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T'as entendu ça ?

Author: Fox

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Un podcast pour remettre sur le devant de la scène des albums et des artistes parfois trop peu connus, voire même tombés dans l'oubli, et tout ce qui les entoure. Un seul mot d'ordre : (re)découverte.
44 Episodes
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Quand on vous parle d’été indien, si vous êtes français, vous penserez forcément à la chanson de Joe Dassin, puis vous penserez à cette période de l’année qui suit juillet-août si jamais il continue à faire bon par chez vous. Le soleil, l’air doux, le ciel bleu… tant de caractéristiques qui ne vous rappelleront pas vraiment l’Angleterre, le pays d’origine des musiciens qui ont fait partie du groupe Indian Summer. Au début des années 70, cette formation disposait de pas mal de qualités qui auraient pu lui permettre de se faire une belle place au sein de la scène anglaise, mais le destin est taquin et sa mise en concurrence avec un certain groupe originaire de Birmingham a peut-être bien anéanti ses chances de véritablement percer. De qui parle-t-on ? Eh bien, pour le savoir, il va falloir lancer cet épisode et partir à la découverte d’Indian Summer à travers l’album du même nom sorti en 1971. Titres diffusés durant l'émission : God Is The Dog Black Sunshine Secrets Reflected From The Film Of The Same Name Emotions Of Men Half Changed Again Another Tree Will Grow Glimpse Le Twitter de l'émissionLe Twitter de Fox
Non non, on ne rigole pas en lisant l’intitulé de cette émission, car cet épisode numéro 42 est bien évidemment celui de la réponse universelle, et son synonyme est donc Emmanuel Booz (CQFD). Français né pendant la Seconde Guerre mondiale, Emmanuel Booz est une sorte d’anomalie dans le paysage musical français, une singularité qui a cultivé durant toute sa carrière le goût de la différence et de l’indépendance et dont la légende dit qu’il fut l’un des premiers beatniks français à porter les cheveux longs, ainsi que l’un des premiers fervents partisans de l’écologie. Homme aux milles vies et au parcours insolite, il était temps aujourd’hui de lui consacrer une bonne demi-heure de notre temps pour partir à sa rencontre au travers de son troisième album sorti en 1976, Clochard. Titres diffusés durant l'émission : Monsieur Le Président - Emmanuel Booz Hound Dog - Elvis Presley Le Mont Des Oliviers - Emmanuel Booz Angoulême - Emmanuel Booz Ode Aux Rats - Emmanuel Booz Clochard - Emmanuel Booz À Vous Tous - Emmanuel Booz Assis Sur Le Trottoir De Ma Ville - Emmanuel Booz Ma Vie Est Bien Comme Ça - Emmanuel Booz Le Twitter de l'émissionLe Twitter de Fox
Est-ce que vous savez ce que c’est que la synesthésie ? Eh bien, il s’agit d’un phénomène neurologique qui associe deux sens entre eux. C’est intéressant, non ?Bien sûr, si je vous raconte ça, ce n’est pas pour rien, car ça a en fait à voir avec le titre de l’album qui nous intéresse aujourd’hui, Parallelograms de Linda Perhacs, même si pour en savoir plus de ce côté-là, il va bien évidemment falloir cliquer sur « lecture ». Cette américaine, née au nord de San Francisco, a en tout cas vu l’émergence des mouvements hippies et nul doute que ceux-ci ont fatalement influé sur sa vie et sur sa musique. Amoureuse de la nature et désireuse de répandre le bonheur autour d’elle, c’est presque par hasard qu’elle a fini par sortir, au début de la décennie 70, cet album qui, s’il a bidé à sa sortie, était appelé à devenir culte par la suite pour tout un tas d’admirateurs de folk qui ont offert à sa créatrice la possibilité de retenter sa chance plus de 40 ans après la parution de son premier disque. Titres diffusés durant l'émission : Delicious - Linda Perhacs Sarabande Main Title (Barry Lyndon - Music From The Soundtrack) - Georg Friedrich Händel, orchestre dirigé par Leonard Rosenman Dolphin - Linda Perhacs Paper Mountain Man - Linda Perhacs Call Of The River - Linda Perhacs Parallelograms - Linda Perhacs Chimacum Rain - Linda Perhacs Porcelain Baked-Over Cast-Iron Wedding - Linda Perhacs If You Were My Man - Linda Perhacs Hey, Who Really Cares? - Linda Perhacs Le Twitter de l'émissionLe Twitter de Fox
40e épisode… J’aime bien les chiffres ronds. Et pour l’occasion, nous allons retourner chez l’oncle Sam, territoire que nous avons déjà moult fois exploré, mais pour mettre ce coup-ci en lumière un style de musique dont on a assez peu parlé : la musique électronique, via le travail d’un certain Michael Garrison.Ayant évolué en autodidacte durant toute sa carrière, ce natif de l’ouest des États-Unis a, à partir de la fin des années 70, sorti plusieurs albums très inspirés par le cosmos et la science-fiction dans une contrée où ce genre de sonorités étaient encore mal connues. Nous allons donc retourner en 1982 pour partir à la découverte de sa carrière et de son album Eclipse à grands coups de synthétiseurs analogiques. Titres diffusés durant l'émission : Departure - Michael Garrison Popcorn - Gershon Kingsley Escape - Michael Garrison Dimensions - Michael Garrison The Awakening - Michael Garrison Interstellar Romance - Michael Garrison Airborne - Michael Garrison Daydreams/The Elliptical Sun - Michael Garrison Le Twitter de l'émissionLe Twitter de Fox
Vous connaissez ce sentiment ? Vous vous engagez dans un projet qui vous tient à cœur, mais rien ne marche. Vous insistez, insistez et insistez encore en espérant qu’un jour viendra où tout se débloquera et malheureusement, ce jour n’arrive jamais. Eh bien ce préambule n’aurait aucun intérêt s’il ne s’appliquait pas à notre sujet d’aujourd’hui : Bachdenkel. Ce groupe originaire de la perfide Albion a pendant 10 ans tout tenté pour pouvoir toucher le succès du bout des doigts, mais malgré ses deux albums, Lemmings et Stalingrad, respectivement sortis en 1973 et 1977, ce n’est jamais arrivé. Pour Noël, je vous offre donc une plongée dans l’univers maudit et sombre de Bachdenkel, aussi appelé « le plus grand groupe anglais inconnu ». Titres diffusés durant l'émission : Long Time Living An Apple A Day Through The Eyes Of A Child Come All Ye Faceless Seven Times Tomorrow An Appointment With The Master The Settlement Song Translation Le Twitter de l'émissionLe Twitter de Fox
Voyage, voyage. Sur les dunes du Sahara, des îles Fidji aux… pubs de Wellington... Oui, bon, on a un peu changé les paroles, mais cette mise en bouche sert surtout à vous présenter le pays d’origine des membres du groupe dont on va parler aujourd’hui : Mantis. Venu des îles Fidji, donc, ce groupe a, à la fin des années 60 et au début des années 70, dynamité les habitudes musicales des habitants du coin en proposant à sa sauce des reprises de morceaux rock peu connus des Fidjiens jusqu’alors. Comment cette formation originaire du Pacifique a pu devenir assez connue pour pouvoir enregistrer et sortir cet album, Turn Onto Music, en 73 ? Eh bien il va falloir écouter l’émission pour le savoir. Titres diffusés durant l'émission : Mississippi Queen Shake That Fat Day And Night In The Midnight Hour You Don't Love Love Me Turn Onto Music Island Suite A) Firewalker Le Twitter de l'émissionLe Twitter de Fox
Vous savez où on n’est pas allés depuis longtemps ? En Allemagne ! Retraversons donc le Rhin et le temps pour nous rendre dans le nord du pays à la fin des années 60 et y faire la connaissance du groupe Percewood’s Onagram. Menée par son charismatique leader, Wolfgang Michels, cette formation à la courte durée de vie va accoucher de quatre albums qui vont poser une pierre majeure à l’édifice du rock alternatif allemand en plus de coller une véritable réputation de dangereux rebelles à ses membres. Qu’ont donc bien pu faire les musiciens pour qu’on les considère ainsi ? C’est ce que je vous propose de savoir dans ce nouvel épisode au travers, entre autres, du troisième album du groupe, Tropical Brainforest, sorti en 1972. Titres diffusés durant l'émission : Doing It - Percewood's Onagram Desert Walker - Wolfgang Michels I’m On My Way - Percewood's Onagram I’ve Got My Woman - Percewood's Onagram Dancin' On The Edge Of Life - Wolfgang Michels Grey Sunday - Percewood's Onagram Tropical Brainforest - Percewood's Onagram That Singer Is Right - Percewood's Onagram Creature Called Man - Percewood's Onagram Wolfgang Michels Le Twitter de l'émissionLe Twitter de Fox
Ah ? Vous êtes là ? Eh bien dans ce cas, on est reparti pour une nouvelle saison et pour une nouvelle fournée de formidables artistes mal connus ! Qui dit épisode de rentrée dit fraîcheur nouvelle (si si, croyez-moi) et quoi de mieux que de parler d’un artiste estampillé sunshine pop pour évoquer ce sentiment de fraîcheur ? Laissez-moi donc vous présenter Roger Nichols et son trio appelé Roger Nichols & The Small Circle Of Friends. Un nom qui ne doit pas forcément beaucoup vous parler et pour cause, cet américain a surtout été durant toute sa carrière ce qu’on pourrait appeler un « homme de l’ombre », un de ces auteurs-compositeurs dont le nom n’était visible que dans les crédits des albums d’autres chanteurs et comme de juste, Roger Nichols est à l’origine de certains tubes des années 60-70. Pourtant, si on en parle aujourd’hui, c’est qu’il a bien eu lui aussi une carrière discographique et c’est ce que je vous propose de découvrir au travers de cet album de 2007, Full Circle. Titres diffusés durant l'émission : Talk It Over In The Morning - Roger Nichols & The Small Circle Of Friends Let Me Be The One - Roger Nichols & The Small Circle Of Friends St. Bernie The Sno-Dog - Roger Nichols Trio Snow Queen - Roger Nichols & The Small Circle Of Friends Don’t Take Your Time - Roger Nichols & The Small Circle Of Friends We’ve Only Just Begun - The Carpenters Always You - Roger Nichols & The Small Circle Of Friends Out In The Country - Roger Nichols & The Small Circle Of Friends I’m Gonna Find Her - Roger Nichols & The Small Circle Of Friends I Kept On Loving You - Roger Nichols & The Small Circle Of Friends Look Around - Roger Nichols & The Small Circle Of Friends Le Twitter de l'émissionLe Twitter de Fox
C’est le mois de juin et vous commencez à le savoir, c’est le dernier épisode de la saison avant la petite pause estivale et pour l’occasion, je me suis pas foutu de vous, puisqu’on va parler d’un des groupes anglais les plus sous-estimés des années 80-90 : Prefab Sprout. Née de l’impulsion de deux frères, Paddy et Martin McAloon, cette formation devenue culte pour tout un tas de sujets de sa Majesté a malheureusement connu un destin bien moins exceptionnel que ce qu’elle méritait, malgré un départ canon dans l’industrie du disque. Qu’est-il arrivé pour qu’une bonne partie du grand public finisse par oublier l’existence de ce groupe au nom étrange ? Eh bien c’est ce que je vous propose de savoir dans cet épisode qui se concentrera en partie sur son deuxième album sorti en 1985 : Steve McQueen. Titres diffusés durant l'émission : Faron Young Lions In My Own Garden (Exit Someone) Don't Sing Wild Horses The Gunman Appetite Horsin’ Around Goodbye Lucille #1 When Love Breaks Down Bonny Le Twitter de l'émissionLe Twitter de Fox
Repartons une nouvelle fois dans un pays qu’on connaît bien à une période qu’on connaît bien, les États-Unis au début des années 70. Dans l’État de Pennsylvanie, il n’y a pas que des entreprises fictives qui vendent du papier et des enquêteurs qui reprennent en main des affaires vieilles de 70 ans, il y a aussi des gens qui aiment la musique et qui décident d’en faire. C’est en tout cas dans cet État que se sont rencontrées Pat Gefell et Jo D. Andrews, les deux jeunes femmes qui ont fondé le duo Heaven & Earth. Dans la lignée des grandes figures folk de l’époque, comme Joan Baez ou Joni Mitchell, ces chanteuses ont proposé en 1973 un unique album à leur image, fruit d’un travail commun qui a mis à contribution certaines des plus grosses pointures de Chicago de l’époque et cet album, c’est Refuge. Titres diffusés durant l'émission : Jenny - Heaven & Earth Woman Blue - Judy Roderick Voice In The Wind - Heaven & Earth To A Flame - Heaven & Earth Sixty Years On - Heaven & Earth Song For Craig - Heaven & Earth Tomorrow Is A Long Time - Heaven & Earth Feel The Spirit - Heaven & Earth Le Twitter de l'émissionLe Twitter de Fox
Bon, on a tout de même pas mal voyagé, jusque-là. On est passés par la France, les États-Unis, le Royaume-Unis, le Japon, l’Argentine, l’Uruguay, etc… Et si on partait pour Israël, ce coup-ci ? Vous ne vous êtes certainement jamais posé la question, mais niveau rock, c’était comment à Tel Aviv dans les années 60 ? Eh ben ça va sûrement pas vous étonner, mais c’était pas fou-fou, jusqu’à ce que débarquent plusieurs jeunes gens férus de sonorités venues d’Angleterre et désireux de changer tout ça. Dans un pays où la guerre et les conflits sont légion, les Churchill’s ont fait office de véritable révolution musicale, même s’il a fallu un petit peu de temps pour s’en rendre compte, là-bas. Vous l’aurez compris, ce coup-ci, on va parler du groupe Churchill’s et de leur premier album du même nom sorti en 1968. Titres diffusés durant l'émission : Comics Too Much In Love To Hear Double Concerto Song From The Sea When You’re Gone Subsequent Finale Debka Straight People Le Twitter de l'émissionLe Twitter de Fox
Dans la grande famille des Anderson qui ont eu une carrière musicale, vous avez eu le grand-père compositeur, Leroy, le papa leader de Yes, Jon, le frère fondateur de Jethro Tull, Ian… Eh ben moi, je demande le cousin qui se cache sur les photos de famille, Miller Anderson. Cet écossais accro de la guitare a depuis une cinquantaine d’années écumé les groupes plus ou moins prestigieux les uns après les autres, honorant de sa présence sur scène de nombreux artistes pour les accompagner ou gravant le son de sa gratte sur les albums d’artistes divers. Pour autant, le bonhomme a lui aussi une carrière solo qu’il a entamée en 1971 avec son premier album, Bright City, et c’est de ce dernier dont on va parler aujourd’hui. Titres diffusés durant l'émission : The Age Of Progress - Miller Anderson Just To Cry - Keef Hartley Band Grey Broken Morning - Miller Anderson High Tide, High Water - Miller Anderson Bright City - Miller Anderson Shadows Cross My Wall - Miller Anderson Alice Mercy (To Whom It May Concern) - Miller Anderson Le Twitter de l'émissionLe Twitter de Fox
Promis juré, le choix du sujet de ce mois de février ne m’a pas été inspiré par la dernière coupe du monde de football, que je n’ai pas regardée, soit dit en passant (mais vous vous en fichez, on n’est pas là pour parler de moi). Pourtant, c’est bel et bien un groupe argentin qui est à l’honneur ce coup-ci, puisque je vais vous présenter Anabelas, premier album (et pendant longtemps, seul) du groupe Bubu. Retour donc dans les années 70, période à la fois de bouillonnement culturel inédit, mais aussi de grand bouleversement politique avec l’arrivée au pouvoir de la dictature militaire. C’est pourtant dans ce climat hostile que le groupe va pondre l’un des disques argentins les plus importants de cette décennie. Titres diffusés durant l'émission : El Viaje De Anabelas El Cortejo De Un Día Amarillo Ariel El Viaje De Anabelas (reprise) Sueños de Maniquí Le Twitter de l'émissionLe Twitter de Fox
Blow-Up, Barbarella, Les Frissons de l’angoisse… Vous avez peut-être déjà vu ou entendu parler de ces films qui ont marqué les années 60 et 70. Tous ont un dénominateur commun : David Hemmings. Cet acteur anglais dont la popularité à explosé au milieu des années 60 a enchaîné les gros projets en cette fin de décennie hippie avant de s’éloigner progressivement des plateaux de cinéma pour revenir à un quasi-anonymat. Signe de sa popularité alors à son paroxysme, il sort en 1967 un album sous son nom, Happens. Passé quasiment inaperçu, l’album finira par être oublié pendant de nombreuses années, mais s’agit-il seulement d’un essai discographique mis sur le marché pour capitaliser sur la célébrité d’un acteur ou renferme-t-il des trésors insoupçonnés ? C’est ce que je vous propose de découvrir dans cet épisode. Titres diffusés durant l'émission : After The Rain - David Hemmings Temptation Baby - Gene Vincent Mr. Tambourine Man - The Byrds Anathea - David Hemmings Reason To Believe - David Hemmings War’s Mystery - David Hemmings Bell Birds - David Hemmings The Soldier Wind - David Hemmings Back Street Mirror - David Hemmings Le Twitter de l'émissionLe Twitter de Fox
Woh ho ho ! Nous sommes en décembre et cette année, le père Noël a décidé de sortir de sa hotte un cadeau très spécial pour faire la nique à son pote Jésus. Laissez-moi vous présenter Coven, groupe américain fondé au milieu des années 60 par une jeune blonde sulfureuse et mineure du nom de Jinx Dawson et qui se revendiquait comme ouvertement… sataniste ! Un sujet en or pour cette période de l’année et pour l’occasion, on va parler du premier album du groupe, Witchcraft Destroys Minds and Reaps Souls, sorti en 1969. Partons donc à la découverte de cette étrangeté précurseur d’un genre musical encore balbutiant et qui a également commencé à populariser un geste de la main aujourd’hui connu de tous... Titres diffusés durant l'émission : Pact With Lucifer The White Witch of Rose Hall Portrait One Tin Soldier Blood On The Snow Black Sabbath For Unlawful Carnal Knowledge Coven In Charing Cross Wicked Woman Le Twitter de l'émissionLe Twitter de Fox
Avez-vous déjà entendu parler des Beach Boys ? Oh, ce n’est rien de très important, c’est juste un petit groupe qui a marqué durablement de son empreinte la musique américaine et qui a sorti l’un des albums les plus acclamés au monde de nos jours. Cette petite formation comportait en son sein trois frères, Brian Wilson, Carl Wilson et Dennis Wilson. C’est ce dernier qui va nous intéresser aujourd’hui, car à bien des égards, Dennis Wilson a été en quelque sorte la composante rock’n’roll du groupe dans tout ce que cela peut évoquer, en bien et surtout en mal. Retour donc sur la carrière mouvementée de ce garçon de la plage, faite de joies, de dépressions et de mauvais choix de vie qui lui ont fait brûler la chandelle par les deux bouts, et sur son album solo, Pacific Ocean Blues, sorti en 1977. Titres diffusés durant l'émission : River Song - Dennis Wilson Surfin' - The Beach Boys Wouldn’t It Be Nice - The Beach Boys God Only Knows - The Beach Boys Forever - The Beach Boys Thoughts Of You - Dennis Wilson Pacific Ocean Blues - Dennis Wilson Time - Dennis Wilson Friday Night - Dennis Wilson Moonshine - Dennis Wilson Rainbows - Dennis Wilson You And I - Dennis Wilson Le Twitter de l'émissionLe Twitter de Fox
En France, on a souvent dit à partir des années 60 que la sainte trinité du rock était composée de Johnny Hallyday, Eddy Mitchell et Dick Rivers. Néanmoins, si les deux premiers ont connu la carrière de premier plan qu’on leur connaît, il n’en a pas toujours été de même pour le troisième. Ringard pour les uns, rockeur pur qui n’a jamais trahi ses origines pour les autres, Dick Rivers a rythmé le paysage musical français pendant presque 60 ans tout en étant relégué au rang de second rôle. Mais méritait-il cette réputation de mec has been et oubliable que l’inconscient collectif semble lui avoir forgée ? Pour répondre à cette question, nous allons bien entendu revivre les grands moments de sa carrière, mais surtout nous attarder sur l’un de ses albums les plus atypiques, si ce n’est le plus atypique, sorti en 1969, L'? ou L’interrogation, si vous préférez. Titres diffusés durant l'émission : La Couleur De L'amour - Dick Rivers Heartbreak Hotel - Elvis Presley Est-ce Que Tu Le Sais ? - Les Chats Sauvages Personne Ne M’aime - Dick Rivers Faire Un Pont - Dick Rivers Medley (Madame / Je Continue Mon Rock’n’slow / Y En A Marre De Ce Western / Nice Baie Des Anges / Elle M’a Fait Mal / Plein Soleil / Comme De L’eau Qui Coule / Les Bras Des Femmes / Pas De Vainqueur) - Dick Rivers Le Vent - Dick Rivers L’interrogation - Dick Rivers Que Tout Change - Dick Rivers Une Vie Entière - Dick Rivers Le Condamné (Au Matin) - Dick Rivers Le Twitter de l'émissionLe Twitter de Fox
Le retour des vacances s’est-il bien passé ? La rentrée n’a pas été trop difficile ? Allez, pour se remettre dans le bain doucement, on va parler d’un album soul atypique, Headless Heroes Of The Apocalypse. On doit cette curiosité sortie en 1971 à un homme dont les plus grandes heures de gloire étaient déjà terminées depuis quelque temps au moment de sa parution, Eugene McDaniels. Un nom qui ne parle peut-être plus forcément à grand monde, mais qui pourtant est inscrit sur les plus belles pages de la musique américaine des années 60. Entre triomphes et carrière fantôme, retour sur la carrière de ce mordu de jazz dont le retour en grâce s’opère depuis plusieurs années. Titres diffusés durant l'émission : Lovin’Man - Eugene McDaniels My Love Is So High - The Sultans A Hundred Pounds Of Clay - Gene McDaniels Love Letter To America - Eugene McDaniels Feel Like Makin’ Love - Roberta Flack Jagger The Dagger - Eugene McDaniels The Lord Is Back - Eugene McDaniels Supermarket Blues - Eugene McDaniels The Parasite (For Buffy) - Eugene McDaniels Le Twitter de l'émissionLe Twitter de Fox
En ce mois de juin particulièrement changeant, mais surtout chaud, qui annonce l’été, il est l’heure de vous proposer le dernier épisode de cette saison 2 de T’as entendu Ça. Quoi de mieux, au vu des températures en hausse, que de clôturer cette saison avec une musique américaine qui évoque le soleil de l’Alabama ? Eh oui, ce 25e épisode est consacré à un groupe qui au milieu des années 70 s’était tourné vers le rock sudiste, j’ai nommé Jackson Highway. Montez donc sur votre cheval et galopez en ma compagnie à la découverte de ce groupe malchanceux au travers de leur deuxième et dernier album éponyme sorti en 1980. Yiiiha ! Titres diffusés durant l'émission : You're Looking Good - Jackson Highway I Will - Ruby Winters Ramblin' Man - The Allman Brothers Band Mississippi Funk - Jackson Highway Rave On - Jackson Highway Rock’n’roll Man - Jackson Highway Hook, Line And Sinker - Jackson Highway Drive Me On Home - Jackson Highway Cold Chill Out Of The Blue - Jackson Highway Circles - Jackson Highway Le Twitter de l'émissionLe Twitter de Fox
En cette veille de fête du travail (qui tombe un dimanche cette année, vindieu...), quoi de mieux que de se pencher sur un groupe anglais ? Quel rapport entre le 1er mai et un groupe de musique d’outre-Manche me direz-vous, eh bien il s’avère que The Housemartins, notre sujet du jour, a fait beaucoup parler de lui en Grande-Bretagne durant les années Thatcher pour ses prises de position que l’on qualifiera gentiment de « très de gauche ». Retournons donc vers le milieu des années 80 pour revivre la carrière de ce groupe pas totalement inconnu du nord de l’Angleterre à la discographie peu fournie, mais tellement passionnante, au travers de son premier album sorti en 1986, London 0 Hull 4. Titres diffusés durant l'émission : Sitting On A Fence - The Housemartins Get Up Off Our Knees - The Housemartins Sheep - The Housemartins Caravan Of Love - The Housemartins Build - The Housemartins The Rockafeller Skank - Fatboy Slim Happy Hour - The Housemartins Over There - The Housemartins Think for A Minute - The Housemartins Flag Day - The Housemartins Le Twitter de l'émissionLe Twitter de Fox
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