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WeLearn - L'étude qui éveille

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Le Midrash dit que pour que le Am Israël ne fasse pas d'idolâtrie dans le désert, on sonnait du Chofar. Cela nous protégeait de la tentation.Mais quelle est cette tentation qu'avaient nos ancêtres de faire de l'idolâtrie ?En quoi le Shofar nous protège ?Qu'y a-t-il dans ce son, ce cri, qui peut nous sortir de nos tentations ?Et plus largement, pourquoi le Shofar accompagne tous les plus grands moments de l'histoire comme le don de la Torah ou la fin des temps ? Quel est la nature du dévoilement qui se trouve dans le Shofar ? Et quel service fait-on quand, face au jugement, on sonne ce son, et par là on mérite de sortir indemne du jugement ?Chana tova
Il était une fois une reine, dont le mari était un Roi très puissant, qui l’aimait du plus profond de son coeur. Il lui avait tout donné, la gloire, le respect, la grandeur. Le monde entier venait la voir, pour la saluer, lui offrir des présents, ou simplement pour voir ce que noblesse pouvait signifier. Ses enfants, plus que tout autre, la respectaient et la chérissaient. Mais avec le temps, ses enfants se détournèrent d’elle. Ils l’ont abandonné, ils l’ont oublié pour aller fréquenter d’autres mondes bien moins nobles que celui qui avait été le berceau de leur jeunesse.Le Roi, loin de l’abandonner, lui promet qu’il va la consoler, qu’il ramènera ses enfants auprès d’elle, que elle, si seule aujourd’hui, trahie et oubliée de tous, retrouvera sa grandeur, ses enfants et sa splendeur si incroyable du temps d’avant.Cette reine c’est Jerusalem, ses enfants sont le peuple Juif, ce Roi c’est D. Qui lui promet que même si tout le monde l’a oubliée, lui ne l’oubliera jamais.Dans ce Chiour, nous avons tenté d’expliquer cette représentation très présente dans les textes, de Jérusalem et sa relation avec D. et le Am Israël.
Dans ce cours nous parlons de l’Exil. Mais nous ne parlons pas de souffrances ou de dispersion. Nous parlons du dévoilement de la Torah qui est en exil. Le message passe mal, le dévoilement est incomplet. Nous ne savons pas faire retentir toute la sagesse de la Torah en nous… Et nous passons pour des imbéciles aux yeux des nations. C’est pas moi qui le dit c’est Rashi. Rashi nous dit ça au moment où la Torah nous ordonne de rien oublier du don de la Torah. Nous essayons ici de comprendre ce que Rashi veut nous dire. De plus, le Ramban s’interroge, la raison apparemment si insignifiante ne colle pas avec la Mitsva si importante.Nous nous sommes aussi intéressés au débat entre Rabbi Yeoshoua Ben Hanania et César au sujet du temps de gestation du serpent, dont la conséquence va être une disputation entre Rabbi Yehoshoua et les Sage d’Athènes. Un débat codé qui parle de la venue du Machiah’ selon le Gaon de Vilna. Nous avons essayé d’expliquer quel était le but de ce débat.
Bilam a fait fauter les Bnei Israël en incitant les filles de Moav à se prostituer avec eux. La conséquence en fut terrible : la haine que porte HM pour cette faute entraina que presque toutes les bénédictions que nous avons reçu de Bilam (malgré lui) se retournèrent en malédictions. L'étude de cet événement nous a porté à nous interroger : qu'y a-t-il dans cette faute spécifique de la débauche qui attise tant la colère Divine, ce qui n'est pas le cas pour la plupart des autres fautes ?Nous avons aussi cherché à analyser le lien entre cette attirance et celle de l'idolâtrie, dont le lexique est très souvent identique à la débauche. Et plus largement, nous avons tenté de définir les sources profondes de cette attirance.
En substance, la Torah est le récit du périple du peuple Juif depuis Avraham et jusqu'à l'entrée en Israël puis jusqu'à la construction du 2ème Temple. En profondeur, Elle est le dévoilement Divin dans le monde. Ces 2 aspects se conjuguent ensemble. Le dévoilement se fait au travers de ce que vit le Am Israël.Cette notion mettant en exergue, l'imbrication essentielle du peuple de D. avec son D. nous amène à nous poser une question :Si les évenements de l'Histoire sont un Dévoilement, qu'en est-il aujourd'hui ? Pourquoi l'Histoire s'arrête-t-elle d'être racontée après la construction du 2ème Temple ? Si ce livre existe, où est-il ? Toutes les étapes, les souffrances, les espoirs, les déplacements du peuple Juif depuis 2500 ans sont-ils encore l'expression du dévoilement Divin dans le Monde, et si oui, cette Torah, où est-elle écrite ?
Cette semaine nous nous intéressions à une Guemara incroyable dans Pessahim qui dit que celui qui étudie la Torah devant un ignorant, c'est vécu par ce dernier comme s'il voyait cet étudiant avoir un rapport avec sa propre fiancée devant lui... L'image est cinglante, et surtout difficilement compréhensible !Cette Guemara nous a poussé à nous interroger sur la nature profonde des notions de mariage et plus précisément de fiançailles, que la Torah nous demande de faire avant de nous marier.Nous avons essayé de définir aussi la problématique qu'entretient l'ignorant avec l'Étude.Nous nous sommes aussi penchés sur Ben Azaï qui ne voulait pas se marier parce qu'il "aimait tellement la Torah"Bonne écoute !
Le roi David est né à Chavouot, et comme les grandes choses n'arrivent pas par hasard, nous nous sommes intéressés au lien entre les deux.Sur le Roi David il est dit plusieurs choses : Il représente la Royauté d'Israël, il est aussi la source de toute Tefila (Il dit sur lui : Je suis Tefila), il contient l'étincelle du Machiah', et il est le pilier de la Techouva. Toutes ces notions à priori sans rapport direct, se retrouvent chez lui. Nous tenterons de montrer, que ce sont en réalité, toutes les facettes d'une seule idée, celle de la Techouva.Nous parlerons de David, de Ruth, de Rabbi Yehouda haNassi et de Rabbi Eliezer Ben Dourdaya et nous nous interrogerons sur les limites du Mal, et la possibilité de le réparer, toujours.
Nos Maîtres définissent que l'Exil, c'est tout d'abord l'Exil de l'esprit. Notre esprit est aux mains d'un étranger, nous empêchant de vivre pour nous même et de penser par nous-même. Mais de quoi s'agit-il exactement ? Que signifie ce terme de Daat (Connaissance) qui est en exil ? Quelle différence entre le Savoir (Hohma), la compréhension (Bina) et la connaissance (Daat) ? Pourquoi un enfant est tenu d'accomplir les Mitsvot quand il a du Daat (13 ans) ? Et si il est intelligent avant ? Et si il est encore idiot ? Le Daat c'est aussi la connaissance et aussi l'union, mais quel lien entre les 2 ? Se libérer de l'exil serait donc libérer son esprit ? Oh non, pas du coaching...Alors, qu'est ce que ça veut dire tout ça ? Le dernier Chabat de Adar nous lisons en plus de la Parasha de la semaine, un passage de la Parashat Bo traitant de la Mitsvah du Korban Pessah. Cette Mitsvah commence par la Mitsvah du renouvellement de la lune, première Mitsvah que le peuple reçoit avant même de sortir d'Egypte. Qu'est ce que cette Mitsvah a de si particulier pour qu'on la place en premier ? Et quel est son rapport avec la sortie d'Egypte ?Ok ça fait beaucoup de questions, mais bon peut-être que tout est lié ? Sait-on jamais...
La Mitsvah de la vache rousse, Mitsvah qui nous permet de purifier l'Homme de l'impureté contractée lors d'un contact avec un mort, est définie par nos Maîtres comme le Hok par excellence. Le Hok est un terme utilisé par nos Maîtres pour désigner une Mitsvah dont le sens nous échappe, du moins en partie. Nous nous sommes posés la question de comprendre pourquoi cette Mitsvah en particulier est, plus que toute autre, définie comme un Hok.(Notez que toutes les questions soulevées au début du Chiour ne sont pas forcément répondues par la suite, car le sujet a suscité de nombreux débats dans le groupe, ce qui ne nous a pas permis de terminer complètement. Mais de toutes façons, même quand on répond aux questions, est-ce qu'on peut dire qu'on a terminé le sujet, ou bien seulement qu'on a ouvert de nouvelles portes nous invitant à aller plus loin ? Ça pourrait être le sujet d'un prochain Chiour, pourquoi pas ?)
Donnez de l'alcool au perdu, du vin au malheureux. C'est une phrase de Michlé (Proverbes 31;6). Il n'y a pas de joie sans vin. C'est écrit dans Pessahim 109a. Ce vin qui accompagne nos fêtes, et particulièrement la fête de Pourim, est un mystère insolvable: dangereux et remède en même temps, pour le triste et pour le joyeux à la fois, il entraine l'Homme aux pires bassesses alors qu'il est comparé à la douceur du goût des secrets des Sages. Dans ce cours, nous essayons de définir ce qui caractérise ce vin, qu'est qui le rend si grand, et ce qui peut le rendre si bas. Nous nous interrogerons sur les raisons de l'interdit de le partager avec le Non-juif, et enfin bien-sûr, nous parlerons de la présence si essentielle du vin dans la fête de Pourim.LeHaïm !
La Gmara nous dit qu'un demi-shekel a suffi à nous sauver de la sentence de Haman. Le Midrash nous décrit cette pièce comme une pièce en feu. Il nous apprend aussi qu'Avraham, Yeoshoua, David ou encore Mordehai ont crée leur propre monnaie à leur effigie... Ces textes viennent nous interpeler sur notre rapport à l'argent, ou plutôt sur la monétisation de toutes les valeurs. Toutes les valeurs sont-elles quantifiables ou classifiables ? Toutes les valeurs ont-elles une valeur ?..
Le Am Israël traverse la mer. Quel est le sens profond de cette étape de la sortie d'Egypte ?La recherche et l'accomplissement des plaisirs occupe une place centrale dans la vie de tout homme. Pour certains il est un but, pour d'autres une problématique dont la solution est le résultat d'un travail acharné sur soi de tout une vie. En tout cas, il est au coeur de la plupart des motivations humaines.Mais que disent nos Maîtres à ce sujet ?
Ne vous êtes-vous jamais demandé comment une personne peut-elle entreprendre la démarche de se convertir ? Comment, parfois à un certain âge, abandonner ses habitudes, son mode de vie, sa famille, sa culture ?Comment un rapport à une vérité qu'il entend peut-elle bousculer tant de piliers qui se révèlent finalement d'argile ?Et celui qui n'est pas Guer (converti) peut-il réaliser une telle démarche ?C'est ce que nous essayons de voir dans ce Chiour.Bonne écoute !
Les parachiot de Chemot jusqu'à Michpatim, appelées Chovavim, marquent le cycle des Bnei Israël depuis l'exil jusqu'à la délivrance. Il est par extension aussi, une période propice à la réparation de fautes personnelles en rapport avec la Kedousha, et la pudeur. Nous nous interrogerons dans ce cours sur le rapport entre ces parachiot et ces fautes spécifiques.
L'enjeu de l'exil Grec est celui de la pensée, de la vision philosophique de notre rapport au monde et à D.
Plus qu'abattre nos corps, l'empire Grec voulait abattre nos esprits.
Nous avons gagné ce combat à Hanouka, mais la guerre continue jusqu'à aujourd'hui.