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Michela Wrong

Michela Wrong
Author: Max Milo Editions
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© 2025 Max Milo Editions
Description
MICHELA WRONG est une journaliste anglaise (Reuters, BBC, Financial Times) reconnue dans le monde entier pour son expertise sur l’Afrique. Elle a couvert à la fois les derniers jours du dictateur Mobutu et le génocide au Rwanda. Elle a reçu le prix James Cameron 2010 « pour sa vision morale et son intégrité professionnelle ». Elle a publié « Rwanda assassins sans frontières »
12 Episodes
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Mobutu Sese Seko a bâti un empire sur la ruse et la terreur, incarnant l’archétype du despote africain. Après son coup d’État en 1965, il a fusionné son destin avec celui du Zaïre, manipulant les rivalités de la Guerre froide pour asseoir son pouvoir absolu. Soutenu par l’Occident en échange d’une stabilité illusoire, il a détourné les richesses de son pays, vivant dans un luxe insolent tandis que la population sombrait dans la misère. Son régime, fondé sur la corruption et le clientélisme, a méthodiquement écrasé toute opposition, faisant de lui un maître du double jeu.Derrière son discours nationaliste, il a imposé une idéologie sur mesure, prônant une "authenticité zaïroise" qui lui permettait de légitimer son emprise. Ni capitaliste, ni communiste, il a su tirer profit des deux blocs, façonnant une dictature où le culte du chef se substituait aux institutions. Ce modèle de gouvernance autoritaire a marqué durablement l’Afrique, inspirant de nombreux dirigeants après lui.Mais que reste-t-il du Léopard du Zaïre ? Si Mobutu a été chassé en 1997, son ombre plane toujours sur la région. Son pillage a laissé un pays exsangue, plongé dans un chaos dont il ne s’est jamais relevé. Guerres, milices, ingérences étrangères : l’Afrique des Grands Lacs porte encore les cicatrices de son règne. Le fantôme de Mobutu continue de hanter un continent où le pouvoir se confond trop souvent avec la prédation.Michela Wrong décrypte cet héritage dans un échange percutant avec Nicolas Stoquer, en direct sur Géopolitique Profonde.
Mobutu Sese Seko a bâti un empire sur la ruse et la terreur, incarnant l’archétype du despote africain. Après son coup d’État en 1965, il a fusionné son destin avec celui du Zaïre, manipulant les rivalités de la Guerre froide pour asseoir son pouvoir absolu. Soutenu par l’Occident en échange d’une stabilité illusoire, il a détourné les richesses de son pays, vivant dans un luxe insolent tandis que la population sombrait dans la misère. Son régime, fondé sur la corruption et le clientélisme, a méthodiquement écrasé toute opposition, faisant de lui un maître du double jeu.Derrière son discours nationaliste, il a imposé une idéologie sur mesure, prônant une "authenticité zaïroise" qui lui permettait de légitimer son emprise. Ni capitaliste, ni communiste, il a su tirer profit des deux blocs, façonnant une dictature où le culte du chef se substituait aux institutions. Ce modèle de gouvernance autoritaire a marqué durablement l’Afrique, inspirant de nombreux dirigeants après lui.Mais que reste-t-il du Léopard du Zaïre ? Si Mobutu a été chassé en 1997, son ombre plane toujours sur la région. Son pillage a laissé un pays exsangue, plongé dans un chaos dont il ne s’est jamais relevé. Guerres, milices, ingérences étrangères : l’Afrique des Grands Lacs porte encore les cicatrices de son règne. Le fantôme de Mobutu continue de hanter un continent où le pouvoir se confond trop souvent avec la prédation.Michela Wrong décrypte cet héritage dans un échange percutant avec Nicolas Stoquer, en direct sur Géopolitique Profonde.
Mobutu Sese Seko a bâti un empire sur la ruse et la terreur, incarnant l’archétype du despote africain. Après son coup d’État en 1965, il a fusionné son destin avec celui du Zaïre, manipulant les rivalités de la Guerre froide pour asseoir son pouvoir absolu. Soutenu par l’Occident en échange d’une stabilité illusoire, il a détourné les richesses de son pays, vivant dans un luxe insolent tandis que la population sombrait dans la misère. Son régime, fondé sur la corruption et le clientélisme, a méthodiquement écrasé toute opposition, faisant de lui un maître du double jeu.Derrière son discours nationaliste, il a imposé une idéologie sur mesure, prônant une "authenticité zaïroise" qui lui permettait de légitimer son emprise. Ni capitaliste, ni communiste, il a su tirer profit des deux blocs, façonnant une dictature où le culte du chef se substituait aux institutions. Ce modèle de gouvernance autoritaire a marqué durablement l’Afrique, inspirant de nombreux dirigeants après lui.Mais que reste-t-il du Léopard du Zaïre ? Si Mobutu a été chassé en 1997, son ombre plane toujours sur la région. Son pillage a laissé un pays exsangue, plongé dans un chaos dont il ne s’est jamais relevé. Guerres, milices, ingérences étrangères : l’Afrique des Grands Lacs porte encore les cicatrices de son règne. Le fantôme de Mobutu continue de hanter un continent où le pouvoir se confond trop souvent avec la prédation.Michela Wrong décrypte cet héritage dans un échange percutant avec Nicolas Stoquer, en direct sur Géopolitique Profonde.
Mobutu Sese Seko a bâti un empire sur la ruse et la terreur, incarnant l’archétype du despote africain. Après son coup d’État en 1965, il a fusionné son destin avec celui du Zaïre, manipulant les rivalités de la Guerre froide pour asseoir son pouvoir absolu. Soutenu par l’Occident en échange d’une stabilité illusoire, il a détourné les richesses de son pays, vivant dans un luxe insolent tandis que la population sombrait dans la misère. Son régime, fondé sur la corruption et le clientélisme, a méthodiquement écrasé toute opposition, faisant de lui un maître du double jeu.Derrière son discours nationaliste, il a imposé une idéologie sur mesure, prônant une "authenticité zaïroise" qui lui permettait de légitimer son emprise. Ni capitaliste, ni communiste, il a su tirer profit des deux blocs, façonnant une dictature où le culte du chef se substituait aux institutions. Ce modèle de gouvernance autoritaire a marqué durablement l’Afrique, inspirant de nombreux dirigeants après lui.Mais que reste-t-il du Léopard du Zaïre ? Si Mobutu a été chassé en 1997, son ombre plane toujours sur la région. Son pillage a laissé un pays exsangue, plongé dans un chaos dont il ne s’est jamais relevé. Guerres, milices, ingérences étrangères : l’Afrique des Grands Lacs porte encore les cicatrices de son règne. Le fantôme de Mobutu continue de hanter un continent où le pouvoir se confond trop souvent avec la prédation.Michela Wrong décrypte cet héritage dans un échange percutant avec Nicolas Stoquer, en direct sur Géopolitique Profonde.
Il colle à Kagame un stéréotype occidental aussi vertueux qu'illusoire. L'homme serait un grand chef d'Etat, innocent du génocide rwandais, qui aurait fait en peu de temps d'un pays ravagé un candidat crédible au statut de Suisse africaine. Michela Wrong, référence mondiale en matière de journaliste d'investigation, entent faire ici tinter un tout autre son de cloche. Auteure du best-seller international "Rwanda: assassins sans frontières" (Max Milo 2023), salué comme "L'une des révisions historiques les plus approfondies de Kagame et son régime.", elle analyse avec nous la guerre silencieuse qui se joue encore dans les Grands Lacs.
Il colle à Kagame un stéréotype occidental aussi vertueux qu'illusoire. L'homme serait un grand chef d'Etat, innocent du génocide rwandais, qui aurait fait en peu de temps d'un pays ravagé un candidat crédible au statut de Suisse africaine. Michela Wrong, référence mondiale en matière de journaliste d'investigation, entent faire ici tinter un tout autre son de cloche. Auteure du best-seller international "Rwanda: assassins sans frontières" (Max Milo 2023), salué comme "L'une des révisions historiques les plus approfondies de Kagame et son régime.", elle analyse avec nous la guerre silencieuse qui se joue encore dans les Grands Lacs.
Il colle à Kagame un stéréotype occidental aussi vertueux qu'illusoire. L'homme serait un grand chef d'Etat, innocent du génocide rwandais, qui aurait fait en peu de temps d'un pays ravagé un candidat crédible au statut de Suisse africaine. Michela Wrong, référence mondiale en matière de journaliste d'investigation, entent faire ici tinter un tout autre son de cloche. Auteure du best-seller international "Rwanda: assassins sans frontières" (Max Milo 2023), salué comme "L'une des révisions historiques les plus approfondies de Kagame et son régime.", elle analyse avec nous la guerre silencieuse qui se joue encore dans les Grands Lacs.
Il colle à Kagame un stéréotype occidental aussi vertueux qu'illusoire. L'homme serait un grand chef d'Etat, innocent du génocide rwandais, qui aurait fait en peu de temps d'un pays ravagé un candidat crédible au statut de Suisse africaine. Michela Wrong, référence mondiale en matière de journaliste d'investigation, entent faire ici tinter un tout autre son de cloche. Auteure du best-seller international "Rwanda: assassins sans frontières" (Max Milo 2023), salué comme "L'une des révisions historiques les plus approfondies de Kagame et son régime.", elle analyse avec nous la guerre silencieuse qui se joue encore dans les Grands Lacs.
Il colle à Kagame un stéréotype occidental aussi vertueux qu'illusoire. L'homme serait un grand chef d'Etat, innocent du génocide rwandais, qui aurait fait en peu de temps d'un pays ravagé un candidat crédible au statut de Suisse africaine. Michela Wrong, référence mondiale en matière de journaliste d'investigation, entent faire ici tinter un tout autre son de cloche. Auteure du best-seller international "Rwanda: assassins sans frontières" (Max Milo 2023), salué comme "L'une des révisions historiques les plus approfondies de Kagame et son régime.", elle analyse avec nous la guerre silencieuse qui se joue encore dans les Grands Lacs.
Michela Wrong, qui a assisté aux derniers jours de Mobutu, retrace l'ascension et la chute du jeune journaliste idéaliste devenu le stéréotype du despote africain. Surnommé « le léopard », le président du Congo (ex-Zaïre) a utilisé toutes les ruses pour accéder au pouvoir et y rester pendant trente-deux ans. Il a séduit les puissances occidentales, acheté l'opposition et dominé son peuple avec un mélange dévastateur de brutalité et de charme. Alors que la population était appauvrie, il buvait du champagne dans son palais au milieu de la jungle comme une réincarnation moderne du chef de gare fou de Joseph Conrad.
Michela Wrong raconte notamment en détail l’histoire de Patrick Karegeya, ex-chef du renseignement extérieur du Rwanda, pour dresser le portrait d’une dictature à l’image de son président qui a fait de la vengeance la caractéristique de son règne, jusqu’à poursuivre ses anciens compagnons d’armes jusqu’au bout du monde.