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Debrief Bourse

Author: Boursorama

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Debrief de la journée de Bourse en 2 minutes. Retrouvez toute l'actualité des marchés financiers à la clôture du CAC.


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729 Episodes
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Rien ne semble vouloir guérir la morosité de l'indice parisien qui finit cette semaine sur un nouveau repli : -0,68% au retentissement de la cloche vers les 7.479 points et un peu plus de 4 miliards d'euros échangés. Le CAC40 recule de près de 2% sur la semaine, de 9% au 2e trimestre et perd désormais 1% depuis le 1er janvier.Deux salles, deux ambiances. Ca va bien pour les indices américains à 17h45. Le Nasdaq a même battu un nouveau record historique à plus de 18.000 points et gagne désormais 0,33% quand le Dow Jones grimpe de 0,2%. le vrai coup de barre sur le marché US, il est pour Nike : -19% alors que l'équipementier sportif a abaissé ses objectifs pour l'exercice 2024. Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d’informations.
Après un court plateau en territoire positif, le CAC 40 s'est vite inscrit sur une pente descendante qui est même devenue plus forte en fin de séance. Résultat, l'indice français termine à -1,03% vers les 7.531 points et près de 3,3 milliards d'euros échangés. Comme si la nervosité s'intensifiait avant la première échéance de dimanche.Aux Etats-Unis, les indices ne savent pas trop sur quel pied danser : Dow Jones et Nasdaq sont proches de leur seuil d'équilibre à 17h45. En troisième lecture, la croissance américaine a été légèrement réévaluée au premier trimestre, à 1,4% contre 1,3% auparavant. Côté valeur, ça craque pour le fabricant de jeans Levi Strauss : -16% Levi Strauss après l'annonce d'un chiffre d'affaires inférieur aux attentes des analystes au deuxième trimestre. Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d’informations.
Malgré un démarrage dans le vert, le CAC 40 a rapidement calé. Les échéances de la publication de l’inflation américaine vendredi et du premier tour des élections législatives dimanche limitent les initiatives. Le CAC 40 termine la séance sur une baisse de 0,69% vers  7609 points dans un volume d’échanges de 3,5 milliards d’euros.  Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d’informations.
Le rebond enclenché la veille n'aura pas tenu. Le CAC 40 finit la journée sur un repli de 0,58% vers les 7662 points et 4,2 milliards d'euros échangés, plombé par Airbus. Par ailleurs, le marché reste, sans surprise, assez nerveux avant le résultat du premier tour des élections législatives dimanche.Le Dow Jones aussi recule à 17h45, de 0,66% alors que le Nasdaq lui reprend 1% après avoir aligné trois séances de baisse. La correction se poursuit en revanche pour Nvidia : -1,8%. 4e séance dans le rouge après -7,7% hier. Plusieurs vendeurs à découvert mettent le titre sous pression. Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d’informations.
L’essoufflement de la croissance de l'activité du secteur privé dans la zone euro en juin pèse sur le moral des investisseurs. Pour le deuxième mois consécutif, cette activité est pénalisée par une baisse de la demande sur fond d’incertitude liée aux élections législatives. Pour cette dernière séance de la semaine, le CAC 40 termine en territoire négatif : -0,56% vers les 7628 points dans un volume d’échanges de 7,4 milliards d’euros à la clôture. A noter que c’est une séance technique dite séance des quatre sorcières. Elle marque ainsi l’arrivée à échéance d’options et de futures sur actions et indices entraînant des volumes importants.Sur l'ensemble de la semaine, l'indice-vedette affiche une progression de 1,6% : une mince consolation alors que l'indice a chuté de plus de 6% la semaine passée. Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d’informations.
L'instabilité politique en France engendre toujours beaucoup de nervosité sur les marchés. Après avoir enregistré sa pire baisse hebdomadaire depuis le début de la guerre en Ukraine, le CAC 40 tente de se reprendre mais peine sur la marche à suivre.Le CAC 40 termine la séance sur une hausse de 0,91% vers les 7571 points dans un volume d'échanges de 3,5 milliards d'euros.Au chapitre des valeurs,Le secteur bancaire tente un timide rebond après avoir lâché 8% la semaine dernière. BNP Paribas reprend 1,25%, Société Générale 1,17% tandis que Crédit Agricole reste sur le quai : -0,38%. Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d’informations.
Quelle semaine. Depuis dimanche soir, rien ne va plus dans la vie politique française et sur le marché français. Et ce n'est pas cette journée de vendredi qui a changé la donne. Le CAC 40 qui avait encaissé en début de semaine craque sur cette séance de vendredi et finit sur un recul sévère de x% vers les xx points et x milliards d'euros échangés.Aux Etats-Unis, S&P 500 et Nasdaq ont signé de nouveaux records historiques hier. On a donc besoin de souffler et à 17h45, le Dow Jones cède x% et le Nasdaq x%. La star incontestée du jour c'est Adobe (+%). L'éditeur de logiciels de création graphiqueà la faveur du relèvement de sa prévision de chiffre d'affaires annuel sur fond de forte demande pour ses outils d'édition reposant sur l'intelligence artificielle (IA).Valeurs en hausseTout comme hier, le compartiment des valeurs dans le vert est très très dégarni. Seuls Atos et Rémy Cointreau échappent à l'hécatombe.Valeurs en baisseSolutions 30 recule de plus de x% lanterne rouge du SBF 120, indice qu'il va quitter le 24 juin en compagnie de X-Fab pour y être remplacé par Casino et Esso. Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d’informations.
Le rebond d'hier est déjà de l'histoire ancienne et le CAC 40 finit dans le rouge, à -x% vers les xx points et x milliards d'euros échangés. Le rendez-vous de la semaine, c'était la Fed. La banque centrale américaine a maintenu ses taux directeurs inchangés et laissé entendre que son assouplissement monétaire n'aurait peut-être pas lieu avant décembre, les responsables de la banque ne prévoyant qu'une seule réduction de taux de 25 points de base pour cette année. Un conclusion qui n'a pas vraiment plu aux investisseurs d'autant que aujourd'hui, les prix à la production ont reculé de 0,2% en mai alors qu'une hausse de 0,1% était attendue. Sur un, la progression est de 2,2% contre 2,5% anticipé.Outre-Atlantique, la tendance est d'ailleurs similaireLe secteur européen de l'automobile affiche la plus forte baisse du jour (-2%). La Commission européenne a annoncé mercredi l'imposition de droits de douane supplémentaires allant jusqu'à 38% sur les voitures électriques expédiées de Chine vers l'UE. Bruxelles juge anticoncurrentielles les importantes subventions dont bénéficient les constructeurs installés là-bas. Mais nombre d'observateurs jugent d'une part que Pékin pourrait riposter et d'autre part que cette surtaxe n'est pas suffisante pour réellement entraver la croissance des ventes des nouveaux géants chinois, comme BYD. « Même si les marques chinoises de véhicules électriques vendent leurs voitures en Europe à un prix 50% plus élevé que (leurs prix nationaux), elles restent très compétitives », a déclaré Yale Zhang, directeur général de la société de conseil Automotive Foresight. « BYD est le seul acteur qui, selon nous, pourrait encore atteindre le seuil de rentabilité sur un modèle d'importation grâce à son avantage structurel en termes de coûts », selon les analystes de Bernstein. Cette mesure touche en plus certains groupes occidentaux présents en Chine, comme BMW (en baisse de 1,7%) et Renault (-2,5%). Stellantis recule de 2%.En amont de sa journée investisseurs dans le Michigan, le groupe dirigé par Carlos Tavares a confirmé ses objectifs pour l'année en cours, notamment une marge opérationnelle de 10% à 11% au premier semestre avec un flux de trésorerie industriel sensiblement inférieur à celui de la même période de l'année précédente. Une amélioration du free cash-flow est attendue pour le second semestre.Même si l'inflation et la croissance économique américaines s'affaiblissent, cela se fait un rythme trop lent pour convaincre la Réserve fédérale de lever le pied sur sa politique restrictive. C'est l'enseignement de la réunion de la Fed mardi et mercredi. En raison de ce tableau imprécis, la banque centrale n'anticipe désormais qu'une seule baisse de taux en 2024, contre les trois prévues en mars dernier. « Il faudra probablement plus de temps pour obtenir la confiance dont nous avons besoin pour assouplir la politique », a déclaré hier soir le président de la Fed, Jerome Powell. Mais il y a clairement un débat au sein de l'organe de décision de la banque centrale, qui compte 19 membres : quatre personnes ne voient pas le taux des Fed funds bouger de toute l'année, sept soutiennent une détente de 25 points de base et huit autres de 50 points, ce à quoi Jerome Powell fait valoir que l'une ou l'autre option est « plausible Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d’informations.
Après deux jours de nervosité, la Bourse de Paris rebondit. Les investisseurs restent et resteront attentifs aux différentes évolutions politiques et ce jusqu’à l’issue du scrutin législatif le 7 juillet mais pour l’heure ils se concentrent sur la bonne nouvelle du jour avec cette inflation américaine qui ralentit plus que prévu en mai. Le CAC 40 termine la séance sur une hausse de 0,97% vers les 7864 points dans un volume d’échanges de 3,7 milliards d’euros à la clôture.Au chapitre des valeurs,Schneider Electric est en tête de l’indice : +4,76%. Les semi-conducteurs se portent bien avec ST Micro qui avance de 3,27%. On note aussi une reprise du côté des bancaires. Société Générale s’offre un rebond de 2,10%, insuffisant toutefois pour effacer les pertes de la veille. BNP Paribas avance de 1,76%. Crédit Agricole progresse de 1,58% bénéficiant d’un relèvement de recommandation de Jefferies qui passe de « conserver » à « acheter » sur la valeur, tout en rehaussant fortement son objectif de cours de 13,40 à 21,60 euros.A l’opposé les valeurs dites défensives sont dans le rouge à l’image d’Orange qui perd 2,67%. Sur le SBF 120, Atos annonce être entré en négociations exclusives avec Alten afin de lui céder son activité de conseil et d'ingénierie Worldgrid pour une valeur d'entreprise de 270 millions d'euros. Le titre poursuit son plongeon et lâche plus de 20% sur cette séance. A l’inverse, Ipsen progresse de plus de 4%. Le groupe a reçu hier le feu vert de la FDA, l’autorité de santé américaine, pour la commercialisation d’un médicament utilisé pour une maladie rare du foie. Un médicament développé par la biotech Genfit et dont Ipsen a acquis les droits en 2021. Enfin on termine comme chaque jour par un mot sur les marchés US. Wall Street se hisse à de nouveaux plus hauts avec un Nasdaq qui savoure l’envolée d’Apple. Le marché s’enthousiasme également du recul de l’inflation américaine en mai à 3,4% sur un an. A noter que ce soir, la Fed délivrera son calendrier de politique monétaire. Le ralentissement de l'inflation ouvre en effet la porte à une baisse des taux de la Fed. Voilà c’est tout pour ce soir mais n’oubliez pas toute l’actualité économique et financière est sur Boursorama.  Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d’informations.
Malgré un léger sursaut en début de matinée, le CAC 40 creuse ses pertes. L’incertitude politique en France avec l’annonce d’élections anticipées pèse sur les marchés qui s’interrogent notamment sur la teneur des orientations économiques et fiscales en cas de changement majeur à la tête du pays. Le CAC 40 termine la séance sur une baisse de 1,33% vers les 7789 points dans un volume d’échanges de 2,8 milliards d’euros à la clôture. Le climat politique actuel continue également d’avoir un impact sur les taux longs si bien que l’écart entre le taux auquel la France emprunte sur les marchés à dix ans et celui auquel emprunte nos voisins allemands est au plus haut depuis 2020. Pour rappel, cet écart aussi appelé spread est un indicateur qui mesure la confiance des investisseurs dans la capacité du pays à honorer sa dette.Au chapitre des valeurs, ce sont toujours les bancaires qui continuent de souffrir. Société Générale recule encore de 5,02%. Crédit Agricole de 3,9%. BNP Paribas de 3,89%. La foncière commerciale Unibail-Rodamco-Westfield se replie aussi de 4,10%. Quelques sursauts sont à noter du côté de l’indice avec Edenred, Danone et Carrefour qui est numéro 1 sur l’indice : +1,17%. Des valeurs qui font figure de refuge auprès des investisseurs. Sur le SBF 120, les groupes audiovisuels sont mis sous pression alors que le Rassemblement national entend privatiser l’audiovisuel public s’il accédait au pouvoir. Voilà qui pénalise fortement TF1 qui verrait ses recettes publicitaires fortement mises à mal avec un tel scénario. Le titre baisse de presque 7%. De son côté, Atos n’en finit plus de sombrer près l’annonce de la poursuite des négociations pour sa restructuration financière avec le consortium mené par OnePoint. Le conseil d’administration d’Atos a en effet préféré cette offre à celle du milliardaire tchèque Daniel Kretinsky. Enfin, on termine avec les marchés US. Wall Street a débuté la séance en territoire négatif. Les investisseurs optent pour la prudence à la veille de la décision de la Fed sur les taux. Voilà c’est tout pour ce soir mais n’oubliez pas toute l’actualité économique et financière est sur Boursorama.  Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d’informations.
On pensait les résultats des élections européennes sans trop de surprises hier, on en a été pour nos frais. Après la large victoire du Rassemblement National, le président de la République a dissout l'Assemblée nationale avec des élections législatives à venir dans trois semaines. Le CAC 40 qui n'apprécie pas trop ce genre de nouvelle inattendue termine donc la journée en repli de x% vers les x points et x milliards d'euros échangés.Sur le marché obligataire, le rendement à 10 ans français se tend de 12,5 points de base, à 3,235%A 17h45, le Dow Jones se replie de x%, prudent avant la publication des données sur l'inflation et la réunion de politique monétaire de la Fed cette semaine. Le Nasdaq est lui en léger progrès : +0,15%Valeurs en hausseC'est Euroapi qui rebondit après la chute de 17,9% enregistrée vendredi. Pour rappel, le spécialiste des principes actifs a décidé de se faire accompagner par un mandataire ad hoc dans les discussions entamées en février 2024 concernant le financement à moyen et long terme de son projet de transformation stratégique Focus-27.Eramet signe de son côté une 4e séance de hausse.Les valeurs de l'auto étaient bien en piste à l'image de Valeo, Michelin, Renault et Stellantis. Et pour rouler, il faut du carburant : TotalEnergies reprend 0,23% alors que le baril de Brent a refranchi la barre des 80 dollars;Valeurs en baisseToujours très volail Emeis repart en nette repli.Sur le CAC 40, ce sont les bancaires qui sont le plus pénalisées par la décision d'Emmanuel Macron à l'image de Société Générale (NDRL : maison mère de Boursorama) avec BNP Paribas, et Crédit Agricole.Vinci et Edenred sont également à la peine : 35 valeurs de l'indice sur 40 sont dans le rouge Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d’informations.
C'est une belle journée de hausse pour le CAC 40 qui gagne 0,87%, repassant la barre des 8.000 points à un peu moins de 8.007 points dans des volumes un peu faibles avec moins de 2,8 milliards d'euros échangés.Aux Etats-Unis, le Dow Jones est un peu à la peine, proche de son seuil d'équilibre alors que le Nasdaq progresse lui franchement à 17h45 : +1,3% vers les 17.079 points, à un nouveau plus-haut historique. Côté valeurs, on note la belle progression de HP (+11%). avec des chiffres trimestriels portés par l'IA.Dans la série les mauvaises nouvelles sont des bonnes nouvelles, l'enquête ADP fait ressortir la création de 152.000 emplois dans le secteur privé aux Etats-Unis le mois dernier après 188.000 en avril. C'est moins bien que prévu alors que le consensus établi par Bloomberg tablait sur 175.000. De quoi conforter les investisseurs dans leurs espoirs d'une baisse des taux imminentes de la Fed. Dans le même temps, l'ISM Services est repassé en phase de croissance à 53,8 en mai, contre 51 attendu et 49,4 en avril.Valeurs en hausseLes valeurs tech ont porté la tendance sur le marché parisien à l'image de Soitec et STMicro, qui signe sa 5e séance de progression consécutive.Autre moteur de la progression : le luxe, avec Hermès et LVMH.A noter aussi l'avancée d'Eramet. Les analystes de Portzamparc ont intégré le titre du producteur de nickel dans leur liste de petites et moyennes capitalisations préférées, le "High Five".Valeurs en baisseLes séances se suivent et se ressemblent pour Atos, une nouvelle fois lanterne rouge du SBF 120.Comme hier, Valneva est à nouveau orientée à la baisse malgré l'avis positif de l'Agence européenne des médicaments recommandant une autorisation de mise sur le marché (AMM) de son vaccin contre le chikungunya.Les financières sont sous pression à l'image, une nouvelle fois, de Société Générale, mais aussi de Crédit Agricole, même si c'est Teleperformance qui est en queue de peloton sur le CAC 40. Le spécialiste des centres d'appels qui cède toujours 22% depuis le début de l'année.LG (redaction@boursorama.fr) Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d’informations.
Après trois petites séances dans le vert, le CAC 40 est reparti dans le rouge aujourd'hui. Il cède 0,75% vers les 7.938 points et des volumes un peu plus soutenus vers les 3,25 milliards d'euros. Même ambiance de l'autre côté de l'Atlantique avec un Dow Jones qui cède 0,15% à 17h50 et un Nasdaq à -0,41% dans une actualité clairsemée.Valeurs en hausseImerys poursuit sa progression et finit en tête du SBF 120. Hier Berenberg avait relevé son objectif de cours sur le titre de 40 à 45 euros.Derrière, ca va bien aussi pour Covivio.Sur le CAC 40, c'est STMicro qui se distingue. Le géant des semi-conducteurs qui a annoncé la signature d'un accord d'approvisionnement à long terme pour des composants en carbure de silicium avec le constructeur automobile chinois Geely Auto Group. Il termine devant Capgemini, Edenred et Dassault Systèmes.Valeurs en baisseNouvelle séance de fort repli pour Atos après l'annonce d'hier. Le bureau d'analyses Invest Securities est à la vente sur le titre avec un objectif de cours de 0,01 euro sur Atos. " Pour obtenir le soutien des créanciers obligataires, David Layani qui détenait pourtant 11% du capital a totalement sacrifié les actionnaires actuels qui représenteront moins de 0,01% du capital post restructuration ", souligne Invest. Il ajoute que " peu importe l'offre qui l'emporte ", " la dilution sera colossale " et que cette restructuration ne sera pas peut-être pas "suffisante compte tenu de la dégradation opérationnelle ".Les valeurs pétrolières et parapétrolières restent sous pression alors que le baril de Brent est sous les 78 dollars, c'est le cas pour TotalEnergies, Maurel & Prom et Technip Energies.Société Générale poursuit son repli. Moody's d'abaisser la perspective de sa notation de crédit de «stable» à «négative», tout en maintenant sa note A1, en retrait de ses concurrentes françaises.C'est toujours compliqué aussi pour les équipementiers auto, Forvia en têteEnfin Valbiotis chute lourdement (-43%). Le laboratoire français a annoncé la fin de son contrat de licence et d'approvisionnement avec Nestlé Health Science et va, en conséquence, reprendre l'ensemble des droits de Totum.63, son complément alimentaire végétal dédié à la prise en charge du prédiabète et des stades précoces du diabète de type 2.LG (redaction@boursorama.fr) Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d’informations.
C'est une entame de mois boursier timide pour le CAC 40 qui termine cette journée sur une progression toute symbolique de 0,06% vers le 7.998 points et un petit volume de 2,6 milliards d'euros échangés. La détente sur les rendements obligataires allège un peu l'ambiance mais les regards sont fixés en direction de la BCE et de la réunion de jeudi. L'institution devrait procéder à une première baisse de taux alors que l'inflation a bien reflué sur le Vieux continent.La situation est contrastée sur les marchés américains avec, en fin d'après-midi, un Dow Jones en repli de 0,6% mais un Nasdaq en progrès de 0,4%. La folie GameStop reprend, avec une progression de près de 25% après que "Roaring Kitty" Keith Gill , l'influenceur boursier à l'origine de la frénésie commerciale de 2021, est retourné sur Reddit avec un message montrant un pari de 116 millions de dollars sur le distributeur de jeux vidéo en difficulté. Autre valeur en vue : Structure Therapeutics. La biotech grimpe de 64% après avoir publié des résultats encourageants portant sur son candidat-médicament oral contre l'obésité.Valeurs en hausseToujours volatil, Emeis signe une troisième séance de progression et domine le SBF 120.Belle séance aussi pour les équipementiers automobiles à l'image d'Opmobility et Forvia.Carrefour finit en tête du CAC 40 avec Teleperformance, Publicis Groupe et Orange.Enfin sur le SRD, la biotech Genfit poursuit son envolée et grimpe désormais de près de 60% en un mois.Valeurs en baisseC'est une nouvelle séance de forte correction pour Atos. Le groupe a reçu deux offres "révisées" de restructuration financière. L'une d'EPEI, du milliardaire tchèque Daniel Kretinsky, allié au fonds Attestor, l'autre de Onepoint, premier actionnaire de l'entreprise avec environ 11% du capital, dans un consortium comptant également la société d'investissement de l'homme d'affaires Walter Butler, l'entreprise Econocom, et un groupe de "certains créanciers" d'Atos. "La mise en œuvre des propositions entraînera dans tous les cas de figure une dilution massive des actionnaires actuels d'Atos", a prévenu le groupe informatique français, ce qui explique la réaction boursière du jourSoitec, ID Logistics et Viridien reculent également.Sur le CAC 40, c'est TotalEnergies qui manquait de carburant. Le groupe multiénergies est pénalisé par la glissade marquée du Brent qui repasse sous les 80 dollars le baril, à moins de 78,50 dollars.Société Générale (NDLR : maison mère de Boursorama), Dassault Systèmes et L'Oréal complètent le groupe des plus forts replisLG (redaction@boursorama.fr) Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d’informations.
La bourse de Paris achève le mois de mai avec une séance sans tendance, un indice qui est resté stable depuis le début de la matinée. Au final, il enregistre une légère hausse de 0,18%, clôturant à 7 992 points.Dans la zone euro, l'indice des prix à la consommation préliminaire a dépassé les attentes, augmentant de 2,4 à 2,6% au cours du mois de mai en rythme annuel, alors que le consensus prévoyait une hausse de 2,5%.Cependant, l'événement le plus attendu concernait l'inflation outre-Atlantique, avec les indices PCE pour le mois d'avril. Aucune surprise négative n'a été enregistrée, les données font ressortir un taux d'inflation annuel stable par rapport à mars, à 2,7% en données brutes et à 2,8% hors énergie et alimentation, des chiffres qui sont conformes aux attentes.Sur le CAC 40, TotalEnergies occupe la première place avec une hausse de 2,60%, le titre se reprend après 3 séances dans le rouge. Juste après, Edenred reprend également son élan, suivi par L'Oréal et Teleperformance avec des hausses respectives de 1,66. et 1,56%.En revanche, Capgemini recule à nouveau de 4,48%. Jefferies a abaissé sa recommandation sur le titre à 'conserver', avec un objectif de cours réduit de 255 à 195 euros, tandis que JP Morgan a ajusté sa cible à 210 euros.Dans son sillage, Airbus lâche 2%, Dassault Systèmes perd 1,25% puis Stellantis recule de 1,17%.Sur le SBF 120, à sa réouverture de cotation, Neoen s'envole de 20,57% suite à l'offre de rachat formulée par le fonds canadien Brookfield, qui valorise le producteur d'électricité verte à 6,1 milliards d'euros pour l'ensemble des titres. Par ailleurs, Deutsche Bank a relevé son objectif de cours sur la valeur à 39,85 euros.De l'autre côté, Atos décroche brutalement en fin de séance à -14,92%, suivi par Solutions 30 et Solvay.Et enfin pour terminer, à la clôture parisienne, le Dow Jones est en légère hausse alors que le Nasdaq est sous pression, l'indice cède 1,22% pour le moment.Antoine MORISSE (redaction@boursorama.fr) Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d’informations.
Entre le peu d'actualités sur les entreprises, les incertitudes autour de la politique des banques centrales, des chiffres de l'inflation pas forcément réconfortants en Allemagne et les tensions sur le marché obligataire, le CAC 40 avait de bonnes raisons de baisser aujourd'hui. Et c'est ce qu'il a fait assez nettement en terminant cette journée sur un repli de 1,52% à peine plus de 7.935 points, sous les 8.000 points et 3,2 milliards d'euros échangés.Pas de réconfort à attendre du marché américain puisque vers 17h45, le Dow Jones cédait 0,9% et le Nasdaq 0,4% pour à peu près les mêmes raisons. American Airlines plonge de 15%. Le groupe a réduit hier sa prévision de bénéfice pour le trimestre en cours, Jefferies a abaissé sa recommandation sur le titre à "conserver" contre "acheter". Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d’informations.
Depuis qeulques séances, le CAC 40 alterne entre hausses et baisses et après le rebond de la veille, il finit donc cette journée à -0,92% vers les 8.058 points et 2,5 milliards d'euros échangés dans une actualité plutôt clairsemée, avoir avoir cédé du terrain tout au long de la séance.Outre-Atlantique, l'évolution des indices est plus contrastée avec en cette fin d'après-midi, un Dow Jones à -0,33% mais un Nasdaq qui prend 0,5%. A noter que Nvidia bat un nouveau record à près de 1120 dollars le titre et que l'effervescence reprend un peu sur GameStop. L'action du distributeur de jeux vidéo américain grimpe de 23% alors qu'il a levé un peu plus de 933 millions de dollars grâce à la vente de 45 millions d'actions nouvelles dans le cadre d'une offre au marché. Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d’informations.
En l'absence de Wall Street et de Londres en raison du Memorial Day et du Bank Holiday de Printemps, la bourse de Paris enregistre une hausse de 0,46% pour entamer cette semaine, clôturant à 8 132 points. Les volumes d'échanges demeurent relativement faibles, avec environ 1,59 milliards d'euros échangés au cours de la journée.L'actualité du jour est peu dense, en revanche l'événement attendu de la semaine sera la publication, ce vendredi, des statistiques outre-Atlantique sur les revenus et dépenses des ménages, accompagnée de l'indice des prix PCE. Ces données sont particulièrement scrutées par la Réserve Fédérale pour évaluer les pressions inflationnistes.Sur le CAC 40, Société Générale occupe la première place avec une hausse de 2,22%, suivi de près par Veolia et Teleperformance bien que Citi ait révisé à la baisse son objectif de cours sur le titre du géant mondial des centres d'appels.En territoire négatif, STMicroelectronics ferme la marche et enregistre une baisse de 0,69% suivi par Legrand, Unibail-Rodamco-Westfield, Schneider Electric et BNP Paribas qui enregistrent des baisses plus modérées.Sur le SBF 120, Worldline s’envole de 7,28%. Dans son sillage, Ayvens, anciennement ALD, progresse de 5,79%, tandis qu'Alstom gagne également 5,56% après le lancement, ce jour même, de son augmentation de capital avec maintien du droit préférentiel de souscription. Cette opération, d'un montant d'environ 1 milliard d'euros et proposée au prix de 13 euros, constitue la dernière étape du plan de désendettement de deux milliards d'euros annoncé par l'entreprise début mai.De l'autre côté du tableau, Soitec subit une baisse de 3,14%, puis Atos diminue de 3,11%. À moins d'une semaine de la date limite, les pourparlers se poursuivent en coulisses entre les candidats à la reprise d'Atos et ses créanciers. Le géant informatique français s'est donné jusqu'au 31 mai pour présenter une solution de sauvetage financier.Antoine MORISSE (redaction@boursorama.fr) Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d’informations.
Bon c'est une semaine incertaine qui s'achève pour le CAC 40. Il finit cette journée sur un repli de 0,09% vers les 8.095 points et 2,3 milliards d'euros échangés et abandonne 0,89% sur cinq séances.Entre réflexions moins accommodantes que prévu des membres de la Fed et des indices des directeurs d'achat mieux orientés qu'attendu, le scénario de baisses des taux échafaudé par les investisseurs semble bien fragile.Pourtant, après le repli marqué d'hier (-1,53%), le Dow Jones tente un rebond à 17h45, à +0,3% tout comme le Nasdaq (+1%) alors que Nvidia reprend à peine son souffle après avoir gagné 9,3% hier à plus de 1.046 dollars.Valeurs en hausseC'est Renault qui a passé la ligne d'arrivée en tête sur le SBF 120. La marque au losange sans doute un peu boostée par UBS passé de "vendre" à "neutre" sur le titre avec un objectif de cours relevé de 31 à 50 euros. Pour étayer son argumentation, le bureau d'analyses explique que, d'après ses calculs, Renault devrait être l'un des rares groupes du secteur à faire croître ses marges bénéficiaires cette année et pourrait finir l'exercice avec une trésorerie nette représentant pas loin de 40% de sa capitalisation boursière.Neoen, Ubisoft et Soitec sont également bien orientésTeleperformance se distingue aussi sur le CAC 40 :  le spécialiste de la gestion de la relation client a indiqué que son conseil d'administration a décidé d'annuler trois millions d'actions auto-détenues, représentant 4,7% du capital social. Des actions qui avaient été rachetées dans le cadre d'un programme mis en oeuvre en avril 2023.Sur le SRD, c'est Compagnie des Alpes qu'on retrouve en haut des cîmes (+8,4%). Au premier semestre de son exercice 23-24, le résultat net part du groupe a augmenté de 19% à 128 millions d'euros et la marge d'EBITDA s'est améliorée de deux points à 36,3%. Le groupe a relevé son objectif annuel d'EBITDA, l'attendant désormais en hausse de 15%, au lieu de 7% initialement.Valeurs en baisseEmeis décroche lourdement sur le SBF 120.VusionGroup a été chahuté aujourd'hui. En cause, une nouvelle attaque de hedge fund après celle de Gotham City Research en juin dernier. Cette fois, c'est ShadowFall qui reproche au spécialiste des étiquettes électroniques et des solutions digitales pour le commerce physique - sans pour autant le nommer - des irrégularités comptables. ShadowFall détient une position vendeuse sur VusionGroup selon un document déposé auprès de l'Autorité des marchés le 15 avril. "Cette nouvelle manipulation de marché est totalement sans fondement" a déclaré le spécialiste des étiquettes électroniques et des solutions digitales pour le commerce physique.Solutions 30 et Atos s'affichent aussi en repli.Les valeurs de l'aéronautique Airbus et Thales sont sous pression sur le CAC 40 tout comme Eurofins Scientific et surtout Edenred qui est lanterne rouge de l'indice.LG (redaction@boursorama.fr) Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d’informations.
On a pas trop su sur quel pied danser aujourd'hui à Paris. Côté satisfaction, les résultats publiés par Nvidia hier soir ont propulsé le titre au delà des 1.000 dollars alors que l'activité est au beau fixe et que les perspectives du groupe pour le deuxième trimestre sont supérieures aux attentes. Côté déception, les investisseurs ont pris connaissance du compte-rendu de la dernière réunion de la Fed avec des grincements de dents. Si Jerome Powell a déclaré que le prochain mouvement de la banque centrale "ne serait pas une hausse de taux" certains membres du FOMC semblent suggérer qu'il ne faut pas hésiter à relever les taux si nécessaire. De quoi remettre de l'incertitude sur les marchés.Résultat le CAC 40 termine à +0,13% vers les 8.102 points et 2,5 milliards d'euros échangés. A 17h45 le Dow Jones lui est plus resté bloqué sur la Fed et cède 0,7% quand le Nasdaq fait, lui +0,7% tiré par Nvidia qui grimpe de 10%Valeurs en hausseEuroapi domine le SBF 120 et le SRD. Le spécialiste des principes actifs a annoncé un accord de sous-traitance signé avec une entreprise mondiale de santé animale. La valeur totale attendue du contrat est de l'ordre de 130 à 150 millions d'euros sur la période 2025-2029.Derrière on retrouve Nexans et, paré de son nouveau nom Viridien, l'ex-CGG, ainsi qu'Euronext.Sur le CAC 40, Capgemini repart de l'avant, la SSII n'a enregistré que 3 séances de baisse sur les 10 dernières.Valeurs en baisseLa série baissière se poursuit pour Forvia. Cinq séances consécutives dans le rouge et un repli de 12,3% sur la période.Sur le CAC c'est Eurofins Scientific qui est à la peine à -3,6% sans que rien ne vienne vraiment l'expliquer.Soitec, lui, se replie dans la foulée de la publication, hier soir, de ses résultats annuels sur l'exercice 23-24. L'Ebitda a notamment baissé de 15% à 332 millions d'euros, faisant ressortir une marge de 34% contre 36% sur l'exercice précédent. Le spécialiste de la production de matériaux semi-conducteurs a confirmé ses objectifs sur l'exercice en cours : un chiffre d'affaires stable à périmètre et taux de change constants et une marge d'Ebitda autour de 35%. UBS a confirmé son conseil à l'achat avec un objectif de cours inchangé à 171 euros.Sur le SRD, on assiste à des prises de bénéfices sur Clariane après l'envolée des derniers jours. Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d’informations.
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