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Et si on parlait vin? - Conversations autour du vin avec vos personnalités préférées.
Et si on parlait vin? - Conversations autour du vin avec vos personnalités préférées.
Author: Formavin sur 20
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© michael tesson
Description
Vous aimez les podcasts vin en vidéo ou audio.
Que vous soyez en voiture, au sport ou tout simplement chez vous, vous ne raterez plus un podcast autour du vin.
Retrouvez vos personnalités préférées chaque semaine pour parler vins et gastronomie.
Le podcast "Et si on parlait vin ?" est une série captivante qui vous plonge dans l'univers riche et diversifié du vin. Animé par Michaël, ce podcast se distingue par son approche accessible et conviviale. À travers des interviews avec des personnalités variées, allant des vignerons aux célébrités, en passant par des sportifs et des journalistes, "Et si on parlait vin ?" offre une vue sur le monde viticole, mêlant anecdotes personnelles, conseils pratiques et découvertes œnologiques.
Origine et Objectif du Podcast
Lancé par Formavinsur20, une plateforme dédiée à la promotion de la culture œnologique, le podcast "Et si on parlait vin ?" vise à démocratiser le vin en le rendant accessible à tous. Que vous soyez novice ou connaisseur, chaque épisode est conçu pour vous offrir des insights précieux, des histoires inspirantes et des conseils pratiques pour enrichir votre expérience du vin. Michaël, fort de son expertise et de sa passion, vous guide à travers des conversations authentiques et engageantes, mettant en lumière les multiples facettes du monde viticole.
Invités Notables et Thématiques Abordées
"Et si on parlait vin ?" se distingue par la diversité de ses invités, chacun apportant une perspective unique sur le vin :
La découverte du vin : Conseils pour les débutants souhaitant s'initier à la dégustation et à la compréhension des différents cépages.
Les accords mets et vins : Recommandations pour harmoniser les saveurs et sublimer les expériences culinaires.
Les tendances actuelles du marché : Analyse des évolutions récentes dans le monde du vin, y compris l'essor des vins biologiques et naturels.
Les défis de la viticulture : Discussions sur les enjeux environnementaux, économiques et culturels auxquels sont confrontés les vignerons aujourd'hui.
Accessibilité et Engagement
Le podcast est disponible sur plusieurs plateformes, ce qui vous permet de le suivre facilement et de bénéficier d'un contenu riche et varié. Michaël vous invite à poser des questions, à suggérer des thématiques et à partager vos propres expériences liées au vin. Cette approche participative renforce le sentiment de communauté et d'appartenance autour du podcast.
Conclusion
"Et si on parlait vin ?" est bien plus qu'un simple podcast sur le vin. C'est une invitation à explorer, à apprendre et à partager autour d'une passion commune. Grâce à des interviews authentiques et diversifiées, Michaël réussit à créer un espace où le vin devient un vecteur de connexion, de culture et de plaisir. Que vous soyez un amateur éclairé ou un néophyte curieux, ce podcast saura éveiller votre intérêt et enrichir votre connaissance du monde viticole.
Pour découvrir les épisodes et vous immerger dans l'univers du vin, rendez-vous sur toutes vos plateformes de streaming préférées.
Note : L'abus d'alcool est dangereux pour la santé, à consommer avec modération.
Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
104 Episodes
Reverse
Marjorie Mayans n'est pas seulement un nom qui résonne avec force dans le monde du rugby féminin. C'est l'histoire d'une athlète d'exception qui, après avoir raccroché les crampons, embrasse une nouvelle vie avec la même passion et la même authenticité. Entre ses analyses pointues sur Canal+, son rôle de dirigeante au Blagnac Rugby et sa vie de jeune maman, elle cultive un amour grandissant pour le vin, un plaisir qu'elle explore avec curiosité et gourmandise. Portrait d'une championne qui savoure chaque instant.Avant de devenir une voix familière des week-ends rugby sur Canal+, Marjorie Mayans a d'abord été une plaqueuse infatigable et une joueuse emblématique des équipes de France à XV et à 7. Avec un palmarès qui ferait pâlir d'envie, elle a marqué toute une génération. On retient notamment :53 sélections avec le XV de France.Deux Grands Chelems dans le Tournoi des Six Nations en 2014 et 2018.Une médaille d'argent à la Coupe du Monde de rugby à 7 en 2018.Trois podiums à la Coupe du Monde à XV.Joueuse de centre ou troisième ligne aile, son engagement sur le terrain n'avait d'égal que son amour pour son club de toujours, Blagnac, où elle a évolué pendant près de 18 ans. Aujourd'hui, elle continue de transmettre sa passion en tant que responsable sportive, un retour aux sources qui témoigne de son attachement indéfectible à ses racines.Forte de son expertise et de sa vision du jeu, elle a rapidement trouvé sa place comme consultante sur Canal+.En parallèle, sa vie personnelle a pris un tournant heureux avec la naissance de sa fille. Ce nouveau rôle de maman, combiné à ses responsabilités au club et à la télévision, dessine le portrait d'une femme accomplie, capable de mener plusieurs vies de front avec une énergie communicative.Si le sport de haut niveau impose des restrictions, la retraite sportive offre une liberté nouvelle, celle de savourer les plaisirs de la table. Pour Marjorie, le vin est devenu un compagnon de convivialité. Elle confie un penchant marqué pour le vin rouge, avec une affection toute particulière pour la Bourgogne et le cépage Pinot Noir. "J'aime les vins légers, pas trop tanniques", explique-t-elle, se remémorant une dégustation de Bourgogne. L'été, elle se laisse volontiers tenter par un vin blanc frais à l'apéritif ou même par un Lambrusco, ce vin rouge pétillant italien qui apporte une touche de légèreté parfaite pour les beaux jours. C'est cette ouverture d'esprit qui la caractérise, sur le terrain comme à la table.Ses nombreux voyages pour les compétitions ont également nourri cette passion. De chaque pays visité, elle ramenait une bouteille, constituant une cave unique, véritable carnet de voyage sensoriel. Une bouteille de Nouvelle-Zélande ouverte récemment avec son amie et coéquipière Laure Sansus pour célébrer une naissance, une autre du Japon ou d'Afrique du Sud... Chaque flacon raconte une histoire, un souvenir, une émotion partagée.Désormais, elle ne garde plus ses trésors pour une "occasion spéciale". Le meilleur moment pour ouvrir une bonne bouteille, c'est celui du partage, de l'amitié, de l'instant présent. Une belle philosophie de vie, à l'image de la femme et de la championne qu'elle est.Vous aimez les podcasts vin en vidéo ou audio.Que vous soyez en voiture, au sport ou tout simplement chez vous, vous ne raterez plus un podcast autour du vin.Retrouvez vos personnalités préférées chaque semaine pour parler vins et gastronomie.https://www.instagram.com/formavin.sur.20/Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Elle est la voix qui a accompagné des millions de spectateurs, prêtant son talent à Julia Roberts, Dory ou encore Bulma. Céline Monsarrat, comédienne au parcours impressionnant, était l'invitée du podcast Formavin sur 20. Loin des studios d'enregistrement, elle nous a offert un entretien authentique, où se mêlent anecdotes de doublage, projets futurs et une vision décomplexée de l'univers du vin.Quand on pense à Céline Monsarrat, on pense immédiatement à la voix française de Julia Roberts. De Pretty Woman à Erin Brockovich, elle a su capter l'énergie et la sensibilité de l'actrice américaine. Mais réduire sa carrière à ce seul rôle serait une erreur. Céline, c'est aussi la voix angoissée de Courteney Cox dans la saga Scream, le ton enjoué et amnésique de Dory dans Le Monde de Nemo, ou encore le caractère bien trempé de Bulma dans l'animé culte Dragon Ball.Sa carrière ne se limite pas au doublage. Comédienne de théâtre et de télévision, elle continue de nourrir sa passion pour la scène, avec un projet théâtral déjà en préparation pour 2026. Son actualité reste bouillonnante, puisqu'elle s'apprête à retrouver Julia Roberts pour son prochain film, tout en étant l'une des voix de la radio Rire et Chansons.Loin des conventions, Céline aborde le vin avec une philosophie simple : le plaisir avant tout. Élevée au Bordeaux par une famille originaire du Sud-Ouest, son palais s'est ensuite ouvert aux vins de Loire, de Bourgogne, et aux vins "solaires" du Sud-Est. Si elle avoue une préférence pour le Chardonnay minéral en blanc, elle se définit comme éclectique.Ce qui la caractérise le plus, c'est son rejet des diktats en matière d'accords mets et vins. "J'ai horreur de cette question !", lance-t-elle avec franchise. Pour elle, l'important n'est pas de suivre une règle, mais de boire ce qui lui fait plaisir, qu'importe le plat qui l'accompagne. Une côte de bœuf avec un vin blanc ? Un poisson avec un rouge ? Pourquoi pas, si l'envie est là !Son compagnon étant lui aussi un amateur, le vin occupe une place de choix à la maison, avec une "vraie cave en terre battue". Parmi ses plus beaux souvenirs, elle évoque un voyage à Beaune avec sa fille, où la visite des caves Bouchard fut un moment de partage mémorable. Curieuse, elle garde aussi un excellent souvenir des vins d'Argentine, d'Italie et de Hongrie.Alors, avec qui partagerait-elle une bonne bouteille ? Sa "tablée de rêve" est à l'image de sa personnalité : éclectique et fascinante. Elle inviterait l'écrivain Tchekhov et l'inoubliable actrice Annie Girardot pour des discussions passionnées sur "la vie, la littérature, la mort". Un casting surprenant, complété par un "empereur romain", pour une soirée qui s'annoncerait, sans aucun doute, mémorable.Vous aimez les podcasts vin en vidéo ou audio.Que vous soyez en voiture, au sport ou tout simplement chez vous, vous ne raterez plus un podcast autour du vin.Retrouvez vos personnalités préférées chaque semaine pour parler vins et gastronomie.https://www.instagram.com/formavin.sur.20/Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
La reine du thriller suédois, Johana Gustawsson, nous a accordé une interview exclusive pour Formavin sur 20. Loin des scènes de crime glaçantes de ses romans, l'auteure nous dévoile une facette plus intime : son amour pour le vin, ses projets littéraires foisonnants et ses inspirations. Découvrez le portrait d'une romancière qui manie les mots aussi bien qu'elle apprécie un bon verre de rouge.Si vous pensiez que Johana Gustawsson prenait une pause, détrompez-vous. Son agenda est plus rempli que jamais. Elle jongle actuellement avec plusieurs projets majeurs. Tout d'abord, la correction de la traduction française d'un roman co-écrit avec un auteur norvégien, une expérience qu'elle qualifie d'un peu "folle". Mais ce n'est pas tout : elle prépare activement deux nouveaux livres. L'un est un roman solo très attendu pour son éditeur Calmann-Lévy, et l'autre est le deuxième opus de sa nouvelle série "Caribos", dont le premier tome, Ici, tout le monde ment, sortira en France le 4 février.Son succès ne s'arrête pas à l'écriture. Lauréate du prestigieux prix Maison de la Presse, Johana Gustawssonse prépare pour une grande tournée en France et en Norvège. Un marathon promotionnel qui la verra voyager chaque semaine, partageant sa passion avec ses lecteurs à travers l'Europe.Derrière l'auteure de thrillers se cache une véritable épicurienne. Sa passion pour le vin, et plus particulièrement pour le vin rouge, est un héritage direct de son père. Malgré une histoire familiale complexe avec l'alcool, ce dernier lui a transmis l'amour des grands crus et l'art de la dégustation. "Mon papa, très jeune, me faisait sentir les vins", confie-t-elle.Ses préférences vont aux vins de caractère. Elle cite avec enthousiasme les Bourgognes, les Rioja espagnols, mais son cœur balance surtout pour le Barolo italien. Ce vin puissant et complexe semble être le compagnon idéal de son imaginaire. D'ailleurs, son repas parfait pour l'accompagner est un classique indémodable : un steak saignant, un gratin dauphinois et une sauce roquefort. Un clin d'œil à ses racines françaises, elle qui se décrit avec humour comme "la caricature de la Française".Pour Johana Gustawsson, le vin est synonyme de convivialité et de moments inoubliables. Son souvenir le plus marquant ? Un dîner entre amis en Suède, où 14 bouteilles d'exception furent ouvertes. Loin des grands restaurants, c'est la simplicité du partage qui a rendu ce moment magique.Bien qu'amoureuse des vins de l'Ancien Monde, sa curiosité la pousse à vouloir explorer de nouveaux horizons. Elle rêve de visiter les vignobles du Nouveau Monde, notamment aux États-Unis, pour confronter ses goûts et, qui sait, peut-être y trouver de nouvelles inspirations pour ses personnages. Et si elle devait partager une bouteille avec des célébrités ? Elle inviterait sans hésiter ses deux plus grandes inspirations : l'écrivaine Agatha Christie et le réalisateur Pedro Almodóvar. Une tablée de rêve pour une créatrice qui ne cesse de nous surprendre.Super entretien à écouter sans modération. N'hésitez pas à vous abonner à la chaîne "L'abus d'alcool est dangereux pour la santé, à consommer avec modération"Vous aimez les podcasts vin en vidéo ou audio.Que vous soyez en voiture, au sport ou tout simplement chez vous, vous ne raterez plus un podcast autour du vin.Retrouvez vos personnalités préférées chaque semaine pour parler vins et gastronomie.https://www.instagram.com/formavin.sur.20/Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Son visage vous est familier, sa voix encore plus. Marie Vincent, l'inoubliable Brigitte Le Kervelec dans la série à succès "En Famille" et voix française emblématique de "La Nounou d'Enfer", s'est livrée sans détour dans le podcast "FormaVin sur 20". Loin des plateaux de tournage, elle nous dévoile une facette plus intime : sa passion pour le vin, les souvenirs qu'il évoque et les moments de partage qu'il sublime.Avant d'être la grand-mère "infernale" que des millions de Français adorent, Marie a foulé les planches de plus de quarante pièces de théâtre. Sa carrière prolifique l'a également menée au cinéma et à la télévision. Mais c'est aussi sa voix qui a marqué des générations. En tant que comédienne de doublage, elle a prêté son timbre unique à des stars internationales comme Demi Moore, Holly Hunter et, bien sûr, l'iconique Fran Drescher. Un "métier de mystère et d'humilité", comme elle le décrit, où le plus beau compliment est de faire oublier au spectateur que le film est doublé.Pour Marie Vincent, le vin est bien plus qu'une boisson : c'est un vecteur d'émotions et de convivialité. Elle confie ne pas attendre les grandes occasions pour ouvrir une bonne bouteille, préférant célébrer le plaisir de l'instant présent.Cette passion lui vient en partie de son père, un grand amateur qui lui a légué une cave remplie de trésors, notamment de vieux millésimes de Bordeaux des années 60. Elle évoque avec émotion ces dégustations rares, où un vin ancien peut, l'espace d'un quart d'heure magique, retrouver toute sa splendeur avant de s'éteindre.Quand on l'interroge sur ses goûts, Marie se révèle être une amatrice de finesse.Vins rouges : Elle a une affection particulière pour les vins de la Loire, comme le Chinon ou les vins de Touraine, pour leur légèreté et leur caractère. Les grands Bordeaux ont aussi une place de choix dans son cœur.Vins blancs : C'est le Chardonnay qui a sa préférence, un cépage qu'elle apprécie pour sa richesse aromatique.Accords Mets & Vins : Fidèle à la tradition, elle aime déguster le fromage avec un verre de vin rouge. Son plat idéal pour accompagner un vin de Loire ? Une savoureuse blanquette de veau.À la question de la table idéale, Marie compose un banquet éclectique et fascinant. Autour d'un bon vin, elle inviterait :Guy de Maupassant, pour ses récits et son amour des plaisirs de la table.Freddie Mercury, pour son énergie et sa folie créatrice.Les immenses actrices Suzanne Flon et Sarah Bernhardt.Cette interview nous montre une Marie Vincent authentique et passionnée. Au-delà de l'actrice populaire, c'est une épicurienne qui voit dans le vin une invitation au partage, un lien entre les générations et un prétexte aux plus belles conversations. Un rappel que les meilleurs accords ne sont pas seulement dans l'assiette, mais aussi avec les personnes qui nous entourent. Super entretien à écouter sans modération. N'hésitez pas à vous abonner à la chaîne "L'abus d'alcool est dangereux pour la santé, à consommer avec modération"Vous aimez les podcasts vin en vidéo ou audio.Que vous soyez en voiture, au sport ou tout simplement chez vous, vous ne raterez plus un podcast autour du vin.Retrouvez vos personnalités préférées chaque semaine pour parler vins et gastronomie.https://www.instagram.com/formavin.sur.20/Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ce podcast est un peu spécial car c'est la 100ème.... Moi qui au départ avait lancé tout çà un peu dans l'inconnu, en me disant que si j'arrivais à parler vin avec 20 personnes ce serait tellement bien. Que du bonheur d'avoir pu discuter vins et gastronomie avec autant de personnalités issues de tous les univers.... 100 interviews depuis bientôt 2 ans avec vos personnalités préférées. Et qui de mieux , pour cet événement que de recevoir un des plus grands écrivains français, Michel Bussi. Avec plus de 12 millions de livres vendus à travers le monde et des traductions dans 35 langues, Michel Bussi n'est plus à présenter. Des "Nymphéas Noirs" à "Un avion sans elle", en passant par "Le temps est assassin", ses romans ont conquis un public fidèle, séduit par des intrigues complexes, des rebondissements inattendus et une écriture qui mêle suspense et émotions. Ancien professeur de géographie, il a su transposer sa passion pour les territoires dans ses récits, faisant des lieux de véritables personnages à part entière.L'actualité de Michel Bussi est particulièrement riche. Il a annoncé la sortie de son prochain livre, "Les ombres du monde", prévue pour le 14 août, en pleine rentrée littéraire. L'auteur s'aventure sur un terrain plus historique et engagé, en ancrant son intrigue avant, pendant et après le génocide des Tutsis au Rwanda. Tout en conservant les codes du thriller qui ont fait son succès, il souhaite, à travers la fiction, éclairer cette période sombre de l'Histoire et le rôle complexe de la France. Un projet ambitieux qui témoigne de sa volonté d'allier divertissement et réflexion. En parallèle, les fans pourront retrouver son univers sur le petit écran avec l'adaptation de "Rien ne t'efface" en série sur TF1 dès septembre.Michel Bussi se définit comme un amateur de vin rouge, avec un penchant pour les vins de caractère, tanniques et puissants. Ses origines corses ne sont sans doute pas étrangères à son amour pour les vins de l'Île de Beauté.Il évoque également un souvenir marquant avec le Robola, un vin de l'île grecque de Céphalonie, et son affection pour le très particulier vin jaune d'Arbois, découvert lors de voyages d'études dans le Jura lorsqu'il était professeur. Pour lui, le vin est indissociable d'un terroir, d'une histoire et d'un savoir-faire, une vision de géographe qui enrichit chaque dégustation.Interrogé sur les personnalités avec qui il aimerait partager une bonne bouteille, Michel Bussi se tourne vers ses inspirations musicales. Sa table idéale réunirait des monuments de la chanson française comme Alain Souchon, Jean-Jacques Goldman et le regretté Jacques Higelin. Un dîner qui, on l'imagine, serait riche en anecdotes et en musique. Et pour accompagner ce moment, quoi de mieux qu'un plat familial et réconfortant ? L'écrivain avoue un faible pour les plats mijotés de son enfance, comme un bon pot-au-feu ou une blanquette, des mets qui appellent le partage et la convivialité.Un grand merci à Michel Bussi pour ce moment d'échange. N'hésitez pas à vous abonner à la chaîne "L'abus d'alcool est dangereux pour la santé, à consommer avec modération" Vous aimez les podcasts vin en vidéo ou audio.Que vous soyez en voiture, au sport ou tout simplement chez vous, vous ne raterez plus un podcast autour du vin.Retrouvez vos personnalités préférées chaque semaine pour parler vins et gastronomie.https://www.instagram.com/formavin.sur.20/Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Muriel Hurtis, surnommée la "Gazelle", a fait vibrer la France entière avec ses courses fulgurantes et son palmarès impressionnant. Championne du monde, médaillée olympique, son nom est synonyme de vitesse et de détermination. Dans le dernier podcast de FormaVin sur 20, l'ancienne athlète se livre sur un terrain plus inattendu : son rapport au vin. Une conversation intime où l'on découvre une facette méconnue de la championne, entre souvenirs de dégustation et plaisirs partagés. Spécialiste du sprint, Muriel a brillé sur 200m, 400m et surtout au sein du relais 4x100m, avec lequel elle a décroché l'or mondial en 2003 à Paris. Une carrière au sommet qui ne l'a pas empêchée de s'essayer à d'autres disciplines une fois retraitée, comme le football américain avec les Argonautes, une expérience qu'elle a adorée pour son aspect stratégique et convivial.Aujourd'hui, elle met son énergie au service de la communication et continue de transmettre sa passion en s'engageant auprès des jeunes sportifs.Pour un sportif de haut niveau, l'hygiène de vie est primordiale. Muriel confie qu'elle n'était pas une grande consommatrice durant sa carrière. Elle nous livre cependant une anecdote savoureuse : son médecin nutritionniste de l'époque lui avait "prescrit" deux verres de vin par semaine, un Chianti et un Bordeaux, pour leurs bienfaits.C'est donc principalement après sa carrière qu'elle a développé son palais et son appréciation pour le vin, le considérant avant tout comme un plaisir occasionnel et un vecteur de partage.Quand on lui demande ses préférences, Muriel se dévoile avec simplicité.La préférence pour les vins sucrés et le vin rouge : "J'aime bien les vins sucrés," avoue-t-elle en souriant, citant un vin d'Alsace comme son péché mignon. Si le vin blanc est sec, elle se tournera alors volontiers vers un vin rouge, qu'elle apprécie particulièrement.L'accord parfait : Fromage et Vin Rouge : Traditionnelle mais efficace, l'association qu'elle préfère est sans conteste un bon plateau de fromages accompagné d'un verre de vin rouge. Un accord classique qui symbolise pour elle la convivialité.Le déclic, la véritable découverte du "bon vin", Muriel l'a eu en Bourgogne. C'est à Savigny-lès-Beaune, au cœur d'un vignoble prestigieux, qu'elle a vécu une expérience mémorable. Invitée avec d'autres sportifs, elle a été intronisée "cousine de Bourgogne", un souvenir fort qui a scellé son attachement à cette région viticole emblématique. La visite de caves anciennes et la dégustation de grands domaines comme le Clos de Vougeot ont marqué un tournant dans son appréciation du vin.Le vin est synonyme de partage. Si elle devait organiser une dégustation, Muriel inviterait ses anciennes coéquipières du relais 4x100m. Un moment unique pour se retrouver, se remémorer les victoires et les émotions partagées sur la piste, une bouteille à la main.En conclusion, on retrouve une Muriel Hurtis authentique et accessible. Loin de la pression des chronomètres, elle aborde le vin comme elle a abordé sa carrière : avec curiosité, passion et un immense sens du partage.Pour découvrir l'intégralité de cette conversation passionnante, regardez l'interview complète sur notre chaîne YouTube ! N'oubliez pas de vous abonner pour ne manquer aucun de nos prochains podcasts.A écouter sans modération. N'hésitez pas à vous abonner à la chaîne "L'abus d'alcool est dangereux pour la santé, à consommer avec modération"Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans le monde discret mais essentiel du doublage français, certains noms résonnent avec une familiarité particulière. Celui de Kelly Marot en fait incontestablement partie. Voix emblématique de stars internationales comme Jennifer Lawrence ou Sophie Turner, elle a marqué de son timbre des générations de cinéphiles. Contrairement à beaucoup, la carrière de Kelly Marot n'est pas le fruit du hasard. Elle plonge ses racines dans une passion précoce, débutant les tournages à 5 ans et le doublage à peine un an plus tard. Loin d'être une contrainte, cette activité était pour elle un jeu, une forme d'expression aussi naturelle et joyeuse que la danse. Elle confie dans l'interview n'avoir jamais perçu le doublage comme un travail, mais plutôt comme une activité passionnante. Cette approche ludique et passionnée est sans doute le secret de sa longévité et de son talent, lui permettant de prêter sa voix avec justesse et émotion depuis des décennies.Si vous avez vibré devant Hunger Games, tremblé pour Sansa Stark dans Game of Thrones ou suivi les aventures de Ginny Weasley dans Harry Potter, vous connaissez intimement la voix de Kelly Marot. Elle est le double vocal français de nombreuses actrices qui ont crevé l'écran. Jennifer Lawrence, Sophie Turner, Dakota Fanning, Florence Pugh, ou encore Nami dans l'adaptation de One Piece, la liste est longue et prestigieuse. Cette capacité à se glisser dans la peau de personnages si différents, de l'héroïne rebelle à la jeune sorcière, témoigne d'une polyvalence et d'une maîtrise technique rares qui ont fait d'elle une figure incontournable du doublage en France.Forte de son expérience, Kelly a décidé de transmettre son savoir-faire. Avec son amie et consœur Dorothée Pousséo, elle a co-fondé Dubschool, une école de formation dédiée à l'art du doublage. L'école, basée à Paris et à Cannes, s'adresse aux comédiens, qu'ils soient débutants ou confirmés, mais aussi aux chanteurs grâce à des formations spécifiques au doublage chanté.Mais l'ambition ne s'arrête pas aux frontières françaises. Dubschool s'exporte désormais à Los Angeles et à Londres. Le projet y prend une dimension unique : il ne s'agit plus de doubler en français, mais d'enseigner aux comédiens anglophones les techniques de doublage (notamment la synchronisation labiale, ou "rythmo") pour adapter des œuvres étrangères en anglais. Une initiative audacieuse qui répond à une demande croissante sur le marché mondial.Entre deux sessions en studio, Kelly cultive une autre passion : le vin. Elle avoue avec humour que ses goûts ont évolué avec le temps. La jeune femme qui aimait les vins blancs sucrés a laissé place à une amatrice de vins rouges puissants et de caractère. Son cœur balance pour les vins de Bourgogne et les Saint-Estèphe, des vins "qui ont du corps" et qu'elle se plaît à associer classiquement avec une bonne viande rouge et un plateau de fromages.Elle confie également un faible pour le champagne, et plus particulièrement pour le Veuve Clicquot. Une anecdote amusante vient d'ailleurs couronner cette préférence : elle a eu le plaisir de doubler le rôle de la Veuve Clicquot elle-même dans un film consacré à l'histoire de la célèbre maison, une expérience qui a allié sa profession et son goût personnel de la plus belle des manières. Son amour pour l'histoire derrière chaque bouteille la pousse à vouloir explorer davantage l'œnotourisme, notamment en visitant les caves de Reims pour des dégustations plus approfondies. Super entretien à écouter sans modération. N'hésitez pas à vous abonner à la chaîne "L'abus d'alcool est dangereux pour la santé, à consommer avec modération" Suivez-nous sur:Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Si les voix de Tom Hanks, Tom Cruise ou encore de Woody dans Toy Story résonnent familièrement à vos oreilles, alors vous connaissez sans aucun doute le talent de Jean-Philippe Puymartin. Acteur de théâtre, de cinéma et surtout pilier du doublage français, il a marqué des générations de cinéphiles. Avant d'être une voix, Jean-Philippeest un comédien accompli. Avec plus d'une trentaine de pièces de théâtre et une vingtaine de films à son actif, dont les célèbres Trois hommes et un couffin ou L'Assaut, sa carrière sur les planches et à l'écran est impressionnante. Pourtant, c'est son travail dans le doublage qui l'a propulsé au rang d'icône.Devenir la voix française officielle de monuments comme Tom Hanks et Tom Cruise n'est pas anodin. C'est un exercice de haute voltige où il faut capter l'essence même de l'acteur original tout en y insufflant sa propre sensibilité. "C'est ma voix naturelle, mais elle se modifie forcément", explique-t-il, précisant qu'elle s'adapte instinctivement à l'énergie de chaque comédien. Pour lui, la voix de Tom Hanks est plus dans les graves, tandis que celle de Tom Cruise se situe dans les médiums. Une adaptation naturelle qui témoigne d'une maîtrise parfaite de son art. Aujourd'hui encore, son actualité est rythmée par les studios de doublage, avec des projets comme le dernier Mission : Impossible et des lectures prévues au festival "Grain de Sable".Au-delà des studios, Jean-Philippe cultive un jardin secret : son amour pour le vin. Une passion qui, loin d'être superficielle, puise ses racines dans les souvenirs familiaux. Sa préférence va clairement au vin rouge, et plus particulièrement à une appellation qui a le goût de l'enfance : le Châteauneuf-du-Pape."Ma Madeleine de Proust, c'est le vin que buvait mon grand-père", confie-t-il avec émotion. C'est cet héritage qui a forgé son palais et son attachement aux vins tanniques et gorgés de soleil. Mais son exploration ne s'arrête pas là. Curieux et éclectique, il a découvert et appris à aimer la finesse des Bourgognes, la fraîcheur des blancs d'Alsace (où il a vécu 17 ans), et même la richesse des vins californiens lors d'un séjour à Los Angeles. Pour Jean-Philippe Puymartin, chaque bouteille est une invitation au voyage et à la découverte.Le vin, pour Jean-Philippe , est avant tout synonyme de partage. Alors, que servir avec son Châteauneuf-du-Pape fétiche ? "Des choses assez corsées", répond-il. Une belle côte de bœuf grillée, du gibier ou un plat relevé sont pour lui les compagnons idéaux pour sublimer la puissance de ce vin. Fidèle à la tradition, il reste un adepte de l'accord "vin rouge et fromage", un classique indémodable.Lorsqu'on lui demande avec qui il partagerait une bouteille de rêve, sa réponse est aussi simple que touchante. Loin des célébrités qu'il côtoie par la voix, il choisirait de faire revenir ses parents. Une preuve que, pour lui, le meilleur vin est celui qui se partage avec ceux qu'on aime, transformant la dégustation en un moment de communion et de souvenir.Jean-Philippe nous rappelle que derrière une voix emblématique se cache un homme de passions, où l'art de la comédie et l'art de la dégustation se rejoignent dans une même quête d'émotion et d'authenticité. Ce podcast est à écouter sans modération. N'hésitez pas à vous abonner à la chaîne "L'abus d'alcool est dangereux pour la santé, à consommer avec modération"Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
L'ancien cycliste professionnel Alexandre Geniez, reconnu pour ses talents de grimpeur, nous a accordé une interview exclusive pour Formavin sur 20. De sa riche carrière sportive à sa nouvelle vie d'entrepreneur, en passant par sa passion pour le vin, découvrez le parcours inspirant d'un athlète accompli.Alexandre Geniez a marqué le monde du cyclisme par ses performances exceptionnelles. Grimpeur émérite, il a porté les couleurs d'équipes prestigieuses telles que la FDJ et AG2R La Mondiale. Son palmarès impressionnant compte 17 victoires professionnelles, parmi lesquelles trois victoires d'étape sur la Vuelta (Tour d'Espagne), l'une des courses les plus exigeantes du circuit. Il a également brillé sur le Giro d'Italia (Tour d'Italie) avec des classements dans le top 15, confirmant ainsi son statut de coureur de grand tour.Après avoir raccroché le vélo de compétition, Alexandre n'a pas quitté le monde qui le passionne. Il a fondé sa propre entreprise près de Rodez, dans son Aveyron natal. Son concept est simple et ingénieux : racheter les vélos des équipes professionnelles pour les revendre à des particuliers. Cette initiative permet aux amateurs de cyclisme d'acquérir du matériel de très haute qualité, souvent difficile d'accès, tout en donnant une seconde vie à des vélos d'exception. Un projet qui allie sa connaissance du milieu et son esprit d'entreprise.En dehors du cyclisme, Alexandre est un amateur de vin éclairé. Il confie avoir une préférence marquée pour le vin rouge. Parmi ses appellations favorites, on retrouve le Crozes-Hermitage, un classique de la vallée du Rhône qu'il affectionne particulièrement. Récemment, il a eu un coup de cœur pour un vin de Marsannay, une appellation de Bourgogne, preuve de sa curiosité et de son palais ouvert à la découverte.Pour lui, le vin est synonyme de partage et de convivialité. Il apprécie particulièrement de déguster une bonne bouteille en compagnie de ses amis. Pour accompagner un bon repas, son choix se porte volontiers sur un plat de canard, un accord mets et vin classique et savoureux.S'il devait organiser un dîner mémorable, sa "tablée idéale" serait composée de ses anciens compagnons de route : Tony Gallopin, Anthony Roux, Arnold Jeannesson, Pierre Latour et Paul Ourselin. Un dîner qui, à n'en pas douter, serait riche en anecdotes et en souvenirs du peloton.Ce podcast est à écouter sans modération. N'hésitez pas à vous abonner à la chaîne "L'abus d'alcool est dangereux pour la santé, à consommer avec modération"Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
L'univers du sport de haut niveau est souvent synonyme de sacrifices et de reconversions complexes. Mais pour Anthony Roux, l'après-carrière a le goût d'un rêve d'adolescent devenu réalité. Ancien pilier de l'équipe Groupama-FDJ et champion de France sur route, le cycliste a troqué son vélo de route pour une triple discipline exigeante : le triathlon. Avant de plonger dans les eaux des Ironman, Anthony a marqué le peloton professionnel de son empreinte. Rouleur-baroudeur emblématique de la FDJ, sa carrière est jalonnée de succès et de persévérance. On se souvient de son titre de Champion de France en 2018, un maillot tricolore qui récompense une carrière exemplaire. Il a également brillé sur la scène internationale avec une victoire d'étape sur le Tour d'Espagne (Vuelta) en 2009 et a participé à pas moins de 14 Grands Tours (5 Tours de France, 3 Giro, 6 Vuelta), les terminant tous. Un palmarès solide qui témoigne de son endurance et de son dévouement au cyclisme.Il y a près de trois ans, Anthony a décidé de mettre un terme à sa carrière de cycliste professionnel. Loin de ranger les baskets, il a immédiatement embrayé sur un projet qui lui tenait à cœur depuis sa jeunesse : se lancer dans le triathlon longue distance. "C'était un projet de vie que j'avais depuis ado de faire un jour un Ironman," confie-t-il. Aujourd'hui, à 38 ans, il est triathlète professionnel et se consacre pleinement à cette nouvelle aventure.Si la partie vélo est un acquis naturel pour lui, il a dû repartir de zéro ou presque pour la natation et la course à pied. Un défi qu'il a relevé avec brio, au point de prendre désormais autant, voire plus, de plaisir à nager et courir qu'à rouler. Cette transition réussie prouve que la passion et la discipline d'un grand champion peuvent se transposer à de nouveaux horizons.Pour un sportif de haut niveau, la question de l'alimentation et des plaisirs de la table est cruciale. Anthony partage une vision équilibrée et décomplexée de sa relation avec le vin. Il est un amateur assumé, principalement de vin rouge. "Le vin rouge, pour moi, je pense que c'est un des meilleurs alcools pour le sportif," explique-t-il, soulignant ses bienfaits avec modération.Ayant grandi en Lorraine, son goût pour le vin s'est d'abord porté sur le Saint-Émilion. Cependant, son déménagement à Bormes-les-Mimosas dans le Var lui a ouvert les portes des Côtes de Provence, des vins qu'il apprécie particulièrement pour leur caractère puissant et solaire. Son plat de prédilection pour accompagner un bon verre ? Un retour aux sources avec une saucisse de Morteau et ses lentilles, un plat réconfortant qui se marie à merveille avec un rouge de caractère.Quand on lui demande qui il inviterait à sa table idéale, ses choix révèlent un homme en quête de convivialité et de bonnes vibrations. Pour l'ambiance musicale et décontractée, il choisirait Bob Marley et Yannick Noah. Pour l'humour et la bonne humeur, l'acteur belge Benoît Poelvoorde serait de la partie. Il ajouterait aussi Clara Morgane à ses invités. Une tablée hétéroclite, parfaite pour une soirée "pain, vin, fromage" entre amis.Anthony incarne une reconversion réussie, alliant la poursuite de l'excellence sportive à une joie de vivre communicative. Un champion qui, même loin du peloton, continue de savourer chaque instant, un verre de bon vin à la main.Ce podcast est à écouter sans modération. N'hésitez pas à vous abonner à la chaîne "L'abus d'alcool est dangereux pour la santé, à consommer avec modération"Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Sa voix a accompagné des millions de spectateurs, que ce soit en résolvant des enquêtes dans la peau de Patrick Jane ou en naviguant dans la Matrice aux côtés de Neo. Thierry Ragueneau est un comédien au talent immense, dont la carrière s'étend du théâtre à la télévision, en passant par le doublage où il est devenu une figure incontournable. La filmographie de Thierry en tant que doubleur est vertigineuse. Il a été la voix française de Keanu Reeves dans des films cultes comme Speed ou Dracula, d'Andy Garcia, et plus récemment, il est indissociable de Simon Baker, l'interprète de Patrick Jane dans la série à succès The Mentalist. Mais son talent ne se limite pas aux acteurs hollywoodiens. Il a également marqué le monde de l'animation en prêtant sa voix au maladroit mais attachant Linguini dans Ratatouille de Disney-Pixar, ou encore au prince Éric dans La Petite Sirène.Acteur complet, Thierry ne se contente pas des studios de doublage. Connu du grand public pour son rôle dans la série Plus Belle la Vie, il est également un homme de théâtre passionné. Il prépare actuellement son retour sur les planches avec une nouvelle pièce co-écrite avec sa partenaire Cécilia Hornus, Bon anniversaire mon amour, suite d'un précédent succès. Cette double casquette d'acteur et d'auteur illustre parfaitement la richesse de son parcours artistique.C'est sans doute la plus grande surprise de cet entretien : Thierry ne boit pas de vin. Un comble pour l'invité d'un podcast dédié à l'œnologie ! Issu d'une famille champenoise où le vin et le champagne sont une institution, il confie n'avoir jamais réussi à apprécier ces boissons. "Je n'ai jamais accroché", avoue-t-il avec humour.Alors, quelle est sa boisson de prédilection ? La vodka. Il apprécie cet alcool fort pour sa capacité à accompagner un repas sans altérer le goût des aliments, mais aussi pour l'histoire et la culture qui l'entourent. Il raconte avec fascination l'anecdote de la vodka polonaise "Squadron 303", créée en hommage aux pilotes polonais qui se sont illustrés durant la Bataille d'Angleterre. Même s'il n'est pas un amateur de vin, Thierry Ragueneau a vécu une expérience qui a changé sa perception de cet univers. Invité à la prestigieuse vente des Hospices de Beaune, il a été intronisé dans une confrérie bachique lors d'une soirée animée par Fabrice Luchini. Le hasard l'a placé à table à côté d'Aubert de Villaine, le légendaire gérant du Domaine de la Romanée-Conti.Ce soir-là, en dégustant des vins d'exception, il a compris la profondeur, la complexité et la magie qui peuvent se cacher dans une bouteille. "Là, tu comprends la cérémonie, tu comprends le vin, tu comprends pourquoi les gens sont si précautionneux", explique-t-il. Cette rencontre avec l'excellence de la Bourgogne lui a permis de toucher du doigt la passion et le savoir-faire qui animent les plus grands vignerons, une révélation pour celui qui se tenait jusqu'alors à l'écart de ce monde.Quand on lui demande avec qui il aimerait partager un verre, une dégustation de vodka, il choisirait l'acteur danois Mads Mikkelsen, un artiste qu'il admire profondément. S'il s'agissait d'une bouteille de vin, il rêverait de la partager à nouveau avec Monsieur de Villaine pour continuer à apprendre, ou avec la mythique actrice Sarah Bernhardt, "quelle femme !", s'exclame-t-il.Ce Podcast est à écouter sans modération. "L'abus d'alcool est dangereux pour la santé, à consommer avec modération" N'hésitez pas à vous abonner à la chaîneHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Il est l'une des voix les plus reconnaissables du paysage audiovisuel français. Que ce soit en incarnant l'angoissé Columbus dans Zombieland, le malicieux Titeuf, ou l'héroïque Spider-Man, Donald Reignoux a marqué plusieurs générations de spectateurs. Ce comédien de doublage et directeur artistique de talent a levé le voile sur son métier, ses goûts et sa passion décomplexée pour le vin. Une rencontre authentique avec un homme aussi passionné que passionnant.La carrière de Donald est un véritable panthéon de la pop culture. Il est la voix française attitrée d'acteurs comme Jesse Eisenberg (The Social Network, Zombieland), Andrew Garfield (The Amazing Spider-Man), Paul Dano, ou encore Joseph Gordon-Levitt. Les fans de séries se souviennent également de lui comme Adam Brody dans Newport Beach ou le turbulent Reese dans Malcolm. Mais son talent ne s'arrête pas là : il a également donné vie à des personnages d'animation cultes, tels qu'Andy dans Toy Story et, bien sûr, l'inoubliable Titeuf.Cette polyvalence lui demande une grande agilité vocale. Si la plupart de ses personnages se rapprochent de sa voix naturelle, certains, comme Titeuf, exigent une transformation plus poussée. "Je me fatigue plus la voix à faire Hugo que Titeuf", avoue-t-il, expliquant que la voix de Titeuf, plus nasillarde, est finalement moins éprouvante pour ses cordes vocales. C'est ce savoir-faire qui fait de Donald un pilier du doublage en France, un métier qu'il exerce avec une passion intacte malgré les défis actuels, comme la grève des scénaristes à Hollywood ou l'émergence de l'IA.Quand il n'est pas derrière le micro, Donald est un épicurien qui apprécie les plaisirs simples. Amateur de bière à l'apéritif, il se tourne volontiers vers le vin au restaurant. Ses préférences sont claires et affirmées : "Je suis plutôt rouge et Saint-Émilion si je devais choisir", déclare-t-il. Ce penchant pour les vins de Bordeaux ne l'empêche pas d'apprécier un bon blanc sec, comme un Chablis. En revanche, il fait une croix sur les vins sucrés : "Je déteste ça, je ne comprends pas", lance-t-il en riant à propos du Muscat.Pour accompagner ses vins favoris, son choix se porte sur des plats généreux et savoureux. Une bonne côte de bœuf est pour lui l'accord parfait avec un Saint-Émilion. Côté fromage, il aime les saveurs prononcées, comme un Comté de 30 mois, qu'il préfère déguster avec un verre de rouge, fidèle à la tradition française.Les souvenirs les plus marquants de Donald autour du vin sont souvent liés à des rencontres humaines. Il se remémore avec émotion un dîner de gala pour la fondation ICM où il a pu déguster un Dom Pérignon 1996, une expérience "incroyable". Mais ce qu'il chérit par-dessus tout, c'est le contact direct avec les vignerons. Il raconte avec enthousiasme sa découverte d'un producteur à Feugarolles (Lot-et-Garonne), dont il a adoré le Buzet, le Château de Salles. "J'aime bien parce que c'était une belle rencontre. Le mec, il te parlait de son truc, c'était lui qui l'avait fait", explique-t-il, soulignant la valeur inestimable de l'authenticité et du partage.Et s'il pouvait organiser le dîner de ses rêves ? Donald ne manque pas d'humour et d'imagination : il réunirait autour de la table tous les acteurs ayant incarné Spider-Man. Une tablée de super-héros pour une soirée qui, à n'en pas douter, serait riche en discussions et en bons vins. Ce Podcast est à écouter sans modération. "L'abus d'alcool est dangereux pour la santé, à consommer avec modération" N'hésitez pas à vous abonner à la chaîneHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Visage emblématique du petit et grand écran français, l'acteur Pierre Deny est une figure familière pour des millions de spectateurs. De son rôle marquant de capitaine dans Une femme d'honneur à ses apparitions plus récentes dans Demain nous appartient ou Emily in Paris, sa carrière témoigne d'une polyvalence et d'une longévité remarquables. Mais derrière le comédien se cache un épicurien, un passionné de gastronomie et de vin. Invité du podcast Formavin sur 20, Pierre Deny s'est livré avec générosité sur ses projets, ses souvenirs et ses goûts, offrant un portrait intime et savoureux.Avec une trentaine de pièces de théâtre, une filmographie dense et des rôles récurrents dans des séries à succès, Pierre Deny a su traverser les époques. Le théâtre reste son premier amour, un lieu d'exigence et de contact direct avec le public. Actuellement, il termine les représentations de la pièce En attendant Albert, preuve de son attachement indéfectible à la scène. Mais la télévision n'est jamais loin. Il nous confie être en attente de tournages pour la nouvelle saison d'Emily in Paris et fait des apparitions régulières dans la série humoristique Scènes de Ménages, où il incarne un personnage récurrent avec plaisir. Cette capacité à naviguer entre les genres, de la comédie populaire au drame policier, est la marque des grands acteurs.Pour Pierre, le vin n'est pas une simple boisson, c'est un héritage culturel et familial. Ayant grandi dans la Vallée du Rhône, il a été initié très tôt aux plaisirs de la dégustation. Il se souvient avec une certaine nostalgie avoir participé aux vendanges de Crozes-Hermitage dans les années 70, une expérience qui a forgé son lien avec la terre et le fruit de la vigne. S'il se dit "client de toutes les régions", sa préférence va clairement au vin rouge. "On a toujours bu beaucoup plus de vin rouge que de vin blanc dans ma famille", explique-t-il. Cette tradition se reflète aujourd'hui dans ses choix personnels, avec une affection particulière pour les vins de Bourgogne, citant avec gourmandise le Pommard, le Volnay ou encore le Morgon.Sa passion ne s'arrête pas à la dégustation. Cet amoureux des bonnes choses a poussé sa curiosité jusqu'à passer un CAP de cuisinier pour son plaisir personnel. Il prend un réel plaisir à être aux fourneaux et le vin y tient une place de choix, non seulement dans le verre mais aussi dans l'assiette. Il l'utilise régulièrement pour sublimer ses plats, comme un traditionnel bœuf bourguignon.Interrogé sur son accord mets et vins idéal, il imagine volontiers un plat de caractère, comme un filet de canard ou un gibier, pour accompagner un Pommard. Fidèle à la tradition, il préfère le vin rouge avec le fromage. Mais l'acteur sait aussi bousculer les conventions : il avoue sans détour pouvoir apprécier un vin rouge avec une douzaine d'huîtres, un accord audacieux qui prouve que le plaisir prime sur les règles établies.Quand on lui demande de composer sa tablée de rêve, Pierre convoque les légendes. Il partagerait volontiers son bœuf bourguignon et sa meilleure bouteille avec des monstres sacrés comme Louis Jouvet, Yves Montand et Simone Signoret. Il y ajouterait des amis chers, comme Jacques Balutin, son père de fiction dans la série Tel père, tel fils. Une tablée qui promet des discussions passionnantes, à l'image de l'homme lui-même : cultivé, généreux et profondément humain. Ce Podcast est à écouter sans modération. "L'abus d'alcool est dangereux pour la santé, à consommer avec modération" N'hésitez pas à vous abonner à la chaîne Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Sandra Luce, ou plutôt Sandra "Lucche" comme le veut son héritage italien, s'est imposée comme une figure notable du petit écran. Sa carrière d'actrice la mène régulièrement entre la France et le continent africain, témoignant de sa polyvalence et de son ouverture internationale. Les téléspectateurs ont pu l'apprécier dans des productions Canal+, notamment dans la série à succès "Cacao", dont la saison 2 est actuellement en diffusion, mais aussi dans "Oasis" et "Hospital Hit". Son talent ne s'arrête pas là, puisqu'elle a également collaboré avec de grandes chaînes françaises telles que TF1, France 2, M6, et a brillé sur TV5 Monde avec la série "No Bla Bla". Cette présence sur divers réseaux et dans des productions variées illustre l'étendue de son registre et son adaptabilité.Loin des plateaux, Sandra nourrit une autre passion : le coaching d'acteurs. Forte de son expérience, elle a développé un programme de coaching accessible en ligne et en présentiel, destiné à accompagner les comédiens en herbe ou confirmés. Son approche transcende les frontières, puisqu'elle coache des talents en France, en Afrique, et même jusqu'en Guadeloupe et Martinique. Elle souligne l'importance de la visioconférence qui permet de "faire sauter les barrières" géographiques et de rendre son expertise accessible au plus grand nombre. L'actualité de Sandra est toujours aussi riche. Au moment de cette interview, elle était en plein tournage d'une nouvelle série à Abidjan, en Côte d'Ivoire. Pour les mois à venir, elle prépare un projet de fiction interactif et sera membre du jury d'un festival en mai. Un agenda bien rempli qui témoigne de son dynamisme et de son engagement constant dans le monde artistique.L'interview a également levé le voile sur ses préférences œnologiques. Son cœur penche nettement pour le vin blanc, et plus particulièrement pour le Sancerre. Elle apprécie sa douceur, sa fraîcheur et le plaisir simple qu'il procure. "Mon coup de cœur, c'est le blanc parce que je trouve ça doux, je trouve que c'est frais," confie-t-elle. Si elle apprécie également un bon rosé, notamment "en piscine" lors de ses séjours dans le sud, le blanc reste son favori pour accompagner des plats.Quand il s'agit d'accords mets et vins, ses origines franco-italiennes reprennent le dessus. Avec un Sancerre, Sandra Luce se délecte de toasts à l'italienne : mozzarella, charcuterie fine, bruschettas arrosées d'un filet d'huile d'olive. Des plaisirs simples et authentiques qui évoquent la convivialité méditerranéenne.Interrogée sur les personnalités qu'elle inviterait à sa table idéale pour partager une bouteille, Sandra cite deux femmes inspirantes : Frida Kahlo, pour "sa liberté et ses couleurs", et Meryl Streep, une "actrice incroyable et puissante" avec qui elle adorerait discuter de carrière et de rôles.Bien qu'elle ne possède pas de cave personnelle en raison de ses nombreux voyages ("je bouge tous les deux mois"), elle ne manque pas de profiter de la belle sélection de ses parents lorsqu'elle leur rend visite. Ses souvenirs de dégustation les plus marquants sont d'ailleurs liés à ces moments familiaux, comme des pique-niques au coucher du soleil dans la région de Naples, en Italie, accompagnés de bruschettas et, bien sûr, d'un bon vin.Son énergie communicative, son amour pour l'authenticité et son agenda chargé promettent encore de belles surprises à son public. Ce Podcast est à écouter sans modération. "L'abus d'alcool est dangereux pour la santé, à consommer avec modération" N'hésitez pas à vous abonner à la chaîneHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
L'humoriste, comédienne et autrice Vanessa Kayo est une véritable boule d'énergie créative. Récemment invitée du podcast Formavin sur 20, elle s'est livrée avec humour et authenticité sur son parcours, son actualité scénique foisonnante et son rapport décomplexé au vin. De ses années d'enseignement à son spectacle à succès "Le dernier boulet du reste de ma vie", en passant par ses projets d'écriture et ses anecdotes vinicoles, plongez dans l'univers pétillant de cette artiste aux multiples talents.Avant de faire rire la France entière, Vanessa a connu une première vie professionnelle bien différente : celle de professeure de français. Pendant une décennie, elle a partagé son amour des mots avec les adolescents. Si elle a apprécié cette période et le contact avec ses élèves, elle confie que l'enseignement n'était pas sa vocation première. C'est sur les planches, avec son premier spectacle "Feignasse hyperactive", qu'elle a véritablement trouvé sa voie, révélant un talent comique indéniable et un style bien à elle, mêlant observation fine du quotidien et autodérision.Actuellement, Vanessa sillonne les routes de France avec son spectacle acclamé, "Le dernier boulet du reste de ma vie". Ce one-woman-show, qui aborde avec justesse et drôlerie les tribulations de la vie moderne, rencontre un franc succès. Les spectateurs de Castres auront d'ailleurs la chance de l'applaudir les 6 et 7 juin prochains au cabaret local. Loin de se cantonner à la scène, Vanessa explore d'autres terrains d'expression. Durant le confinement, elle a lancé "Un café, trois copines", un podcast humoristique où, entourée de ses amies, elle dissèque avec légèreté des thèmes variés à travers des anecdotes personnelles. Mais l'écriture ne s'arrête pas là : elle est actuellement en pleine création d'une nouvelle pièce de théâtre, une comédie dramatique qu'elle espère voir monter sur les planches parisiennes dès mai-juin, avant une potentielle tournée. Cette "hyperactivité" créative, comme elle la nomme elle-même, est une marque de fabrique qu'elle apprend à canaliser pour trouver un équilibre entre ses nombreux projets. Sa découverte du vin s'est faite un peu plus tardivement, vers l'âge de 22 ans, lors d'un séjour aux États-Unis. Depuis, son appréciation n'a cessé de croître. Ses préférences sont versatiles et s'adaptent aux saisons : un rosé frais l'été, qu'elle n'hésite pas à agrémenter de glaçons avec une pointe d'humour assumée, un vin blanc léger ou un vin rouge plus chaleureux en hiver. Elle avoue aussi apprécier une bière de temps à autre.Interrogée sur les personnalités, vivantes ou disparues, avec qui elle aimerait partager une bouteille de vin, Vanessa esquisse une tablée éclectique et fascinante. On y retrouverait des figures intellectuelles et engagées comme Robert Badinter et Simone de Beauvoir, l'actrice Valérie Bonneton qu'elle admire pour son talent comique, et pour une touche de glamour et de curiosité, Brad Pitt (pour vérifier s'il est aussi sympa qu'il en a l'air !) et le couple George et Amal Clooney. Une soirée qui promettrait, à n'en pas douter, des échanges passionnants et des éclats de rire.En conclusion, Vanessa se révèle être une artiste complète, dont le talent pour l'humour n'a d'égal que son authenticité et sa curiosité. Que ce soit sur scène, à travers ses écrits ou lors d'une discussion autour d'un verre de vin, elle séduit par son énergie communicative et sa personnalité pétillante. N'hésitez pas à découvrir son spectacle "Le dernier boulet du reste de ma vie". Ce Podcast est à écouter sans modération. "L'abus d'alcool est dangereux pour la santé, à consommer avec modération" N'hésitez pas à vous abonner à la chaîneHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Figure emblématique du rugby français, triple champion de France et finaliste de la Coupe du Monde 1987, Denis Charvet a marqué les esprits par son talent et son engagement sur les terrains. Mais au-delà du sportif accompli, se cache un homme aux multiples facettes, aujourd'hui consultant radio reconnu et passionné par l'univers du vin. Originaire de Cahors, ce terroir viticole a profondément marqué son rapport à Bacchus. Entre souvenirs de jeunesse, évolution des goûts et philosophie épicurienne, découvrez le parcours de Denis, un itinéraire authentique où partage et plaisir sont les maîtres-mots.Après avoir raccroché les crampons, Denis n'est pas resté inactif. Sa voix et son expertise résonnent aujourd'hui sur les ondes de RMC, où il intervient régulièrement comme consultant, notamment dans les émissions populaires "Super Moscato Show" et "Les Grandes Gueules du sport". Mais l'ancien rugbyman ne se cantonne pas aux médias. Il nourrit également une passion pour le septième art et travaille actuellement sur un projet qui lui tient particulièrement à cœur : l'adaptation cinématographique de son propre livre, "La Mort Debout", publié en 2008. Un projet ambitieux qu'il espère pouvoir réaliser lui-même, témoignant de sa volonté constante de se lancer de nouveaux défis. Denis a baigné dès son plus jeune âge dans la culture du vin. Pour lui, le Cahors n'est pas juste une appellation, c'est une partie de son identité, un lien indéfectible avec ses racines. Il se souvient avec émotion des vendanges de sa jeunesse, de ces moments de travail et de partage qui rythmaient la vie locale à l'automne, période aux couleurs magnifiques dans les vignes. "Le vin fait partie de ton quotidien", confie-t-il, soulignant l'importance de ce breuvage dans la culture du Sud-Ouest.Cette culture se retrouve même dans les échanges amicaux à la radio, comme ses "piques" avec son copain Vincent Moscato, chacun défendant fièrement son terroir (Cahors pour Denis, Gaillac pour Vincent). Au-delà de l'anecdote, Denis exprime un profond respect pour le travail des vignerons, ayant lui-même été au contact de "petits vignerons" et mesuré la difficulté de ce métier exigeant, soumis aux aléas climatiques. Il salue également l'évolution qualitative remarquable des vins français ces dernières décennies.Comme tout amateur éclairé, les goûts de Denis Charvet ont évolué avec le temps. S'il reste attaché à ses racines cadurciennes, son palais s'est ouvert à d'autres horizons. Aujourd'hui, il avoue un penchant marqué pour les vins de Bourgogne, notamment les Nuits-Saint-Georges et les Gevrey-Chambertin, qu'il trouve "plus aériens" et moins "forts" que certains Bordeaux, bien qu'il apprécie toujours un bon cru bordelais comme un Pessac-Léognan. Il évoque avec plaisir les dégustations à l'aveugle organisées par son ami, l'ancien basketteur Boris Diaw, lui aussi grand amateur de vin et propriétaire d'une belle cave au Pyla. Ces instants de convivialité, de partage et de découverte sont pour lui l'essence même de l'expérience œnologique. "Le vin te fait voyager dans ta mémoire, mais ça te fait parfois revivre des moments que tu as passés avec des gens", explique-t-il. Il aime inviter des personnalités partageant cette passion, comme son ami réalisateur Olivier Marchal ou Bernard Laporte. Denis incarne cette figure de l'ancien sportif de haut niveau qui a su cultiver ses passions avec authenticité. Du rugby au micro de RMC, en passant par le cinéma et les vignobles, son parcours est riche et varié. N'hésitez pas à vous abonner à la chaîne "L'abus d'alcool est dangereux pour la santé, à consommer avec modération"Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Le monde du doublage français regorge de talents, mais certaines voix marquent plus que d'autres. C'est indéniablement le cas de Juliette Degenne, une artiste polyvalente dont le timbre a accompagné des personnages emblématiques du petit et du grand écran. Avant d'être une voix reconnue, Juliette est une artiste complète. Comédienne de théâtre, actrice pour le cinéma et la télévision, elle a également endossé la casquette de directrice artistique pour de nombreux projets. Cette richesse d'expériences nourrit sans aucun doute la profondeur et la justesse de ses interprétations vocales. Elle est la voix française régulière de l'actrice néerlandaise Famke Janssen, inoubliable Lenore dans la trilogie Taken aux côtés de Liam Neeson, ou encore Jean Grey/Phoenix dans la saga X-Men.Mais son talent ne s'arrête pas là. Qui ne se souvient pas du caractère bien trempé de Jane Rizzoli dans la série Rizzoli & Isles ? C'est Juliette qui prête sa voix à Angie Harmon. Les fans de séries médicales la reconnaîtront également comme la voix de Kim Raver (Teddy Altman dans Grey's Anatomy, Audrey Raines dans 24 Heures Chrono).La liste de ses doublages prestigieux est longue : Uma Thurman, Robin Wright, Kate Blanchett, Gwyneth Paltrow, Morena Baccarin (Deadpool), Connie Britton, ou encore Polly Walker (Rome, Bridgerton). Récemment, elle a ajouté une nouvelle corde à son arc en doublant Demi Moore dans le film événement The Substance. Une filmographie vocale impressionnante qui démontre sa capacité à s'adapter à des registres et des personnalités très variés.Juliette partage quelques secrets du métier lors de l'interview. Contrairement à ce que l'on pourrait penser, le travail de doublage se fait majoritairement en solitaire. L'acteur ou l'actrice enregistre ses lignes seul(e) en studio, devant la fameuse "bande rythmo", en devant imaginer le jeu et les intonations de ses partenaires. "Il faut imaginer la réplique de l'autre, l'entendre sans l'entendre et lui répondre quand même", confie-t-elle. Travailler à deux est plus rare, et à trois, exceptionnel. Une pratique qui s'est d'ailleurs accentuée depuis la période Covid.Elle raconte également une anecdote amusante : avoir tourné en 1991 avec l'actrice britannique Polly Walker dans le film Les Équilibristes (aux côtés de Michel Piccoli), avant de devenir, des années plus tard, sa voix française attitrée !L'interview pour "Formavin sur 20" est aussi l'occasion pour Juliette d'évoquer son rapport au vin. Grande amatrice de vin blanc, elle avoue un penchant marqué pour les Bourgognes, citant le Chassagne-Montrachet, le Pouilly-Vinzelles et le Pouilly-Fuissé parmi ses favoris. Elle apprécie également les vins d'Alsace et les Sancerre.Côté accords, elle n'hésite pas à bousculer les conventions, appréciant particulièrement le vin blanc avec du fromage, notamment les chèvres ou les bleus comme le Roquefort. Ses souvenirs liés au vin remontent à l'enfance, dans les caves de Bourgogne avec son père, lui-même amateur (plutôt de rouge), ou lors d'un tournage mémorable dans les vignes alsaciennes aux couleurs automnales flamboyantes.Juliette participe actuellement au doublage de la 21ème saison de la série culte Grey's Anatomy. Si d'autres projets sont en cours, le secret professionnel l'oblige à la discrétion. Une chose est sûre : sa voix unique continuera de nous accompagner dans de nouvelles aventures cinématographiques et télévisuelles..Ce podcast est à écouter sans modération."L'abus d'alcool est dangereux pour la santé, à consommer avec modération"Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Yohann Diniz n'est pas seulement une légende de l'athlétisme français, un marcheur hors norme qui a repoussé les limites de l'endurance sur 50 kilomètres. Détenteur de records du monde et d'Europe qui tiennent encore bon, triple champion d'Europe et champion du monde, Yohann est aussi un homme de passion, un épicurien qui cultive un amour sincère pour le vin. Dans une interview exclusive pour Formavin sur 20, il partage son parcours post-carrière, sa vision du sport et sa relation intime avec le monde viticole.Après avoir raccroché les pointes suite aux Jeux Olympiques de Tokyo 2021, une décision mûrement réfléchie, Yohann n'a pas quitté le monde du sport. Il s'est investi pendant près de quatre ans aux côtés d'un partenaire officiel de Paris 2024. Cette expérience lui a permis de vivre l'aventure olympique et paralympique "de l'autre côté de la barrière", une perspective différente, axée sur l'organisation, le partenariat et l'héritage laissé par l'événement. Il souligne l'importance de poursuivre le travail engagé par Paris 2024 sur l'accessibilité au sport et la promotion de la pratique sur tout le territoire. Loin des regrets, il a savouré cette nouvelle facette de l'olympisme, profitant pleinement des Jeux à Paris, tant olympiques que paralympiques.Même s'il n'est plus soumis aux exigences de l'entraînement de haut niveau, Yohann conserve un lien fort avec l'activité physique. Il continue de courir, bien que de manière plus irrégulière, "en dents de scie", comme il le décrit lui-même. Cette pratique est désormais guidée par le plaisir et le bien-être, essentiels pour cet athlète dans l'âme. Il apprécie notamment participer à des courses intégrant une dimension conviviale ou traversant des paysages viticoles, alliant ainsi ses deux passions.Se définissant comme un "épicurien", Yohann n'a jamais caché son goût pour les bonnes choses, et le vin en fait partie intégrante. Même durant sa carrière sportive, il s'autorisait, avec modération, le plaisir de partager une bonne bouteille. Pour lui, le vin est avant tout synonyme de convivialité, de partage et d'ouverture.Son palais, éduqué dès son plus jeune âge aux subtilités du Pinot Noir grâce à son grand-père travaillant dans les vignes en Champagne, a évolué. Après une période où il appréciait les vins plus charpentés du Rhône ou du Languedoc, il revient aujourd'hui vers la finesse et l'élégance, notamment celles des Pinots Noirs de Bourgogne.L'histoire de Yohann est ponctuée d'anecdotes où le vin joue un rôle clé. Il se souvient avec amusement des Championnats du Monde 2005 à Helsinki, où le Club France était sponsorisé par Châteauneuf-du-Pape. La soirée de clôture s'est prolongée jusqu'à l'aube autour d'un carton de Château de Beaucastel, partagé avec notamment Jean Galfione et Renaud Longuèvre. C'est d'ailleurs suite à une discussion "vinicole" avec un responsable Adidas ce soir-là qu'il a décroché son premier contrat de sponsoring ! Un souvenir gravé qui a refait surface en 2014, lorsqu'après son troisième titre européen et son record du monde à Zurich, la directrice de la FFA lui a offert un carton de ce même Beaucastel pour célébrer l'exploit.Aujourd'hui, Yohann rêve de découvrir de nouveaux horizons viticoles, notamment l'Argentine et le Chili, attiré par leurs vignobles en altitude et le dépaysement qu'ils offrent.Yohann incarne cet équilibre entre l'exigence du sport de haut niveau et l'art de vivre, où la passion pour le vin vient enrichir une vie déjà bien remplie d'exploits et de records. Un champion sur les pistes et un fin connaisseur dans le verre.Ce podcast est à écouter sans modération. "L'abus d'alcool est dangereux pour la santé, à consommer avec modération" N'hésitez pas à vous abonner à la chaîneHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Acteur de théâtre accompli, voix française emblématique de stars hollywoodiennes, Gabriel Le Doze est une figure incontournable du paysage culturel français. La voix de Gabriel résonne familièrement aux oreilles de millions de cinéphiles. Il est l'interprète français attitré d'acteurs de renom tels que Gary Oldman, Kevin Spacey, Alfred Molina ou encore Gabriel Byrne. Son travail de doublage s'étend sur des centaines de films, séries télévisées et même jeux vidéo. Mais réduire Gabriel à sa seule voix serait une erreur. Comédien avant tout, il a débuté sa carrière de doublage très jeune, prêtant notamment sa voix à Michael Landon dans la série culte "Bonanza", avant que celui-ci ne devienne le célèbre Charles Ingalls. Son parcours d'acteur l'a également mené sur les plateaux de cinéma et de télévision.Le théâtre occupe une place centrale dans la vie de Gabriel. Avec plus d'une centaine de pièces à son actif, son engagement pour la scène est indéfectible. Récemment, on a pu l'applaudir dans "Les Diaboliques" d'après Barbey d'Aurevilly, adapté par Christophe Barbier, au Théâtre de Poche. Il mène également un travail de fond autour de l'œuvre de Nathalie Sarraute, avec un cycle dédié qui rencontre un franc succès, notamment la pièce "Pour un oui ou pour un non", jouée plusieurs années consécutives à Avignon. Son interprétation dans "Le Neveu de Rameau" de Diderot, jouée plus de 700 fois, témoigne aussi de cette passion pour les grands textes et la performance scénique.Interrogé sur sa technique, Gabriel explique qu'il utilise sa voix naturelle, tout en ayant la capacité de la moduler pour s'adapter au mieux au personnage et au physique de l'acteur original. "J'ai la chance d'avoir une voix qui peut bouger," confie-t-il, lui permettant de naviguer entre un registre médium haut et un registre plus grave. Il évoque aussi les défis du métier, comme la nécessité de s'adapter lorsque les acteurs qu'il double habituellement se font plus rares, citant les cas de Kevin Spacey ou Chris Noth. Son actualité inclut le doublage d'une mini-série espagnole pour Arte, explorant les thèmes du divorce et du patriarcat.Au-delà des planches et des studios, Gabriel cultive une véritable passion pour le vin. Il parle avec humour de la "troisième mi-temps", ce moment de partage et de dégustation après le travail. Son approche du vin est similaire à celle de son métier d'acteur : il recherche l'authenticité, la personnalité, le terroir. "Il faut que ce qu'on boit se ressemble," dit-il, soulignant son attachement aux vins qui expriment leur origine. S'il apprécie tous les types de vins, ses préférences vont vers les Côte-Rôtie, le mythique Clos Rougeard de Saumur-Champigny, et les grands Bourgogne. Il raconte avec amusement comment la découverte d'une magnifique cave voûtée dans sa maison de Bagnolet (datant de 1830) a été un argument décisif lors de son acquisition.Quant à sa tablée idéale pour partager une bonne bouteille, il convoquerait volontiers Balzac et Jean Carmet.Toujours actif, Gabriel continue de jongler entre le théâtre, avec notamment un projet autour de François Villon, et le doublage. Sa curiosité le pousse également à vouloir explorer davantage les vignobles étrangers, en particulier ceux d'Italie et d'Espagne.Artiste complet, homme de lettres et de scène, Gabriel incarne une certaine idée de l'excellence et de la passion. Sa voix a marqué des générations, et son amour pour les grands textes, qu'ils soient dramatiques ou œnologiques, continue de l'animer. Une rencontre riche qui lève le voile sur un homme aussi talentueux que passionné.Ce podcast est à écouter sans modération. "L'abus d'alcool est dangereux pour la santé, à consommer avec modération" Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Artiste aux multiples facettes, Christelle Chollet illumine la scène française par son énergie communicative, son humour décapant et sa voix puissante. Chanteuse, humoriste, comédienne, elle ne laisse personne indifférent. Mais derrière la personnalité publique se cache une femme authentique, attachée à ses racines et épicurienne dans l'âme. Dès le début de l'échange, Christelle met les points sur les "i" avec humour : on dit Michaël, pas Mike ! Une entrée en matière qui donne le ton. Originaire de Toulouse mais élevée dans le Tarn, près de Gaillac, elle insiste sur cette double appartenance. Son lien avec le vin n'est pas nouveau : son père travaillait à la cave coopérative de Rabastens. "J'ai baigné dedans," confie-t-elle, évoquant les paysages de vignobles de son enfance sur les coteaux du Tarn, près de Tauriac. Ces racines sudistes imprègnent sa personnalité chaleureuse et son amour des bonnes choses.Connue pour ses spectacles comme "L'Empiafée" ou le plus récent "Reconditionnée", Christelle mène une carrière riche et variée. Elle jongle avec les rôles, passant du théâtre au cinéma ("La méthode Claire" tourné à Toulouse, "Meurtre à Honfleur"), tout en préparant son septième spectacle pour célébrer ses 20 ans de carrière à la rentrée prochaine. Une artiste complète qui ne cesse de se réinventer. Ses prochaines dates la mèneront d'ailleurs à Toulouse le 3 avril pour le Printemps du Rire, puis à Bordeaux le 4 avril.Interrogée sur ses goûts en matière de vin, Christelle révèle une approche très personnelle, loin des dogmes techniques. Pour elle, le vin est avant tout une affaire d'émotions, de sensations et de découvertes. Elle raconte avec amusement une expérience fondatrice avec le célèbre sommelier Dominique Laporte. Lors d'une dégustation à l'aveugle, alors qu'elle "n'y connaissait rien", elle identifie spontanément une odeur de menthe et d'eucalyptus dans un vin. Laporte révèle alors qu'il s'agit d'un vin australien dont les vignes poussent près d'eucalyptus ! Cette anecdote a confirmé sa conviction : il faut se laisser guider par ses sens et ses émotions. "Je retiens les noms des vins qui me plaisent parce que j'aime le goût, j'aime l'émotion," explique-t-elle. Pour elle, le contexte du partage et de la convivialité est essentiel : un vin n'aura jamais le même goût seul devant sa télé qu'entouré d'amis.Si elle n'était pas une grande amatrice de rosé au départ, son mari, Varois d'origine, l'a initiée aux pépites de cette région. Elle avoue cependant une nette préférence pour les vins blancs, notamment les appellations bourguignonnes comme Pouilly-Loché et Pouilly-Fuissé, ou encore le Condrieu et le Sancerre. Curieuse, elle apprécie de découvrir de nouvelles choses et porte un intérêt particulier aux vins issus de l'agriculture biologique ou biodynamique, par conviction éthique et pour l'avenir. Elle aime explorer, notamment les vins rouges de Bourgogne, mais se dit "plutôt blanc" ces dernières années.Pas question pour Christelle de se laisser enfermer dans des règles strictes d'accords mets et vins. "Quand tu as envie de manger quelque chose avec un vin, tu le fais," affirme-t-elle. À la maison, la liberté prime. Elle peut ainsi déguster des oursins avec un Bourgogne ou savourer son association favorite : le fromage (de brebis ou de chèvre) avec du vin blanc. Elle connaît cependant les goûts de ses amis et s'adapte pour faire plaisir à chacun, sortant la bière, le champagne ou le vin qui conviendra le mieux. Une artiste à suivre sur scène et, pourquoi pas, autour d'une bonne bouteille !Ce podcast est à écouter sans modération. "L'abus d'alcool est dangereux pour la santé, à consommer avec modération" Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.























