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KTO Radio / Lumière intérieure

KTO Radio / Lumière intérieure
Author: KTO Radio
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© KTO Radio
Description
Bénédicte Delelis reçoit en plateau une personnalité et nous donne à voir sa lumière intérieure. Journalistes, chroniqueurs, auteurs, artistes, sportifs livrent leur regard sur le monde, sur la vie, leur ressort intérieur, leur raison de se lever le matin.
152 Episodes
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Ancien dirigeant de Cartier puis de Van Cleef & Arpels, au sein du groupe de luxe Richemont, Stanislas de Quercize demeure une des grandes voix du luxe, respecté pour sa vision, son exigence et sa capacité à transmettre avec générosité. Ce succès professionnel ne l’a pas empêché de vivre sa foi chrétienne comme il le raconte sur le plateau de KTO. Invité de l’émission Lumière Intérieure, il présente son livre « Emparadiser la vie » (Alisio) où il lève le voile sur son itinéraire spirituel. Pour lui, « la prière est le moyen de développer son âme » et il présente la Bible - « un texte fabuleux » dit-il - comme une source d’inspiration et de force au quotidien. Au fil de l’entretien, il confie, avec une énergie débordante, ses astuces pour aider chacun à révéler sa propre mission de vie, à harmoniser réussite professionnelle et épanouissement intérieur. Une rencontre où l’homme de pouvoir laisse place à l’homme de foi, invitant à transformer le regard que l’on porte sur soi et sur le monde.
Avec une vingtaine de romans et récits, Christine Orban s’impose comme une observatrice fine de nos fragilités, de nos élans, mais aussi de nos manques. Dans son nouveau livre, « Mademoiselle Spencer » (Albin Michel), elle poursuit ce travail d’introspection en évoquant une héroïne délicate, en quête de sens et d’équilibre, la princesse Diana. Écrivain sensible, Christine Orban mêle élégance littéraire et sincérité désarmante. Dans ses ouvrages, elle n’hésite pas à dévoiler ses propres questionnements, entre blessures, convictions et soif d’apaisement. Mariée depuis plus de trente ans avec l’éditeur Olivier Orban, la romancière est un visage du Tout-Paris. Elle confie pourtant : « L’image que je donne me dessert et ne ressemble pas à la réalité. Je suis quelqu’un qui travaille beaucoup, qui a besoin de solitude et de silence. Je ne peux pas vivre sans cela, j’en ai besoin plusieurs heures par jour. » Invitée de « Lumière intérieure », elle parle de ces silences et raconte à Bénédicte Delelis ce qui nourrit son écriture et le regard qu’elle porte aujourd’hui sur la vie. Une rencontre rare avec une femme qui a choisi les mots comme chemin vers l’autre et comme miroir de soi.
Depuis 2007, Jérôme de Verdière anime avec talent « La Revue de presse » sur la chaîne de télévision Paris Première, rendez-vous où, avec ses invités, ils décortiquent avec humour l’actualité à travers les journaux. Journaliste, chroniqueur et homme de radio, un temps préposé au sport, il s’est imposé comme un passeur d’informations au regard vif et sans concession, toujours teinté d’ironie. Mais Jérôme de Verdière est aussi écrivain. Dans son nouveau roman « Corvette » (Le Cherche Midi) , il se dévoile sous un autre jour : celui d’un conteur qui explore les passions humaines et les chemins intérieurs. Ce récit, entre finesse psychologique et souffle romanesque, révèle une plume sensible et personnelle. À travers ses engagements professionnels et littéraires, Jérôme de Verdière questionne le rapport à l’actualité, à l’intime, et à ce qui nous meut profondément. C’est cette double facette, satirique et introspective qu’il viendra partager dans « Lumière intérieure », émission présentée par Bénédicte Delelis.
En 2021, « Le chemin des Estives » racontait le pèlerinage de Charles Wright, 700 km à pied à travers le Massif Central, sur les traces de sa mère corrézienne. Il était alors aspirant jésuite et marchait sans argent ni tente. Quatre ans après, il revient avec un nouveau livre, « Le Jardin Anglais » (Albin Michel), dans lequel il marche cette fois sur les traces de son père. À travers ce récit, il explore ses racines anglaises, longtemps restées floues, distantes, voire douloureuses. C’est l’histoire d’un fils qui cherche à comprendre, réparer, et réhabiliter la figure d’un père discret, souvent moqué ou mal aimé. Après la révélation spirituelle de son premier livre, voici peut-être celle, plus intime, de la filiation. À chaque ouvrage, une quête de sens, d’identité, de réconciliation. Un cheminement intérieur aussi profond que les kilomètres parcourus « Quand on chemine avec le Christ, on peut avancer confiant ». Un témoignage touchant, habité, à l’image de son auteur.
Pascal Ory est un « immortel » qui a rejoint l’Académie française, célèbre institution créée par Richelieu, après avoir reçu en 2018 le Grand Prix de l’Académie pour l’ensemble de son oeuvre. Professeur émérite d’histoire contemporaine à La Sorbonne, il a également enseigné à l’EHESS et à Sciences Po. Spécialiste reconnu de l’histoire sociale et politique de la France, il a consacré de nombreux ouvrages aux grandes mutations du XXe siècle, à la place du peuple, aux intellectuels ou encore à la Seconde Guerre mondiale. Son regard acéré et sa plume rigoureuse éclairent les complexités de ce « Cher et vieux pays », titre de son dernier essai publié en 2023 aux éditions Tracts Gallimard. Homme de culture autant que de convictions, il interroge avec finesse l’identité française, ses héritages et ses fractures. Pascal Ory est le troisième académicien à se prêter au défi de notre émission, après Frédéric Vitoux et Michael Edwards. Avec lui, nous sommes invités à mieux comprendre le rôle de l’histoire dans la construction du présent et à écouter la lumière intérieure d’un homme qui a fait de la pensée critique un véritable engagement citoyen : « Ma lumière intérieure, c’est peut-être l’histoire ... On n’échappe pas à la transcendance ».
Sébastien El Chato est présent sur la scène musicale depuis plus de 45 ans. S’il a débuté sa carrière en première partie de Dalida à l’âge de 8 ans, il s’est fait connaître du grand public dès 1978 avec des titres phares comme « Loco Loco », « Je l’aime » ou encore « Avoir une fille », qu’il interprétait en espagnol et en français. Cette semaine, il revient avec un nouvel album intitulé "Racines". Composé de neuf titres aux sonorités pop-flamenco, dont trois en espagnol, cet album inclut également une reprise touchante de « Parler à mon père » de Céline Dion, un hommage à son propre père, figure centrale de sa vie et de sa carrière. Ce père, décédé en 2016 des suites de la maladie d’Alzheimer, l’a soutenu dès ses débuts, n’hésitant pas à s’endetter et à parcourir la France et le monde pour l’accompagner et le protéger des pièges de l’industrie musicale. Avec ses frères, Sébastien El Chato lui a apporté un soutien sans faille jusqu’à ses derniers instants. Très attaché à ses racines et à sa famille, il évoque avec émotion sur KTO l’influence de son père et la place essentielle de la foi dans sa vie : « Je suis très croyant, j’ai toujours une croix sur moi. Dieu m’a donné la voix et ma foi ». Une spiritualité profonde qui l’accompagne depuis toujours.
Sylvain Tesson parcourt le monde à pied, à moto ou en solitaire, à la recherche d’élévations physiques et spirituelles. Dans chacun de ses récits, il interroge la liberté, la beauté du monde et le silence des hommes. Avec Les Piliers de la mer (Albin Michel) son nouveau livre, il nous emmène au coeur des côtes bretonnes et normandes, où se dressent d’antiques abbayes face à l’infini de l’océan. Ce texte est une méditation sur la verticalité des clochers, la persistance du sacré et la sagesse des pierres. L’écriture est à la fois dense, poétique et habitée par une quête intérieure discrète mais profonde. Chez cet auteur, la contemplation devient un acte de résistance face à la vitesse et au bruit du monde « J’offre à la splendeur, une forme de prière... ». C’est ce voyage entre mer, mémoire et mystique qu’il partage aujourd’hui dans Lumière intérieure.
Vingt-cinq ans après la comédie musicale « Notre-Dame de Paris » où elle incarnait, à seulement 16 ans, le rôle de Fleur-de-Lys, Julie Zenatti est toujours une des voix remarquées de la scène musicale française. Avec déjà huit albums à son actif et six disques d’or, elle revient aujourd’hui avec un neuvième opus, sans doute le plus personnel et le plus spirituel de sa carrière : « Le Chemin ». Entourée d’artistes talentueux, fidèles et inspirants - Camille Berthollet, Jacinthe Madelin (des Frangines) ou encore Ycare - la maman de deux enfants signe un album de transmission, d’introspection et de résilience, porté par une force douce et lumineuse. Et c’est dans des lieux de recueillement, des églises, qu’elle a choisi de faire résonner ses nouvelles chansons, en toute simplicité, à hauteur d’âme. Face à Marie Brette, Julie évoque notamment son lien avec ses racines juives : « Mon identité, c’est le judaïsme. Je crois, mais je ne sais pas en quoi. » Une spiritualité ouverte, à l’image de son art.
Auteur de plus de vingt-six ouvrages, Lorraine Fouchet poursuit son exploration des thèmes qui lui sont chers comme la famille, les secrets, l’espoir et le bonheur, avec un attachement particulier pour la Bretagne, notamment l’Île de Groix où elle réside une partie de l’année. Invitée de Lumière intérieure, elle vient présenter son nouveau livre, "Aller simple pour la joie" (Héloïse d’Ormesson). Ce roman choral suit le destin de quatre voyageurs d’un TGV à destination de la Bretagne, dont les trajectoires personnelles vont être bouleversées de manière inattendue. Sur le plateau de KTO, Lorraine Fouchet partage ses inspirations littéraires et la manière dont sa foi nourrit sa vision du monde et de l’écriture. De confession catholique, elle confie regarder régulièrement la messe sur KTO, une chaîne qu’elle apprécie pour la paix intérieure qu’elle lui procure et se livre sans retenue sur sa foi « J’ai la foi du charbonnier, Dieu fait partie de ma vie ... Quand on prie, on n’est jamais solitaire ».
En 2009, « L’Écrivain sacrifié » vaut à Patrick Tudoret le Grand Prix de la Critique, tandis que « L’homme qui fuyait le Nobel » marque les esprits en 2015. Cette année, il revient avec une actualité littéraire riche, dont la pièce « Juliette », adaptée de son propre roman sur Juliette Drouet, muse et amante de Victor Hugo, jouée plus de cent fois dont deux fois au Festival d’Avignon. Il nous présente également son nouvel ouvrage, « L’Éternité, montre en mains... » (éd. des Belles Lettres), un carnet de bord intime écrit pendant 25 ans. Ce livre foisonne de pensées ciselées, d’aphorismes, de citations, portés par une langue élégante et lumineuse. Passionné par la rhétorique qu’il enseigne, Patrick Tudoret célèbre ici le pouvoir des mots bien choisis. Catholique pratiquant, il est revenu à la foi après s’en être éloigné : « agnostique, je suis revenu à la foi par les écritures et la lecture de saint Augustin et Pascal ... Je n’imagine pas une vie dans le Verbe ».
Homme de presse et d’affaires, Denis Olivennes est aussi essayiste. Aujourd’hui, ce touche-à-tout est à la tête d’Editis, le numéro deux de l’édition en France, ainsi que des journaux Libération et des titres du groupe CMI France (Elle, Marianne, Télé 7 Jours, Ici Paris, France Dimanche, Franc-Tireur...), propriétés du milliardaire tchèque Daniel Kretinski. Invité de l’émission Lumière intérieure, il présente son nouvel essai "La France doit travailler plus... et les Français être mieux payés" (Albin Michel). Sur le plateau de KTO, il évoque également la transmission et la mémoire, des thèmes profondément ancrés dans son histoire familiale. Son père, juif allemand, a été caché pendant la guerre par un médecin catholique dans un sanatorium. Une histoire de famille qu’il n’a jamais évoqué auparavant et qui continue de résonner dans sa réflexion sur la foi : « Le message évangélique me parle...j’étais à un cheveu de la conversion ».
Né à Bourg-en-Bresse, Georges Blanc incarne l’excellence culinaire depuis plusieurs décennies. Depuis 1981, ses trois étoiles faisaient rayonner le « Village Blanc » à Vonnas, véritable temple de la cuisine française. Mais au-delà des distinctions, ce chef est un homme de passion, de transmission et d’écriture. Il publie aujourd’hui « L’Abécédaire d’un chef étoilé », un ouvrage original qui retrace son parcours en suivant les lettres de l’alphabet. Une manière sensible et personnelle de raconter près de 80 ans de vie, de saveurs et de souvenirs. Il y évoque aussi bien l’amour de sa région que son goût pour les mots, lui qui a signé une vingtaine de livres de cuisine. Une rencontre avec un monument de la cuisine française, à la fois lucide, généreux et inspirant qui accepte de nous parler de sa spiritualité « Je suis catholique, c’est clair... L’amour, c’est formidable. Rendre les gens heureux, c’est cela mon engagement spirituel ».
On se souvient de sa présence dans la série « Les Deschiens » diffusée sur Canal + dès 1993. Depuis, Philippe Duquesne a suivi un parcours éclectique, riche et cohérent, entre comédie, théâtre engagé et drame intimiste. Acteur fétiche d’Albert Dupontel, il est aussi le facteur inoubliable de « Bienvenue chez les Ch’tis » de Dany Boon, et fait régulièrement des apparitions dans la série « Scènes de ménages » sur M6. Aujourd’hui, il est à l’affiche de « De mauvaise foi » un film d’Alberic Saint-Martin. Il y incarne Edmond, clerc de notaire dépassé par ses doutes spirituels, face à son notaire "vieille France", campé par Pascal Demolon. Un rôle qui résonne profondément avec sa propre quête intérieure, faite de questionnements, de gratitude et d’intuition. Mari comblé, père heureux, le comédien demeure discret et touchant, qui confie croire en "quelque chose", et veille à toujours remercier "son petit ange".
Davy Sardou est ce soir l’invité de Lumière Intérieure : un retour attendu plus de dix ans après sa première venue. On l’a applaudi dans des pièces comme L’Ami du Président ou Au Scalpel, qui témoignent de son attachement au théâtre d’auteur. Il confie une tendresse particulière pour l’univers de Jean Anouilh, dont il a interprété Léocadia, Le Nombril et L’Alouette, des textes qui mêlent grâce, ironie et profondeur. Mais c’est un auteur américain, Bill C. Davis, qui marque un tournant décisif dans sa carrière. En 2014, Davy Sardou reçoit le Molière du comédien dans un second rôle pour son interprétation vibrante de Mark Dolson, un jeune séminariste idéaliste affrontant un prêtre désabusé incarné par Francis Huster. Aujourd’hui, il joue dans une comédie de boulevard, genre qu’il aime tant : « Amis pour la vie », au théâtre de l’Oeuvre aux côté d’Alysson Paradis et de Marie-Ange Casta. Ce soir donc, face à Marie Brette, il évoque son amour du théâtre, un héritage assumé, porté depuis toujours par la présence inspirante de son père, Michel Sardou : « Le père, je crois en sa présence. Le père, c’est l’apaisement ». Père à son tour, Davy parle avec émotion de sa fille Lucie, 11 ans, qu’il considère comme sa lumière. Une rencontre empreinte de justesse, où l’artiste se dévoile dans toute sa profondeur.
Sans doute à cause de l’enfer vécu lors de sa captivité, le journaliste Jean-Paul Kauffmann, devenu écrivain à sa libération, n’a jamais pu en écrire un mot. Invité de l’émission "Lumière intérieure", il présente son nouvel ouvrage, "L’Accident" (Équateurs Littérature), dans lequel il revient sur un autre événement bouleversant : un grave accident de voiture qui a profondément transformé sa vision de l’existence. Au cours de l’entretien, il évoque la fragilité humaine, la confrontation à la mort, et la manière dont cette épreuve a ravivé en lui une quête spirituelle. Pour lui, la foi catholique a été un soutien essentiel dans son parcours et l’a aidé à surmonter les moments les plus difficiles « Je suis fidèle au message de l’Évangile ». Marqué à la fois par sa captivité et par cet accident, il réfléchit sur la liberté intérieure, la résilience et la place du sacré dans nos vies. Profondément attaché aux traditions chrétiennes, il confie avoir une affection particulière pour la fête de Pâques, qu’il considère comme un symbole puissant de renouveau, de résurrection et d’espérance. À travers son témoignage, Jean-Paul Kauffmann offre une réflexion empreinte d’humilité, de gratitude et de quête de sens, invitant chacun à voir dans la fragilité non une faiblesse, mais une porte d’entrée vers l’essentiel.
Le premier single de Sauvan, « Coco », sorti en 2020 et suivi de « Héloïse », marque les débuts d’une carrière prometteuse. En 2023, il confirme son talent avec « Le Temps des Mirabelles » et « Monsieur Disco », avant de dévoiler « Crépuscule » en 2024. De son vrai nom Louis de Sauvan d’Aramon, il adopte le nom de Sauvan en hommage à sa mère, une figure essentielle dans sa vie. Après avoir conquis des salles mythiques comme La Cigale ou La Boule Noire, il franchit une étape majeure en janvier 2025 en se produisant pour la première fois sur la scène prestigieuse de l’Olympia dont les places se vendent très vite. Parmi ses titres les plus marquants figure « Monsieur Papillon », une chanson dédiée à son petit demi-frère, particulièrement appréciée du public et qu’il interprète à la guitare sur KTO dans l’émission Lumière intérieure. Portés par des textes aux paroles profondes, célébrant les valeurs familiales et humaines, ses morceaux trouvent un écho particulier auprès d’un public catholique. Lui-même scolarisé dans des établissements catholiques, il revendique l’heureuse influence de ces enseignements : « Les valeurs catholiques sont transcendantes... le pardon est salvateur pour l’âme », reconnaît-il.
Cette semaine, Lumière intérieure accueille un artiste incontournable de la chanson française : Michel Fugain. Créateur du « Big Bazar » dans les années 70, il fête plus de 60 ans de carrière. Parmi ses chansons les plus célèbres, on retrouve « Je n’aurai pas le temps », « Une belle histoire », « Fais comme l’oiseau », « La Fête » ou encore « Chante ». Dix-sept ans après son dernier passage sur KTO, il revient avec un nouvel album, « La vie, l’amour etc. », et une tournée à travers la France et la Belgique. Ce disque, son premier depuis 13 ans, célèbre la vie et le temps qui passe avec dix titres soigneusement écrits. Il y évoque Paris, les rêves, la musique et les émotions profondes qui le traversent. Un titre en particulier, « La rue du temps qui passe », prend une dimension encore plus intime puisqu’il le chante en duo avec son épouse Sanda. Malgré les épreuves, notamment la perte de leur fille Laurette en 2002, drame sur lequel il revient dans l’émission, l’octogénaire continue de chanter la vie avec passion : « l’âme, c’est la vie... Notre-Dame de Paris, c’est le fruit de milliers d’âmes ».
Grâce à la pièce à succès "Les hommes viennent de Mars, les femmes viennent de Vénus", Paul Dewandre, belge d’origine et de confession catholique, explore avec humour et bienveillance les différences entre les hommes et les femmes, offrant des clés précieuses pour mieux comprendre les relations de couple. Invité de l’émission "Lumière intérieure", il est revenu sur son parcours personnel et spirituel, affirmant : « Il faut douter pour avoir la foi », et évoquant l’importance de la foi dans sa vie et sa vision des relations humaines : « Je crois en un Dieu qui est bon... Dieu est amour ». Pour lui, la communication et l’écoute mutuelle sont essentielles pour construire des relations solides et harmonieuses. Au cours de cet entretien, il a également partagé ses réflexions sur la quête de sens, soulignant l’importance de l’amour et du pardon au sein du couple. Il s’attache à démystifier les incompréhensions entre les sexes en les abordant de manière légère mais profonde. Son approche accessible, enrichie d’anecdotes concrètes sur son enfance ou la mort de sa maman, a fait de sa pièce un véritable phénomène de société, touchant des milliers de spectateurs.
L’humour percutant et le talent pour la comédie d’Alil Vardar ont conquis le public notamment grâce à son spectacle culte « Le Clan des Divorcées », qui fête cette année ses 20 ans. Figure incontournable du théâtre de boulevard, il a enchaîné les succès avec « 10 ans de mariage », « Hernie Fiscale » (aux côtés de Franck Leboeuf), « Tout va bien se passer » et « Stars d’un soir ». Invité de l’émission Lumière intérieure, le comédien, né en Belgique de parents albanais mais vivant en France, parle de son parcours exceptionnel et présente la nouvelle pièce qu’il joue : « 7 scènes de ménage » dont il partage l’affiche avec Rebecca Hampton. Autodidacte, il s’est imposé comme comédien et metteur en scène sans jamais suivre de formation et il a su se forger une identité artistique bien à lui où perce un humour populaire bien français. Porté par des valeurs profondes comme le travail, la loyauté, la fidélité et la famille, ce père de quatre enfants parle de sa spiritualité : « Je sens une connexion. J’ai toujours cru en quelque chose de fort... Bien sûr qu’il y a Dieu ! »
À l’occasion de la Journée internationale des droits des femmes, cette épouse et mère de quatre enfants évoque son quotidien d’entrepreneuse, mariant obstacles et bonheurs, qui n’ont fait que renforcer sa détermination à construire un avenir en accord avec ses principes chrétiens. Lauréate en 2022 du prix Philibert Vrau destiné aux entrepreneurs animés par la pensée sociale chrétienne et engagés au service du bien commun, Audrey Cattoz a une démarche entrepreneuriale : une fabrication 100 % française pour développer l’emploi local tout en faisant participer les salariés aux décisions de l’entreprise, dans un « esprit de justesse et de bonté ». Un parcours inspirant et inspiré par une foi en Dieu omniprésente qui guide aussi bien sa vie de mère que son engagement professionnel. Avec sincérité, elle partage aussi ses doutes tout en affirmant sa confiance en la capacité de chacun à agir : « La foi, c’est la certitude des choses qu’on ne voit pas et l’espérance des choses que l’on attend. »