Discover
Bouclons-là !

Bouclons-là !
Author: Simon BACHELET
Subscribed: 0Played: 0Subscribe
Share
© Simon BACHELET
Description
"Bouclons-là !!", c’est le podcast qui donne la parole aux acteurs de l’économie circulaire, ces entrepreneurs visionnaires qui changent la donne.
Que vous soyez un dirigeant curieux, un entrepreneur en devenir, ou tout simplement intéressé par l’innovation durable, ce podcast vous propose d'écouter des échanges enrichissants, des retours d’expériences et des conseils pratiques pour se lancer dans la transition circulaire,
Ce podcast vous est proposé par Simon Bachelet, accompagnateur de la transformation des entreprises depuis plus de 15 ans et persuadé que la circularité peut allier réussite et impact positif.
Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
20 Episodes
Reverse
Bouclons-la, c'est le podcast qui donne la parole aux acteurs de l'économie circulaire, ces entrepreneurs visionnaires qui changent la donne. Que vous soyez un dirigeant curieux, un entrepreneur en devenir ou tout simplement intéressé par l'innovation durable, ce podcast vous propose d'écouter des échanges enrichissants, des retours d'expérience et des conseils pratiques pour se lancer dans la transition circulaire. Ce podcast vous est proposé par Simon Bachelet, accompagnateur des entreprises dans la transformation depuis plus de 15 ans et persuadé que la circularité peut aller réussite et impact positif. Alors, bouclons-la et laissons la parole à nos invités.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Pour cet épisode inaugural, j’ai invité Nicolas BRIEN ex directeur général de France Digitale et aujourd’hui fondateur de la start-up WASTETIDE, une solution utilisant l'intelligence artificielle et permettant aux industriels de reprendre le pouvoir sur la valorisation de leurs déchets. Dans cet épisode, il a bien voulu revenir son parcours, nous expliquer sa passion pour les déchets, un élément qui selon lui est central dans la préservation de la planète, et il a livré également ses conseils aux entreprises qui souhaiteraient enclencher une démarche circulaire. Je tiens d’ailleurs à le remercier encore d’avoir été mon partenaire pour ce baptême du feu, il a répondu avec son calme et sa pertinence habituelle pour nous offrir un éclairage extrêmement enrichissant. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
L’invité que je reçois cette semaine s’appelle Alexandre MAS.Alexandre a créé il y a quelques années OUIKEEP, une entreprise de réemploi de pièces automobiles neuves. Pour faire simple: une sorte d’OSCARO de la circularité. Il m’a partagé comment sa précédente carrière de consultant informatique lui sert les jours à trouver l’efficacité optimale pour son activité. Que ce soit dans l’automatisation de certaines tâches ou encore dans l’utilisation de méthodes de travail pour lui et les membres de son équipe.Pour vous dire qu’Alexandre est un véritable roi du réemploi. Il m’a reçu dans la camionnette de son entreprise qu’il avait aménagée comme studio d’enregistrement pour l’occasion. Je me demande d’ailleurs si je ne vais pas lui prendre pour enregistrer mes autres épisodes.Bref je n’en dis pas plus et laisse la place à Alexandre. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
L’invitée de cette semaine s’appelle Christèle Merter, la fondatrice de la marque de mode La Gentle Factory qu’elle a fondée en 2012. J’ai connu Christèle lors d’une conférence TEDXRoubaix où elle y parlait de la nécessité de collaborer avec ses concurrents pour devenir plus fort. https://www.youtube.com/watch?v=zHXIJw3J0awJe souhaitais qu’elle nous explique comment une marque qui, au moment de son lancement, était l’une des porte étendard du Made In France avec notamment le Slip français ou encore les jeans 1083 fait face aux défis du moment. Que ce soit concernant les nouvelles attentes des consommateurs portées par de nouveaux acteurs qui sont venus bouleverser les codes de la mode ou encore l’évolution du cadre législatif qui est venu modifier les façons de produire. Bref je n’en dis pas plus et laisse la parole à Christèle.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Vous ne le saviez peut-être pas, mais en France, un quart des produits vendus en ligne sont retournés. Face à ce chiffre vertigineux, Pablo Grasso a décidé d'agir. Avec sa start-up TURNEE, il propose une solution de retour produit qui permet aux articles de transiter directement entre consommateurs, sans passer par le centre de distribution. L'objectif ? Limiter les trajets inutiles, alléger l'empreinte carbone et ainsi rendre le e-commerce plus durable.L'épisode de cette semaine met à l'honneur un jeune entrepreneur porté par une envie inébranlable de s'attaquer à un sujet ambitieux. En partageant son parcours qui l'amenait à repenser le modèle actuel, il nous livre sa vision d'un e-commerce plus responsable et respectueux de l'environnement. Je n'en dis pas plus et laisse la parole à Pablo.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Pendant les JO de Paris, 13 millions de repas ont été servis aux participants ; athlètes comme bénévoles. Et sur les 600 équipements de cuisine qui ont servi à préparer cela et bien la moitié était du matériel reconditionné fourni par l’entreprise VESTO. Aujourd’hui je reçois Wilfrid DUMAS, cofondateur de cette jeune entreprise lancée il y a 4 ans spécialisée dans le reconditionnement de matériel de cuisine professionnel. VESTO compte aujourd’hui 37 salariés et une usine de reconditionnement de 7000m² à Compans. Wilfrid a eu la gentillesse de me raconter la genèse de VESTO et est notamment revenu sur les différents changements de modèles par lesquels ils sont traversés. Un échange hyper intéressant qui montre comment une entreprise, au-delà de la circularité, peut et doit changer son modèle mental pour évoluer. Je tenais également à vous signaler qu’à cause d’un petit souci de micro, la qualité sonore de ma voix sera plus que moyenne. Celle de Wilfrid est parfaite. Ce qui est d’ailleurs le principal vu que ce qu'il m’a dit était passionnant. J’espère que vous prendrez autant de plaisir que moi à l’écouter. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Comme disait un célèbre statisticien américain “Sans données vous êtes juste une énième personne avec une opinion”. Si l’on voulait détourner cette citation pour notre sujet préféré, ce pourrait être “Sans données, vous êtes juste une énième entreprise avec des convictions”. En effet, sans capacité à mesurer, il est difficile de mener à bien une politique circulaire.Des données & des convictions c’est clairement deux mots qui peuvent qualifier Sana Dubarry, Directrice digitale pour les thématiques ESG chez MICROSOFT Europe et également animatrice du Bar à Podcast. Grâce à ses deux casquettes, elle nous donne divers exemples d’initiatives d'entreprises européennes mais également comment un acteur technologique majeur comme MICROSOFT essaye de contribuer à faire évoluer les modèles, en accompagnant les entreprises pour utiliser le plein potentiel de leurs données. Je n’en dis pas plus et laisse la parole à Sana.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
L’épisode de cette semaine parlera d’UPCYCLING. Si vous ne connaissez pas ce terme, la définition qu’en fait mon invitée est : "L'art de sublimer des matières qui étaient destinées à être jetées et les détourner de leur usage premier pour créer des produits élégants et durables”. Cette personne c’est Capucine THIRIEZ qui en 2019 a créé SAINT LAZARE, marque qui conçoit à partir de matières recyclées des sacs Made in France, élégants et durables par des personnes en situation de Handicap.Avec Capucine, on a pris le temps d’échanger sur beaucoup de sujets, les enjeux et surtout le potentiel de l’Upcycling ou encore ses raisons de vouloir travailler avec des ateliers en ESAT. Elle m’a également parlé de sa vision du "slowpreneuriat" qu’elle promeut pour une croissance plus saine.Ce que je trouve bluffant chez Capucine, c’est sa capacité à voir le potentiel dans ce que beaucoup voit comme imparfait. Elle nous montre qu’on est pas obligé d’opposer Déchets et élégance, handicap et efficacité, réussite et lenteur.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
A partir de quand avons-nous commencé à penser que les résidus de matière organique étaient des déchets ? Parce que pourtant si l’on regarde bien, il y a très peu de « déchets » qui peuvent se vanter d’être aussi facilement valorisables et bénéfiques pour l’environnement que les matières organiques. Cette prise de conscience, c’est celle qu’à eue mon invitée il y a quelques années. Après un parcours au sein des équipes marketing de la filière vins et spiritueux de LVMH, Célia Roussin pose un nouveau regard sur le raisin lorsque son employeur lui demande de réfléchir à créer une nouvelle marque cosmétique à base marc et de moût de raisin. Elle découvre une matière première qui peut se révéler quasi-magique tant ses cas d’utilisation peuvent être multiples. Sur la base de cette épiphanie, elle décide de créer Pépite Raisin dont la mission est de "Sublimer l'intelligence végétale du raisin au service de l'impact environnemental de la filière”. Dans l’épisode d’aujourd’hui, Célia Roussin essaye de nous faire enfiler ses “lunettes circulaires” comme elle les appelle. Celles qui lui permettent de détecter la valeur dans l’ensemble des projets sur lesquels elle travaille. Elle revient également sur la notion de CARE, sujet qui lui est cher et qu’elle estime central afin de prendre soin de soi, des autres et de la planète.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Vous êtes vous déjà demandé ce que devenaient les décors sur les salons APRÈS les événements ? On les casse. Comme dit mon invité, “On donne un grand coup de pied dans les châssis, pour que la structure s’écroule, on fait des gros ballots avec des bâches sur place et on jette tout ce mélange.” Toute cette matière première souvent de très bonne qualité a servi quelques jours (parfois même uniquement quelques minutes dans le cadre d’un défilé de mode). Tout ça avant de terminer dans une benne. Sauvegarder ces matières premières pour en faire bénéficier d’autres et par là même sauver la planète; c’est la mission que s’est donnée Vincent Raimbault lorsqu’il a créé MUTO: une entreprise offrant un service clef en main dédié au réemploi solidaire des aménagements éphémères. Grâce à eux: salons, vitrines ou défilés ne jettent plus leurs décors : ils les donnent à des associations et porteurs de projets engagés, leur offrant ainsi une seconde vie.Dans l’interview que vous allez écouter, Vincent nous éclaire sur les dessous d’un secteur d’activité: l'événementiel, qui est aujourd’hui générateur de Kilos tonnes de déchets par an, mais qui grâce à certains acteurs comme MUTO, tente de faire évoluer ses pratiques. Il nous éclairera également sur le rôle que MUTO a joué comme fournisseur des JO de Paris 2024. Cet événement planétaire qui a essayé de poser un nouveau standard sur son métier.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Avez-vous déjà entendu parler de la saponification ? C’est la technique qui consiste à mélanger un corps gras et de la soude pour créer un savon. Historiquement dans les pays du Nord de l’Afrique, où l’huile de friture est fortement utilisée pour la cuisine, chaque foyer créait ses propres savons pour réemployer sa propre huile usagée. C’est justement en repensant à sa grand-mère qui fabriquait son savon que mon invitée de la semaine, Sabrine Chennaoui, a eu la brillante idée de dépoussiérer cette pratique traditionnelle pour créer MONSAPO : une marque de produits ménagers éco responsables et circulaires.Là où beaucoup voient un marché saturé, Sabrine a vu une opportunité. Celle de prouver que même les produits les plus banals de notre quotidien, comme le savon ou les détergents, peuvent être repensés pour devenir respectueux de la planète et produits par tous. Mais attention, MONSAPO n’est pas une marque artisanale. Car si elle a commencé avec un petit atelierde production “à la Breaking Bad” comme elle l’appelle, Sabrine a su transformer une idée simple en une start-up tech innovante.Dans cet épisode, nous parlerons des défis qu’elle a surmontés pour transformer son idée en un modèle industrialisable en déportant les outils de fabrication directement chez les clients là où est le déchet.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
En moyenne un quart. C’est la proportion des vêtements que vous et moi avons dans notre armoire et que nous portons réellement. Pire encore, 25% c’est l’estimation de l’Agence Européenne de l’Environnement concernant les invendus du marché textile en Europe. C’est à dire qu’un quart de ce qui est produit chaque année n’est jamais porté et fini directement…détruit ou exporté dans une décharge. Je ne sais pas pour vous mais moi ça me donne le vertige. Or repenser les modes de consommation dans l’industrie de la mode, c’est justement le défi que relève mon invitée du jour, Yolande, fondatrice de Revive Clothing Lab, une entreprise qui conjugue créativité, durabilité et savoir-faire local pour transformer des vêtements dormants en pièces uniques. Basée dans les Hauts-de-France, Revive Clothing Lab s’attaque à l’énorme gâchis textile en proposant des produits upcyclés, des collaborations avec des enseignes pour revaloriser leurs invendus, et même un service pour les particuliers souhaitant redonner vie à leurs vêtements oubliés.Dans cet épisode, Yolande nous raconte comment elle a créé un écosystème unique entre commerçants, stylistes passionné(e)s d’upcycling, et ateliers de couture locaux. Elle nous partage également sa vision d’une mode plus respectueuse, où style et valeurs ne sont plus incompatibles.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Une fois n'est pas coutume, je reçois aujourd'hui une personne qui ne porte pas un sujet spécifique lié à la circularité, mais qui a une vue transversale sur de nombreux projets liés à ce thème. Hugo Roy, Start-up Manager chez Paris & Co, et à ce titre il accompagne les jeunes entreprises innovantes qui veulent révolutionner nos modes de vie et construire des villes plus durables.Dans cet épisode, Hugo prend 2 casquettes et nous dévoile de nombreuses choses :La première c’est celle de son parcours d'entrepreneur: le fait qu’il connaisse bien la circularité pour avoir lui-même créé une entreprise en lien avec ce sujet il y a quelques annéesLa seconde casquette, c'est via son rôle actuel: lui permettant d’avoir une vue d’ensemble sur les freins et opportunités pour ces entreprises dans un monde encore largement linéaire.Hugo nous partage également ses coups de cœur entrepreneuriaux et sa vision sur la manière dont les start-ups peuvent s’inscrire durablement dans le paysage économique tout en respectant leurs valeurs environnementales.Un épisode riche d’enseignements pour tous ceux qui veulent comprendre comment l’innovation et la circularité peuvent changer nos villes et nos vies.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Contrairement à de nombreux exemples déjà entendus par ailleurs, mon invitée du jour ne s’est pas lancée avec une idée précise en tête… mais avec une conviction forte et une envie commune avec sa co-fondatrice, Ariane. Ensemble, elles ont cherché le problème le plus pénible à résoudre pour les entreprises avant d’identifier un enjeu majeur du e-commerce : la gestion des retours de meubles.Chaque année, des millions de meubles sont retournés, souvent avec un défaut mineur. Mais faute de solutions adaptées, ces produits finissent détruits ou revendus à perte. Avec Smartback, Olympe et Ariane ont décidé de changer la donne en créant une solution qui optimise le réemploi et la revente de ces articles, tout en réduisant les coûts et l’impact environnemental pour les entreprises.Dans cet épisode, Olympe partage avec nous trois enseignements clés :1/ Entreprendre sans idée préconçue : comment elles ont identifié un vrai problème en partant d’un besoin plutôt qu’une solution.2/ Gérer son entreprise avec pragmatisme : pourquoi elles ont choisi de construire une croissance rentable dès le départ, plutôt que de dépendre uniquement des levées de fonds.3/ L’économie circulaire est une affaire de filière : pourquoi elle plaide pour une collaboration entre concurrents afin d’industrialiser et scaler des solutions circulaires efficaces.Un échange passionnant qui prouve que la réussite en économie circulaire est de trouver le subtil équilibre entre rentabilité et engagement.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Boire une bière ou un soda dans une bouteille en verre consignée, c’était la norme il y a quelques dizaines d’années seulement. Puis c’est devenu évident de jeter un contenant produit après une seule utilisation. C’est en partant de cette réflexion que mon invité du jour, Charles Christory, a cofondé Le Fourgon, une entreprise qui veut remettre au goût du jour un modèle oublié : celui du réemploi des contenants.Face au gaspillage des emballages jetables, Le Fourgon propose une alternative simple : livrer des boissons et produits du quotidien dans des contenants consignés, puis les récupérer, les laver et les remettre en circulation. Un système à la fois économique, écologique et pratique.Dans cet épisode, Charles nous livre certains de ses enseignements: L’expertise avant l’expérience: C’est en s’appuyant sur son expertise du digital qu’il a construit le modèle de son nouveau projet, bien qu’il n’avait aucune expérience en logistique. La culture mature: Dans le cadre d’un projet innovant, l’aspect culturel et les freins psychologiques sont souvent sous-estimés : convaincre les clients, les partenaires industriels et les financiers demande pour l'entrepreneur simultanément une foi inébranlable, une résilience à toute épreuve… et une pointe de folie !Un échange passionnant qui montre que si l’on associe souvent “circularité” & “ingéniosité” ce même concept peut évoquer également “crédibilité” et “process industrialisés”.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Aujourd’hui, je reçois Paul Forget, co-fondateur de la start-up Rewake, qui s’attaque à un défi majeur dans le domaine de la recherche scientifique : le gaspillage des équipements de laboratoire.Chaque année, des milliers d’instruments scientifiques, encore fonctionnels ou réparables, sont mis au rebut, entraînant un gaspillage considérable et des coûts élevés pour les institutions de recherche. Rewake propose une solution innovante en reprenant, reconditionnant et revendant ces équipements, offrant ainsi une alternative économique et écologique aux laboratoires, universités et entreprises innovantes.Ce que j’ai trouvé fascinant chez Paul, c’est cette maturité et ce recul sur son rôle d’entrepreneur : il ne cherche pas seulement à faire grandir son entreprise, mais aussi à faire évoluer tout un marché encore très traditionnel, en y apportant le reconditionné comme une évidence d’avenir.Dans cet échange, nous abordons :Les défis liés à la mise en place d’une chaîne de valeur circulaire pour les équipements scientifiques ; Notamment la difficulté d’installer un nouveau business qui vient bousculer les acteurs en place.L’importance de la qualité et de la fiabilité dans le reconditionnement d’instruments de précision ;Un épisode qui invite à repenser nos modes de consommation, même dans les milieux les plus techniques.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Quand on parle d’économie circulaire, on pense souvent à des produits, à des modèles d’affaires, à des filières à réinventer… Mais on pense rarement aux normes. Et pourtant, sans cadre commun, pas de changement d’échelle possible.C’est justement le rôle de mon invitée du jour, Catherine Chevauché, qui préside le comité technique international ISO dédié à l’économie circulaire. Avec plus de 100 pays membres, ce comité a récemment publié une série de normes qui pourraient bien faire évoluer en profondeur les pratiques des entreprises et des institutions dans le monde entier.Dans cet épisode, Catherine partage avec nous trois grands enseignements : 📌 Pourquoi la normalisation n’est pas un frein à l’innovation, mais un levier puissant pour faire émerger une économie réellement circulaire à l’échelle mondiale.📌 Comment l’économie circulaire repose sur une refonte des modèles d’affaires — un exercice indispensable mais encore trop peu pratiqué.📌 Et enfin, comment elle essaye de mettre en pratique au jour le jour ces principes chez VEOLIA par le biais de son rôle comme Directrice de l'Economie Circulaire du Groupe.Un échange passionnant avec une experte à la double casquette, qui agit au sein d’une des plus grandes entreprises de services environnementaux au monde, Veolia, tout en œuvrant pour poser les bases d’un langage commun à l’international.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Lors de vos courses en supermarché, vous êtes peut-être déjà tombé sur ces contenants en verre ou en plastique rigide, dotés d’un logo discret et d’une promesse ambitieuse : ne pas finir à la poubelle. Derrière cette promesse, il y a un acteur central du réemploi en France : Loop.Mon invité du jour, Romain Zanna Bellegarde, en est le directeur général. Et avec lui, on va parler de conception de packaging, logistique, d’innovation, d’industrialisation du réemploi… et surtout d’un changement de paradigme. Parce que pour Loop, la vraie priorité, ce n’est pas de mieux recycler, mais de ne plus jeter.Dans cet épisode, Romain partage avec nous trois enseignements clés :📌 Réemployer plutôt que recycler : pourquoi TerraCycle, pourtant géant du recyclage, a créé Loop pour s’attaquer à la racine du problème : l’emballage jetable.📌 Construire un écosystème national : comment Loop s’appuie sur les grandes enseignes pour démocratiser la consigne, et pourquoi l’interopérabilité entre distributeurs est essentielle.📌 Jouer collectif pour passer à l’échelle : entre subventions, réglementation et volontarisme des marques et enseignes, il nous décrit les conditions clés pour faire de la consigne un réflexe du quotidien.Ce que j’ai trouvé passionnant chez Romain, c’est sa capacité à rendre concret un système invisible pour les consommateurs… et sa détermination à bâtir une nouvelle norme pour demain.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Cette semaine, je reçois un binôme dynamique et complémentaire : Andrea et Jules, cofondateurs de FINDS Solutions, une startup qui s’est donnée pour mission de remettre de l’intelligence dans la gestion des invendus du secteur de la mode et de la beauté.Ce que j’ai trouvé passionnant dans notre échange, c’est à quel point leur projet s’est construit par itérations, en partant du terrain, en se confrontant aux problèmes concrets des marques, jusqu’à bâtir une solution tech aujourd’hui capable d’optimiser et de digitaliser tout un pan de la chaîne de valeur resté jusque-là largement artisanal.Dans cet épisode, Andrea et Jules nous partagent trois enseignements forts : 📌 L’économie circulaire se heurte souvent à des freins invisibles : culture d’entreprise, silos internes, manque d’outillage… Gérer les invendus, c’est souvent vu comme un aveu d’échec. Il est temps de changer ce regard. 📌 Avant de bâtir une solution technologique, il faut comprendre les douleurs profondes du marché. Et parfois, cela passe par le fait de devenir broker, conseiller, accompagnant... avant de devenir éditeur. 📌 Quand on structure les données et les échanges, on peut non seulement améliorer la circularité… mais aussi sauver des millions d’euros pour les marques !Un épisode qui nous montre que pour construire une solution vraiment utile, il faut parfois déconstruire beaucoup de non-dits.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Pour ce dernier épisode de la première saison de Bouclons-là !, j’ai voulu marquer une pause… Depuis plusieurs mois, on a parlé modèles économiques, innovations produit, logistique, réglementation, tech ou encore consommation. Et toutes ces initiatives sont passionnantes, nécessaires, inspirantes.Mais derrière chaque projet circulaire, il y a des femmes et des hommes qui portent le changement. Et la vérité, c’est que sans eux — sans leurs compétences, leurs convictions, leurs trajectoires — rien ne bouge vraiment.C’est pourquoi j’ai choisi de clore cette première saison avec Lou Tamaëhu Plovier, cofondateur de Circular Talent, un cabinet qui accompagne les entreprises à recruter autrement : en identifiant les talents de la transition circulaire, là où ils sont parfois invisibles.Dans cet échange, Lou partage avec nous trois convictions fortes : 📌 Que la circularité n’est pas qu’une affaire de stratégie, mais avant tout une affaire de culture d’équipe ; 📌 Qu’il ne faut pas “inventer” les métiers circulaires, mais savoir reconnaître et assembler les bonnes compétences déjà là ; 📌 Et que pour faire émerger une économie régénérative, il faut d’abord régénérer… notre regard sur les talents.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.