HeyA
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Author: Bochra Fourti

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HeyA, le podcast qui met en lumière les parcours inspirants de femmes de culture arabe et berbère.
Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
74 Episodes
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Cette semaine je suis ravie de partager ma conversation avec Amina Kalache, journaliste au sein du media indépendant Le Média. Amina a également exercé au sein de prestigieuses rédactions françaises et internationale telles que : Aljazeera, BBC, ITV, Skynews ou encore BFM.Née d’une maman algérienne et d’un papa français, Amina revient sur son enfance et son amour pour l’Algérie. Elle nous raconte son parcours professionnel et ce qui l’a conduit à devenir journaliste alors qu’elle était destinée à devenir professeur d’anglais. Elle évoque sans détour les raisons qui l’ont incité à s’éloigner des grands médias pour se diriger vers une structure indépendante.Nous avons aussi évoqué l’expérience journalistique qui l’a le plus marquée ainsi que les différentes approches dans le traitement de l’information entre les médias anglophones et français.Enfin, nous avons échangé sur les évènements actuels en Palestine et de leurs impacts sur sa vie. Sans plus attendre je laisse place à la HeyA du jour - Amina Kalache.----------------------------------------------------- Pour suivre AminaInstagram: @amina.kalache Pour suivre Heya Instagram: @heya_podcastHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Aujourd’hui, je partage avec vous un extrait de ma conversation à venir avec Amina Kalache, journaliste au sein du média indépendant Le Média. Amina a également exercé au sein de prestigieuses rédactions françaises et internationale telles que : Aljazeera, BBC, ITV, Skynews ou encore BFM.Née d’une maman algérienne et d’un papa français, Amina revient sur son enfance et son amour pour l’Algérie. Elle nous raconte son parcours professionnel et ce qui l’a conduit à devenir journaliste alors qu’elle était destinée à devenir professeur d’anglais. Elle évoque sans détour les raisons qui l’ont incité à s’éloigner des grands médias pour se diriger vers une structure indépendante.Nous avons aussi évoqué l’expérience journalistique qui l’a le plus marquée ainsi que les différentes approches dans le traitement de l’information entre les médias anglophones et français.Enfin, nous avons échangé sur les évènements actuels en Palestine et de leurs impacts sur sa vie. Rendez-vous demain pour l’intégralité de l’épisode !    ----------------------------------------------------- Pour suivre AminaInstagram: @amina.kalache Pour suivre Heya Instagram: @heya_podcastHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Cette semaine je suis ravie de partager ma conversation avec Laila Mamou, Directrice de l’Engagement citoyen chez Crédit Agricole Consumer Finance et membre du comité exécutif. Laila est également très engagée et occupe la fonction de PDG au sein de l´association Injaz el Maghrib. Vous l’aurez compris, Laila a une carrière exceptionnelle et a déjà figuré à plusieurs reprises dans le classement des femmes les plus puissantes du monde arabe établi par Forbes. Dans cet épisode, Laila revient sur son enfance à Casablanca au sein d’une fratrie de sept. Elle évolue dans un environnement traditionnel mais très jeune elle se montre têtue et défie certaines règles établies. Cet aspect rebelle lui permettra d’ailleurs d’être l’unique enfant de la famille à suivre un cursus au sein de l’école française. Elle poursuit ensuite ses études universitaires en France mais revient travailler sur sa terre natale où elle exerce en tant que Présidente du directoire de Wafasalaf, une des filiales locales de Crédit Agricole. Trente-cinq ans plus tard, à l’âge de cinquante-quatre ans, elle décide de sortir de sa zone de confort et accepte une nouvelle opportunité professionnelle en France. Laissant derrière elle une vie très confortable. Laila revient sans filtre sur les défis auxquels elle a fait face tout au long de son parcours et évoque notamment un harcèlement subi au cours de sa carrière. Nous avons également discuté de leadership et de l’importance pour les femmes occupant ces postes de ne pas calquer les styles masculins. Un épisode très riche qui je l’espère vous procurera autant de plaisir que j’ai pris à l’enregistrer. Sans plus attendre je laisse place à la HeyA du jour - Laila Mamou.----------------------------------------------------- Pour suivre LailaLinkedIn: Laila Mamou | LinkedInPour suivre Heya Instagram: @heya_podcastHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Aujourd’hui, je partage avec vous un extrait de ma conversation à venir avec Laila Mamou, Directrice de l’Engagement citoyen chez Crédit Agricole Consumer Finance et membre du comité exécutif.Laila est également très engagée et occupe la fonction de PDG au sein de l´association Injaz el Maghrib.Vous l’aurez compris Laila a une carrière exceptionnelle et a déjà figuré à plusieurs reprises dans le classement des femmes les plus puissantes du monde arabe établi par Forbes. Dans cet épisode Laila revient sur son enfance à Casablanca au sein d’une fratrie de sept. Elle évolue dans un environnement traditionnel mais très jeune elle se montre têtue et défie certaines règles établies. Cet aspect rebelle lui permettra d’ailleurs d’être l’unique enfant de la famille à suivre un cursus au sein de l’école française. Elle poursuit ensuite ses études universitaires en France mais revient travailler sur sa terre natale où elle exerce en tant que Présidente du directoire de Wafasalaf, une des filiales locales de Crédit Agricole. Trente-cinq ans plus tard à l’âge de cinquante-quatre ans elle décide de sortir de sa zone de confort et accepte une nouvelle opportunité professionnelle en France. Laissant derrière elle une vie très confortable. Laila revient sans filtre sur les défis auxquels elle a fait face tout au long de son parcours et évoque notamment un harcèlement subi au moment d’une promotion en France. Nous avons également discuté de leadership et de l’importance pour les femmes occupant ces postes de ne pas calquer les styles masculins. Un épisode très riche qui je l’espère vous procurera autant de plaisir que j’ai pris à l’enregistrer. Rendez-vous demain pour l’intégralité de l’épisode !    ----------------------------------------------------- Pour suivre LailaLinkedIn: Laila Mamou | LinkedInPour suivre Heya Instagram: @heya_podcastHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
En cette veille de la journée internationale des droits des femmes je suis particulièrement émue de partager ma conversation avec Ines Abdel Razek, Directeur Executive au sein du Palestine Institute for Public Diplomacy (PIPD). Avant cela, Inès a travaillé au sein de l´Union pour la Méditerranée, l’ONU puis a exercé en tant que consultante au bureau du premier ministre palestinien.L’Interview a été enregistré à distance car elle est actuellement basée à Ramallah.Ines est née à Paris d’une maman française et d´un papa refugié palestinien militant de l’OLP (Organisation de la libération de la Palestine) ce qui la conduira à rencontrer plusieurs fois Yasser Arafat. Durant son enfance, elle vit de façons périodiques en France et en Palestine. Elle nous parle avec nostalgie de ses années passées à Gaza.Inès revient sur ses années d´étude à Science Po, ses premières expériences professionnelles et ce qui l’a incité à s’installer en Palestine afin de s’engager en faveur de son pays.Elle nous raconte son quotidien et toutes les contraintes auxquelles sont confrontées les Palestiniens de Cisjordanie.Nous avons également parlé de l’évolution de son identité, de l’invisibilisation des voix palestiniennes, de la transmission d´un patrimoine détruit depuis des années mais aussi du conflit actuel et de son impact sur l’ordre mondial.Inès est devenue maman quelque jours avant le 7 octobre. Elle évoque la façon qu’elle a eu d’appréhender cette étape si importante de la vie dans le contexte actuel.Le parcours et l’histoire d´Inès m’ont profondément touché.Sans plus attendre je laisse place à la HeyA du jour - Inès Abdel Razek.---------------Pour suivre Ines et soutenir le PIPDInstagram: @Inesarazek et @rabetbypipdPour soutenir le PIPD : https://www.thepipd.com/donate/Pour suivre Heya Instagram: @heya_podcast Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
En cette veille de la journée internationale des droits des femmes je suis particulièrement émue de partager avec vous un extrait de ma conversation à venir avec Inès Abdel Razek, Directeur Executive au sein du Palestine Institute for Public Diplomacy (PIPD). Avant cela, Inès a travaillé au sein de l´Union pour la Méditerranée, l’ONU puis a exercé en tant que consultante au bureau du premier ministre palestinien.L’Interview a été enregistré à distance car elle est actuellement basée à Ramallah.Ines est née à Paris d’une maman française et d´un papa refugié palestinien militant de l´OLP (Organisation de la libération de la Palestine) ce qui la conduira à rencontrer plusieurs fois Yasser Arafat. Durant son enfance, elle vit de façons périodiques en France et en Palestine. Elle nous parle avec nostalgie de ses années passées à Gaza.Ines revient sur ses années d´étude à Science Po, ses premières expériences professionnelles et ce qui l’a incité à s’installer en Palestine afin de s’engager en faveur de son pays.Elle nous raconte son quotidien et toutes les contraintes auxquelles sont confrontées les Palestiniens de Cisjordanie.Nous avons également parlé de l’évolution de son identité, de l’invisibilisation des voix palestiniennes, de la transmission d´un patrimoine détruit depuis des années mais aussi du conflit actuel et de son impact sur l’ordre mondial.Inès est devenue maman quelque jours avant le 7 octobre. Elle évoque la façon qu´elle a eu d’appréhender cette étape si importante de la vie dans le contexte actuel.Rendez-vous demain pour l’intégralité de l’épisode !    ----------------------------------------------------- Pour suivre Ines et soutenir le PIPDInstagram: @Inesarazek et @rabetbypipdPour soutenir le PIPD : https://www.thepipd.com/donate/Pour suivre Heya Instagram: @heya_podcast Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Cette semaine je suis ravie de partager ma conversation avec Hayatte Maazouza, programme manager au sein de la fondation L’Oréal et membre du conseil d’administration de Génération France. Hayatte a une carrière vraiment inspirante et un parcours très éclectique. Elle a exercé dans l’associatif, la fonction publique, privée mais également dans le milieu philanthropique et en politique.Dans cet épisode, Hayatte revient sur son enfance à Trappes au sein d’une famille d’origine marocaine très modeste où elle est l’unique fille d’une fratrie de quatre.Elle relate le choc subi lors de son arrivée en prépa et en école de commerce notamment face au déterminisme social et au manque de mixité sociale dans ces milieux.Hayatte évoque les raisons qui l’ont incité à suivre des études et des métiers engagés, ainsi que son moteur dans ses prises de décisions relatives à ses choix d’opportunités professionnelles.Nous avons également abordé la question de son engagement politique et les circonstances qui l’ont conduit à être le bras droit de Benoit Hammon dans sa course à la présidentielle de 2017.Enfin, Hayatte partage à cœur ouvert ses interrogations et ses prises de conscience sur la maternité, de la grossesse au post partum.Sans plus attendre je laisse place à la HeyA du jour - Hayatte Maazouza. -----------------------------------------------------  Pour suivre Hayatte LinkedIn: @hayatte-maazouza Instagram: @ha_yatte   Pour suivre Heya  Instagram: @heya_podcast        Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Aujourd’hui, je partage avec vous un extrait de ma conversation à venir avec Hayatte Maazouza, programme manager au sein de la fondation L’Oréal et membre du conseil d’administration de Génération France. Hayatte a jusque-là connu une carrière vraiment inspirante et un parcours très éclectique. Elle a exercé dans l’associatif, la fonction publique, privée mais également dans le milieu philanthropique et en politique.Dans cet épisode, Hayatte revient sur son enfance à Trappes au sein d’une famille d’origine marocaine très modeste où elle est l’unique fille d’une fratrie de quatre.Elle relate le choc subi lors de son arrivée en prépa et en école de commerce notamment face au déterminisme social et au manque de mixité sociale dans ces milieux.Hayatte évoque les raisons qui l’ont incité à suivre des études et des métiers engagés, ainsi que son moteur dans ses prises de décisions relatives à ses choix d’opportunités professionnelles.Nous avons également abordé la question de son engagement politique et les circonstances qui l’ont conduit à être le bras droit de Benoit Hammon dans sa course à la présidentielle de 2017.Enfin, Hayatte partage à cœur ouvert ses interrogations et ses prises de conscience sur la maternité, de la grossesse au post partum.Rendez-vous demain pour l’intégralité de l’épisode !     -----------------------------------------------------  Pour suivre Hayatte LinkedIn: @hayatte-maazouza Instagram: @ha_yatte Pour suivre Heya  Instagram: @heya_podcast       Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Cette semaine je suis ravie de partager ma conversation avec Yasmine Boheas, créatrice du compte « Bonjourlassmala » et autrice du livre « Un compte Instagram qui vous ressemble ». Née d’une maman bretonne et d’un papa marocain, Yasmine revient sur son enfance pleine d’amour, de couleurs et de musique. Elle évoque avec une immense fierté ce double héritage malgré sa confrontation brutale au racisme à l’âge de 7 ans lorsque sa famille emménage dans un petit village. Yasmine revient sur son parcours professionnel et la manière avec laquelle elle s’est formée sur le terrain au travers de différents métiers. Elle relate les prémices du compte « bonjourlasmala » et son évolution jusqu’au lâcher prise qu’elle prône aujourd’hui. Yasmine partage également ses top tips en tant que professionnelle d’Instagram. Nous avons aussi discuté de son rôle de maman, de l’importance de ne pas s’oublier en tant que femme et du sentiment de culpabilité souvent liée à maternité. Enfin, nous avons parlé de son projet photo intitulé « Cher corps, je t’aime », qui met en lumière la beauté dans la diversité des corps. Sans plus attendre je laisse place à la HeyA du jour - Yasmine Boheas.----------------------------------------------------- Pour suivre Yasmine et BonjourlasmalaInstagram: @bonjourlasmala Pour suivre Heya Instagram: @heya_podcastHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Aujourd’hui je partage avec vous un extrait de ma conversation à venir avec Yasmine Boheas, créatrice du compte « Bonjourlassmala » et autrice du livre « Un compte Instagram qui vous ressemble ». Née d’une maman bretonne et d’un papa marocain, Yasmine revient sur son enfance pleine d’amour, de couleurs et de musique. Elle évoque avec une immense fierté ce double héritage malgré sa confrontation brutale au racisme à l’âge de 7 ans lorsque sa famille emménage dans un petit village. Yasmine revient sur son parcours professionnel et la manière avec laquelle elle s’est formée sur le terrain au travers de différents métiers. Elle relate les prémices du compte « bonjourlasmala » et son évolution jusqu’au lâcher prise qu’elle prône aujourd’hui. Yasmine partage également ses top tips en tant que professionnelle d’Instagram. Nous avons aussi discuté de son rôle de maman, de l’importance de ne pas s’oublier en tant que femme et du sentiment de culpabilité souvent liée à maternité.Enfin, nous avons parlé de son projet photo intitulé « Cher corps, je t’aime », qui met en lumière la beauté dans la diversité des corps. Rendez-vous demain pour l’intégralité de l’épisode ! ----------------------------------------------------- Pour suivre Yasmine et BonjourlasmalaInstagram: @bonjourlasmala @bonjourlasmala.communication Pour suivre Heya Instagram: @heya_podcastHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Cette semaine je suis ravie de partager ma conversation avec Rima Hassan Mobarak, présidente et fondatrice de l’Observatoire des Camps de Réfugiés. Rima est également rapporteuse à la Cour Nationale du Droit d’Asile, enseignante à l´Ecole Supérieure de Journalisme de Paris. Dans cet épisode Rima retrace ses origines, notamment sa naissance et son enfance dans un camp de réfugiés près d’Alep en Syrie. Elle relate son arrivée en France et les contraintes auxquelles elle et surtout ses frères plus âgés ont dû faire face pour parvenir à se sentir les bienvenus dans ce nouveau pays. Rima revient sur les raisons qui l’ont incité à créer l’Observatoire et la mission qui l’habite. Nous avons également parlé d’identité, ou plutôt de non-identité ou d’identité pulvérisé par l’exil forcé, de la condition des Palestiniens nés après 1948 mais aussi de sa tentative d’y retourner. Le parcours et l’histoire de Rima m’ont profondément touché. Si vous souhaitez soutenir son combat, je vous invite à faire un don à l’Observatoire des Camps de Réfugiés dont les détails sont dans les notes. Sans plus attendre je laisse place à la HeyA du jour - Rima Hassan Mobarak.    -----------------------------------------------------   Pour suivre Rima et l’Observatoire des Camps de Réfugiés   Instagram: @rimamobarak et @obsrefugies  Soutenir l'Observatoire, dons et partenariats - Observatoire des camps de réfugiés (o-cr.org)     Pour suivre Heya   Instagram: @heya_podcast  Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Cette semaine je suis ravie de partager ma conversation avec Racha Belmehdi, autrice du livre « Rivalité, nom féminin ». Fille de diplomate, Racha vit une enfance nomade. Elle nait en Algérie puis déménage en Côte D’ivoire et en Russie avant de finalement atterrir en France à l'âge de 15 ans. Elle revient sur ses premiers pas dans ce nouveau pays et ce moment qu'elle décrit comme très difficile. Malgré qu’elle ait toujours été dans la minorité jusque-là, son expérience française s’avère plus chaotique. Elle est confrontée à une malveillance jamais connue jusque-là. Racha évoque les prémices de ses souvenirs de féminisme et revient sur la mésaventure qui a déclenché l’écriture de son livre et l’a encouragé à développer le thème de la rivalité féminine. On a discuté de la différence de perception en fonction du genre que la société porte sur certaines attitudes mais aussi du titre de son livre et de ce qui l’a incité à aborder la rivalité sous cet angle. Enfin nous avons parlé de sororité, des invisibles mais aussi de l’incident avec l’émission Quotidien de Yann Barthes.  Sans plus attendre je laisse place à la HeyA du jour – Racha Belmehdi.     -----------------------------------------------------   Pour suivre Racha: Instagram:@rachabelmehdi    Pour suivre Heya: Instagram: @heya_podcast     Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Aujourd’hui je partage avec vous un extrait de ma conversation à venir avec Racha Belmehdi, autrice du livre « Rivalité, nom féminin ».   Fille de diplomate, Racha vit une enfance nomade. Elle nait en Algérie puis déménage en Côte D’ivoire et en Russie avant de finalement atterrir en France à l'âge de 15 ans.   Elle revient sur ses premiers pas dans ce nouveau pays et ce moment qu'elle décrit comme très difficile. Malgré qu’elle ait toujours été dans la minorité jusque-là, son expérience française s’avère plus chaotique. Elle est confrontée à une malveillance jamais connue jusque-là.   Racha évoque les prémices de ses souvenirs de féminisme et revient sur la mésaventure qui a déclenché l’écriture de son livre et l’a encouragé à développer le thème de la rivalité féminine.   On a discuté de la différence de perception en fonction du genre que la société porte sur certaines attitudes mais aussi du titre de son livre et de ce qui l’a incité à aborder la rivalité sous cet angle.   Enfin nous avons parlé de sororité, des invisibles mais aussi de l’incident avec l’émission Quotidien de Yann Barthes.      Rendez-vous demain pour l’intégralité de l’épisode !      Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Cette semaine je suis ravie de partager ma conversation avec Samira Bejnouni Terlier, Chief Expérience Officer (CXO) (ou Directrice de l´expérience client France et Belgique) et membre du comité exécutif chez Amazon.     Dans cet épisode Samira revient sur son enfance et l’arrivée de ses parents originaires du Maroc en France quelques années avant sa naissance.     Elle nous fait part de son attrait pour les langues et de sa volonté très tôt  d’exercer un métier en lien avec celles-ci. Elle se lance ainsi dans des études  de langues et civilisations étrangères mais devant le contenu pas vraiment à la hauteur de ses espérances elle s’orientera finalement vers un BTS en commerce international.     Elle nous raconte comment elle obtient un peu par hasard son premier job chez Amazon en Irlande en tant qu´intérimaire. Et la manière dont elle gravit les échelons pour atteindre quelques années plus tard son poste actuel.     Samira revient sans filtre sur les défis auxquels elle a fait face tout au long de sa carrière.     Nous avons discuté du syndrome de l’imposteur, de l’importance de montrer sa vulnérabilité, des rôles model mais également de l’importance de la transmission.     Un épisode très riche qui je l’espère vous procurera autant de plaisir que j’ai pris à l’enregistrer.     Sans plus attendre je laisse place à la HeyA du jour - Samira Bejnouni Terlier.       -----------------------------------------------------   Pour suivre Samira  LinkedIn: Samira Bejnouni Terlier | LinkedIn    Pour suivre Heya   Instagram: @heya_podcast  Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Aujourd’hui je partage avec vous un extrait de ma conversation à venir avec Samira Bejnouni Terlier, Directrice de l´Expérience Client et membre du comité exécutif chez Amazon.     Dans cet épisode Samira revient sur son enfance et l’arrivée de ses parents originaires du Maroc en France quelques années avant sa naissance.  Elle nous fait part de son attrait pour les langues et de sa volonté très tôt  d’exercer un métier en lien avec celles-ci. Elle se lance ainsi dans des études  de langues et civilisations étrangères mais devant le contenu pas vraiment à la hauteur de ses espérances elle s’orientera finalement vers un BTS en commerce international.     Elle nous raconte comment elle obtient un peu par hasard son premier job chez Amazon en Irlande en tant qu´intérimaire. Et la manière dont elle gravit les échelons pour atteindre quelques années plus tard son poste actuel.     Samira revient sans filtre sur les défis auxquels elle a fait face tout au long de sa carrière.     Nous avons discuté du syndrome de l’imposteur, de l’importance de montrer sa vulnérabilité, des rôles model mais également de l’importance de la transmission.     Rendez-vous demain pour l’intégralité de l’épisode !    Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Cette semaine je suis ravie de partager ma conversation avec Rajae Maouane, co-présidente du parti écologique belge Ecolobe.     En plus d’être l’unique femme présidente de parti du pays, elle est également la plus jeune occupant ce poste. Ce qui est une belle prouesse lorsque l’on connait l’importance et le pouvoir associé à ce rôle en Belgique où le système est plus particratique qu´en France. En effet, ce sont par exemple les présidents de partis qui nomment le premier ministre et les ministres.     Nées de parents marocains, Rajae grandit à Bruxelles dans une fratrie de 10. Son enfance regorge de vie, d’amour et d'échanges.     Elle revient sur ses origines et certaines expériences pas toujours positives vécues plus jeune. Elle nous explique aussi comment sa perception de sa double culture a évolué et évoque l’impact de l'admiration portée à sa maman sur la fibre féministe désormais bien présente en elle.     Rajae retrace ses débuts en politique et notamment son intégration dans ce nouveau paysage: pour elle la politicienne au style qui dénote et éloigné des standards habituels.     Enfin nous avons discuté de l´invisibilisation des mères au foyer, de cyberharcèlement et de l’écart de leadership entre femmes et hommes.     Sans plus attendre je laisse place à la HeyA du jour - Rajae Maouane.  Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Aujourd’hui je partage avec vous un extrait de ma conversation à venir avec avec Rajae Maouane, co-présidente du parti écologique belge Ecolobe.     En plus d’être l’unique femme présidente de parti du pays, elle est également la plus jeune occupant ce poste. Ce qui est une belle prouesse lorsque l’on connait l’importance et le pouvoir associé à ce rôle en Belgique où le système est plus particratique qu´en France. En effet, ce sont par exemple les présidents de partis qui nomment le premier ministre et les ministres.     Nées de parents marocains, Rajae grandit à Bruxelles dans une fratrie de 10. Son enfance regorge de vie, d’amour et d'échanges.     Elle revient sur ses origines et certaines expériences pas toujours positives vécues plus jeune. Elle nous explique aussi comment sa perception de sa double culture a évolué et évoque l’impact de l'admiration portée à sa maman sur la fibre féministe désormais bien présente en elle.     Rajae retrace ses débuts en politique et notamment son intégration dans ce nouveau  paysage, pour elle la politicienne au style qui dénote et éloigné des standards habituels.     Enfin nous avons discuté de l´invisibilisation des mères au foyer, de cyberharcèlement et de l’écart de leadership entre femmes et hommes.     Rendez-vous demain pour l’intégralité de l’épisode !   Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Cette semaine je suis ravie de partager ma conversation avec Emel Methlouthi, chanteuse, auteure-compositrice et productrice de musique.     Il y a dix ans, le monde entier découvrait sa voix et son visage sur la célèbre Avenue Habib Bourguiba de Tunis. Vêtue d’un manteau rouge, on l’a vu se lever au milieu de la foule et chanter sans micro a capella, « Kelmti Horra » - « Ma parole est libre » - des mots forts relayés aux quatre coins de la planète qui vont cumuler des millions de vues sur les réseaux sociaux. C’est ainsi qu’Emel est devenue l’égérie chantante d’une révolution.     Dans cet épisode, elle revient sur son enfance en Tunisie. Ses parents enseignants lui offrent très tôt une éducation littéraire et musicale, notamment son papa féru de musique classique et jazz.      Autodictate, Emel revient sur son parcours, ses influences très éclectiques (de Vivaldi au métal en passant par Joan Base) et les raisons qui l’ont incité à s’expatrier en France à l’âge de 25 ans.     Elle évoque son arrivée sur ce nouveau territoire et le sentiment ambivalent qui la prend en étau : d’un côté le bonheur d’être dans le pays des libertés et pouvoir exercer son art et d’un autre le fait d’être coincée dans une case qui ne lui correspond pas.     Nous avons évidemment aussi discuté de ce 14 janvier historique, du sentiment ressenti lorsqu’elle a entonné ce chant, entourée du peuple tunisien mais aussi des répercussions.     Enfin nous avons parlé de représentativité et de maternité.     Sans plus attendre je laisse place à la HeyA du jour - Emel Mathlouthi.  -----------------------------------------------------   Pour suivre Emel  Instagram: @emelmathlouthi  Pour suivre Heya   Instagram: @heya_podcast  Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Aujourd’hui je partage avec vous un extrait de ma conversation à venir avec Emel Methlouthi, chanteuse, auteure-compositrice et productrice de musique.     Il y a dix ans, le monde entier découvrait sa voix et son visage sur la célèbre Avenue Habib Bourguiba de Tunis. Vêtue d’un manteau rouge, on l’a vu se lever au milieu de la foule et chanter sans micro a capella, « Kelmti Horra » - « Ma parole est libre » - des mots forts relayés aux quatre coins de la planète qui vont cumuler des millions de vues sur les réseaux sociaux. C’est ainsi qu’Emel est devenue l’égérie chantante d’une révolution.     Dans cet épisode, elle revient sur son enfance en Tunisie. Ses parents enseignants lui offrent très tôt une éducation littéraire et musicale, notamment son papa féru de musique classique et jazz.      Autodictate, Emel revient sur son parcours, ses influences très éclectiques (de Vivaldi au métal en passant par Joan Base) et les raisons qui l’ont incité à s’expatrier en France à l’âge de 25 ans.     Elle évoque son arrivée sur ce nouveau territoire et le sentiment ambivalent qui la prend en étau : d’un côté le bonheur d’être dans le pays des libertés et pouvoir exercer son art et d’un autre le fait d’être coincée dans une case qui ne lui correspond pas.     Nous avons évidemment aussi discuté de ce 14 janvier historique, du sentiment ressenti lorsqu’elle a entonné ce chant, entourée du peuple tunisien mais aussi de ses répercussions.     Enfin nous avons parlé de représentativité et de maternité.     Rendez-vous demain pour l’intégralité de l’épisode !     -----------------------------------------------------   Pour suivre Emel  Instagram: @emelmathlouthi  Pour suivre Heya   Instagram: @heya_podcast  Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Cette semaine je suis ravie de partager ma conversation avec Samah Karaki, docteure en neuroscience, fondatrice du « Social Brain Institute » et autrice du livre « Le talent est une fiction ».  Née au Liban en pleine guerre civile, Samah grandit au sein d’une famille au sens large où cousins, tantes et voisins sont très présents. Du fait de leur précarité, elle mène une vie de nomade et déménage vingt-et-une fois avec ses parents. Cela ne l’empêche pas malgré tout de baigner dans un océan d’amour.  Samah nous raconte comment le hasard de la vie et sa rencontre avec Carla, une de ses professeures, changera à jamais le cours de sa vie. Carla la supporte et l’encourage à s’expatrier en France à l'âge de 23 ans pour y finir ses études.  Elle revient sur son arrivée en France et évoque ce sentiment nouveau d’enfin se sentir quelque part chez soi.  Nous avons discuté du sexisme dans le milieu scientifique et du mythe de la méritocratie. Samah décortique le syndrome de l’imposteur et décrypte ce que le boom du développement personnel dit de notre société actuelle.  Samah ne tombe pas du tout dans l´illusion biographique et retrace sa vie sans filtre. Elle évoque des sujets qu'elle n'a jusque-là jamais partagés publiquement et je la remercie infiniment pour sa confiance.  Un épisode très riche qui a suscité chez moi beaucoup de réflexions.  Sans plus attendre je laisse place à la HeyA du jour - Samah Karaki.      -----------------------------------------------------   Pour suivre Samah  LinkedIn: Samah Karaki |LinkedIn  Instragram: @samah_karaki  Pour suivre Heya   Instagram: @heya_podcast  Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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