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Les Podcasts de Cinergie
Les Podcasts de Cinergie
Author: Cinergie
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© Dimitra Bouras
Description
Les podcasts de Cinergie, ce sont des rencontres en tête à tête avec une ou un artisan du cinéma. Une autre façon de découvrir celles et ceux qui font le cinéma belge.
C’est une production de l’asbl Cinergie, avec le soutien de la COCOF et le Centre du Cinéma de la Fédération Wallonie-Bruxelles.
Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
29 Episodes
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Pour cet avant-dernier épisode des Visages de l’animation, nous rencontrons Valérie Magis, scénariste depuis plusieurs dizaines d'années qui travaille sur de multiples séries à destination d’un public jeune. Parmi les personnages qu’elle a pu porter à l’écran, citons par exemple les Schtroumpfs, Samsam ou encore T’Choupi, coqueluche des tous petits. Avec elle, nous revenons sur ses premières expériences entre Belgique et États-Unis, sur les conseils qu’elle peut prodiguer aux aspirants scénaristes souhaitant se lancer dans l’écriture d’animation, et sur son ressenti par rapport à une profession en constante évolution.Parce qu'il est par essence sans visage, le cinéma d'animation peine à mettre en lumière celles et ceux qui le dessinent, le mettent en mouvement, lui donnent vie. Au-delà des réalisatrices et réalisateurs, ce médium se distingue pourtant par son aspect communautaire, peut être encore plus que le cinéma en prises de vues réelles. Car quel que soit l’outil, le style où l’énergie insufflée au projet, réaliser un film d'animation est un travail titanesque, forcément d'équipe.Ces invisibles de l'animation, ce sont elleux que nous vous proposons de rencontrer dans cette série d’interviews.Crédits : Enregistrement et réalisation : Kévin GiraudMontage, mixage et création sonore : Cyril DesmetIllustration : Rocío AlvarezCoordinatrice et productrice : Dimitra Bouras Les Visages de l'animation est une production de Cinergie avec l'aide de la COCOF, du Centre du cinéma de la FWB Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Pour ce huitième épisode des Visages de l’animation, nous rencontrons Olivier Auquier, directeur artistique du studio Dreamwall. Avec plus de quinze années d’expérience dans l’animation et plus de 4,5 millions de minutes produites, l’entreprise carolorégienne s’est imposée comme un partenaire incontournable pour de nombreuses coproductions internationales, garantissant également l’accès au Tax Shelter belge et une large palette de services. Entre animation 2D et animation 3D, entre série et long métrage, nous revenons avec lui sur les spécificités de l'animation en studio et sur les défis que cela représente aujourd'hui dans un monde globalisé, ainsi que sur les ambitions de projets originaux portées par le studio aujourd’hui.Parce qu'il est par essence sans visage, le cinéma d'animation peine à mettre en lumière celles et ceux qui le dessinent, le mettent en mouvement, lui donnent vie. Au-delà des réalisatrices et réalisateurs, ce médium se distingue pourtant par son aspect communautaire, peut être encore plus que le cinéma en prises de vues réelles. Car quel que soit l’outil, le style où l’énergie insufflée au projet, réaliser un film d'animation est un travail titanesque, forcément d'équipe.Ces invisibles de l'animation, ce sont elleux que nous vous proposons de rencontrer dans cette série d’interviews. Crédits : Enregistrement et réalisation : Kévin GiraudMontage, mixage et création sonore : Cyril DesmetIllustration : Rocío AlvarezCoordinatrice et productrice : Dimitra Bouras Les Visages de l'animation est une production de Cinergie avec l'aide de la COCOF, du Centre du cinéma de la FWB Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans ce quatrième épisode des Visages de l’animation, nous rencontrons Iris Alexandre, animatrice stop motion, dont le travail a récemment été vu dans le bluffant Interdit aux chiens et aux Italiens d'Alain Ughetto, prix du Jury à Annecy en 2022 et prix du public au festival Anima en 2023. Avec elle, nous parlons de ce médium bien particulier qu’est l’animation en stop-motion, de son apprentissage et de ses premières expériences, ainsi que de son passage par différentes matières, des brocolis jusqu’aux célèbres briques Lego®. Il y est également question d’un cochon pas trop charmant et d’animation pour enfants avec un zeste d’irrévérence, comme c’est le cas dans Un amour de cochon, long-métrage de Mascha Halberstadt sur lequel elle a également travaillé.Parce qu'il est par essence sans visage, le cinéma d'animation peine à mettre en lumière celles et ceux qui le dessinent, le mettent en mouvement, lui donnent vie. Au-delà des réalisatrices et réalisateurs, ce médium se distingue pourtant par son aspect communautaire, peut être encore plus que le cinéma en prises de vues réelles. Car quel que soit l’outil, le style où l’énergie insufflée au projet, réaliser un film d'animation est un travail titanesque, forcément d'équipe.Ces invisibles de l'animation, ce sont elleux que nous vous proposons de rencontrer dans cette série d’interviews. Crédits : Enregistrement et réalisation : Kévin GiraudMontage, mixage et création sonore : Cyril DesmetIllustration : Rocío AlvarezCoordinatrice et productrice : Dimitra Bouras Les Visages de l'animation est une production de Cinergie avec l'aide de la COCOF, du Centre du cinéma de la FWB Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Pour ce dernier épisode des Visages de l’animation, nous rencontrons Adeline Margueron, distributrice pour Le Parc Distribution. Une structure unique en Belgique, née au sein des Grignoux, et qui a su développer au fil des années une expertise dans la distribution du cinéma d’animation en Belgique francophone. Avec elle, nous abordons les particularités de la diffusion et de la distribution de ce médium sur les écrans bruxellois et wallons, les défis que peut représenter le secteur, mais aussi les stratégies mises en place pour faire découvrir aux bonnes audiences les films qui leur sont destinés, tout en favorisant la découverte.Parce qu'il est par essence sans visage, le cinéma d'animation peine à mettre en lumière celles et ceux qui le dessinent, le mettent en mouvement, lui donnent vie. Au-delà des réalisatrices et réalisateurs, ce médium se distingue pourtant par son aspect communautaire, peut être encore plus que le cinéma en prises de vues réelles. Car quel que soit l’outil, le style où l’énergie insufflée au projet, réaliser un film d'animation est un travail titanesque, forcément d'équipe.Ces invisibles de l'animation, ce sont elleux que nous vous proposons de rencontrer dans cette série d’interviews. Crédits :Enregistrement et réalisation : Kévin GiraudMontage, mixage et création sonore : Cyril DesmetIllustration : Rocío AlvarezCoordinatrice et productrice : Dimitra BourasLes Visages de l'animation est une production de Cinergie avec l'aide de la COCOF, du Centre du cinéma de la FWB Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans ce septième épisode des Visages de l’animation, nous rencontrons Dominique Seutin, co-directrice du festival Anima, un événement incontournable pour tous les fans de ce médium, mais aussi pour les professionnels belges et internationaux. Implanté à Bruxelles depuis plus de 40 ans, Anima est aujourd’hui un rendez-vous qui rassemble plus de 30.000 festivaliers chaque année fin février, avec de nombreuses rencontres, des séances spéciales, mais aussi des moments dédiés aux étudiant.es et professionnels de cette industrie. Avec Dominique, nous revenons sur l'importance de cet événement dans le paysage de l'animation en Belgique et sur les multiples opportunités qu'il représente pour les cinéastes, animateur·ices, producteur·ices de Belgique et d’ailleurs.Parce qu'il est par essence sans visage, le cinéma d'animation peine à mettre en lumière celles et ceux qui le dessinent, le mettent en mouvement, lui donnent vie. Au-delà des réalisatrices et réalisateurs, ce médium se distingue pourtant par son aspect communautaire, peut être encore plus que le cinéma en prises de vues réelles. Car quel que soit l’outil, le style où l’énergie insufflée au projet, réaliser un film d'animation est un travail titanesque, forcément d'équipe.Ces invisibles de l'animation, ce sont elleux que nous vous proposons de rencontrer dans cette série d’interviews.Crédits : Enregistrement et réalisation : Kévin GiraudMontage, mixage et création sonore : Cyril DesmetIllustration : Rocío AlvarezCoordinatrice et productrice : Dimitra Bouras Les Visages de l'animation est une production de Cinergie avec l'aide de la COCOF, du Centre du cinéma de la FWB Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Pour ce sixième épisode des Visages de l’animation, nous rencontrons Jérémie Mazurek, producteur et cofondateur de la société Ozu Productions. Avec Rémi Durin, Paul Jadoul et Constantin Beine, il est également cofondateur du studio L'enclume, l'un des principaux studios d’animation de la capitale. Avec lui, nous revenons sur sa carrière de réalisateur, mais aussi sur les défis que représente la production du cinéma d'animation en Belgique, entre productions à petite échelle, co-productions internationales et travaux de commande pour construire un écosystème viable, où les jeunes talents de l’animation de demain peuvent déployer leurs ailes.Parce qu'il est par essence sans visage, le cinéma d'animation peine à mettre en lumière celles et ceux qui le dessinent, le mettent en mouvement, lui donnent vie. Au-delà des réalisatrices et réalisateurs, ce médium se distingue pourtant par son aspect communautaire, peut être encore plus que le cinéma en prises de vues réelles. Car quel que soit l’outil, le style où l’énergie insufflée au projet, réaliser un film d'animation est un travail titanesque, forcément d'équipe.Ces invisibles de l'animation, ce sont elleux que nous vous proposons de rencontrer dans cette série d’interviews.Crédits : Enregistrement et réalisation : Kévin GiraudMontage, mixage et création sonore : Cyril DesmetIllustration : Rocío AlvarezCoordinatrice et productrice : Dimitra Bouras Les Visages de l'animation est une production de Cinergie avec l'aide de la COCOF, du Centre du cinéma de la FWB. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Pour ce cinquième épisode des Visages de l’animation, nous rencontrons Daniel Bleikolm, compositeur, artiste et musicien dont le travail sur les courts métrages Câline de Margot Reumont ou Conte Sauvage d’Aline Quertain ont contribué au succès de ces films en Belgique et à l’international. Dans son studio de Molenbeek, nous revenons avec lui sur la spécificité de la musique pour le cinéma d'animation et les différentes ficelles qu'il utilise pour construire ces univers sonores tantôt mystérieux, tantôt apaisants, mais toujours avec la finesse nécessaire à l’appréhension de ce médium aux multiples facettes.Parce qu'il est par essence sans visage, le cinéma d'animation peine à mettre en lumière celles et ceux qui le dessinent, le mettent en mouvement, lui donnent vie. Au-delà des réalisatrices et réalisateurs, ce médium se distingue pourtant par son aspect communautaire, peut être encore plus que le cinéma en prises de vues réelles. Car quel que soit l’outil, le style où l’énergie insufflée au projet, réaliser un film d'animation est un travail titanesque, forcément d'équipe.Ces invisibles de l'animation, ce sont elleux que nous vous proposons de rencontrer dans cette série d’interviews.Crédits : Enregistrement et réalisation : Kévin GiraudMontage, mixage et création sonore : Cyril DesmetIllustration : Rocío AlvarezCoordinatrice et productrice : Dimitra Bouras Les Visages de l'animation est une production de Cinergie avec l'aide de la COCOF, du Centre du cinéma de la FWB. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Pour ce troisième épisode des Visages de l’animation, nous rencontrons Christelle Coopman, coordinatrice de l'option des métiers du dessin d'animation 2D à la Haute École Albert Jacquard. Enseigner le cinéma d’animation en Belgique, elle s’y attelle depuis de nombreuses années, malgré les défis inhérents au secteur, les restrictions budgétaires et un engorgement de la filière de plus en plus présent. Avec elle, nous revenons sur son parcours, sur les raisons qui l’ont conduite à ce choix de carrière, et sur les possibilités que représente la Belgique, ses formations et ses studios pour les jeunes talents de demain.Parce qu'il est par essence sans visage, le cinéma d'animation peine à mettre en lumière celles et ceux qui le dessinent, le mettent en mouvement, lui donnent vie. Au-delà des réalisatrices et réalisateurs, ce médium se distingue pourtant par son aspect communautaire, peut être encore plus que le cinéma en prises de vues réelles. Car quel que soit l’outil, le style où l’énergie insufflée au projet, réaliser un film d'animation est un travail titanesque, forcément d'équipe.Ces invisibles de l'animation, ce sont elleux que nous vous proposons de rencontrer dans cette série d’interviews.Crédits : Enregistrement et réalisation : Kévin GiraudMontage, mixage et création sonore : Cyril DesmetIllustration : Rocío AlvarezCoordinatrice et productrice : Dimitra Bouras Les Visages de l'animation est une production de Cinergie avec l'aide de la COCOF, du Centre du cinéma de la FWB. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Pour ce second épisode des Visages de l’animation, nous rencontrons Benoît Féroumont. Réalisateur et auteur de bandes dessinés reconnu en Belgique et à l’étranger, il a récemment assuré la fonction de directeur artistique sur la pépite Robot Dreams, qui lui a valu de voyager jusqu’à la prestigieuse cérémonie des Oscars. Avec lui, nous parlons courts métrages, cinéma d’animation en général, musique mais aussi techniques d’animation et méthodes de travail qui sont essentielles à l’accomplissement d’un projet de grande ampleur. Un entretien conduit alors que Robot Dreams s’apprêtait à conquérir le coeur des publics du monde entier, au doux rythme de sa bande son et de ses personnages touchants.Parce qu'il est par essence sans visage, le cinéma d'animation peine à mettre en lumière celles et ceux qui le dessinent, le mettent en mouvement, lui donnent vie. Au-delà des réalisatrices et réalisateurs, ce médium se distingue pourtant par son aspect communautaire, peut être encore plus que le cinéma en prises de vues réelles. Car quel que soit l’outil, le style où l’énergie insufflée au projet, réaliser un film d'animation est un travail titanesque, forcément d'équipe.Ces invisibles de l'animation, ce sont elleux que nous vous proposons de rencontrer dans cette série d’interviews.Crédits : Enregistrement et réalisation : Kévin GiraudMontage, mixage et création sonore : Cyril DesmetIllustration : Rocío AlvarezCoordinatrice et productrice : Dimitra Bouras Les Visages de l'animation est une production de Cinergie avec l'aide de la COCOF, du Centre du cinéma de la FWB. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Pour ce premier épisode des Visages de l’animation, nous rencontrons Isabelle Goydadin, directrice de production au studio belge Waooh! fondée en 2010 et implantée au sein du pôle Image de Liège. 2010, et implanté au sein du Pôle Image de Liège. Depuis plus d’une décennie, leur équipe expérimentée accompagne de nombreux projets de la conceptualisation jusqu‘à la post-production, avec des longs métrages d’animation de renommée mondiale tels que Le Magasin des suicides, Les Secrets de Mon Père ou encore Avril et le Monde Truqué; et des séries animées comme Tobie Lolness, Wakfu ou encore Sammy. Pépinière de jeunes talents qui offre un espace de formation pour les jeunes créatifs tout en accompagnant de nombreux projets jusqu'à leur complétion, c’est autour de son rôle de directrice de production sur la série Tobie Lolness que nous avons rencontré Isabelle. Avec elle, nous revenons sur ce poste clé pourtant méconnu, et sur les différentes étapes qui ont mené à cette fonction au sein du studio. Parce qu'il est par essence sans visage, le cinéma d'animation peine à mettre en lumière celles et ceux qui le dessinent, le mettent en mouvement, lui donnent vie. Au-delà des réalisatrices et réalisateurs, ce médium se distingue pourtant par son aspect communautaire, peut être encore plus que le cinéma en prises de vues réelles. Car quel que soit l’outil, le style où l’énergie insufflée au projet, réaliser un film d'animation est un travail titanesque, forcément d'équipe.Ces invisibles de l'animation, ce sont elleux que nous vous proposons de rencontrer dans cette série d’interviews.Crédits : Enregistrement et réalisation : Kévin GiraudMontage, mixage et création sonore : Cyril DesmetIllustration : Rocío AlvarezCoordinatrice et productrice : Dimitra Bouras Les Visages de l'animation est une production de Cinergie avec l'aide de la COCOF, du Centre du cinéma de la FWB. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Milena Bochet, c’est une enfance à Lisbonne, des parents politisés qui s’offrent encore aujourd’hui un œillet rouge les 25 avril pour se remémorer le bonheur vécu le jour de la Révolution des Œillets. Arrivée à 9 ans à Bruxelles, elle y grandit avec ses 3 sœurs et ses parents. Son père, professeur de français, saute sur tous les prétextes pour faire travailler l’imagination de ses filles, leur demandant une histoire à inventer, par exemple à propos du chat boiteux qu’ils viennent de croiser. Elle part à Lille poursuivre des études de Lettres et y rencontre Louisette Faréniaux, cinéaste militante, pédagogue hors pair et passeuse de connaissance encore active aujourd’hui avec le festival L’Acharnière. Une fois ses études terminées, elle revient à Bruxelles et entre à l’INSAS, en réalisation. Elle y découvre le documentaire et en est subjuguée. Marquée par son histoire familiale, son tout premier documentaire nommé de Lola à Laïla évoque la guerre civile et l'après-guerre civile espagnole vécus par sa mère. Elle part en Slovaquie avec des professeurs de langue romanès. Milena y rencontre Geysa, un petit garçon malentendant. Le début d’une longue histoire cinématographique et d’amitié qui n’est pas prête de se terminer. Les Glaneuses est un podcast qui s’immisce au creux de la vie de réalisatrices. À travers leur parcours, leurs souvenirs, leur intimité, nous partons à la découverte de noms de femmes, de combats inspirants, de paroles politiques. Crédits :Enregistrement et réalisation : Dimitra Bouras Montage et mixage : Constance Pasquier Création sonore : Alexia Baltsavias Coordinatrice et productrice : Dimitra Bouras Les Glaneuses est une production de Cinergie avec l'aide de la Cinémathèque de la Fédération Wallonie-Bruxelles et de la COCOF, Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
La glaneuse que je rencontre aujourd'hui est Sanaz Azari. Elle est née à Isfahan en Iran. Elle arrive à l'âge de 4 ans à Bruxelles. Elle entame des études de scénographie à la Cambre. Son goût de la photographie l'amène peu à peu à l'image. Dans I comme Iran, Sanaz y apprend à lire et à écrire le persan et nous, à comprendre l’idéologie enseignée.
Les Glaneuses est un podcast qui s’immisce au creux de la vie de réalisatrices. À travers leur parcours, leurs souvenirs, leur intimité, nous partons à la découverte de noms de femmes, de combats inspirants, de paroles politiques.
Crédits :Enregistrement et réalisation : Dimitra Bouras Montage et mixage : Constance Pasquier Création sonore : Alexia Baltsavias Coordinatrice et productrice : Dimitra Bouras
Les Glaneuses est une production de Cinergie avec l'aide de la Cinémathèque de la Fédération Wallonie-Bruxelles et de la COCOF, Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Notre glaneuse du jour est Marie Mandy. Lauréate du prix de la critique au festival de Namur pour son dernier documentaire Les Femmes préfèrent en rire, nous retraçons avec elle son entrée et son parcours de cinéaste. Son enfance débute dans la ville de Leuven, avec des parents professeurs à l’université. Elle avait 8 ans quand la famille part pour le Congo où ils restent pendant 6 ans. C’est un moment fondateur pour Marie, elle découvre la liberté, la nature. Sa vocation de cinéaste est très précoce. À 12-13 ans, elle sait déjà qu'elle veut faire ce métier. Elle effectue d'abord des études de philologie romane avant de partir à Londres dans une école de cinéma. Elle réalise directement après ses études un court métrage de fiction: Pardon Cupidon. Elle travaille aussi en tant qu'assistante à la réalisation quelque temps, mais, d’après ses aveux, elle se rend compte qu'elle n'a pas d'imagination et ne sait pas inventer des histoires. Elle arrive au documentaire un peu par défaut et pendant énormément de temps, elle cherche à trouver sa propre voie. Son tout premier documentaire est Madeleine à la recherche du moi perdu. Il questionne la mort à travers le regard de Madeleine, la grand-mère de Marie. Elle réalise Voir sans les yeux où des aveugles et malvoyants expriment le fait que les images ne sont pas uniquement visuelles. Enfin, un documentaire majeur de sa carrière et le plus personnel est Mes deux seins, journal d'une guérison, dans lequel elle raconte le cancer qu’elle a vécu. Son apparition, son acceptation, le traitement et la transformation de son corps.
Les Glaneuses est un podcast qui s’immisce au creux de la vie de réalisatrices. À travers leur parcours, leurs souvenirs, leur intimité, nous partons à la découverte de noms de femmes, de combats inspirants, de paroles politiques. Crédits :Enregistrement et réalisation : Dimitra Bouras Montage et mixage : Constance Pasquier Création sonore : Alexia Baltsavias Coordinatrice et productrice : Dimitra Bouras Les Glaneuses est une production de Cinergie avec l'aide de la Cinémathèque de la Fédération Wallonie-Bruxelles et de la COCOF, Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Notre glaneuse du jour a baigné dès sa plus tendre enfance dans les flux contestataires et
libre-penseurs des années 60. Maman férue d'art, papa philosophe, les muses se sont penchées sur son repère d'enfant grandi librement. C'est grâce à l'écriture et au dessin qu'elle construisit la structure qui la soutenue pendant son adolescence avant de plonger, presque par hasard, dans le cinéma. Découragée par le milieu de l'époque, elle s'appuya sur la philosophie pour étancher sa soif de connaissance. Têtue, volontaire, à l'image des crabes chinois qu'elle filme dans son dernier documentaire, Dominique Loreau outrepasse les obstacles que l'enseignement de l'INSAS lui imposaient. Étudiante en montage, ne pouvant prétendre à la réalisation d'un film de fin d'études, elle déposa directement son projet à la Commission de sélection du Centre du Cinéma, qui fut accepté!
Ce fut le début d'une belle carrière de cinéaste, mais également d'autrice et de photographe.
Se situant à la limite du réel, Dominique Loreau adore le façonner, l'adapter à sa propre vision et à ses réflexions. Devenue professeur en écriture de scénario à l'Université Libre de Bruxelles, où elle enseigna l'histoire et la théorie du montage, elle anima également un atelier d'écriture de cinéma du réel dans lequel elle proposait aux étudiants de partir d'une photo, une phrase, un objet personnel pour écrire une histoire.
Les Glaneuses est un podcast qui s’immisce au creux de la vie de réalisatrices. À travers leur parcours, leurs souvenirs, leur intimité, nous partons à la découverte de noms de femmes, de combats inspirants, de paroles politiques.
Crédits :
Enregistrement et réalisation : Dimitra Bouras
Montage et mixage : Constance Pasquier
Création sonore : Alexia Baltsavias
Coordinatrice et productrice : Dimitra Bouras
Les Glaneuses est une production de Cinergie avec l'aide de la Cinémathèque de la
Fédération Wallonie-Bruxelles et de la COCOF, Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Aujourd'hui, je vais à la rencontre de Sung-A Yoon, une autre glaneuse très inspirante. Elle passe son enfance à Séoul, et arrive en France à l'âge de 9 ans. Son tout premier documentaire Full of Missing Links est né de l’urgence pour la réalisatrice de rechercher son père. Son deuxième long métrage, Overseas, met en avant ces milliers de femmes Philippines qui suivent une formation afin de devenir aide-ménagère ou nounou avant d'être déployées à l'étranger.
Les Glaneuses est un podcast qui s’immisce au creux de la vie de réalisatrices. À travers leur parcours, leurs souvenirs, leur intimité, nous partons à la découverte de noms de femmes, de combats inspirants, de paroles politiques.
Crédits :
Enregistrement et réalisation : Sarah Semana
Montage et mixage : Constance Pasquier
Création sonore : Alexia Baltsavias
Coordinatrice et productrice : Dimitra Bouras
Les Glaneuses est une production de Cinergie avec l'aide de la Cinémathèque de la
Fédération Wallonie-Bruxelles et de la COCOF, Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
La glaneuse que je rencontre aujourd'hui est d’origine italienne. Loredana Bianconi est née en Belgique dans une famille d’immigrés dont le père est venu travailler dans les mines de charbonnage. À huit ans, elle retourne vivre chez ses grands-parents dans un village du nord-est de l’Italie. Elle entame des études professionnelles et d’art appliqué à Bologne, avant d’entrer à l’université en Philosophie et Lettres et Arts du spectacle. C’est là qu’elle découvre le féminisme et la gauche des années 70. Férue de cinéma engagé, elle organise des festivals de vidéo en Italie et renoue avec la Belgique et son cinéma documentaire. Sa
carrière de cinéaste démarre avec La Mina, basée sur les lettres d’exil que son père envoyait à ses parents. Puis vient Avec de l'Italie qui descendrait l'Escaut, où elle donne la parole aux immigrés italiens. Ensuite vient un autre documentaire important de sa carrière Do You Remember Revolution qui expose le récit de trois femmes qui avaient pris la décision
de se lancer dans la lutte armée dans l'Italie des années 70. Avec La Vie autrement, elle participe à l’hommage des 40 ans d’immigration marocaine en Belgique.
Les thèmes qui traversent ses films tournent autour de la mémoire, le déracinement, l’immigration, un vécu qui laissa des cicatrises douloureuses dans son être.
Les Glaneuses est un podcast qui s’immisce au creux de la vie de réalisatrices. À travers leur parcours, leurs souvenirs, leur intimité, nous partons à la découverte de noms de femmes, de combats inspirants, de paroles politiques.
Crédits :
Enregistrement et réalisation : Dimitra Bouras
Montage et mixage : Constance Pasquier
Création sonore : Alexia Baltsavias
Coordinatrice et productrice : Dimitra Bouras
Les Glaneuses est une production de Cinergie avec l'aide de la Cinémathèque de la
Fédération Wallonie-Bruxelles et de la COCOF, Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Cette jeune bruxelloise débute avec des études en journalisme. Ce qui lui fait découvrir le reportage et la caméra. Elle décide de poursuivre dans cette voie et part à Londres étudier le journalisme vidéo documentaire. Sa carrière professionnelle débute au sein d'un groupe
parlementaire européen où elle est engagée en tant que journaliste vidéo.
Ensuite, elle décide de se lancer comme free-lance, elle travaille pour des ONG telles que Médecins du monde ainsi que dans le secteur culturel pour des festivals, des expositions ou des concerts. Et puis, pas de chance, le covid débarque, tout s'arrête et c'est là qu'elle se met à la réalisation de son tout premier vrai documentaire intitulé les Nouvelles Guérillères. Ce documentaire met en lumière les luttes des différents collectifs féministes bruxellois pour qu'il y ait moins de racisme, de sexisme, mais surtout plus d'égalité.
Les Glaneuses est un podcast qui s’immisce au creux de la vie de réalisatrices. À travers leur parcours, leurs souvenirs, leur intimité, nous partons à la découverte de noms de femmes, de combats inspirants, de paroles politiques.
Crédits :
Enregistrement et réalisation : Sarah Semana
Montage et mixage : Constance Pasquier
Création sonore : Alexia Baltsavias
Coordinatrice et productrice : Dimitra Bouras
Les Glaneuses est une production de Cinergie avec l'aide de la Cinémathèque de la
Fédération Wallonie-Bruxelles et de la COCOF, Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Sarah Moon Howe s’est fait connaître dès son premier documentaire. Et pour cause ! Elle nous plongeait dans le monde sulfureux du strip-tease.
Petite-fille de producteur, fille d'une réalisatrice et d’un chef électro, Sarah s’ennuyait profondément, livrée à elle-même pendant que ses parents couraient les plateaux. Alors, pour rompre sa solitude, la jeune adolescente s’enferme dans les salles de cinéma. Vivant à
deux pas de l’ancien cinéma bruxellois Arenberg (l’actuel Nova), elle dévore les films de la Nouvelle Vague. Mauvais sang de Leos Carax lui explose à la figure ! Pourtant, elle étudie la
psycho. À la fin de ses études, elle finit par s’inscrire à l’INSAS.
Chassez le naturel par la porte, il revient par la fenêtre ! Mais très vite, elle sent qu’elle n’y est pas à sa place. Elle a soif de vie, de la vraie vie, et pas celle des bancs d’école. Et elle devient strip-teaseuse! Et très naturellement elle apporte sa petite caméra dans les loges et filme ses amies. Ne dites pas à ma mère est ce premier film qui défraie les chroniques !
Les Glaneuses est un podcast qui s’immisce au creux de la vie de réalisatrices. À travers leur parcours, leurs souvenirs, leur intimité, nous partons à la découverte de noms de femmes, de combats inspirants, de paroles politiques.
Crédits :
Enregistrement et réalisation : Dimitra Bouras
Montage et mixage : Constance Pasquier
Création sonore : Alexia Baltsavias
Coordinatrice et productrice : Dimitra Bouras
Les Glaneuses est une production de Cinergie avec l'aide de la Cinémathèque de la
Fédération Wallonie-Bruxelles et de la COCOF,Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Journaliste de formation, curieuse de nature et carolo de cœur, Pauline part en Égypte pour
parfaire ses connaissances linguistiques en arabe. Débarquée pendant le 'printemps arabe', elle en revient avec des images et des rencontres d'amis et de militants. Forte de ces bagages, elle fait un premier film : Rester vivant. Le virus l'ayant touchée, elle continue sa carrière de documentariste avec Shift, un film sur un autre militant, Jean-Bernard Robillard, coursier, poursuivi en justice par Deliveroo, la plateforme de distribution de restaurants.
Ensuite, Pauline réalise Petites, où elle récolte les témoignages de jeunes filles et garçons qui étaient enfant lors de l'éclatement de l'affaire du pédocriminel Dutroux. Avec ces documentaires, elle réalise également un court métrage de fiction, Shams, soleil en arabe, une histoire de coup de foudre entre une jeune Européenne et une jeune Égyptienne.
Les Glaneuses est un podcast qui s’immisce au creux de la vie de réalisatrices. À travers leur parcours, leurs souvenirs, leur intimité, nous partons à la découverte de noms de femmes, de combats inspirants, de paroles politiques.
Crédits :
Enregistrement et réalisation : Dimitra Bouras
Montage et mixage : Constance Pasquier
Création sonore : Alexia Baltsavias
Coordinatrice et productrice : Dimitra Bouras
Les Glaneuses est une production de Cinergie avec l'aide de la Cinémathèque de la
Fédération Wallonie-Bruxelles et de la COCOF, Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Alexe Poukine est réalisatrice et scénariste. Après avoir suivi des cours d'art dramatique et de photographie, elle étudie l'anthropologie, la réalisation documentaire puis l'écriture scénaristique. Petites Morts, son film de fin d’études, est sélectionné dans plusieurs festivals internationaux. Après deux longs-métrages documentaires, Dormir, dormir dans les pierres (2013) et Sans frapper (2019), elle réalise en 2020 une première fiction, Palma. Elle se consacre maintenant à l'écriture de deux films : l'un de fiction et l'autre documentaire.
Il y a des images qui frappent, et avec elles, soudain, un sentiment que l'on désire irréversible nous envahit. On retrouve, dans certains films considérés comme des chefs-d'œuvre, des scènes dites érotiques qui, en réalité, sont des agressions, et dans lesquelles la question du consentement est écartée. Alors, il faut partir à la recherche d'un autre langage pour redonner aux femmes la liberté d’agir.
Dans cet épisode des Glaneuses, nous avons rencontré Alexe Poukine, la réalisatrice de Sans Frapper, un film qui aborde, de manière frontale, la question du viol, un film qui ne participe pas à l’invisibilisation des traumatismes liés aux violences sexuelles.
Une vingtaine d’années après les événements, une femme confie son viol à la cinéaste qui décide de construire son film en faisant porter ce récit par quatorze personnes, femmes et hommes, représentant chacun et chacune un morceau de cette mémoire traumatique. Sans frapper se concentre sur la difficile prise en charge d’une parole par une société qui la refuse.
Avec Alexe, nous avons parlé d´héritage féministe, de consentement, et de nouvelles images.
Les Glaneuses est un podcast qui s’immisce au creux de la vie de réalisatrices. À travers leur parcours, leurs souvenirs, leur intimité, nous partons à la découverte de noms de femmes, de combats inspirants, de paroles politiques.
Crédits :
Enregistrement et réalisation : Sarah Semana
Montage : Constance Pasquier et Sarah Semana
Mixage et création sonore : Alexia Baltsavias
Illustration : Rocio Alvarez
Auteur des textes : Bertrand Gevart
Coordinatrice et productrice : Dimitra Bouras
Les Glaneuses est une production de Cinergie avec l'aide de la Cinémathèque de la Fédération Wallonie-Bruxelles, de la COCOF, de la Ville de Bruxelles-Egalité des chances, et en partenariat avec Radio Campus. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.























