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Décodeur de la Communication

Décodeur de la Communication
Author: Laurent FRANCOIS | Agence Maverick
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© Laurent FRANCOIS | Agence Maverick Communication
Description
Le Décodeur de la Communication est le podcast des pro de la com. Chaque semaine, un.e dircom présente son parcours, son job et donne des conseils de carrière. Le podcast est présenté par Laurent FRANCOIS, fondateur et dirigeant de l'agence Maverick Communication.
Pour nous contacter pour créer votre podcast de marque : ddlcpodcast ( @ ) agence-maverick.com
Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
362 Episodes
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Deuxième partie de l'épisode en compagnie d'Estelle Ardouin, directrice Relations presse & Editorial chez Alliance France. Nous parlons crise, Jeux Olympiques et, d'une manière beaucoup plus globale, d'ouverture d'esprit. Mais, après tout, quoi de plus normal quand on est une Queen de la Com comme Estelle !Gérer la crise : entre anticipation et cohésionEstelle Ardouin le rappelle : aucune crise ne se ressemble et il n'existe pas de recette miracle. L'écoute des signaux faibles et la préparation, comme lors des JO avec Allianz et Munich, permettent de mieux en contenir les effets. L'humain est au cœur, la solidarité des équipes s’exprime pleinement dans la tempête, soudant durablement les collaborateurs.La force du collectif face à l’adversitéLa crise, surtout quand elle dure, nécessite de l'organisation et un travail collectif. Ardouin insiste sur la nécessité de prévoir des temps de récupération pour chaque membre afin d’éviter l’épuisement. La vigilance des uns envers les autres, au-delà des hiérarchies, est un gage de résilience.Jeux Olympiques : l’engagement interne et le rayonnementL’engagement d’Allianz France autour des JO fut exceptionnel, tant sur le volet marque que communication interne. La mobilisation des collaborateurs, les actions sportives et l’organisation d’événements ont renforcé la fierté d’appartenance et l’impact positif sur la cohésion d’équipe.L’importance de la marque et de la cohérenceLa marque Allianz confère crédibilité et impact, notamment dans la presse et l’influence. Pour Estelle Ardouin, cohérence entre discours interne et externe est non négociable : les collaborateurs sont les premiers ambassadeurs et garants d’une communication authentique.Une vocation tournée vers l’humain et la sociétéEstelle Ardouin évoque son goût des autres, transmis par sa mère. Son ambition : avoir un impact sur la société grâce à son métier, comme avec l’accompagnement de projets d’entrepreneuriat social à l’ESSEC ou Emmaus Connect avec SFR, facilitant la réinsertion des plus démunis par le numérique.Pour vous abonner à la newsletter : https://podcast.ausha.co/decodeur-de-la-communication?s=1 Très bonne écoute et abonnez-vous au Décodeur de la com !Laurent FRANCOIS, papa de l'agence Maverick & du Décodeur de la comHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Bas les masques ! En 5 ans de Décodeur de la com, je n'ai que très peu parlé de moi. Alors, quand Emma Brard dircom de XPO Logistics France, m'a proposé, fin 2024, de m'interviewer, je me suis rappelé que le podcast fêterait ses 5 ans en octobre 2025. J'ai donc accepté son invitation mais, je l'avoue, je n'en menais pas large...Débuter dans la com par hasard Poser les questions, oui. Y répondre, c’est autre chose. Pourtant, cette conversation m’a permis de revenir sur mon parcours commencé par hasard chez Publicis, après quelques années dans l’industrie du disque. J’ai découvert la communication employeur, la pression du résultat et le goût du commerce, moteur que je n’ai jamais perdu.Les gens avant les marquesDe fil en aiguille, j’ai appris à écrire, à créer, à diriger, jusqu’à fonder Maverick en 2010. L’agence a connu des hauts, des bas, et surtout des rencontres décisives. Car au fond, ce que je retiens de 25 ans de communication, ce sont avant tout les gens. Je me souviens plus facilement des prénoms des enfants de mes clients que de leurs campagnes.Des sujets essentiels à mes yeuxAvec Emma, nous avons aussi parlé de ce qui me porte : la place des femmes dans la communication, la nécessité du courage dans notre métier, et ce doute permanent qui empêche la routine de s’installer. Être patron, c’est créer de la richesse humaine avant tout. Et être communicant, c’est oser penser quand tout le monde appuie sur des boutons.Je remercie Emma pour ce moment. Elle a démontré son très grand talent en me faisant parler. Et, croyez-moi, ce n'est pas facile !Pour vous abonner à la newsletter : https://podcast.ausha.co/decodeur-de-la-communication?s=1 Très bonne écoute et abonnez-vous au Décodeur de la com !Laurent FRANCOIS, papa de l'agence Maverick & du Décodeur de la comHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Bon, je dois vous l'avouer, dans la série des questions des auditeurs, j'ai été tellement décontenancé par celle de Marc Thébault, que j'ai complètement raté le montage de la fin de l'épisode 3.Alors, parce que cette question, autour de Cyrano et de l'amour est à mon sens fondamentale, je vous laisse la découvrir ET, parce qu'elle est vraiment de très haut niveau, j'ai décidé de la poser désormais à mes futurs invités. Après tout, il n'y a pas de raison qu'il n'y ait que moi qui galère à répondre 😂😅Très bonne écoute et merci encore à tous les auditeurs du Décodeur qui m'ont posé des questions !Pour vous abonner à la newsletter : https://podcast.ausha.co/decodeur-de-la-communication?s=1 Très bonne écoute et abonnez-vous au Décodeur de la com !Laurent FRANCOIS, papa de l'agence Maverick & du Décodeur de la comHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Pour ce troisième et dernier épisode spécial “Questions des auditeurs”, à l’occasion des 5 ans du Décodeur de la com, j’ai fait une descente d'organes. Et pour cause : les questions de ce dernier épisode sont extrêmement complexes.Peut-on concilier marketing et durabilité ?Jean-François Granat décide d’attaquer fort : comment concilier marketing et développement durable dans un monde déjà gavé de messages commerciaux ?Quel bug je garderais dans la version 5.0 du Décodeur ?Florian Grimault, devenu “trafiquant légal d’attention”, me demande quel bug je garderais dans le podcast. Est-ce que je conseillerais à ma fille de faire de la communication ?Question signée Delphine Brard. Ma naine de jardin, bientôt 14 ans est déjà accro à son mobile donc...Quant à la dernière question... Un souci de montageMarc Thébault me demande si, au fond, le communicant n’était pas un Cyrano qui prête ses mots à Christian tout en espérant, un jour, que Roxane l’aime. Oui oui, oui, c'est celaaaaaa oui... J'étais téllement en PLS que j'ai merdouillé dans le montage.La question de Marc, sincèrement d'un top niveau, fera donc l'occasion d'un mini épisode à elle tout seul.Toutes mes excuses et merci encore à Céline Branaa qui m'a fait remarqué cette grossière erreur qui est d'ailleurs une première !Petits rappels : Pour écouter le 1er épisode de questions des auditeurs : https://podcasts.apple.com/fr/podcast/1-3-les-questions-des-auditeurs-les-coulisses-du-d%C3%A9codeur/id1532638419?i=1000728124762Le 2ème épisode des questions auditeurs est ici : https://podcasts.apple.com/fr/podcast/2-3-i-a-chasse-aux-%C3%A9gos-campagnes-de-pub-et-envies/id1532638419?i=1000728742636Pour vous abonner à la newsletter : https://podcast.ausha.co/decodeur-de-la-communication?s=1 Très bonne écoute et abonnez-vous au Décodeur de la com !Laurent FRANCOIS, papa de l'agence Maverick & du Décodeur de la comHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans la série Transition du Décodeur de la Com, je rencontre des professionnels en quête d’un nouveau défi. Nadia Bahhar-Alves en fait partie, mais attention : il ne s’agit pas d’une parenthèse mais plutôt d’un tremplin. Après une carrière menée tambour battant dans la santé, en agence et dans l’enseignement supérieur, elle cherche un défi à la hauteur de son énergie et de ses convictions.🤙 Pour contacter Nadia : https://www.linkedin.com/in/nadiabahhar/Un parcours multipisteLabo pharma, santé publique, grande agence comme Havas, puis direction de la communication d’un groupe d’écoles : Nadia coche toutes les cases d’une dircom haut de gamme. Elle a géré des campagnes d’influence pour Carrefour comme des plans de com internes pour 400 collaborateurs répartis en Europe. Son fil rouge ? Construire, relier, faire circuler la parole.Développer une culture plutôt qu’imposer une ligneChez AD Éducation, elle a bâti une stratégie de communication interne presque from scratch. Newsletters bilingues, valorisation des nouveaux collaborateurs, moments de rencontre : la com interne devient outil d’adhésion et de fierté. Sa vision : une communication efficace commence à l’intérieur – sinon tout le reste sonne faux.Crises, alertes et pédagogieOui, Nadia a géré des crises. Mais elle rappelle que le vrai travail commence avant et rime avec les verbes anticiper, alerter et éduquer. Un bon dircom n’est pas seulement un pompier : c’est un garde-fou. Et parfois, il faut savoir dire « attention »… même quand personne n’a envie de l’entendre.Une dircom qui veut peserQuels sont les secteurs de prédilection de Nadia ? Éducation, santé, transition écologique, diversité et inclusion. Pas pour cocher des cases RSE, mais pour agir par la preuve. Elle milite pour une place pleine et entière du dircom au comité de direction. Pas en figurant de fin de réunion, mais en dirigeant, puisque la com, c’est du stratégique.En somme, Nadia n’est pas en pause : elle est dans les starting blocks. Son prochain poste ? Là où une entreprise ou institution attend d’une dircom qu’elle éclaire, alerte et engage. Et elle est prête à le prouver.Pour vous abonner à la newsletter : https://podcast.ausha.co/decodeur-de-la-communication?s=1 Très bonne écoute et abonnez-vous au Décodeur de la com !Laurent FRANCOIS, papa de l'agence Maverick & du Décodeur de la comHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Seconde partie de l'épisode consacré à la marque en compagnie de Jean-François Granat et Fred Fougerat.Ames sensibles s'abstenir : nous abordons la marque employeur, la place stratégique de la communication dans l’entreprise et la capacité d’une marque à tenir — ou non — sa promesse.La marque employeur n’existe pas !Le débat est rapidement tranché : pour Jean-François comme pour Fred, la "marque employeur" n’est qu’un abus de langage. Il n’y a pas une marque pour les RH, une autre pour les clients ou la logistique. Il n’existe qu’une seule marque, alimentée par l’ensemble des fonctions de l’entreprise. Ce que l’on appelle « marque employeur » n’est qu’une image employeur, construite collectivement. RH et communicants : guerre de territoire ou alliance stratégique ?Contrairement à l’idée reçue d’un clash permanent entre Dircom et DRH, les deux invités témoignent d’expériences fructueuses. Quand les compétences sont respectées, les alliances fonctionnent — à condition que l’ego ne prenne pas le dessus. La clé : une autorité professionnelle partagée et un dirigeant qui fixe un cadre clair.Le rôle de la communication : valoriser et protéger la marqueÀ la question « à quoi sert la communication dans la construction de la marque ? », Fred répond : promouvoir, mais aussi protéger. La communication ne fabrique pas la marque à elle seule, mais elle orchestre les récits, révèle la cohérence et défend la réputation. Elle agit comme un chef d’orchestre… ou de cuisine, selon la métaphore de Jean-François.La promesse de marque : tenir ou disparaîtreUne marque n’est rien sans preuve. La promesse n’a de valeur que si elle est tenue dans l’expérience client. Darty et son SAV, American Express ou Hermès sont cités comme exemples de promesses solides. À l’inverse, les marques de luxe qui glissent du savoir-faire vers le bling-bling s’exposent au retour de bâton.Nos marques préféréesPatagonia, Apple, Opinel, Lacoste, Eataly… Chacune pour une raison différente : cohérence, simplicité, exigence ou plaisir. Preuve que les marques les plus fortes sont celles qui s’adressent autant à la raison qu’à l’affect.Et vous aurez aussi l'occasion de découvrir que je suis un pur "No-no" qui restera passionné de musique jusqu'à son dernier souffle.Un scoop : le prochain livre de Fred FougeratL'épisode se termine sur un scoop : Fred vous parle de son prochain livre, à paraître en fin d'année. Il traitera de... à vous d'écouter jusqu'au bout 😂Pour vous abonner à la newsletter : https://podcast.ausha.co/decodeur-de-la-communication?s=1 Très bonne écoute et abonnez-vous au Décodeur de la com !Laurent FRANCOIS, papa de l'agence Maverick & du Décodeur de la comHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans cette deuxième partie des Questions des Auditeurs du Décodeur, je réponds en espérant ne pas dire trop de bêtises ! Après un premier épisode consacré aux coulisses et à l’ADN de la communication, ce deuxième volet aborde des thèmes plus sensibles et parfois même un peu vertigineux.Christelle Evita, elle, soulève un sujet brûlant : l’impact de l’intelligence artificielle sur nos métiers de communicants. Florian Grimaud m’invite à choisir entre “allumer des idées” ou “éteindre des égo” – une question aussi poétique que piquante. L'occasion de mettre en lumière 2 campagnes de com que j'ai apprécié dernièrement, aussi.Céline Branaa me demande ce qui me donne encore envie de continuer le podcast après toutes ces années et, enfin, David Bessis me pousse à parler de ma fille et de la manière dont elle perçoit mon métier. Un grand merci à celles et ceux qui ont pris le temps de m’envoyer leurs questions. Vous êtes la meilleure preuve que le Décodeur de la com est avant tout une aventure collective.Pour écouter le 1er épisode des Questions des auditeurs : https://podcasts.apple.com/fr/podcast/1-3-les-coulisses-du-d%C3%A9codeur-de-la-com-les/id1532638419?i=1000728124762Pour vous abonner à la newsletter : https://podcast.ausha.co/decodeur-de-la-communication?s=1 Très bonne écoute et abonnez-vous au Décodeur de la com !Laurent FRANCOIS, papa de l'agence Maverick & du Décodeur de la comHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Le Décodeur de la com fête ses 5 ans ! Cinq années à tendre mon micro aux dircom & communicants et, surtout, à faire de très belles rencontres. Alors, pour cet anniversaire, j’ai décidé d'inverser les rôles : cette fois, c'est vous, chers auditeurs, qui m’interviewez.Dans ce premier épisode très spécial, Céline Branaa me demande de définir l’ADN de la communication.David Bessis revient sur l’origine du podcast, alors que Sandra Chevalier veut connaître les coulisses de la préparation des interviews. Fred Fougerat s’interroge quant à lui sur la pression qui accompagne le Décodeur.Enfin, Delphine Brard pimente la conversation avec une touche de philosophie en citant Engels (!)Le résultat ? Je vous laisse le découvrir. Quelques indices : je parle de mon parcours, de ma vision du métier et… de ce qui me fait continuer à sortir aujourd'hui 2 épisodes par semaine. Merci pour vos questions, vos écoutes et votre fidélité. Il y aura 2 autres épisodes de questions/réponses, sur des sujets assez complexes par moment (oui, j'en ai ch*é, parfois 😅).Pour vous abonner à la newsletter : https://podcast.ausha.co/decodeur-de-la-communication?s=1 Très bonne écoute et abonnez-vous au Décodeur de la com !Laurent FRANCOIS, papa de l'agence Maverick & du Décodeur de la comHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Avant de devenir directrice RP & éditorial chez Allianz France, Estelle Ardouin, troisième invitée de la série Kings & Queens, se destinait aux relations internationales. Sciences Po Lyon, un master en Angleterre, des stages au ministère des Affaires étrangères… Tout la poussait vers la diplomatie. Mais la curiosité, l’appétit intellectuel et des rencontres décisives l’ont progressivement orientée vers un autre univers : celui de la communication. Et le moins qu'on puisse dire, c'est que le parcours com d'Estelle est de taille "Queen Size" !La découverte de la RSE dès la fin des années 90C’est chez Danone, en stage de fin d’études, qu’Estelle vit une révélation. Plongée au cœur de la direction environnement, elle participe au premier rapport développement durable du groupe. Confrontée aux premiers questionnaires extra-financiers, elle comprend avant beaucoup d’autres que la durabilité deviendrait un enjeu stratégique pour les entreprises. Ce moment fondateur orientera durablement sa vision de la communication.La conviction que la durabilité doit être intégrée partoutAvec le recul, elle défend une approche claire : la RSE ne doit pas rester cantonnée à une direction dédiée. Elle doit être intégrée dans chaque métier, dans chaque action de l’entreprise. Pour elle, c’est “le sens de l’histoire” : un pilotage global, mais des pratiques concrètes à tous les niveaux.L’assurance au cœur de la sociétéChez Allianz, cette conviction prend tout son sens. L’assureur ne se contente pas d’indemniser : il investit, accompagne et anticipe. La durabilité est un levier stratégique majeur, que ce soit par l’investissement dans les énergies renouvelables, l’économie circulaire ou encore l’accompagnement des entreprises vers de meilleures pratiques. L’assurance est ainsi bien plus qu’un contrat : c’est une promesse de long terme, au cœur de la vie des Français.Les relations presse, un métier stratégique et exigeantDirectrice des relations presse et de l’éditorial, Estelle revendique une vision exigeante : les RP, c’est du sur-mesure. Connaître les journalistes, comprendre leur ligne éditoriale, proposer des angles pertinents : autant de conditions pour créer une relation gagnant-gagnant. L’IA redonne même un nouvel élan à ce métier, puisque les algorithmes s’appuient sur les médias de référence. Son credo : creuser un sillon stratégique, tout en restant agile face à l’actualité. Et, d'ailleurs, je ne saurais trop vous conseiller d'écouter ses conseils pour mettre en place une stratégie RP qui marche !Estelle reviendra dans une seconde partie d'entretien. Elle abordera la com de crise et bien d'autres sujets.Pour vous abonner à la newsletter : https://podcast.ausha.co/decodeur-de-la-communication?s=1 Très bonne écoute et abonnez-vous au Décodeur de la com !Laurent FRANCOIS, papa de l'agence Maverick & du Décodeur de la comHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ah la marque.... Pour en parler dans cet épisode du Décodeur, il fallait 2 pointures de la communication : j'ai nommé MM. Jean-François Granat et Frédéric Fougerat.Mes invités croisent leurs expériences et leurs convictions pour explorer en profondeur le concept de marque. Entre anecdotes historiques, analyses stratégiques et retours de terrain, ils livrent une discussion passionnante sur ce qui fonde et nourrit une marque aujourd’hui.L'épisode étant aussi vaste que la marque, il est scindé en 2 parties.Les origines de la marqueDès l’introduction, Jean-François revient sur une définition marquante proposée par Michel Serres. La « marque » viendrait de l’Antiquité : les prostituées d’Alexandrie gravaient des symboles sous leurs sandales afin de guider leurs clients. De ce signe distinctif est née l’idée de marque : un repère visuel, une empreinte qui attire et différencie. Une anecdote qui illustre la dimension symbolique et imaginaire au cœur de toute stratégie de marque.Une valeur immatérielle essentielleFred enchaîne en rappelant que la marque n’est pas un accessoire décoratif mais une compétence stratégique. Elle représente une valeur immatérielle parfois supérieure à celle de l’entreprise elle-même. Les exemples ne manquent pas : Bugatti, Heinz ou encore Trump démontrent que la puissance d’une marque peut dépasser largement les actifs financiers. Construire, protéger et développer cette valeur est un travail de long terme.Marque : les compétences du communicantPour les deux invités, la marque constitue l’une des cinq compétences clés du communicant. Elle exige de l’intelligence plus que des outils. Face aux solutions toutes faites ou à l’IA, c’est la vision et la culture de la marque qui permettent de bâtir une identité cohérente, crédible et incarnée. Derrière un logo ou un slogan, il y a des histoires, des hommes et des femmes, une identité sonore, visuelle et émotionnelle.La cohérence comme fil conducteurJean-François insiste : la force d’une marque repose sur sa cohérence. Chaque message, chaque action, chaque partenariat doit s’inscrire dans une logique commune. Un discours sur la RSE ne peut pas être crédible si l’entreprise s’associe à un grand pétrolier. De même, la multiplication de sous-marques ou de chartes graphiques dilue l’identité. Le rôle du communicant est donc de maintenir une ligne claire, quitte à rappeler fermement les règles.Entre éducation et autoritéL’expérience de Fred dans de grands groupes illustre la difficulté : cartes de visite différentes, typographies fantaisistes ou chartes multiples révèlent la tentation permanente de s’éloigner du cadre. Le communicant doit alors trouver l’équilibre entre pédagogie et fermeté. Expliquer, former, sensibiliser… mais aussi exercer une véritable autorité professionnelle, reconnue par la direction générale. Sans ce soutien, la cohérence de la marque ne peut être préservée.Les marques de fondateursCe premier épisode se termine sur les marques de fondateurs. Un ajout de complexité pour le communicant.Fred et Jean-François reviendront pour appréhender d'autres aspects de la marque et partager des expériences personnelles pour les développer.A très vite !Pour vous abonner à la newsletter : https://podcast.ausha.co/decodeur-de-la-communication?s=1 Très bonne écoute et abonnez-vous au Décodeur de la com !Laurent FRANCOIS, papa de l'agence Maverick & du Décodeur de la comHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Marine Guinle, responsable com interne chez Cultura, revient* vous parler de communication, au sens le plus larg,e dans cette seconde partie. Elle aborde sa passion de l'enseignement, l’engagement des communicants et les défis contemporains du métier.Enseigner la communicationQueen Marine enseigne la communication depuis près de 11 ans à l’INSEEC. Elle est donc en contact avec les jeunes générations. Son constat est sans appel : la curiosité des étudiants s’essouffle face au rythme frénétique du monde, à l’omniprésence des technologies et à la course à la productivité. Plutôt que de s’en lamenter, elle transmet la nécessité de sortir du cadre, d’aller questionner et comprendre au-delà de l’apparence. Elle insiste sur le “reality check” du marché du travail : personne n’attend les diplômés, tout se joue sur la capacité à réfléchir, à être singulier et curieux, à se distinguer dans leur démarche.Sens et pédagogie : engagement professionnel et impact sociétalMarine n’enseigne pas seulement des méthodes : elle initie ses étudiants à la conscience du secteur et aux enjeux de communication responsable. Elle valorise la réflexion stratégique, la capacité d’adaptation, l’empathie et le sens du collectif. Pour elle, le communicant exerce un métier d’utilité sociale, capable d’influencer positivement la société. Elle milite pour une pédagogie active et une posture respectueuse du public, loin du repli technique ou du narcissisme créatif.Pour une communication vivante, ancrée et responsableAu-delà des techniques et KPIs, Marine défend une vision ouverte de la communication : celle qui écoute, qui relie, qui assume sa part de responsabilité et qui fait de la curiosité et de la transmission une démarche essentielle. Elle encourage les jeunes communicants à aller “au-delà de la consigne”, à rester attentifs à leur environnement et à toujours travailler leur savoir-être autant que leur savoir-faire.Pour vous abonner à la newsletter : https://podcast.ausha.co/decodeur-de-la-communication?s=1 Très bonne écoute et abonnez-vous au Décodeur de la com !Laurent FRANCOIS, papa de l'agence Maverick & du Décodeur de la comPS : la première partie de l'interview de Marine, sur la com interne est ici : https://podcasts.apple.com/fr/podcast/enseignement-engagement-d%C3%A9fis-du-communicant-marine/id1532638419?i=1000726690702Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Fraîchement diplômé, Sami Amrani plonge depuis cette rentrée 2025 dans la vie professionnelle. Chargé de relations presse à la recherche de son premier emploi, il ouvre la série Younguns, qui donne la parole aux jeunes talents de la communication.Si vous recherchez un attaché de presse enthousiaste, doté d'indéniables qualités relationnelles et avec de premières expériences concluantes, contactez Sami : https://www.linkedin.com/in/samiamrani/Culture et proximité : l’expérience de Sami avec AllianzChez Allianz, Sami a participé à deux opérations phares. La première : « Le Plus Grand Musée de France », initiée avec la Fondation pour la Sauvegarde de l’Art Français. Objectif : sauver des œuvres en péril dans toutes les régions de France. Une expérience inédite pour Sami : découverte de la France et de ses médias locaux, apprentissage des spécificités de la presse régionale et fierté de contribuer à la préservation du patrimoine. Mobiliser la presse, organiser des remises de chèques en présence d’élus : Sami a appris les ficelles du terrain et l’importance de la relation de proximité.Sport et inclusion : l’opération La Grande ÉquipeSa seconde aventure : soutenir le sport amateur et l’inclusion avec « La Grande Équipe » et l’association Act for Sport. Distribution d’équipements à des clubs, notamment de handisport, mobilisation locale, rencontres avec des bénévoles… Autant d’occasions d’allier passion du sport, impact social et expertise en relations presse. Une opération qui « regroupe deux domaines que j’adore : sport et communication », affirme-t-il.Agence ou annonceur : deux écoles complémentaires Avant Allianz, Sami a fait ses classes chez Weber Shandwick : « l’agence, c’est l’occasion de toucher à tout, d’apprendre vite et de travailler en équipe ». Chez l’annonceur, il découvre la singularité du travail pour une seule marque, mais sur des thématiques variées. Deux univers qui se complètent, et auxquels il s’adapte naturellement.L’art du contact : conseils d’un jeune proPour Sami, réussir en relations presse, c’est avant tout avoir le sens du relationnel : « Il faut aller au contact, être force de proposition, savoir convaincre rapidement et bien connaître ses interlocuteurs. » Préparer ses messages, comprendre le rôle des journalistes et s’adapter à leur tempo : voilà le cœur du métier.Un jeune talent au service des projets d’avenirSouriant, proactif, curieux et prêt à se mobiliser partout en France, Sami Amrani incarne une génération de communicants engagée et ambitieuse. Son parcours, ponctué de rencontres inspirantes et d’une forte capacité d’adaptation, illustre à merveille la relève des « Young Guns » : passion, efficacité, enthousiasme et envie de faire bouger les lignes de la com.Un grand merci à Estelle Ardouin et Constance Wiblé chez Allianz France, qui ont permis cette très belle rencontre avec Sami 😍Elles ont été respectivement été son manager et sa dircom !Pour vous abonner à la newsletter : https://podcast.ausha.co/decodeur-de-la-communication?s=1 Très bonne écoute et abonnez-vous au Décodeur de la com !Laurent FRANCOIS, papa de l'agence Maverick & du Décodeur de la comHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
J'ai trouvé une responsable com interne, rattachée à la DRH, et qui fait un travail d'ultra haute qualité ! Cette Queen de la com, c'est Marine Guinle. Elle travaille chez Cultura, enseigne aux 4500 collaborateurs repartis sur plus de 100 magasins. Le 2e épisode de la série Kings & Queens : c'est parti !Cultura, une maison portée par la passionD'emblée, Marine souligne la cohérence entre les valeurs que Cultura revendique auprès de sa clientèle et la réalité vécue au sein de l’entreprise. « Les collaborateurs sont passionnés par ce qu’ils font », explique-t-elle, ce qui donne une grande fidélité.Un rôle transversal entre communication interne et communication employeurRattachée à la DRH, Marine pilote son pôle à 2 voix avec Camille, sa collaboratrice. Ensemble, elles créent des contenus variés : vidéos, articles, photos, émission interne. Elles donnent ainsi du sens aux décisions stratégiques et valorisent les succès des équipes au quotidien. Elle a également repris la communication employeur pour promouvoir la richesse humaine de Cultura et donner envie aux futurs talents de rejoindre l'enseigne.La promesse employeur CulturaMener une équipe de « passeurs de culture » – souvent conseillers de vente – implique de dépasser la seule transaction commerciale pour incarner une mission : faire vivre la culture sur chaque territoire où Cultura est implantée. Marine insiste également sur l’engagement de l’entreprise en faveur de l’accès à la culture pour tous, par des initiatives autour de la seconde main ou des projets solidaires.Fondation Cultura : élargir l’accès à la culture au-delà des magasinsPour aller encore plus loin dans cette démarche, la Fondation Cultura soutient des actions culturelles ciblant les publics « empêchés » ou éloignés, en milieu rural ou urbain défavorisé. Parmi ses projets phares figure le partenariat avec Bibliothèques Sans Frontières pour créer des micro-bibliothèques, ainsi qu’un programme musical destiné aux jeunes défavorisés.Communiquer au sein d’un réseauL'un des grands défis que Marine évoque pour la com interne est la difficulté de toucher 4500 collaborateurs sur le terrain avec des outils adaptés. La mise en place d’un réseau social d’entreprise, lancée une semaine avant le confinement de 2020, a révolutionné les échanges internes, devenant un canal principal de communication et de collaboration. Malgré son succès, elle note que la difficulté reste d’émerger dans ce flux dense d’informations, surtout quand l’outil est aussi celui du travail quotidien.Un ton convivial, authentique et proche des équipesPour capter l’attention et rester en phase avec une équipe passionnée mais occupée, Marine opte pour un ton décontracté, évitant le formalisme excessif. Parler de l’entreprise, c’est parler des collaborateurs eux-mêmes, raconter leurs histoires, leurs passions, leurs fiertés. Elle développe même une émission diffusée tous les 2 mois sur le réseau social interne, sous forme de plateau télé, mettant en avant la parole des collaborateurs.Marine revient très vite pour nous parler enseignement de la communication, entre autres, dans la seconde partie de notre entretien.Pour vous abonner à la newsletter : https://podcast.ausha.co/decodeur-de-la-communication?s=1 Très bonne écoute et abonnez-vous au Décodeur de la com !Laurent FRANCOIS, papa de l'agence Maverick & du Décodeur de la comHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
En octobre, le Décodeur de la com soufflera sa 5e bougie. Pour cet anniversaire, c'est vous, chers auditeurs, qui allez me poser des questions.Pour ce faire, vous avez 2 possibilités.1 | Envoyez un whatsapp vocal au 06 25 85 17 80. Il suffit de vous présenter en 2 mots, de laisser un petit blanc et de poser votre question.Faites-vous plaisir et posez toutes les questions que vous voulez. J'y répondrai sans exception. On entendra votre voix dans cet épisode qui sera exceptionnellement présenté par Emma Brard, dircom de XPO Logistics France ! J'en profite d'ailleurs pour la remercier très chaleureusement.2 | Envoyez votre question par email à l'adresse suivante : ddlcpodcast@agence-maverick.com.Dans ce second cas vous êtes un peu plus timide mais ne voulez pas qu'on entende votre voix dans l'épisode. Cela se respecte parfaitement.N'oubliez pas de dire qui vous êtes svp, car vous serez nommé dans l'émission :)Vous avez jusqu'au dimanche 21 septembre pour poser votre question.Je compte sur vous et vous remercie par avance.PS : en écoutant Marc Thébault, vous comprendrez qu'il y a déjà des questions de très très haut niveau 😅Pour vous abonner à la newsletter : https://podcast.ausha.co/decodeur-de-la-communication?s=1 Très bonne écoute et abonnez-vous au Décodeur de la com !Laurent FRANCOIS, papa de l'agence Maverick & du Décodeur de la comHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
C'est l'un des meilleurs directeurs de la communication que je connaisse. Cet homme, c'est Jean-François Granat, dircom et marketing B2B dans l'industrie. Il ouvre la série "Transition", qui donne la parole aux professionnels de la com, de 45 ans+ et à la recherche d'un nouveau défi. Pour contacter Jean-François : https://www.linkedin.com/in/jfgranat/Jean-François Grabat : un dircom stratège et créatifLe parcours de Jean-François se distingue par sa capacité à conjuguer expertise technique, vision marketing et sens aigu de la communication. Avec plus de 25 ans d’expérience dans des secteurs aussi variés que la tech, la chimie, l’agroalimentaire ou la logistique, Jean-François Granat démontre qu’un communicant performant sait s’approprier de nouveaux univers. Sa force : comprendre la technique pour la transposer en messages adaptés et créatifs, tout en dynamisant la marque.La communication de crise, une expertise précieuseJean-François a prouvé sa maîtrise des situations sensibles en gérant des crises majeures, comme l’affaire des prothèses mammaires PIP dans la chimie ou des rappels de produits dans l'agroalimentaire. Structuration des messages, réactivité, fidélité aux faits : il pilote la communication de crise sans jamais céder à l’improvisation. Une compétence stratégique, gage de sérénité pour tout dirigeant.La créativité au service de la marqueRelancer une marque historique ou inventer la « fruitologie » : Jean-François sait repenser les plateformes de marque pour redonner du sens et de l’impact à la communication externe. Il prouve qu’en B2B aussi, la créativité est un moteur de différenciation et de notoriété, en plaçant toujours le client final au cœur du dispositif.L’engagement interne comme levier de transformationLa conduite du changement et la communication interne sont au centre de ses priorités. Son implication lors d’acquisitions sensibles ou de changements stratégiques a permis d’améliorer significativement l’adhésion des collaborateurs, facteur clé de réussite pour toute transformation d’entreprise.Une vision digitale assuméeJean-François maîtrise les nouveaux outils et les enjeux du digital : réseaux sociaux, contenus vidéo, stratégie d’engagement – pour lui, la communication s’appuie sur la technologie mais reste profondément humaine et stratégique.Fort de ce parcours, Jean-François est prêt à accompagner une entreprise industrielle B2B dans la construction de sa notoriété, la gestion de ses enjeux sensibles et l’animation de ses équipes. Embaucher Jean-François, c’est l’assurance d’une communication efficace, moderne et alignée sur les ambitions de l’entreprise. Et je peux en témoigner, dans chaque entreprise où JF est passé, il y a eu un avant et un après.L'avant était synonyme de communication sans envergure. L'après était celui d'une marque qui communique réellement.Quand je vous dis que Jean-François est un des meilleurs communicants que je connaisse...Pour vous abonner à la newsletter : https://podcast.ausha.co/decodeur-de-la-communication?s=1 Très bonne écoute et abonnez-vous au Décodeur de la com !Laurent FRANCOIS, papa de l'agence Maverick & du Décodeur de la comHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ca y est, c'est la rentrée ! Et dans le 1er épisode de la série Kings & Queens, vous allez faire connaissance avec un communicant qui travaille dans un secteur qui n'a pas la culture communication : le médico-social / social. En outre, il travaille sans budget annuel. Ce King de la com, qui œuvre, aussi, au quotidien pour faire rayonner notre métier, c'est Eric Lorenz, responsable communication de l’association centenaire Traits d’Union.Une maison centenaire, des missions d’aujourd’huiCréée en 1922 et reconnue d’utilité publique depuis 1934, l’association Traits d’Union accompagne enfants et adultes en situation de handicap ainsi que des jeunes placés par la justice. Avec près de 500 salariés, 12 établissements & services sociaux et médico-sociaux , un théâtre, une ferme, le seul maroilles bio du monde… Traits d'Union n’est pas une « petite » association, mais plutôt une institution.Communiquer sans budget annuel : l’équation impossibleÉric pilote la communication sans budget annuel fixe. Il fonctionne uniquement par enveloppes projets. Dès lors, difficile d’anticiper, de planifier, de construire dans la durée. Pourtant, la communication est là. Et elle progresse.Une révolution culturelle à petits pasLongtemps considérée comme superflue, la communication commence à gagner ses lettres de noblesse dans le secteur social et du médico-social. « On est passé de l’ère du silence à l’ère des récits », dit Éric. Grâce à la direction et aux administrateurs, une culture com émerge. Lentement, certes. Mais sûrement.Traits d'Union : des atouts incroyables… trop peu valorisésUn théâtre, le seul maroilles bio du monde, une fromagerie, des bâtiments en propre… Traits d’Union a des atouts en or pour se raconter, pour lever des fonds, pour séduire des partenaires. Mais entre culture du non-lucratif et législation restrictive, ces ressources restent sous-exploitées. La communication peut être la clé.Et maintenant, que faire ?S’il avait un budget annuel, Éric lancerait un vrai plan stratégique, connecté au projet associatif, avec de la com interne, commerciale, employeur et RSO. Il valoriserait les métiers du social, ces « médecins de l’humain » si peu reconnus. Et il bâtirait une culture associative solide pour les 100 prochaines années. Espérons que la nouvelle direction générale, qui prendra ses fonctions en janvier 2026, saura entendre les arguments d'Éric, qui ne manque ni de courage ni de persuasion. Un vrai King, comme je les aime, et qui mérite de faire de grandes et belles campagnes !Pour faire un don à l'association Traits d'union : https://www.associationtraitsdunion.org/aidez-nous/Pour vous abonner à la newsletter : https://podcast.ausha.co/decodeur-de-la-communication?s=1 Très bonne écoute et abonnez-vous au Décodeur de la com !Laurent FRANCOIS, papa de l'agence Maverick & du Décodeur de la comHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Imaginez une communicante aguerrie, capable d’orchestrer des campagnes ambitieuses, de jongler entre réseaux sociaux, relations institutionnelles et grands événements… le tout dans un cadre religieux.Cette communicante, c’est Marguerite de Clerval-Parent, à la tête de la communication du diocèse de Meaux depuis 2017 — et qui, depuis son arrivée, casse les codes établis.Le diocèse de Meaux : plus qu’un simple bulletin paroissialDirigé par Monseigneur Nahmias, le diocèse de Meaux est en pleine expansion. Ici, la communication va bien au-delà des annonces dominicales : l’enjeu est de faire rayonner l’Église auprès d’un public diversifié et sur de multiples canaux.Une communication multicanale et ambitieuseEntourée d’une équipe dynamique, Marguerite mène de front une multitude de projets : chaîne YouTube avec contenus variés et engageants, publications print pour garder un lien avec tous les publics, présence active sur Facebook, Instagram & LinkedIn et, enfin, une campagne de com employeur, ce qui est une grande première pour l'église !Ces initiatives donnent au diocèse une image vivante, moderne et connectée à son époque.Au cœur des grands événementsMarguerite supervise également la communication de moments forts de la vie diocésaine :Ordinations rassemblant jusqu’à 1 300 personnesPose de premières pierres pour deux églises en constructionCollectes de dons, vitales pour la vie de l’ÉgliseElle rappelle : « L’Église vit grâce aux dons de ses fidèles » — un message qu’elle transmet avec authenticité et conviction.Changer l’image de l’ÉgliseSi l’Église reste parfois victime de clichés, Marguerite constate une évolution nette : « On se bat encore contre le stéréotype de l’institution poussiéreuse. » En Seine-et-Marne, de plus en plus de jeunes et d’adultes demandent le baptême. La raison ? Une quête de sens à laquelle l’Église sait répondre. Sa mission est alors claire : traduire cette dynamique en messages accessibles, sincères et porteurs d’espoir.Un tandem solide avec l’évêqueMarguerite décrit Monseigneur Nahmias comme un bâtisseur : « Il m’a donné une consigne : ne jamais mentir. Ce que nous communiquons doit toujours être vrai. » Cette exigence de vérité est devenue le fil rouge de sa communication. Arrivée avec l’idée de rester trois ans, elle est toujours là sept ans plus tard, portée par des projets qui ont un véritable sens.Une Église en mouvementL’exemple de Marguerite montre que l’Église bouge en Seine-et-Marne, et qu’elle a choisi une directrice de communication à mille lieues des clichés. Son parcours et ses actions témoignent de la transformation en cours.Pour vous abonner à la newsletter : https://podcast.ausha.co/decodeur-de-la-communication?s=1 Très bonne écoute et abonnez-vous au Décodeur de la com !Laurent FRANCOIS, papa de l'agence Maverick & du Décodeur de la comHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans quelques jours, lancement de la série Kings & Queens. Dans l'immédiat, voici une avant-première avec Marine Guinle, responsable de la communication interne chez Cultura. Elle partage sa vision très engagée du rôle de la com interne. Loin de considérer cette fonction comme dépassée, elle souligne son importance renforcée depuis 2020 et la réorganisation profonde du rapport au travail. Eh oui, la communication interne, c'est plus ce que c'était. Et tant mieux !La com interne, plus vivante que jamaisD’après Marine, la communication interne connaît un véritable renouveau, notamment depuis la crise sanitaire : "il y a une prise de conscience de l’importance de la com interne". Elle permet de maintenir le lien entre collaborateurs et employeur, d’accompagner les nouvelles attentes, telles que l’équilibre vie pro-vie perso et la flexibilité. L’intérêt général, moteur du métierMarine revendique une quête de sens héritée de son parcours public. Pour elle, la com interne a pour ambition de servir l’intérêt général dans l’entreprise, en valorisant la mobilité interne, le climat social et l’explication des décisions. Elle se sent plus investie dans ce rôle institutionnel que dans une démarche purement commerciale.La com interne : pilier de la com institutionnelleAu cœur de l’entreprise, la communication interne s’entrelace désormais avec les enjeux de marque, d’image employeur, de rayonnement et de positionnement. "Pour moi, aujourd’hui, la com interne, c’est l’un des pans fondamentaux de la com institutionnelle d’une boîte", explique-t-elle, soulignant la complexité et la richesse de cette discipline.Reconnaissance de l’expertise et latitude professionnelleInstallée au sein de la DRH mais bénéficiant de l’autonomie nécessaire, Marine insiste sur la reconnaissance mutuelle des expertises entre communicant et DRH. Ce climat de confiance lui permet de structurer, faire évoluer et adapter la communication interne selon les besoins et mutations de Cultura.Un terrain de jeu passionnantLa com interne a fait sa mue : désormais, elle est augmentée d’institutionnel et de communication employeur. Des terrains de jeu immenses et stimulants chez Cultura. Pour vous abonner à la newsletter : https://podcast.ausha.co/decodeur-de-la-communication?s=1 Très bonne écoute et abonnez-vous au Décodeur de la com !Laurent FRANCOIS, papa de l'agence Maverick & du Décodeur de la comHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans cet épisode, Olivier Cimelière secoue les consciences avec un message clair : il faut en finir avec le “coup de com’”. À l’occasion de la sortie de son livre Entreprises : et si vous arrêtiez le coup de com ?, il appelle à retrouver le bon sens et le pragmatisme. Les “spin doctors”, le buzz permanent, les fake news ou encore l’infobésité médiatique sont autant de symptômes d’un écosystème malade, où la com perd de sa substance.🤙Pour acheter le livre d'Olivier : https://www.amazon.fr/Entreprises-arr%C3%AAtiez-d%C3%A9fis-relever-communication/dp/2416015753Dirigeants, prenez la parole avec sincéritéOlivier déplore l’absence d’incarnation dans les entreprises. Il invite les dirigeants à sortir du silence et à assumer leur rôle d’inspirateurs, sans posture ni mise en scène hollywoodienne. Il cite Dominique Schoelcher (Système U) comme modèle d’un leadership humble, connecté au réel. Une communication incarnée, mais authentique, qui redonne du crédit à la parole de l’entreprise.Trop de com tue la comL’obsession d’occuper l’espace médiatique étouffe la parole utile. Olivier pointe du doigt le syndrome du “snack content” et rappelle que le silence peut aussi être une stratégie. S’exprimer, oui, mais uniquement quand cela a du sens, et non pour “exister” à tout prix. Une discipline qui passe aussi par une vraie culture de la veille et de l’écoute.Responsabilité : du greenwashing à la déontologieSur la communication responsable, Olivier ne transige pas. Pour lui, elle commence par des gestes concrets (comme la suppression de contenus numériques inutiles) mais va bien au-delà : il faut bannir le mensonge, le travestissement, la manipulation. Il appelle à une forme de déontologie professionnelle, pour tirer la communication vers le haut et éviter qu’elle ne se disqualifie elle-même.Un plaidoyer pour le bon sensL’épisode est traversé par un fil rouge : le retour au bon sens. Pour Olivier, la com n’a pas besoin d’être complexifiée à outrance. Observer, écouter, décrypter, agir avec mesure : voilà les bases d’un métier qu’il faut réhabiliter. Pas de magie ni de poudre aux yeux, mais du travail, de l’écoute et de la cohérence.Pour vous abonner à la newsletter : https://podcast.ausha.co/decodeur-de-la-communication?s=1 Très bonne écoute et abonnez-vous au Décodeur de la com !Laurent FRANCOIS, papa de l'agence Maverick & du Décodeur de la comHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Directrice marketing, communication et RSE du groupe CCF, Isabelle Duvernay revient sur sa carrière, de ses débuts chez Danone à ses années new-yorkaises, en passant par ses douze ans chez AXA. Un récit sans fard, riche d’enseignements pour toutes celles et ceux qui veulent conjuguer ambition, humilité et audace. Une pure dircom badass ; yeah baby !Danone : l’école de la rigueur bienveillantePremière étape chez Danone Produits Laitiers, où Isabelle apprend tout : la pression des prévisions de vente, la pédagogie face aux ouvriers en usine, la culture d'entreprise exigeante… mais joyeuse. À 21 ans, elle parle déjà palettisation, tonnage, marges et innovation. Et gagne ses galons dans une entreprise où le marketing est roi.L’Amérique et le saut dans l’inconnuQuitter un CDI chez Danone pour partir sans filet aux États-Unis ? Elle l’a fait. Vendeuse chez Bonpoint à New York, CV en poche, elle convertit sa ténacité en job chez L’Occitane. “Ma première vraie claque”, dit-elle. Mais aussi une leçon de résilience et de débrouille dans une culture bienveillante, loin de la rigueur tricolore.AXA, la fidélité par la mobilitéRetour en France et nouvelle vie chez AXA, où elle restera 12 ans. Marketing, marque, B2B, chief of staff… Isabelle explore, pivote, apprend, évolue. Loin des clichés sur l’assurance, elle y découvre un environnement humain, exigeant, international. Et prouve qu’on peut faire carrière sans jamais s’ennuyer.Trois conseils de dircom BadassRester ouvert aux opportunités, cultiver sa curiosité au-delà de son secteur, et tisser son réseau. Des conseils simples, mais précieux, que livre Isabelle avec générosité à tous ceux qui débutent (ou rebondissent) dans la com.Pas de routine, que de l’énergieCe qu’elle aime dans son métier ? L’imprévu. L’adrénaline. Le fait que les plans stratégiques ne survivent pas toujours à la réalité du terrain. Et surtout : ne jamais s’ennuyer.Pour vous abonner à la newsletter : https://podcast.ausha.co/decodeur-de-la-communication?s=1 Très bonne écoute et abonnez-vous au Décodeur de la com !Laurent FRANCOIS, papa de l'agence Maverick & du Décodeur de la comHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Super intéressant et un sujet d'actualité qui nous permets de mieux comprendre. Merci !