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A Poil et Sans Filet
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A Poil et Sans Filet

Author: Matthieu Laulan

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À Poil et Sans Filet, le podcast qui met à nu les leaders d'aujourd'hui pour comprendre qui ils sont vraiment.
Je suis convaincu que les meilleurs dirigeant(e)s sont ceux qui se connaissent parfaitement.

1 fois / semaine je vous partage mes conversations sans langue de bois avec des entrepreneur(e)s, dirigeants, sportifs, artistes et personnalités qui m’inspirent.

A mi chemin entre Thierry Ardisson et Génération Do It Yourself.

Vous pouvez aussi retrouver les épisodes en vidéo sur Youtube.
Si vous voulez être sponsor du podcast, contactez-moi sur Linkedin (Matthieu Laulan).

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63 Episodes
Reverse
Quand on souhaite investir, la première question qui revient toujours est celle du rendement. On parle de ROI, de TRI, d’espérance de gain, et on compare presque instinctivement ses placements à la performance historique du S&P 500, dont la moyenne oscille autour de 10 à 11 % sur 20 ans. Mais comment comprendre et évaluer ce que signifie réellement investir dans les transitions ? Comment convaincre qu’un investissement axé sur les besoins fondamentaux de l’humanité peut, non seulement égaler, mais surpasser les performances des marchés traditionnels — y compris ceux tirés par les énergies fossiles ou l’industrie militaire ?Dans cet épisode, notre invité dévoile une approche radicalement différente du capital-risque classique. Là où beaucoup de fonds misent sur la “power law” — investir partout en espérant qu’émerge un champion — sa stratégie repose sur un principe simple : réduire le risque marché en investissant exclusivement dans des solutions répondant à des besoins essentiels. L’énergie, l’alimentation, les mobilités, les infrastructures : autant de secteurs structurels où la demande ne disparaît jamais. Cette manière d’investir repositionne complètement l’analyse du risque et crée une base solide pour viser des performances élevées.Nous découvrons comment, au bout de trois ans, un premier portefeuille de 11 startups affiche 16,98 % de rendement net, ce qui laisse présager une cible raisonnable à 25 % par an sur la durée de vie du fonds. Une performance qui place cette stratégie dans le top 2 % des fonds américains benchmarkés. Loin de la spéculation Web3 ou des bulles post-Covid, cette méthode repose sur une rigueur d’investissement comparable à celle de Berkshire Hathaway : comprendre le business, comprendre le besoin humain, comprendre la durabilité de la demande.L’épisode se plonge également dans des exemples concrets, comme la plasmalise du méthane — innovation à fort risque techno mais à potentiel colossal — ou Onima, startup qui transforme les résidus de fermentation de la bière en protéines végétales de haute qualité. Ces projets illustrent comment investir tôt dans des solutions profondément utiles peut créer des géants industriels en devenir, sans green premium, et avec un impact systémique sur la chaîne de valeur mondiale.Ce dialogue dense, pédagogique et inspirant remet en question notre vision de l’investissement. Il montre qu’il existe une troisième voie entre la spéculation à court terme et l’investissement passif : une manière d’orienter le capital vers ce qui est nécessaire, résilient et scalable. Une manière d’allier performance financière et transformation structurelle de l’économie.Pour celles et ceux qui veulent comprendre comment investir aujourd’hui — dans un monde en transition accélérée — et comment concilier rendement, sens et réduction des risques, cet épisode est une ressource rare.Ma chaîne Youtube (épisodes en vidéo) : @MatthieuLaulanPour être sponsor de l'émission : matthieulaulan01@gmail.comHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Vivre une reconversion peut ressembler à une longue traversée de l’hiver professionnel : une saison froide, silencieuse, parfois angoissante, où l’on doute de tout, y compris de soi. Dans cet épisode, nous explorons en profondeur cette expérience intime et universelle à travers un dialogue rare, puissant, où l’on découvre comment accepter la pause, la fatigue, le ralentissement et la perte de repères peut devenir le premier pas vers une renaissance plus alignée.Notre invité partage deux leçons fondatrices : l’importance du travail intérieur — psychanalyse, méditation, sport ou toute pratique qui permet de revenir à soi — et la puissance de la sérendipité dans les moments de bascule. Car une reconversion ne se décide pas toujours : elle s’invite parfois sans prévenir, dans un creux de vague, dans une rencontre anodine, dans un conseil lancé par un ami, ou même dans un projet qui ne verra jamais le jour.Nous parlons de saisons de vie, de la difficulté d’accepter que « ça ne va pas », et de ce moment subtil où, après avoir touché le fond de la piscine, on sent enfin le mouvement de remontée. L’épisode aborde aussi la notion d’ikigai, ce point précis où nos talents rencontrent un besoin réel du monde, et qui devient souvent le guide naturel d’une reconversion réussie.À travers des histoires humaines, sensibles et parfois inattendues — des anciens collègues qui arrivent avec deux packs de bière et un deck, à la découverte d’entrepreneurs à impact dans un incubateur, jusqu’à la naissance presque accidentelle d’Astéryon — on comprend que l’hiver n’est jamais une fin. C’est la période où se construit le tissu racinaire qui permettra la prochaine floraison.Cet épisode parle d’alignement, de sens, de mouvement, de renoncement et de retour. Il montre comment une étape difficile peut devenir une porte ouverte vers une activité plus juste, plus joyeuse, plus essentielle.Pour toutes celles et ceux qui traversent un doute, un redémarrage, un changement de trajectoire ou la sensation d’être « rangé des voitures », ce dialogue offre une perspective apaisante : la vie professionnelle, comme la nature, n’avance qu’en cycles. Et c’est souvent au cœur de l’hiver que se prépare le printemps.Ma chaîne Youtube (épisodes en vidéo) : @MatthieuLaulanPour être sponsor de l'émission : matthieulaulan01@gmail.comHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
C’est l’histoire d’un golden boy repenti de la finance qui a décidé d’investir 100M€ pour sauver le monde. De 2000 à 2007, Stéphane empile les deals immobiliers dans un système capitaliste débridé. Jusqu’à vendre les parts de sa boîte en 2007, juste avant la crise.Coup du destin. Chance insolente.Mais intérieurement, un seul verdict : sa vie n’a aucun sens. Le capitalisme l'a détruit. Alors il disparaît du business. Pendant 7 ans.- 5 fois le chemin de Compostelle (en entier)- Il élève ses 3 enfants- Il s’engage dans une asso de soins palliatifs- Il explore des pratiques de développement personnel- Une question le hante : que faire de sa vie quand on a “réussi” trop tôt ?C’est Fabrice Midal – fondateur de l’École du Zen – qui lui ouvre une brèche : oui, on peut créer (une entreprise) ET avoir du sens.Alors Stéphane revient.Transformé.Sa thèse est radicale : les entreprises qui sauvent le monde doivent être PLUS performantes que celles qui le détruisent.Alors il crée Asterion Ventures, un fonds VC qui réunit plus de 850 investisseurs engagés.Objectif : investir 100 M€ en 5 ans dans des startups qui résolvent des problèmes de société : climat, santé, souveraineté, industrie.Sinon, pas de changement possible.Aujourd’hui, Asterion a déjà financé plus de 30 pépites : WeeFin, Everdye, Spark Cleantech, Diamfab, Onima, Ramdam Social…Et j’ai eu la chance de l’interviewer.On s’est posé LA question : “comment le capitalisme peut-il sauver le monde ?”On a parlé :– argent vs sens (l’équilibre impossible)– dépression et renaissance après un exit– comment convaincre les riches d’investir utile– sa routine folle : 6 semaines à 80h / 2 semaines à vélo– son rêve : créer le Sequoia européen de la transition----------------------Chapitrage 00:00:00 – Intro - Qui est Stéphane ?00:04:24 – L’angoisse de la mort chez les entrepreneurs00:13:03 – La fuite en avant des dirigeants00:24:47 – Retrouver un moteur00:33:11 – La naissance d’Asterion00:38:45 – Tech vs déconsommation00:50:53 – Pourquoi investir dans les transitions ?00:57:08 – Les erreurs de l’Impact01:00:36 – Le modèle du Community VC01:12:01 – Miser sur les first-time founders01:14:49 – Réinjecter de l’humanité dans le capitalisme01:21:51 – Le rôle de l’entreprise à mission01:23:46 – La finMa chaîne Youtube (épisodes en vidéo) : @MatthieuLaulanPour être sponsor de l'émission : matthieulaulan01@gmail.comHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans cet épisode, on plonge au cœur d’un débat essentiel pour tout entrepreneur : faut-il avancer en bootstrap ou la levée de fonds pour accélérer sa croissance ? Le mot-clé bootstrap n’a jamais été aussi important pour comprendre ce qui sépare deux modèles d’entreprise radicalement différents : celui des startups financées par des investisseurs… et celui des PME rentables, indépendantes, qui avancent à leur rythme et gardent le contrôle.Mon invité a vécu les deux. Il a construit une entreprise autofinancée de 0 à 20 millions d’euros de chiffre d’affaires en deux ans, avant de la revendre 27 millions. Puis il a cofondé Ledger, une startup deeptech qui a nécessité près d’un demi-milliard d’euros de levée de fonds pour financer sa R&D, son avance technologique et un marché encore embryonnaire. Deux trajectoires, deux philosophies, deux façons d’être entrepreneur.Alors comment choisir ? Quand levée de fonds ? Quand s’autofinancer ? Quelle voie suit réellement votre ambition ?Dans cette conversation, on explore sans filtre :pourquoi le bootstrap est souvent un choix plus sain et plus maîtrisé ;comment la levée de fonds peut devenir un accélérateur… ou un piège ;ce que signifie réellement faire entrer des investisseurs, un board et un pacte d’actionnaires ;la pression psychologique et opérationnelle qui accompagne la croissance forcée ;pourquoi la patience est l’arme secrète des entrepreneurs rentables ;pourquoi se faire sortir de sa propre entreprise n’est pas un mythe ;ce qui distingue la minorité bruyante des startups de la majorité silencieuse : les PME, l’économie réelle, les entrepreneurs indépendants.On parle aussi de solitude du dirigeant, de la différence entre fantasme parisien et réalité du terrain, du risque de confondre « réussir » avec « lever », et du besoin croissant de clubs, de masterminds et de communautés pour entrepreneurs qui avancent sans investisseurs.Si vous vous demandez si vous devez lever des fonds, rester indépendant, ou si votre entreprise doit grandir vite ou bien grandir bien… cet épisode est fait pour vous.Une discussion vraie, concrète, sans dogme — où le mot bootstrap prend tout son sens.Ma chaîne Youtube (épisodes en vidéo) : @MatthieuLaulanPour être sponsor de l'émission : matthieulaulan01@gmail.comHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
L’équilibre pro/perso est un mythe pour les entrepreneurs qui veulent marquer leur époque. Les entrepreneurs missionnaires ne comptent pas leurs heures. Ils vivent, respirent et dorment avec leur vision en tête.C’est dur ? Oui. Mais c’est le prix à payer pour réussir quelque chose de grand.Son histoire est celle d’un enfant de Vierzon qui a vu l’usine de porcelaine de son père faire faillite. Un garçon qui bidouillait des ordinateurs à 10 ans et a découvert le Bitcoin avant tout le monde.Qui s’est juré de reprendre le flambeau familial en devenant l’un des meilleurs entrepreneurs de sa génération…Réussir, réussir, réussir...Et en effet son CV est impressionnant : co-fondateur de Ledger (licorne des cryptomonnaies), CoinHouse (ex - maison du Bitcoin), Algosup (une école d’informatique).Connu du grand public en tant qu’investisseur star de l’émission sur M6 Qui Veut Devenir Mon Associé.Et il termine la boucle aujourd’hui en redorant le blason de sa ville natale à travers son domaine / incubateur de startups.C’est vous dire combien je suis excité de vous partager ma discussion avec Eric Larchevêque.Vous allez le découvrir comme vous ne l’avez jamais entendu dans cet épisode où on parlede ses rêves d’enfants et de la faillite de son pèredu bullshit de l’équilibre pro / perso quand t’es entrepreneurde son rapport à la célébrité et de la trace qu’il a envie de laisserde son rêve de monter sur scènede sa traversée du désert avec Ledger (puis leur séparation)de sa vision de l’entrepreneuriat aujourd’hui--------------------------------------------------------------------------------------------------------------- ⏱️ Timeline de l'épisode ⏱️ 00:00 Intro 03:13 La dernière fois que tu t'es senti "À Poil Et Sans Filet ?" 06:20 Rebondir tout de suite après un échec 07:52 Détermination ou entêtement ? 11:27 Eric, un leveur devenu bootstrappeur ? 21:06 Il faut se piéger soi-même quand on a peur 28:06 L'enfance d'Eric 36:01 L'entrepreneur est toujours un être rebelle ? 43:30 Ne plus être le bon CEO d'une licorne 1:01:01 L'équilibre pro / perso n'existe pas pour les entrepreneurs 1:06:15 Prochaine étape : monter sur scène 1:08:41 La gentillesse ok, mais ne pas oublier le courage 1:17:50 Le Bitcoin à 250K ? 1:27:10 Un dîner avec Musk Ma chaîne Youtube (épisodes en vidéo) : @MatthieuLaulanPour être sponsor de l'émission : matthieulaulan01@gmail.comHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Pourquoi certains entrepreneurs ne seront jamais heureux ? Retrouvez l'épisode en vidéo sur ma chaîne youtube @matthieulaulan. C’est la question qu’on n’ose jamais poser. Réussir réussir réussir réussir. Et pourtant, c’est le cœur de l’épisode que vous allez découvrir aujourd’hui avec Éric Larchevêque, figure incontournable de l’écosystème entrepreneurial français, mais surtout : un homme qui a accepté d’exposer la part invisible de son succès. Dans ce clip, Éric parle sans filtre, sans posture, sans storytelling — exactement comme on aime sur À Poil et Sans Filet.Et ce qu’il raconte est loin du discours classique sur la motivation, le leadership ou l’équilibre de vie.Il parle de sacrifice, d’obsession, de rage intérieure, de mission, de solitude, de famille, et de ce qu’il faut véritablement accepter de perdre pour réussir quelque chose de grand.🔥 “Si tu n’es pas prêt à tout perdre, tu ne peux pas tout gagner.”Dans cet extrait, Éric revient sur une phrase qui choque presque tout le monde :“J’ai sacrifié ma vie personnelle. C’était un sacrifice facile.“Pourquoi ?Parce que, pour lui, le succès entrepreneurial repose sur un état psychique particulier, une énergie viscérale, presque animale, qui ne laisse aucune place à ce qu’on appelle aujourd’hui l’équilibre de vie.Ce n’est pas du stoïcisme.Ce n’est pas du hustle porn.C’est l’anatomie brute d’un homme qui a voulu marquer sa génération.🧩 Les sacrifices invisibles des entrepreneursDans cette discussion, on explore plusieurs questions essentielles :Faut-il souffrir pour réussir ?Pourquoi certains entrepreneurs ne ressentent pas la souffrance là où d’autres la vivent comme un fardeau ?Peut-on bâtir une licorne sans sacrifier une partie de soi ?Que deviennent les relations personnelles lorsqu’on donne toute son énergie à sa mission ?Peut-on être un bon parent tout en vivant cette obsession ?Les regrets arrivent-ils toujours… ou pas ?❤️ Pourquoi ce clip est importantParce qu’il raconte la vérité nue derrière les entrepreneurs qui visent la grandeur.Parce qu’il met en lumière des réalités rarement exprimées :la solitude de la missionl’obsession comme moteur et comme prisonle sacrifice accepté, pas subila reconstruction après le succèsla difficulté de concilier ambition extrême et familleet surtout :👉 la psychologie profonde de ceux qui veulent marquer leur génération.Si vous êtes entrepreneur, dirigeant, indépendant, ou simplement fasciné par la mécanique du succès…Ce clip va vous frapper.Parce qu’il dit tout haut ce que beaucoup ressentent tout bas.🔔 Si cette conversation vous parle…Abonnez-vous à À Poil et Sans Filet.Ma chaîne Youtube (épisodes en vidéo) : @MatthieuLaulanPour être sponsor de l'émission : matthieulaulan01@gmail.comHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans cet extrait, Mounia Erkha — coach de CEO devenue chamane — renverse un mythe très répandu chez les dirigeants :👉 le lâcher-prise n’est pas un abandon… c’est une forme de contrôle.Elle explique comment, dans sa première constellation familiale, elle a dû tout laisser tomber : le mental, les masques, les stratégies inconscientes.Un moment où elle croyait perdre pied… alors qu’en réalité, elle accédait à un autre type de maîtrise :accepter de ne plus piloter pour enfin voir ce qui se joue en soi.Mounia raconte :• ce qui se passe vraiment quand un dirigeant “lâche”• pourquoi le mental cherche toujours à garder la main• comment le contrôle se camoufle derrière le lâcher-prise• comment une constellation familiale révèle les dynamiques invisibles• ce que ça change dans la prise de décision d’un leaderPour les dirigeants rationnels, ce passage est un électrochoc :on ne peut transformer son leadership tant qu’on croit que “tout lâcher” revient à perdre.Parfois, c’est la seule façon de reprendre un contrôle plus juste, plus profond, plus aligné.Un extrait brut, vulnérable, puissant — où Mounia montre ce qui se passe quand un CEO laisse tomber son armure… pour de vrai.Ma chaîne Youtube (épisodes en vidéo) : @MatthieuLaulanPour être sponsor de l'émission : matthieulaulan01@gmail.comHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Elle connaît les secrets des meilleurs CEO de France. Elle se dit coach mais son vrai métier c’est chamane.Avant ça, Mounia Erkha était l’archétype de la réussite :→ Centrale Paris → VC chez ISAI → MariéeBref : la vie parfaite pour les autres.Jusqu’à son 2e congé mat où une réalité la gifle : « Est-ce que je vis MA vie… ou celle qu’on attend de moi ? »Elle décide de ne pas revenir dans son job.Elle part alors en quête d’elle-même — façon hardcore :→ constellations familiales → thérapies en série → retraites intensives → expériences chamaniques → travail profond sur l’inconscientElle démonte tout : ses schémas, ses peurs, ses loyautés familiales, son besoin de briller.Et revient transformée.Elle crée 108 Milliards, une méthode qui mélange neurosciences, reprogrammation mentale…et expériences spirituelles.À l’heure où les coach business poussent comme des champignons sur Linkedin. Elle a inventé une méthode unique qui mélange le visible et l’invisible, le profane et le sacré.Bref elle est devenue la chamane des dirigeants les plus rationnels du pays.C’est peut-être pour ça qu’ils la payent aussi cher.Dans l’épisode, on parle de :→ comment distinguer le coach du charlatan → comment exploser ses schémas limitants → pourquoi les fondateurs “premiers de la classe” craquent → intuition, mort, spiritualitéPS : Mounia forme désormais d’autres coachs à sa méthode. Il reste 5 places dans leur promo 3, principalement des entrepreneurs ou indépendants qui se lancent dans l’accompagnement, contactez Raphael Leclerc de ma partMa chaîne Youtube (épisodes en vidéo) : @MatthieuLaulanPour être sponsor de l'émission : matthieulaulan01@gmail.comHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans cet extrait, Mounia Erkha — coach de CEO et chamane assumée — démonte la mécanique émotionnelle des dirigeants face au danger.Elle explique les 3 réactions possibles lorsqu’un leader se sent menacé… et surtout comment certaines émotions sabotent la performance, tandis que d'autres deviennent des leviers puissants.Mounia distingue les émotions inutiles, comme la honte (“je ne suis pas assez”), qui écrase et fige…… des émotions utiles, comme la culpabilité (“j’ai fait quelque chose que je veux changer”), qui ouvre la porte à l’action et au leadership conscient.Ce passage, c’est une masterclass sur :• comment les CEO interprètent (mal) leurs signaux internes• pourquoi certains explosent sous pression• ce qui se joue réellement dans l’inconscient d’un dirigeant• comment transformer une émotion en information au lieu de la subir• comment identifier en soi une réaction de fuite, d’attaque ou de sidérationEn filigrane, on comprend mieux le parcours atypique de Mounia : Centrale Paris, VC chez ISAI, vie parfaite sur le papier… puis effondrement intérieur et plongée radicale dans le travail sur soi.Aujourd’hui, elle accompagne les dirigeants les plus rationnels avec une méthode qui combine neurosciences, inconscient et spiritualité appliquée.Un extrait brut, simple, radical — qui montre comment un leader peut passer d’un automatisme destructeur… à une lucidité transformatrice.Ma chaîne Youtube (épisodes en vidéo) : @MatthieuLaulanPour être sponsor de l'émission : matthieulaulan01@gmail.comHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans cet extrait, on aborde un sujet que tous les fondateurs finissent par rencontrer tôt ou tard : trouver sa zone de génie, accepter que son rôle change quand l’entreprise grandit, et apprendre à ne plus être au sommet de la pyramide. Une transition qui n’a rien d’évident. Une transition qui confronte l’ego, la peur de perdre sa place, la difficulté de déléguer, la nécessité de manager différemment, et la question clé : où suis-je réellement utile ?C’est une discussion intime et sans filtre sur un passage que beaucoup de dirigeants vivent mais que peu racontent publiquement : le moment où tu dois recruter meilleur que toi, un “boss”, un DG, quelqu’un qui va reprendre la gestion opérationnelle, structurer, décider, manager… et potentiellement prendre la lumière. Ce moment où l’entreprise a besoin d’autre chose que l’énergie du founder. Où la croissance impose un changement de rôle. Et où tout l’enjeu devient de comprendre : comment je continue d’être un bon fondateur sans être le manager de tout ?On parle de la difficulté de lâcher prise quand on a construit une boîte en partant de zéro. Quand on a longtemps été le centre, le moteur, le décideur, le pompier, le stratège, le commercial, le recruteur, le chef d’orchestre. Quand on était partout, tout le temps. Et que soudain, la boîte grandit, l’équipe s’étoffe, les besoins évoluent… et tu dois admettre que pour continuer de grandir, ce n’est plus toi la bonne personne pour certains rôles.Dans cet échange, on revient sur ce moment précis : celui où il a recruté “un vrai boss”. Un profil senior, un dirigeant expérimenté, qui savait mieux structurer, mieux manager, mieux organiser, mieux planifier. Et ce recrutement, aussi rationnel soit-il, a fait remonter toutes les peurs :• “Est-ce que je vais devenir inutile ?”• “Est-ce que je vais être sacrifié ?”• “Et si l’équipe préfère travailler avec lui qu’avec moi ?”• “Qui suis-je si je ne suis plus le CEO opérationnel ?”Ma chaîne Youtube (épisodes en vidéo) : @MatthieuLaulanPour être sponsor de l'émission : matthieulaulan01@gmail.comHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
J’ai retenu 6 leçons contre-intuitives de management de mon échange avec ce CEO de 300 salariés :“J’ai cramé mon équipe avec trop d’autonomie”.Il pensait être un bon manager en laissant chacun libre. Il a réalisé que sans cadre, aucune progression n’est possible.“La solitude du dirigeant augmente” – Plus tu réussis, plus il y a la peur de décevoir, le besoin d’être aimé, et la responsabilité vis-à-vis des associés et des équipes. Il faut l’accepter.“L’insatisfaction comme moteur” : il performe quand il est sous pression, quitte à s’épuiser parfois. La vie est une question de déséquilibre choisi.“Tu fais du service ? sois humain » :À l’heure où beaucoup rêvent d’automatiser leurs équipes avec l’IA…lui mise sur des collaborateurs épanouis comme unfair advantage.“Mêler le pro & le perso” – Sa femme est entrepreneure, et il s’est associé à son pote. Le risque est gros mais les avantages sont multipliées par 10.“Ta place de fondateur n’est pas en haut de la pyramide”. C’est dur pour l’ego mais ton rôle n’est pas d’être CEO ad vitam eternam. Surtout si tu n’aimes pas manager. Concentre-toi sur tes forces : le newbiz, le développement, etc.Cet épisode, c’est l’histoire d’un mec qui a construit un cabinet de 300 personnes, dans 3 pays, sans lever un seul euro.Thiga, c’est 30M€ de chiffre d’affaires en 2025.Mais derrière les chiffres, il y a Hugo Geissmann.→ Le pionnier du Product Management en France. → Un jeune manager (27 ans au lancement) face à l’hypercroissance → Le mari d’une entrepreneuse. → Et surtout, un homme honnête sur ce que coûte le succès.Cet épisode d’À Poil et Sans Filet s’adresse à celles et ceux qui veulent grandir en tant que leaders, mieux comprendre leur psychologie, et réussir sans se perdre :• fondateurs• managers• dirigeants• entrepreneurs en croissance• ceux qui cherchent leur place dans une entreprise qui scale• ceux qui veulent performer sans sacrifier leur humanitéUn épisode qui casse les mythes et explore la vérité brute de l’entrepreneuriat : celle qu’on n’ose pas dire sur LinkedIn, mais qu’on partage enfin ici, sans filtre.Ma chaîne Youtube (épisodes en vidéo) : @MatthieuLaulanPour être sponsor de l'émission : matthieulaulan01@gmail.comHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans cet extrait, j’échange avec Hugo Geissmann sur un sujet rarement exploré : comment vivre une relation amoureuse quand on est deux entrepreneurs. On parle de gestion d’entreprise, de management, d’équilibre vie pro / vie perso, de charge mentale et de la manière dont le couple influence — ou complique — les décisions professionnelles. Comment s’épauler sans se marcher dessus ? Comment protéger la vie perso quand le business occupe tout l’espace ? Un échange authentique sur les forces, les tensions et les opportunités d’un couple qui construit deux entreprises en parallèle.Ma chaîne Youtube (épisodes en vidéo) : @MatthieuLaulanPour être sponsor de l'émission : matthieulaulan01@gmail.comHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Les discours sur le bien-être au travail pullulent sur Linkedin. C’est le concours de celui qui a l’air le plus gentil avec sa semaine de 4j→ “Ma boîte, c’est une famille.” → “On fait des afterworks tous les jeudis.” → “On est classés Happy at Work.”Pourtant la détresse psychologique au travail est flagrante, surtout chez les jeunes → En France, 46% des jeunes diplômés quittent leur 1er emploi dans l’année (Ipsos 23) → Les 20-25 ans trouvent à 70% que le travail est plus stressant qu’épanouissant (Ipsos 25) → Et 1 sur 3 finit en burn-out ou bore-out avant ses 30 ans (France Burnout)Alors où est la limite entre le “Happiness Washing” au travail et les vraies solutions (contre l'immobilité) ?Pour y répondre je reçois Alexandre DanaEn 10 ans, il coche toutes les cases de l’entrepreneur à succèsCo-CEO de LiveMentor, +15 M€ de chiffre d’affaires.Journaliste pour le podcast Métamorphose, écouté plus de 2 millions de fois/ moisSon livre Entreprendre et (surtout) être heureux a fait un cartonDirecteur de collection chez Eyrolles, maison d’édition à succès.Et même directeur de sa propre maison d’édition.Mais ces “vanity metrics” ont un prix : 2 burnouts, un troisième frôlé.Alexandre parle ouvertement de la fragilité mentale des entrepreneurs, ces hyper-performeurs incapables de lâcher prise.Et il consacre désormais son énergie à un combat vital : la santé au travail, en particulier la lutte contre l'immobilité. Son dernier livre : La Chaise tue, est le cri d’alerte d’un dirigeant qui a compris que le danger ne vient plus du travail… mais de l’immobilité.Derrière les baby-foots et les “semaines de 4 jours”, on a perdu la flamme.Et si, comme dans Wall-E, notre quête de bien-être nous menait droit vers un monde où on ne souffre plus… mais on ne vit plus non plus ?Ma chaîne Youtube (épisodes en vidéo) : @MatthieuLaulanPour être sponsor de l'émission : matthieulaulan01@gmail.comHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Alexandre et Matthieu discutent du fléau de la sédentarité...et à quel point tout effort pour être en bonne santé reste vain si tu passes ta vie le cul vissé sur ta chaise. En parallèle on explore les différents moyens d'être en bonne santé. Le travail c'est la santé, ne rien faire c'est la conserver ? Ma chaîne Youtube (épisodes en vidéo) : @MatthieuLaulanPour être sponsor de l'émission : matthieulaulan01@gmail.comHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Derrière chaque rapport à l’argent, il y a une histoire de famille.Chez Anaïs, la peur de manquer s’est longtemps glissée dans ses choix, ses ambitions, même dans sa façon d’entreprendre.Dans cet extrait, elle raconte comment ce rapport à l’argent — transmis sans qu’on s’en rende compte — peut freiner… ou libérer.--------Ma chaîne Youtube (épisodes en vidéo) : @MatthieuLaulanPour être sponsor de l'émission : matthieulaulan01@gmail.comHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Le piège des managers (trop) gentils : Ils démotivent leur équipe. Ils fuient les conflits au lieu de les régler. Ils laissent passer des comportements toxiques. Ils font partir les meilleurs éléments.Anaïs Georgelin en a vu passer des dizaines.Des talents brillants. Des experts métiers. A qui on a vendu le management comme une promotion, non une compétence.Alors du jour au lendemain :→ plus le temps de faire leur vrai métier→ zéro formation,→ une solitude brutale.Résultat l’expérience de management est catastrophique, pour eux comme pour l’équipe.Anaïs, elle, sait de quoi elle parle.Trois jobs.Trois désillusions.Un burnout.Alors en 2017, elle a fondé SoManyWays.Depuis, elle a formé 7 000 managers dans plus de 200 entreprises.Et elle dit tout haut ce que beaucoup pensent tout bas sur le management.Dans ce nouvel épisode, on a parlé ensemble de :→ ces “gentils” managers qui font tout…sauf manager→ ces décisions difficiles qu’on repousse trop longtemps→ ces feedbacks qu’on édulcore jusqu’à les rendre inutilesUn échange utile aux “boss” comme à leur équipe.PS : comme disent les Anglais…you wanna get love ? Take a puppy 🐶---------Retrouvez aussi sur Ausha un extrait de cet épisode sur la bêtise de voir le management comme une promotion et non une compétence. On a fait croire à des experts qu’ils deviendraient de meilleurs pros en devenant… managers.Sauf que manager, ce n’est pas une promotion, c’est un métier.Anaïs Georgelin en a vu des dizaines se cramer là-dedans — entre solitude, maladresses et bonne volonté mal placée.Dans cet extrait, on démonte ensemble ce grand malentendu du monde du travail.-------------------Ma chaîne Youtube (épisodes en vidéo) : @MatthieuLaulanPour être sponsor de l'émission : matthieulaulan01@gmail.comHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
On a fait croire à des experts qu’ils deviendraient de meilleurs pros en devenant… managers.Sauf que manager, ce n’est pas une promotion, c’est un métier.Anaïs Georgelin en a vu des dizaines se cramer là-dedans — entre solitude, maladresses et bonne volonté mal placée.Dans cet extrait, on démonte ensemble ce grand malentendu du monde du travail.Ma chaîne Youtube (épisodes en vidéo) : @MatthieuLaulanPour être sponsor de l'émission : matthieulaulan01@gmail.comHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
7 boîtes / 10 meurent d’un conflit entre associés. J’ai reçu l’avocat qui raconte les histoires dont on ne parle jamais dans les podcasts business.La cause de faillite n°1 n'est pas le manque de clients ou le mauvais produit.Mais le non-dit.L'ego mal géré ou le “on verra plus tard”. Le problème, ce n’est pas le désaccord entre fondateurs.C’est de ne pas savoir le nommer, l’écouter, le traiter.Franck Debue a accompagné plus de 400 entrepreneurs dans des moments critiques : tensions, trahisons, manipulations, procès.Il connaît les dessous du cirque à paillettes sur Linkedin.→ les deux potes de 10 ans qui ne se parlent plus→ le fondateur qui disparaît sans prévenir→ la startup qui cartonnait, jetée à la poubelle pour une séparation mal géréeFranck est direct. Sans doute car il a connu lui-même la douleur du divorce, dans le travail comme dans la vie. Sa lucidité et ses punchlines ont séduit près de 30 000 personnes sur les réseaux sociaux.Et cerise sur le gâteau c’est l’avocat le plus humain que je connaisse.Au delà des chiffres et des contrats, il cherche à comprendre la blessure émotionnelle à la source de chaque différent.Dans cet épisode d’utilité publique de A Poil et Sans Filet, on parle de :- Pourquoi on choisit souvent le mauvais associé (même si c’est un ami)- Comment éviter de devenir prisonnier d’un lien professionnel- Pourquoi nos émotions sont nos pires ennemis pour décider- Et surtout : comment se séparer sans tout casserPS : lisez sa newsletter (lien en 1er commentaire) - ça vous économisera des milliers d'euros. ------------⏱️ Timeline de l'épisode ⏱️00:00:00 - L’art de raconter des conflits d’associés00:05:06 - Pourquoi les conflits d’associés détruisent 7 entreprises sur 1000:10:31 - Divorce, deuil et choix du mauvais associé00:12:53 - Assertivité vs manipulation dans les relations professionnelles00:19:12 - No emotions, no business00:25:20 - Reconnaître une relation professionnelle toxique00:28:27 - Les règles d’une bonne association00:36:41 - S’associer en famille ou en couple00:42:31 - Pourquoi les conflits d’associés restent un sujet tabou00:46:32 - Vautours et fonds d’investissement00:50:03 - C’est quoi un bon pacte d’associés ?00:54:30 - FinMa chaîne Youtube (épisodes en vidéo) : @MatthieuLaulanPour être sponsor de l'émission : matthieulaulan01@gmail.comHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Faut-il vraiment un pacte d’associés ? Et si oui, comment éviter de signer un document inutile ou dangereux ?Dans cet extrait, l’avocat Franck Debue partage les 5 clauses essentielles à prévoir dès le départ : durée du pacte, exclusion, maladie, décès…Sans langue de bois, il démonte les pactes à rallonge signés les yeux fermés… et explique comment éviter que ta boîte explose en plein vol.À écouter si tu veux éviter le tribunal… et garder ton amitié intacte.Ma chaîne Youtube (épisodes en vidéo) : @MatthieuLaulanPour être sponsor de l'émission : matthieulaulan01@gmail.comHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Le business ne se fait pas dans une salle de conférence climatisée. Il se créée dans le vent, le sable, et la confiance partagée. C'est l'intuition qu'a eu un jour Laurent Houitte. Alors après 10 ans dans le conseil, il balance le costume.Il garde juste un short et une GoPro.Et en 2014, il lance Kite & Connect.Depuis, il a construit un réseau d’entrepreneurs extraordinaire :→ 300 CEO qui bloquent 4 jours par an pour faire du kite à Dakhla→ Aucun dress code (sauf la crème solaire)→ Plus de 50 rencontres par an, à Paris ou au bord de l’eauRésultat :→ 500 membres, du freelance paumé au fondateur de scale-up insomniaque→ 250 millions d’euros de business échangés en maillot de bain→ 1 % du chiffre d’affaires reversé à la planète (après tout, elle prête le spot)Mais une question revient toujours depuis 11 ans :« Est-ce un vrai business ? Ou juste un club de potes ? »Peut-être que c’est les deux.Et c’est justement ça, le twist.Laurent a transformé l’amitié en modèle économique — ou l’inverse.👉 250 millions d’euros sur la plage : les dessous d’un club business improbable — c’est le nouvel épisode de A Poil et Sans Filet.- l'épisode en vidéo : https://taap.it/uncB1P- l'épisode en audio sur Spotify, Apple Podcast etc. PS : Sa réponse à “la dernière fois qu’il s’est senti à poil” vaut de l’or.Ma chaîne Youtube (épisodes en vidéo) : @MatthieuLaulanPour être sponsor de l'émission : matthieulaulan01@gmail.comHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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