RICOCHETS - Les sciences rebondissent

Recherche clinique, antigènes, réponse immunitaire, phases de test, surveillance, acceptabilité, hésitation vaccinale, voici quelques mots-clés de l’entretien qui va suivre, un entretien au cours duquel s’invite aussi ...un dessin de Plantu !Cheffe du service Infectiologie du CHU de St-Etienne et Professeure de maladies infectieuses, Elisabeth Botelho-Nevers intervient également sur l’axe Vaccinologie du CIC : Centre d’Investigation Clinique -labellisé par l’INSERM- au sein de ce même CHUDans Ricochets L’interview consacrée à l’épopée de la vaccination, la première question posée à sa collègue infectiologue Amandine Gagneux-Brunon était : la vaccination, ça commence quand ?C’est avec cette même question, mais orientée recherche, que débute la discussion avec Elisabeth Botelho-Nevers : la recherche, ça commence quand ?

Au XXème siècle, la compréhension des mécanismes d’immunité et de la microbiologie et donc la mise au point de traitements s’accélèrent.Si dans le premier épisode, Amandine Gagneux-Brunon inscrivait notamment les grandes étapes de l’épopée de la vaccination en Europe, c’est avec les Etats-Unis d’Amérique dans le contexte particulier de la guerre froide qu’elle poursuit son récit. Amandine Gagneux-Brunon est professeure de maladies infectieuses et tropicales à l’Université Jean Monnet et praticien hospitalier au CHU de Saint-Etienne.Dans ce 2ème et dernier épisode de l’épopée de la vaccination, il est notamment question de polio, de diphtérie, de Covid mais aussi de vaccins combinés, d’adjuvants ou encore d’ARN Messager.(Un entretien réalisé dans le cadre de l'expo Vaccins que La Rotonde, centre de culture scientifique de l'Ecole des Mines de Saint-Etienne, proposera en 2027)

Selon l’Organisation mondiale de la santé, la santé mentale est l’« état de bien-être qui permet à chacun de réaliser son potentiel, de faire face aux difficultés normales de la vie, de travailler avec succès et de manière productive, et d'être en mesure d'apporter une contribution à la communauté ».Depuis la pandémie de Covid, on parle beaucoup plus de santé mentale 1 Français sur 5 a connu ou va connaître un épisode dépressif dans sa vie. Dans le milieu professionnel, c’est 1 salarié sur 4 Et chez les jeunes de 18 à 24 ans, ils étaient 21 % à être anxieux en 2021 contre 11% 2017 Dans le cadre des Semaines d’Information sur la Santé Mentale programmée cette année du 6 au 19 octobre, La Rotonde place cette problématique au cœur de son prochain podcast Quand on dit santé mentale, de quoi parle-t-on ?  Quelle place de la génétique dans le développement des troubles ? Quels autres facteurs potentiellement déclencheurs ?  Connaît-on suffisamment les pathologies pour bien les soigner ? Quels sont les traitements ? Quelles recherches en cours ?  Comment une politique de prévention et de soutien peut-elle s’organiser sur un territoire ? Des questions qui nourrissent les échanges entre  - Romain Pommier, docteur en psychiatrie générale et psychiatrie adulte - Fabien Schneider, chercheur en IRM et membre du laboratoire TAPE (Trouble du Comportement Alimentaire Addictions) / UJM - Pauline Chassin-Ezziani, chargée de mission Conseil Local en Santé Mentale du territoire métropolitainRicochets L’émission #21 - "Santé mentale : un enjeu de société", un podcast enregistré en public le 16 octobre 2025Conception et animation : Christine BertonChronique : Florent LucarzProduction : La Rotonde - Mines Saint-Etienne

« Avant l’adolescence, le possible est un cas particulier du réel, après c’est le réel qui devient un cas particulier du possible ! » Jean Piaget Quand l’enfant naît, tous les possibles s’ouvrent à lui. Mais ce qu’il va acquérir par l’apprentissage ne pourra se faire que par la sélection qui, de fait, réduit ses capacités initiales.Fait pour apprendre et être perméable à l’apprentissage culturel, le cerveau ne cesse d’évoluer. Une évolution particulièrement importante dans les premières années de la vie où les notions d’espace et de nombre sont acquises par le cortex pariétal ; le langage, la mémoire et la catégorisation par le cortex temporal ; avant que n’intervienne le cortex préfrontal, cortex le plus développé chez l’être humain et qui ne cesse d’évoluer de la maternelle à 20 ans.Professeur à l’Université Paris Descartes – Sorbonne, directeur du laboratoire de psychologie du développement et de l’éducation de l’enfant, Olivier Houdé met en avant l’importance de l’inhibition comme forme de contrôle neurocognitif et comportemental qui permet aux enfants de résister aux habitudes et automatismes et de s’adapter aux situations complexes. Rencontre avec Olivier Houdé pour en savoir plus sur l’évolution du cerveau chez l’enfant mais aussi sur les origines de la recherche sur la psychologie de l’enfant en compagnie de Darwin mais aussi (et surtout) de Jean Piaget. (Entretien réalisé le 14 mars 2012 à l’occasion de la conférence qu’Olivier Houdé donnait à l’Ecole des Mines de Saint-Etienne dans le cadre de la création de l’exposition Mondo Minots conçue en animée par La Rotonde) 

Dès l’Antiquité, on remarque que des personnes atteintes une première fois de certaines maladies infectieuses ne tombent pas malades une seconde fois.Mais c’est au 17ème siècle que commence véritablement l’histoire de la vaccination. Une histoire, ou plutôt une épopée, qu’Amandine Gagneux-Brunon nous a racontée, dans son bureau, au CHU de St-Etienne.Une épopée faite de découvertes de vaccins accompagnées de tout temps de leur lot d’opposition, Voltaire s’interrogeant lui-même sur la nécessité de se prémunir « d’un mal incertain »… avant de changer d’avis un peu plus tard , constatant la disparition de la variole dans les territoires où était pratiquée la vaccination !Amandine Gagneux-Brunon est professeure de maladies infectieuses et tropicales à l’Université Jean Monnet et praticien hospitalier au CHU de Saint-Etienne.Dans ce premier épisode, elle nous parle des vaccins contre la variole, la rage et la tuberculose. 

Depuis 5 ans, l’Ecole des Mines de Saint-Etienne et l’agence d’urbanisme Epures travaillent de concert à l’application du cadre des limites planétaires au territoire Sud-Loire.Après avoir redéfini ce que sont les limites planétaires, la discussion s’engageait autour de l’observation et l’analyse des territoires à l’aune de ces mêmes limites, en présence de scientifiques mais aussi de professionnels qui, dans leurs secteurs d’activité, peuvent, pour l’un, développer des actions propres à limiter l’impact des dépassements et, pour l’autre, tenter de les modérer malgré des contraintes industrielles fortes.  - Certaines limites sont-elles dépassées ? - Quels défis majeurs à relever ?  - Comment des secteurs d’activité peuvent-ils, en fonction de leurs contraintes spécifiques, agir à plus ou moins grande échelle ? - Quelles mesures envisager ? A ces questions répondaient - Antoine Giret, enseignant-chercheur de l’Ecole des Mines de Saint-Etienne, - Maud Marsauche, chargée d’étude à Epures, agence d’urbanisme des territoires ligériens - Sébastien Beauchêne, dirigeant de l’entreprise SML Loire (La Ricamarie) - Et Alain Thibaudet, technicien forestier territorial de l’ONF / Forêt communale de St-EtienneRicochets L’émission #18 : Limites planétaires et territoires, un podcast enregistré en public le 3 juin 2025Conception et animation : Christine BertonChroniques : Guillaume Desbrosse, Zainab MokhfiRéalisation technique : Guillaume DesbrosseProduction : La Rotonde - Mines Saint-Etienne

Amiane, Angela, Kerren, Manel, Mohamed el Amine, Myriam, Naïm, Tania et Zeynep sont des élèves de lycées qui, sur la base du volontariat, suivent chaque mercredi après-midi le programme concocté par le réseau Réussir Aujourd’hui, cordée de la réussite de l’Ecole des Mines de Saint-Etienne.  Dans le cadre de l'édition 2025 du Printemps de l’Esprit Critique initié par Universciences et consacré cette année à l'Alimentation, La Rotonde a déposé un projet : celui d’aider ces jeunes élèves à préparer et animer un podcast. Comment arriver à manger équilibré quand les produits déconseillés sont si bons ? Comment sont préparés les repas des cantines scolaires ? Quels chemins de la fourche à nos fourchettes ?A ces questions leur répondent- la diététicienne Marie-Antoinette Chambeyron- Anne-Sophie Putot, responsable du service de cantine centrale du Chambon-Feugerolles (Loire),- et l’agriculteur Emmanuel Berger« Qu’est-ce qu’on mange ? », une question au coeur des échanges entre des jeunes lycéen·nes et des experts !Un nouveau rendez-vous de "Ricochets, les podcasts de La Rotonde" enregistré en public mercredi 2 avril 2025

Parce qu’ils sont des outils de notre quotidien, les multiples possibles et usages que nous apporte le numérique font écran à ce qui permet leur existence : extraction, conception, production,… Et l’IA, notamment par l’entraînement des modèles, est particulièrement énergivore !Quelles sont les énergies et ressources qui nourrissent les systèmes d’Intelligence Artificielle ? Quels usages et quels impacts ? Consommatrice d’énergie, l’IA peut-elle aussi être mise à profit pour réguler la consommation et la production d’énergie ?Comment rendre les systèmes d’information plus efficients ?Comment favoriser et faciliter la sobriété numérique alors que les IA génératives comme ChatGPT sont aujourd'hui couramment utilisés ?Dans le cadre de l’expo GigoWatt, La Rotonde vous propose « GaIA - IA, énergies et ressources naturelles», une rencontre discussion en présence de chercheurs du département Informatique et Systèmes Intelligents de l’Institut Henri Fayol- Ecole des Mines de St-Etienne, tous les 4 affiliés au LIMOS UMR 6158 CNRS : - Olivier Boissier, directeur de l’Institut et professeur en informatique - Antoine Zimmermann, professeur en informatique également - Mansour Mayaki, post-doctorant ingénieur en informatique - et Lina Nachabe, ingénieure de recherche(O. Boissier et M. Mayaki sont également impliqués dans ENFIELD, réseau de centres d’excellence qui réunit 30 partenaires européens dont l’Institut Mines Télécom)Une table ronde pour s’informer et nous permettre, peut-être, de mieux adapter nos usages !Ricochets L’émission #16, GaIA : IA, énergies et ressources naturelles, un podcast réalisé dans le cadre du projet de formation MACMIA. Enregistrement en public le 20 mars 2025 Réalisation technique : Guillaume DesbrossePréparation et animation : Christine BertonProduction : La Rotonde - Mines Saint-Etienne

En France, la Révolution marque la première étape de laïcisation du pays : la Déclaration des droits de l’homme du 26 août 1789 promulgue la liberté religieuse et établit que la religion est une affaire de conscience.En 1905, la loi de séparation des Eglises et de l’Etat, en proclamant notamment que la République assure la liberté de conscience, signe le texte fondateur de la laïcité. Ses principes inscrivent dans le Droit l’égalité des citoyens, quelles que soient leurs convictions, face à l’administration et aux services publics dont, bien sûr, celui de la Santé.Que dit le Droit en matière de laïcité dans le champ de la Santé Publique ?Comment évolue-t-il ?Comment la laïcité s’applique-t-elle et se vit-elle dans les professions de santé ?Comment peut-elle répondre à l’ « archipelisation » de notre société contemporaine ? Le 13 décembre 2024, dans le cadre de la Semaine de la Laïcité proposée par la Ville de Saint-Etienne, La Rotonde invitait le public à suivre les échanges qui s’engageaient autour de ces questions lors d'une table ronde qui réunissaitMaëlle Comte, maître de conférence en Droit public à l’Université Jean Monnet (UJM), spécialiste de la laïcité Paul Frappé, médecin généraliste de la Maison de Santé de Montreynaud, Président de la Communauté professionnelle territoriale de santé   et Christian Godin, philosophe et auteur de multiples publications

Comment la géographie sociale peut-elle appréhender la médiation scientifique et ce qu’elle induit dans les relations entre science et société ?En observant les publics accueillis dans des centres de culture scientifiques établis dans des Quartiers Politiques de la Ville, en observant aussi les savoirs qui y sont diffusés et les médiations effectuées, Bastien Fayet pose les principes de sa thèse.Rencontre avec ce jeune doctorant en géographie sociale accueilli pendant 3 jours en novembre 2024 à Explora, lieu animé par La Rotonde et où les sciences se découvrent en ateliers.

Les 10 et 11 octobre à l’Ecole des Mines Saint-Etienne, la communauté IMT EnR2 (Energies Renouvelables et Ressources) tenait son séminaire consacré à l’économie circulaire et aux transitions.Aux conférences et présentation de travaux par de jeunes chercheurs et chercheurs s’ajoutaient des tables rondes dont une autour de la question « Comment contribuer à la gestion des plastiques au sein de l’Institut Mines Télecom ? »Une discussion à laquelle participaient - Nathalie Gontard, chercheuse en science des emballages, directrice de recherche à l’Institut national de recherche pour l’agriculture, l’alimentation et l’environnement (INRAE)- Patrick Navard, Mines Paris PSL, directeur de recherche émérite au CNRS, Centre de Mise en Forme es Matériaux (CEMEF)- Didier Perrin, IMT Mines Alès, professeur et responsable du Mastère spécialisé PRINEC (Procédés et Ressources pour l’Ingénierie de l’Économie Circulaire) de IMT Mines Albi- Vincent Oriez, IMT Mines Albi, Professeur associé au Centre RAPSODEE (Recherche d'Albi en génie des Procédés, des SOlides Divisés, de l'Énergie et de l'Environnement)- et Vincent Basuyau, Commission Européenne, responsable des politiques Matières premières et industries à forte intensité énergétique de l’Union EuropéenneRicochets #11 Comment contribuer à la gestion des plastiques au sein de l’Institut Mines Télecom ?, une table ronde enregistrée en public lors du séminaire « Economie Circulaire et Transitions » de la communauté IMT ENR2 enregistrée à l’Institut Fayol de Mines Saint-Etienne le10 octobre 2024Animation : Christine BertonProduction : La Rotonde - Mines Saint-Etienne

Alors que les vaccins contre les papillomas virus humains et l’hépatite B pourraient éradiquer des cancers comme on le constate dans d’autres pays, la France reste à la traîne.Même constat pour le dépistage : sur les 3 cancers qui font l’objet de campagnes de sensibilisation régulières (sein, col de l’utérus et colo-rectal), les chiffres stagnent ou sont à la baisse.Mais les pourcentages révèlent aussi d’autres disparités : celles de l’éloignement des personnes vulnérables économiquement auxquelles s’adressent désormais des actions plus ciblées.Si pour entreprendre des soins, il faut qu’un diagnostic soit établi et des soins dispensés, une autre prise de conscience émerge : celle d’embarquer la personne malade en la rendant actrice de son parcours de santé. Une association soignant-patient à laquelle sont désormais formés l’ensemble des futurs médecins et autres personnels de santé. Mais aussi, les futur•es enseignant•es pour informer, sensibiliser et embarquer leurs élèvesAvec la table ronde Cancers : Agir sur sa vie qui s'achevait sur une nouvelle lueur d'espoir grâce aux prochains vaccins thérapeutiques, La Rotonde terminait un cycle de 5 rencontres commencé en février à l’occasion de l’accueil par la Ville de Saint-Etienne de l’expo Cancers. Une table ronde à nouveau passionnante par la clarté des explications apportées cette fois-ci par :Elisabeth Botelho-Nevers, professeur et cheffe du service infectiologie du CHU de Saint-EtienneArmelle Cotte, médecin responsable au Centre d'Examens de Santé et Prévention de la CPAM LoireMabrouk Nekaa, EC Education à la Santé à l’Université Jean MonnetEt Emilie Fontaine, ancienne patiente, bénévole au sein de la Ligue contre la Cancer présente lors de chacune des tables rondesRicochets #10 Cancers : Agir sur sa vie , une table ronde enregistrée en public à l'Hôtel de Ville de Saint-Etienne le 6 juin 2024Régie Son : Charles-Edouard Teyssier / Ville de Saint-EtienneConception et animation : Christine BertonProduction : La Rotonde - Mines Saint-Etienne

En complément à l'accueil de l'exposition « Cancers », la Ville de Saint-Etienne a sollicité La Rotonde, Centre de culture scientifique de Mines Saint-Etienne pour animer des temps d'échanges autour de divers thèmes liés à la maladie. Après les dispositifs d’annonce en février, la recherche en mars, les traitements en avril, c’est "l’après-cancer" qui était au coeur des discussions en mai.De multiples dispositifs permettent d'accompagner les personnes concernées par le cancer ; des soins de support au retour à l'emploi en passant par le soutien psychologique. Autant de programmes à destination prioritairement des personnes en cours ou post traitement mais aussi de leurs proches ou des entreprises.« Cancers, Vivre après », une table ronde à laquelle participaient-      le Dr Aurélie Beneton, cheffe de service DISSPO (département Interdisciplinaire de Soins de Support pour le Patient en Oncologie) du CHU de Saint-Etienne-      le Dr Eric Gouzi, médecin du travail au sein de Sud Loire Santé au Travail-      Fabienne Couvreur, directrice du comité de la Loire de la Ligue contre le Cancer-      Véronique Fabre, Assistante Sociale du Service Social Loire CARSAT-      Et Emilie Fontaine, bénévole au sein de la Ligue contre la Cancer qui apporte son témoignage d’ancienne patiente lors de chaque rencontreRicochets #9 Cancers : Vivre après , une table ronde enregistrée en public à la Cité du Design le 16 mai 2024Régie Son : Julien Solignac Lecomte / Cité du DesignConception et animation : Christine BertonProduction : La Rotonde - Mines Saint-Etienne

Jusqu’à au 13 juillet, l’exposition « Cancers » est accueillie par la Cité du Design.En complément à cette programmation, la Ville de Saint-Etienne et La Rotonde Mines Saint-Etienne vous invitent à suivre plusieurs temps de discussion autour de thèmes permettant d’approcher différentes étapes de la maladie.Lors de chacune de ces rencontres publiques, Emilie Fontaine apporte son témoignage d’ancienne patiente.  Jeudi 11 avril 2024, ce sont les questions relatives aux traitements qui étaient au coeur des échanges Chimiothérapies, radiothérapies, immunothérapies, en quoi consistent ces traitements ? Quel rôle de la vaccination pendant ou après un cancer ?Comment les missions des IPA permettent-elles d’augmenter le suivi des patients ?Des questions auxquelles répondaient trois spécialistes du CHU de Saint-Etienne Pierre Cornillon, docteur en oncologie médicale, coordinateur de la filière Onco-urologie  Nicolas Vial, docteur en onco-radiothérapie et chef de clinique Amandine Gagneux-Brunon, professeur en infectiologie Mais aussi  Cécile Migala, infirmière en pratique avancée (IPA) en oncologie au sein de la Clinique Mutualiste et Emilie Fontaine, ancienne patiente, bénévole au sein de la Ligue contre la CancerRicochets #8 Cancers : Vivre avec , une table ronde enregistrée en public le 11 avril 2024Réalisation technique : Aourell LanfreyConception et animation : Christine BertonProduction : La Rotonde - Mines Saint-Etienne

Arbiola, Noémie, Uriel, Elise, Naïm, Stacy, Corentin, Lola, Malik, Naïm, Lucie et Fatma sont des élèves de lycées de l’agglomération stéphanoise.Tous les mercredis après-midi, sur la base du volontariat, ils et elles suivent le programme du réseau Réussir Aujourd’hui de l’Ecole des Mines de Saint-Etienne pour découvrir différents univers professionnels, échanger avec celles et ceux qui exercent ces métiers ou encore débattre de sujets d’actualité et de problématiques contemporaines.Parce qu’elle est déjà dans nos vies et qu’elle ne cesse de se développer, l’Intelligence artificielle leur pose questions.Qu’est-ce que promet cette intelligence numérique ?Quelles craintes nourrit-elle ?En quoi est-elle porteuse d’espoirs ?En privilégiant trois domaines : L’IA et la santé, l’IA et le travail et l’IA générative, ces élèves ont conduit un entretien avec trois informaticiens de Mines Saint-Etienne.Dans le cadre du Printemps de l’esprit critique propulsé par Universcience, ces jeunes lycéens et lycéennes vous invitent ainsi à suivre « IA et esprit critique » en présence d’- Olivier Boissier, informaticien et directeur de l’institut Fayol- Laurent Navarro, informaticien et enseignant-chercheur du Centre Ingénierie et Santé- Guillaume Muller, informaticien, maître de conférences à l’Institut FayolRicochets L’émission #7 IA et esprit critique, un podcast enregistré en public le 27 mars 2024

Jusqu’au 13 juillet, l’exposition « Cancers » s’installe dans les murs de la Cité du Design. En complément de cette programmation, la Ville de Saint-Etienne et La Rotonde Mines Saint-Etienne vous invitent à suivre plusieurs temps de discussion autour de thèmes permettant d’approcher différentes étapes de la maladie.Lors de chacune de ces rencontres publiques, Emilie Fontaine apporte son témoignage d’ancienne patiente.  Où en est la recherche ? Comment évolue-t-elle aujourd’hui ? Que peut-on espérer demain ?Le 19 mars à 18h à l’Ecole des Mines, c’est autour de ces questions et de recherches conduites localement que les discussions s’engageaient entre et avecLe Pr. Pierre Hainaut, président du directoire du CLARA (Cancéropôle Lyon Auvergne Rhône-Alpes)Le Dr Emilie Chalayer, hématologue CHU, labo INSERM, SAINBIOSELe Pr Damien Freyssenet, physiologiste et biochimiste de l’exercice au LIBM (Laboratoire Interuniversitaire de Biologie de la Motricité) de l’Université Jean MonnetJulia Fleck, enseignante-chercheuse au Centre Ingénierie et Santé de l’Ecole des Mines de Saint-Etienne dont les travaux portent sur le développement de modèles d'aide à la décision clinique Emilie Fontaine, ancienne patiente, bénévole au sein de la Ligue contre la CancerRicochets L’émission #6 Cancers : où en est la recherche ? , un podcast enregistré en public le 19 mars 2024Réalisation technique : Aourell LanfreyConception et animation : Christine BertonProduction : La Rotonde - Mines Saint-Etienne

Pour le numérique comme pour bon nombre d’activités humaines, la question se pose des usages et de la maîtrise des consommations et des outils. Qu’est-ce que le numérique responsable ? Comment une entreprise du numérique peut-elle s’emparer de cette question ?  A quels niveaux une école d’ingénieurs peut-elle s’engager ?Mardi 12 mars à 18h, il s’agissait de comprendre comment des entreprises privées ou publiques agissent et quels chemins prendre pour réduire, en responsabilité, l’impact de ces technologies, véritables compagnes de nos vies professionnelles et privées !Des questions auxquelles répondaientJacques Fayolle, docteur en informatique et directeur de l’Ecole des Mines de Saint-ÉtienneFrédéric Peyrard, co-président agile de Doing, entreprise spécialiste en écosystèmes numériques innovants, et de Digital LeagueAgnès Crépet, responsable de la longévité logicielle  et de l’informatique chez FairphoneDominique Berthet, directeur des Systèmes d’Information et responsable de la sécurité de ces mêmes systèmes d’information à l’Ecole des Mines.Ricochets L’émission #5 Le numérique responsable , un podcast enregistré en public le 12 mars 2024Réalisation technique : Aourell LanfreyConception et animation : Christine BertonProduction : La Rotonde - Mines Saint-Etienne

Le 15 février 2024, dans le cadre de la deuxième édition du projet Sciences en Tous Genres destiné cette année à des classes de 3e et de 1ère, les intervenant·es qui avaient rencontré les élèves le jour-même étaient les invité·e·s de « Sciences : en avant toute(s) ! », nouvel épisode de Ricochets , le podcast de La Rotonde  Dès l’école, les stéréotypes de genre cloisonnent les parcours et déterminent en particulier les choix des filles. Mais justement, peut-on vraiment parler de choix ? À partir de quel âge ces clichés commencent-ils à s’imposer ? Quels en sont les impacts ? Comment déconstruire ces modèles d’identification imposés qui semblent encore déterminer trop souvent et dès le plus jeune âge, ce que seront, professionnellement et socialement, ces futur·e·s adultes dans les carrières qu’elles et ils exerceront… ou pas ?Des questions qui lançaient les échanges entre et avec Isabelle Vauglin, astrophysicienne au Centre de Recherche Astrophysique de Lyon, présidente de Femmes & Sciences, et organisatrice depuis 8 ans de la journée « Sciences, un métier de femmes ! » ,Clémence Perronnet, sociologue, chercheuse à l’agence Phare spécialisée dans l’évaluation des politiques publiques, rattachée au Centre Max Weber, spécialiste des questions d’inégalités de genre notamment (mais pas seulement) devant la science. Autrice de « La bosse des maths n’existe pas » paru aux éd. Autrement, Clémence Perronnet vient de publier « Matheuses : les filles avenir des mathématiques" (ed CNRS) ), ouvrage auquel sont associées Olga Paris-Romaskevich, chercheuse en mathématique au CNRS et Claire Marc, océanographe et médiatrice scientifique et Hugues Demoulin, docteur en psychologie sociale, ancien directeur régional (Normandie) aux Droits des femmes et aujourd’hui expert égalité et genre, auteur également de deux ouvrages "Déjouer le genre : pratiques éducatives au collège et au lycée" et "Egalité, mixité : état des lieux et moyens d'action au collège et au lycée"Ricochets L’émission #4, Sciences : En avant toute(s) ! , un podcast enregistré en public le 15 février 2024Réalisation technique et chronique : Aourell LanfreyConception et animation : Christine BertonProduction : La Rotonde - Mines Saint-Etienne

Enseignante-chercheuse au département Génie de l’Environnement pour les Organisations, à l’Ecole des Mines de Saint-Etienne, Audrey Tanguy travaille plus spécifiquement sur les impacts environnementaux des activités humaines et la gestion des déchets.Avec Valérie Laforest et Eric Piatizseck, elle encadre l travail de thèse de Romain Guillerm qui porte sur les systèmes alimentaires et leur évaluation selon qu’ils s’inscrivent dans une démarche low-tech ou high-tech.Circuits courts, circuit local, appropriation de technique ou cloisonnement des connaissances figurent parmi les mots-clés de l’entretien qui va suivre. Mais ceux qui reviendront le plus souvent sont certainement low tech et high tech : des concepts que ‘on n’associe pas spontanément à l’alimentation. Décryptage avec Audrey Tanguy et Romain Guillerm

En novembre, à Lyon, l’ENTPE invite ses élèves ingénieurs à suivre des débats dans le cadre d’un cycle consacré aux transitions au sein duquel interviendra l’économiste Florence Jany-Catrice, spécialiste de renommée internationale des initiatives institutionnelles ou scientifiques en faveur de la conception de « nouveaux indicateurs de richesse »Parce que la lecture des richesses d’une société ne peut se résumer au seul PIB, de nouveaux indicateurs sont élaborés. Leur rôle : élargir la quantification des ressources en mesurant des données telles que l’éducation, la recherche, la santé sociale ou le développement durable.Cette démarche, Florence Jany-Catrice la partage et la prolonge en participant à la mise en place de ces nouveaux outils comme en témoignait l’initiative conduite, en 2013, dans la région Nord - Pas de Calais.Au micro de La Rotonde, Florence Jany-Catrice souligne le sens politique des indicateurs de progrès et insiste sur la nécessaire participations d’acteurs, autres que les experts, à leur conception.