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KTO Radio / La Foi prise au Mot

KTO Radio / La Foi prise au Mot
Author: KTO Radio
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Dans un style simple et direct, des spécialistes, universitaires ou prêtres, dialoguent avec Régis Burnet, bibliste, en apportant des réponses aux questions que nous pouvons nous poser sur la foi, la liturgie, de grandes figures chrétiennes.
250 Episodes
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Cette semaine, La Foi prise au mot explore la notion d’expérience spirituelle. Alors que le « spirituel » est partout, comment discerner une authentique expérience chrétienne d’une simple émotion psychologique ou d’une offre de développement personnel ? Avec nos invités, le jésuite Dominique Salin et la dominicaine Anne Lécu, nous chercherons à définir les critères d’une vie spirituelle véritable, en nous appuyant sur les outils de discernement que nous offre la grande tradition de l’Église, d’Ignace de Loyola à François de Sales.
Cette semaine, la Foi Prise au Mot propose d’aborder une question aussi délicate que cruciale, qui touche à la fois notre lecture de la Bible et notre rapport au monde. Les premiers chapitres de la Genèse, ce grand poème de la Création, portent-ils en eux les germes de la crise écologique que nous traversons ? On l’entend souvent, l’injonction divine « Soumettez la terre et dominez-la » aurait légitimé, voire encouragé, une attitude prédatrice de l’homme envers la nature. Mais cette interprétation est-elle la seule possible ? Le récit de la Création est-il un appel à la domination aveugle ou instaure-t-il une responsabilité particulière de l’humain comme gardien ? "La bible ne connaît aucun des problèmes écologiques qui sont les nôtres, elle ne saurait nous fournir des solutions clés en main. Tout ceci ne vient pas à l’idée des auteurs, pour des raisons évidentes. En revanche, le texte biblique insiste sur la dépendance de l’humanité vis-à-vis de la nature. On est bien loin de l’image de l’homme maître et possesseur de la création" explique Béatrice Oiry, bibliste à l’Institut catholique de Paris. "Dans nos imaginaires modernes, on a l’idée d’une sorte de passivité de la terre, qui ne serait qu’un amas de matière indifférencié et à disposition. Or, cette vision prend précisément le contre-pied de la bible, qui ne traite de la création que comme une force productrice, source de vie et de changements." ajoute Marie-Caroline de Marliave, théologienne à l’Institut catholique de Paris.
La Foi prise au mot vous invite à tendre l’oreille. Nous allons parler d’un instrument qui emplit nos églises de sa majesté : l’orgue. Nous allons nous demander comment cet instrument, d’abord profane et utilisé dans les cours royales, a pu devenir la voix de la prière et un véritable prédicateur de la Parole de Dieu. Comment l’orgue peut-il illustrer le mystère de la Nativité, les angoisses du tombeau ou la chute d’Adam ? De la pompe du siècle de Louis XIV à la ferveur mystique du XXe siècle, comment a-t-il accompagné et même façonné la foi des croyants ? Nous le découvrirons en compagnie de deux invités : François Polgár et Eric Lebrun.
Cette semaine, la Foi Prise au mot ouvre un dialogue fascinant, et même indispensable, dans un monde où cohabitent plusieurs traditions religieuses, en particulier le christianisme et l’islam. Régis Burnet et ses invités se penchent sur des figures qui sont au coeur de la foi chrétienne, mais qui sont également vénérées et respectées dans l’islam : Abraham, Moïse, Jésus et sa mère, Marie. Ces noms résonnent avec force tant dans la Bible que dans le Coran. Mais au-delà des noms, que savons-nous de la manière dont le Coran les présente ? Comment la tradition musulmane interprète-t-elle leur parcours, leur message, leur sainteté ? Quelles sont les similitudes qui peuvent nous rapprocher et enrichir notre propre compréhension ? Quelles sont les différences qui soulignent les spécificités de chaque foi ? Régis Burnet reçoit Mehdi Azaiez, islamologue à l’UCLouvain (Belgique) et le père Biasgiu Virgitti, Enseignant à l’Université Grégorienne.
Depuis plusieurs années déjà, fleurissent des milliers de sites, de chaînes YouTube, de comptes sur les réseaux sociaux, qui se donnent pour mission de défendre la foi, d’expliquer la doctrine, de répondre aux objections. L’apologétique, cette vieille discipline un peu décriée, jugée même dépassée par certains, semble vivre une nouvelle jeunesse grâce au web. Mais de quelle apologétique parle-t-on ? Face à cette multitude d’offres, comment s’orienter ? Quels sont les critères de fiabilité ? Comment s’assurer de la qualité et de la pertinence des contenus proposés ? Régis Burnet reçoit Gemma Serrano, docteur en théologie et professeur extraordinaire au collège des Bernardins et Thomas Remy doctorant en théologie à l’UCLouvain (Belgique) et créateur de la chaîne YouTube "Foi et Raison".
Dans ce nouveau numéro de La Foi Prise au Mot, Régis Burnet et ses invités abordent un sujet aussi universel que redoutable, une expérience humaine fondamentale qui nous confronte à nos limites, à nos questions les plus profondes : la souffrance. Face à elle, que ce soit dans la maladie, l’épreuve ou l’accompagnement d’un proche, nous nous sentons souvent démunis. La médecine s’efforce de soulager, d’accompagner, de "pallier" comme le disent les soignants, mais la souffrance déborde souvent le cadre purement physique ou médical. Qu’est-ce que souffrir, au-delà de la douleur ? Pourquoi ce scandale du mal et de la souffrance dans un monde que la foi dit créé par un Dieu bon ? Peut-on, et doit-on, chercher un sens à ce qui semble parfois n’en avoir aucun ? Avec Pauolo Rodrigues, Professeur à l’Université Catholique de Lille et Edurardo Barrascout, Oncologue à l’Hôpital Saint Vincent de Paul à Lille.
Il y a quinze ans, le cardinal Jean-Marie Lustiger disparaissait. Quinze ans, c’est généralement le temps nécessaire pour prendre un peu de recul et commencer à raconter l’histoire de celui qui fut archevêque de Paris quasiment durant tout le pontificat de saint Jean-Paul II, de 1981 à 2005. Qui était Jean-Marie Lustiger ? Quelles furent son action et son influence sur l’Église en France voire sur l’Église universelle ? Comment caractériser sa pensée ? Régis Burnet reçoit Benoit Pellistrandi et Denis Pelletier.
Une question ne cesse de préoccuper régulièrement l’esprit du croyant : l’histoire peut-elle être une menace pour la foi ? Pendant longtemps, l’Église catholique a eu tendance à se raidir face aux découvertes historiques, ce qui a donné lieu, notamment, à la crise moderniste. Puis, au cours du 20e siècle, elle élabora lentement des réponses qui firent progresser à la fois notre connaissance des Écritures et notre rapport au passé. Pourtant, aujourd’hui, certaines de ces réponses semblent ne plus aller de soi. Alors, reposons-nous la question. Quand l’histoire vient bousculer nos certitudes, quand les découvertes archéologiques semblent contredire les récits bibliques, comment réagissons-nous ? L’histoire est-elle nécessairement un obstacle à la croyance, ou peut-elle, au contraire, l’éclairer et la renforcer ? Avec le Père Alain de Boudemange, prêtre diocésain de Versailles, Professeur aux Facultés Loyola de Paris et le Père Philippe Saudraix, historien, prêtre du diocèse de Nanterre.
Cette semaine, La Foi prise au mot vous invite à redécouvrir une figure majeure de la pensée chrétienne du XXe siècle : Emmanuel Mounier. Fondateur du personnalisme et de la revue Esprit, ce philosophe français a profondément marqué la réflexion sur la personne humaine et son rôle dans la société ; il a eu une forte influence sur la pensée de Jean-Paul II. À une époque où l’individualisme et le matérialisme dominent nos sociétés, où la dignité humaine est souvent remise en question, la pensée de Mounier offre une alternative. Comment concilier engagement spirituel et action politique ? Comment placer la personne au centre de nos préoccupations sans tomber dans l’individualisme ? Comment construire une communauté authentique qui respecte chaque individu ? Avec l’intervention d’Yves Roullière, Vice-président de l’association "Les amis d’Emmanuel Mounier" et responsable des oeuvres complètes et Jean-François Petit, assomptionniste, professeur à l’Institut Catholique de Paris, membre de l’Institut Catholique de France.
Il y a quinze ans, le cardinal Jean-Marie Lustiger disparaissait. Quinze ans, c’est généralement le temps nécessaire pour prendre un peu de recul et commencer à raconter l’histoire de celui qui fut archevêque de Paris quasiment durant tout le pontificat de saint Jean-Paul II, de 1981 à 2005. Qui était Jean-Marie Lustiger ? Quelles furent son action et son influence sur l’Église en France voire sur l’Église universelle ? Comment caractériser sa pensée ? Régis Burnet reçoit Benoit Pellistrandi et Denis Pelletier.
À l’occasion de la publication de sa lettre apostolique Patris corde, le pape François a proclamé une année saint Joseph jusqu’au 8 décembre 2021. Cet épisode de La foi prise au mot est une occasion de redécouvrir la figure du père nourricier de Jésus. Qu’en disent les textes bibliques ? Que racontent les légendes ? Et quels enseignements pouvons-nous tirer de la figure de Saint Joseph ? Régis Burnet reçoit le frère carme Anthony-Joseph et Anne-Catherine Baudoin, professeur de Nouveau Testament et de christianisme ancien.
Cette semaine, un mot est étudié par « La Foi prise au mot : « Mystique ». Voilà un terme qui n’est pas très clair, tant il semble désigner de choses différentes dans le langage courant mais aussi dans le vocabulaire religieux. On qualifie ainsi aisément de "mystique" n’importe quelle démarche spirituelle ou religieuse, marquée par des expériences qui nous paraissent sortir de l’ordinaire. Ce mot évoque aussi des figures majeures du catholicisme comme sainte Hildegarde de Bingen, saint Jean de la Croix ou sainte Thérèse de Lisieux. Enfin, on le retrouve dans des expressions théologiques comme le "corps mystique du Christ". Mais quel sens peut-on véritablement attribuer à ce mot ? Désigne-t-il une sorte d’expérience commune à de nombreux religieux ou ne fait-on preuve que d’un abus de langage ? "Il y a un changement manifeste entre les sens anciens et modernes du mot mystique. Mais ça ne veut pas dire qu’il y a forcément rupture ! On peut voir une continuité dans l’idée que la mystique désigne, quelque chose qui dépasse, excède le langage, qu’on ne peut pas décrire avec des mots", révèle Anthony Feneuil, Maître de conférences à l’Université de Lorraine. "Tout l’enjeu de la mystique des traditions chrétiennes, c’est de comprendre comment Dieu, qui est transcendant, peut être présent au coeur de l’âme, se manifester à un individu qui est une créature. Il y a quelque chose du paradoxe dans cette histoire", précise Ghislain Waterlot, Professeur de philosophie de la religion et d’éthique à l’Université de Genève.
Sixième et dernier épisode de cette série de carême sur l’espérance ! La Foi Prise au Mot revient cette fois le sur le sens théologique de l’espérance dans la foi chrétienne. Avec la foi et la charité, l’espérance fait partie de ce que les théologiens appellent les trois vertus théologales. Mais que signifie exactement espérer du point de vue de la théologie catholique ? Loin d’être un simple élan vers des jours meilleurs, cette vertu repose sur une confiance absolue en Dieu et en ses promesses. Elle oriente l’âme vers le salut, nourrit la persévérance dans les épreuves et éclaire l’engagement du croyant dans le monde. Quels sont ses fondements scripturaires et doctrinaux ? En quoi diffère-t-elle de l’optimisme ou du désir humain ? Une émission qui propose de redécouvrir l’espérance comme une force intérieure qui soutient la foi et conduit à la charité. Une invitation à en saisir toute la richesse spirituelle et théologique. Avec la participation de Jean-Michel Poffet, bibliste et professeur à Domuni Universitas et frère Gonzague de Longcamp, prêtre de la congrégation de Saint Jean et enseignant d’ecclésiologie à l’Université Catholique de Lyon.
Pour l’avant-dernier épisode de sa série de carême sur l’espérance, La Foi Prise au Mot vous invite à une méditation sur les raisons d’espérer dans notre le monde d’aujourd’hui. Nous le savons, le monde traverse une série de crises aux dimensions multiples : crises environnementales, crises économiques, crises (géo)politiques ou encore crises technologiques. Face à ces défis, il serait facile de céder au découragement. Pourtant, l’espérance chrétienne ne repose pas sur une simple vision optimiste de l’avenir, mais sur une certitude profonde : Dieu demeure présent et continue d’agir dans l’histoire. Quels sont aujourd’hui les signes d’espérance ? Comment garder confiance lorsque les épreuves se multiplient ? Loin d’être une illusion ou une fuite devant la réalité, l’espérance est une force qui pousse à l’action et engage chacun à oeuvrer pour un monde plus juste et plus fraternel. En redécouvrant cette vertu essentielle, chaque croyant devient un témoin et un artisan d’espérance. Avec Johannes Hermann, ornitologue et le père François Euvé s.j., rédacteur en chef de la revue Études.
Pendant des siècles la musique liturgique était une musique savante, complexe, réservée à des choeurs très entraînés. Puis vinrent les années 1950 qui privilégièrent des chants plus faciles, pouvant être repris par des assemblées sans formation musicale. Qu’en est-il aujourd’hui? Forme-t-on encore à la musique liturgique et quelles musiques proposent les compositeurs contemporains ? Finalement à quoi sert la musique à l’Eglise ? Pourquoi chanter ensemble ? Pour saint Augustin, « chanter c’est prier deux fois ». Qu’apporte la musicalité à la prière ? Régis Burnet reçoit deux jeunes chefs de choeurs, Mathieu Bonin et Olivier Bardot.
La Foi Prise au Mot continue sa réflexion sur l’espérance, en s’interrogeant cette fois sur les lieux où elle peut se vivre concrètement aujourd’hui. Si l’Église est le premier lieu où elle s’exprime, elle se déploie aussi dans une multitude d’espaces : sanctuaires de pèlerinage, paroisses, groupes de prière, mais aussi dans des lieux plus intimes comme les églises domestiques. Certains la trouvent dans le sacrement de la réconciliation, d’autres dans des communautés engagées auprès des plus fragiles. Ces lieux, visibles ou plus discrets, sont autant de signes que l’espérance chrétienne ne se limite pas à une idée, mais s’enracine dans des réalités vécues. Cette émission propose d’explorer la diversité des espaces où l’espérance prend corps et se renouvelle. Une invitation à découvrir comment, à travers l’Église et ses multiples visages, Dieu continue d’ouvrir des chemins d’espérance pour tous. Une émission organisée en présence de Rick van Lier et Marie-Gabrielle Balland, tous deux membres d’EcclesiaLab, laboratoire de l’innovation ecclésiale à l’UCLouvain en belgique.
La Foi prise au mot poursuit sa série de carême sur l’espérance, en abordant cette fois cette notion sous un angle politique. Trop souvent perçue comme une vertu strictement individuelle, l’espérance a pourtant une portée sociale essentielle. Comment inspire-t-elle les communautés humaines ? Quelle est sa place dans la construction du bien commun ? Dans un monde marqué par l’incertitude et les crises, l’espérance chrétienne ne se réduit pas à un simple optimisme : elle devient un moteur d’engagement et un ferment de transformation. De l’Évangile aux grandes figures chrétiennes engagées dans l’histoire, cette émission explore comment l’espérance façonne les sociétés et éclaire les responsabilités politiques des croyants. Entre utopie et réalisme, contemplation et action, elle invite à penser une espérance incarnée, capable de nourrir un projet de société plus juste et plus fraternel. Une réflexion essentielle pour saisir la portée collective d’une vertu qui dépasse la seule intériorité pour irriguer la cité. Régis Burnet reçoit Stipe Odak, Professeur à la faculté de théologie et d’études religieuse de l’Université Catholique de Louvain (Belgique) et Frédéric Ramel Professeur agrégé des universités à Sciences Po Paris.
Pour ce deuxième épisode de sa série de carême, La Foi Prise au Mot aborde l’espérance comme vertu individuelle. Intimement liée à la foi et à la charité, l’espérance n’est pas seulement une attente tournée vers l’avenir : elle engage profondément la psychologie personnelle du croyant. Comment se manifeste-t-elle dans la vie intérieure ? Est-elle une simple disposition à voir le monde de manière positive, ou bien une force spirituelle qui transforme l’existence, même au coeur des épreuves ? À travers les Écritures, la tradition chrétienne et l’apport des sciences humaines, cette émission propose une réflexion sur la manière dont chacun peut cultiver l’espérance au quotidien. Entre combat intérieur et confiance en Dieu, cette vertu se révèle un moteur essentiel de la vie spirituelle et un soutien dans le cheminement de foi. Avec l’intervention de soeur Anne Lécu o.p., docteure en philosophie pratique et médecin et le père Henri Gesmier exorciste et vicaire à la paroisse Saint-Jean de Montmartre.
La Foi Prise au mot inaugure sa nouvelle série de Carême sur l’espérance, en explorant comment cette vertu théologale est manifestée dans la Bible. Des patriarches de l’Ancien Testament aux apôtres du Nouveau, la Bible présente l’espérance comme une force essentielle qui traverse l’histoire du salut. Quelle place occupe-t-elle dans les Écritures ? Comment s’exprime-t-elle dans les psaumes, les prophéties et l’enseignement du Christ ? Bien plus qu’une simple attente de jours meilleurs, l’espérance biblique est un acte de confiance en Dieu, même dans l’épreuve et l’incertitude. D’Abraham marchant vers l’inconnu à saint Paul affirmant que « l’espérance ne déçoit pas » (Rm 5,5), cette émission explore les fondements scripturaires de cette vertu et leur résonance pour les croyants d’aujourd’hui. Grâce à une lecture approfondie des textes, elle éclaire comment la Parole de Dieu nourrit une espérance vivante, source de persévérance et de joie. Une émission en compagnie de soeur Sophie Ramond, religieuse, bibliste et enseignante à l’Institut Catholique de Paris.
Cette semaine, La Foi Prise au Mot propose de découvrir une lettre que tous les théologiens s’accordent à trouver d’une importance capitale, publiée par le pape François le 17 juillet 2024, « sur le rôle de la littérature dans la formation ». Cette lettre met en lumière l’importance de la littérature dans la formation spirituelle et pastorale aussi bien des prêtres, que de tous les chrétiens. Dans ce beau texte, le pape nous invite à redécouvrir la puissance des romans et des poèmes pour nourrir la foi, approfondir notre compréhension de l’être humain et entrer en dialogue avec la culture de notre temps. Il explore des thématiques comme la maturation personnelle, le rôle de la lecture dans le discernement spirituel et son impact sur l’annonce de l’Évangile, et appelle chacun à s’ouvrir à la richesse de la littérature. "Ma première réaction face à la lettre du pape serait de dire enfin ! Enfin, l’Eglise rend justice à l’importance de la littérature pour avancer dans la réflexion théologique et pour grandir dans la foi." relève le père Benoît Lobet, doyen de la cathédrale de Bruxelles. "J’ai été très agréablement surprise par cette lettre, parce qu’aucun pape, du moins de la période moderne, n’avait autant insisté sur l’importance de la littérature. Mais ce qui m’a le plus étonné, c’est que le pape ne se contente pas de faire l’apologie de la littérature dite édifiante, mais bien de toute la littérature dans son ensemble." se réjouit Sylvie Parizet, enseignante de littérature comparée à Paris Ouest Nanterre.
je trouve que les "spiritualités" non chrétiennes ont la part belle dans votre émission depuis quelques années. lorsque les sujets à propos du christianisme sont abordés il y a une critique historique appliquée pour réviser ce qui a toujours reconnu par l'Eglise et les historiens. l'Apocalypse n'est pas écrite par St Jean mais par un jean théologien. alors quand il s'agit de parler des autres pensées aucune lecture historique n'est appliquée. c'est assez insupportable pour une chaîne chrétienne.
L'ajout récent des rediffusions à la liste est perturbant et complique l'écoute des nouvelles émissions dans l'ordre.