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Le podcast du Boulon
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Le podcast du Boulon

Author: Le Boulon

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Description

Bonjour à toutes et à tous et bienvenue sur le podcast du Boulon.


Si vous ne l’ignorez encore, Le Boulon est le Centre national des arts de la rue et de l’espace public situé à Vieux-Condé, dans les Hauts-de-France. La saison du Boulon est jalonnée par une vingtaines de spectacles et de résidences artistiques ainsi que d’un temps fort le premier week-end du mois de mai, Les Turbulentes, festival dédié aux arts de la rue, gratuit et accessible à toutes et tous, réunissant plus de 35 000 personnes sur le week-end et ce depuis plus de 25 ans. 


Ce podcast a pour objectif de créer et conserver le lien entre Le Boulon et vous, public, artistes, partenaires, auditeurs et auditrices. Les sujets abordés seront divers et variés, allant de l’entretien avec des artistes en résidences, aux micro-trottoirs publics pour recueillir vos impressions à chaud à l’issue des spectacles ou encore mettre en avant le travail artistique sur le territoire du grand Valenciennois.


71 Episodes
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Aujourd’hui, on enregistre un nouvel épisode de la série Un regard Préparé, avec Séverine Ollivier, enseignante théâtre missionnée au Boulon. Cet épisode abordera le spectacle « Kontact » de la compagnie Puéril Péril. Il s’agit d’un spectacle de cirque, à l’approche de Noël. De hautes envolées, sans agrés, ni filet… À dévorer en famille, entre ami·es ou lors d’une sortie scolaire…  Pour en parler donc, j’accueille au micro du podcast, Séverine Ollivier.. Bonne écoute. -- Les mots clefs stipulés en fin d'épisode : Confiance | Rencontre | Puéril | Gravité | Contact | Regard | Voix | Convivialité | Violence | Promesse | Echange | Péril | Force | Fragilité | Humour | Poids | Légereté | Action | Joie | Diversité
La Collective Ces Filles-Là est une compagnie de théâtre qui n’est plus à présenter au Boulon. Le nom de cette compagnie doit son existence à l’adaptation du texte du même titre d’Evan Placey. Un spectacle qui se joue en lieu non dédié et qui vient traiter du cyber-harcélement en milieu scolaire.  Plus récemment, La Collective a mis en scène un spectacle intitulé Starting-Block, un théâtre documenté qui vient retracer l’histoire de l’Athlète féminin, avec un grand A, sur ces 50 dernières années. Une urgence qu’il est important de placer au devant de la scène : la condition des femmes, ici dans le milieu de la compétition sportive. On ne terminera pas cette introduction sans citer les projets de territoire menés par la Collective : Héroïne du quotidien, qui vient, une fois encore, rendre visible l’héroïsme féminin, le féminin au quotidien et tout ce que cela sous-entend. Vous aurez également remarquer que Ces Filles-Là n’est pas un collectif, mais une collective. Cette semaine les filles sont en résidence au Boulon pour collecter des paroles de femmes, mais pas que, en vue de l’écriture d’un spectacle intitulé Braqueuses. Largement inspiré d’un fait divers ayant eu lieu dans le Vaucluse en 1989 et 1990, il est ici question de mettre au centre de la table le sujet du vol par nécessité. Le Gang des Amazones, c’est comme cela qu’a été nommé par la presse les cinq amies complices, a en effet été l’auteur d’une petite dizaine de braquages de banque, avec pour point de départ une situation d’un précarité sans précédent. Revenir sur cette histoire, et qui plus est une histoire de sororité, vient secouer l’ordre établi, mette à mal la pensée unique et donner un coup de pied dans la fourmilière, faisant place à des questions existentielles nombreuses. Pour en parler, j’accueille au micro du podcast du Boulon Anissa et Marine de la collective et Alice, stagiaire cette semaine au sein de la compagnie
Bonjour à toutes et à tous et bienvenue sur le podcast du Boulon, Centre national des arts de la rue et de l’espace public. Aujourd’hui, on enregistre une nouvel épisode de la série Un regard Préparé, avec Séverine Ollivier, enseignante théâtre missionné au Boulon. Cet épisode abordera le spectacle « Antichambre » de la compagnie Stereoptik. Il y a quelques années, on avait reçu Dark Circus de la même compagnie, , une scénographie épurée avec musique en live et dessin sur rétroprojecteur, projetés en direct. Ici, nous allons parler de « Antichambre » avec Séverine Ollivier que j’accueille au micro du podcast
Aujourd’hui, je serai seul au micro du podcast, puisque je n’ai pas d’invité. Je pense que c’est la première fois que j’enregistre un épisode seul et j’espère ne pas être trop ennuyeux. Je vais vous parler des Comptoirs d’Art.  Il s’agit d’un rendez-vous qui a lieu tous les ans au Boulon, à l’occasion de la Journée Internationale des Droits d’l’Enfant du 20 nov. On prend le dimanche le plus proche de cette date, et on organise une grande journée d’ateliers, de jeux, de démonstrations, de spectacles sur une thématique différente chaque année. C’est vrai qu’il faut être inventif pour ne pas se répéter après 23 ans, car oui, cela fait 23 ans que cette journée est organisée chaque année au Boulon. On a pu avoir des thèmes sur l’équilibre, sur l’animalité, sur les filles et les garçons, sur le goût, sur le cycle et cette année, en 2025, c’est la Street qui est mise à l’honneur, comprenez ici les Cultures Urbaines.
Aujourd’hui, on relance une nouvelle saison de la série Un regard Préparé, avec Séverine Ollivier, enseignante théâtre missionné au Boulon avec qui nous collaborons pour présenter, échanger, préparer le public à la venue aux spectacles de la saison du Boulon. Cet épisode abordera le spectacle « Flânerie en paysage mobile » de la compagnie le blÖffique théâtre. On a déjà parlé de ce spectacle avec Magali Chabroud, directrice artistique de la compagnie, sur un épisode de la série [ Entre Nous ] du podcast du Boulon, toujours disponible sur les plateformes, allez y jeter une oreille Ici, nous allons en parler avec Séverine Ollivier que j’accueille au micro du podcast
Aujourd’hui, au micro du podcast, on va parler d’un projet pour le moins atypique et pour cause : la compagnie que l’on reçoit aujourd’hui est en cours de sa troisième résidence au Boulon, en l’espace de six mois autour d’un projet qui répond au doux nom de « Flânerie en paysage mobile ». Lors de la première résidence en mars dernier, nous avions échangé avec Sarah Kristian du BlÖffique Théâtre, un épisode toujours disponible sur notre podcast et que je vous invite à écouter ou réécouter pour cerner ou recerner le contexte de ce projet. Pour la faire rapide, il s’agissait et il s’agit toujours de travailler avec des jeunes de 16 à 25 ans à partir du contenus de leur téléphone portable pour en réaliser des portraits mobiles, des films courts et un spectacle qui fait l’objet de cet épisode. Pour finir cette intro, il s’agit d’un projet qui entre dans le cadre des résidences quARTier soutenues et financées par la DRAC Hauts-de-France, qui met en lumière le travail artistique des structures et des artistes dans ce qu’on appelle les QPV, les quartiers politique de la ville. Place à notre invité Magali Chabroud, directrice artistique du Blöffique théâtre, et metteuse en scène de Flânerie en paysage mobile.
Aujourd’hui, au micro du podcast, on va aborder un évènement devenu une habitude maintenant, il s’agit de la carte blanche laissée au Boulon pour une programmation artistique à l’abbaye de Vaucelles. Cela fait maintenant quatre ans que nous programmons divers temps artistiques tout au long d’une journée. Jusqu’ici cet événement avait lieu début juillet et cette année, avec l’équipe de l’abbaye, on s’est dit qu’il serait judicieux de profiter des Journées Européennes du Patrimoine pour l’édition 2025 de « Vaucelles fait son cirque », c’est le nom de cet événement. Pour en parler, je reçois Virginie Foucaut, la directrice du Boulon, avec qui nous allons lister et détailler rapidement l’ensemble des propositions artistiques, ateliers, spectacles, visites de l’abbaye. Notez dans vos tablettes la journée du 21 sept. C’est un dimanche, il va faire beau, c’est complètement gratuit et sans réservation. Vaucelles fait son cirque, avec Virginie Foucault, directrice du Boulon, c’est parti.
Aujourd’hui, au micro du podcast, on reçoit une compagnie en résidence au Boulon, la première résidence artistique de cette saison et c’est la compagnie Madeleine Renard qui ouvre le bal. Elle est représenté par Marie Godefroy et on va parler de sont travail autour d’un élément essentiel, tant il est au cœur de son travail, de ses réflexions, de ses créations : la marionnette. Sans plus tarder donc, place à notre invité Marie Godefroy pour la compagnie Madeleine Renard, bon épisode et bonne écoute à toutes et à tous.
Bonjour à toutes et à tous et bienvenue sur le podcast du Boulon, Centre national des arts de la rue et de l’espace public. Aujourd’hui, on se retrouve pour la troisième saison du podcast et pour ce premier numéro de la saison, on accueille une compagnie, ou plutôt un collectif, déjà venu en résidence au Boulon et qui prépare un spectacle en espace public, répondant à une commande ou plutôt un appel d’offre, dans le cadre d’un projet transfrontalier franco-belge intitulé « Destination Terrils II ». Pour être rapide dans la présentation de ce cadre, même si l’on y reviendra par la suite, le projet Destination Terrils s’inscrit dans un financement européen nommé Interreg VI. Celui-ci qui a pour objectif de porter une forte valorisation du bassin minier sur un aspect touristique, architectural, accessible, inclusif et bien sûr culturel. Dans cette branche culturelle du projet, il y a ce qu’on appelle les balades artistiques, il s’agit de propositions in situ donc, qui auront pour contrainte de pouvoir être jouées en tout lieu de l’arc minier franco-belge. Le Boulon est forcément partie prenante de ce grand projet européen et, à son échelle, participe évidemment de cette valorisation du bassin minier comme terrain de jeu théâtral et pas que… Etalé sur trois ans, le projet Destination Terrils appellera la participation de trois projets et le premier d’entre eux, vous l’aurez compris, est en lien direct avec cet épisode du podcast. Nous recevons donc le collectif La Cahute, qui a remporté ce premier appel d’offre et propose un spectacle intitulé « Soulever des Montagnes ». Je vous souhaite un agréable épisode. Bonne écoute à toutes et tous.
Les 4, 5 et 6 juillet dernier, à Amiens, avait lieu une nouvelle édition des Tentaculaires, festival des arts de la rue, organisé par Le Cirque Jules Verne, pôle national cirque. À cette occasion, les responsables communication des structures composant le groupe de coopération 4HdF ont eu envie d’organiser une rencontre professionnelle autour d’un thème très actuel, y compris dans le milieu du spectacle vivant, et en particulier dans les services de communication : j’ai nommé « l’intelligence artificielle ». C’est alors que Le Prato, Le Cirque Jules Verne, respectivement pôles nationaux cirque de Lille et d’Amiens, Culture Commune, scène nationale du bassin minier à Loos-en-Gohelle et Le Boulon, Centre national des arts de la rue et de l’espace public à Vieux-Condé ont engagé un partenariat sérieux et investi avec le réseau TMN Lab, comprenez alors Théâtre Médiation Numérique pour construire un programme de qualité de cette rencontre. L’intitulé exacte était : La communication à l’ère de l’Intelligence Artificielle : usages et enjeux. Pour échanger et balayer un large spectre du sujet, la rencontre a été découpée en deux parties, une table ronde d’abord et des retours d’expérience ensuite. La partie des retours d’expérience ont permis à des acteurs de la communication de la région de donner quelques exemples d’outils et d’instruments, mais pour beaucoup, il s’agissait de projections vidéos (cela va de soi) et nous n’étions pas en capacité d’en enregistrer les images. En revanche, pour la première partie, la table ronde, nous avons placé un enregistreur audio afin d’immortaliser cet échange au combien passionnant. Et vous l’avez maintenant deviné, c’est bien cet enregistrement que nous vous proposons d’écouter d’ici quelques secondes. Pour terminer ma part introductive, je précise que la table ronde était composée d’Elisabeth Gravil, fondatrice et présidente de Museovation, spécialiste en stratégie numérique, formatrice Intelligence artificielle et culture, de Céline Matuszak. Maîtresse de conférences, Université de Lille, Laboratoire Gériico – Groupe d’études et de recherche interdisciplinaire en information et communication, et enfin de Pierre-David Vignolle, avocat, fondateur du cabinet Le Chemin Moderne, spécialiste en innovation, droit du numérique et des nouvelles technologies…. Le tout était orchestré d’une main de maître par Anne Le Gall, déléguée générale et cofondatrice du TMN Lab que je ne saurais remercier assez pour son aide et son investissement dans l’élaboration de cette journée. À ce titre, je vous invite à vous rendre sur tmnlab.com pour constater le sérieux et l’importance de cet observatoire des usages numériques dans le milieu du spectacle vivant. Je vous souhaite une très belle écoute de cette table ronde de la rencontre professionnelle « La communication à l’ère de l’Intelligence Artificielle : usages et enjeux », c’était le 4 juillet dernier à la Maison de la Culture d’Amiens, dans le cadre des Tentaculaires, festival des arts de la rue.
Vous le savez, les 2, 3 et 4 mai dernier avait lieu la 27e édition des Turbulentes. Vous étiez près de 25 000 âmes à venir à Vieux-Condé sur ces trois jours de festival. L’un des spectacles programmés cette année était La Grande Tablée de la compagnie OPuS. Programmé comme un rendez-vous quotidien, chaque fin de journée, La Grande Tablée mettait à l’honneur quatre retraité·es spécialistes en rien qui critiquaient la programmation des Turbus. Le tout sous la forme d’une vraie fausse émission de radio, enregistrée en live. Au Boulon, on s’est dit que ce serait pas mal de garder une trace et on a donc enregistré la première représentation. C’est avec un plaisir non dissimulé que nous vous proposons de découvrir, ou redécouvrir si vous y étiez, La Grande Tablée du 02 mai 2025, aux Turbulentes, à Vieux-Condé. De quoi passer environ une heure dans la bonne ambiance des Turbus, toujours le rire à portée de micro… Bonne écoute à toutes et à tous. C’est parti : La Grande Tablée, compagnie Opus lors de la 27e édition des Turbulentes, le vendredi 2 mai 2025, il était 20h.
Bonjour à toutes et à tous et bienvenue sur le podcast du Boulon, Centre national des arts de la rue et de l’espace public. Aujourd’hui, on enregistre un nouvel épisode de la série La Prog. du Boulon. On accueille Coline Garcia, porteuse de projet de la compagnie SCoM. Elle nous parlera du dernier rendez-vous de la saison du Boulon, ça s’appelle BAOUM ! Et c’est pour les enfants à partir de 4 ans, un spectacle pour le moins détonnant, qu’on se le dise et ça va faire du bien en ce début d’été. Ce rendez-vous est en visio, ce qui peut expliquer une qualité audio discutable et d’avance, on s’en excuse… Je vous souhaite néanmoins un bel épisode et une très bonne écoute à toutes tous.
Je ne sais pas vous, mais lorsque j’entends le nom de la compagnie « Rosa Bonheur », j’ai tout de suite un sentiment de bienveillance, d’accueil, de sérénité… Lors de mes courtes recherches, je vois aussi que c’est le nom d’une célèbre peintre animalière du 19e siècle, la compagnie nous dira si cela a un lien… Si l’on revient au XXIe siècle et Rosa Bonheur, la compagnie, on pourrait en dire qu’elle place la danse au centre de toutes ses créations et qu’elle travaille à « remplir » (entre guillemets) un espace que l’on pourrait considérer « vide » (toujours entre guillemets). Car c’est bien sur le non palpable que la compagnie cherche à évoluer, les sentiments, les émotions, les énergies… ce que l’on ressent mais que l’on ne saurait nommer. Ici, la compagnie vient travailler sur une structure « tente » ou « dôme », appelé Wigwam pour adapter un spectacle très récemment créé qui se nomme « Sonriza »… Un rituel de veillée dansé, chanté et conté pour un tout public à partir de 5 ans. Un spectacle qui propose de nous reconnecter à notre nature profonde, quand la Nature avec un grand N parlait une langue universelle. Pour cette création, la version salle propose un wigwam prêt à accueillir une bonne trentaine de personnes et l’objectif est d’augmenter la jauge et donc la taille de la structure pour la rue… Un wigwam est le nom du type d’habitation qui était construit par les premières nations semi-nomades d’Amérique du Nord. Voilà pour l’introduction de cet épisode et j’accueille Sarah Gonçalves, porteuse des projets de la compagnie Rosa Bonheur, ici, au micro du podcast.
Bonjour à toutes et à tous et bienvenue sur le podcast du Boulon, Centre national des arts de la rue et de l’espace public. Aujourd’hui, on rencontre une fois encore Séverine Ollivier, enseignante missionnée au Boulon dans le cadre de la série « Un regard préparé ». Cet épisode abordera le spectacle « Baoum ! » de la compagnie SCoM, et si à la prononciation de ce titre vous avez une soudaine envie de tout faire péter, c’est normal. Le spectacle est programmé au Boulon, le 2 juillet, c’est un mercredi à 14h30, avec deux représentations réservées aux scolaires le 1er juillet, à 10h et 14h30, juste avant les grandes vacances. Rencontre et échange avec Séverine Ollivier, enseignante missionnée au Boulon, autour du spectacle Baoum : c’est parti, belle écoute à toutes et tous.
Bonjour à toutes et à tous et bienvenue sur le podcast du Boulon, Centre national des arts de la rue et de l’espace public. Aujourd’hui, on enregistre un nouvel épisode de la série La Prog du Boulon. Format assez court qui présente le prochain rendez-vous de la saison du Boulon. Ici ce sera Tombouctou d’Olivier Debelhoir, compagnie d’Un Ours. Je rappelle que ces entretiens sont en visio, ce qui peut expliquer une qualité audio discutable, mais on travaille d’arrache pied pour vous en permettre une écoute agréable. On accueille donc notre invité du jour, Olivier Debelhoir, qui va nous parler de Tombouctou, une ascension funambule que Le Boulon programme le 22 juin prochain. Je vous en redonnerai tous les détails en fin d’épisode. Je vous souhaite néanmoins un bel épisode et une très bonne écoute à toutes tous
Bonjour à toutes et à tous et bienvenue sur le podcast du Boulon, Centre national des arts de la rue et de l’espace public. Aujourd’hui, on ouvre les portes d’une nouvelle série, en tout cas sous un nouveau format, il s’agit de La prog du Boulon. Un format que l’on retrouvera toute l’année en invitant les artistes et compagnies programmés dans la saison du Boulon, en visio, pour qu’ils et elles nous parlent de leur spectacle. On espère que la qualité de la connexion nous suivra et que le tout restera agréable à écouter. Car s’il est relativement aisé de réaliser les entretiens avec les artistes présents en nos murs, lors des résidences, il s’avère plus incertain de les convier en visio. D’avance, je vous remercie donc de votre indulgence par rapport à la qualité audio qui pourra en ressortir. Enfin, sur la forme, c’est un format que l’on va essayer de rendre plus court que les entretiens d’artistes en résidence, pour vous permettre d’en savoir plus, mais néanmoins rapidement, sur les spectacles de la saison, avant de sauter sur la billetterie en ligne et réserver vos places. Le prochain rendez-vous de la saison c’est le 4 juin à 20h30, il s’appelle Carré de Je et il nous est proposé par la kirn compagnie. Je reçois ici Lucas Enriquez pour nous en parler. Je vous souhaite une agréable écoute et vous remercie, encore et toujours, de votre fidélité…
S’il y a une compagnie qui symbolise clairement l’espace public et l’adresse au spectateur·rice, c’est bien la ktha cie. Quand je parle d’adresse, je parle d’un lien réel entre l’artiste et le spectateur, on y reviendra plus tard. Depuis sa création, en 2000 (ce qui ne nous rajeunit pas), elle développe une certaine forme de théâtre, en lieu non dédié. Une forme particulière car la compagnie explore tous les lieux urbains (des métros, des pelouses de terrains de sport, des parkings, des balcons ou que sais-je encore)… il est même arrivé à la cie de fabriquer des « gradins roulants » à l’arrière d’un camion ou un dispositif de gradinage circulaire pour une jauge très réduite… Je disais aussi forme particulière de théâtre, car c’est une autre caractéristique de la compagnie : l’adresse au public. Toujours les yeux dans les yeux, une approche directe, sans détour.  Au delà des spectacles, la compagnie explore également des laboratoires de recherches artistiques ou des formations à destinations des artistes. Et au Boulon, il y réside un certain compagnonnage, une forme d’engagement et de fidélité sans précédent et depuis très longtemps. Enfin, pour celles et ceux qui étaient présents aux Turbulentes il y a deux semaines maintenant, la ktha compagnie présentait un spectacle nocturne, sous une boule lumineuse géante, pour 100 spectateurs et spectatrices, ça s’appelait « Tu es là ». Peut-être y avez-vous assisté. On reçoit ici Nicolas Vercken, auteur et metteur en scène de la ktha cie, avec qui nous allons échanger autour de la création en cours au Boulon intitulée : « Ma joie comme tranchée »
Bonjour à toutes et à tous et bienvenue sur le podcast du Boulon, Centre national des arts de la rue et de l’espace public. Aujourd’hui, on rencontre une fois encore Séverine Ollivier, enseignante missionnée au Boulon dans le cadre de la série « Un regard préparé ». Cet épisode aborde le spectacle « Carre de Je » de la kirn compagnie, compagnie un peu particulière de par sa composition vous le découvrirez dans cet épisode. Le spectacle est programmé au Boulon, le 4 juin, c’est un mercredi à 20h30, avec une représentation réservée aux scolaires le 3, la veille, à 14h30. Rencontre et échange avec Séverine Ollivier, enseignante missionnée au Boulon, autour du spectacle Carré de Je : c’est parti, belle écoute à toutes et tous.
3 lancements d'une minute à retrouver sur cette épisode
Replay de l'émission du samedi 26 avril 2025, autour des Turbulentes
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