Business Positif

Dans ce 26ème épisode de Business Positif Podcast, nous recevons Léa Thomassin, co-fondatrice et présidente de HelloAsso, première solution de paiement gratuite des clubs et des associations françaises.Dans cet épisode, nous parlons de participation volontaire, d’entreprise sociale, mais aussi de :- Comment développer, de façon pérenne, son entreprise en développant le savoir, pour qu’il soit accessible au plus grand nombre,- L’impact du COVID sur les associations,- L’égalité homme-femme.Un épisode qui nous en apprend beaucoup sur le monde associatif et son fonctionnement mais aussi sur comment trouver une manière pérenne de se développer tout en ayant un impact positif sur le monde qui nous entoure.N’hésitez pas à laisser vos remarques et à mettre 5 étoiles au podcast s’il vous a plu !

Aujourd’hui, on CAUSE avec Noël BAUZA, fondateur de la solution Zei, plateforme accélératrice d'impact pour citoyens responsables et entreprises engagées.Dans cet épisode, nous parlons du développement d’une telle entreprise, de la prise de conscience à la mise en place, des échecs et des apprentissages. Nous parlons aussi du travail en amont de la création, et du travail fourni, aujourd’hui encore, afin de déterminer des indicateurs de mesure de l’impact précis et spécifiques. Les services de Zei sont très pratico-pratiques, et son développement passe par un positionnement assez unique, et une logique de partenariat.N’hésitez pas à laisser vos remarques en commentaire et à mettre 5 étoiles au podcast s’il vous a plu !

Aujourd’hui, on CAUSE avec Noël BAUZA, fondateur de la solution Zei, plateforme accélératrice d'impact pour citoyens responsables et entreprises engagées. Dans cet épisode, nous parlons du développement d’une telle entreprise, de la prise de conscience à la mise en place, des échecs et des apprentissages. Nous parlons aussi du travail en amont de la création, et du travail fourni, aujourd’hui encore, afin de déterminer des indicateurs de mesure de l’impact précis et spécifiques. Les services de Zei sont très pratico-pratiques, et son développement passe par un positionnement assez unique, et une logique de partenariat. N’hésitez pas à laisser vos remarques en commentaire et à mettre 5 étoiles au podcast s’il vous a plu !

Aujourd’hui, on CAUSE avec @Noël BAUZA, fondateur de la solution Zei, plateforme accélératrice d'impact pour citoyens responsables et entreprises engagées. Dans cet épisode, nous parlons du développement d’une telle entreprise, de la prise de conscience à la mise en place, des échecs et des apprentissages. Nous parlons aussi du travail en amont de la création, et du travail fourni, aujourd’hui encore, afin de déterminer des indicateurs de mesure de l’impact précis et spécifiques. Les services de Zei sont très pratico-pratiques, et son développement passe par un positionnement assez unique, et une logique de partenariat. N’hésitez pas à laisser vos remarques en commentaire et à mettre 5 étoiles au podcast s’il vous a plu !

Aujourd’hui, on CAUSE avec Guillaume DESNOËS, co-fondateur de Alenvi, entreprise sociale qui crée un “nouveau modèle d’accompagnement des personnes âgées”, pour que l’humain soit au coeur. Guillaume nous parle de l’aventure ALENVI, de l’idée à sa mise en place, de son développement, de l’inscription de la raison d’être aux statuts et de société à mission. Guillaume est très engagé sur ce sujet en particulier, membre actif de la communauté des entreprises à mission, il a d’ailleurs écrit un livre inspirant sur le sujet - Unpacte "Et si les entrepreneurs avaient leur serment d'Hippocrate ?"ALENVI se concentre non seulement sur un accompagnement de qualité et humain pour les personnes âgées, mais aussi d’un système juste pour les auxiliaires de vie qui sont là pour eux au quotidien, répartis en 12 équipes autonomes d’auxiliaires “d’envie”, comme ils aiment les appeler.N’hésitez pas à laisser vos remarques et à mettre 5 étoiles au podcast s’il vous a plu !

Aujourd'hui, on CAUSE avec Emmanuelle LARROQUE, fondatrice de la start-up sociale Social Builder, dédiée à l’inclusion des femmes sur les métiers du numérique.Ce qu’on retient de cet épisode c’est surtout l’ACTION. Emmanuelle et toute son équipe sont vraiment des personnes qui font, qui testent les idées rapidement et rebondissent sur les opportunités. Dans cet épisode on parle de ce qu’est l’entreprise sociale, de comment mettre en place des idées actionnables pour se développer et ne pas se reposer sur ses acquis et, bien sûr, de l’émancipation des femmes.Un épisode qui vous donne envie de foncer !

Aujourd’hui, on CAUSE avec Jean-Pierre RAKOUTZ, directeur commercial France de TIPA, une super entreprise israelienne spécialisée dans les emballages compostables pour les industries de la mode et de l’agroalimentaire.Inspirées directement de la nature, les solutions d’emballage compostables TIPA® sont conçues pour se décomposer en quelques mois dans des conditions de compost, et sont conçues pour s'adapter aux machines et chaînes d'approvisionnement existantes. Elles sont utilisées dans le monde entier et comptent la marque Stella Mc Cartney parmi leurs clients ! Dans cet épisode, nous parlons Innovation : De la prise de conscience citoyenne de la fondatrice, Daphna Nissenbaum, à la création d’un produit innovant, de sa mise en adéquation avec les réalités du terrain et de son financement.Jean-Pierre nous raconte aussi quels ont été les choix stratégiques pour développer la notoriété de la marque.Des conseils précieux que nous avons pris plaisir à découvrir !N’hésitez pas à laisser vos remarques en commentaire et à mettre 5 étoiles au podcast s’il vous a plu ! ⬇⬇⬇

Aujourd’hui, je CAUSE avec Stéphane Micquel, fondateur et directeur général de Qwetch, spécialisé dans les contenants nomades. L’entreprise nait en 2010, elle est en pleine croissance depuis 5 ans, et compte une vingtaine de personnes pour 2 millions de produits vendus en 2020.Stéphane m’a beaucoup inspirée dans l’approche qu’il a de son marché : il écoute beaucoup ses clients, se trompe et recommence, toujours en prenant en compte la voix du consommateur final. Facile à dire en théorie, mais peu semblent pourtant le faire aussi bien en pratique ! D’ailleurs, il chérit les salons comme Marjolaine sur lesquels il continue de se rendre chaque année, hors période Covid bien sûr, pour rencontrer ses clients et recueillir leurs témoignages. Avec Stéphane on a aussi beaucoup parlé de l’adaptation à un marché. De la théière nomade traditionnelle qu’il a découverte en Chine, il a dû faire beaucoup évoluer son produit pour rencontrer la demande en France et en Europe, et là encore, écouter. Parmi tous les sujets abordés, je vous en cite un autre ici : l’innovation, car elle a été clé dans le développement de l’entreprise et de ses produits. Oui, si je devais résumer cet échange, je retiendrais l’importance de l’innovation, et de l’écoute du client.

Aujourd’hui, je CAUSE avec Najma Souroque, Cheffe de projet développement durable & production pour le festival We Love Green.Avec Najma, on plonge dans l’univers de la culture - plus résiliente que jamais face à cette crise du COVID - et on explore son rôle dans l’impact positif. Je ne vais rien vous cacher : je cours après Najma depuis un an pour qu’on puisse échanger ! Le positionnement de We Love Green, à la croisée entre le festival de musique et le colloque green, m’intéresse depuis longtemps : ils ont réussi l’exploit d’allier ces deux mondes, et de faire vivre un événement hors du temps, chaque année depuis 10 ans, en y mettant une bonne dose d’innovation, de réflexion, d’inspiration, de digitalisation et d’action, pour faire bouger le secteur des festivals, sensibiliser les artistes, tout en faisant vivre une expérience culturelle aux participants. Najma nous parle de l’aventure We Love Green depuis ses débuts, puisqu’elle est quasiment arrivée au lancement ! On échange sur le développement, la mission, les stratégies mises en place, et aussi sur l’importance de s’adapter à son environnement et au contexte, comme la crise du COVID qui leur a demandé de transformer au pied levé tout le festival en événement digital. La dimension durable et l’engagement RSE sont au cœur de toute la démarche, et sont donc présents à chaque instant. Une vraie source d’inspiration pour tous ceux qui aventure à impact.

Aujourd’hui, je CAUSE avec Agnès CREPET, Tech lead spécialisée sur la longévité du produit chez Fairphone, une entreprise qui s’est lancé le défi gigantesque de changer en profondeur le marché des smartphones. Plus de 50 employés provenant de 20 pays, des centaines de milliers de téléphones équitables vendus, et une conviction profonde des dirigeants et de leurs équipes. Bon vous commencez à me connaître, je suis une passionnée de l’impact positif et de l’entreprise, donc je vais encore vous dire que le témoignage d’Agnès était passionnant....mais c’est vrai :D On a parlé de l’industrie électronique, de l’importance de suivre toute la supply chain, et de sa complexité, de l’importance de la transparence envers les clients comme les collaborateurs, d’authenticité, de conviction et de financement éthique, d’amélioration produit mais aussi d’amélioration des conditions des travailleurs, de travail en équipe à distance, de l’importance de trouver une santé financière pour conserver l’indépendance de l’entreprise.Ce qui m’a aussi beaucoup plu, c’est qu’Agnès a une vision à la fois collaborateur, et à la fois tech, donc elle peut vraiment nous parler de ce que la prise en compte de l’impact positif implique concrètement dans son métier, puisqu’elle se consacre à la durée de vie des produits.Mais trêve de CAUSERIE, je vous laisse découvrir cet échange, et les conseils précieux qu’Agnès nous partage.Ah et au fait, n’hésitez pas à laisser vos remarques et à mettre 5 étoiles au podcast s’il vous a plu ! Ça m'aide beaucoup :)

Aujourd’hui, je CAUSE avec Blaise DESBORDES, directeur général de Max Havelaar France, une association internationale dédiée au commerce équitable depuis 30 ans, qui compte plus de 1000 personnes à travers le monde, et dont vous avez forcément déjà vu le logo sur un de vos produits équitables préférés !Cet échange avec Blaise a été passionnant, et beaucoup de sujets ont été abordés ! Pêle-mêle, on a parlé de la prise de conscience des consommateurs sur l’importance d’une alimentation saine, respectueuse de la planète et des hommes, de ce système absurde qui pousse à prendre plaisir ici à manger des produits issus de la misère là-bas, de l’importance de l’équitabilité dans les questions RSE. Comme Blaise le dit, comment demander à des petits acteurs d’améliorer leur impact environnemental, quand ils ont la corde au cou à cause des pratiques nauséabondes de leurs marchés ? On a aussi parlé du développement de l’association bien sûr, de la diversification des filières, de communication, de plaidoyer, ou encore de la jungle des labels. Laissez vos remarques et mettez 5 étoiles au podcast s’il vous a plu !

Aujourd’hui, je cause avec Alexandre GERARD, serial entrepreneur à la tête du groupe Innov-On qui réunit 10 entreprises aux activités différentes, avec le point commun d’être toutes pilotées avec les outils de l’entreprise libérée.Bon je vous avoue : j’ai adoré échanger avec Alexandre ! Déjà parce qu’il m’a été recommandé par Ferdinand Richter de Ecosia, d’ailleurs je vous invite à écouter cet épisode si ce n’est pas déjà fait ! Et parce qu’il fait partie de ces rencontres qui ont un petit quelque chose de magique : le fait qu’il soit situé à Pornic alors que je passais pour la première fois le weekend suivant notre échange à Pornichet, juste à côté. Le fait qu’il rentre justement dans la région le jour où j’y suis. Et puis parce que je découvre qu’il a un lieu en permaculture, moi qui suis passionnée par l’alimentation durable, et qui en ai même fait un projet citoyen, Les Ethicuriens… Bref, vous l’aurez compris, je suis vraiment très heureuse de vous partager cet échange !Alexandre nous raconte son parcours fou, 25 ans d’entrepreneuriat qui commencent quand il a 15 ans, un groupe qui passe de 0 à 300 personnes en une douzaine d’années, puis une crise qui fait vaciller l’entreprise sur sa pente ascendante : - 34% de chiffre d’affaires en un an, passant de 22 à 14 millions d’euros, et la nécessité de virer des gens. Et c’est ça qui va tout changer dans la vie d’Alexandre. A partir de là, il a une quête : comment faire pour ne plus jamais avoir à virer des collaborateurs ?Il nous raconte ainsi comment il relève l’entreprise avec ses associés grâce aux principes de l’entreprise libérée. On plonge avec lui dans cette transformation radicale de l’organisation et de la culture de l’entreprise, des méthodes mises en place, de l’importance du rôle de dirigeant, dans le fait que la performance n’est plus un objectif mais découle directement de l’épanouissement des collaborateurs. Et ça marche pour Inov-On ! Même si Alexandre rappelle que 90% des tentatives de transformation en entreprise libérée échouent, et qu’il explique pourquoi, il a de son côté réussi collectivement à redresser la barre, avec 8 entreprises, plus de 400 salariés et 35 millions d’euros de chiffre d’affaires.

Aujourd’hui, je cause avec Alexis KRYCEVE, fondateur de Gifts for Change, première entreprise de communication par l’objet 100% ecoresponsable. Alexis me raconte son parcours riche d’expérience et de réflexions, son passage sur les bancs d’école de HEC, sa première expérience humanitaire au Népal qui lui ouvre les yeux sur l’absurdité d’opposer le business et l’impact positif, ses années chez Alter Eco où il relève le défi d’amener le commerce équitable dans les rayons de la grande distribution. Alexis ne s’arrête jamais d’agir et de réfléchir autour de l’impact des entreprises, et de leur rôle central dans la crise climatique, en tant que problème mais aussi en tant que solution. Il raconte ensuite la création de son cabinet de conseil en RSE HAATCH, puis la création de Gifts for Change, qu’il qualifie d’agence d’engagement par l’objet. Leur métier, c’est d’identifier pour notre client des thématiques sociales, environnementales, des grandes causes qui leur correspondent, et de leur permettre de s’engager pour une cause par le biais d’objets de communication, de cadeaux d’affaires éco-responsables fabriqués en France par des personnes en situation de handicap et biodégradables. Il s'agit de trouver des alternatives à des produits qui représentent un marché de 1,2 milliards : clé USB, batteries externes, parapluies, ... Par exemple, la FNAC a proposé des bracelets en caisse dont une partie des fonds étaient reversés en faveur de l’accès à la culture ou à la reforestation. Un autre exemple, avec la sortie du Roi Lion par Disney, avec 25 ans d’écart avec le premier Roi Lion, il y a eu la moitié de la population des lions qui a disparu dans le monde. Pour le lancement de ce nouveau film, Disney a donc lancé en faveur du Lion recovery fund une collecte des fonds pour doubler à nouveau la population des lions. Gifts for Change a conçu une partie de l’activation de cette campagne en France avec un bracelet en bois à l'effigie de Simba. Cette campagne a pu récolter des dizaines de milliers d’euros en faveur d’une association qui s’appelle Panthera, qui vient en aide aux félins à travers le monde, notamment au dernier lion du Sénégal.

Aujourd’hui, je cause avec Kevin GOUGEON, co-fondateur de la marque de baskets solidaires NGO Shoes basée à Nantes. Avec Kevin, on parle de la création de l’entreprise avec son co-fondateur et ami Ronan, avec 6000 € au départ et une grande envie d’impacter. Venant du monde de l’expertise-comptable, Kevin nous donnes des retours d’expérience précieux en termes de gestion d’entreprise, en insistant notamment sur la gestion de la trésorerie, souvent délaissée alors qu’elle est clé. Il parle aussi de la stratégie de communication, de l’impact des actions solidaires de l’entreprise au Viêtnam, ou encore de la volonté de s’emparer du sujet de la RSE, en réalisant un bilan carbone et en entamant un travail de fond sur la matière première.

Aujourd’hui, je CAUSE avec Ferdinand RICHTER, country manager France chez Ecosia, un moteur de recherche solidaire lancé en Allemagne. Avec Ferdinand, on part loin des sentiers battus, en parlant de sa carrière de sportif de haut niveau, de son expérience de coach pour les dirigeants de grands groupes industriels, et de sa passion pour la permaculture qui l’a mené à s’y dédier pendant un an. Ainsi, Ferdinand me raconte avec passion le parallèle qui existe entre approche de la permaculture et gestion d’entreprise et management, l’importance de parler d’écosystème de l’entreprise, au-delà des recrutements réalisés pour la développer. Mais Ferdinand me raconte aussi son expérience riche dans le domaine de l’influence, qui pour lui est un canal encore sous-évalué en France, parce qu’on ne considère pas assez deux caractéristiques des influenceurs : ce sont des entrepreneurs, et ce sont des humains. Plutôt que de leur envoyer des cadeaux et d’essayer de tirer les prix vers le bas, Ferdinand a choisi de faire l’inverse : les impliquer dans la mission d’Ecosia en les invitant à voyager en Tanzanie, en groupe, pour découvrir concrètement les projets de reforestation de l’entreprise. On parle aussi de la notion de performance, qu’il préfère laisser de côté pour lui préférer la notion d’abondance.

Hugo raconte l’aventure Merci Raymond, du nom de son grand-père à qui il veut rendre hommage avec une première entreprise dédiée à la revente des produits de la ferme de ce fameux Raymond. Quelques temps plus tard, avec son expérience de conseiller au numérique et avec 5 000 € en poche, Hugo décide de lancer son activité de végétalisation à Paris. Il n’a pas de business plan, mais une compréhension du besoin pour les collectivités, les entreprises et les particuliers, et une grande envie de se lancer. Il rencontre ses deux associés dans la foulée, et ils montent ensemble Merci Raymond en testant leurs modèles directement sur leur marché. Avec Hugo, pas de levée de fonds, mais une croissance positive et soutenue, et un système permettant que les projets qui fonctionnent financent les nouveaux tests, et la trentaine de collaborateurs qui travaillent pour l’entreprise.Trêve de CAUSERIE, je vous laisse découvrir cet échange, et les conseils précieux que Hugo nous partage.

Aujourd’hui, je cause avec Caroline RENOUX, fondatrice de BIRDEO, pme française spécialisée dans le recrutement de profils liés à la RSE et au développement durable.Caroline me raconte comment elle a créé son entreprise en 2010 avec beaucoup de naïveté, pensant qu’un grand marché l’attendait, alors que la RSE était encore une niche à cette époque-là. Après un passage très enrichissant à La Ruche, de belles rencontres et beaucoup de persévérance, elle commence à sentir une réelle différence après la Cop21 en 2015, puis surtout en 2016-2017, quand le secteur de la finance a commencé à s’emparer de ces sujets. L’entreprise connait depuis une belle croissance, avec un chiffre d’affaires qui a doublé entre 2018 et 2019, et le lancement de sa plateforme pour freelance people4impact.Trêve de CAUSERIE, je vous laisse découvrir cet échange, et les conseils précieux que Caroline nous partage.

Aujourd’hui, je CAUSE avec Hubert Michaudet, associé fondateur de Urban Canopée, startup qui propose des canopées végétales, je cite, « partout où on ne peut pas planter d’arbres ».Hubert me raconte la création de l’entreprise et ses premières années, alors qu’elle ne vend encore rien. Parti d’une rencontre avec un professeur de l’école des Ponts où il enseigne un module sur la gestion d’entreprise pour les élèves ingénieurs, il développe depuis 2017 ce concept fort qui séduit de plus en plus, en France et à l’international.Pour Hubert, le plus important, c’est de passer à l’action. Faire le meilleur produit, aller à la rencontre de ses clients, aller sur les salons professionnels, comprendre les besoins du marché, voilà ce qu’un chef d’entreprise doit faire pour se développer.Avec son associée Elodie, ils remportent plusieurs prix qui leur permettent au fur et à mesure de se faire connaitre, et de s’assurer la confiance d’investisseurs qui voient le potentiel de ce concept, qui compte aujourd’hui plus de 30 clients, collectivités ou entreprises.

Aujourd’hui, je CAUSE avec Rémy Companyo, co-fondateur de ILEK, fournisseur d’énergie verte situé à Toulouse. Rémy m’accueille dans leurs chouettes locaux en cœur de ville, bien calmes dans ce contexte post confinement ou la majorité des collaborateurs sont en télétravail. Pendant notre discussion, Rémy me raconte l’aventure Ilek, la volonté de faire du circuit court et de la transparence sur ce secteur méconnu de l’électricité. Il m’explique comment ils ont développé l’entreprise au fur et à mesure des années, à coup de longues heures de travail, de test, de partenariats concluants, et aussi en s’ancrant sur leur culture interne et cette notion de « piraterie » chère à son cœur. Une vraie histoire de start-up en plein essor !Aujourd'hui, l'entreprise compte 80 000 clients, plus de 30 collaborateurs et de jolies opérations à son actif.Trêve de CAUSERIE, je vous laisse découvrir cet échange, et les conseils précieux que Rémy nous partage.