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Pour Qui Sonne Le Jazz
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Pour Qui Sonne Le Jazz

Author: TSFJAZZ

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Un disque culte, une voix oubliée, une archive inédite : du lundi au vendredi à 9h30, David Koperhant explore cent ans d’histoire(s) du jazz pour une ballade sonore d’un quart d’heure, mixée et habillée par Eric Holstein. A podcaster sans retenue.
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286 Episodes
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Troisième épisode de notre feuilleton sur l'un des plus grands pianistes de l'histoire du jazz ! Mais au fait, pourquoi Oscar Peterson était-il si virtuose ? Et bien il semble que ce soit la faute d'un traumatisme fondateur, celui de sa découverte d'Art Tatum. On y reviendra, en évoquant aussi quelques-uns de ses plus beaux disques des années 1960 et 1970. Sans oublier la fin du suspens : d'où Oscar tenait-il son surnom de "maharajah" ? Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Grâce à ses trios composés de Ray Brown (contrebasse), Herb Ellis (guitare) puis Ed Thigpen (batterie), Oscar Peterson est devenu l'une des plus grandes stars du jazz des années 1950 et 60. Sa marque de fabrique ? Des déluges de notes et un plaisir de jouer jamais démenti. Descendant d'Art Tatum, pour la virtuosité, et de Count Basie pour le swing, Peterson incarne le classicisme et l'élégance à l'état pur !Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Une main droite prodigieuse qui enfilait les notes à cent à l'heure : c'était Oscar Peterson, dit le "maharajah" du piano, légende canadienne aux centaines d'enregistrements, au swing et à la virtuosité sans pareil. Des rues de la Petite Bourgogne à Montréal au Carnegie Hall de New-York, dans ce premier épisode, nous explorerons l'enfance et les débuts d'un des plus grands piano-héros de l'histoire du jazz, à l'occasion du centenaire de sa naissance. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Cinquième épisode, et sans doute pas le dernier, consacré au grand clash entre jazz et classique. On termine cette semaine avec l'idée folle de Gunther Schuller : plutôt que de laisser les musiciens de jazz "reprendre" des airs de classique, pourquoi ne pas leur écrire une musique originale qui réunirait le meilleur des deux mondes ? C'est ce que Schuller appela le "Third Stream" ou troisième courant. Et de John Lewis à Miles Davis en passant par Stan Getz, Charles Mingus, Bill Evans et Wynton Marsalis, nombreux sont ceux qui se sont engouffrés dans la brèche ! Et puisque le sujet est si vaste et qu'en cinq épisodes nous n'avons pas pu tout explorer, loin de là, Pour Qui Sonne le Jazz reviendra plus tard pour une deuxième semaine de clash entre jazz et classique !Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Jazz, classique, le grand clash, quatrième round. Notre plan de vol aujourd’hui : Brésil, Chopin et au-delà, et toujours en ligne de mire ces rencontres aux confins du jazz et du classique. Aujourd'hui, on entendra Tom Jobim déclarer sa flamme à Debussy et Fauré, Deodato faire valser Strauss en mode funk, ainsi que quelques chopinades de derrière les fagots ! Oui, au rayon classique, les jazzmen n'ont pas fini de nous surprendre !Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Aujourd'hui dans notre grand clash entre jazz et classique : Bach et le jazz. Un incontournable ! Sur ce sujet on pourrait écrire un roman. De tout temps, le Cantor de Leipzig a fasciné les musiciens. Beaucoup disent d’ailleurs que Bach fut le premier jazzman. De Jacques Loussier et ses "Play Bach" à Keith Jarrett en passant par les Swingle Singers, Stan Getz, Hazel Scott et Brad Mehldau, nous verrons comment les musiciens et musiciennes de jazz ont abordé les préludes, sonates, fugues, inventions et autres totems du père de la musique moderne. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Deuxième round de notre grand clash entre jazz et classique : En 1928, Maurice Ravel, qui composera bientôt le Boléro, entame une grande tournée américaine. A New-York, il rencontre George Gershwin qui l'emmène en virée dans Harlem. Au Cotton Club, Ravel et Gershwin applaudissent Duke Ellington. Le français est un grand admirateur. Dans cet épisode, nous allons donc explorer les nombreux allers-retours entre Ravel et le jazz. On murmure même que le clarinettiste Jimmie Noone aurait sa part... dans l'écriture du Boléro ! Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Saviez-vous que Maurice Ravel était dingue de jazz ? Et qu'Igor Stravinsky avait vu Charlie Parker au Birdland ? Oui, depuis que le jazz existe, les compositeurs classiques sont fascinés par la musique afro-américaine. Et l'inverse est vrai aussi : de Duke Ellington à Bill Evans, nombre de jazzmen se sont amusés à détourner la musique classique. Rencontres improbables, reprises étonnantes : toute la semaine, nous allons explorer les liens entre "grande musique" et "musique improvisée", à commencer, dans ce premier épisode, par Stravinsky, Wagner et Tchaikovsky. C'est le grand clash entre jazz et classique !Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ayant atteint les sommets avec Stan Getz, Eddy Louiss ne se repose pas sur ses lauriers, même s'il entretient un rapport ambigu avec la célébrité et le showbiz. Alors, au grés de ses disparitions et come-backs retentissants, l'organiste va continuer à écrire sa légende. De l'épopée Multicolor Feeling Fanfare aux duos mémorables avec Michel Petrucciani, le grand Eddy n'a pas fini de se raconter ! Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
1968. Sur la scène du Caméléon à Paris, Eddy Louiss fait rugir son orgue hammond. Il a 27 ans et c'est un pilier du jazz en France, a tel point qu'il va tapper dans l'oeil d'un géant du jazz américain, le saxophoniste Stan Getz. Et si Eddy Louiss, celui que la presse présente comme "le meilleur organiste du monde", était mûr pour une carrière aux Etats-Unis ? Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
En 1964, Eddy Louiss a 23 ans, et déjà des années de musique derrière lui. Il a fait ses gammes dans les bals puis dans les caves parisiennes de la rive gauche, avant de découvrir l’orgue hammond au Canada lors d’une tournée avec les Double Six. Oui, car Eddy Louiss, c'est une certaine idée du jazz et de la chanson. La preuve : il va devenir l'accompagnateur privilégié des Nougaro, Gainsbourg et Barbara, avant, enfin, de publier ses premiers disques à son nom. A l’époque, Eddy Louiss est partout !Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
C'était un "ogre" de l'orgue Hammond B3. Disparu il y a dix ans, Eddy Louiss est un personnage incontournable. Né à Paris d'un père martiniquais et musicien, Eddy était un organiste aussi talentueux qu'il était réservé. Un ermite qui aimait autant la musique que jouer aux cartes avec ses amis, et qui aura écrit quelques unes des plus belles pages de l'histoire du jazz en France. Claude Nougaro, Stan Getz, Michel Petrucciani et beaucoup d'autres figurent parmi ses partenaires de jeu. Alors, qui était vraiment Eddy Louiss ? Réponse dans cette enquête en quatre épisodes.Crédits photo: Christian DucasseHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Difficile d'être "l'inventeur du jazz". Dans ce dernier épisode, on verra que Jelly Roll Morton a lutté toute sa vie pour faire reconnaître son talent. Mais le pianiste de King Porter Stomp, malheureusement, va se faire dépasser par son invention, doublé par une nouvelle génération de pianistes et chefs d'orchestre qui emmèneront le jazz encore plus loin, laissant Morton sur le bas côté de la route. Une fin tragique et romanesque pour un musicien de légende. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
En 1926, Jelly Roll Morton approche la quarantaine. Il est au sommet de son art. C'est l'époque de Chicago, des gangsters et de ses premiers disques importants pour la firme Victor avec son groupe, les Red Hot Peppers. Avec lui, l’improvisation collective et foutraque de la Nouvelle Orléans se discipline. Lorsqu’il compose un morceau, il ne le pense plus pour le piano, mais pour tout son orchestre. Il réfléchit à des riffs, des contrepoints, des cadences, des breaks, des prises de paroles réparties entre les différents membres du groupe. Bref, tout ce qu’emploieront après lui Fletcher Henderson et Duke Ellington.  Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Jelly Roll Morton a tout appris à Storyville, le quartier des plaisirs de la Nouvelle-Orléans : le piano, mais aussi le billard, les jeux d’argent, les cartes et les arnaques en tout genre. Sans oublier les femmes. Car à force de fréquenter les prostituées de Storyville, Jelly Roll a acquis ses galons de souteneur. Il est désormais un parfait escroc, avec son col en fourrure et un diamant sur sa dent de devant. Sans oublier le calibre .38 pour protéger ses économies. Mais vers 1917 son destin bascule. Lorsqu'on ferme Storyville, l'inventeur du jazz est contraint de prendre la route, direction Chicago !Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Chicago, 1938. Ce matin là, le journal DownBeat reçoit une lettre très spéciale signée “Jelly Roll Morton, inventeur du jazz”. Et ce monsieur Morton n’est pas content. En écoutant la radio, il a cru qu’il allait tomber de sa chaise lorsqu’il a entendu un animateur présenter le trompettiste et compositeur WC Handy comme l’inventeur du jazz. Or, l'inventeur du jazz, c'est lui : Ferdinand Joseph LaMothe, né à la Nouvelle Orléans à la fin du 19ème siècle. Alors, qui était Jelly Roll Morton, et méritait-il vraiment le titre d'inventeur marqué sur sa carte de visite ? Pour Qui Sonne le Jazz mène l'enquête dans un feuilleton en quatre épisodes. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
1954, au Sahara de Las Vegas. Le Sahara est l’un des derniers nés des grands palaces de Sin City. Ses promoteurs l’ont surnommé le Joyaux du Désert. Sur le prospectus, on aperçoit les pyramides d’Egypte et une statue de Pharaon. C’est là, à l’automne 54, que le trompettiste et chanteur Louis Prima pose ses valises. Né à la Nouvelle-Orléans, il a 43 ans, et ce que l’on peut dire, c’est qu’il est en pleine… traversée du désert. “Depuis sept ans, il n’a pas fait un tube”, raconte son biographe, Gary Boulard. Mais ça, ça va bientôt changer ! Comment Louis Prima a-t'il conquis Vegas ? Réponse dans Pour Qui Sonne le Jazz !Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
15 décembre 1944 : alors qu'il s'apprête à survoler la Manche, le Major Glenn Miller est déterminé. Il va enfin rallier Paris, ce Paris libéré où il doit donner un concert avec l'orchestre des forces armées américaines. Mais perdu au-dessus des eaux froides du Channel, l'avion du tromboniste n'arrivera jamais. Qu'est-il arrivé à Glenn Miller, l'une des plus grandes stars de l'ère des big-bands ? Pour Qui Sonne le Jazz mène l'enquête. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Au lendemain de Mai 68, Michel Portal a accompli une prouesse : faire entrer le free jazz américain dans la musique européenne, ou l’inverse. "Le free jazz a été une fête, en réaction au passé commercial de la musique”. Mais après Chateauvallon, la carrière du clarinettiste va prendre plusieurs chemins en parallèle, du jazz au classique en passant par le contemporain et la musique de film. Une trajectoire passionnante ! Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Michel Portal. Un agent double, aussi à l’aise dans un concerto de Mozart que dans un jazz libertaire, comme à Châteauvallon en 1972. Entre la joliesse et le cri, Michel Portal c'est le yin et le yang, la clarinette et le bandonéon. Une vie faite de doute et de recherche. Sa quête : dès les années 1960 il la formulait ainsi dans les colonnes de Jazz Hot : “Il doit bien exister quelque part une ou des formes musicales à trouver qui permettraient à chaque musicien d’être libre, et s’il est réellement musicien, de faire sa musique”. Saga d'un électron libre en deux épisodes !Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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Comments (1)

Elisabeth Brousse

Bonjour, les émissions "Pour qui sonne le jazz" se sont-elles arrêtées ?

Apr 15th
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