C’est ce que je vous propose de découvrir dans les prochaines minutes...
Aujourd’hui, on continue comme la semaine dernière à parler de couleurs, et en particulier de couleurs dans la communication, avec un épisode dédié au vert. Le vert, c’est LA couleur de l’écologie. Toutes les marques qui communiquent sur leur écoresponsabilité, tous les partis politique, et même le langage puisqu’on parle bien de greenwashing par exemple, Tout, absolument TOUT ce qui traite de l’écologie est teinté de vert. Pourtant, regardez autour de vous. Qui a dit que la nature était verte ? L’eau de la mer est bleu, les glaciers sont blancs, les montagnes sont marrons. Finalement, il n’y a que peu d’éléments qui sont de couleur verte dans nos paysages…  Alors, d’où vient la représentation verte de ces sujets écolo ? Et que dit-elle de nos sociétés et de notre manière de communiquer ? C’est ce que je vous propose de découvrir dans ce nouvel épisode...
Savez-vous ce qu’ont en commun Ikea, Ryan Air, Castorama, La Poste ou encore Wal-Mart au Etats-Unis ? Ce sont des marques mondialement connus, oui, mais pas que… Leurs logos sont de couleur bleu et jaune et spoiler, c’est une combinaison qui n’est pas préconisée si vous souhaitez lancer votre marque haut de gamme.  Aujourd’hui, « Ceci n’est pas » ouvre une série de podcasts dédiée aux couleurs dans la communication, et on commence tout de suite par ce premier épisode, dans lequel on va tenter de comprendre pourquoi l’association de couleurs bleu et jaune est-elle si cheap ?
Après avoir parlé de nouvelles pratiques digitales, la semaine dernière avec le selfie, je vous propose dans ce nouvel épisode de faire un virage à 180 degrés et revenir aux fondamentaux de la communication.  Parce que la communication ne se cantonne pas aux nouvelles pratiques digitales ; elle est teintée d’histoire, de littérature, de sémiologie. Et en l'occurrence aujourd’hui : de rhétorique. Et plus particulièrement, de figures de style. Omniprésentes dans les slogans publicitaires et les discours de marque, les figure de style sont partout. Pourtant, certaines d’entre elles, comme la prétérition, sont encore méconnues.  La prétérition, qu’est-ce que c’est, à quoi ça sert et quels sont ses effets sur l’audience ? C’est ce que je vous propose de découvrir dans cet épisode.
Loin des mythes de la communication, des sirènes du marketing moderne et de la viralité des petites phrases, « Ceci n’est pas… » questionne les évidences et examine les objets de communication qui nous entourent… Aujourd’hui, je vous propose de découvrir le tout premier épisode, dédié au selfie. Parfois qualifié de déviant, incompréhensible, inesthétique, le selfie a mauvaise réputation et interroge. Est-il un acte narcissique ou est-il une forme d’art ? Est-ce un phénomène nouveau ou un héritier de l’autoportrait né au 16ème siècle ? Sans doute un peu tout ça à la fois.
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