En légalisant l’euthanasie ou le suicide assisté, on remet en cause l’interdiction de donner la mort, ceci aux dépens de toute culture d’accompagnement de la fin de vie. Le développement des soins palliatifs et la prise en charge de la grande dépendance sont les vraies garanties du respect de l’humanité de la personne.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Les nombreuses attentes de greffes émeuvent. Mais elles ne peuvent dispenser de respecter la liberté du « don ». Quand l’élargissement du principe de « consentement présumé » ne respecte plus la volonté du « donneur » ni de ses proches, plus rien n’empêche alors les dérives commerciales.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
ll est scientifiquement prouvé que le psychisme et le vécu peuvent provoquer des réactions biologiques. Les domaines du biologique et du psychique sont en relation réciproque. Si la biotechnologie n’intègre pas cette dimension, elle passe alors à côté de la complexité de l’homme et risquent de le réduire à un objet productif.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
L'intelligence artificielle nous rend déjà la vie plus simple dans bien des domaines, mais elle peut aussi terriblement la contraindre si elle n'est pas encadrée. C'est pourquoi une vigilance est nécessaire afin que l'humain ne soit pas asservi aux machines. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
L'utilisation des mégadonnées, les big data, comporte des risques d'intrusion dans la vie privée. Le bénéficiaire des données ne doit pas seulement être le marché mondial. La liberté de chacun doit être préservée par le respect de son consentement et la protection de ses données. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
La thérapie génique germinale laisse entrevoir des avancées scientifiques et des progrès thérapeutiques, notamment pour corriger les maladies génétiques. Mais la modification génétique directe des cellules reproductrices reviendrait à faire naître un être humain « génétiquement modifié », cela aurait des conséquences qui sont aujourd’hui imprévisibles sur toute sa descendance. C’est un enjeu crucial pour l’humanité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
L’embryon humain n’est pas un simple « matériel biologique » que l’on pourrait instrumentaliser pour alimenter la recherche et les progrès de la médecine. Il n’a pas besoin de « projet parental » pour exister à part entière et être respecté comme une personne. Depuis 30 ans, des « exceptions » au respect de l’embryon humain sont acceptées en vue de pouvoir effectuer des recherches. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Comme pour le don de sang ou d’organes, le principe de l’anonymat est appliqué au don de gamètes, les cellules reproductrices des humains. Pourtant, ce don a une vocation spécifique et unique : la procréation d’un nouvel être humain.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Les enjeux de la légalisation de la gestation pour autrui sont colossaux : abandon de l’enfant par la femme qui l’a porté, éclatement de la filiation, marchandisation du corps de la femme (notamment des plus pauvres) et restriction de ses libertés, encouragement du trafic procréatif transformant l’enfant en objet de vente.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ouvrir l’assistance médicale à la procréation aux femmes seules ou aux couples de femmes, c’est instituer un droit à l’enfant au détriment des droits de l’enfant. C’est priver un enfant de père. C’est encourager la marchandisation des spermatozoïdes. C’est encourager, à terme, l’autorisation de la gestation pour autrui. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.