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Raconter le réel
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Raconter le réel

Author: Clément Touron

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Ne vous êtes vous jamais demandé comment était fabriqué un documentaire ? 

Raconter le réel est le nouveau podcast qui explore les dessous de la fabrication documentaire : de l'idée à la diffusion, découvrez tous les métiers et toutes ces personnes qui permettent aux documentaires de prendre vie !

https://www.instagram.com/raconterlereel/
Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
93 Episodes
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Le FIPADOC 2024, festival international de documentaire de Biarritz, continue avec Raconter le réel. Nous sommes allés à la rencontre de 12 réalisateurs et réalisatrices qui y ont été sélectionnés.Dans cet épisode du FIPADOC continue... 2024, je reçois la réalisatrice Catherine Bernstein qui vient nous présenter son film Congo-Océan : un chemin de fer et de sang, diffusé en mai 2024 sur france.tv .De 1921 à 1934, la France entreprend dans sa colonie du Congo la construction d'une ligne de chemin de fer appelée Congo-Océan, reliant Brazzaville à Pointe Noire, au bord de l'Atlantique. Travail forcé, mauvais traitements, punitions des récalcitrants : cette construction sème la terreur jusqu'aux portes du Sahara. Une vingtaine de milliers d'ouvriers y perdent la vie. Dénoncées à l'époque par l'écrivain André Gide puis par le journaliste Albert Londres, les conditions de recrutement et de travail sur ce chantier colossal provoquent un scandale dans la métropole.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
En Novembre 2021, vingt-six trésors royaux du Dahomey s’apprêtent à quitter Paris pour être rapatriés vers leur terre d’origine, devenue le Bénin. Une terre dont elles ont été arrachées en 1892 lors de l’invasion des troupes coloniales françaises. Le film “Dahomey” observe et questionne le retour de ces ancêtres dans un pays qui a dû se construire et composer avec leur absence. Tandis que l’âme des œuvres se libère, les étudiants de l’université d’Abomey Calavi débattent…Tous les mois on vous propose un film documentaire en avant première, ici, au cinéma les 5 caumartin, et pendant que le film est diffusé, on enregistre cette interview avec mes invités. Aujourd’hui je reçois la directrice de la photographie Joséphine Drouin-Viallard, la productrice Eve Robin, et le monteur Gabriel Gonzales, qui ont tous les trois travaillé sur le film “Dahomey” de Mati Diop, récompensé de l’Ours d’or à la Berlinale en 2024, et qui sort en salles le 11 septembre 2024, distribué par Les films du Losange. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Les films d’ici, société emblématique de la production documentaire en France, née en 1984, a eu 40 ans cette année. 40 années qui ont fait naître des cinéastes et des films qui ont marqué le cinéma documentaire français “Route One/USA” de Robert Kramer en 1989, “Coûte que coûte” de Claire Simon en 1996, “être et avoir” de Nicolas Philibert en 2002 ou encore “Valse avec Bachir” d’Ari Folman en 2008, les films d’Avi Mograbi et bien d’autres.Pour retracer cette magnifique histoire, je reçois l’un des fondateurs des Films d’Ici : Richard Copans, réalisateur et producteur qui nous raconte dans cet épisode son parcours personnel, de ses débuts en tant qu’assistant opérateur à aujourd’hui et ses projets en cours au sein des Films d’Ici. Une interview enregistré lors du Festival international du documentaire de Biarritz en janvier 2024.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ernest Cole, photographe noir sud africain, a été le premier a exposé au monde l’horreur de l’Apartheid avec son livre publié en 1967 “House of bondage”. Alors qu’il n’a que 27 ans, sa vie est en danger, et il est contraint à s’exiler à New-York et en Europe pour le reste de sa vie. Photographe oublié, le réalisateur Raoul Peck redonne vie à cet artiste et militant dans le film “Ernest Cole, Photographe”. Il y raconte notamment ses errances, ses tourments d’artiste et sa colère au quotidien, face au silence ou la complicité du monde occidental devant les horreurs du régime de l’Apartheid.Tous les mois on vous propose un film documentaire en avant première au cinéma les 5 Caumartin à Paris, et pendant que le film est diffusé, on enregistre une interview avec mes invités. Aujourd’hui je reçois Raoul Peck, ancien ministre de la culture d'Haïti, ancien président de la Fémis et réalisateur émérite. Pour citer quelques-unes de ses réalisations parmi les plus connues : “Lumumba, la mort du prophète” en 1991, “Sometimes in april” en 2005, “Exterminez toutes ces brutes” série documentaire pour ARTE en 2021, et “I’m not your negro” en 2018 pour lequel il a reçu l’oscar du meilleur documentaire. Aujourd’hui, Raoul Peck vient nous présenter et nous parler de son nouveau long métrage documentaire : “Ernest Cole, photographe” qui sort en salles le 25 décembre 2024 et distribué par Condor distribution.  Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Le FIPADOC 2024, festival international de documentaire de Biarritz, continue avec Raconter le réel. Nous sommes allés à la rencontre de 12 réalisateurs et réalisatrices qui y ont été sélectionnés.Dans cet épisode du FIPADOC continue... 2024, je reçois le réalisateur Louis Hanquet qui vient nous présenter son film Un pasteur, lauréat du prix national au FIPADOC 2024, et visible gratuitement sur france.tv .Dans le Sud-Est de la France, Félix, un jeune berger mélancolique et secret mène une vie étonnement atemporelle. Il vit seul et travaille avec son père à l'élevage du troupeau familial. De l'automne au printemps, il soigne ses bêtes, les nourrit et les garde dans les denses forêts de chênes verts du Verdon. L'été, il transhume à pied sur plus de deux cents kilomètres pour les mener à la montagne, jusque dans les confins de la vallée de l'Ubaye. Là, il vit loin de tout pendant de longs mois, dans un monde minéral et inaccessible où rôde un être invisible : le loup.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Le FIPADOC 2024, festival international de documentaire de Biarritz, continue avec Raconter le réel. Nous sommes allés à la rencontre de 12 réalisateurs et réalisatrices qui y ont été sélectionnés.Dans cet épisode du FIPADOC continue... 2024, je reçois la réalisatrice Clémence Davigo qui vient nous présenter son nouveau film Les oubliés de La Belle Étoile, visible sur tënk.Réunis le temps d’un été, Dédé, Michel, Daniel et André dressent un portrait en creux d’une époque, pas si lointaine, où l’enfant devait être plié et redressé. Grâce à leur amitié et leur soutien mutuel, ils décident de briser le silence sur ce qu’ils ont subi lorsqu’ils étaient pensionnaires du centre de redressement catholique La Belle Étoile.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Le FIPADOC 2024, festival international de documentaire de Biarritz, continue avec Raconter le réel. Nous sommes allés à la rencontre de 12 réalisateurs et réalisatrices qui y ont été sélectionnés.Dans cet épisode du FIPADOC continue... 2024, je reçois le réalisateur Nicolas Gayraud qui vient nous présenter son nouveau film En bout de piste.Fabrice 52 ans vit et travaille dans une zone périurbaine en région parisienne. Depuis 25 ans il est vendeur électro-ménager où chaque journée ressemble à une autre. Emprisonné dans une routine aliénante, Fabrice tente de s’échapper à travers la musculation et la musique, en recherche de sa liberté.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans ce nouvel épisode nous explorons la richesse et la diversité de la création documentaire belge en allant à la rencontre de trois cinéastes et une distributrice. A l’honneur dans cet épisode, la société de distribution belge Avila qui a à cœur de défendre et distribuer en salles et en ligne du cinéma d’auteur belge. Pour en parler je reçois son fondateur Ruben Desiere et la distributrice Marguerite de Saint André.Dans la seconde partie de cette épisode nous recevons ensuite deux réalisateurs et réalisatrices belges, qui nous montrerons à travers leurs films, une partie de la diversité cinématographique belge : Nina De Vroome, réalisatrice notamment de « Globes » en 2022, dans lequel elle cartographie les liens entre les humains et les abeilles, et Hannes Verhoustraete réalisateur de « Vue Brisée » en 2023, sur l’utilisation de la lanterne magique dans la propagande coloniale belge.Quelles sont les spécificités de la création documentaire belge, comment fonctionne son financement et comment se porte la distribution du cinéma documentaire en Belgique ? On en parle tout de suite dans ce nouvel épisode de Raconter le réel.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Orlando, ma biographie politique est une lettre filmée de l’écrivain et militant Paul B. Preciado à l’écrivaine anglaise Virginia Woolf qui a vécu à la fin du XIX et au début du XXème siècle. C’est elle qui a notamment écrit en 1928 : Orlando, portrait à travers les siècle d’un jeune noble anglais qui au milieu du livre se réveille femme. Paul B. Preciado raconte alors dans ce film comment son Orlando est aujourd’hui sorti de sa fiction et vit une vie qu’elle n’aurait jamais pu imaginer.Tous les mois on vous propose un film documentaire en avant première au cinéma les 5 Caumartin à Paris, et pendant que le film est diffusé, on enregistre cette interview avec mes invités. Aujourd’hui je reçois Emma Avena, Victor Marzouk et Elios Levy, trois acteurs et actrices et trois "Orlando" du film Orlando, ma biographie politique de Paul B. Preciado et qui viennent nous en parler. Orlando, ma biographie politique sort au cinéma le 5 juin 2024.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
#38 - La portrait Pop

#38 - La portrait Pop

2024-05-2753:10

Dans ce nouvel épisode je vais à la rencontre de Thibaut Sève, monteur de formation, et qui s'est ensuite tourné vers la réalisation de films documentaires. Parmi ses dernières réalisations, nous pouvons notamment citer “Jim Carrey, l’Amérique démasquée” pour ARTE en 2021, “Brad Pitt, la revanche d’un blond” en 2022 pour ARTE, et “Obvious, les hackers de l’art", pour Canal+ en 2023. Dans quelques jours, fin mai 2024, sera diffusé sur France 5 et France.tv son nouveau film “ De Matrix à Sense8, la révolution Wachowski” , portrait de ces deux réalisatrices devenues icônes transgenres et qui ont bousculé le conservatisme hollywoodien.  Dans ses réalisations, Thibaut Sève choisit souvent la forme du portrait et s'intéresse particulièrement, ces dernières années, à des icônes culturelles du monde contemporain liées à la pop culture. Après nous raconter son parcours, on va donc, avec Thibaut, questionner ce format. Qu'est ce qui fait un bon portrait documentaire ? Et quelles sont les particularités du portrait culturel ? Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Le FIPADOC 2024, festival international de documentaire de Biarritz, continue avec Raconter le réel. Nous sommes allés à la rencontre de 12 réalisateurs et réalisatrices qui y ont été sélectionnés.Dans ce premier épisode du FIPADOC continue... 2024, je reçois la réalisatrice Marie Bonhommet qui vient nous présenter son film Viol, défi de justice, visible gratuitement sur France.tv jusqu'au 25 mai 2024. Depuis le mouvement #Metoo en 2017, les plaintes pour viol ont doublé. Mise au défi, comment la justice prend-elle en charge cette parole ? Grâce à une autorisation exceptionnelle, la réalisatrice Marie Bonhommet a pu suivre un procès à la cour criminelle de Nantes. Quatre ans plus tôt, lors d'une soirée d'été, deux jeunes gens de 18 et 22 ans ont eu une relation sexuelle. Un viol, affirme la plaignante. Un rapport consenti, plaide l'accusé. En l'absence de preuve et de témoin, c'est parole contre parole. Comment les magistrats vont-ils se forger une intime conviction ? Durant deux jours, cinq magistrats vont écouter parents, proches, enquêteurs, experts et avocates dessiner deux parcours de vie ordinaire dont la trajectoire a basculé au cours d'une fête banale.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans L’homme aux mille visages, Sonia Kronlund enquête à la première personne et remonte la trace de ce caméléon qui se prénomme Alexandre, Ricardo ou Daniel. Il se dit chirurgien ou ingénieur, argentin ou brésilien. Il vit avec quatre femmes en même temps, et adapte à chacune son récit et même ses traits de caractère. Qui est cet homme et quelles sont ses motivations ? C’est ce que nous allons découvrir avec Sonia Kronlund.Tous les mois on vous propose un film documentaire en avant première au cinéma les 5 Caumartin à Paris, et pendant que le film est diffusé, on enregistre cette interview avec mes invités. Aujourd’hui je reçois Sonia Kronlund, autrice, réalisatrice et documentariste, et notamment connue pour animer et produire depuis 2002 l’émission Les pieds sur Terre sur France Culture. Elle a également réalisé en 2017 le film documentaire Nothingwood, sélectionné au festival de Cannes. Aujourd’hui, elle vient nous parler de son nouveau long métrage, L'homme aux mille visages, sorti en salles le 17 avril 2024 et distribué par Pyramides films. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
À l’occasion de la 46e édition du festival Cinéma du réel qui a notamment consacré une rétrospective à Claudia Von Alemann en lien avec le thème Filmer l’intime, nous vous proposons trois épisodes pour explorer l’intime et le politique au féminin avec 6 réalisatrices de trois générations différentes. Après avoir rencontré les pionnières Claudia Von Alemann et Claudine Bories dans le premier épisode, puis Alexe Poukine et Malaury Eloi-Paisley dans le second, dans ce troisième et dernier épisode, je vais à la rencontre de la relève, des cinéastes en devenir. La première invitée est Lucie Demange qui s’est fait notamment remarquer l’année dernière, en 2023, en remportant au festival Cinéma du réel le prix du public Première fenêtre avec son court métrage Quitter chouchou. Ma seconde invitées et Marie Vettese, qui a réalisé le court métrage Des châteaux de sable, sélectionné au festival Cinéma du réel 2024 dans la catégorie Première fenêtre. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
À l’occasion de la 46e édition du festival Cinéma du réel qui a notamment consacré une rétrospective à Claudia Von Alemann en lien avec le thème Filmer l’intime, nous vous proposons trois épisodes pour explorer l’intime et le politique au féminin avec 6 réalisatrices de trois générations différentes. Après avoir rencontré les pionnières Claudia Von Alemann et Claudine Bories dans le premier épisode, dans ce second épisode je vais à la rencontre de deux réalisatrices nées dans les années 80 - 90, toutes deux sélectionnées au festival Cinéma du réel 2024. La première invitée est Alexe Poukine, qui s’était fait remarquer en 2019 pour son film Sans frapper. Aujourd’hui elle vient nous parler de son nouveau film Sauve qui peut, lauréat du prix des jeunes Ciné + et mention spéciale du jury des bibliothèque au festival Cinéma du réel 2024. Ce nouveau long métrage se déroule dans un centre de formation dans lequel elle filme de "vrai.es" soignant.es et de "faux.es" patient.es qui simulent des consultations médicale dans le but de développer les qualités humaines des thérapeutes.Ma seconde invitée est la réalisatrice Malaury Eloi Paisley, qui vient nous présenter son premier long métrage, présenté au festival Cinéma du réel 2024, L’homme vertige, une déambulation intime et politique dans la ville de Pointe à Pitre en Guadeloupe.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
À l’occasion de la 46ème édition du festival Cinéma du réel dans laquelle était notamment consacrée une rétrospective à Claudia Von Alemann et plusieurs tables rondes sur l’intime et le politique,  nous vous proposons trois épisodes pour explorer l’intime et le politique au féminin avec 6 réalisatrices de trois générations différentes. Dans ce premier épisode, je vais à la rencontre des pionnières qui ont vécu les années 60, mai 68, la libération de la parole des femmes, et qui ont dû se battre pour se faire une place en tant que réalisatrice, dans un milieu dominé par les hommes.Pour en parler je reçois la cinéaste allemande Claudia Von Alemann qui a beaucoup documenté les luttes de son époque et notamment féministe. Elle réalise en 1968 Ce n’est qu’un début, continuons le combat sur Mai 68, co-créée le tout premier Festival International du Film de Femmes à Berlin en 1973, et invente tout au long de sa carrière de nouvelles formes pour parler des luttes féministes. Parmi ces films, ceux les plus souvent mentionnés sont Le voyage à Lyon réalisé en 1981, Nuits claires réalisé en 1988, ou encore La femme à la caméra en 2016. Je reçois également la cinéaste française Claudine Bories qui a également beaucoup documenté la libération de la parole des femmes en France, avec des films comme Femmes d’Aubervilliers en 1977 et Juliette du côté des hommes réalisé en 1981 et dont une version restaurée a été présenté au festival Cinéma du réel 2024. Nous pouvons citer également Portrait imaginaire de Gabriel bories en 1984 et Monsieur contre madame en 1999. Elle a également beaucoup œuvré pour la défense du cinéma documentaire, en signant le manifeste “Résister” en 1991 qui donnera naissance à l’ACID, et en participant à la fondation de l’ADDOC à la fin des années 90. Pour compléter cette interview, vous pouvez écouter ou réécouter l'épisode 16 de Raconter le réel sur la co-réalisation dans lequel on abordait les films plus récents de Claudine Bories avec elle et son co-réalisateur Patrice Chagnard ici : https://podcast.ausha.co/raconter-le-reel/16-la-co-realisation-avec-claudine-bories-et-patrice-chagnaHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
How to save a dead friend de Marusya Syroechkovskaya, est un récit autobiographique. Le jour de ses seize ans, Marusya s’est fait la promesse d’en finir avec la vie avant l’année écoulée. Mais, au cœur de cette « Russie de la déprime », elle fait la rencontre de Kimi dont elle tombe éperdument amoureuse. Pendant douze ans, elle va filmer leur couple, capturer l’euphorie et la dépression, la rage de vivre et le désespoir de leur jeunesse muselée par un régime violent et autocratique.Tous les mois, on vous propose un film documentaire en avant première au cinéma les 5 Caumartin à Paris. Pendant que le film est diffusé, on enregistre une interview avec mes invités. Pour ce nouvel épisode, je reçois Laurence Conan, chargé de développement en région au sein de l’association Documentaire sur grand écran. Cette association œuvre pour la promotion du cinéma documentaire, et la diffusion des films en France, et organise chaque année dans toute la France le festival Best of doc qui rassemble, à chaque fois, 10 des meilleurs films documentaires sortie au cinéma l’année passée, dont How to save a dead friend pour cette édition 2024. Avec nous également, Joël Chapron, spécialiste des cinématographies d’Europe centrale et orientale et chercheur associé au Laboratoire Culture et Communication d'Avignon Université, qui va nous parler du travail de la réalisatrice, Marusya Syroechkovskaya sur le film How to save a dead friend, et comment ce film s’inscrit dans une filmographie russe plus large. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans ce nouvel épisode je suis allé à la rencontre de l’équipe qui se cache derrière la série documentaire « La fabrique du mensonge » visible sur France.tv qui, dans chaque épisode explique et donne des clés de compréhension sur la naissance et la propagation des fake news. Les sujets abordés y sont variés, allant du déni climatique, au procès Amber Heard / Johnny Depp, en passant par Tik Tok l’ombre chinoise, ou l’affaire Mia.Comment trouvent-ils leurs sujets, comment travaillent-ils, enquêtent-ils, et quelles influences les nouvelles technologies peuvent-elles avoir sur ce phénomène de désinformation de plus en plus présent ?  Pour en parler je reçois Félix Suffert Lopez de Together Media et Stéphanie Lebrun de Babel Doc, co-producteurs de « La fabrique du mensonge », Elsa Guiol, réalisatrice, et Renaud Allilaire, directeur délégué du Pôle société et géopolitique de France télévision.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
État limite de Nicolas Peduzzi, raconte le quotidien de Jamal, seul psychiatre de l’hôpital Beaujon à Clichy. Par son regard, le réalisateur pose notamment cette question à travers son film : Comment bien soigner dans une institution malade ?Tous les mois, on vous propose un film documentaire en avant première au cinéma les 5 Caumartin à Paris. Pendant que le film est diffusé, on enregistre cette interview avec mes invités. Pour cette première du ciné-club, je reçois Nicolas Peduzzi, réalisateur français, remarqué en 2017 avec son premier long métrage Southern Belle, Grand prix de la compétition française au FIDMarseille. En 2021, Nicolas sort son deuxième long métrage Ghost song présenté au Festival de Cannes dans la sélection de l’ACID. Aujourd’hui il vient nous parler de son troisième long métrage, État limite, présenté au Festival de Cannes en 2023 et qui sort en salle le 1er mai 2024, détenteur du label OH MY DOC et distribué par les Alchimistes.Matthieu de Faucal, responsable événementiel du cinéma les 5 Caumartin est également présent et nous partage son ressenti sur le film. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
A l’occasion du FIPADOC 2024, Festival international de documentaire de Biarritz, nous consacrons cet épisode à la sélection jeune création du festival, qui, tous les ans, sélectionne une vingtaine de films d’écoles d’une durée maximum de 59 minutes. Pour en parler, je reçois Marion Czarny, programmatrice et responsable la compétition Jeune création au FIPADOC, et trois réalisateurs et réalisatrices sélectionnés cette année : Diala Al Hindaoui réalisatrice de Fatmé (lauréat du prix jeune création du FIPADOC 2024) et étudiante à la CinéFabrique, Emilien Dubuc réalisateur de Entre 10 et 100 hertz et étudiant à le Fresnoy, studio national des arts contemporains, et Olaa Zhyzhko, étudiante à la Fémis et réalisatrice de L’arche de Olaa.Trois jeunes réalisateur.trices et trois films aux thématiques différentes mais qui se retrouvent en toile de fond autour du sujet de l’exil, du territoire d’appartenance et de l’identité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Le FIPADOC 2023, festival international de documentaire de Biarritz, continue avec Raconter le réel. Nous sommes allés à la rencontre de 18 réalisateurs et réalisatrices qui y ont été sélectionnés.Dans ce nouvel épisode Hors-série du FIPADOC continue... 2023, je reçois Laurie Pinon et Bertrand Amiot qui nous présentent leur film La valse des Platanes.Le long de la Nationale 10 existe encore un relais-routier familial, Les Platanes, un véritable repère de camionneurs. C’est sur cette île, posée au milieu des kilomètres de goudron, que François et Patricia accueillent depuis plus de vingt ans les marins de la route. Approchant tous les deux de la retraite, ils décident de vendre leur affaire et cherchent, dans un contexte économique difficile, leur futur repreneur.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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