SIMANUQ. Chapitre 1. Roman de Gildas Flahault

Simanuq, un vieux chasseur Inuit assiste au passage d’une longue file de satellites traversant le firmament. (Il est question de la Starlink galaxy, que chacun peut observer aujourd’hui si le hasard la fait défiler devant lui dans le ciel nocturne).
Face à cet évènement, la sidération du vieil homme, pour qui le ciel étoilé constitue le lieu le plus sacré qui soit, se persuade sur le champ qu’il est de son devoir d’éliminer physiquement le responsable de cet acte. Un rituel chamanique, mêlé à une suite de hasard extraordinaire va finalement exaucer le funeste vœu de Simanuq : L’industriel californien Larry Jeb, (Forte ressemblance à Elon Musk) magnat de l’industrie spatiale trouve la mort à la fin du récit.
Le propos de ce roman est prétexte à mettre en opposition deux conceptions du monde diamétralement opposées : La visions animiste portée par les cultures autochtones et la posture transhumaniste qui prévaut aujourd’hui sur la quasi-totalité du monde. L’histoire met en action de jeunes activistes autochtones, Inuit, Mapuche et Cofan. Elle se déroule en plusieurs lieux du continent Américain : Pond inlet, village du nord-est canadien, Ottawa, Valparaiso et los Angeles.
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