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Author: Décharge

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Description

Contenus créés & réalisés par DECHARGE Productions, association de soutien à la création sonore

À venir :
Les meutes
Docu en cours pour Reportage.ch

Archives :
2021 - ABSTRACT, le podcast de la FPSE de l'Université de Genève
2021 - ECOUTE VOIR : journal de bord mental
2020 - Mini reportages / Flux instinctif
2019 - Les déclics
54 Episodes
Reverse
Par Eva, Justine et Julie
Par Eva, Justine & Julie Pour finir, Léonie nous sort du quotidien pour vous montrer comment on aime fêter, accueillir nos ami.e.s et créer une bulle d’amour et d’amitié autour de notre maison tant aimée.
Par Eva, Justine & Julie Comment est-ce qu’on s’équilibre entre vie commune et intimité ? Comment est-ce que nous apportons et accueillons l’individualité de chacune dans la colocation ? En racontant sa perception des espaces communs et des chambres à coucher, Célestine répond aux questions d’espace, de sphère intime et de lâcher-prise.
Par Eva, Justine & Julie Un coup d’œil suffit : il n’y a guère la place pour plus d’une personne dans cette cuisine. Ou alors, il faut être ultra-organisé.e.s pour que les mouvements s’ajustent et se coordonnent… Avec Justine, vous en apprendrez plus sur l’évolution de la cuisine de Francfort et son impact sur le rôle des femmes à la maison.
Par Eva, Justine & Julie Cette fameuse question : mais comment vous faites avec la salle de bain ? Solène fera exploser pour vous tous les imaginaires liés aux femmes et aux salles de bain, et vous verrez que cet espace apporte bien plus de bienveillance que de conflits qu’il n’y paraît.
Par Eva, Justine & Julie Pas le choix, quand on n’est que des femmes à la maison, on fait tout ! Scier, percer, clouer ou peindre, Julie vous raconte comment elle a appris à se sentir forte et autonome au travers des différents travaux effectués dans notre maison. Le podcast dont fait référence Julie est “Les couilles sur la table”, l’épisode 79, les couilles à la ferme.
Par Eva, Justine & Julie Notre jardin, il occupe une grande place dans notre vie de coloc. On s’accorde autour de lui et il soulève beaucoup de discussions. Eva vous parle de ce que ce jardin évoque pour elle, du sentiment de faire partie et de l’organisation de notre coloc.
Par Eva, Justine & Julie RIPOSO, c’est la maison de la coloc du Schönbi, formée par 6 femmes trentenaires. On s’appelle Célestine, Solène, Léonie, Julie, Justine et Eva. Habiter ensemble, ça nous donne l’impression d’être une famille choisie, une meute. Après toutes les questions, les étonnements et les discussions que ça provoque, on a eu envie de montrer qu’un groupe de meufs c’est pas forcément source de problèmes, ni dans la salle de bain, ni dans la cuisine, ni nulle part ailleurs. Pour nous, mais aussi pour vous, nous dévoilons un petit bout de notre quotidien et de notre aventure - entre jardinage et écosystème de coloc, prendre soin et salle de bain, fête et empowerment, entre autres.
Par Cindy Lorsque l’on se rencontre pour la première fois, la créature qui va venir bousculer ma conception de la nature tient dans le creux de ma main. Elle est l’initiatrice de cette question : peut-on vraiment être féministe et participer à l’exploitation des animaux ? Pour parler des liens entre le sexisme et le spécisme, je vous emmène à la rencontre de Virginia Markus, une militante engagée pour la coexistence entre espèces.
Par Maison vagabond Un après-midi sur une terrasse ensoleillée qui m'entraîne dans une inattendue exploration de ma colère.
Par Aurélie Le cheminement d’une trentenaire qui a récemment choisi de se projeter dans une vie sans enfant, alors qu’elle imaginait l’inverse depuis son plus jeune âge. Suite à cette décision, elle questionne son rapport aux femmes de sa vie: est-ce que sa non-maternité aura un impact sur leurs relations ? Comment ne pas se sentir exclue quand on fait un choix de vie encore minoritaire ? La maternité ça change quoi pour celles qui ont fait ce choix ?
Et si on entendait des histoires racontées, créées et inventées par des femmes? Nous, Lorraine et Sarah du collectif « Les Impostures » on a décidé d’encourager et accompagner celles qui de base ne savent ni enregistrer ni monter mais qui ont envie de se lancer dans la création sonore. En résultent 4 podcasts inédits et singuliers : entre désir de maternité ou non, sororité , rapport à la colère ou encore écoféminisme. Si vous voulez en savoir plus sur ces thèmes, alors tendez l’oreille pour les podcasts d’ Aurélie, Eva, Justine, Julie, Marion et Cindy. Bonne écoute! ________________ Nous remercions toutes les participantes au projet pour leur curiosité, vulnérabilité et pour leur confiance à se joindre à notre meute. Ce projet n’aurait pas vu le jour sans les précieux soutiens de la Fondation pour l’étude du travail féminin, ainsi qu'A nous de jouer et le service de la Culture de la Ville de Fribourg.
FAIRE LA VILLE est un podcast, un audioguide, une balade sonore au cours de laquelle je vous invite à parcourir la ville de Fribourg, l’entendre au travers des histoires de personnes ayant témoigné dans le livre "Survivre à la rue, petit guide pratique", publié par l’association La Tuile. Pour l’écouter, deux possibilités: Soit vous pouvez démarrez l’audio où vous le souhaitez, statique ou en mouvement MAIS notre conseil est de démarrez l’audio depuis la Place Python, à Fribourg et vous laissez guider. Bonne écoute. ________________________________ Merci à toutes les personnes qui ont accepté de témoigner, raconter par où ils et elles sont passés. Ce podcast a été écrit et réalisé par Sarah Gay-Balmaz. La musique est de Daniel Hernandez.
ECOUTE VOIR, la voix dans ma tête Un podcast de Sarah Gay-Balmaz J+365 Y a quasi un an, je commençais ce drôle de défi de faire un journal de bord mental (supposément hebdomadaire, mais bon tmtc la fin de l'histoire ressemble rarement à comment toi tu te l'étais imaginée) . Maintenant je suis plus tout à fait la même personne, mais j'ai appris des trucs, alors comme d'hab, j'en fais une liste. Et un podcast, histoire de boucler la boucle! Merci d'avoir suivi cette série & à tantôt pour d'autres aventures sonores ou non :) Et surtout BELLE ANNEE
J'ai vraiment galèré pour terminer cet épisode, mettre en mot des ressentis mélangés entre mon intime et du politique (toujours). Garder de la santé mentale et continuer à façonner une vie qui donne envie de vivre c'est un sacré enjeu. En tout cas pour moi - et je crois pas être la seule. Cet épisode correspond à ce besoin de retrouver de la confiance et du courage à l'instant T, & de chercher des réponses dans d'autres voix. Merci à Marie pour le précieux échange ! & nous on se retrouve.. après l'été :)
Enlever les couches & rester proche, tout près de l'intérieur, tous les jours, mais quel challenge purée.
Ce qui compte c'est pas la chute, c'est l'atterrissage comme disait l'autre. Bilan après un plouf en eau froide : c'est du G E N I E, mais il faudrait faire quelque chose pour mon équilibre...
Mais où sont nos histoires ? À la recherche de réponses, dans cet épisode je me rends à la bibliothèque de La Bise à la rencontre de Sarah, qui illustre entre autres des vies de femmexs. J’ai ensuite parcouru Fribourg avec Kaziwa, autrice du podcast L’Inconfortable, pour découvrir celles dont l’histoire a été en partie oubliée. En quête de ces modèles et représentations qui nous ont manqué, une question se pose : et si on réécrivait l’histoire autrement ? ———— MERCI à elles pour la confiance & bonne écoute ! Musique: © So Vea – The Longing Pour aller plus loin : • Le compte instagram d’illustrations de Sarah @vulpovulpo & son projet @c-o-r-p-s • La bibliothèque de La Bise à Bienne : https://www.la-bise.ch/ • Un descriptif et du matériel pour faire le parcours des Inconnues à Fribourg : https://www.ville-fribourg.ch/bibliotheque/lesinconnues • Le podcast l’Inconfortable : https://anchor.fm/l1confortable
J + 91 ECOUTE VOIR, la voix dans ma tête Un podcast de Sarah Gay-Balmaz Objectif apprendre à lever les mains sur les grand 8
ECOUTE VOIR, la voix dans ma tête Un podcast de Sarah Gay-Balmaz J + 77 Je sème mes idées sur des post-its comme un Petit Poucet pour retrouver leur chemin et pas me perdre. Alors dans cet épisode je parle de recul, d’élan et -justement- du chemin parcouru depuis l’épisode 1 (et promis je fais aucune référence à Kyo –pourtant c’est pas l’envie qui manquait).
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