Discover
Ça Se Passe Là-Haut

1736 Episodes
Reverse
La supernova 2021yfj a été repérée peu après l'explosion et a révélé quelque chose que les astrophysiciens n'avaient jamais vu auparavant : une couche riche en silicium et en soufre qui, selon les théories, entourerait le cœur des étoiles massives. L'étude de cette supernova fournit des informations sans précédent sur la formation des éléments lourds dans les étoiles et remet en question notre compréhension de la façon dont les étoiles perdent leurs couches externes dans leurs derniers instants. Elle est parue dans Nature.
Source
Extremely stripped supernova reveals a silicon and sulfur formation siteSteve Schulze et al.Nature volume 644, pages634–639 (20 August 2025)https://doi.org/10.1038/s41586-025-09375-3
Illustrations
Vue d'artiste de l'explosion de SN2021yfj (Nature)
Spectre mesuré montrant les raies du soufre et du silicium ionisés (Schulze et al)3 Steve Schulze
FRB 20250316A est à ce jour le sursaut radio rapide le plus brillant jamais détecté. Il se trouvait dans la galaxie NGC 4141 située à une distance de seulement 40 Mpc. Grâce à sa proximité et son intensité, la collaboration canadienne CHIME qui traque les FRB (Fast Radio Burst) depuis de nombreuses années, est parvenue à le localiser avec une précision de seulement 13 pc, et a donc pu étudier en détail l'environnement de cet événement pour tenter de comprendre la nature de son progéniteur. L'étude est parue dans The Astrophysical Journal Letters.
Sources
FRB 20250316A: A Brilliant and Nearby One-Off Fast Radio Burst Localized to 13 parsec PrecisionCHIME/FRB CollaborationThe Astrophysical Journal Letters, Volume 989, Number 2 (21 august 25)http://doi.org/10.3847/2041-8213/adf62f
James Webb Space Telescope Observations of the Nearby and Precisely-Localized FRB 20250316APeter Blanchard et al.The Astrophysical Journal Letters, Volume 989, Number 2 (21 august 25)http://doi.org/10.3847/2041-8213/adf29f
Illustrations
Vue d'artiste de la détection de FRB par CHIME/FRB (NASA/ESA/CSA/CfA/P. Blanchard et al.; Image processing: CfA/P. Edmonds.)
Localisation de FRB 20250316A dans la galaxie NGC 4141 (CHIME collaboration)
Les toutes premières étoiles qui se sont formées dans l’Univers à partir de 200 ou 100 millions d’années après la singularité sont appelées des étoiles de population III.1. La plupart d’entre elles étaient très massives, voire supermassives. Aujourd’hui, un astrophysicien américain propose, analyses et calculs rigoureux à l’appui, que ces premières étoiles supermassives ont pu être les graines des premiers trous noirs supermassifs. Et cerise sur le gâteau, grâce à leur fort effet ionisant sur le milieu qui les entourait, elles pourraient résoudre plusieurs tensions cosmologiques observées aujourd’hui, et non des moindres… L’étude est publiée dans The Astrophysical Journal Letters.
Source
Flash Ionization of the Early Universe by Population III.1 Supermassive StarsJonathan C. TanThe Astrophysical Journal Letters, Volume 989, Number 2 (19 august 2025)http://doi.org/10.3847/2041-8213/adf8da
Illustrations
Simulation de la bulle de gaz ionisé entourant une étoile de population III.1 (M. Sanati (Chalmers & J. Tan)2.Jonathan Tan
Le diagramme de Herzprung Russell est une représentation graphique représentant toutes les étapes possibles de la vie des étoiles, en montrant la distribution de leur luminosité en fonction de leur masse qui forme notamment ce qu'on appelle la séquence principale. Une équipe d’astrophysiciens vient de calculer pour la première fois à quoi ressemblerait ce diagramme HR dans les cas où les étoiles baigneraient dans une forte concentration de matière noire qui influerait sur elles en leur apportant de l’énergie additionnelle. On obtient une nouvelle séquence principale avec des températures bien plus basses pour une luminosité équivalente, de quoi faire le lien avec les étoiles apparemment jeunes qui sont observées dans le centre galactique et dont la présence est mal comprise. Et ces étoiles pourraient être éternelles, la matière noire leur fournissant de l’énergie en continu… L’étude est publiée dans Physical Review D.
Source
Dark branches of immortal stars at the Galactic CenterIsabelle John et al.Phys. Rev. D 112 (18 July, 2025)https://doi.org/10.1103/PhysRevD.112.023028
Illustration
La séquence principale "sombre" (à droite) comparée à la séquence principale standard du diagramme de Herzsprung-Russell
Isabelle John
Avec des observations du télescope Webb, une équipe d'astrophysiciens a découvert un objet inhabituel situé à un redshift de z = 1,14,. Ils l'ont surnommé la galaxie ∞ (infini). Il s'agit de deux noyaux de galaxies séparés de 10 kpc, au milieu desquels se trouve un trou noir supermassif. L'analyse de ce qui a pu se passer dans ce système mène vers une formation du trou noir supermassif par l'effondrement direct du nuage de gaz compressé formé lors de la collision frontale de deux galaxies à disque. Ils publient leur étude dans The Astrophysical Journal Letters.
Source
The ∞ Galaxy: A Candidate Direct-collapse Supermassive Black Hole between Two Massive, Ringed NucleiPieter van Dokkum, et al.The Astrophysical Journal Letters, Volume 988, Number 1 (15 july 2025)https://doi.org/10.3847/2041-8213/addcfe
Illustrations
Schéma du scénario proposé pour la formation du trou noir supermassif au centre du système (Van Dokkum et al.)
La galaxie ∞ imagée avec Webb (Van Dokkum et al.)
Les supernovas de type Ia jouent un rôle fondamental en tant que "chandelles standard" pour étudier l’accélération apparente de l’expansion de l’Univers et pour mesurer son taux actuel. Le principe de chandelle standard repose en grande partie sur le fait que les supernovas de type Ia, l’explosion thermonucléaire d’une étoile naine blanche, survient toujours lorsque la naine blanche atteint la masse critique de Chandrasekhar (1,4 masses solaires) par apport de masse externe. Mais une nouvelle observation d’un jeune résidu de supernova indique que l’explosion a eu lieu bien en dessous de 1,4 masses solaires… Et si les supernovas de types Ia n’étaient pas les chandelles standard que l’on croit ? L’étude est parue dans Nature Astronomy.
Source
Calcium in a supernova remnant as a fingerprint of a sub-Chandrasekhar-mass explosionPriyam Das, et al.Nature Astronomy (2 juillet 2025)https://doi.org/10.1038/s41550-025-02589-5
Illustrations
Image du résidu SNR 0509-67 obtenue avec le VLT (ESO)
Priyam Das
Une équipe d'astrophysiciens a découvert un halo radio situé à 10 milliards d'années-lumière, il révèle que les amas de galaxies de l'univers primordial étaient déjà imprégnés de particules de haute énergie. Cette découverte suggère une activité ancienne de trous noirs ou bien des collisions de particules cosmiques énergétiques. L'étude est publiée dans The Astrophysical Journal Letters.
Source
Discovery of Diffuse Radio Emission in a Massive z = 1.709 Cool Core Cluster: A Candidate Radio Mini-HaloJulie Hlavacek-Larrondo et al.à paraître dans The Astrophysical Journal Letters
Illustrations
L'amas SpARCS 1049+5640 et son mini halo imagés dans différentes longueurs d'ondes (visible, rayons X et radio) (HLavacek-Larrondo et al.)
Julie Hlavacek-Larrondo
Des astronomes ont découvert un immense filament de gaz chaud reliant quatre amas de galaxies au sein du superamas de Shapley. Dix fois plus massif que notre galaxie, ce filament apparaît contenir une partie de la matière baryonique « manquante » de l'Univers, confirmant les prédictions des simulations cosmologiques qui allaient dans ce sens. Ils publient leur découverte dans Astronomy&Astrophysics.
Source
Detection of pure warm-hot intergalactic medium emission from a 7.2 Mpc long filament in the Shapley supercluster using X-ray spectroscopyK. Migkas et al.A&A, 698, A270 (19 June 2025)https://doi.org/10.1051/0004-6361/202554944
Illustrations
Le filament de gaz chaud détecté entre les quatre amas de galaxies (Migkas et al.)
Konstantinos Migkas
Les modèles de formation planétaire indiquent que la formation de planètes géantes est beaucoup plus difficile autour des étoiles de faible masse en raison de l'échelle des masses du disque protoplanétaire avec la masse stellaire. Mais pourtant, une équipe d'astrophysiciens vient de découvrir une planète de 53 masses terrestres en orbite autour d'une étoile de 0,2 masses solaires. Ils publient leur étude dans Nature Astronomy.
Source
A transiting giant planet in orbit around a 0.2-solar-mass host starEdward M. Bryant et al.Nature Astronomy (4 june 2025)https://doi.org/10.1038/s41550-025-02552-4
Illustration
Positionnement de TOI-6894 b dans le graphe (masse et rayon de planète en fonction de la masse de l'étoile hôte le contexte des planètes en transit connues) (Bryant et al.)
Edward Bryant
Il est bien établi aujourd’hui que les galaxies les plus massives et les plus compactes ont tendance à se regrouper davantage spatialement que celles qui sont moins compactes. Ces résultats peuvent être compris en termes de formation des galaxies dans des halos de matière noire froide. Mais une équipe de chercheurs chinois vient de découvrir un comportement tout à fait inattendu et qui va dans le sens inverse concernant les galaxies naines. Moins les galaxies naines sont compactes, plus elles ont tendance à se regrouper ! Ils publient leur étude dans Nature.
Source
Unexpected clustering pattern in dwarf galaxies challenges formation modelsZiwen Zhang et al.Nature volume 642, pages47–52 (5 June 2025)https://doi.org/10.1038/s41586-025-08965-5
Illustration
Le biais relatif observé des galaxies naines (à gauche) ; et le biais relatif prédit par la simulation sous l'hypothèse du modèle de matière noire auto-interagissant (SIDM) (la courbe noire) comparé aux résultats d'observation (la courbe orange) (à droite). (Zhang et al.)
Des astronomes slovaques viennent de calculer l’impact sur les observatoires astronomiques de la lumière diffusée par les minuscules débris spatiaux en orbite basse dont la quantité est en croissance exponentielle du fait du déploiement des mégaconstellations de satellites. L’étude est publiée dans Monthly Notices of the Royal Astronomical Society Letters.
Source
Low Earth Orbit satellite fragmentation rates are critically disrupting the natural night sky backgroundM Kocifaj et al.Monthly Notices of the Royal Astronomical Society: Letters, Volume 541, (22 may 2025)https://doi.org/10.1093/mnrasl/slaf052
Illustration
Carte en coordonnées polaires de la luminosité diffuse en 2035 pour les observatoires Vera Rubin (haut) et ZTF (bas). Les valeurs sont données pour le haut de l'atmosphère (gauche) et au sol (droite).
Dans une nouvelle étude publiée dans Nature Astronomy , Konstantin Batygin (Caltech) et Fred Adams (Université du Michigan), fournissent un aperçu détaillé de l'état primordial de Jupiter. Leurs calculs révèlent qu'environ 3,8 millions d'années après la formation des premiers corps du système solaire, moment clé où le disque protoplanétaire se dissipait, Jupiter était deux fois plus grande qu'aujourd'hui...
Source
Determination of Jupiter’s primordial physical stateKonstantin Batygin & Fred C. AdamsNature Astronomy (20 mai 2025)https://doi.org/10.1038/s41550-025-02512-y
Illustration
Jupiter imagée avec le télescope Webb (NASA)
Au cours des 25 dernières années, les astrophysiciens ont identifié des corrélations entre les propriétés des trous noirs supermassifs et celles de leurs galaxies hôtes, indiquant que leur évolution est étroitement liée. Dans un article paru dans Nature cette semaine, la collaboration XRISM (X-Ray Imaging and Spectroscopy Mission) rapporte des observations de PDS 456 et montrent que lorsque le trou noir supermassif au centre de la galaxie accrète de la matière, il propulse également des amas de gaz par paquets vers l'extérieur à une vitesse pouvant atteindre 30 % de la vitesse de la lumière, et non de manière uniforme comme on le pensait jusque là...
Source
Structured ionized winds shooting out from a quasar at relativistic speedsCollaboration XRISMNature (14 mai 2025)https://doi.org/10.1038/s41586-025-08968-2
Illustration
Vue d'artiste du vent de trou noir par paquets (Nature)
Dans un article qui vient d'être publié dans les Monthly Notices of the Royal Astronomical Society, deux astrophysiciens japonais montrent, grâce à des simulations, que des étoiles supermassives de plus de 10 000 masses solaires peuvent se former dans des nuages de gaz déjà enrichis en métaux. Ces étoiles supermassives deviennent ensuite autant de graines de trous noirs supermassifs au bout d'un million d'année. Si trop de métaux sont présents, une fragmentation du gaz apparaît et donne lieu à la naissance d'amas globulaires...
Source
Formation of supermassive stars and dense star clusters in metal-poor clouds exposed to strong FUV radiationSunmyon Chon , Kazuyuki OmukaiMonthly Notices of the Royal Astronomical Society, Volume 539 (3 May 2025)https://doi.org/10.1093/mnras/staf598
Illustrations
Simulations de l'accrétion d'étoiles supermassives en fonction de leur métallicité (Chon & Omukai)
Evolution de la masse des étoiles en fonction du temps et de la métallicité (Chon & Omukai)
Kazuyuki Omukai et Sunmyon Chon
Lorsqu'un flux de particules chargées provenant du Soleil, le vent solaire, percute la surface lunaire, il déclenche des réactions chimiques qui sont susceptibles de former des molécules d'eau. Une équipe de chercheurs vient de reproduire ce bombardement de protons en laboratoire sur un échantillon lunaire et ils parviennent effectivement à créer de l'eau dans le régolithe. Ils publient leur étude dans Journal of Geophysical Research.
Source
Hydroxylation and Hydrogen Diffusion in Lunar Samples: Spectral Measurements During Proton IrradiationLi Hsia Yeo et al.Journal of Geophysical Research:Planets (17 March 2025)https://doi.org/10.1029/2024JE008334
Illustrations
Evolution de la concentration en eau en fonction de la fluence de protons et effet de la température (Yeo et al.)
Montage expérimental utilisé pour l'expérience (Yeo et al.)
Li Hsia Yeo
Une équipe de chercheurs vient de montrer l’existence d’une nouvelle galaxie très déficiente en matière noire qui possède des caractéristiques très similaires à d’autres galaxies pauvres en matière noire déjà identifiées (DF2 et DF4). Ces caractéristiques communes signalent l'existence d'une classe de galaxies déficientes en matière noire jusqu'à présent non reconnue. L’étude est publiée dans Astronomy&Astrophysics.
Source
A new class of dark matter-free dwarf galaxies ?Maria Luisa Buzzo et al.A&A, 695, A124 (12 march 2025)https://doi.org/10.1051/0004-6361/202453522
Illustrations
1.Image et modèle de FCC 224 ( Buzzo et al.)
Maria Luisa Buzzo
Une équipe d'astrophysiciens a caractérisé l'asymétrie du système d'Andromède et a testé sa concordance avec les prévisions du modèle standard. Toutes les 37 galaxies satellites d'Andromède, sauf une, sont situées à moins de 107° de notre Galaxie vu depuis le centre d'Andromède. Or, dans les simulations cosmologiques fondées sur le modèle standard, moins de 0,3 % des systèmes similaires à Andromède présentent une asymétrie comparable. Conjointement avec son plan de galaxies satellites, cela montre que le système d'Andromède paraît aberrant dans le paradigme cosmologique standard, et ça remet encore plus en question notre compréhension de la formation des structures à petite échelle. L'étude est parue dans Nature Astronomy.
Source
Andromeda’s asymmetric satellite system as a challenge to cold dark matter cosmologyKanehisa, K.J., Pawlowski, M.S. et N. Libeskind.Nature Astronomy (11 april 2025).https://doi.org/10.1038/s41550-025-02480-3
Illustration
Vue latérale de la distribution asymétrique des satellites d'Andromède.
Le pulsar PSR J0453+1559 a été découvert en 2015, il est remarquable car il s'agit d'un système binaire rare composé de deux étoiles à neutrons. Ce qui a rendu PSR J0453+1559 encore plus surprenant, ce sont les masses des étoiles à neutrons. Alors que l'étoile première a une masse de 1,559 masses solaires, la seconde atteint seulement 1,174 M☉, ce qui en fait l'étoile à neutrons la plus petite connue, une masse si faible qu'elle est difficile à expliquer. Une équipe d'astrophysiciens ont effectué des simulations et arrivent à produire une étoile à neutrons de 1,192 masses solaires... on y est presque. L'étude est parue dans Physical Review Letters.
Source
Minimum Neutron Star Mass in Neutrino-Driven Supernova ExplosionsBernhard Müller et al.Physical Review Letters vol 134 (21 february 2025)https://doi.org/10.1103/PhysRevLett.134.071403
Illustration
Simulation d'une supernova d'une étoile de 9,9 masses solaires (Müller et al.)
Une équipe d’astrophysiciens vient de mettre en évidence la présence d’un trou noir supermassif de 600 000 masses solaires dans la Grand Nuage de Magellan (LMC), grâce à l’analyse de la trajectoire de 10 étoiles hypervéloces qui en sont issues. Ils publient leur étude dans The Astrophysical Journal.
Source
Hypervelocity Stars Trace a Supermassive Black Hole in the Large Magellanic CloudJiwon Jesse Han et al.The Astrophysical Journal, Volume 982, Number 2 (28 march 2025)https://doi.org/10.3847/1538-4357/adb967
Illustrations
Cartographie des positions des étoiles hypervéloces éjectées du LMC par le mécanisme de Hills (Han et al.).
Jiwon Jesse Han et al.
On le sait, l'exposition à la poussière sur la Lune a provoqué des troubles pulmonaires considérables chez les astronautes lors des missions Apollo. Mais qu’en est-il des effets de la poussière sur Mars ? Des chercheurs se sont penchés sur la question et le résultat n’est pas réjouissant pour ceux qui croient encore que l’Homme pourra gambader sur la planète rouge…
Source
Potential Health Impacts, Treatments, and Countermeasures of Martian Dust on Future Human Space ExplorationJustin L. Wang et al.GeoHealth (12 February 2025)https://doi.org/10.1029/2024GH001213
Illustration
Une tempête de poussière sur Mars (artiste) (MARK GARLICK/SCIENCE PHOTO LIBRARY )
merci bcp pour ses lectures très instructives. grâce à ses lectures scientifiques je veux me tenir au courant. et j'avoue qu'avec les pauvres passe d'anglais que je possède je n'aurais pas pu le faire. PS : ne pas prendre trop a cœurs le commentaire qui se trouve juste au-dessus. alors peut-être que ça vous arrive de faire le clown, oui. mais de un, cette personne manque clairement de tact et de politesse, et de deux vous n'avez de compte à rendre à personne.
insupportable à écouter pourtant le sujet et le développement sont intéressants.Dommage que le lecteur fasse le clown.