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Eglise La Bonne Nouvelle - Dijon
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Eglise La Bonne Nouvelle - Dijon

Author: Eglise La Bonne Nouvelle - Dijon

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Nous sommes très heureux que vous nous permettiez de vous faire connaitre notre Seigneur et Sauveur Jésus le Christ. Vous êtes le bienvenue à nos réunions sur Dijon . Plus d'informations sur notre site internet : www.la-bonne-nouvelle.org
424 Episodes
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'Or, Hérode était en conflit avec les habitants de Tyr et de Sidon. Ceux-ci décidèrent ensemble de lui envoyer une délégation. Après s’être assuré l’appui de Blastus, son conseiller, ils demandèrent la paix, car leur pays était économiquement dépendant de celui du roi. Au jour fixé, Hérode, revêtu de ses vêtements royaux, prit place sur son trône et leur adressa un discours en public. Le peuple se mit à crier : Ce n’est plus un homme qui parle. C’est la voix d’un dieu. Au même instant, un ange du Seigneur vint le frapper parce qu’il n’avait pas rendu à Dieu l’honneur qui lui est dû. Dévoré par les vers, il expira . Mais la Parole de Dieu se répandait toujours plus. Barnabas et Saul, après avoir rempli leur mission en faveur des croyants de Jérusalem, partirent en emmenant avec eux Jean surnommé Marc.' Actes 12:20-25
Dieu créa les hommes de sorte qu’ils soient son image, oui, il les créa de sorte qu’ils soient l’image de Dieu. Il les créa homme et femme . Dieu les bénit en disant : Soyez féconds, multipliez-vous, remplissez la terre, rendez-vous en maîtres, et dominez les poissons des mers, les oiseaux du ciel et tous les reptiles et les insectes. Et Dieu dit : Voici, je vous donne, pour vous en nourrir, toute plante portant sa semence partout sur la terre, et tous les arbres fruitiers portant leur semence. Je donne aussi à tout animal de la terre, aux oiseaux du ciel, à tout animal qui se meut à ras de terre, et à tout être vivant, toute plante verte pour qu’ils s’en nourrissent. Et ce fut ainsi. Dieu considéra tout ce qu’il avait créé : c’était très bon. Il y eut un soir, il y eut un matin : ce fut le sixième jour.Genèse 1:27-31
Un homme nommé Elqana vivait à Ramataïm-Tsophim , dans la région montagneuse d’Ephraïm ; il était fils de Yeroham et petit-fils d’Elihou, de la famille de Tohou, descendant de Tsouph, un Ephraïmite .1 Samuel 1:1
'Vers la même époque, le roi Hérode se mit à maltraiter quelques membres de l’Eglise. Il fit tuer par l’épée Jacques, le frère de Jean. Quand il s’aperçut que cela plaisait aux Juifs, il fit aussi arrêter Pierre. C’était pendant les jours des « Pains sans levain ». Lorsqu’on eut arrêté Pierre, il le fit mettre en prison et le plaça sous la garde de quatre escouades de quatre soldats chacune. Il voulait le faire comparaître devant le peuple après la Pâque. Pierre était donc sous bonne garde dans la prison. Mais l’Eglise priait ardemment Dieu en sa faveur. Or, la nuit qui précédait le jour où Hérode allait le faire comparaître, Pierre, attaché par deux chaînes, dormait entre deux soldats, et devant la porte de la prison, des sentinelles montaient la garde. Tout à coup, un ange du Seigneur apparut, et la cellule fut inondée de lumière. L’ange toucha Pierre au côté pour le réveiller : Lève-toi vite ! lui dit-il. Au même instant, les chaînes lui tombèrent des poignets. – Allons, poursuivit l’ange, mets ta ceinture et attache tes sandales ! Pierre obéit. – Maintenant, ajouta l’ange, mets ton manteau et suis-moi. Pierre le suivit et sortit, sans se rendre compte que tout ce que l’ange faisait était réel : il croyait avoir une vision. Ils passèrent ainsi devant le premier poste de garde, puis devant le second et arrivèrent devant la porte de fer qui donnait sur la ville. Celle-ci s’ouvrit toute seule. Ils sortirent et s’avancèrent dans une rue. Et soudain, l’ange le quitta. Alors seulement, Pierre reprit ses esprits et se dit : « Ah, maintenant je le vois bien, c’est vrai : le Seigneur a envoyé son ange et m’a délivré des mains d’Hérode et de tout le mal que voulait me faire le peuple juif. » Après réflexion, il se rendit à la maison de Marie, la mère de Jean appelé aussi Marc . Un assez grand nombre de frères s’y étaient réunis pour prier. Il frappa au battant de la porte. Une jeune servante, appelée Rhode, s’approcha et demanda qui était là. Elle reconnut la voix de Pierre et, dans sa joie, au lieu d’ouvrir, elle se précipita pour annoncer : C’est Pierre ! Il est là, dehors, devant la porte. – Tu es folle, lui dirent-ils. Mais elle n’en démordait pas. – Alors, c’est son ange, dirent-ils. Pendant ce temps, Pierre continuait à frapper. Ils ouvrirent, le virent et en restèrent tout étonnés. D’un geste de la main, Pierre leur fit signe de se taire, et il leur raconta comment le Seigneur l’avait fait sortir de prison. Il ajouta : Faites savoir tout cela à Jacques et aux autres frères. Ensuite, il repartit et se rendit ailleurs. Quand le jour se leva, il y eut un grand émoi parmi les soldats : Où donc était passé Pierre ? Hérode le fit rechercher, mais on ne le trouva nulle part. Alors, après avoir fait interroger les gardes, il ordonna leur exécution. Ensuite, il quitta la Judée pour se rendre à Césarée où il passa quelque temps. ' Actes 12:1-19
Un cheminement personnel, une rencontre spirituelle, une transformation intérieure. Des récits simples et authentiques qui inspirent, encouragent et témoignent de la force de la foi vécue au quotidien.
'A cette même époque, des prophètes se rendirent de Jérusalem à Antioche. L’un d’eux, nommé Agabus, se leva et prédit sous l’inspiration de l’Esprit qu’une grande famine sévirait bientôt dans le monde entier . Elle eut lieu, en effet, sous le règne de l’empereur Claude . Les disciples d’Antioche décidèrent alors de donner, chacun selon ses moyens, et d’envoyer des secours aux frères qui habitaient la Judée. C’est ce qu’ils firent : ils envoyèrent leurs dons aux responsables de l’Eglise par l’intermédiaire de Barnabas et de Saul .' Actes 11:27-30
Gardez-vous de donner aux chiens ce qui est sacré, et ne jetez pas vos perles devant les porcs, de peur qu’ils piétinent vos perles et que les chiens se retournent contre vous pour vous déchirer. Matthieu 7:6
19 Les disciples s’étaient dispersés lors de la persécution survenue après la mort d’Etienne. Ils allèrent jusqu’en Phénicie, dans l’île de Chypre et à Antioche, mais ils n’annonçaient la Parole qu’aux Juifs.20 Toutefois, quelques-uns d’entre eux, qui étaient originaires de Chypre et de Cyrène, se rendirent à Antioche et s’adressèrent aussi aux non-Juifs en leur annonçant la Bonne Nouvelle qui concerne le Seigneur Jésus.21 Or le Seigneur était avec eux ; un grand nombre de personnes crurent et se convertirent au Seigneur.22 Bientôt l’Eglise de Jérusalem apprit la nouvelle. Elle envoya Barnabas à Antioche.23 A son arrivée, il constata ce que la grâce de Dieu avait accompli et il en fut rempli de joie. Il encouragea donc tous les croyants à rester fidèles au Seigneur avec une ferme assurance.24 Barnabas était en effet un homme bienveillant, rempli d’Esprit Saint et de foi. Et un grand nombre de personnes s’attachèrent au Seigneur.25 Barnabas se rendit alors à Tarse pour y chercher Saul. Quand il l’eut trouvé, il l’amena avec lui à Antioche.26 Ils passèrent toute une année à travailler ensemble dans l’Eglise et enseignèrent beaucoup de gens. C’est à Antioche que, pour la première fois, les disciples de Jésus furent appelés « chrétiens ».
'Les apôtres et les frères qui habitaient la Judée apprirent que les non-Juifs venaient d’accepter la Parole de Dieu. Et dès que Pierre fut de retour à Jérusalem, les croyants d’origine juive lui firent des reproches : Comment ! lui dirent-ils, tu es entré chez des incirconcis et tu as mangé avec eux ! Mais Pierre se mit à leur exposer, point par point, ce qui s’était passé. – Pendant mon séjour à Jaffa, dit-il, j’étais en train de prier, quand je suis tombé en extase et j’ai eu une vision : une sorte de grande toile, tenue aux quatre coins, est descendue du ciel et elle est venue tout près de moi. J’ai regardé attentivement ce qu’il y avait dedans et j’ai vu des quadrupèdes, des bêtes sauvages, des reptiles et des oiseaux. J’ai entendu alors une voix qui me disait : « Lève-toi, Pierre, tue ces bêtes et mange-les. » Mais j’ai répondu : « Oh ! non, Seigneur, car jamais de ma vie je n’ai rien mangé de souillé ou d’impur. » La voix céleste s’est fait entendre une deuxième fois : « Ce que Dieu a déclaré pur, ce n’est pas à toi de le considérer comme impur. » Cela est arrivé trois fois, puis tout a disparu dans le ciel. Et voilà qu’au même moment trois hommes sont arrivés à la maison où nous nous trouvions . Ils venaient de Césarée et avaient été envoyés vers moi. Alors l’Esprit me dit d’aller avec eux sans hésiter. Je pris donc avec moi les six frères que voici et nous nous sommes rendus chez cet homme. Celui-ci nous a raconté qu’un ange lui était apparu dans sa maison et lui avait dit : « Envoie quelqu’un à Jaffa pour faire venir chez toi Simon, surnommé Pierre. Il te dira comment toi et tous les tiens vous serez sauvés. » J’ai donc commencé à leur parler, quand l’Esprit Saint est descendu sur eux, de la même manière qu’il était descendu sur nous au commencement. Aussitôt, je me suis souvenu de cette parole du Seigneur : Jean a baptisé dans de l’eau, mais vous, vous serez baptisés dans le Saint-Esprit. Puisque Dieu leur a accordé le même don qu’à nous quand nous avons cru, qui étais-je, moi, pour pouvoir m’opposer à Dieu ? Ce récit les apaisa et ils louèrent Dieu et dirent : Dieu a aussi donné aux non-Juifs de changer pour recevoir la vie. ' Actes 11:1-18
'Je me suis profondément réjoui, dans le Seigneur, en voyant que votre intérêt pour moi a pu finalement porter de nouveaux fruits. Car cette sollicitude à mon égard, vous l’éprouviez toujours, mais vous n’aviez pas eu l’occasion de la manifester. Ce n’est pas le besoin qui me fait parler ainsi, car j’ai appris en toutes circonstances à être content avec ce que j’ai. Je sais vivre dans le dénuement, je sais aussi vivre dans l’abondance. C’est le secret que j’ai appris : m’accommoder à toutes les situations et toutes les circonstances, que je sois rassasié ou que j’aie faim, que je connaisse l’abondance ou que je sois dans le besoin. Je peux tout, grâce à celui qui me fortifie. Pourtant, vous avez bien fait de prendre part à ma détresse. Comme vous le savez, Philippiens, dans les premiers temps de mon activité pour la cause de l’Evangile, lorsque j’ai quitté la Macédoine , aucune autre Eglise n’est entrée avec moi dans un échange réciproque de dons matériels et spirituels . Vous seuls l’avez fait. Pendant mon séjour à Thessalonique, vous m’avez envoyé, par deux fois, des dons pour subvenir à mes besoins. Ce n’est pas que je tienne à recevoir des dons ; ce qui m’intéresse, c’est qu’un plus grand nombre de fruits soit porté à votre actif. J’atteste par cette lettre avoir reçu tous vos dons, et je suis dans l’abondance. Depuis qu’Epaphrodite me les a remis, je suis comblé. Ils ont été pour moi comme le doux parfum d’une offrande agréée par Dieu et qui lui fait plaisir. Aussi, mon Dieu subviendra pleinement à tous vos besoins ; il le fera, selon sa glorieuse richesse qui se manifeste en Jésus-Christ. A notre Dieu et Père soit la gloire dans tous les siècles ! Amen ! Saluez tous ceux qui, par leur union avec Jésus-Christ, font partie du peuple saint. Les frères qui sont ici avec moi vous saluent. Tous les membres du peuple saint vous adressent leurs salutations, et en particulier ceux qui sont au service de l’empereur. Que la grâce du Seigneur Jésus-Christ soit avec vous.' Philippiens 4:10-23
' Ne condamnez pas les autres, pour ne pas être vous-mêmes condamnés. Car vous serez condamnés vous-mêmes de la manière dont vous aurez condamné autrui, et on vous appliquera la mesure dont vous vous serez servis pour mesurer les autres. Pourquoi vois-tu les grains de sciure dans l’œil de ton frère, alors que tu ne remarques pas la poutre qui est dans le tien ? Comment oses-tu dire à ton frère : « Laisse-moi enlever cette sciure de ton œil », alors qu’il y a une poutre dans le tien ? Hypocrite ! Commence donc par retirer la poutre de ton œil ; alors tu y verras assez clair pour ôter la sciure de l’œil de ton frère.' Matthieu 7:1-5
'Le jour suivant, il arriva à Césarée. Corneille les attendait ; il avait invité sa parenté et ses amis intimes. Au moment où Pierre allait entrer, Corneille s’avança vers lui, se jeta à ses pieds et se prosterna devant lui. Mais Pierre le releva. – Non, lui dit-il, lève-toi ! Je ne suis qu’un simple homme, moi aussi. Puis, tout en s’entretenant avec lui, il entra dans la maison et découvrit les nombreuses personnes qui s’y étaient réunies. Il leur dit : Vous savez que la Loi interdit à un Juif de fréquenter un étranger ou d’entrer chez lui. Mais Dieu m’a fait comprendre qu’il ne faut considérer aucun être humain comme souillé ou impur. Voilà pourquoi je n’ai fait aucune difficulté pour venir quand vous m’avez appelé. A présent, puis-je savoir pour quelle raison vous m’avez fait venir ? Corneille lui répondit : Il y a trois jours, à peu près à cette heure-ci, j’étais chez moi en train de faire la prière de trois heures de l’après-midi. Soudain, un homme aux habits resplendissants s’est présenté devant moi et m’a dit : « Corneille, ta prière a été entendue et Dieu a tenu compte des secours que tu as apportés aux pauvres. Envoie donc des hommes à Jaffa pour inviter Simon, que l’on surnomme Pierre, à venir ici. Il loge chez un autre Simon, un tanneur qui habite une maison près de la mer. » Par conséquent, je t’ai donc immédiatement envoyé chercher, et je te remercie d’avoir bien voulu venir. Nous voici donc maintenant tous ici devant Dieu, prêts à écouter tout ce que le Seigneur t’a chargé de nous dire. Alors Pierre prit la parole et dit : Maintenant je me rends vraiment compte que Dieu ne fait pas de différence entre les hommes. Au contraire, parmi tous les peuples, tout homme qui le craint et qui fait ce qui est juste lui est agréable. Il a adressé sa parole aux Israélites pour leur annoncer la paix par Jésus-Christ, qui est le Seigneur de tous les hommes. Vous savez ce qui s’est passé, à commencer par la Galilée, puis dans toute la Judée, après que Jean a appelé les foules à se faire baptiser. Ensuite, Dieu a oint Jésus de Nazareth en répandant sur lui la puissance du Saint-Esprit. Celui-ci a parcouru le pays en faisant le bien et en guérissant tous ceux qui étaient tombés sous le pouvoir du diable, car Dieu était avec lui. Nous sommes les témoins de tout ce qu’il a fait, dans le pays des Juifs et à Jérusalem, où ils l’ont mis à mort en le clouant à la croix. Mais Dieu l’a ramené à la vie le troisième jour et lui a donné de se montrer vivant, non à tout le peuple, mais aux témoins que Dieu avait lui-même choisis d’avance, c’est-à-dire à nous. Et nous avons mangé et bu avec lui après sa résurrection. Jésus nous a donné l’ordre de prêcher au peuple juif et de proclamer que c’est lui que Dieu a désigné pour juger les vivants et les morts. Tous les prophètes ont parlé de lui en disant que tout homme qui croit en lui reçoit par lui le pardon de ses péchés. Alors que Pierre prononçait ces mots, l’Esprit Saint descendit soudain sur tous ceux qui écoutaient la Parole. Les croyants juifs qui étaient venus avec Pierre furent très étonnés de voir que l’Esprit Saint était aussi donné aux non-Juifs, et répandu sur eux. En effet, ils les entendaient parler en différentes langues et célébrer la grandeur de Dieu. Alors Pierre demanda : Peut-on refuser de baptiser dans l’eau ceux qui ont reçu l’Esprit Saint aussi bien que nous ? Et il donna ordre de les baptiser au nom de Jésus-Christ. Ensuite, ils le prièrent de rester encore quelques jours avec eux.' Actes 10:24-48
'Je recommande à Evodie et à Syntyche de vivre en parfaite harmonie, l’une avec l’autre, selon le Seigneur ; je les y invite instamment. Toi, mon fidèle collègue , je te le demande : viens-leur en aide, car elles ont combattu à mes côtés pour la cause de l’Evangile, tout comme Clément et mes autres collaborateurs dont les noms sont inscrits dans le livre de vie . Réjouissez-vous en tout temps de tout ce que le Seigneur est pour vous. Oui, je le répète, soyez dans la joie. Faites-vous connaître par votre amabilité envers tous les hommes. Le Seigneur est proche. Ne vous mettez en souci pour rien, mais, en toute chose, exposez vos demandes à Dieu en lui adressant vos prières et vos supplications, tout en lui exprimant votre reconnaissance. Alors la paix de Dieu, qui surpasse tout ce qu’on peut concevoir, gardera votre cœur et votre pensée sous la protection de Jésus-Christ. Enfin, frères et sœurs, nourrissez vos pensées de tout ce qui est vrai, noble, juste, pur, digne d’amour ou d’approbation, de tout ce qui est vertueux et mérite louange. Ce que vous avez appris et reçu de moi, ce que vous m’avez entendu dire et vu faire, mettez-le en pratique. Alors le Dieu qui donne la paix sera avec vous. ' Philippiens 4:2-9
'Alors, poussés par la jalousie, le grand-prêtre et tout son entourage, c’est-à-dire ceux qui appartenaient au parti des sadducéens, décidèrent d’intervenir. Ils firent arrêter les apôtres et les firent incarcérer dans la prison publique. Mais, pendant la nuit, un ange du Seigneur vint ouvrir les portes de la prison et, après avoir fait sortir les apôtres, il leur dit : Allez au Temple et là, proclamez au peuple tout le message de la vie nouvelle. Les apôtres obéirent : dès l’aube, ils se rendirent dans la cour du Temple et se mirent à enseigner. De son côté, le grand-prêtre arriva avec son entourage, et ils convoquèrent le Grand-Conseil et toute l’assemblée des responsables du peuple d’Israël. Ils ordonnèrent d’aller chercher les apôtres à la prison et de les amener. Les gardes s’y rendirent, mais ils ne les trouvèrent pas dans le cachot. A leur retour, ils firent leur rapport : Nous avons trouvé la prison soigneusement fermée, les sentinelles étaient à leur poste devant les portes, mais quand nous avons ouvert le cachot, nous n’y avons trouvé personne. Cette nouvelle plongea le chef de la police du Temple et les chefs des prêtres dans une grande perplexité : ils se demandaient ce qui avait bien pu se passer. Là-dessus, quelqu’un vint leur annoncer : Les hommes que vous avez fait mettre en prison se tiennent dans la cour du Temple et ils enseignent le peuple . Aussitôt, le chef de la police du Temple s’y rendit avec un détachement de gardes et ils ramenèrent les apôtres, mais avec ménagements, car ils avaient peur de se faire lapider par le peuple. Après les avoir ramenés, ils les introduisirent dans la salle du Grand-Conseil. Le grand-prêtre leur dit : Nous vous avions formellement interdit d’enseigner au nom de cet homme. Et voilà que vous avez rempli Jérusalem de votre enseignement, et vous voulez nous rendre responsables de la mort de cet homme. Mais Pierre et les apôtres répondirent : Il faut obéir à Dieu plutôt qu’aux hommes. Le Dieu de nos ancêtres a ressuscité ce Jésus que vous avez mis à mort en le clouant sur le bois. Et c’est lui que Dieu a élevé pour siéger à sa droite , comme Chef suprême et Sauveur, pour accorder à Israël la grâce de changer et de recevoir le pardon de ses péchés. Et nous, nous sommes les témoins de ces événements, avec le Saint-Esprit que Dieu a donné à ceux qui lui obéissent. Ces paroles ne firent qu’exaspérer les membres du Grand-Conseil et ils voulaient faire mourir les apôtres. Mais l’un d’entre eux, un pharisien nommé Gamaliel , se leva pour donner son avis. C’était un éminent enseignant de la Loi, estimé de tout le peuple. Il demanda que l’on fasse sortir un instant les apôtres, puis il dit : Israélites, faites bien attention à ce que vous allez faire avec ces hommes. Rappelez-vous : il y a quelque temps, on a vu paraître un certain Theudas qui se donnait pour un personnage important. Il a entraîné quelque quatre cents hommes à sa suite. Or, il a été tué, et tous ceux qui s’étaient ralliés à lui furent dispersés et l’on n’en entendit plus parler. Après lui, à l’époque du recensement, Judas de Galilée a fait son apparition. Lui aussi a attiré à lui bien des gens. Il a péri à son tour et tous ses partisans furent mis en déroute. A présent donc, voici mon avis : Ne vous occupez plus de ces hommes et laissez-les partir. De deux choses l’une : ou bien leur projet et leur œuvre viennent des hommes et, dans ce cas, leur mouvement disparaîtra. Ou bien, il vient de Dieu, et alors, vous ne pourrez pas le détruire. Ne prenez pas le risque de lutter contre Dieu. Le Conseil se rangea à son avis : ils rappelèrent les apôtres, les firent battre, et leur défendirent de parler au nom de Jésus. Après quoi, ils les relâchèrent. Les apôtres quittèrent la salle du Conseil tout joyeux de ce que Dieu les ait jugés dignes de souffrir l’humiliation pour Jésus. Et chaque jour, dans la cour du Temple ou dans les maisons particulières, ils continuaient à enseigner et à annoncer le Messie Jésus.' Actes 5:17-42
'Saul, qui ne pensait qu’à menacer et à tuer les disciples du Seigneur, se rendit chez le grand-prêtre et lui demanda des lettres de recommandation pour les synagogues de Damas. Ces lettres l’autorisaient, s’il trouvait là-bas des hommes ou des femmes qui suivaient la Voie du Seigneur, à les arrêter et à les amener à Jérusalem . Il se dirigeait donc vers Damas et approchait déjà de cette ville quand, soudain, il fut environné d’une lumière éclatante qui venait du ciel. Il tomba à terre et entendit une voix qui lui disait : Saul, Saul, pourquoi me persécutes-tu ? – Qui es-tu, Seigneur ? demanda-t-il. La voix reprit : Je suis, moi, Jésus, que tu persécutes. Mais relève-toi, entre dans la ville, et là on te dira ce que tu dois faire. Ses compagnons de voyage restèrent figés sur place, muets de stupeur : ils entendaient bien la voix, mais ne voyaient personne. Saul se releva de terre, mais il avait beau ouvrir les yeux, il ne voyait plus. Il fallut le prendre par la main pour le conduire à Damas. Il resta aveugle pendant trois jours, et ne mangea ni ne but. Or, à Damas, vivait un disciple nommé Ananias. Le Seigneur lui apparut dans une vision et lui dit : Ananias ! – Oui, Seigneur, répondit-il. Et le Seigneur lui dit : Lève-toi, et va dans la rue que l’on appelle la rue Droite et, dans la maison de Judas, demande à voir un nommé Saul, originaire de Tarse . Car il prie et, dans une vision, il a vu un homme du nom d’Ananias entrer dans la maison et lui imposer les mains pour lui rendre la vue. – Mais Seigneur, répliqua Ananias, j’ai beaucoup entendu parler de cet homme ; de plusieurs côtés, on m’a dit tout le mal qu’il a fait aux membres de ton peuple saint à Jérusalem. De plus, il est venu ici muni de pouvoirs, que lui ont accordés les chefs des prêtres, pour arrêter tous ceux qui te prient. Mais le Seigneur lui dit : Va ! car j’ai choisi cet homme pour me servir : il fera connaître qui je suis aux peuples étrangers et à leurs rois, ainsi qu’aux Israélites. Je lui montrerai moi-même tout ce qu’il devra souffrir pour moi. Ananias partit donc et, arrivé dans la maison, il imposa les mains à Saul et lui dit : Saul, mon frère, le Seigneur Jésus qui t’est apparu sur le chemin par lequel tu venais, m’a envoyé pour que la vue te soit rendue et que tu sois rempli du Saint-Esprit. Au même instant, ce fut comme si des écailles tombaient des yeux de Saul et il vit de nouveau. Alors il se leva et fut baptisé, puis il mangea et reprit des forces. Saul passa quelques jours parmi les disciples de Damas. Et dans les synagogues, il se mit tout de suite à proclamer que Jésus est le Fils de Dieu. Ses auditeurs n’en revenaient pas. Tous disaient : Voyons, n’est-ce pas lui qui s’acharnait, à Jérusalem, contre ceux qui, dans leurs prières, invoquent ce nom-là ? N’est-il pas venu ici exprès pour les arrêter et les ramener aux chefs des prêtres ? Mais Saul s’affermissait de jour en jour dans la foi et les Juifs qui habitaient à Damas ne savaient plus que dire, car il leur démontrait que Jésus est le Messie. Après un certain temps, les Juifs résolurent de le faire mourir. Saul eut vent de leur complot. Jour et nuit, ils faisaient même surveiller les portes de la ville avec l’intention de le tuer. Mais une nuit, les disciples qu’il enseignait l’emmenèrent et le firent descendre dans une corbeille le long du rempart. A son arrivée à Jérusalem, il essaya de se joindre aux disciples. Mais tous avaient peur de lui, car ils ne croyaient pas qu’il fût vraiment devenu un disciple. Barnabas le prit avec lui, le conduisit auprès des apôtres et leur raconta comment, sur le chemin de Damas, Saul avait vu le Seigneur, comment le Seigneur lui avait parlé et avec quel courage il avait prêché à Damas au nom de Jésus. Dès lors, il se joignit à eux, allant et venant avec eux à Jérusalem, et parlant ouvertement au nom du Seigneur. Il avait aussi beaucoup d’entretiens et de discussions avec les Juifs de culture grecque ; mais ceux-là aussi cherchèrent à le faire mourir. Quand les frères l’apprirent, ils le conduisirent jusqu’à Césarée et, de là, le firent partir pour Tarse. ' Actes 9:1-30
'Jésus entra dans la ville de Jéricho et la traversa. Or, il y avait là un nommé Zachée. Il était chef des collecteurs d’impôts, et riche. Il cherchait à voir qui était Jésus, mais il ne le pouvait pas à cause de la foule, car il était petit. Alors il courut en avant et grimpa sur un sycomore pour voir Jésus qui devait passer par là. Lorsque Jésus fut parvenu à cet endroit, il leva les yeux et l’interpella : Zachée, dépêche-toi de descendre, car c’est chez toi que je dois aller loger aujourd’hui. Zachée se dépêcha de descendre et reçut Jésus avec joie. Quand les gens virent cela, il y eut un murmure d’indignation. Ils disaient : Voilà qu’il s’en va loger chez ce pécheur ! Mais Zachée se présenta devant le Seigneur et lui dit : Seigneur, je donne la moitié de mes biens aux pauvres et, si j’ai pris trop d’argent à quelqu’un, je lui rends quatre fois plus. Jésus lui dit alors : Aujourd’hui, le salut est entré dans cette maison, parce que cet homme est, lui aussi, un fils d’Abraham. Car le Fils de l’homme est venu chercher et sauver ce qui était perdu. ' Luc 19:1-10
"Je veux chanter ╵pour mon ami la chanson de mon bien-aimé ╵au sujet de sa vigne. Mon ami avait une vigne sur un coteau fertile. Il en sarcla le sol, ╵en enleva les pierres et il y mit des plants de choix. Il bâtit une tour de guet ╵au milieu de la vigne et il y creusa un pressoir. Il attendait donc de sa vigne ╵de beaux raisins, mais elle n’a produit ╵que des raisins infects . Maintenant donc, ╵habitants de Jérusalem, ╵gens de Juda, soyez les juges ╵entre moi et ma vigne ! Qu’y avait-il encore ╵à faire pour ma vigne que je n’aurais pas fait ? Pourquoi, alors que j’attendais de bons raisins, n’a-t-elle produit que des fruits infects ? Maintenant donc, ╵je vous ferai savoir ce que je vais faire à ma vigne : j’arracherai sa haie pour qu’elle soit broutée, je ferai une brèche ╵dans sa clôture pour que les passants la piétinent. J’en ferai une friche : nul ne la taillera, ╵nul ne la sarclera. Les ronces, les épines ╵y croîtront librement, et j’interdirai aux nuages de répandre leur pluie sur elle. Or, c’est le peuple d’Israël qui est la vigne ╵de l’Eternel, ╵du Seigneur des armées célestes. Le plant qui faisait ses délices ce sont les habitants ╵du pays de Juda. Il attendait d’eux la droiture, et ce n’est qu’injustice ; ╵il attendait d’eux la justice, et ce sont des cris de détresse. " Esaïe 5:1-7
Les pharisiens avaient entendu dire que Jésus faisait et baptisait plus de disciples que Jean. (A vrai dire, Jésus lui-même ne baptisait personne, il laissait ce soin à ses disciples.) Lorsque Jésus l’apprit, il quitta la Judée et retourna en Galilée. Il lui fallait donc traverser la Samarie. C’est ainsi qu’il arriva près d’une bourgade de Samarie nommée Sychar, non loin du champ que Jacob avait jadis donné à son fils Joseph. C’est là que se trouvait le puits de Jacob. Jésus, fatigué du voyage, s’assit au bord du puits. Il était environ midi. Une femme samaritaine vint pour puiser de l’eau. Jésus s’adressa à elle : S’il te plaît, donne-moi à boire un peu d’eau. (Ses disciples étaient allés à la ville pour acheter de quoi manger.) La Samaritaine s’exclama : Comment ? Tu es Juif et tu me demandes à boire, à moi qui suis Samaritaine ? (Les Juifs, en effet, évitaient toutes relations avec les Samaritains .) Jésus lui répondit : Si tu savais quel don Dieu veut te faire et qui est celui qui te demande à boire, c’est toi qui lui aurais demandé à boire et il t’aurait donné de l’eau vive . – Mais, Maître, répondit la femme, non seulement tu n’as pas de seau, mais le puits est profond ! D’où la tires-tu donc, cette eau vive ? Tu ne vas pas te prétendre plus grand que notre ancêtre Jacob, auquel nous devons ce puits, et qui a bu lui-même de son eau ainsi que ses enfants et ses troupeaux ? – Celui qui boit de cette eau, reprit Jésus, aura de nouveau soif. Mais celui qui boira de l’eau que je lui donnerai n’aura plus jamais soif. Bien plus : l’eau que je lui donnerai deviendra en lui une source intarissable qui jaillira jusque dans la vie éternelle. – Maître, lui dit alors la femme, donne-moi de cette eau-là, pour que je n’aie plus soif et que je n’aie plus besoin de revenir puiser de l’eau ici. – Va donc chercher ton mari, lui dit Jésus, et reviens ici. – Je ne suis pas mariée, lui répondit-elle. – Tu as raison de dire : Je ne suis pas mariée. En fait tu l’as été cinq fois, et l’homme avec lequel tu vis actuellement n’est pas ton mari. Ce que tu as dit là est vrai . – Maître, répondit la femme, je le vois, tu es un prophète. Dis-moi : qui a raison ? Nos ancêtres ont adoré Dieu sur cette montagne-ci . Vous autres, vous affirmez que l’endroit où l’on doit adorer, c’est Jérusalem. – Crois-moi, lui dit Jésus, l’heure vient où il ne sera plus question de cette montagne ni de Jérusalem pour adorer le Père. Vous adorez ce que vous ne connaissez pas ; nous, nous adorons ce que nous connaissons, car le salut vient du peuple juif. Mais l’heure vient, et elle est déjà là, où les vrais adorateurs adoreront le Père par l’Esprit et en vérité ; car le Père recherche des hommes qui l’adorent ainsi. Dieu est Esprit et il faut que ceux qui l’adorent l’adorent par l’Esprit et en vérité. ' Jean 4:1-24
L’Eternel adressa la parole à Jonas , fils d’Amittaï, en ces termes : Mets-toi en route, va à Ninive la grande ville et proclame des menaces contre ses habitants, car l’écho de leur méchanceté est parvenu jusqu’à moi. Jonas se mit en route pour s’enfuir à Tarsis , loin de la présence de l’Eternel. Il descendit au port de Jaffa , où il trouva un navire en partance pour Tarsis. Il paya le prix de la traversée et descendit dans le bateau pour aller avec l’équipage à Tarsis, loin de la présence de l’Eternel. Mais l’Eternel fit souffler un grand vent sur la mer et déchaîna une si grande tempête que le navire menaçait de se briser. Les marins furent saisis de crainte, et chacun se mit à implorer son dieu. Puis ils jetèrent la cargaison par-dessus bord pour alléger le navire. Quant à Jonas, il était descendu dans la cale du bateau, il s’était couché et dormait profondément. Le capitaine s’approcha de lui et l’interpella : Hé quoi ! Tu dors ! Mets-toi debout et prie ton Dieu. Peut-être Dieu se souciera-t-il de nous et nous ne périrons pas. Pendant ce temps, les matelots se dirent entre eux : Allons, tirons au sort pour savoir qui nous attire ce malheur. Ils tirèrent donc au sort et Jonas fut désigné. Alors ils lui demandèrent : Fais-nous savoir qui nous attire ce malheur ! Quelles sont tes occupations ? D’où viens-tu ? De quel pays ? Et de quel peuple es-tu ? Jonas leur répondit : Je suis hébreu et je crains l’Eternel, le Dieu du ciel qui a fait la mer et la terre. Il leur apprit qu’il s’enfuyait loin de la présence de l’Eternel. Aussi ces hommes furent-ils saisis d’une grande crainte et lui dirent : Pourquoi as-tu fait cela ? Comme la mer se démontait de plus en plus, ils lui demandèrent : Que te ferons-nous pour que la mer se calme et cesse de nous être contraire ? Il leur répondit : Prenez-moi et jetez-moi à la mer, et la mer se calmera, car je sais bien que c’est à cause de moi que cette grande tempête s’est déchaînée contre vous. Ces hommes se mirent d’abord à ramer de toutes leurs forces pour regagner la côte, mais ils n’y parvinrent pas, car la mer se déchaînait toujours plus contre eux. Alors ils crièrent à l’Eternel et dirent : O Eternel, nous t’en prions, ne nous fais pas périr à cause de cet homme et ne nous tiens pas responsables de la mort d’un innocent. Car toi, ô Eternel, tu as fait ce que tu as voulu. Puis ils prirent Jonas et le jetèrent par-dessus bord. Aussitôt, la mer en furie se calma. Alors l’équipage fut saisi d’une grande crainte envers l’Eternel ; ils lui offrirent un sacrifice et s’engagèrent envers lui par des vœux. Jonas 1:1-16
C’est pourquoi je vous dis : ne vous inquiétez pas en vous demandant : « Qu’allons-nous manger ou boire ? Avec quoi allons-nous nous habiller ? » La vie ne vaut-elle pas bien plus que la nourriture ? Et le corps ne vaut-il pas bien plus que les vêtements ? Voyez ces oiseaux qui volent dans le ciel, ils ne sèment ni ne moissonnent, ils n’amassent pas de provisions dans des greniers, et votre Père céleste les nourrit. N’avez-vous pas bien plus de valeur qu’eux ? D’ailleurs, qui de vous peut, à force d’inquiétude, prolonger son existence, ne serait-ce que de quelques instants ? Quant aux vêtements, pourquoi vous inquiéter à leur sujet ? Observez les lis sauvages ! Ils poussent sans se fatiguer à tisser des vêtements. Pourtant, je vous l’assure, le roi Salomon lui-même, dans toute sa gloire, n’a jamais été aussi bien vêtu que l’un d’eux ! Si Dieu habille ainsi cette petite plante des champs qui est là aujourd’hui et qui demain sera jetée au feu, à plus forte raison ne vous vêtira-t-il pas vous-mêmes ? Ah, votre foi est bien petite ! Ne vous inquiétez donc pas et ne dites pas : « Que mangerons-nous ? » ou « Que boirons-nous ? » ou « Avec quoi nous habillerons-nous ? » Toutes ces choses, les païens s’en préoccupent sans cesse. Mais votre Père, qui est aux cieux, sait que vous en avez besoin. Faites donc du royaume de Dieu et de ce qui est juste à ses yeux votre préoccupation première, et toutes ces choses vous seront données en plus. Ne vous inquiétez pas pour le lendemain ; le lendemain se souciera de lui-même. A chaque jour suffit sa peine. Matthieu 6:25-34
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