On verra bien…

C'est le CLAP DE FIN (de la première saison) et je vous ramène down memory lane, pourquoi j'ai commencé le podcast, ce que j'ai fais, ce qu'il m'a rapporter. SURTOUT je vous explique ce que j'imagine pour la saison 2 et ou je veux l'amener. On se voit (j'espère) dans 2 semaines les copains <3. lov

J’ai eu le grand âge de 26 ans cette semaine. En tant que nouvel adulte, je vous ai fais une retrospective d'adulte. Dans cet épisode, je fais un petit retour sur mon année : ce que j’ai appris, ce que j’ai traversé, ce qui m’a fait du bien. Je suis encore un peu perdue, oui, mais beaucoup plus apaisée. J'ai pas trouve toutes les réponses mais je vous parle de mon année et comment je l'ai vécue. :)

Salut les sacs a caca 💩  !Aujourd’hui on est deux dans un nouvel épisode et on parle de comment on se sent a notre grand âge de 26 ans, de comment on pense qu’on vieilli et comment on aimerait bien vieillir. On parle aussi des nombreuses red d’aujourd’hui ou d’avant qu’on a pas ou qu’on a jamais compris en passant par Tarantino, Jonny Halliday et les boeufs bourguignons.J'espère que ça vous plaira :)

Aujourd'hui, dans ce nouvel épisode d'été, je fais un petit update de mon premier rendez-vous chez mon psy après l'avoir ghoster 5 ans. Je parle aussi de staycations et de mon été a paris, ces vacances où on reste chez soi et pourquoi c’est vraiment sous cote. Et puis, entre deux pensées sur le silence parisien de l’été, je parle du désir décroissant de rencontrer du monde. Plus le temps passe, plus je réalise que je préfère avoir moins de liens, mais plus sincères et que j'ai de moins en moins d'amis. Un épisode flou, doux et un peu fatigué, comme un dimanche soir d’été.

Aujourd’hui un nouvel épisode à deux avec Ambroise, on discute de ce que ça fait de prendre son premier rendez-vous chez un psy (spoiler : on n’est pas fous, juste vivants), de la peur d’être jugé, de comment on en parle (ou pas) autour de soi , et aussi, de chats, d’éternuements intempestifs, et de pourquoi Garfield a peut-être tout compris.J’espère que ça vous plaira

Aujourd'hui, un episode plus léger pour une saison qui l’est (soi-disant) tout autant. Et surtout parce que mon avis sur l'été est super important. Je passe en revue l’été comme on noterait un hôtel sur TripAdvisor : les points forts (les apéros, les salades) et les points faibles (le sable dans le maillot, les nuits trop chaudes)...

Dans cet épisode, je ne suis pas seule : Ambroise est avec moi, tout aussi paumé que moi. On parle de la vie qui nous roule dessus, de chic pommes, de l’incertitude du futur, anecdotes de notre rencontre et de comment le regard des autres peut nous affecter. C’est brut, honnête, et un peu chaotique

Aujourd’hui dans ce nouvel épisode, juste avant que ton cerveau parte en RTT d’été, je te propose un petit check-up des 10 red flags professionnels à repérer absolument.Tu sais, ces petits trucs qui te font dire “bizarre l’ambiance ici…” ou “pourquoi j’ai envie de pleurer à 9h07”. Je te cite les 10 reds flags a repérer pour partir en courant Bref, que tu sois en poste, en recherche, en fuite ou en réflexion : ce guide de survie pro est fait pour toi.Bonne écoute, et n’oublie pas : fuir est parfois une stratégie très mature.

Aujourd'hui dans cet episode, je vous parle d'un petit (grand) changement dans ma vie... je rentre de voyage au bout d'un an chez mes parents. Je vous parle de comment j'appréhendais mon retour, de comment mon retour s'est passe et les plans pour après .J'attends vos retours sur instagram @onverrabienpodcast

Cette semaine j’introduis mon nouveau concept RÉVOLUTIONNAIRE: une note vocal que j’ai enregistré pour vous car je trouvais ça cool d’avoir une hors série régulière de update sur ma vie et de sujets moins sérieux que j’ai appelé brouillon de vie. J’espère que ça vous plaira. J’attends vos retours sur Instagram @onverrabienpod

Dans ce nouvel épisode je me prends pour ta conseillère d’orientation et je fais de la psychologie de comptoir. Si tu es en crise professionnelle je te donne quelques conseils que j’ai appliqué à moi même pour essayer de sortir la tête de l’eau et au delà de ça que tu te sente moins seul(e)

Bienvenue dans un épisode où je m’attaque à un ennemi ancestral : la flemme.
Mais attention, pas n’importe laquelle.
La flemme stratégique. La flemme existencielle. La flemme pick-me. Celle qui te pousse à ne rien faire… sauf si c’est ton idée.On parle :* de procrastination paralysante* de dépassement de soi (très peu pour moi)* de sport (non)* de gens qui se lèvent à 5h du matin (encore moins)* de la flemme sociale, logistique, post-burnout* et même de comment ma flemme me sauve parfois la vieC’est un épisode pour ceux qui font de leur mieux (ou pas), qui avancent doucement (ou pas), mais qui veulent juste se sentir moins seuls dans leur galère douce.Podcast : On verra bien
Un mardi sur deux, ou presque.
Parfois avec un vrai micro. Pas encore. On verra bien.

Dans cet épisode, je partage la seconde partie de mon burn out : le jour j, la crise d'angoisse et comment les événements se sont déroulés. Je vous raconte comment ces événements sont survenus et ce qui s'en est suivi dans les premiers temps.Au-delà du récit, je vous explique également comment j'ai progressivement retrouvé mon équilibre et les étapes que j'ai entreprises pour aller mieux. C'est un partage d'expérience honnête et direct sur un moment difficile et sur le chemin parcouru pour m'en relever.Si vous avez manqué la partie 1, je vous conseil fortement d'aller l'écouter ici, pour avoir le contexte complet.Si mon témoignage peut apporter un éclairage ou du soutien à d'autres personnes, j'en serais heureux. N'hésitez pas à partager vos réflexions en commentaires.Dans cet épisode, je vous parle de :Le déroulement du jour de mon burn-out.Ce que j'ai ressenti lors de ma crise d'angoisse.Les premières démarches pour me reprendre en main.Les étapes importantes de mon rétablissement.Abonnez-vous pour suivre la suite de mon parcours !

Je vous raconte pourquoi j’ai fais un burn-out, les signes et les alertes que mon corps m’a envoyé, comment je les aient pas vu et pourquoi je les aient ignorés avant le jour où j’ai fais mon burn-out.

C’est vraiment le flou artistique professionnel en ce moment et ça fait peur. Je pense qu’on est beaucoup dans ce cas donc j’espère que ça résonne avec certains d’entre vous. À l’écoute de vos galères pro dans les commentaires ou sur insta!

Venez on arrête de se comparer entre nous. On est tous différent. Je vous dévoile un truc donc j’ai honte aussi : la jalousie. Peut être que c’est que moi (j’espère pas) mais je vous parle de comparaison, jalousie et tout les sentiments dont on peut avoir honte quand on se compare à des proches. J’espère que ça vous plait !

Voilà pour un épisode plus détende, 10 défauts que j’aime pas chez le gens à prendre avec un peu de second degrés si c’est possible. La biz

Vidéo disponible sur YouTube. J’ai encore une fois, pour un épisode de plus, fait une découverte scientifique qui va vous faire exploser le cerveau.Après une heure d’analyse intense de la psychologie dans mon bus, j’ai réalisé un truc : être seule et être bien seule, ce n’est pas du tout la même chose. Marcher seule ? Facile. Aller au resto seule ? Pourquoi pas. Mais être seule sans scroller, sans écouter un podcast ou sans faire semblant d’écrire un roman dans un café… là, c’est une autre histoire.Dans ce podcast, je te raconte comment je suis passée de “je mets mes écouteurs pour fuir le vide” à “je pars en voyage seule et je survis (presque) sans panique”. Entre petites victoires, moments de solitude un peu gênants et vraies révélations, je partage ce que j’ai appris et je pose la grande question : faut-il forcément aimer être seul(e) ?

Avant ça je pensais que ça allait être simple de vivre mais le BO (burnout pour les novices) m’a rattrapé à grande vitesse et m’a foutu un pied-bouche, plaqué au sol et il m’a gentiment offert avec le pack entier: boule au ventre, angoisse, vomi et crises dans les toilettes de l’entreprise.Du coup face a mon échec et devant le constat sue j’avais louper qq chose je me suis dis qu’une pause dans ma vie serait la moindre des choses. Du coup j’ai tout arrêté … je vous raconte ça dans un épisode

Premier épisode, premier monologue… bienvenue dans mon cerveau (désolé d’avance).Pourquoi On verra bien ? Parce que c’est honnêtement ma réponse par défaut à 80% des questions existentielles que je me pose. On fait des plans, la vie rigole, et au final, on improvise tous un peu.Dans cet épisode, je t’explique pourquoi j’ai décidé de parler toute seule dans un micro, ce que tu peux (ou ne peux surtout pas) attendre d’ici, et pourquoi il ne faut pas suivre mes conseils. Bref, on ne sait pas où on va, mais on verra bien.