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Author: Olivier arrhien

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Description

Un podcast comme un paquet de madeleine de Proust, il y en a pour tout les gouts, du PC, des consoles, du vieux, du moins vieux, tout y passe et vos souvenirs d'enfance reviendront.
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89 Episodes
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Dans cet épisode 13, plongez au cœur du Château de Drangleic, un lieu où le pouvoir n’est plus que façade et illusion. De Majula à la Croisée des Chemins, en passant par le Sanctuaire de l’Hiver et le tunnel qui mène à une nuit pluvieuse, la visite s’ouvre sur une atmosphère lourde de symboles. Découvrez la salle des huit sentinelles, le portrait maudit de la reine Nashandra, et les deux Monte-Dragons, échos d’anciens combats. Mais c’est surtout l’affrontement grandiose et rythmé contre le Chevalier Miroir qui marque ce voyage, mêlant ironie et tragédie dans un ballet épique d’acier. Entre illusions de pouvoir et vide existentiel, suivez cette plongée intense dans un monde où le pouvoir se décompose, où la loyauté devient obéissance vide, et où avancer n’est plus qu’un mirage. Un épisode riche, passionnant, aux multiples couches narratives, pour 30 minutes d’écoute immersive.
Dans ce douzième épisode, nous traversons deux zones en contraste saisissant : les Portes de Pharros et la Carrière de Vivepierre de Tseldora. L’humidité des premières n’abrite qu’un simulacre de combat, tandis que la seconde nous jette dans les griffes d’une horreur chitineuse nommée Freja.Un épisode dense, où les boss deviennent des échos grotesques de ce que fut autrefois le pouvoir. On y parle de carcasses sans but, d’alliés illusoires, d’illuminations qui ne viennent jamais.Et au bout du chemin : un Primefeu de plus, un mensonge de plus.🎧 Un épisode à la croisée de l’angoisse, de l’ironie, et d’une certaine lucidité. 🔥 Pour les amateurs de Dark Souls II, de narration immersive, et de réflexion sur la mémoire et l’oubli.
Soldier Of Fortune

Soldier Of Fortune

2025-11-1801:09:59

Il y a des jeux dont on se souvient pour leur beauté, d’autres pour leur musique, et certains… pour le malaise qu’ils laissent derrière eux. Soldier of Fortune appartient à cette dernière catégorie. Ce n’est pas un titre qu’on évoque avec tendresse comme un vieux Mario, ni un monument qui a redéfini le genre à la manière de Half-Life. C’est un jeu dont le nom circule avec un léger sourire coupable, un ricanement gêné, un « ah oui, ça, je m’en souviens… » quand on replonge dans la mémoire collective des années 2000. Et c’est précisément pour ça qu’il mérite un épisode de Nostalgeek, et qu’il prend tout son sens dans un episode partagé avec Le Corbooo.Revenons en arrière, à cette époque où les FPS sur PC étaient les maîtres d’un monde qui semblait s’ouvrir à chaque nouvelle sortie. Quake II, Unreal Tournament, SiN, Kingpin: Life of Crime… la fin des années 90 est une jungle de moteurs 3D, de mods bricolés dans des garages, de LANs enfumées où la jeunesse découvrait la violence virtuelle comme on s’initie à un langage interdit. Dans ce foisonnement, Raven Software n’était pas le plus gros nom, mais il avait la réputation d’un artisan solide. Après avoir travaillé sur Heretic et Hexen, après avoir goûté au moteur de Quake, le studio cherchait une nouvelle idée, un projet qui pourrait sortir du lot. Et c’est là qu’entre en scène un magazine américain, aussi culte qu’incongru : Soldier of Fortune.Imaginez un mensuel dédié au mercenariat, aux armes de guerre, aux reportages sur les conflits du monde entier. Pas une revue pour enfants, pas une publication « lifestyle », mais un miroir cru du business de la guerre. Dans ses pages, on trouvait des interviews de soldats privés, des tests d’armes, des récits de missions clandestines. Loin d’être une simple curiosité, Soldier of Fortune Magazine incarnait une fascination américaine pour le guerrier moderne, celui qui combat non pas pour un drapeau, mais pour un contrat. Et c’est ce matériau brut, cette esthétique de la guerre sans idéal, que Raven Software a choisi comme point de départ.Le résultat, sorti en mars 2000, porte le même nom : Soldier of Fortune. On y incarne John Mullins, un mercenaire inspiré par un véritable consultant qui collaborait avec le magazine. Mullins n’est pas un héros, il n’est pas un sauveur de l’humanité : c’est un professionnel, payé pour faire le sale boulot. Et c’est déjà un basculement par rapport aux FPS de l’époque, souvent centrés sur des soldats anonymes ou des héros de science-fiction. Ici, on assume l’ombre, la clandestinité, la violence nue.Mais ce qui a véritablement marqué Soldier of Fortune, ce n’est pas son scénario – une histoire de terroristes et d’armes nucléaires assez convenue – ni même son gameplay, solide sans être révolutionnaire. Ce qui a gravé son nom dans la mémoire collective, c’est le système de dégâts localisés, autrement dit le GHOUL engine. Pour la première fois, un jeu de tir permettait de viser avec une précision macabre : bras, jambes, mains, tête, abdomen… chaque zone pouvait être atteinte, et le corps réagissait en conséquence. Un tir dans la jambe envoyait l’ennemi au sol, un tir dans la main lui faisait lâcher son arme, un tir dans la tête… inutile de préciser. Mais surtout, Raven avait ajouté des zones de démembrement, permettant littéralement d’arracher des morceaux de chair virtuelle. À une époque où la violence vidéoludique faisait déjà scandale, Soldier of Fortune franchissait une nouvelle ligne rouge. Avec le recul, Soldier of Fortune n’est pas seulement un jeu violent. C’est le reflet d’une Amérique fascinée par la guerre et par ceux qui la mènent pour de l’argent. C’est une capsule de l’an 2000, quand Internet commençait à peine à se démocratiser et que les jeux vidéo exploraient sans retenue les limites de la technologie et du bon goût. Aujourd’hui, il garde ce parfum sulfureux, presque nostalgique, d’un temps où tout semblait permis.C’est cette mémoire que nous allons convoquer, ensemble, dans cet épisode avec Le Corbooo. Parce que Soldier of Fortune, ce n’est pas seulement un FPS oublié, c’est un morceau d’histoire, une provocation, une cicatrice dans le paysage vidéoludique. Et il fallait bien être deux pour en parler : deux voix, deux mémoires, pour replonger dans ce jeu qu’on n’ose pas toujours avouer avoir aimé.Alors, installez-vous, huilez vos souvenirs comme on prépare une vieille arme de service, et suivez-nous dans cette plongée au cœur d’un FPS qui n’a jamais cherché à plaire, mais qui a marqué malgré lui l’histoire du jeu vidéo. Bienvenue dans Soldier of Fortune.
Épisode 11 – Sous les feuilles, les voix oubliées Le Bois de l’Ombre porte bien son nom : forêt étouffée, peuplée de silences, de statues, de ricanements et de souvenirs égarés. Dans cet épisode, je traverse ce lieu hanté, entre brume, jarres maudites et créatures oubliées. Je libère Rosabeth, croise Benhart de Jugo et discute longuement avec la tête solitaire de Vengarl. Je découvre Grandahl, puis libère Orniflex, étrange marchande d’âmes. Enfin, accompagné de Tark, je mène un combat aussi tragique qu’épique contre Najka, la scorpide aux yeux éteints. Un épisode sur l’identité vacillante, la mémoire brisée… et sur la nécessité de continuer malgré tout. Sous les feuilles, les voix oubliées ne demandent qu’à être entendues.
Épisode 10 – Ce que le monde rejetteDans ce dixième épisode de mon voyage à travers Dark Souls II, je quitte la surface lumineuse de Majula pour plonger dans les profondeurs les plus noires du royaume. Du Tombeau des Saints infesté de rats jusqu’à la confrontation avec La Charogne au cœur du Ravin Noir, je traverse un monde où tout ce qui est oublié s’amoncelle et se tord.J’y croise Lucatiel, toujours aussi perdue qu’attachante, et j’embrase un troisième Primefeu — sans pour autant y voir plus clair. Un épisode lent, organique, empoisonné. Où le jeu me parle plus que jamais de mon propre état : avancer, non pas pour vivre, mais pour ne pas sombrer.Un monde qui ne lutte plus pour vivre, seulement pour ne pas disparaître.🔥 Combats épiques contre la Charogne, flèches enflammées contre les horreurs du Ravin, secrets enfouis, et toujours… cette fatigue tenace.🎧 À écouter si vous aimez les explorations sombres, les récits introspectifs, et l’univers décomposé de Dark Souls II.
Dans cet épisode plus intime et contemplatif, je fais une pause dans mon périple à travers Dark Souls II pour revenir à Majula, ce village suspendu entre ruines et mer. Je vous invite à découvrir les habitants silencieux et mystérieux qui peuplent ce lieu — Gilligan l’artisan, Maughlin le tailleur en perdition, Melentia la marchande, Shalquoir la chatte énigmatique, et Cale le cartographe prisonnier du temps. Je prends un moment pour réfléchir sur ce que ce jeu raconte vraiment : un monde qui ne lutte plus pour vivre, mais qui avance pour survivre, pour ne pas sombrer dans l’oubli. Après la perte de mon père, cette idée résonne profondément avec mon propre combat personnel. Un épisode bref mais chargé d’émotions, entre lumière douce et ombres persistantes.
Une prison verticale rongée par l’humidité et les souvenirs. J’y affronte les Sentinelles de la Ruine sur un parapet étroit, puis les gargouilles dans une tempête de coups et de cris. Je libère Straid, retrouve Lucatiel, et descends vers la Pêcheresse Oubliée, dont la danse est aussi gracieuse que fatale. Au fond, un nouveau Primefeu. Mais rien n’est plus clair.🏰 Un épisode vertigineux, sur les combats à plusieurs, la mémoire qui vacille, et la fatigue d’une quête sans sens. musique:Collapse - MyuuKai Engel - Dark Alleys
Une forteresse engloutie dans le magma, gardée par des statues de taureaux et des souvenirs en feu. Ici, j’affronte le Démon Fondeur dans un duel brûlant, puis le Poursuivant, encore. Le Beffroi du Soleil m’ouvre sur un passé oublié, et le Vieux Roi de Fer, immense et prévisible, m’attend. Quand je l’abats, un Primefeu s’allume. Mais la clarté n’est toujours pas au rendez-vous.🔥 Un épisode intense, sur les épreuves par le feu, les combats à répétition, et les idoles tombées dans la lave. musique:Collapse - MyuuKai Engel - Dark Alleys
Space Station Silicon Valley : la pépite oubliée de la Nintendo 64 Noël 1998. Deux jeux sous le sapin : Zelda Ocarina of Time… et Space Station Silicon Valley. L’un est devenu une légende. L’autre ? Un OVNI vidéoludique, méconnu, drôle, inventif — et inoubliable. Dans cet épisode, je vous raconte mes souvenirs liés à ce jeu culte mais discret, développé par DMA Design (les futurs Rockstar Games), entre boulangerie familiale, cadeaux de Noël et cartouches N64. On parle gameplay créatif, animaux robotiques farfelus, bug mythique (👋 Fat Bear Mountain), et transmission intergénérationnelle : car aujourd’hui encore, je le fais découvrir à mes enfants. Space Station Silicon Valley, c’est plus qu’un jeu rétro : c’est un souvenir pixelisé, une ambiance unique, et une déclaration d’amour à l’inventivité vidéoludique. 📼 Un épisode pour les amoureux de la Nintendo 64, les curieux de pépites rétro, et tous ceux qui aiment les jeux qui ne rentrent dans aucune case.
Du poison dans chaque mur, et des illusions dans chaque promesse. Je traverse deux zones liées par la souffrance : Chloanne, la lithologue ; Gilligan, l’artisan cynique ; Mytha, la reine décapitée qui cherche encore l’amour. Un moulin brûlé change tout, un feu est caché, et un fantôme m’aide dans l’arène. Le Démon Convoiteux ? Oubliable. Mais le reste... précieux.🧪 Un épisode empoisonné, où chaque pas demande un antidote et chaque rencontre éclaire un peu plus le passé. musique:Collapse - MyuuKai Engel - Dark Alleys
Un lieu de beauté morbide et de faux espoirs. Je tombe d’abord sur un boss optionnel – le Chariot de l’Exécuteur – qui ne garde rien. Puis je libère Creighton, étrange aventurier rongé par la rancune. Et enfin, j’affronte les Rois Squelettes. Un trio majestueux dont la mécanique, hélas, trahit le potentiel.🦴 Un épisode sur les combats en trompe-l'œil, la tension contenue, et le plaisir amer d’une zone sous-estimée. musique:Collapse - MyuuKai Engel - Dark Alleys
Un champ de ruine hanté par la guerre et l’abandon. La Forêt des Géants Défunts est peuplée d’ennemis faibles mais innombrables. J’y croise Melentia, Cale, et le piège de Pat la Hyène. J’y découvre le Dernier Géant, un prisonnier titanesque dont on ne voit que les pieds. Et puis, le Poursuivant arrive, sur un rempart face à la mer, comme une vengeance du passé.⚔️ Un épisode dense et mélancolique, sur la guerre, la chute des colosses, et l’adaptabilité qui sauve les vivants. musique:Collapse - MyuuKai Engel - Dark Alleys
Un port, une prison, une déportation. J’atteins les quais de la désolation, où la lumière devient une arme et où le silence pèse plus lourd que les chaînes. Les ennemis fuient la torche, et l’eau monte dans l’arène du boss, comme une sentence lente et inévitable. Je croise Gavlan, Carhillion, et j’affronte mes propres limites dans cette zone au lore tragique.🌊 Un épisode sur la lumière qui repousse l’oubli, sur les PNJ étranges, et sur une victoire sans euphorie. musique:Collapse - MyuuKai Engel - Dark Alleys
Dark souls

Dark souls

2025-09-1634:35

🎙️ Après deux ans de silence, je rallume enfin le micro de Nostalgeek. Et pour ce grand retour, j’ai choisi un jeu qui m’a marqué comme peu d’autres : Dark Souls.Pas question ici de refaire un test classique. Non. Je vous propose plutôt une vraie plongée dans ce monde sombre et fascinant : son univers labyrinthique, ses boss qui m’ont fait suer sang et eau, mais aussi tout ce que ce jeu m’a appris sur la persévérance, la difficulté, et ce sentiment unique quand on rallume un feu de camp.Si, comme moi, vous avez déjà ragé, vibré ou même philosophé manette en main, alors je pense que cet épisode va vous parler. Je suis super heureux de reprendre ce voyage avec vous… et honnêtement, ça fait du bien d’être de retour 🔥 Musique générique:Xennial - Video Game Party at Our House!
Heide la Sublime : des ruines baignées de lumière, écrasées de silence. J’explore une zone figée dans une éternelle fin d’après-midi. Ici, chaque ennemi peut disparaître à force de mourir – une mécanique unique qui rend la solitude presque palpable. Deux boss se dressent : le Monte-Dragon, banal et presque ridicule… et le Vieux Tueur de Dragon, écho direct d’Ornstein.🔥 Un épisode sur la disparition, les souvenirs qui s’effacent, et ces combats qui résonnent comme des vestiges de Dark Souls I. musique:Collapse - MyuuKai Engel - Dark Alleys
Plongez dans un voyage intime au cœur de Dark Souls II. Dans ce premier épisode, je repars de l’héritage de Dark Souls I : ses dieux déchus, sa prophétie oubliée, sa grandeur solitaire. Mais cette suite change tout. Le héros n’est plus noble, juste maudit. Je vous emmène à Majula, là où tout commence, dans un monde brisé qui résonne étrangement avec ma propre lassitude.🜂 Un podcast narratif et mélancolique sur le lore de Dark Souls II, vu à travers le prisme d’un joueur au bord du gouffre. musique:Collapse - MyuuKai Engel - Dark Alleys
Découvrez la bande-annonce officielle du podcast narratif consacré à Dark Souls II. Un voyage intime et sensoriel à travers un monde brisé, hanté par les ruines, les flammes vacillantes et les âmes perdues. Entre introspection, poésie et désespoir silencieux, chaque épisode explore les terres de Drangleic, les vestiges du pouvoir et la mémoire des rois déchus.Suivez un parcours où l’on ne cherche pas la victoire, mais le sens d’une marche sans retour.Une production originale signée Galaxie PopPour ceux qui savent que l’essentiel n’est pas l’arrivée, mais le chemin.
Nostalgeek revient, soufflez sur vos cartouches et préparez vous au voyage !
De retour pour une nouvelle saison de nostalgeek !Le dernier podcast rescapé de mon cheptel, mais ne vous inquiétez pas, un nouveau vas arriver.Bref, reprenons, pour ouvrir cette nouvelle saison nous allons parler de BROFORCE ! Je dis nous car je serai pour l'occasion accompagner par mon BRO, lecorbooo toujours la quand il s'agit de parler finesse.Broforce qu'est ce que c'est au juste ? C'est un run and gun de style rétro ou l'on peut détruire tout le décor et pulvériser tout nos adversaires. Et le gros poing fort (c'est pas une faute, mais un jeu de mot) c'est que dans ce jeu on incarne des versions pixellisées de nos personnages d'actioner préférés des années 80 à 2000, tout le monde y passe, de Rambo à John Matrix en passant par John Mclane ou Ellen Ripley.Et bien sur, on a aimé et on en parle avec passion (et de cinéma aussi)
Et on continue cette saison 4, un peu particulière avec un jeu qui n'est pas rétro du tout. Aujourd'hui je vais parler de What remains of Edith Finch, un magnifique walking simulator disponible sur toute les bécanes actuelles et dans le gamepass.Nous allons découvrir la généalogie morbide des Finch, parcourir une maison très étrange, intimement liée à la famille Finch et sans doute chialer un peu à la fin. Car ce cours voyage dans les pas de la jeune Edith vas être riche en sentiments, vas vous emporter dans un tourbillon de vie et de morts, vous faire rire et pleurer. Prenez deux heures de votre vie pour découvrir ce petit bonheur et n'oubliez pas de revenir m'écouter après. Vous me remercierez avec un p'tit commentaire ou une bonne note.
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Comments (1)

Cozette Megal'otre

la phrase de la fin elle m'a tuer

Feb 17th
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