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Author: Le Boulon

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Bonjour à toutes et à tous et bienvenue sur le podcast du Boulon « Sur le fil ».


Si vous ne l’ignorez encore, Le Boulon est le Centre national des arts de la rue et de l’espace public situé à Vieux-Condé, dans les Hauts-de-France. La saison du Boulon est jalonnée par une vingtaines de spectacles et de résidences artistiques ainsi que d’un temps fort le premier week-end du mois de mai, Les Turbulentes, festival dédié aux arts de la rue, gratuit et accessible à toutes et tous, réunissant plus de 35 000 personnes sur le week-end et ce depuis plus de 25 ans. 


Ce podcast a pour objectif de créer et conserver le lien entre Le Boulon et vous, public, artistes, partenaires, auditeurs et auditrices. Les sujets abordés seront divers et variés, allant de l’entretien avec des artistes en résidences, aux micro-trottoirs publics pour recueillir vos impressions à chaud à l’issue des spectacles ou encore mettre en avant le travail artistique sur le territoire du grand Valenciennois.

21 Episodes
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Je ne sais pas s’il est possible d’avoir une meilleur citation pour débuter un podcast et présenter la compagnie invitée. Alors, cette citation je vous la livre sans filtre et elle nous donnera un super angle d’approche pour échanger avec nos invités : CitationOn dit d’une structure ad hoc, qu’elle convient parfaitement à une situation, à un usage, et qu’elle est instituée tout spécialement pour répondre à un besoin. De là l’origine du nom de la compagnie, portée artistiquement par les deux auteurs-concepteurs : Doriane Moretus et Patrick Dordoigne La compagnie est en résidence artistique depuis le 22 avril dernier et y restera jusqu’aux Turbulentes, puisqu’elle est ici pour créer Check Off, une adaptation du texte « Les Trois Sœurs » d’Anton Tchekhov, évidemment. 
Ici, c'est Romain Carlier, responsable communication du Boulon, invité par la radio RCM, qui présente les grands lignes du Boulon et de la prog des Turbulentes. On a quand même coupé les passages musicaux, pour des raisons de droits SACEM et pour n'en garder que le meilleur 😉
Bonjour à toutes et à tous et bienvenue « Sur le fil » le podcast du Boulon, Centre national des arts de la rue et de l’espace public. Aujourd’hui il s’agit d’un numéro de la série « Entre nous » mais un peu particulier une fois de plus, car nous n’allons pas parler d’artiste en résidence à proprement parlé, mais plutôt d’artiste « associé », au Boulon. Vous le connaissez surement de nom, vous avez forcément vu son travail à travers la communication du Boulon, il est présent sur tous nos rendez-vous, pourtant sa discrétion, indispensable à son métier, le fait passer inaperçu la plupart du temps. Il est l’œil aiguisé qui va savoir capter le moment idéal, trouver l’angle adéquat, immortaliser un moment unique, je veux bien sûr parler du photographe associé au Boulon, Olivier Maginot alias Kalimba, de son nom d’artiste. Nous allons parlé de son métier de photographe, mais plus que ça, de la photo en spectacle de rue et de ses spécificités. On accueille donc Kalimba au micro du podcast du Boulon.
Aujourd’hui il s’agit d’un numéro de la série « Entre nous » mais un peu particulier, car ce n’est pas moi qui poserait les questions à notre invité. Pour rappel, l’idée de cette série est de prendre un temps aux artistes en résidence au Boulon pour en apprendre un peu plus sur leur travail. L’invité aujourd’hui, c’est Christophe Moyer, de la Cie Sens Ascensionnels, qui est venu en résidence artistique au Boulon afin de mettre en scène un spectacle au titre évocateur : La Nature est un être humain comme les autres. Comme sur beaucoup de nos résidences, la compagnie a proposé une étape de travail publique, ce qu’on appelle les sorties de fabrique, devant un public nombreux, c’est le jeudi 14 mars dernier. Coté animation du podcast, nous avons demandé au Foyer d’Accueil Spécialisé de Marly, près de Valenciennes, avec qui Le Boulon travaille toute l’année, de monter une petite équipe d’animateurs d’un jour. Après avoir vu la sortie de fabrique la veille de cet entretien, nos 3 compères ont planché sur des questions à poser à notre invité et il en résulte ce que vous allez entendre d’ici quelques instants. Je profite de cette introduction pour remercier chaleureusement et au nom de toute l’équipe du Boulon Christophe Moyer auteur et metteur en scène de la compagnie et le trio Eddie, Stephane et Alexandre ainsi que leur accompagnatrice Justine Passera de s’être prêté au jeu de cet entretien. J’espère que vous prendrez autant de plaisir à écouter cet épisode que nous en avons pris à l’enregistrer. Bonne écoute.
Le PEPS, qu’est ce que c’est, ce sont les initiales de Parcours d’Éducation, de Pratique et de Sensibilisation. Petite description afin de bien comprendre le contexte. La Région Hauts-de-France porte l’ambition de contribuer aux parcours artistiques et culturels des jeunes, en favorisant les rencontres avec les équipes artistiques et en facilitant les démarches de découverte d’une œuvre, d’un lieu de patrimoine ou d’un lieu de diffusion de la culture. Pour cela elle lance un appel à projets en direction des acteurs artistiques et culturels contribuant à l’éducation artistique et culturelle. Les projets se déroulent ensuite auprès des publics lycéens et apprentis directement dans les établissements d’enseignements. À cet appel, Le Boulon répond chaque année, avec dans sa valise, un projet, une thématique et un artiste. Cette année, le thème était « Mon lycée, un lieu à explorer, à réinventer » et l’artiste avec lequel nous souhaitions collaborer était Naïm Abdelhakmi, directeur artistique de la compagnie Ardestop. Une fois les dossiers déposés, les établissements scolaires de la Région font par de leur intérêt pour le thème de leur choix ou au moins celui qu’ils préfèrent, c’est à ce moment que les planètes d’alignent et que le travail artistique et culturel peut débuter. Il en résulte une semaine de travail en lycée qui donne généralement lieu à une restitution pour les autres lycéens et lycéennes de l’établissement. Ici c’était en février dernier, avec le lycée Biotech de Douai et avec Naïm, de la compagnie Ardestop qui est ici présent pour nous faire un petit débriefing de cette semaine particulière.
Claire Ducreux est l’une de ces artistes tellement reconnue dans les arts de rue qu’il faudrait plusieurs heures pour en présenter la carrière de manière exhaustive, alors pour tenter de résumer, je me contenterai de l’essentiel. En 1992, il y a donc plus de 30 ans, Claire obtient le diplôme du Conservatoire National Supérieur de Musique et de Danse de Lyon dans la section danse contemporaine. Elle danse avec de nombreuses compagnies et crée la sienne, Leandre-Claire en 1999 avec le Clown catalan Leandre Ribera. Ensemble il crée Fragile et Madame et Monsieur, deux spectacles en salle et en rue qui obtiendront de nombreux prix et tourneront dans le monde entier. Son premier spectacle solo voit le jour en 2004 avec De Paseo… Après une dizaine de créations et de nombreux, voire très nombreux accueils au Boulon, Claire crée Silencis en 2017 qui obtient le prix du meilleur spectacle de rue au festival Teatro y Artes de Calle de Valladolid. À l’occasion de l’anniversaire du Boulon il y a quelques années, Claire est venue présenter trois spectacles, De Paseo (pour rappel son premier solo datant de 2004), Avec le temps et Le sourire du Naufragé, peut-être que certains ou certaines d’entre vous y étaient. Elle ne s’arrête pas à la mise en scène et à l’interprétation, puisqu’en 2021, elle est à l'origine également d'un long métrage intitulé Poèmes en hommage aux arts de rue et à l’art en général, sous la direction d’Hector Faver. Elle est au Boulon cette semaine pour travailler sur la création de son solo Fleurir les abîmes, dont une sortie de fabrique vous est proposée vendredi 23 fév. à 18h30.
Ici, c'est Romain Carlier, responsable communication du Boulon, invité par la radio RCM, qui présente les grands lignes du Boulon et de sa programmation jan - juin 2024. On a quand même coupé les passages musicaux, pour des raisons de droits SACEM et pour n'en garder que le meilleur 😉
Les Arts Oseurs, en deux mots (nom pas comme en deux mots pour résumer, mais en deux mots car ce sont bien les arts… oseurs), est une compagnie basée dans l’Héraut et qui s’est créé il y a maintenant plus de 20 ans, à l’initiative de Perine Faivre et de Charlotte Tessier. Dès ses débuts, la compagnie est attachée à la récolte de parole des habitants et habitantes, aux projets qui s’ancrent dans le territoire, qui font sens dans l’éco-système social, profondément humain. En 2012 et 2015, la compagnie met en scène un premier diptyque composé de Livret de Famille et J’écris comme on se venge autour de l’œuvre de l’auteur Magyd Cherfi. Livret de famille sera d’ailleurs un tournant pour la compagnie qui signera ici sa première création pour la rue avec le pari de mettre en scène, en espace public, les multi-disciplines du récit, du théâtre, des arts visuels et de la musique. Les Arts Oseurs est une compagnie de théâtre de rue, c’est son identité. En 2022, peut-être vous en souvenez-vous, Les Turbulentes recevait le spectacle Héroïne, épopée de 4h au croisement du théâtre et de la fiction, dans la réalité d’un tribunal. Les Arts Oseurs sont ici au micro du podcast du Boulon, en résidence de création de l’adaptation du texte de l’anthropologue et autrice Nastassja Martin : Croire aux fauves et nous sommes avec Renaud Grémillon pour en parler. Avant d’accueillir notre invité, peut-être est-il bon de conclure cette introduction par une citation de Périne Faivre qui pour rappel est la co-créatrice des Arts Oseurs, qui résume selon moi, le travail de la compagnie et l’évidence d’un théâtre utile CitationLe théâtre a pour nous une dimension sacrée. Faire à nouveau corps collectif pour retraverser notre histoire, se regarder avoir été, devenir. Faire émerger par le récit une expérience commune vécue le même jour à la même heure, sous le même soleil ou mouillés par la même pluie. Nous avons toujours voulu faire un théâtre qui change le monde. Peut-être rêvons-nous d’un théâtre de la traversée du monde.  
Bonjour à toutes et à tous et bienvenue « Sur le fil » le podcast du Boulon, Centre national des arts de la rue et de l’espace public. Aujourd’hui, un fois de plus, on reçoit Camille Coquelet sur le podcast, Camille est la médiatrice culturelle du Boulon, avec qui nous allons aborder le prochain rendez-vous tout public, ven. 9 et sam. 10 fév., un spectacle grand public intitulé Out of the blue par les deux apnéistes Frédéri Vernier et Sébastien Davis-VanGelder.
[ La Prog. ] Sortir ?

[ La Prog. ] Sortir ?

2024-01-1108:36

Bonjour à toutes et à tous et bienvenue « Sur le fil » le podcast du Boulon, Centre national des arts de la rue et de l’espace public. Aujourd’hui, on reçoit Camille Coquelet sur le podcast, Camille est la médiatrice culturelle du Boulon, avec qui nous allons aborder le prochain rendez-vous tout public, samedi 20 janvier 2024, un spectacle familial intitulé Sortir ? par la compagnie La mécanique du Fluide.
Bonjour et bienvenue Sur le Fil, le podcast du Boulon, Centre national des arts de la rue et de l’espace public. Cinquième et dernièr épisode de la série « Intergénérationnel », il s’appelle ou plutôt elle s’appelle Yvette et elle termine cette série en nous comptant une histoire, son histoire et les collégiens et collégiennes n’en sont pas resté·es indifférent·es. Pour rappel, si vous arrivez ici par hasard, je vous conseille de commencer par le début et de retourner au premier épisode de la série, afin d’en connaître le contexte. Cet épisode ferme la porte de la série « Intergénérationnel ». Bonne écoute à toutes et à tous. Belle journée. Et à très bientôt Sur le fil, le podcast du Boulon.
Bonjour et bienvenue Sur le Fil, le podcast du Boulon, Centre national des arts de la rue et de l’espace public. Ici va débuter le quatrième épisode de la série « intergénérationnel » et celui s’intitule Philippe, ou plutôt Le Roi Philippe, vous en connaîtrez les raisons à l’écoute de l’épisode. Pour rappel, si vous arrivez ici par hasard, je vous conseille de commencer par le début et de retourner au premier épisode de la série, afin d’en connaître le contexte. Bonne écoute à toutes et à tous.
Bonjour et bienvenue Sur le Fil, le podcast du Boulon, Centre national des arts de la rue et de l’espace public. Voici donc le troisième épisode de la série « intergénérationnel » et celui s’intitule MC ou EMSI, comme vous voulez, à vous de devinez le prénom qui se cache derrière ces lettres. Une fois encore, si vous arrivez ici par hasard, je vous conseille de commencer par le début et de retourner au premier épisode de la série, afin d’en connaître le contexte. Bonne écoute à toutes et à tous.
Bonjour et bienvenue Sur le Fil, le podcast du Boulon, Centre national des arts de la rue et de l’espace public. Voici donc le deuxième épisode de la série « Intergénérationnel » et celui s’intitule Francis. Si vous arrivez ici par hasard, je vous conseille de commencer par le début et de retourner au premier épisode de la série, afin d’en connaître le contexte. Bonne écoute à toutes et à tous.
Bonjour et bienvenue Sur le Fil, le podcast du Boulon, Centre national des arts de la rue et de l’espace public Cet épisode est le premier d’une série que nous avons intitulée « InterGénérationel ». Accompagné de l’artiste Camille Faucherre de La Générale d’Imaginaire, une vingtaine d’élèves de 3ème du Collège Jean-Jaurès de Vieux-Condé s’est rendue au Carrefour de l’Amitié, une résidence autonomie située à Vieux-Condé. Il est toujours intéressant de provoquer les rencontres de générations, tant les regards portés sur le monde qui nous entoure, surtout celui-ci qui a drastiquement changé en l’espace de 60 ou 70 ans, sont radicalement différents. Les jeunes et les moins jeunes se sont prêtés à un jeu pas si évident, nous espérons que vous en apprécierez le résultat. Une série donc de cinq épisodes réalisée l’année dernière, avec une écriture et des entretiens menés les collègiens. Une réalisation Camille Faucherre, en partenariat avec Le Boulon. Un merci tout particulier à Stéphanie Michielleto, enseignante du Collège et Audrey Dhaene, directrice de l’EPHAD. Bonne écoute à toutes et tous de ce premier épisode : Le Contexte.
Les artistes que nous recevons aujourd’hui au micro du podcast sont 2, mais elles représentent une équipe de 11 comédiennes, metteuses en scène, chanteuses, graphistes, musiciennes, costumières, administratrices ou encore chargées de diffusion. J’ai pris soin de n’employer que des termes féminins et pour cause il s’agit de La Collective Ces Filles-Là. Comme on peut le deviner, il s’agit d’un collectif d’artistes avec tout ce que cela suppose en terme de méthode de travail, à cela près que celui-ci est exclusivement féminin, d’où La Collective. Autrement dit, il s’agit d’un fonctionnement équitable, égalitaire mais non-paritaire. Rapide historique, en 2015, elles découvrent au cours d’une lecture au festival Prise Directe, le texte d’Evan Placey intitulé Ces Filles-Là, véritable coup de cœur qui vient répondre, comme une évidence, à de nombreux désirs déjà partagés par les filles, à savoir travailler entre femmes au plateau, valoriser la force d’un travail collectif, porter sur scène des textes contemporains qui défendent un point de vue et travailler en espace public ou en espace dits non-dédiés. En 2016, elles décident de créer La Collective Ces Filles-Là afin de lancer une aventure théâtrale résolument féministe. S’en suit la création théâtrale en milieu sportif de Ces Filles-Là, un spectacle sur le harcèlement au lycée joué en salle de sport et la création ici même, en ce moment même, de Starting-Block qui parlera des femmes dans le monde sportif qui se sont battues pour faire valoir leur droit. On pourrait parler des laboratoires de recherches artistiques éco-féministes, des projets de territoire avec les habitantes comme dans Héroïne du Quotidien ou encore des projets de Résidence Missions comme en 2020 sur le thème Matrimoine. Autour des spectacles créés par La Collective, on prendra plaisir à feuiller les Tampons, des éditions publiées sous forme de petites publications ressources, afin de transcrire en mots et en images le corpus des créations et des aventures artistiques de la compagnie.  Nous accueillons donc au Boulon deux artistes représentant La Collective, il s’agit de Lola et Arianne.
Amare, ou plutôt devrai-je le prononcer A·ma·re (italien), vient de la rencontre entre deux artistes, Amandine et Maeva, au sein d’un programme professionnel de danse/performance appelé Performact. Très vite, elles collaborent avec des chorégraphes belges et portugais, notamment issus d’Ultima Vez Cie, de Wim Vandekeybus. En 2017, elles entament un travail conjoint sur base d’improvisations. Les pratiques chorégraphiques sur plateau et un gout prononcé pour le décloisonnement artistique les mènera tout droit à l’espace urbain. Rapidement voit le jour un premier spectacle : « Quizas », qui sera présenté au public en avril 2018 dans le cadre des Furies, à Châlons-en-Champagne. Amare s’affirme, et c’est bien le terme, comme un collectif abordant les thèmes fondateurs de la société contemporaine, tels que l’amour, le féminisme ou la mort. S’affirme en mettant au diapason /ouvrez les guillemets/  l’art performatif, le théâtre politique, le sens de la dérision et la liberté de ton.  Derrière l’affirmation, on peut parler d’obsession pour les dialogues entre les disciplines existantes, mais surtout pour les formes théâtrales griffonnées au fur et à mesure, ce qui finalement en fait une compagnie qui œuvre principalement au plateau, très tôt dans son processus de création. On y convoque oralité, chorégraphie, musique live, rencontres avec des gens et le tout est savamment orchestré à grand renfort d’inspirations littéraires et cinématographiques. Amare fait parler le cors et danser la voix. Amare affirme un goût prononcé pour le transdisciplinaire. Il ne me semble pas l’avoir dit mais Amare est native des Hauts-de-France. Nous sommes ici en compagnie de la compagnie Amare en la personne de sa directrice artistique, Amandine Vandroth
Pour ce dernier épisode de la série « Traversées », Camille Faucherre de la Générale d’Imaginaire, accompagné des enfants de l’école Caby de Vieux-Condé, décrypte en long et en large ce qu’est un Terril, nos montagnes du Nord... Alors même si vous pensiez tout savoir à ce sujet, fermez les yeux et plongez dans le passé des terrils, avec des voix d’enfants. Je vous laisse découvrir ce dernier épisode de la série intitulé « Le Terril ».
Pour ce nouvel épisode de la série « Traversées », Camille Faucherre de la Générale d’Imaginaire, accompagné des enfants de l’école Caby de Vieux-Condé, s’est intéressé à l’Etang. Mais pas n’importe quel étang, celui de nos terrils. Comme s’est-il formé et comment l’exploite-t-on aujourd’hui ? Fermez les yeux et plongez dans le passé, avec des voix d’enfants. Je vous laisse découvrir cet épisode intitulé « L’étang ».
Pour ce nouvel épisode de la série « Traversées », Camille Faucherre de la Générale d’Imaginaire, accompagné des enfants de l’école Caby de Vieux-Condé, s’est intéressé à la cité minière, comment les maisons étaient agencées, comment on y vivait… Fermez les yeux et plongez dans le passé, avec des voix d’enfants. Je vous laisse découvrir cet épisode intitulé « La cité ».
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