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Pos. Report
Pos. Report
Author: Sailorz
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© Tip & Shaft
Description
Les pos. report, ce sont les fichiers de positions des concurrents que reçoivent les marins en course et qu'ils attendent fébrilement pour connaître leur classement.
Pos. Report c'est le podcast hebdomadaire de Tip & Shaft qui explique, décortique, décrypte, analyse la voile de compétition sous toutes ses coutures en compagnie des meilleurs experts du secteur.
A découvrir chaque mardi en fin d’après-midi !
Pos. Report est animé par Pierre-Yves Lautrou et produit par Sailorz (http://www.sailorz.com/), le média expert de la voile de compétition.
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Photo : Eloi Stichelbaut/PolaRYSE
Générique : Fast and wild - EdRecords
© Sailorz 2020-2025, tous droits réservés.
Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
259 Episodes
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En cette période de fêtes, Sailorz prend un peu de recul et vous propose une séance de rattrapage avec les deux épisodes de Pos.Report les plus suivis de 2025. Retrouvez toute l'analyse et les coulisses de la course au large dès le 6 janvier pour une nouvelle saison. Toute l’équipe de Sailorz vous souhaite, avec quelques jours d’avance, une très heureuse année 2026 !__Ce 234e épisode de Pos. Report refait le match de La Boulangère Mini Transat avec ses deux vainqueurs, Mathis Bourgnon, sur le proto Assomast (plan Etienne Bertrand), et Paul Cousin (AFP-Biocombustibles) en série, mais également avec Benoît Marie, deuxième en proto sur son plan Manuard à foils Nicomatic-Petit Bateau.Nous revenons d’abord sur l’annulation de la première étape, forcément frustrante pour Benoît Marie, qui était alors nettement en tête mais a accepté la décision, avant de faire route directement vers les Canaries alors que quasiment toute la flotte s’est réfugiée dans des ports portugais et espagnols.Nos invités confient leur état d’esprit au départ de la deuxième, le 25 octobre, et leur choix de route au moment de quitter les Canaries, avec une trajectoire est pour Mathis Bourgnon, qui l’avait travaillée avant de s’élancer, notamment avec Benoît Marie. Ce dernier raconte ensuite ses deux folles journées en volant, avec à la clé le record des 24 heures en Mini (352,59 milles, à 14,69 noeuds de moyenne), puis sa première sérieuse avarie en retombant d’une vague, avec la perte de son foil tribord et un trou dans la coque à combler. Mathis Bourgnon confie qu’il n’a alors pas vraiment réalisé que son concurrent était handicapé, plus focalisé sur son duel avec Alexandre Demange (DMG Mori Sailing Academy 2).Paul Cousin détaille quant à lui sa stratégie en ce début d’étape, avec une route sud que quasiment tous ont empruntée, mais qu’il fallait savoir doser, avant une seconde partie de transat qui a consisté à bien anticiper les rotations de l’alizé. Les trois marins racontent enfin les derniers jours de course, avec une nouvelle avarie pour Benoît Marie sur son bout-dehors et son spi max, qu’il a réussi dans un premier temps à circonscrire, avant de tout casser à une cinquantaine de milles de l’arrivée et d’appeler Mathis Bourgnon à la VHF pour le féliciter.Ce dernier explique ne pas avoir alors trop compris qu’il allait gagner et avoir vraiment réalisé une fois sur le ponton à Saint-François, dans les bras de ses parents, dont son père Yvon, vainqueur jour pour jour trente ans plus tôt. Paul Cousin confie de son côté l’état de fatigue extrême dans lequel il était au moment de couper la ligne en vainqueur, parce qu’il a beaucoup barré pendant les deux semaines de course, y compris la nuit, pour faire la différence sur ses poursuivants. Nos trois invités finissent par se projeter sur la suite : Paul Cousin rêve de Figaro, Benoît Marie de Trophée Jules Verne, Mathis Bourgnon d’Ocean Fifty ou d’Imoca.Rediffusé le 23 décembre 2025Diffusé le 18 novembre 2025Générique : Fast and wild/EdRecordsPost-production : Grégoire LevillainHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ce 238e épisode de Pos. Report est consacré à la Soirée du Marin de l’Année 2025, qui a eu lieu lundi 15 décembre au Casino de Paris, en compagnie du président de la Fédération française de voile, Jean-Luc Denéchau, et du directeur technique national, Guillaume Chiellino.Avec eux, nous passons en revue le palmarès de cette édition 2025, en commençant par Charlie Dalin, désigné “à l’unanimité”, selon Jean-Luc Denéchau, Marin de l’Année suite à sa victoire sur le Vendée Globe 2024-2025. Un palmarès qui, selon Guillaume Chiellino, reflète la diversité de la voile, puisqu’ont été également récompensés Lysa Caval, 21 ans, troisième des championnats d’Europe seniors de kitefoil (meilleur espoir féminin), l’équipage de Marin Micoulot, champion du monde jeune de match racing en juillet (meilleur espoir masculin) et Nicolas Le Berre, meilleur coach de l’année pour avoir mené Louise Cervera à un historique titre mondial en ILCA 6.Le DTN dresse par ailleurs le bilan de la saison 2025 pour l’équipe de France de voile olympique et commente la composition de cette même équipe de France pour 2026, composée de neuf éléments, et annoncée à la presse mardi matin. Il détaille ensuite le processus de qualification en vue des Jeux olympiques de Los Angeles 2028, qui débutera en 2027 avec les championnats du monde de Fortaleza et Gdynia.Jean-Luc Denéchau termine cet épisode en évoquant l’ambition de World Sailing de réintroduire la voile au programme des Jeux paralympiques, dont elle est exclue depuis les JO de Rio en 2016, et les grands enjeux fédéraux pour l’année 2026.Diffusé le 16 décembre 2025Générique : Fast and wild/EdRecordsPost-production : Théo LevillainHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ce 237e épisode de Pos. Report reçoit le skipper Charles Caudrelier et Cyril Dardashti, directeur général du Gitana Team, pour revenir sur la présentation le 3 décembre à Lorient du nouveau Gitana 18.Avec eux, nous passons en revue toutes les innovations du dernier-né des Ultim, conçu par Guillaume Verdier en collaboration avec les ingénieurs du Gitana Team. Charles Caudrelier explique que le cahier des charges initial était de permettre au bateau d’être beaucoup plus stable en vol que ne l’était le précédent, Gitana 17 (devenu Actual Ultim 4).D’où un cockpit intégré à la plateforme, tout en respectant les nouvelles règles de visibilité de la classe Ultim, pour un meilleur aérodynamisme, un mât-aile équipé de barres de flèche dynamiques inspiré des bateaux de la Coupe de l’America et des appendices particulièrement travaillés.Charles Caudrelier détaille ainsi les raisons qui ont conduit à des foils en Y réglables en trois dimensions, des safrans en U inversé dont la pelle reste ne tourne pas pour éviter la déformation, une aile de raie métallique sous la dérive. Il explique également pourquoi le Gitana Team a décidé de concevoir un pilote automatique en interne, avec la société WDS, un pilote plus “intelligent” qui devrait être synonyme de gain de performance.Les attentes pour ce nouveau bateau, qui devrait naviguer en février 2026 ? Un vol bien plus stable, donc des moyennes plus élevées, répond le skipper, qui s’est déjà beaucoup entraîné en simulateur. Reste à valider tout ça en mer, avec un programme bien chargé en 2026, explique Cyril Dardashti, et d’ores et déjà des objectifs élevés sur la Route du Rhum.Diffusé le 9 décembre 2025Générique : Fast and wild/EdRecordsPost-production : Théo LevillainHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ce 236e épisode de Pos. Report reçoit Jérémie Beyou, vainqueur en Imoca de la Transat Café L’Or aux côtés de Morgan Lagravière à bord de Charal.Ce dernier commence par raconter son convoyage retour de Martinique et le programme des semaines à venir, avec notamment des vacances prévues - “plutôt farniente au soleil”. Nous remontons ensuite le fil de la saison 2025, en commençant par son retour du Vendée Globe en janvier à la quatrième place, suivi d’une phase de décompression qui a réellement cessé quand le skipper de Charal a renoué avec la compétition sur la Course des Caps fin juin (cinquième). Course au cours de laquelle il a commencé à sentir les effets des optimisations effectuées sur la plan Manuard à son retour du tour du monde.Il raconte ensuite l’arrivée de Morgan Lagravière dans l’équipe juste avant le départ du Fastnet (deuxième place) et l’apport de ce dernier pour le projet, d’où une certaine sérénité du tandem au départ de la Transat Café L'Or fin octobre. Nous refaisons le match de la course, avec une stratégie globale, construite avec Bertrand Pacé, Tom Dolan et Marcel Van Triest, respectée à la lettre, ce qui a permis à Charal, optimisé pour cet objectif, de sortir dans le paquet de tête des Canaries, avant de faire la différence sur ses concurrents dans les alizés.Jérémie Beyou confie sa satisfaction de voir le travail de la saison récompensé par cette victoire dont il décrit les ingrédients, s’agaçant que certains ne la mettent qu’au crédit des nouveaux safrans. Il revient ensuite sur le contexte de son interview donnée dans Ouest-France, dans laquelle il regrettait que la qualification pour le Vendée Globe soit “trop facile”. Des propos qu’il confirme, rappelant que dans l’esprit des pionniers du premier Vendée Globe, ce dernier était avant tout une course, ce qu’il doit rester à ses yeux et n’exclut pas pour autant l’aventure.Nous terminons par évoquer l’avenir, avec de gros travaux sur la carène de l’Imoca prévus cet hiver, une annonce “l’année prochaine” sur le Vendée Globe 2028, mais également la collaboration avec Justine Mettraux, dont le nouveau projet - futur plan Verdier à la clé - est toujours hébergé par BeYou Racing.Diffusé le 2 décembre 2025Générique : Fast and wild/EdRecordsPost-production : Grégoire LevillainHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ce 235e épisode de Pos. Report clôt une série consacrée à la Transat Café L’Or en recevant un son directeur de course, tout juste rentré de Martinique, Francis Le Goff.Ce dernier confie son soulagement de voir tous les concurrents désormais à bon port - le dernier Class40 a franchi la ligne ce mardi 25 novembre à 10h07 - et sa satisfaction de voir que la transat s’est globalement bien déroulée, avec peu d’abandons (7 en Class40, 3 en Ocean Fifty sur 74 bateaux), preuve de la maturité technique des projets.Nous faisons ensuite un retour en arrière d’un mois, Francis Le Goff revenant sur la décision de la direction de course, à la demande de la classe, de lancer les Ocean Fifty le samedi 25 octobre, 24 heures avant le départ prévu. Il raconte dans le détail la première nuit, marquée par les chavirages successifs de Lazare x Helio, Koesio et Inter Invest, saluant le professionnalisme des secours.Il explique aussi pourquoi la direction de course a décidé d’arrêter les Class40 à La Corogne et les considérations qui l’ont conduite, plus tard, à raccourcir le parcours des Ultim, qui ne sont pas passés par le way-point de l’île de l’Ascension. Francis Le Goff se félicite de l’intensité de la course dans les quatre classes et se montre particulièrement satisfait, en sa qualité directeur de la Ligue de Normandie, de la victoire en Class40 du duo Guillaume Pirouelle/Cédric Chateau.D’autant qu’elle vient parachever une année normande historique, avec les succès de Charlie Dalin sur le Vendée Globe et d’Alexis Loison sur la Solitaire du Figaro Paprec et le Fastnet, mais aussi les titres de champion du monde et champion de France de match racing de l’équipage de Pauline Courtois.Diffusé le 25 novembre 2025Générique : Fast and wild/EdRecordsPost-production : Grégoire LevillainHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ce 234e épisode de Pos. Report refait le match de La Boulangère Mini Transat avec ses deux vainqueurs, Mathis Bourgnon, sur le proto Assomast (plan Etienne Bertrand), et Paul Cousin (AFP-Biocombustibles) en série, mais également avec Benoît Marie, deuxième en proto sur son plan Manuard à foils Nicomatic-Petit Bateau.Nous revenons d’abord sur l’annulation de la première étape, forcément frustrante pour Benoît Marie, qui était alors nettement en tête mais a accepté la décision, avant de faire route directement vers les Canaries alors que quasiment toute la flotte s’est réfugiée dans des ports portugais et espagnols.Nos invités confient leur état d’esprit au départ de la deuxième, le 25 octobre, et leur choix de route au moment de quitter les Canaries, avec une trajectoire est pour Mathis Bourgnon, qui l’avait travaillée avant de s’élancer, notamment avec Benoît Marie. Ce dernier raconte ensuite ses deux folles journées en volant, avec à la clé le record des 24 heures en Mini (352,59 milles, à 14,69 noeuds de moyenne), puis sa première sérieuse avarie en retombant d’une vague, avec la perte de son foil tribord et un trou dans la coque à combler. Mathis Bourgnon confie qu’il n’a alors pas vraiment réalisé que son concurrent était handicapé, plus focalisé sur son duel avec Alexandre Demange (DMG Mori Sailing Academy 2).Paul Cousin détaille quant à lui sa stratégie en ce début d’étape, avec une route sud que quasiment tous ont empruntée, mais qu’il fallait savoir doser, avant une seconde partie de transat qui a consisté à bien anticiper les rotations de l’alizé. Les trois marins racontent enfin les derniers jours de course, avec une nouvelle avarie pour Benoît Marie sur son bout-dehors et son spi max, qu’il a réussi dans un premier temps à circonscrire, avant de tout casser à une cinquantaine de milles de l’arrivée et d’appeler Mathis Bourgnon à la VHF pour le féliciter.Ce dernier explique ne pas avoir alors trop compris qu’il allait gagner et avoir vraiment réalisé une fois sur le ponton à Saint-François, dans les bras de ses parents, dont son père Yvon, vainqueur jour pour jour trente ans plus tôt. Paul Cousin confie de son côté l’état de fatigue extrême dans lequel il était au moment de couper la ligne en vainqueur, parce qu’il a beaucoup barré pendant les deux semaines de course, y compris la nuit, pour faire la différence sur ses poursuivants. Nos trois invités finissent par se projeter sur la suite : Paul Cousin rêve de Figaro, Benoît Marie de Trophée Jules Verne, Mathis Bourgnon d’Ocean Fifty ou d’Imoca.Diffusé le 18 novembre 2025Générique : Fast and wild/EdRecordsPost-production : Grégoire LevillainPhoto : Arnaud Pilpré / La Boulangère Mini TransatHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ce 233e épisode de Pos. Report refait le match de la Transat Café L'Or en Ocean Fifty, avec Thomas Rouxel, vainqueur de la course aux côtés de Baptiste Hulin sur Viabilis Océans, et Luke Berry, qui a quant à lui pris la troisième place sur Le Rire Médecin Lamotte avec Antoine Joubert.Ils commencent par revenir sur l'intensité de la course, qu'ils ont rarement connue en course au large, à la fois parce que les débats étaient très serrés, mais également parce que naviguer sur les Ocean Fifty demande une concentration de tous les instants.Nous faisons ensuite un retour en arrière, plus de deux semaines auparavant, les deux marins expliquent pourquoi la classe Ocean Fifty avait demandé à la direction de course d'avancer le départ de 24 heures au Havre, ils détaillent leur état d'esprit au moment de s'élancer dans des conditions musclées et racontent la première nuit, fatale à trois de leurs concurrents, victimes de chavirage.Thomas Rouxel revient ensuite sur l'arrêt express à L'Aber Wrac'h de Viabilis Océans pour cause de grand-voile déchirée et l'état d'esprit qui les animait, lui et Baptiste Hulin, au moment de repartir, avec environ 150 milles de retard sur la tête de flotte. Nous continuons à dérouler le film de la course, avec le regroupement général aux Canaries, qui a permis à Viabilis Océans de recoller, et le passage stratégique du Cap Vert, avec un choix de route à travers les îles pour nos deux invités.Qui racontent la traversée de l'Atlantique proprement dite, marquée par l'avarie du leader, Edenred, synonyme de prise de pouvoir pour Thomas Rouxel et Baptiste Hulin. Le premier détaille la stratégie des derniers jours, avec une route sud qui va finalement sourire au duo de Viabilis Océans, tandis que Luke Berry explique comment, dans les dernières heures, il s'est focalisé sur le contrôle de Solidaires en Peloton pour assurer le podium.Les deux skippers terminent en évoquant l'avenir, à savoir la Route du Rhum-Destination Guadeloupe 2026, qu'ils comptent bien courir en Ocean Fifty, à condition de trouver du budget.Diffusé le 11 novembre 2025Générique : Fast and wild/EdRecordsPost-production : Grégoire LevillainPhoto : Olivier Blanchet / AleaHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ce 232e épisode de Pos. Report est de nouveau consacré à la Transat Café L'Or, avec un focus sur les quatre classes en compagnie de Greg Evrard, team manager de l’équipe Ultim Sodebo Voile, Nicolas Andrieu, directeur technique de BeYou Racing (Charal et TeamWork-Team Snef) et tenant du titre en Class40 (victoire en 2023 avec Ambrogio Beccaria), et Christopher Pratt, sept participations à la transat en double, dont trois podiums.Nous commençons par la classe Ultim, Greg Evrard se montrant très satisfait de la course du duo Thomas Coville/Benjamin Schwartz, certes “en chasse-patates” depuis le début derrière SVR Lazartigue, mais qui n’a jamais depuis concédé beaucoup de terrain, preuve que Sodebo Ultim 3 a franchi une marche en termes de performance. Si les jeux ne seront pas faits tant que les bateaux n’auront pas coupé la ligne à Fort-de-France dans la nuit de mercredi à jeudi, nos invités estiment que Tom Laperche et Franck Cammas ont les choses bien en main.Ce qui est la même chose, en tout cas selon Christopher Pratt, en Ocean Fifty pour Viabilis Océans (Baptiste Hulin/Thomas Rouxel), qui a pris le pouvoir dans la nuit de lundi à mardi à la faveur d’une avarie à bord d’Edenred qui empêche Basile Bourgnon et Emmanuel Le Roch d’utiliser leur grand gennaker sur un bord. Greg Evrard confie suivre de près la course en Ocean Fifty, puisque Sodebo se lancera sur le circuit en 2026 avec Léonard Legrand.Nous passons ensuite à l’Imoca, avec une course menée par Charal, qui a particulièrement impressionné Christopher Pratt lorsqu'il est repassé en tête le week-end dernier, reprenant 80 milles à 11th Hour Racing. Nicolas Andrieu explique les performances à la hausse au portant du plan Manuard du duo Jérémie Beyou/Morgan Lagravière par le fait que l’équipe s’est particulièrement concentrée sur l’objectif Transat Café L’Or cette saison, d’où des optimisations dans plusieurs domaines. Greg Evrard, qui était team manager de Nicolas Troussel sur le Vendée Globe 2020, se montre quant à lui bluffé par les vitesses du groupe de tête dans un alizé pas si fort que ça.Nous terminons avec la Class40, avec plusieurs jours de près promis à l’ensemble de la flotte cette semaine, et, selon Christopher Pratt, pas vraiment de possibilité de miser sur une route sud.Diffusé le 4 novembre 2025Générique : Fast and wild/EdRecordsPost-production : Grégoire LevillainHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ce 231e épisode de Pos. Report reçoit Pierre Le Roy, candidat au Vendée Globe 2028 et météorologue, Antoine Gautier, directeur technique de l'Ultim SVR-Lazartigue et Sébastien Rogues, manager des équipes Ocean Fifty Inter Invest et Wewise, pour analyser le début de de la Transat Café l’Or Le Havre Normandie.C’est justement par cette classe Ocean Fifty que s’ouvre la discussion, Sébastien Rogues raconte les opérations de sauvetage d'Inter Invest après le chavirage de Matthieu Perraut et Jean-Baptiste Gellée lors de la première nuit, il évoque le chantier à venir. Les échanges se poursuivent sur les solutions pour une meilleure stabilité des Ocean Fifty, Antoine Gautier évoque notamment comment la classe Ultim a oeuvré dans ce sens. Pierre Le Roy décrypte quant à lui les options météo qui s’offrent aux marins dansune course dominée jusque-là par Pierre Quiroga et Gaston Morvan.Nos invités évoquent ensuite la transat en Ultim, Antoine Gautier raconte comment l’absence de routage change la donne… pour l’équipe à terre, plutôt que pour les marins ! Nous passons ensuite à l'Imoca, avec une course dominée par cinq bateaux, nos invités saluent la prestation d’Élodie Bonafous et Yann Eliès, Antoine Gautier revient sur la progression de la trentenaire et sa façon de s’affirmer aux côtés de ses aînés. Pierre Le Roy pose son regard sur la flotte, lui qui se verrait bien participer au Vendée Globe 2028 sur un bateau de génération 2020.Nos trois invités terminent par la Class40, avec une course qui se déroulera en deux étapes et une escale à La Corogne pour raisons de sécurité. Alors que les premiers sont attendus mercredi en Espagne, Sébastien Rogues, Pierre Le Roy et Antoine Gautier confient leur intérêt pour les innovations développées sur ces monocoques de 12 mètres ces dernières années et leur rapport coût/vitesse.Diffusé le 28 Octobre 2025Générique : Fast and wild/EdRecordsPost-production : Grégoire LevillainHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ce 5e et dernier épisode de Pos. Café, l'édition hors série de Pos. Report consacrée à la Transat Café L'Or et présentée par The SeaCleaners, est consacrée à la classe Imoca et à une équipe en particulier, Paprec Arkea, les trois invités étant le directeur général du groupe Paprec, Sébastien Petithuguenin, Romain Ménard, directeur de Team Spirit Racing, la structure qui gère le projet, et Corentin Horeau, co-skipper de Yoann Richomme sur la transat.Sébastien Petithuguenin commence par évoquer l’importance de la Transat Café L’Or pour Paprec qui l’a gagnée plusieurs fois avec Jean-Pierre Dick, il raconte notamment les circonstances de l’arrivée, de ce dernier, avec Loïck Peyron, en 2005. Avec Romain Ménard, ils reviennent aussi sur la dernière édition, marquée par la deuxième place du duo Yoann Richomme/Yann Eliès derrière Thomas Ruyant et Morgan Lagravière, il expliquent ensuite le choix de Corentin Horeau comme co-skipper de Paprec Arkéa pour la 17e édition.Ce dernier évoque son intégration dans l’équipe, sa découverte d’un bateau dont il prendra les commandes en 2026 sous les couleurs de la MACSF, Sébastien Petithuguenin soulignant au passage l’importance de la notion de transmission pour Paprec. Le skipper détaille les conditions météo du départ, avec une descente de la Manche qui s’annonce bien copieuse, puis se projette sur l’année 2026, avec la Route du Rhum en ligne de mire.Romain Ménard et Sébastien Petithuguenin finissent cet épisode en parlant du futur Imoca Paprec, attendu en 2027, ce qui va permettre à Yoann Richomme de courir la Solitaire du Figaro Paprec en 2026.Diffusé le 25 Octobre 2025Générique : Fast and wild/EdRecordsPost-production : Théo LevillainHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ce 4e épisode de Pos. Café, l'édition hors série de Pos. Report consacrée à la Transat Café L'Or et présentée par The SeaCleaners, est consacrée à la classe Ultim avec trois des huit marins qui s’élanceront dimanche à 14h du Havre, Franck Cammas, quadruple vainqueur de l’épreuve et co-skipper de Tom Laperche sur SVR-Lazartigue, Anthony Marchand, skipper d’Actual Ultim 4, et Benjamin Schwartz, qui fait équipe avec Thomas Coville sur Sodebo Ultim 3.Franck Cammas commence par évoquer son meilleur souvenir de victoire sur la transat, “forcément la première”, en 2001 sur l'Orma Groupama 1 avec Stève Ravussin, Anthony Marchand raconte quant à lui comment il est passé cette année d’Actual Ultim 3 à Actual Ultim 4, l’ex Maxi Edmond de Rothschild, tandis que Benjamin Schwartz évoque son état d’esprit avant de se lancer sur sa première Transat Café L’Or.Nos trois invités échangent ensuite sur l’interdiction du routage extérieur, décidée pour la première fois en Ultim sur cette édition, raison qui a notamment conduit Anthony Marchand à choisir Julien Villion comme co-skipper. Benjamin Schwartz raconte comment il a intégré l’équipe Sodebo Voile fin 2024 et ce qu’il pense avoir apporté avec son regard extérieur, même chose pour Franck Cammas avec le team SVR Lazartigue.Nous finissons par parler des conditions météo des premiers jours de course et des ambitions des uns et des autres sur cette 17e Transat Café L’Or.Diffusé le 24 Octobre 2025Générique : Fast and wild/EdRecordsPost-production : Théo LevillainHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ce 3e épisode de Pos. Café, l'édition hors série de Pos. Report consacrée à la Transat Café L'Or et présentée par The SeaCleaners, reçoit deux anciens lauréats de la transat en double (et du Vendée Globe), Michel Desjoyeaux, vainqueur en 2007 en Imoca aux côtés d’Emmanuel Le Borgne, et Vincent Riou, qui s’était imposé lui aussi en Imoca, en 2013 avec Jean Le Cam et en 2015 avec Sébastien Col. A leurs côtés, large, Théo Masse, 21 ans, jeune navigateur et ambassadeur de The SeaCleaners, qui ambitionne de se lancer prochainement sur le circuit Figaro.Après avoir évoqué son cursus, il écoute Vincent Riou raconter les circonstances de la première de ses dix participations à la Transat Café L’Or, lors de l’édition inaugurale, courue en solitaire, en 1993, puis Michel Desjoyeaux se souvenir de sa première, en 1999, marquée par un chavirage en Manche sur l’Orma Brocéliande avec Alain Gautier et la disparition de Paul Vatine.L’un comme l’autre reviennent également sur leurs victoires respectives sur la transat en double, avant d’expliquer le chemin qui les a menés à s’aligner cette année en Class40, aux côtés d’Alexandre Le Gallais sur TrimControl pour Michel Desjoyeaux, de Yann Doffin sur Pierreval-Fondation Good Planet pour Vincent Riou. Ils détaillent ensuite les spécificités architecturales de leurs Class40 respectifs, Michel Desjoyeaux revenant sur les raisons qui l’ont poussé, avec son co-skipper, à lancer cette année l’Agité 40, conçu par CT Mer Forte.Autant de sujets qui passionnent Théo Masse, actuellement étudiant ingénieur à l’Université de Technologie de Compiègne. Pour finir, les deux vainqueurs du Vendée Globe évoquent leurs ambitions sur cette Transat Café L’Or et, pour Vincent Riou, son objectif de courir la Route du Rhum-Destination Guadeloupe en 2026.Présenté par The Sea CleanersDiffusé le 23 Octobre 2025Générique : Fast and wild/EdRecordsPost-production : Théo LevillainHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ce 2e épisode de Pos. Café, l'édition hors série de Pos. Report consacrée à la Transat Café L'Or et présentée par The SeaCleaners, reçoit Vanessa Boulaire, directrice de la Class40, et Antoine Mermod, président de la classe Imoca.Tous les deux commencent par évoquer la place que tient la transat en double pour leurs classes respectives, avec 42 duos en lice sur cette édition pour la Class40, 18 pour l’Imoca, ce qui, pour une année post Vendée Globe, est dans les standards habituels, selon Antoine Mermod, d’autant plus que des teams ont fait le choix cette année de s’aligner sur The Ocean Race Europe.Ce dernier rappelle que dix bateaux sont en construction en vue du Vendée Globe, preuve que si le contexte économique est difficile, la classe reste attractive, ce qui est également le cas de la Class40 qui,de son côté, est “drivée” par la Route du Rhum-Destination Guadeloupe.Vanessa Boulaire explique au passage que le cheval de bataille de la classe est actuellement d’obtenir plus que les 40 places qui lui ont été attribuées pour l’édition 2026 de la transat en solitaire. Nous évoquons ensuite les particularités et les points communs de chaque classe, les leçons tirées de l’édition 2023 de la Transat Café L’Or et les forces en présence cette année, avant de se projeter sur le programme de l’année 2026.Présenté par The Sea CleanersDiffusé le 22 Octobre 2025Générique : Fast and wild/EdRecordsPost-production : Grégoire LevillainHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Du mardi 21 au samedi 25 octobre, Pos. Report pose ses valises au Havre et passe en format quotidien pour une édition hors-série consacrée à la Transat Café L’Or, baptisée Pos. Café. Ce premier épisode reçoit deux invités qui sont au cœur du réacteur de l’organisation de la transat en double, son codirecteur, Gildas Gautier, et le directeur de course, Francis Le Goff.Gildas Gautier commence par rappeler l’ADN de la Transat Café L’Or, à savoir le format double, une destination café et des engagements RSE forts, il évoque également le changement de nom cette année de la transat, passée de Jacques Vabre à Café L’Or.Francis Le Goff parle ensuite du plateau de 74 marins, stable par rapport à l’édition précédente pour toutes les classes, en dehors de l’Imoca, ce qui est normal en année post-Vendée Globe, tandis que le codirecteur de la transat s’estime satisfait d’une participation record de 18 femmes, rappelant au passage le dispositif Cap pour Elles lancé il y a quatre ans par l’organisation.Nous revenons ensuite avec le directeur de course sur l’édition 2023, dont le départ avait donné lieu à plusieurs reports et quelques polémiques, racontés notamment dans le film Le Monstre, diffusé lors du Sailorz Film Festival 2024, il explique les leçons qui en ont été tirées, avant d’évoquer la météo attendue dimanche 26 octobre pour le départ de la 17e édition, “virile mais correcte”.Nous poursuivons en commentant avec nos deux invités le lancement de l’association OCEAN, qui regroupe les organisateurs de la Transat Café L’Or, de la Route du Rhum-Destination Guadeloupe et du Vendée Globe, et le projet, en cours de structuration, de pôle de course au large au Havre, en partenariat avec la Martinique. Le mot de la fin est pour Gildas Gautier qui évoque l’appel à candidatures lancé par l’organisation pour l’accueil des prochaines éditions de la Transat Café L’Or.Présenté par The Sea CleanersDiffusé le 21 Octobre 2025Générique : Fast and wild/EdRecordsPost-production : Grégoire LevillainHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ce 230e épisode de Pos. Report, consacré à la Transat Café L’Or, reçoit deux marins qui en prendront le départ le 26 octobre en Ocean Fifty, Thibaut Vauchel-Camus, tenant du titre, qui fera équipe cette année avec Damien Seguin sur Solidaires en Peloton, et Baptiste Hulin, skipper de Viabilis Océans, qui sera associé à Thomas Rouxel.Thibaut Vauchel-Camus commence par se féliciter du plateau record de dix bateaux au départ du Havre, une participation qui récompense selon lui les orientations prises depuis plusieurs années par la classe Ocean Fifty, entre mix de courses au large et Grands Prix, limitation des budgets, numerus clausus et plateforme idéale pour faire des RP.Baptiste Hulin raconte de son côté son parcours et comment, seulement trois ans après avoir intégré la structure malouine BE Racing, il est devenu en 2024 skipper de Viabilis Océans, en remplacement de Pierre Quiroga, une opportunité qu’il se voyait mal refuser.Les deux marins évoquent ensuite les forces et faiblesses de leurs bateaux respectifs et les modifications effectuées l’hiver dernier - certaines forcées pour Thibaut Vauchel-Camus qui a chaviré et démâté il y a un an au retour de Méditerranée -, ils expliquent également leur choix de co-skipper pour cette Transat Café L’Or, dont, après quelques mois de “vie commune”, ils se montrent très satisfaits.Ils parlent du changement majeur décidé cette année sur la Transat Café L’Or, à savoir l’interdiction du routage extérieur, destinée à donner plus de valeur au sens marin, mais coûteuse en énergie puisque, selon Thibaut Vauchel-Camus, le temps supplémentaire passé sur l’ordinateur de bord se fait au détriment du repos.Ils finissent par évoquer les forces en présence sur la transat, avec l’arrivée cette saison sur le circuit de projets ambitieux, et se projettent sur le grand rendez-vous de l’année 2026, la Route du Rhum-Destination Guadeloupe.Diffusé le 14 Octobre 2025Générique : Fast and wild/EdRecordsPost-production : Grégoire LevillainHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ce 229e épisode de Pos. Report, consacré à la Transat Café L’Or, reçoit Achille Nebout, skipper du Class40 Amarris, qui, avec Gildas Mahé, fera partie des prétendants au podium de l’édition 2025 qui s’élancera le 26 octobre du Havre à destination de Fort-de-France (Martinique).Il commence par évoquer les caractéristiques de son Lift V2, plan Lombard Yacht Design mis à l’eau en 2022 pour Yoann Richomme (qui gagnera la Route du Rhum à son bord la même année), un bateau réputé très performant au près et au reaching, qu’il a depuis fait évoluer, notamment en déplaçant un ballast et en travaillant sur le jeu de voiles, et particulièrement les spis, de façon à moins enfourner.Si le skipper d’Amarris est d’accord pour dire que les différents plans (Lombard, Raison, Manuard, Guelfi…) ont tous leurs points forts et faibles, il estime que finalement, ce sont surtout les marins qui font la différence à l’échelle d’une transat. Il revient ensuite sur sa saison, perturbée par un démâtage en début de CIC Normandy Channel Race, qui l’a contraint à s'adapter techniquement, avec la construction d’un mât neuf, et sportivement, lui et Gildas Mahé ayant basculé sur un Pogo RC mis à disposition par le chantier Structures, ce qui leur a notamment permis de disputer le Fastnet, avec à la clé une 3e place en IRC overall !Le Méditerranéen installé à Lorient explique ce que lui apporte son co-skipper, avec lequel il collabore depuis le début du projet Class40, et revient sur leur Transat Jacques Vabre 2023 (devenu Café L’Or cette année), terminée à la deuxième place, malgré une blessure à bord de Gildas Mahé. Il évoque pour finir le plateau, très relevé, de l’édition 2025 (42 duos au départ) et son avenir, avec d’ores et déjà une priorité pour 2026 : la Route du Rhum, pour ce qui sera sa première participation.Diffusé le 7 Octobre 2025Générique : Fast and wild/EdRecordsPost-production : Grégoire LevillainHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ce 228e épisode de Pos. Report refait le match de la 56e édition de la Solitaire du Figaro Paprec en compagnie des trois marins qui ont terminé sur les trois premières marches du podium, dans l’ordre Alexis Loison (Groupe Réel), Charlotte Yven (Skipper Macif 2023) et Arno Biston (Article.1).Tous les trois commencent d’ailleurs par commenter ce résultat, avec forcément beaucoup de satisfaction pour le vainqueur, qui disputait sa 19e Solitaire, sa dauphine, qui obtient le meilleur classement d’une navigatrice dans l’histoire de la course, et le troisième, pas forcément attendu sur le podium dans la foulée d’un début de saison difficile, même si, comme il le confie, il avait des arguments à faire valoir, lui qui avait terminé premier bizuth (et 11e au général) en 2024.Nous entrons ensuite dans le vif du sujet de cette 56e édition, chacun revenant dans le détail des trois étapes, avec d’entrée un bon résultat à Roscoff (victoire d’Alexis Loison, deuxième place pour Charlotte Yven, cinquième pour Arno Biston) qui les a mis dans une bonne dynamique. La deuxième s’est jouée en plusieurs temps, avec un passage de dorsale au milieu du golfe de Gascogne qui a vu Skipper Macif 2023 prendre les commandes, avant “un nouveau départ” au cap Finisterre, comme le raconte Arno Biston. Synonyme de regroupement général, il a notamment permis à Alexis Loison, qui a compté à un moment 11 milles de retard sur Charlotte Yven, de remonter pour finir deuxième à Vigo derrière le bizuth Hugo Cardon et devant cette dernière.Sur le podium au général à l'issue de cette deuxième étape, nos trois invités racontent dans quel état d’esprit ils étaient avant de quitter l’Espagne, entre volonté de ne pas se laisser perturber ces considérations de classement, mais forcément un oeil à garder sur leurs concurrents principaux.Au final, tous ont conservé leurs positions respectives pour décrocher un résultat marquant, Alexis Loison donnant au passage quelques clés de sa réussite sur cette édition. Et tous comptent bien revenir sur la Solitaire, dès l’an prochain pour Arno Biston, “dans deux ou trois ans” pour Alexis Loison qui vise une 20e participation, mais avant cela la Route du Rhum 2026 en Class40, tandis que Charlotte Yven veut prendre le temps de la réflexion, elle qui dispute sa dernière saison au sein du dispositif Skipper Macif.Diffusé le 30 Septembre 2025Générique : Fast and wild/EdRecordsPost-production : Grégoire LevillainHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ce 227e épisode de Pos. Report reçoit une invitée unique, Amélie Grassi, pour une heure d’échange sur son année 2025 chargée, puisque la navigatrice de 31 ans passe d'un projet à l'autre, entre Ultim, Imoca et Class40.Elle commence par évoquer son hiver dernier passé, avec l’équipe SVR Lazartigue, à enchaîner les départs et retours au port sur le Trophée Jules Verne, projet qui, s’il n’a pu être mené à bien, a permis à l’équipage d’enchaîner environ 40 jours de navigation et de beaucoup progresser sur l’Ultim qui sera mené sur la prochaine Transat Café L’Or par Tom Laperche et Franck Cammas. Un Ultim qui n’a désormais plus beaucoup de secrets pour Amélie Grassi, au point qu’elle confie se sentir aujourd’hui en capacité de mener un tel bateau en double ou en solo.Nous ouvrons ensuite la page Imoca, notre invitée raconte comment, après une première expérience en 2023 sur trois étapes de The Ocean Race, elle a été rappelée à son retour du Vendée Globe par Paul Meilhat dans un rôle de co-skippeuse du projet en vue de The Ocean Race Europe. Ce qui lui a permis d’étoffer encore son panel de compétences puis de disputer l’intégralité du tour de l'Europe, avec la victoire et un quasi grand chelem à la clé. Elle détaille les ingrédients de ce succès, entre projet arrivé à maturité, ambiance au sein de l'équipe et sorte d’état de grâce qui a connu son apothéose lors d'une ultime victoire marquante samedi dernier au Monténégro.Amélie Grassi raconte ensuite comment Paul Meilhat lui a proposé de poursuivre l’aventure avec lui et le bateau, avec dans le viseur The Ocean Race en 2027 en équipage et le Vendée Globe 2028 pour elle, ce qui passe, bien évidemment, par la quête de sponsors, puisque le partenariat avec Biotherm arrive à échéance. Nous terminons avec la Globe40, la navigatrice explique pourquoi elle a accepté d’accompagner Ian Lipinski et Antoine Carpentier sur cette course certes moins relevée d’un point de vue sportif, mais qui va lui permettre de découvrir les mers du Sud et de nouvelles destinations.Diffusé le 23 Septembre 2025Générique : Fast and wild/EdRecordsPost-production : Grégoire LevillainHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ce 226e épisode de Pos. Report est consacré à la classe Imoca au moment où s’ouvre à Lorient La base la 15e édition du Défi Azimut Lorient Agglomération auquel nos deux invités du jour participent - c’est d’ailleurs leur première course de la saison -, Armel Tripon (Les P’tits Doudous) et Nicolas d’Estais (Café Joyeux).Ce dernier commence par revenir sur le parcours qui l’a conduit à se lancer en Imoca, guidé par l’objectif depuis des années de courir un jour le Vendée Globe. Pour être présent au départ de la prochaine édition, il a réuni un pool de partenaires - certains l’accompagnaient déjà en Class40 - et racheté l’ancien Monnoyeur-For a Job de Benjamin Ferré, le tout pour un budget annuel qu’il estime à 1,5-2 millions d’euros par an, “tout compris”, précise-t-il.Armel Tripon revient quant à lui sur la genèse de son projet Les P’tits Doudous, né après le Vendée Globe 2020 qu’il a terminé à la 11e place, avec la volonté affichée de construire un Imoca moins impactant, ce qu’il a réussi à faire, avec l’aide de VPLP, grâce à l’emploi, à hauteur de 65% sur l’ensemble du bateau, de carbone déclassé de l’aéronautique. Il raconte comment il a dû surmonter un certain nombre d'embûches, notamment budgétaires, pour mener à bien ce projet qui se concrétise sur le Défi Azimut, première course de son 60 pieds.Les deux marins évoquent ensuite les causes respectives qu’ils soutiennent, puis leurs premières navigations cet été, avec des sensations peu à peu retrouvées pour Armel Tripon qui n’avait plus navigué en Imoca depuis son Vendée Globe 2020, et la découverte d’une nouvelle échelle pour Nicolas d’Estais.Ils poursuivent en expliquant leurs choix respectifs de co-skippers pour les 48 heures du Défi Azimut puis la Transat Café L’Or - Tanguy Leglatin pour le premier, le Suisse Simon Koster pour le second -, leurs attentes sur ces deux épreuves et leur programme à venir, d’ici le départ pour Le Havre puis lors des saisons suivantes.Diffusé le 16 Septembre 2025Générique : Fast and wild/EdRecordsPost-production : Grégoire LevillainHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ce 225e épisode de Pos. Report est consacré au circuit SailGP avant le Grand Prix de France, qui se dispute les vendredi 12 et samedi 13 septembre à Saint-Tropez, nos deux invités étant le skipper et l’entraîneur de l’équipe de France, Quentin Delapierre et Philippe Mourniac.Le premier commence par raconter en quoi la semaine précédant le Grand Prix de France est particulière, entre déplacement à Monza avec une équipe de Canal+ pour le Grand Prix de F1 d’Italie et passage par Paris. Philippe Mourniac explique de son côté comment, après avoir dirigé l’équipe de France de voile olympique, il a accepté de relever un nouveau challenge auprès de France SailGP Team, il évoque sa découverte du circuit et ses spécificités, et notamment la possibilité d’échanger en direct avec le skipper du F50 pendant les régates.Ce dernier revient sur le bilan qu’il a fait de la saison 4 de SailGP, nous revenons ensuite avec nos deux invités sur la saison en cours. Philippe Mourniac détaille la feuille de route fixée en début de saison qui, si elle a été perturbée par des éléments extérieurs - problème d’aile à Auckland, casse à Portsmouth -, a finalement abouti à la victoire à Sassnitz (Allemagne) en août, la troisième de l’histoire de l’équipe de France. Quentin Delapierre raconte en détail le spectaculaire “planter” lors d’une régate d’entraînement, au cours duquel il a été projeté en avant, puis la victoire en finale.Nous finissons par nous projeter sur le Grand Prix de Saint-Tropez et la fin de la saison, avant d’évoquer la future Coupe de l’America, Quentin Delapierre ne cachant pas ses attentes de voir le défi français recruter des experts dans plusieurs domaines clés pour lui permettre de performer à Naples en 2027.Diffusé le 9 Septembre 2025Générique : Fast and wild/EdRecordsPost-production : Grégoire LevillainHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.


![[REDIFFUSION] - #234 avec Mathis Bourgnon, Paul Cousin et Benoît Marie [REDIFFUSION] - #234 avec Mathis Bourgnon, Paul Cousin et Benoît Marie](https://s3.castbox.fm/36/91/2b/34919ce6cea9fbd23778d0605a880678c5_scaled_v1_400.jpg)





















Excellent podcast !!! J'adore ce que Tip and shaft fait. Une petite remarque sur les niveaux sonores de chaque intervenant. Ils sont souvent très différents, probablement à cause des appareils utilisés, la localisation.... Serait-il possible de les lisser un peu plus pour avoir une meilleure qualité d'écoute ? Continuez ce que vous faites ;-)