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Terrain Social

Author: Le Chantier

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Description

Podcast de conversation et de réflexion, Terrain Social propose des éclairages originaux et concrets sur les grands débats qui traversent nos sociétés. Travail, solidarités, rapports hommes-femmes, identités, environnement : chaque lundi, un.e invité.e trace, en compagnie d’Hugues Chevarin, de nouveaux possibles, qui sont autant de voies d’avenir.
Terrain Social est disponible sur toutes les plateformes d’écoute et sur lechantier.radio (http://lechantier.radio). 

Production : L’Onde Porteuse / Le Chantier
Ecriture : Hugues Chevarin
Attachée de production : Mathilde Thon-Fourcade
Habillage sonore : Théophane Bertuit
Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
93 Episodes
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Quel regard les enfants portent-ils sur la nature, celui d’abord, peut-être de leurs parents, de la position sociale de ces derniers, mais aussi des valeurs qui lui attribuent : beauté, découverte, effort…L’accès à ces richesses naturelles est-il fonction de cette distinction sociale faite de capital financier et/ou culturel ? Ce capital est-il conforté par l’institution scolaire, mais aussi partagé par le brassage des différences sociales ? Enfin la question écologique oblige-t-elle à repenser les appropriations de la nature par les enfants ?Julien Vitores, agrégé de sciences économiques et sociales, est sociologue. Il enseigne à l'université Sorbonne-Paris-Nord. Ses travaux portent sur la socialisation des enfants, les inégalités d'apprentissages et la construction sociale du rapport à la nature.Il publie aux éditions La découverte, une passionnante enquête, La nature à hauteur d’enfants, Socialisations écologiques et genèse des inégalités.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
La Fraternité, troisième terme de la devise républicaine, n’est pas de la même nature que les deux premiers. C’est une métaphore employée dans “des situations inadéquates” car elle rassemble des personnes qui ne sont pas frères…Celle-ci est de toutes les époques ! Toutefois, si elle est la fille de 1789, elle est la mère du Printemps des peuples en 1848 qui la grave aux frontons et la porte à son point d’orgue … jusqu’au fratricide.  Est-elle donc tout et son contraire -les pires régimes-, réclament aussi ce terme ? De quel imaginaire tire-t-elle sa puissance ? Quels outils, des images, forge-t-elle pour les luttes actuelles ?Docteur en relations internationales (Université d’Oxford) et ancien élève de l’École normale supérieure de la rue d’Ulm (ENS PSL), Arthur Duhé est chercheur postdoctoral (ANR Access ERC) à l’Université Paris 8.Il publie aux éditions Anamosa, dans la collection Le mot est faible, le titre : Fraternité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Le mot progrès, seul ou accompagné, est une source intarissable de disputes en contexte français ou à l'international.  Une définition onusienne ne laisse pas d’interroger sur le/les sens qu’il  peut revêtir. Il se réinvente selon les lieux et les époques. Toutefois, quand il s’adjoint l’adjectif “social”, le progrès change-t-il de nature ? Dans quel contexte, ce “progrès social” a-t-il fait ses armes ? Le progrès véritable n’est-il possible que sous la forme de progrès social ? Est-il anti-capitaliste, anti-colonial, et nécessairement relié au développement qualifié de durable ?Wolf Feuerhahn est historien des sciences, directeur de recherche au CNRS (Centre Alexandre-Koyré). Il enseigne les humanités environnementales à l’École polytechnique (Paris). Il codirige la Revue d’histoire des sciences humaines et la collection « Archives » des Publications scientifiques du Muséum national d’histoire naturelle.Il publie aux éditions Anamosa, dans la collection Le mot est faible, Progrès.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Les grands ensembles, sortis de terre au tournant des années 60-70, devaient répondre à la crise du logement, d’autres crises s’y sont succédé. A Grigny, dans l'Essonne, deux cités - La Grande Borne et Grigny 2- sont devenues emblématiques des évolutions sociales dans les quartiers populaires de banlieues.De l’événement -l'attentat de l'Hyper Cacher en janvier 2015 perpétré par Amedy Coulibaly, natif de Grigny, à la vie quotidienne de cette banlieue durant les dix années qui ont suivi-, ce duo de sociologues a pratiqué la ville et ses habitants, loin des idées reçues et des assignations. Que montre le temps long de l’enquête -une réalité plus riche et plus complexe que celle, réductrice et stigmatisante, du temps médiatique. A quel continuum de violence ses habitants sont-ils soumis ? Quelles stratégies, quelles solidarités sont activées pour y faire face ? Que se joue-t-il dans leurs parcours de vie entre arrivée et départ ? Que peut la sociologie pour construire un avenir plus juste ?Gérôme Truc est sociologue, chercheur au CNRS, membre de l'Institut des sciences sociales du politique. Il co-publie, aux éditions La découverte avec le sociologue Fabien Truong, Grands ensemble - Violence, solidarité et ressentiment dans les quartiers populairesHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Un constat : “Mourir en France coûte cher” ! Nous, citoyennes et citoyens français, sommes laissés seuls devant la Mort, et qui plus est aux seules mains du secteur privé !Est-il possible de sécuriser socialement la fin de la vie, et l’après, à l’exemple d’autres moments -la naissance - ou d’autres domaines - maladie, accidents du travail, ou à venir celle de  l’alimentation ? Ne serait-ce pas l’ultime conquête de notre commune humanité ? Qu’en est-il d’un service public de la mort pour faire face au “papy crash” ? Ou encore de la mise en place d’une véritable démocratie de la mort, tout en collégialité ?Jean-Loup de Saint-Phalle, professeur d’Histoire-Géographie en collège, est  cofondateur du collectif Pour une Sécurité sociale de la mort et auteur de la conférence gesticulée Une danse macabre. Il co-publie avec son collègue Alban Beaudouin, Le Coût de la mort, La Sécurité sociale jusqu’au bout aux éditions du Détour.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
La tech nous vante les prouesses de l’IA. Que dissimule ce meilleur des mondes ? Gare aux algorithmes ! Où sont-ils ? Que font-ils ? Quels sont les responsables des modes de calcul ? Quelles sont les modèles qu’ils promeuvent ? Comment la société, les citoyen.ne.s peuvent-ils s’en protéger ? Est-il possible de reprendre le contrôle ?Hubert Guillaud, éditeur de formation, est journaliste et essayiste, spécialiste des systèmes techniques et numériques et de leurs impacts sur la société. Il est aussi rédacteur en chef d’InternetActu.net et responsable de la veille à la Fondation Internet nouvelle génération (FING). Il est également à l'initiative, depuis 2002, de La Feuille, le blog de référence sur l’édition électronique.Il publie aux éditions La fabrique, un ouvrage très éclairant, Les algorithmes contre la société.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
"Émeutes contre la vie chère, émeutes raciales et anti-policières, émeutes anti-immigrés, émeutes publiques quasi-insurrectionnelles… Toujours imprévisibles, extra-légales et illégitimes, les émeutes sont devenues, en ce début de XXIe siècle aussi diverses qu’innombrables, et l’auteur en fait le tour et retrace l’histoire du mot."Voilà bien un mot redoutable tout comme son objet. Pour autant, il n'est pas insaisissable !Michel Kokoreff est sociologue, professeur à l'université Paris 8 Vincennes-Saint-Denis et et chercheur au Cresppa (CNRS). Spécialiste de la banlieue, de l'usage et du trafic des drogues et des formes de militantisme dans les quartiers populaires, il s'intéresse à la sociologie urbaine, la sociologie de la déviance, mais aussi à l'analyse des politiques publiques et des mutations sociales.  Il publie au éditions Anamosa, dans l’indispensable collection Le mot est faible : ÉmeuteComment se saisir de l’objet émeute ? Que nous apprend le temps long de ces irruptions, de ces émotions ? Quels sentiments surgissent le temps de l’émeute : rage, joie, jubilation ? “Pourquoi tant d’émeutes” s’interroge Michel Kokoreff ?Terrain Social vous plonge au cœur d’un phénomène violent - l’émeute- pour en connaître les ressorts, les limites mais aussi les impasses.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Quand le collectif, le combat syndical, structure la vie, la retraite est-elle un écueil ? Les retraités cégétistes de Peugeot-Sochaux démontrent le contraire dans leurs solidarités sans cesse renouvelées.Terrain Social reçoit Nicolas Renahy, sociologue, directeur de recherches à l’INRAE, Institut national de recherche pour l'agriculture, l’alimentation et l’environnement. Il a publié, aux éditions La découverte, Jusqu’au bout, Vieillir et résister dans le monde ouvrier.Christian, Bruno, Christiane, Clairette et ses apéros, Viviane et bien d’autres, tous anciens de Peugeot à Sochaux-Montbéliard forment un collectif joyeux, fait d’entraide, de petits riens en grand service ! La lutte les a soudé.e.s à jamais et “Jamais ils ne battront en retraite”. Le sociologue Nicolas Renahy nous plonge au cœur d’une généreuse enquête, au plus près du terrain.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Nos pratiques, nos modes de vie, nos systèmes de production et de travail génèrent des déchets, des ruines dont nous ne pouvons faire l’économie ! Le capitalisme doit-il seul s’en occuper au risque d’aggraver les conditions pour toute forme de vie ? En quoi la notion de “commun” doit évoluer pour n’être pas que “bucolique”, comme le souligne notre invité ? De quelle nature sont ces “communs dits négatifs” ? Doit-on repenser de fond en comble les principes, les mécanismes sur lesquels repose notre maison commune ? N’est-il pas temps de renoncer, d’adopter une culture du retrait, du démantèlement que prônent ces penseurs de la redirection écologique ? Alexandre Monnin est enseignant-chercheur, directeur scientifique d'Origens Medialab et directeur du MSc "Strategy & Design for the Anthropocene" (ESC Clermont BS x Strate Ecole de Design Lyon). Depuis 7 ans, il réfléchit aux enjeux de la redirection écologique, un courant qu'il a co-initié avec Emmanuel Bonnet et Diego Landivar, avec lesquels il a co-écrit Héritage et Fermeture (Divergences, 2021). Il poursuit et augmente cette réflexion dans Politiser le renoncement, toujours aux éditions Divergences.  Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Que vient donc prôner le néolibéralisme dans sa “volonté” de pousser une élite féminine sur la scène économique et financière ? Briser, enfin, le fameux plafond de verre ? Ces quelques élues ne sont-elles qu’un alibi ? Quel danger fait-il courir au féminisme et aux valeurs d'émancipation qu'il porte ? Sandrine Holin, après des études en sciences politiques et en sciences humaines, a exercé dans le secteur des affaires publiques et de la finance avant d'entamer le projet de recherche nourrissant l’essai publié aux éditions La découverte, Chères collaboratrices. Comment échapper au féminisme néolibéral. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Que reste-t-il de la classe ouvrière ? A-t-elle disparu ? Quelles formes prennent les nouvelles mobilisations ? Comment sont-elles inscrites dans le temps ? Que transmettent-elles -valeurs, mémoire et manières de lutte- ? De grands combats ouvriers ont agité ce début de XXIe siècle. Beaucoup ont été perdus mais la demande de justice reste toujours aussi forte.   Nathalie Frigul est maître de conférences en Sociologie à l’université Picardie - Jules Verne, elle est membre du Centre Universitaire de Recherches sur l'Action Publique et le Politique - Épistémologie & Sciences Sociales (CURAPP- ESS ). Elle a codirigé et cosigné en collaboration avec Pascal Depoorter, Thomas Venet et Sébastien Vignon : Les mondes ouvriers : figures de (dé)mobilisations , aux Presses Universitaires du Septentrion. Elle y contribue, en particulier, avec Pascal Depoorter dans l'article : Crise, mobilisations et judiciarisation des conflits de travail.   Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Que recèle dans ses entrailles, dans ses vitrines, dans ses galeries, le "musée universel" ? Que représente-t-il au yeux des peuples pillés ? Est-il le symbole le plus “prestigieux” du projet colonial et impérialiste occidental ? Est-il possible de le décoloniser ou faut-il faire musée autrement ?  Françoise Vergès, politologue, féministe antiraciste, est l’autrice de plusieurs travaux d’importance sur l’esclavage colonial, le féminisme, la réparation et le musée. On lui doit, à La fabrique éditions, Un féminisme décolonial, en 2019, ainsi qu’Une théorie féministe de la violence, en 2020. Elle s’attaque en 2023 à une institution, le musée universel occidental, dans Programme de désordre absolu, Décoloniser le musée, toujours à La fabrique éditions, dont on fête, cette année, les 25 ans d'existence.  Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
“Qu’est-ce qu’être musulman aujourd’hui en France ?” Que disent ceux et celles qui se disent musulman.e.s ? Sont-ils attentifs à la manière dont on les nomment ? Est-ce une identité paisible ?  Marie-Claire Willems est docteure en sociologie, membre du laboratoire Sociologie, philosophie et anthropologie politique (Sophiapol) de l’université Paris-Nanterre et de l’Association française des sciences sociales des religions (AFSR).Elle publie, aux éditions du Détour, Musulman. Une assignation ? Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Pourquoi la justice, en France, fait-elle preuve d’une telle frilosité dans l’accompagnement des détenus en milieu ouvert ? Ces placements extérieurs sont-ils la solution à la récidive ? A quels profils de détenus les équipes d’encadrants des fermes Emmaüs sont-elles confrontées ? Sont-elles suffisamment préparées pour les accompagner ? Est-il possible d’essaimer ces expériences sur tout le territoire ?  Sarah Dindo est chargée d’études, formatrice et consultante sur les questions de  probation. Elle a été responsable pendant dix ans des publications de l’OIP (Observatoire International des Prisons, section française). Elle publie, Entre Taule et Terre, Construire une alternative à la prison, aux éditions du commun. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
A quelles résistances les mentalités françaises sont-elles soumises pour ne pas prendre conscience de l’ampleur du problème ? Dans quel continuum de violence ces féminicides s’inscrivent-ils ? Comprendre la psyché des agresseurs, des auteurs de violences conjugales, est-il un des chaînons pour appréhender, et en finir avec, ce cycle de mort ?  Laurène Daycard est membre du collectif de journalistes indépendantes Les Journalopes. Elle collabore notamment avec Mediapart, L’Obs et Libération. Elle publie aux éditions du Seuil, Nos absentes. A l’origine des féminicidesHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Statistiques publiques, chiffres évaluatifs, indicateurs chiffrés régissent-ils nos vies, nos sociétés et notre avenir ? Peut-on valablement s’en passer ? Mais surtout, n’est-il pas temps d’en débattre, d’en reprendre le contrôle, et peut-être d’en proposer de nouveaux ?  Olivier Martin est sociologue et statisticien. Il est professeur à l’Université Paris Cité et directeur du Centre de recherche sur les liens sociaux (Cerlis). Il conduit des recherches sur les rôles et les places des chiffres dans nos sociétés depuis plusieurs années. Il publie aux éditions Anamosa, dans la très estimée collection Le mot est faible, Chiffre. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Violences policières ou violences des policiers, violence isolée ou systémique ? Est-il souhaitable de questionner le rôle de la police ? Est-il même pensable de se passer de cette institution ? En quoi les faits qui lui sont reprochés -racisme, sexisme, violences physiques- confirment la nocivité de cette institution, et donc de son inutilité dans une société démocratique ?   Paul Rocher est économiste, diplômé en science politique de Sciences-Po Paris. Il est l'auteur de Gazer, mutiler, soumettre. Politique de l'arme non-létale en 2020.  Il récidive en 2022, à La fabrique éditions, avec le titre : Que fait la police ? et comment s’en passer. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Quelle est la place du travail dans l’histoire des luttes féministes ? En quoi le travail est-il l’un des moteurs principaux de l’émancipation des femmes ? Quelles en sont les étapes marquantes -avoir un travail, et des conditions dignes, un salaire horaire, pouvoir disposer des fruits de son travail, ainsi que l’égalité salariale qui se fait attendre- ? Voilà des questions qui se sont posées dès le XIXème !  Mathilde Larrère  est enseignante-chercheuse en histoire, spécialiste du XIXe siècle. Elle enseigne à l’uni­versité Gustave-Eiffel ainsi qu’à l’Institut d’études politiques de Paris et intervient régulièrement dans des universités populaires. Elle tient également une chronique d’histoire pour Arrêt sur Image et pour la revue Politis, où elle co-dirige avec l’historienne Laurence De Cock la ru­brique « L’Histoire n’est pas un roman ».  Elle publie Guns and roses, Les objets des luttes féministes, aux éditions du Détour. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Que se passe-t-il donc à l'université pour qu’elle soit si vilipendée par la droite néo-conservatrice et réactionnaire tant en Amérique du Nord qu’en France ? Que se tramerait-t-il, en particulier, dans les sciences sociales ? Ne seraient-elles qu’un repère de féministes enragé.e.s et de militant.e.s anti-racistes, pourfendeurs des études classiques ? Que disent ces élucubrations de l’agenda des droites réactionnaires ? Assiste-t-on, là, à la bataille des idées dans la guerre culturelle qu’elles livrent aux progressistes ?  Francis Dupuis-Déri est professeur de science politique à l’Université du Québec à Montréal (UQAM). Auteur de très nombreux ouvrages faisant autorité, il publie aux éditions Lux, Panique à l’université. Rectitude politique, wokes et autres menaces imaginaires. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Qui sait encore qu’à un moment de notre histoire, les ouvriers et leurs représentants ont autogéré la Sécurité sociale, le fameux régime général de 1946, ont eu la main sur les cotisations, mais aussi les choix faits dans les dépenses de santé ?  Et que dès lors, l’État social, produit de la guerre totale, n’aura de cesse de se réapproprier ce “régime général”.  Nicolas Da Silva est maître de conférences en sciences économiques à l’université Sorbonne Paris Nord. Il publie à La fabrique Éditions, La bataille de la Sécu, Une histoire du système de santé. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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