DiscoverA suivre : histoires et séries à binger
A suivre : histoires et séries à binger
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A suivre : histoires et séries à binger

Author: ARTE Radio

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Description

A suivre, c’est un podcast addictif de séries complètes à binger. Fictions haletantes ou documentaires à couper le souffle, on a en soute des centaines d’épisodes d’histoires impossibles à lâcher avec du suspense, des rebondissements, des cliffhangers et des montagnes russes émotionnelles.

Sont fabriquées sur mesure des investigations minutieuses, des enquêtes de terrain, des immersions au long cours, des odyssées personnelles, des cold cases en mode true crime, mais aussi des errances poétiques, des quêtes des origines, des introspections au scalpel, des blagues à tiroirs, des épopées sans filtres, des aventures rocambolesques, des voyages immobiles, des questionnements obsessionnels, des explorations hors la loi, des journaux intimes, des mythologies urbaines ou rurales, des feuilletons comme au bon vieux temps, des fresques chatoyantes, des cycles de récits, des aventures scientifiques, des questionnements éclairés, des doutes à la première personne, et des  traversées intimes ou familiales. Et tout ça enregistré avec un soin maniaque, mixé aux petits oignons et réalisé et mis en musique comme jamais.

Vous avez des heures d’écoute devant vous que vous pourrez doser à votre rythme : soit tous les épisodes en même temps, avec la boite de kleenex sous la main pour occuper les heures d’insomnies, ou alors à petite dose, pour faire durer le plaisir et vivre au rythme des personnages de la série. Mais quoi qu’il en soit, ces épisodes peuvent s’écouter tout seul ou toute seule roulée dans sa couette ou ensemble dans la voiture pour avoir les cœurs qui battent au même rythme et avoir le souffle coupé en même temps. Allez vite, mets-nous la suite ! Ça peut aussi être des épisodes pour donner le tempo et se fixer un nombre de tours de pâtés de maison à courir en crachant ses poumons ou pour venir à bout d’un grand cycle de ménage. Allez encore un épisode et j’arrête.

Avec nous vous chercherez à savoir qui a tué Maurice à coups de marteau, vous deviendrez un expert de l’intérim du crime et du trafic, vous écouterez des braqueurs raconter leur vie dangereuse, des dealers de drogues expliquer comment ils travaillent, une prof qui retrouve ses élèves 10 ans après, un nombre infini de secrets de famille, dont certains cachent des secrets d’histoire, vous irez tremper dans des affaires de meurtre, vous entendrez comment la guerre d’Algérie a pu laisser des traces dans les esprits et parfois les corps de certaines familles, vous plongerez dans des séquences de nostalgie où l’on se souvient de ses années d’école, de ses vacances, de ses premières amours, de ses années collège, de ses vieilles histoires de famille. Vous tenterez de comprendre comment on en vient à obéir à un gourou ou à entrer dans une secte, vous écouterez des avocats et des avocates raconter les rouages de la justice, des rockeurs, des rockeuses, des rappeurs, des rappeuses, des punks, des compositeurs, des compositrices vous livrer les secrets de leur musique, des jeunes filles ou des vieilles femmes vous raconter leur féminisme et vous expliquer comment se construit le genre, tout en vous expliquant pourquoi la théorie du genre ça n’existe pas, vous saurez tout sur la parentalité et pourrez faire des choix éclairés grâce à des jeunes parents dépassés, des vieux parents dépassés ou de futurs parents dépassés qui partagent leurs doutes et leur crises de nerfs, en tous les cas on vous aura prévenu, vous aurez envie de vous mettre à table pour manger des brochettes avec des rabbins et des imams, vous saurez tout sur les enlèvements à l’italienne, vous voguerez sur les mers avec une pirate, vous écouterez les mille moyens qui existent pour se débarrasser d’une maladie de peau, vous chercherez comment échapper à un cavalier noir, vous vous mettrez au foot, vous deviendrez nostalgiques des messages qu’on laissait sur les répondeurs, vous vivrez de folles aventure en open space, vous partirez sur les traces d’une chanteuse disparue, vous saurez tout sur les meilleurs dj’s, vous écouterez les souvenirs de jeunes hommes qui ont grandi dans la même cité, vous vous immergerez dans les sons infinis de l’Amazonie, vous explorerez vos chemins de désir, vous ferez l’inventaire de vos pelles et de vos râteaux, vous serez catapultés dans des permanences d’écoute, chez des thérapeutes ou des assistantes sociales, vous repasserez le permis, vous remplirez votre coffre à la perfection avant de prendre la route du bled, vous ferez connaissance avec des pères défaillants et des mères débordées, vous ferez un road trip en mode gonzo jusqu’à las Vegas, vous écouterez de très près les sons de la guerre, et ceux de l’occupation, mais vous apprendrez à finir une guerre et à tenter de faire la paix, vous fréquenterez la mort de près pour mieux l’apprivoiser et vous vivrez par procuration d’autres vies, d’autres époques, d’autres histoires, d’autres aventures,  d’autre combats et d’autres chagrins. Bref, A suivre c’est le podcast pour les bois sans soif qui veulent toujours un épisode de plus pour savoir ce qu’il se passe ensuite. A suivre donc, sur ARTE Radio. Je crois que j’ai enfin atteint les 4000 signes demandés par l’expert qui veut nous faire remonter dans l’algorithme. Ouf.

120 Episodes
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Ah les vacances ! Enfin, le moment de se reposer ! Pour tout le monde ? Pas vraiment. Dans une une étude Ifop datant de 2022, on apprenait qu’à la fin de leurs congés, les femmes sont 70% à se trouver se trouver finalement plus fatiguées qu’avant les vacances. Les hommes eux sont 57 % à partager ce ressenti. Et la réalité, c'est que les parents ne partent pas vraiment en vacances. Ils s’occupent juste de leurs enfants dans une ville différente. Ce qu'on devrait appeler la délocalisation parentale est donc globalement une arnaque. Vous croyez que vous partez en vacances, parce que factuellement vous allez dans un endroit super où il fait bon vivre. Un endroit où il y a parfois une piscine, la mer, la montagne, de belles balades à faire, des musées exceptionnels à visiter. Et vraiment, c’est merveilleux tout ça MAIS vous n’allez juste pas en profiter. Tout simplement parce que vous partez “en vacances” avec les personnes certes les plus mignonnes du mondes mais aussi : les pires pour en profiter. Crises, nuits agitées, machines à laver, charge mentale intacte, les vacances épuisent. Mais alors que faire face à ce constat : rêver d'autres ailleurs comme Renée Greusard ou épouser sagement la réalité comme son compagnon Clément ? C'est ce dilemme que la journaliste raconte dans "Les vacances sa mère", mais aussi tout ce qu'il implique comme réflexions sociétales.Description générale "Les vacances sa mère" est une série qui explore les difficultés de la parentalité particulièrement saillantes pendant les vacances, puisqu'elles n'offrent souvent aucune échappatoire.Bibliographie- "Les grandes oubliées : Pourquoi l'Histoire a effacé les femmes" de Titiou Lecoq- Éditions de l'Iconoclaste, 2021 "Avoir des enfants rend-il heureux ?" de Béatrice Kammerer- Sciences humaines 2021 "Le ménage : La fée, la sorcière et l'homme nouveau" de Christine Castelain-Meunier, Stock, 2013 Enregistrements Printemps 2025 Prise de son et montage Renée Greusard Réalisation Annabelle Brouard Mixage Arnaud Forest Illustration Malijo Production ARTE Radio
Ah les vacances ! Enfin, le moment de se reposer ! Pour tout le monde ? Pas vraiment. Dans une une étude Ifop datant de 2022, on apprenait qu’à la fin de leurs congés, les femmes sont 70% à se trouver se trouver finalement plus fatiguées qu’avant les vacances. Les hommes eux sont 57 % à partager ce ressenti. Et la réalité, c'est que les parents ne partent pas vraiment en vacances. Ils s’occupent juste de leurs enfants dans une ville différente. Ce qu'on devrait appeler la délocalisation parentale est donc globalement une arnaque. Vous croyez que vous partez en vacances, parce que factuellement vous allez dans un endroit super où il fait bon vivre. Un endroit où il y a parfois une piscine, la mer, la montagne, de belles balades à faire, des musées exceptionnels à visiter. Et vraiment, c’est merveilleux tout ça MAIS vous n’allez juste pas en profiter. Tout simplement parce que vous partez “en vacances” avec les personnes certes les plus mignonnes du mondes mais aussi : les pires pour en profiter. Crises, nuits agitées, machines à laver, charge mentale intacte, les vacances épuisent. Mais alors que faire face à ce constat : rêver d'autres ailleurs comme Renée Greusard ou épouser sagement la réalité comme son compagnon Clément ? C'est ce dilemme que la journaliste raconte dans "Les vacances sa mère", mais aussi tout ce qu'il implique comme réflexions sociétales.Description générale "Les vacances sa mère" est une série qui explore les difficultés de la parentalité particulièrement saillantes pendant les vacances, puisqu'elles n'offrent souvent aucune échappatoire.Bibliographie- "Les grandes oubliées : Pourquoi l'Histoire a effacé les femmes" de Titiou Lecoq- Éditions de l'Iconoclaste, 2021 "Avoir des enfants rend-il heureux ?" de Béatrice Kammerer- Sciences humaines 2021 "Le ménage : La fée, la sorcière et l'homme nouveau" de Christine Castelain-Meunier, Stock, 2013 Enregistrements Printemps 2025 Prise de son et montage Renée Greusard Réalisation Annabelle Brouard Mixage Arnaud Forest Illustration Malijo Production ARTE Radio
Récits croisés des vacances des Français d'origine maghrébine Le détroit de Gibraltar et ses gigantesques bateaux-ferrys, dans lesquels on se sent parfois entassés comme du bétail, réservent quelques épreuves mais le soulagement se fait sentir avec l’odeur de la mer. C’est la grande traversée ! Enfin, ça y est, on met le pied sur le sol du pays d'origine. Un poids tombe des épaules des parents et les enfants commencent à imaginer la fin de ce voyage sans fin. Même s’il reste encore beaucoup de route pour certains avant la destination finale, le but est presque atteint et ce sera peut-être le premier restaurant, les premières grillades tant attendues. On les dégustera comme jamais.La route du bledLa route du bled, c’est le rituel du retour au pays d'origine pour les vacances estivales au Maroc. On est dans les années 80-90, un porte-bagages chargé à bloc sur la Renault Nevada, et parfois même une remorque, avec des malles bleues et des sacs Tati qui débordent. Une brochette d’enfants sur la banquette arrière qui se disputent la place dans le coffre pour piquer un somme tranquille. Une maman qui cuisine sur le butagaz dans les aires de repos et qui refuse de fermer l’œil de peur que son mari s’endorme au volant. Des affiches d’interdiction de se laver les pieds dans les lavabos des stations-services espagnoles (ablutions non désirées !). Tout ça sur des routes sinueuses et denses (les autoroutes espagnoles n’étaient encore qu’un rêve), sans GPS (mais avec des cartes Michelin) et bien-sûr sans clim. C’est un mélange de nostalgie joyeuse et douce-amère qui fait remonter à la surface les souvenirs d’une époque. Un road trip dans l’histoire des Maghrébins de France.Ayant connu elle-même la route du bled lors des vacances au pays de ses parents, Halima Elkhatabi a choisi de faire raconter cette histoire par plusieurs voix. Drôles, lucides et contradictoires, mais toujours émouvantes, les paroles des unes et des autres tissent un récit méconnu et picaresque, partagé par des millions de Français d'origine maghrébine. Enregistrements novembre-décembre 2018 Publication originale 27 juin 2019 Réalisation & mix Arnaud Forest Assistante recherche Safia Elkhatabi Illustrations Rachid Sguini Production ARTE Radio
Récit à mille voix d'une épopée familiale Quand on pense à la route du bled, c'est la traversée de l'Espagne qui surgit dans nos mémoires comme la partie la plus longue, la plus ardue, la plus fatigante. Chacun la vit (et y survit) à sa manière. La langue, le rapport avec les Espagnols, les pannes sur les routes de campagne, la chaleur pesante... Puis, enfin, l’arrivée à Algesiras où l'attente avant d'embarquer est interminable sous le soleil plombant. La fin approche mais ressemble à un mirage. On est exténué, déshydraté et on a surtout besoin d’un vrai répit.La route du bledLa route du bled, c’est le rituel du retour au pays d'origine pour les vacances estivales au Maroc. On est dans les années 80-90, un porte-bagages chargé à bloc sur la Renault Nevada, et parfois même une remorque, avec des malles bleues et des sacs Tati qui débordent. Une brochette d’enfants sur la banquette arrière qui se disputent la place dans le coffre pour piquer un somme tranquille. Une maman qui cuisine sur le butagaz dans les aires de repos et qui refuse de fermer l’œil de peur que son mari s’endorme au volant. Des affiches d’interdiction de se laver les pieds dans les lavabos des stations-services espagnoles (ablutions non désirées !). Tout ça sur des routes sinueuses et denses (les autoroutes espagnoles n’étaient encore qu’un rêve), sans GPS (mais avec des cartes Michelin) et bien-sûr sans clim. C’est un mélange de nostalgie joyeuse et douce-amère qui fait remonter à la surface les souvenirs d’une époque. Un road trip dans l’histoire des Maghrébins de France.Ayant connu elle-même la route du bled lors des vacances au pays de ses parents, Halima Elkhatabi a choisi de faire raconter cette histoire par plusieurs voix. Drôles, lucides et contradictoires, mais toujours émouvantes, les paroles des unes et des autres tissent un récit méconnu et picaresque, partagé par des millions de Français d'origine maghrébine. Enregistrements novembre-décembre 2018 Publication originale 20 juin 2019 Réalisation & montage Halima Elkhatabi Réalisation & mix Arnaud Forest Assistante recherche Safia Elkhatabi Illustrations Rachid Sguini Production ARTE Radio
Début du voyage, des bagages et cadeaux plein le toit Quand on peut partir pour les vacances d'été au pays d'origine, au Maghreb, les préparatifs débutent plusieurs semaines à l'avance. On accumule de nombreux bagages. Chacun a son avis sur leur contenu, leur nombre, leur poids, mais ce qui compte avant tout, ce sont les cadeaux pour la famille ! Le grand départ se fait tôt le matin ou au coucher du soleil pour éviter les bouchons et passer inaperçus avec la montagne de bagages sur le toit couverts de la légendaire bâche bleue. La traversée de la France est l'étape la moins pénible du voyage. La fatigue n'est pas encore installée, les routes sont belles et plutôt clémentes. Pour les enfants, c'est quand même le début de la galère, on ne sait pas où mettre les pieds, avec la glacière qui prend toute la place et les sacs enfouis un peu partout. Péage de St-Arnoult, Bordeaux, Hendaye, plusieurs étapes importantes et déjà quelques (més)aventures alors qu’on n’a pas encore atteint la première frontière.La route du bledLa route du bled, c’est le rituel du retour au pays pour les vacances estivales au Maroc. On est dans les années 80-90, un porte-bagages chargé à bloc sur la Renault Nevada, et parfois même une remorque, avec des malles bleues et des sacs Tati qui débordent. Une brochette d’enfants sur la banquette arrière qui se disputent la place dans le coffre pour piquer un somme tranquille. Une maman qui cuisine sur le butagaz dans les aires de repos et qui refuse de fermer l’œil de peur que son mari s’endorme au volant. Des affiches d’interdiction de se laver les pieds dans les lavabos des stations-services espagnoles (ablutions non désirées !). Tout ça sur des routes sinueuses et denses (les autoroutes espagnoles n’étaient encore qu’un rêve), sans GPS (mais avec des cartes Michelin) et bien-sûr sans clim. C’est un mélange de nostalgie joyeuse et douce-amère qui fait remonter à la surface les souvenirs d’une époque. Un road trip dans l’histoire des Maghrébins de France.Ayant connu elle-même la route du bled lors des vacances au pays de ses parents, Halima Elkhatabi a choisi de faire raconter cette histoire par plusieurs voix. Drôles, lucides et contradictoires, mais toujours émouvantes, les paroles des unes et des autres tissent un récit méconnu et picaresque, partagé par des millions de Français d'origine maghrébine. Enregistrements novembre-décembre 2018 Publication originale 13 juin 2019 Réalisation & montage Halima Elkhatabi Réalisation & mix Arnaud Forest Assistante recherche Safia Elkhatabi Illustrations Rachid Sguini Production ARTE Radio
Une saison pop et populaire À l'occasion de sa troisième saison, la série Beatmakers devient un podcast à part entière. Dès le 30 juillet, découvrez toutes les deux semaines une plongée dans la fabrique d'un banger et d'un hit, dans une saison pop et populaire toujours réalisée par David Commeillas et Samuel Hirsch. Zaho de Sagazan, Aya Nakamura, Théodora : tous les genres y sont. Rendez-vous le 30 juillet sur notre site, notre application, ou vos plateformes d'écoute préférées. Auteurs David Commeillas, Samuel Hirsch Réalisation Etienne Bottini Illustration Mathieu Choinet Production ARTE Radio
Quand on a enfin une théorie Dans la famille de Louise, la mort a sévi de façon brutale et tragique. Et celle de Maurice permet d’aborder la manière dont cette mort et les traumatismes peuvent se transmettre de génération en génération… En accédant au dossier judiciaire de l’affaire, Louise parvient à une conclusion. Si elle ne trouve pas le détail “clé” qui ferait changer l’affaire, elle s’intéresse toutefois à l’homme condamné en 1984 : le comptable Jean Mawem, dont la personnalité complexe et le mobile probable peuvent expliquer tout un tas de choses…Qui a tué Maurice ? : enquête sur un cold case familialParis, 1980. Maurice Régent est retrouvé massacré dans la cave de son étude de notaire. Un suspect est arrêté et condamné... pour complicité. Quarante ans plus tard, sa petite-fille décide de rouvrir l’enquête, pour enfin lever le tabou familial.Remerciements :Merci à Corinne Hermann, Philippe Boxho, Olivier Foll, Florence Deguen d'avoir accepté de participer à cette enquête. Merci à toute l'équipe d'Arte Radio d'avoir accepté de prêter leurs voix avec talent, ainsi qu'à Victor Matet. Merci à Chloé Assous-Plunian, d'y avoir toujours cru, et ce depuis le début. Un très grand merci à Philippe Jaenada d'avoir répondu présent et d'avoir pris de temps de me prodiguer ses précieux conseils. Merci aux membres de ma famille qui ont accepté de m'accompagner dans cette aventure, en particulier Sébastien. Ce podcast est pour mes enfants, mes soeurs, mon compagnon. Il est évidemment pour mon père. Enregistrements février 2023-juin 2025 Prise de son Louise Régent Entretien et montage Louise Régent Réalisation Arnaud Forest Mixage Arnaud Forest Musiques originales Arnaud Forest Illustration Mélanie Deyme Production ARTE Radio
Quand il est difficile de parler des morts Décrit comme “autoritaire”, “strict” et distant, Maurice était un notaire “carré”. Mais son meurtre pourrait-il être le fruit d’un règlement de comptes ? Un crime crapuleux ? En interrogeant son cousin, successeur de l’étude notariale, mais aussi un ancien commissaire de police de Paris, qui a été chef adjoint à la Brigade criminelle et saisi pour l’affaire, et une avocate pénaliste, c’est l’occasion pour Louise de partir dans le Paris des années 1980, de creuser ce tabou et de continuer à fouiller, comme elle dit, dans “les poubelles de la famille”…Qui a tué Maurice ? : enquête sur un cold case familialParis, 1980. Maurice Régent est retrouvé massacré dans la cave de son étude de notaire. Un suspect est arrêté et condamné... pour complicité. Quarante ans plus tard, sa petite-fille décide de rouvrir l’enquête, pour enfin lever le tabou familial.Remerciements :Merci à Corinne Hermann, Philippe Boxho, Olivier Foll, Florence Deguen d'avoir accepté de participer à cette enquête. Merci à toute l'équipe d'Arte Radio d'avoir accepté de prêter leurs voix avec talent, ainsi qu'à Victor Matet. Merci à Chloé Assous-Plunian, d'y avoir toujours cru, et ce depuis le début. Un très grand merci à Philippe Jaenada d'avoir répondu présent et d'avoir pris de temps de me prodiguer ses précieux conseils. Merci aux membres de ma famille qui ont accepté de m'accompagner dans cette aventure, en particulier Sébastien. Ce podcast est pour mes enfants, mes soeurs, mon compagnon. Il est évidemment pour mon père. Enregistrements février 2023-juin 2025 Prise de son Louise Régent Entretien et montage Louise Régent Réalisation Arnaud Forest Mixage Arnaud Forest Musiques originales Arnaud Forest Illustration Mélanie Deyme Production ARTE Radio
Quand on regarde des drôles de photos Comment un marteau a-t-il pu être utilisé pour assassiner Maurice ? Louise est hantée par les photos et images de son grand-père mort. Face aux questions et hypothèses, elle sonde un spécialiste.Qui a tué Maurice ? : enquête sur un cold-case familialParis, 1980. Maurice Régent est retrouvé massacré dans la cave de son étude de notaire. Un suspect est arrêté et condamné... pour complicité. Quarante ans plus tard, sa petite-fille décide de rouvrir l’enquête, pour enfin lever le tabou familial.Remerciements :Merci à Corinne Hermann, Philippe Boxho, Olivier Foll, Florence Deguen d'avoir accepté de participer à cette enquête. Merci à toute l'équipe d'Arte Radio d'avoir accepté de prêter leurs voix avec talent, ainsi qu'à Victor Matet. Merci à Chloé Assous-Plunian, d'y avoir toujours cru, et ce depuis le début. Un très grand merci à Philippe Jaenada d'avoir répondu présent et d'avoir pris de temps de me prodiguer ses précieux conseils. Merci aux membres de ma famille qui ont accepté de m'accompagner dans cette aventure, en particulier Sébastien. Ce podcast est pour mes enfants, mes soeurs, mon compagnon. Il est évidemment pour mon père. Enregistrements février 2023-juin 2025 Prise de son Louise Régent Entretien et montage Louise Régent Réalisation Arnaud Forest Mixage Arnaud Forest Musiques originales Arnaud Forest Illustration Mélanie Deyme Production ARTE Radio
Quand on apprend qu'il y a une maison à la campagne. Qui a pu asséner des coups de marteau au notaire ? Louise poursuit son enquête familiale et rencontre les personnes de sa famille qui ont connu son grand-père. Au fil des découvertes, des lectures de testaments et de dossiers, elle découvre l’existence d’une maîtresse et d’une maison de campagne…Qui a tué Maurice ? : enquête sur un cold-case familialParis, 1980. Maurice Régent est retrouvé massacré dans la cave de son étude de notaire. Un suspect est arrêté et condamné... pour complicité. Quarante ans plus tard, sa petite-fille décide de rouvrir l’enquête, pour enfin lever le tabou familial.Remerciements :Merci à Corinne Hermann, Philippe Boxho, Olivier Foll, Florence Deguen d'avoir accepté de participer à cette enquête. Merci à toute l'équipe d'Arte Radio d'avoir accepté de prêter leurs voix avec talent, ainsi qu'à Victor Matet. Merci à Chloé Assous-Plunian, d'y avoir toujours cru, et ce depuis le début. Un très grand merci à Philippe Jaenada d'avoir répondu présent et d'avoir pris de temps de me prodiguer ses précieux conseils. Merci aux membres de ma famille qui ont accepté de m'accompagner dans cette aventure, en particulier Sébastien. Ce podcast est pour mes enfants, mes soeurs, mon compagnon. Il est évidemment pour mon père. Enregistrements février 2023-juin 2025 Prise de son Louise Régent Entretien et montage Louise Régent Réalisation Arnaud Forest Mixage Arnaud Forest Musiques originales Arnaud Forest Illustration Mélanie Deyme Production ARTE Radio
Quand on découvre le crime de la rue Saint-Fiacre Juin 1980 : en plein cœur de Paris, le notaire parisien Maurice Régent est retrouvé mort dans la cave de son étude, abattu de 17 coups de marteau. Si un homme a été arrêté et condamné pour complicité d’assassinat, des zones d’ombre subsistent : qui a tué Maurice ? Quarante ans ont passé et sa petite-fille, Louise, est bien décidée à résoudre ce cold case familial, quitte à remuer des traumatismes…Après avoir consulté de premières archives et des documents d’époque, Louise place son enquête sous le patronage du grand romancier Philippe Jaenada, grand spécialiste des faits divers.Qui a tué Maurice ? : enquête sur un cold case familialParis, 1980. Maurice Régent est retrouvé massacré dans la cave de son étude de notaire. Un suspect est arrêté et condamné... pour complicité. Quarante ans plus tard, sa petite-fille décide de rouvrir l’enquête, pour enfin lever le tabou familial.Remerciements :Merci à Corinne Hermann, Philippe Boxho, Olivier Foll, Florence Deguen d'avoir accepté de participer à cette enquête. Merci à toute l'équipe d'Arte Radio d'avoir accepté de prêter leurs voix avec talent, ainsi qu'à Victor Matet. Merci à Chloé Assous-Plunian, d'y avoir toujours cru, et ce depuis le début. Un très grand merci à Philippe Jaenada d'avoir répondu présent et d'avoir pris de temps de me prodiguer ses précieux conseils. Merci aux membres de ma famille qui ont accepté de m'accompagner dans cette aventure, en particulier Sébastien. Ce podcast est pour mes enfants, mes soeurs, mon compagnon. Il est évidemment pour mon père. Enregistrements février 2023-juin 2025 Prise de son Louise Régent Entretien et montage Louise Régent Réalisation Arnaud Forest Mixage Arnaud Forest Musiques originales Arnaud Forest Illustration Mélanie Deyme Production ARTE Radio
Détresse psychologique, découragement et départ Au Mesnil-Amelot, le suivi médical et psychiatrique est pratiquement absent pour accompagner les retenus. Confrontées à la détresse psychologique et aux suicides de plusieurs personnes retenues, qui manquent souvent cruellement de soin, Sonia et Manon perdent espoir. L’impuissance est à la hauteur de leur découragement. Tiraillées entre un sentiment d’échec et leur volonté de poursuivre le combat, elles décident de quitter définitivement le Centre de rétention : c’est là leur dernier recours.Dernier recoursJuristes dans le Centre de rétention administrative du Mesnil-Amelot, en Île-de-France, Sonia et Manon accompagnent des personnes étrangères menacées d’expulsion du territoire français. Mais face aux politiques toujours plus répressives, au manque de moyens et aux conditions de travail éprouvantes, la Cimade, l’association pour laquelle elles travaillent, a décidé de claquer la porte.Un micro caché dans un carton, elles documentent leurs derniers jours dans la structure, entre impuissance, culpabilité et volonté de poursuivre la lutte. Elles donnent la parole aux personnes retenues dans cette « cage » pour dénoncer l’absurdité d’un système gangréné par le racisme, les violences policières, la souffrance psychologique, la dureté des conditions d’enfermement et les violations de l’Etat de droit.Remerciements :Merci à toute l’équipe de la Cimade du Mesnil-Amelot pour leur confiance, aux personnes retenues qui ont accepté de témoigner, à mes camarades Céline Martelet, Arthur Sarradin et Alice Froussard pour leur soutien tout au long de ce projet. À celles et ceux qui luttent. Prise de son Sonia Voisin, Manon Bacha et Noé Pignède Musique originale Samuel Hirsch Réalisation et mixage Samuel Hirsch Enregistrements Décembre 2024 Illustration Bertille de Salins Production ARTE Radio
Au cœur de la violence (policière) Face aux violences policières qui sévissent dans le Centre de rétention administrative, Manon et Sonia se sentent démunies et impuissantes. Terrorisées, peu de personnes retenues osent porter plainte, alors même que la violence se développe entre elles. Leurs témoignages, mêlés à ceux des deux juristes, font le portrait d’un système où règnent l’humiliation et le déferlement de violence. Et les évolutions politiques ne font qu’aggraver la situation…Dernier recoursJuristes dans le Centre de rétention administrative du Mesnil-Amelot, en Île-de-France, Sonia et Manon accompagnent des personnes étrangères menacées d’expulsion du territoire français. Mais face aux politiques toujours plus répressives, au manque de moyens et aux conditions de travail éprouvantes, la Cimade, l’association pour laquelle elles travaillent, a décidé de claquer la porte.Un micro caché dans un carton, elles documentent leurs derniers jours dans la structure, entre impuissance, culpabilité et volonté de poursuivre la lutte. Elles donnent la parole aux personnes retenues dans cette « cage » pour dénoncer l’absurdité d’un système gangréné par le racisme, les violences policières, la souffrance psychologique, la dureté des conditions d’enfermement et les violations de l’Etat de droit.Remerciements :Merci à toute l’équipe de la Cimade du Mesnil-Amelot pour leur confiance, aux personnes retenues qui ont accepté de témoigner, à mes camarades Céline Martelet, Arthur Sarradin et Alice Froussard pour leur soutien tout au long de ce projet. À celles et ceux qui luttent. Prise de son Sonia Voisin, Manon Bacha et Noé Pignède Musique originale Samuel Hirsch Réalisation et mixage Samuel Hirsch Enregistrements Décembre 2024 Illustration Bertille de Salins Production ARTE Radio
Anatomie d’un système vicié Situé à proximité de l’aéroport Paris-Charles de Gaulle, le Centre de rétention administrative du Mesnil-Amelot accueille 240 personnes étrangères menacées d’expulsion. Sonia et Manon, juristes à la Cimade, nous entraînent dans leur quotidien à leur côté dans cette « cage ».Face à des politiques toujours plus répressives, à des conditions de rétention dramatiques et au désespoir des retenus, leur marge de manœuvre est devenue quasi inexistante. Se pose alors la question d’abandonner leurs postes, pour ne plus servir de caution à un système défaillant gangréné par l’injustice…Dernier recoursJuristes dans le Centre de rétention administrative du Mesnil-Amelot, en Île-de-France, Sonia et Manon accompagnent des personnes étrangères menacées d’expulsion du territoire français. Mais face aux politiques toujours plus répressives, au manque de moyens et aux conditions de travail éprouvantes, la Cimade, l’association pour laquelle elles travaillent, a décidé de claquer la porte.Un micro caché dans un carton, elles documentent leurs derniers jours dans la structure, entre impuissance, culpabilité et volonté de poursuivre la lutte. Elles donnent la parole aux personnes retenues dans cette « cage » pour dénoncer l’absurdité d’un système gangréné par le racisme, les violences policières, la souffrance psychologique, la dureté des conditions d’enfermement et les violations de l’Etat de droit.Remerciements :Merci à toute l’équipe de la Cimade du Mesnil-Amelot pour leur confiance, aux personnes retenues qui ont accepté de témoigner, à mes camarades Céline Martelet, Arthur Sarradin et Alice Froussard pour leur soutien tout au long de ce projet. À celles et ceux qui luttent. Prise de son Sonia Voisin, Manon Bacha et Noé Pignède Musique originale Samuel Hirsch Réalisation et mixage Samuel Hirsch Enregistrements Décembre 2024 Illustration Bertille de Salins Production ARTE Radio
Est-ce que le commerce, c’est la paix ? Mehdi et Thomas se penchent sur des questions agro-alimentaires. Ils comprennent vite que le commerce du halal bat son plein, indépendamment des déchirements qui marquent le Moyen-Orient. Dans la street food ou la viande de luxe, le marché halal progresse avec des certifications peu claires. Le label « kashalal » des deux amis doit ainsi trouver sa place et son discours dans un environnement tourmenté, d'autant que leur concurrent à plusieurs longueurs d'avance… Mais au fait, qui a besoin d’eux ?KashalalEntre un steak kasher et un steak halal, à la croisée du business agro-alimentaire, de la théologie, de la sociologie et du bien-être animal, il y a une longue histoire de points communs et un monde de différences. Issus de familles juives et musulmanes sans être pratiquants, Thomas et Mehdi décident d’interroger leur héritage familial et religieux. Pour offrir une table commune aux juifs et musulmans, ils décortiquent les univers du kasher et du halal et veulent les réunir sous un seul et même label : le « kashalal ». Vont-ils trouver des alliés ? Voyage alimentaire dans une comédie documentaire pour un sujet sérieux, où interviennent des spécialistes, des professionnels, des juifs et musulmans pratiquants.AvecAnatole Jacot, juriste à l'INPI ; Florence Bergeaud-Blackler, anthropologue ; Haim Bendao, rabbin de la synagogue Ohel Yaacov à Marseille ; Joseph Melloul, entrepreneur ; Khalil Merroun, recteur de la mosquée d'Evry ; Mohamed Hocine Benkheira, anthropologue ; Slim Loumi, boucher ; un représentant de la société Twilson. Entretien, prise de son, montage Mehdi Ahoudig et Thomas Pendzel Enregistrements 2023-2024 Réalisation Samuel Hirsch Illustration Yasmine Gateau Production ARTE Radio
Cachez ce sang que je ne saurais voir ! Il est temps de rentrer dans le vif du sujet. Avant de pouvoir déposer le label de leur viande unificatrice, Mehdi et Thomas commencent à se renseigner auprès d’abattoirs, mais tout s’avère compliqué. De plus, un sacrificateur, une vétérinaire, deux anthropologues et un rabbin ont des discours aux antipodes sur la souffrance animale et sur la dimension religieuse de l'abattage. Les deux amis ne sont pas vraiment au bout de leurs peines : la viande kasher doit en plus être transformée par le sel ou le feu, et se limiter à l'avant de l'animal en souvenir du patriarche Jacob. Tout concourt à l'échec, l’arrivée imprévue de la concurrence n’est pas sans compliquer les choses…KashalalEntre un steak kasher et un steak halal, à la croisée du business agro-alimentaire, de la théologie, de la sociologie et du bien-être animal, il y a une longue histoire de points communs et un monde de différences. Issus de familles juives et musulmanes sans être pratiquants, Thomas et Mehdi décident d’interroger leur héritage familial et religieux. Pour offrir une table commune aux juifs et musulmans, ils décortiquent les univers du kasher et du halal et veulent les réunir sous un seul et même label : le « kashalal ». Vont-ils trouver des alliés ? Voyage alimentaire dans une comédie documentaire pour un sujet sérieux, où interviennent des spécialistes, des professionnels, des juifs et musulmans pratiquants.AvecAbdelllatif Bidar, sacrificateur ; Alaa Gafouri, ingénieur agronome ; Florence Bergeaud-Blackler, anthropologue ; Haim Bendao, rabbin de la synagogue Ohel Yaacov à Marseille ; Martine Vannetzel, vétérinaire ; Michel Gugenheim, grand rabbin de Paris ; Michel Sarfati, rabbin et président de l'AJMF ; Mohamed Hocine Benkheira, anthropologue ; fidèles de la synagogue Ohel Yaacov à Marseille. Entretien, prise de son, montage Mehdi Ahoudig et Thomas Pendzel Enregistrements 2023-2024 Réalisation Samuel Hirsch Illustration Yasmine Gateau Production ARTE Radio
Ouvrir des portes Mehdi et Thomas commencent leur aventure de réunion des juifs et musulmans. Première étape : comprendre ce qu’est le kasher et le halal. Et ce n’est pas une mince affaire. Qu’est-il autorisé, qu’est-il interdit, et pourquoi ?Les deux amis dressent la table de leurs interrogations : pour faire une viande à la fois kasher et halal, pour réunir ceux qui, contrairement à eux, s'obligent à la pratique, ils rencontrent un rabbin marseillais, un anthropologue spécialiste de droit musulman, des clients et des consommateurs. Bilan : le halal paraît simple mais surinterprété et le kasher si compliqué qu'on choisit parfois de suivre les prescriptions sans se poser de questions. Il faut aussi trouver un agneau pour la mise en pratique, mais qui tiendra le couteau ?KashalalEntre un steak kasher et un steak halal, à la croisée du business agro-alimentaire, de la théologie, de la sociologie et du bien-être animal, il y a une longue histoire de points communs et un monde de différences. Issus de familles juives et musulmanes sans être pratiquants, Thomas et Mehdi décident d’interroger leur héritage familial et religieux. Pour offrir une table commune aux juifs et musulmans, ils décortiquent les univers du kasher et du halal et veulent les réunir sous un seul et même label : le « kashalal ». Vont-ils trouver des alliés ? Voyage alimentaire dans une comédie documentaire pour un sujet sérieux, où interviennent des spécialistes, des professionnels, des juifs et musulmans pratiquants. Entretien, prise de son, montage Mehdi Ahoudig et Thomas Pendzel Enregistrements 2023-2024 Réalisation Samuel Hirsch Illustration Yasmine Gateau Production ARTE Radio
Après le travail, la retraite Après toutes ses missions, Karl songe désormais à quitter l’intérim du crime et reconstruire sa vie. Entre la tentation de l’argent facile et la perspective d’un avenir plus sûr, il doit maintenant trouver sa voie. Mais rompre avec ce passé s’avère plus compliqué qu’il ne l’imaginait…L'intérim du crime Karl, la vingtaine, est une petite main du crime en Belgique. Tour à tour lanceur de colis en prison, vendeur de drogue, brouteur sur Internet ou braqueur de supérette, il a connu toutes les facettes de la petite criminalité. Salarié, indépendant mais toujours précaire, il retrace sa carrière loin des clichés romantiques du bandit, et nous plonge en cinq brefs épisodes dans la mécanique de ce marché du travail et de cette économie clandestine.RemerciementsMerci à Comme un Lundi, association belge active depuis 2010 dans la réalisation sonore et visuelle, qui développe des outils et dispositifs encourageant l’expression de l’individu au sein de la société, et plus particulièrement les jeunes, par la parole et le corps. Prise de son et montage Noé Béal Réalisation Samuel Hirsch Mixage Samuel Hirsch Musique Virgile Guillaud et Simon Djurado (Nola Sounds) Illustration Bravas Graphix Production ARTE Radio
La balance bénéfice-risque Toutes les missions ne se valent pas. Maintenant indépendant, Karl raconte comment braquer une supérette et en dissèque chaque étape, du repérage méticuleux à l’exécution sous tension. Mais sans un réseau solide pour couvrir ses arrières, l’addition risque de se payer au prix fort….L'intérim du crime Karl, la vingtaine, est une petite main du crime en Belgique. Tour à tour lanceur de colis en prison, vendeur de drogue, brouteur sur Internet ou braqueur de supérette, il a connu toutes les facettes de la petite criminalité. Salarié, indépendant mais toujours précaire, il retrace sa carrière loin des clichés romantiques du bandit, et nous plonge en cinq brefs épisodes dans la mécanique de ce marché du travail et de cette économie clandestine.RemerciementsMerci à Comme un Lundi, association belge active depuis 2010 dans la réalisation sonore et visuelle, qui développe des outils et dispositifs encourageant l’expression de l’individu au sein de la société, et plus particulièrement les jeunes, par la parole et le corps. Prise de son et montage Noé Béal Réalisation Samuel Hirsch Mixage Samuel Hirsch Musique Virgile Guillaud et Simon Djurado (Nola Sounds) Illustration Bravas Graphix Production ARTE Radio
Arnaquer c’est cuisiner. Fini la drogue, fini la prison : pour arrondir ses fins de mois, Karl décide de s’émanciper des grands du métier et se lance en indépendant. Seul chez lui, il devient brouteur, multiplie les arnaques amoureuses en ligne à coups de faux comptes et enroule des hommes mariés. Toute cette cuisine, il la fait sans regret : les remords, c’est pour d’autres enroules plus graves…L'intérim du crime Karl, la vingtaine, est une petite main du crime en Belgique. Tour à tour lanceur de colis en prison, vendeur de drogue, brouteur sur Internet ou braqueur de supérette, il a connu toutes les facettes de la petite criminalité. Salarié, indépendant mais toujours précaire, il retrace sa carrière loin des clichés romantiques du bandit, et nous plonge en cinq brefs épisodes dans la mécanique de ce marché du travail et de cette économie clandestine.RemerciementsMerci à Comme un Lundi, association belge active depuis 2010 dans la réalisation sonore et visuelle, qui développe des outils et dispositifs encourageant l’expression de l’individu au sein de la société, et plus particulièrement les jeunes, par la parole et le corps.  Prise de son et montage Noé Béal Réalisation Samuel Hirsch Mixage Samuel Hirsch Musique Virgile Guillaud et Simon Djurado (Nola Sounds) Illustration Bravas Graphix Production ARTE Radio
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Comments (1)

Elea Cara

Excellente série très interactive et riche en témoignages ! 👍

Oct 9th
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