Depuis l'arrivée du numérique, l'usage de l'écrit a explosé. Écrire est donc devenu un exercice ordinaire. Du roman auto-édité aux poèmes en ligne, en passant par la littérature numérique ou nos correspondances personnelles, nous sommes des milliards à pratiquer aujourd'hui l'exercice. Tout autant, l'usage de l'écriture comme forme d'expression et comme récit est lui aussi en pleine expansion. L'écriture ne s'est jamais aussi bien portée ! Avec Joëlle Guillais, écrivaine, et Olivier Chaudensson, directeur de la Maison de la Poésie à Paris. "Écrire au futur", un podcast proposé par La Fondation La Poste (à l'occasion de son 25ème anniversaire) et realisé par Écran Sonore.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Big Browser va t-il nous enlever les mots de la plume ? Le numérique sera-t-il un jour jugé coupable de nous avoir dépossédé de notre langue, de l’avoir réduite, entachée, maltraitée ? Et si au contraire le numérique était en fait devenu un nouvel espace de création : les arts littéraires en seraient la preuve. Depuis une vingtaine d’années, la création littéraire s'enrichit d'œuvres hybrides et souvent expérimentales : poésie sonore, mail art, œuvres vidéos et sonores, lectures musicales, installations et performances participatives. Et les réseaux sociaux ne sont pas en reste dans ce rapport à l’écriture et à la création... Cet épisode a été enregistré lors du 1er colloque international « Penser les Arts Littéraires » organisé par le Centre de Recherche sur les Médiations, Université de Lorraine avec Jacques Walter, directeur du CREM, Jean Paul Fourmentraux, centre Norbert Elias ; Emmanuel Vaslin, direction du numérique Éducation Nationale ; Carole Bisenius-Penin, responsable scientifique de Crealit (Création croisées arts littéraires), Sébastien Genvo, responsable de l’Expressive Game Lab (CREM ) créateur du jeu vidéo « Lies in my heart». Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Avant de se lancer dans l’écriture, il y a des freins à dépasser : il faut oublier que faire des fautes d’orthographe ou ne pas maîtriser complètement la langue ne nous interdit pas d’écrire. Par qu’écrire peut être salvateur, vital et nécessaire. Pour Rahma Foulani, l’écriture peut nous sauver dans des périodes de détresse. Pour des réfugiés comme Saleh Zakaria Omar, maîtriser la langue passe aussi par l’écriture et l'écriture donne accès à un autre monde, celui de la société. Et tout simplement, parce que créer par les mots permet de révéler des esprits et des talents. Écrire, comme une voie d’accès à l’autonomie, à la culture et à la citoyenneté. Avec Edris Abdel Sayed de l'association Initiales, les participants au Festival de l’Écrit : Rahma Foulani, Cathy Descharmes, Saleh Zakaria Omar, le romancier Thierry Beinstingel (Yougoslave, Fayard, 2020 et La vie prolongée d’Arthur Rimbaud, Fayard, 2016). Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Les écrivains se sentent-ils libres ? Le deviennent-ils parce qu’ils transforment leurs ressentis, leurs imaginaires ou leurs maux en mots ? Qu’importe la forme ! Livre, poésie, blog, pièce de théâtre… Le pouvoir libérateur de l’écriture permet de s’émanciper et participe à construire une parole, à révéler une histoire. Les quatre personnes que vous entendrez dans cet épisode racontent leur sens de la liberté à travers leurs écrits et leur pratique. Avec Rim Battal, poétesse et journaliste franco-marocaine, Jean-Pierre Guéno, écrivain, « passeur de mémoire », Gally Lauteur, venue de la plateforme Wattpad et Ludovic Hermann Wanda, écrivain et « Coach de liberté » (Prisons, éditions de l’Antilope, 2018) "Écrire au futur", un podcast proposé par La Fondation La Poste (à l'occasion de son 25ème anniversaire) et realisé par Écran Sonore.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.