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Mondes Francophones (2018-2019) - Yanick Lahens
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Mondes Francophones (2018-2019) - Yanick Lahens

Author: Collège de France

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Description

Yanick Lahens est née en Haïti. Après des études universitaires en France, elle est retournée vivre dans son pays. Elle y a enseigné la littérature à l'université, a animé une émission culturelle à Radio Haïti Inter, et a publié des articles sur la littérature haïtienne et les liens entre littérature et société dans des revues haïtiennes et étrangères. Elle a été membre du comité de rédaction de la revue haïtiano-caribéenne Chemins critiques et est membre du comité de rédaction de la revue franco-haïtienne Conjonction. Elle a été membre du conseil d'administration du Congrès International d'Études Francophones, organisme nord-américain regroupant les professeurs d'études francophones des États-Unis et du monde entier. Elle a aussi été directrice exécutive du projet la Route de l'esclave. Aujourd'hui, elle écrit, accompagne et appuie des initiatives de jeunes dans le domaine culturel, littéraire et social.

9 Episodes
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08 - Haïti autrement

08 - Haïti autrement

2019-06-0357:28

Yanick LahensChaire Mondes Francophones (2018-2019)Collège de FranceHaïti autrementL'enseignement autour de la littérature haïtienneDire Haïti et sa littérature autrement à travers l'ensemble des cours, c'est se demander à travers sa littérature quel éclairage peut apporter aujourd'hui au monde francophone sinon au monde tout court l'expérience haïtienne ? Comment dans l'impasse qui suit son indépendance, des hommes et des femmes dépossédés, déplacés, déstabilisés linguistiquement créent une civilisation dont la littérature sera un élément majeur ? Comment des écrivains et écrivaines n'ont pas cessé de dire ou d'écrire un rêve d'habiter, démontrant par là même que la littérature commence souvent là où la parole devient impossible. Là où le monde est si ébranlé qu'il faut traverser le langage pour lui trouver des éclats de sens.À partir de 1804, ceux et celles qui n'ont d'autre choix que d'habiter ces 27 750 km2, à peine plus étendus que certains départements de l'Hexagone, sont sommés de s'inventer et d'inventer dans ce lieu non connu, non imaginé, non désiré. À cette sommation, les écrivains répondront durant deux siècles en nourrissant un rêve d'habiter un corps qui ne soit plus celui du migrant nu, selon la belle formule de Glissant, un lieu et un temps fondateurs, d'habiter l'écriture comme lieu premier, originel, un lieu aussi non de simple enracinement mais de possible séjour et enfin un lieu au-delà de l'ethnie ou de la classe, aussi vaste que le silence ou l'inconnu.Et aujourd'hui que la littérature haïtienne s'écrit dans trois langues autres que le français, elle atteste que les langues sont appelées à cohabiter, qu'elles ne sauraient avoir qu'un unique drapeau ou qu'une seule patrie et préfigure une culture du vingt et unième siècle en train de se faire.Étudier la littérature haïtienne à la lumière de son histoire permet de donner au qualificatif francophone une signification hors de tout eurocentisme. Une signification qui sied à notre temps, la seule susceptible de lui assurer un avenir.
07 - Haïti autrement

07 - Haïti autrement

2019-05-2753:57

Yanick LahensChaire Mondes Francophones (2018-2019)Collège de FranceHaïti autrementL'enseignement autour de la littérature haïtienneDire Haïti et sa littérature autrement à travers l'ensemble des cours, c'est se demander à travers sa littérature quel éclairage peut apporter aujourd'hui au monde francophone sinon au monde tout court l'expérience haïtienne ? Comment dans l'impasse qui suit son indépendance, des hommes et des femmes dépossédés, déplacés, déstabilisés linguistiquement créent une civilisation dont la littérature sera un élément majeur ? Comment des écrivains et écrivaines n'ont pas cessé de dire ou d'écrire un rêve d'habiter, démontrant par là même que la littérature commence souvent là où la parole devient impossible. Là où le monde est si ébranlé qu'il faut traverser le langage pour lui trouver des éclats de sens.À partir de 1804, ceux et celles qui n'ont d'autre choix que d'habiter ces 27 750 km2, à peine plus étendus que certains départements de l'Hexagone, sont sommés de s'inventer et d'inventer dans ce lieu non connu, non imaginé, non désiré. À cette sommation, les écrivains répondront durant deux siècles en nourrissant un rêve d'habiter un corps qui ne soit plus celui du migrant nu, selon la belle formule de Glissant, un lieu et un temps fondateurs, d'habiter l'écriture comme lieu premier, originel, un lieu aussi non de simple enracinement mais de possible séjour et enfin un lieu au-delà de l'ethnie ou de la classe, aussi vaste que le silence ou l'inconnu.Et aujourd'hui que la littérature haïtienne s'écrit dans trois langues autres que le français, elle atteste que les langues sont appelées à cohabiter, qu'elles ne sauraient avoir qu'un unique drapeau ou qu'une seule patrie et préfigure une culture du vingt et unième siècle en train de se faire.Étudier la littérature haïtienne à la lumière de son histoire permet de donner au qualificatif francophone une signification hors de tout eurocentisme. Une signification qui sied à notre temps, la seule susceptible de lui assurer un avenir.
06 - Haïti autrement

06 - Haïti autrement

2019-05-2001:01:12

Yanick LahensChaire Mondes Francophones (2018-2019)Collège de FranceHaïti autrementL'enseignement autour de la littérature haïtienneDire Haïti et sa littérature autrement à travers l'ensemble des cours, c'est se demander à travers sa littérature quel éclairage peut apporter aujourd'hui au monde francophone sinon au monde tout court l'expérience haïtienne ? Comment dans l'impasse qui suit son indépendance, des hommes et des femmes dépossédés, déplacés, déstabilisés linguistiquement créent une civilisation dont la littérature sera un élément majeur ? Comment des écrivains et écrivaines n'ont pas cessé de dire ou d'écrire un rêve d'habiter, démontrant par là même que la littérature commence souvent là où la parole devient impossible. Là où le monde est si ébranlé qu'il faut traverser le langage pour lui trouver des éclats de sens.À partir de 1804, ceux et celles qui n'ont d'autre choix que d'habiter ces 27 750 km2, à peine plus étendus que certains départements de l'Hexagone, sont sommés de s'inventer et d'inventer dans ce lieu non connu, non imaginé, non désiré. À cette sommation, les écrivains répondront durant deux siècles en nourrissant un rêve d'habiter un corps qui ne soit plus celui du migrant nu, selon la belle formule de Glissant, un lieu et un temps fondateurs, d'habiter l'écriture comme lieu premier, originel, un lieu aussi non de simple enracinement mais de possible séjour et enfin un lieu au-delà de l'ethnie ou de la classe, aussi vaste que le silence ou l'inconnu.Et aujourd'hui que la littérature haïtienne s'écrit dans trois langues autres que le français, elle atteste que les langues sont appelées à cohabiter, qu'elles ne sauraient avoir qu'un unique drapeau ou qu'une seule patrie et préfigure une culture du vingt et unième siècle en train de se faire.Étudier la littérature haïtienne à la lumière de son histoire permet de donner au qualificatif francophone une signification hors de tout eurocentisme. Une signification qui sied à notre temps, la seule susceptible de lui assurer un avenir.
05 - Haïti autrement

05 - Haïti autrement

2019-05-1301:08:15

Yanick LahensChaire Mondes Francophones (2018-2019)Collège de FranceHaïti autrementL'enseignement autour de la littérature haïtienneDire Haïti et sa littérature autrement à travers l'ensemble des cours, c'est se demander à travers sa littérature quel éclairage peut apporter aujourd'hui au monde francophone sinon au monde tout court l'expérience haïtienne ? Comment dans l'impasse qui suit son indépendance, des hommes et des femmes dépossédés, déplacés, déstabilisés linguistiquement créent une civilisation dont la littérature sera un élément majeur ? Comment des écrivains et écrivaines n'ont pas cessé de dire ou d'écrire un rêve d'habiter, démontrant par là même que la littérature commence souvent là où la parole devient impossible. Là où le monde est si ébranlé qu'il faut traverser le langage pour lui trouver des éclats de sens.À partir de 1804, ceux et celles qui n'ont d'autre choix que d'habiter ces 27 750 km2, à peine plus étendus que certains départements de l'Hexagone, sont sommés de s'inventer et d'inventer dans ce lieu non connu, non imaginé, non désiré. À cette sommation, les écrivains répondront durant deux siècles en nourrissant un rêve d'habiter un corps qui ne soit plus celui du migrant nu, selon la belle formule de Glissant, un lieu et un temps fondateurs, d'habiter l'écriture comme lieu premier, originel, un lieu aussi non de simple enracinement mais de possible séjour et enfin un lieu au-delà de l'ethnie ou de la classe, aussi vaste que le silence ou l'inconnu.Et aujourd'hui que la littérature haïtienne s'écrit dans trois langues autres que le français, elle atteste que les langues sont appelées à cohabiter, qu'elles ne sauraient avoir qu'un unique drapeau ou qu'une seule patrie et préfigure une culture du vingt et unième siècle en train de se faire.Étudier la littérature haïtienne à la lumière de son histoire permet de donner au qualificatif francophone une signification hors de tout eurocentisme. Une signification qui sied à notre temps, la seule susceptible de lui assurer un avenir.
04 - Haïti autrement

04 - Haïti autrement

2019-05-0601:05:04

Yanick LahensChaire Mondes Francophones (2018-2019)Collège de FranceHaïti autrementL'enseignement autour de la littérature haïtienneDire Haïti et sa littérature autrement à travers l'ensemble des cours, c'est se demander à travers sa littérature quel éclairage peut apporter aujourd'hui au monde francophone sinon au monde tout court l'expérience haïtienne ? Comment dans l'impasse qui suit son indépendance, des hommes et des femmes dépossédés, déplacés, déstabilisés linguistiquement créent une civilisation dont la littérature sera un élément majeur ? Comment des écrivains et écrivaines n'ont pas cessé de dire ou d'écrire un rêve d'habiter, démontrant par là même que la littérature commence souvent là où la parole devient impossible. Là où le monde est si ébranlé qu'il faut traverser le langage pour lui trouver des éclats de sens.À partir de 1804, ceux et celles qui n'ont d'autre choix que d'habiter ces 27 750 km2, à peine plus étendus que certains départements de l'Hexagone, sont sommés de s'inventer et d'inventer dans ce lieu non connu, non imaginé, non désiré. À cette sommation, les écrivains répondront durant deux siècles en nourrissant un rêve d'habiter un corps qui ne soit plus celui du migrant nu, selon la belle formule de Glissant, un lieu et un temps fondateurs, d'habiter l'écriture comme lieu premier, originel, un lieu aussi non de simple enracinement mais de possible séjour et enfin un lieu au-delà de l'ethnie ou de la classe, aussi vaste que le silence ou l'inconnu.Et aujourd'hui que la littérature haïtienne s'écrit dans trois langues autres que le français, elle atteste que les langues sont appelées à cohabiter, qu'elles ne sauraient avoir qu'un unique drapeau ou qu'une seule patrie et préfigure une culture du vingt et unième siècle en train de se faire.Étudier la littérature haïtienne à la lumière de son histoire permet de donner au qualificatif francophone une signification hors de tout eurocentisme. Une signification qui sied à notre temps, la seule susceptible de lui assurer un avenir.
03 - Haïti autrement

03 - Haïti autrement

2019-04-1501:02:40

Yanick LahensChaire Mondes Francophones (2018-2019)Collège de FranceHaïti autrementL'enseignement autour de la littérature haïtienneDire Haïti et sa littérature autrement à travers l'ensemble des cours, c'est se demander à travers sa littérature quel éclairage peut apporter aujourd'hui au monde francophone sinon au monde tout court l'expérience haïtienne ? Comment dans l'impasse qui suit son indépendance, des hommes et des femmes dépossédés, déplacés, déstabilisés linguistiquement créent une civilisation dont la littérature sera un élément majeur ? Comment des écrivains et écrivaines n'ont pas cessé de dire ou d'écrire un rêve d'habiter, démontrant par là même que la littérature commence souvent là où la parole devient impossible. Là où le monde est si ébranlé qu'il faut traverser le langage pour lui trouver des éclats de sens.À partir de 1804, ceux et celles qui n'ont d'autre choix que d'habiter ces 27 750 km2, à peine plus étendus que certains départements de l'Hexagone, sont sommés de s'inventer et d'inventer dans ce lieu non connu, non imaginé, non désiré. À cette sommation, les écrivains répondront durant deux siècles en nourrissant un rêve d'habiter un corps qui ne soit plus celui du migrant nu, selon la belle formule de Glissant, un lieu et un temps fondateurs, d'habiter l'écriture comme lieu premier, originel, un lieu aussi non de simple enracinement mais de possible séjour et enfin un lieu au-delà de l'ethnie ou de la classe, aussi vaste que le silence ou l'inconnu.Et aujourd'hui que la littérature haïtienne s'écrit dans trois langues autres que le français, elle atteste que les langues sont appelées à cohabiter, qu'elles ne sauraient avoir qu'un unique drapeau ou qu'une seule patrie et préfigure une culture du vingt et unième siècle en train de se faire.Étudier la littérature haïtienne à la lumière de son histoire permet de donner au qualificatif francophone une signification hors de tout eurocentisme. Une signification qui sied à notre temps, la seule susceptible de lui assurer un avenir.
02 - Haïti autrement

02 - Haïti autrement

2019-04-0801:00:59

Yanick LahensChaire Mondes Francophones (2018-2019)Collège de FranceHaïti autrementL'enseignement autour de la littérature haïtienneDire Haïti et sa littérature autrement à travers l'ensemble des cours, c'est se demander à travers sa littérature quel éclairage peut apporter aujourd'hui au monde francophone sinon au monde tout court l'expérience haïtienne ? Comment dans l'impasse qui suit son indépendance, des hommes et des femmes dépossédés, déplacés, déstabilisés linguistiquement créent une civilisation dont la littérature sera un élément majeur ? Comment des écrivains et écrivaines n'ont pas cessé de dire ou d'écrire un rêve d'habiter, démontrant par là même que la littérature commence souvent là où la parole devient impossible. Là où le monde est si ébranlé qu'il faut traverser le langage pour lui trouver des éclats de sens.À partir de 1804, ceux et celles qui n'ont d'autre choix que d'habiter ces 27 750 km2, à peine plus étendus que certains départements de l'Hexagone, sont sommés de s'inventer et d'inventer dans ce lieu non connu, non imaginé, non désiré. À cette sommation, les écrivains répondront durant deux siècles en nourrissant un rêve d'habiter un corps qui ne soit plus celui du migrant nu, selon la belle formule de Glissant, un lieu et un temps fondateurs, d'habiter l'écriture comme lieu premier, originel, un lieu aussi non de simple enracinement mais de possible séjour et enfin un lieu au-delà de l'ethnie ou de la classe, aussi vaste que le silence ou l'inconnu.Et aujourd'hui que la littérature haïtienne s'écrit dans trois langues autres que le français, elle atteste que les langues sont appelées à cohabiter, qu'elles ne sauraient avoir qu'un unique drapeau ou qu'une seule patrie et préfigure une culture du vingt et unième siècle en train de se faire.Étudier la littérature haïtienne à la lumière de son histoire permet de donner au qualificatif francophone une signification hors de tout eurocentisme. Une signification qui sied à notre temps, la seule susceptible de lui assurer un avenir.
01 - Haïti autrement

01 - Haïti autrement

2019-04-0101:00:10

Yanick LahensChaire Mondes Francophones (2018-2019)Collège de FranceHaïti autrementL'enseignement autour de la littérature haïtienneDire Haïti et sa littérature autrement à travers l'ensemble des cours, c'est se demander à travers sa littérature quel éclairage peut apporter aujourd'hui au monde francophone sinon au monde tout court l'expérience haïtienne ? Comment dans l'impasse qui suit son indépendance, des hommes et des femmes dépossédés, déplacés, déstabilisés linguistiquement créent une civilisation dont la littérature sera un élément majeur ? Comment des écrivains et écrivaines n'ont pas cessé de dire ou d'écrire un rêve d'habiter, démontrant par là même que la littérature commence souvent là où la parole devient impossible. Là où le monde est si ébranlé qu'il faut traverser le langage pour lui trouver des éclats de sens.À partir de 1804, ceux et celles qui n'ont d'autre choix que d'habiter ces 27 750 km2, à peine plus étendus que certains départements de l'Hexagone, sont sommés de s'inventer et d'inventer dans ce lieu non connu, non imaginé, non désiré. À cette sommation, les écrivains répondront durant deux siècles en nourrissant un rêve d'habiter un corps qui ne soit plus celui du migrant nu, selon la belle formule de Glissant, un lieu et un temps fondateurs, d'habiter l'écriture comme lieu premier, originel, un lieu aussi non de simple enracinement mais de possible séjour et enfin un lieu au-delà de l'ethnie ou de la classe, aussi vaste que le silence ou l'inconnu.Et aujourd'hui que la littérature haïtienne s'écrit dans trois langues autres que le français, elle atteste que les langues sont appelées à cohabiter, qu'elles ne sauraient avoir qu'un unique drapeau ou qu'une seule patrie et préfigure une culture du vingt et unième siècle en train de se faire.Étudier la littérature haïtienne à la lumière de son histoire permet de donner au qualificatif francophone une signification hors de tout eurocentisme. Une signification qui sied à notre temps, la seule susceptible de lui assurer un avenir.
Yanick LahensChaire Mondes Francophones (2018-2019)Collège de FranceLeçon inaugurale : Urgence(s) d'écrire, rêve(s) d'habiterYanick Lahens est la première personnalité à occuper cette chaire créée en partenariat avec l'Agence universitaire de la Francophonie (AUF). Le Collège de France et l'AUF entendent ainsi illustrer la diversité et la richesse des mondes francophones en donnant une tribune aux chercheurs des pays ayant le français en partage. Créée pour trois ans, cette chaire accueillera chaque année une grande voix de la francophonie issue de différents domaines des lettres, des arts et des sciences.La langue restant le lien premier de cet espace francophone, c'est une grande figure de la littérature haïtienne, prix Femina 2014 pour Bain de lune (Sabine Wespieser éditeur), qui a été invitée à inaugurer cette chaire : Yanick Lahens, « une personnalité remarquable de la littérature et de la culture en langue française », selon le Pr Antoine Compagnon, titulaire de la chaire Littérature française moderne et contemporaine : histoire, critique, théorie.La leçon inaugurale de Yanick Lahens ainsi que l'ensemble de son enseignement bénéficieront d'une large diffusion grâce au relais privilégié de RFI (France Médias Monde), de TV5MONDE, du réseau des campus numériques francophones de l'AUF, et de l'Institut français, qui soutiennent la diffusion des travaux de la chaire Mondes francophones.
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