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Description
Chaque semaine sur euradio, les membres du réseau Désinfox Migration proposent du fact checking sur les enjeux migratoires.
50 Episodes
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Dans ce nouvel épisode, Tania Racho, membre de Desinfox Migration décrypte les chiffre de l'asile et des arrivées irrégulières, très loin des idées reçues.
Dans cet émission, Tania Racho, Dr en droit européen, chercheuse-associée à l'Université Paris-Saclay et membre de Désinfox migrations nous parle de la protection subsidiaire, un système de protection des demandeurs d'asiles qui peut concerner ceux dont le cas ne correspond pas au cadre de la convention de Genève.
Dans cet émeission, Tania Racho, Dr en droit européen, chercheuse-associée à l'Université Paris-Saclay et membre de Désinfox migrations revient sur un article de Mélodie Beaujeu et Antoine Pécoud sur les campagnes d'information de dissuasion à l'immigration.
Présentation : Tania Racho, membre de Desinfox Migration nous parle du projet de centre de rétention et de "tri" des personnes en situations irrégulières aux frontières.Le but : déterminer si ces personnes peuvent rentrer sur le territoire européen. Avec une capacité d'accueil de 30 000 places et un droit à la rétention de 12 semaines, ces centres devraient traités au moins 120 000 accueils par an.
Récemment, l'UE s'est accordée au niveau politique sur des mesures pour réformer l'asile, le Pacte pour l'asile, qui sera adopté par le Parlement européen en avril. Parmi les mesures, un certain nombre concerne le prélèvement de données personnelles des personnes qui sont ressortissantes d'États tiers, notamment le fichier Eurodac qui comprendra, en plus du relevé de l'empreinte, l'empreinte de l'image faciale dans la base de données.
Tania Racho de Desinfox Migrations revient sur le contenu du projet de Loi immigration de l'UE, récemment adopté en commission. Un projet de loi contesté, qui a déjà provoqué de vives réactions auprès des défenseurs des droits de l'Homme...
Catherine Peron travaille au Centre d'études internationales à Sciences Po. Elle s'intéresse aux migrations en Allemagne et plus particulièrement à la mémoire des migrations forcées de l'après Seconde Guerre mondiale. Les deux Allemagnes ont intégré 11 millions et demi de réfugié·es dans l'après Seconde Guerre mondiale et ces personnes ont bénéficié de mesures d'intégration à la fois socio-économiques, d'une reconnaissance culturelle et d'un accès à la nationalité automatique. Pour les autres, c'est plutôt la vision d'une intégration comme assimilation qui a prédominé.
Pour cet épisode, nous recevons Évelyne Ribert, sociologue et chercheuse au CNRS qui a travaillé sur le choix de la nationalité des enfants de parents étrangers en France et sur les mémoires des migrations. Le traitement des questions d'intégration dans le débat public en France, ne se fait à travers qu'un seul aspect, la question du partage des normes et valeurs françaises par les étranger·ères avec en toile de fond, la question de l'Islam.
On reçoit pour cet épisode Catherine Wihtol De Wenden, chercheuse à Sciences Po qui nous parle du lobby des naturalisations sur lesquels il y a beaucoup d'idées reçues.
L'équipe de Désinfox migrations revient sur un sujet très présent au sein des discours de droite et d'extrême droite : le regroupement familial.Face au fantasme d'un appel d'air, cet épisode de fact-checking rappelle aussi le droit fondamental du dispositif de regroupement familial.
La France est-elle réellement un pays accueillant pour les étudiant•es étranger•ères ?S'il est vrai que les flux d'étudiant•es ont augmenté depuis 1971, passant de 30 000 à 365 000, soit une augmentation de plus de 1 100%, cette augmentation est à relativiser et contextualiser.
Une idée reçue sur la migration en Europe est que le sauvetage des personnes provoquerait un appel d'air. Une idée fausse et amplement déconstruite par la littérature scientifique. Sarah, membre de désinfox migration, nous explique.
Dans les chroniques précédentes sur les obligations de quitter le territoire français (OQTF), elle a mentionner la question de la mise en œuvre difficile de ces OQTF et aujourd'hui elle va évoquer la problématique de leur coûts. Elle a également mentionner dans les chroniques précédentes que l'aspect humain n'est pas à négliger dans ces éloignements
Chaque semaine sur euradio, les membres du réseau Désinfox Migration proposent du fact-checking sur les enjeux migratoires.Dans ce second épisode d'un triptyque sur les OQTF, les membres de Désinfox Migrations nous expliquent le fonctionnement, dans la pratique, de la mise en œuvre des OQTF. Reconduite dans son pays d'origine, prix pour les autorités, mais aussi difficulté face aux résistances du ou de la concerné·es sont des facteurs qui rendent les OQTF particulièrement complexe.
Dans ce premier épisode d'un triptyque sur les OQTF, les membres de Désinfox Migrations nous expliquent le fonctionnement des obligations de quitter le territoires, leurs emplois, et les conditions de mise en application de celles-ci.
Non, l'Aide Médicale d'Etat ne favorise pas un tourisme de santé par Sarah Chaumeil
Sarah, membre de l'association Desinfox migration, qui propose du fact-checking sur les questions de migration. Aujourd'hui, déconstruisons le mythe des frontières passoires.
Ces dernières décennies, le nombre de personnes en déplacement forcés à doublés. L'association Desinfox Migrations fait le point et nous explique l'évolution de ce phénomène.
La France est-elle réellement un pays accueillant pour les étudiant•es étranger•ères ? S'il est vrai que leur nombre a augmenté durant les dernières décennie, cette augmentation reste inférieure à celle d'autres pays de l'OCDE à cause, notamment, de politiques d'accueil variables.Sarah Chaumeil, membre de l'association Désinfox Migration fait le point.
Chaque semaine sur euradio, les membres du réseau Désinfox Migration proposent du fact checking sur les enjeux migratoires.
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