Née en 1997, Signe Viška est une jeune auteure et traductrice. Elle est aussi organisatrice d’événements culturels et littéraires. Elle est la créatrice et présentatrice de l’émission radio « Bron-Hits », et est la rédactrice en chef du mensuel konTEKTS.Il y a de fortes probabilités, disons neuf fois sur dix, que l’on retrouve un grand-père dans ses histoires. Elle apprécie la chaleur des petits bonheurs de la vie et les gens qui l’entourent, et c’est ce qu’elle tente de rendre dans son travail. Signe a toujours un jeu de mots dans sa manche et quelques bonbons au citron dans sa poche.La petite fille qui voulait devenir grand-père, avec Elīna Brasliņa (illustrations), Les 400 coups, 2024. Trad. du letton par Nicolas AuzanneauLes grands-pères ont les cheveux blancs comme des nuages, ne se dépêchent jamais, adorent jouer de l’accordéon et ont toujours des bonbons au citron dans les poches. Qui ne voudrait pas être grand-père ?Signe Viška nous offre une œuvre tout en humour et en tendresse. Sur les perles d’absurdité qui peuvent parfois sortir de la bouche des enfants et sur l’affection qu’ils ont pour leurs grands-parents. Magnifiquement mis en images aux crayons de couleur par Elina Braslina, La petite fille qui voulait être grand-père plaira autant aux jeunes enfants qu’à leurs vieux papis.Choix musical de l'invité :St Vincent - Slow discoZale - Bisu SpietsEntretien Fabien HeckPrise de son : MELVIL HECK-BELEYMusique : Adrien DE ARAUJOCréation visuel Ah que l’art est belle : Stéphane PERRAUXPhoto visuel Ah que l’art est belle : Philipe LEVYContact Mail : whobyfireandheart@gmail.comHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
We are in the center of France in Lurcy-Lévis, at Street art city with a spanish artist Camil Escruela , so let’s talk with him about life and artThe Barcelonian artist, Camil Escruela, born in 1990, is known in the world of urban art for capturing scenes around graffiti artists, their everyday lives and social issues. Always playing with his unique characters. Camil is a self-taught artist, it was in 2004 when he began to participate in the world of graffiti as a result of his natural attraction to street art. At first, he became interested in classic graffiti, but soon abandoned it to use logo graffiti, a ghost with a mouth and eyes that he used as a signature. Hence the artist’s interest in continuing with the aesthetics of the characters derived from the comics and illustrations. His works include urban influences, the irreverence of graffiti, and the allusion to contemporary codes and symbols. His characters give Camil freedom to develop the narrative he wants. He improvises as he draws, letting his imagination flow along with his understanding, naturally, through the impulse of playing. The artist gambles with materials, colors, characters and the piece itself. He has been particularly interested and influenced by great artists such as Javier Mariscal, Pablo Picasso, and the illustrator Pilarín Bayés.Some of his exhibitions are “Milenial” (2016) and “Trajectòria” (2017) at Gallery Contrast, “Wallspot Exhibition” (2018) at Montana , ”Barcelona Porsche art” (2018) at Centro Porsche Barcelona “Team” (2019) at the Contorno Urbano foundation, “B-local” (2021) at Nau Bostik . “Fresco Fresco collective” (2022) at Adda Gallery Ibiza , “The spray game” (2022-23) at Montana Gallery. Ah que l’art est belle! says hello or good evening and whishes you welcomeMusiqueClandestino – Manu chaoCorazon de rumba - ManzanitaEntretien Fabien HeckPrise de son : entretien, des cigales et du plongeon dans la piscine : MELVIL HECK-BELEYMusique : Adrien DE ARAUJOCréation visuel Ah que l’art est belle : Stéphane PERRAUXPhoto visuel Ah que l’art est belle : Philipe LEVYContact Mail : whobyfireandheart@gmail.comHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Nous étions quelque part en France, plus précisément en Auvergne à Lurcy-Lévisce 22 janvier 2015 en fin d’après-midi. Alors qu’elle promenait son chien Bijou, Sylvie notre héroïne a une révélation.Elle voit des formes, des dessins, des couleurs sur des bâtiments sans usage. Gilles son mari s’interroge mais comme toujours il lui fait confiance. .. En rentrant chez eux un petit tour sur internet pour mieux comprendre ce qui existe ou mieux ce qui n’existe pas encore pour le créer.Une aventure pas si folle mais humaine se met alors en action et ça devient comme dirait Fabrice Lucchini « Hallucinant » il faut le voir pour le croire. Alors welcome à Street art city ou comment après Christophe Colomb , l’impossible est devenu encore possible et le rêve à porté des yeux. Colomb a découvert l’Amérique parce qu’il croyait ferme au Paradis. S’il n’avait pas été ce rêveur, il n’aurait pas débusquer l’Amérique. Eh bien Sylvie et Gilles Iniesta ont trouvé Street art city et le rêve continue.MusiqueBashung - Madame rêveJL Murat - Si je devais manquer de toi Entretien Fabien HeckPrise de son : entretien, des cigales et du plongeon dans la piscine : MELVIL HECK-BELEYMusique : Adrien DE ARAUJOCréation visuel Ah que l’art est belle : Stéphane PERRAUXPhoto visuel Ah que l’art est belle : Philipe LEVYContact Mail : whobyfireandheart@gmail.comHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
L'animale - Ep 5 titresC’était lors du remarquable festival Rock in the barn à Vernon. Lola Sauvageot , sur scène en quelquestitres, réinventait et dépoussiérerait la chanson française. Authentique et sensible, elle chante en français et ce n’est pas rien.Pas de brume avec une improbable langue anglaise. Ici les mots flirtent, s’étendent, se faufilent dans notre inconscient « moi je suis la mer imaginaire » chante t’elle. L’amour, lui, flotte dans l’air se cherche et s’espère. « Tu mets des mots dans ma bouche ». Chante t’elle dans L’animale.Elle met surtout notre cœur sur le flanc. Une prairie verte saupoudrée de feuilles d’automne. Un soleil recherchant l’éclaircie perçant tout d’abord timidement, puis trouvant la brèche, creusant davantage l’intérieur des nuages inonde l’horizon et terrasse l’instant présent.Et durant son concert nous pensions voguer délicatement sur les vagues calmes de Françoise Hardy, nous finirons exsangue au milieu de la houle dans des creux vertigineux de Sonic Youth. En Concert à Rennes au Ty Anna le 9 novembre à 19h et le 30 décembre en acoustique à DouarnenezMusiqueLou Sauvageot / La vague & Le lion et moiPrewn / SystemCate Lebon / Mother of richesEntretien Fabien HeckPrise de son : entretien : MELVIL HECK-BELEYMusique : Adrien DE ARAUJOCréation visuel Ah que l’art est belle : Stéphane PERRAUXPhoto visuel Ah que l’art est belle : Philipe LEVYContact Mail : whobyfireandheart@gmail.comHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
« Il entra dans ma vie en février 1932 pour n’en jamais sortir. Plus d’un quart de siècle a passé depuis lors, plus de neuf mille journées fastidieuses et décousues, que le sentiment de l’effort ou du travail sans espérance contribuait à rendre vides, des années et des jours, nombre d’entre eux aussi morts que les feuilles desséchées d’un arbre mort.Je puis me rappeler le jour et l’heure où, pour la première fois, mon regard se posa sur ce garçon qui allait devenir la source de mon plus grand bonheur et de mon plus grand désespoir. C’était deux jours après mon seizième anniversaire, à trois heures de l’après-midi… »Ce sont ces mots écrits par Fred Uhlman dans son roman « L’ami retrouvé » que j’ai entendu en février 1989 dans le théâtre de Chaoué à Allonnes, près du Mans dans la Sarthe. Ces mots étaient prononcés par notre invité le comédien Pierre Sarzacq.Une toute jeune comédienne Nadia Vonderheyden l’accompagnait dans cette adaptation si sensible et si réussie. Elle est décédée le 11 avril 2025 à Paris à l’âge de 58 ans (elle avait travaillé avec Didier-Georges Gabily la troupe du Radeau que diriga François Tanguy ou Jean-François Sivadier). Ce podcast lui est didié. Ah que l’art est belle vous dit bonjour ou bonsoir, vous souhaite la bienvenue et vous accueille avec Franz Schubert. MusiqueFranz Schubert – Winterreise (Christoph Prégardien/Ténor-Andreas Staeir/Fortepiano) : Gute NachtLes deux choix de notre invité :Summer Rebellion – One sextillionth of a second thoughtColette Renard – Le marin et la rose Entretien Fabien HeckPrise de son : entretien, des cigales et du plongeon dans la piscine : MELVIL HECK-BELEYMusique : Adrien DE ARAUJOCréation visuel Ah que l’art est belle : Stéphane PERRAUXPhoto visuel Ah que l’art est belle : Philipe LEVYContact Mail : whobyfireandheart@gmail.comHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
La Compagnie Marie Lenfant est implantée au Mans dans la sarthe depuis sa création en 1990.Et Consécration suprême elle est depuis peu membre du CID (International Dance Council) – UNESCO.Rencontrer la chorégraphe Marie Lenfant c’est la promesse d’être parcouru par un regard vif, une parole animée et précise. L’épure serait le fil rouge de ses créations. Sa volonté farouche transgresse le quotidien, fait advenir le for intérieur de nos émotions, questionne le sens de nos vies, pousse les limites pour aller voir au plus loin si nous y sommes, nous les humains. Il faut que ça remue, il faut que ça vive, il faut qu’elle se rénove sans cesse et comme la nature qui était son territoire de jeux dans son enfance tout est mouvement, tout se frôle, s’étire et s’élance. En deuxième partie de ce podcast nous rencontrerons Thierry Mabon interprète, chorégraphe, musicien et membre de la compagnie depuis 1992. Et en troisième partie de ce podcast nous rencontrerons La danseuse et artiste MARYLOU BOURDEAU qui est présente dans la dernière création de la compagnie 363. La dernière chorégraphie 363 sera présentée le 13 novembre à L’Espal au Mans, le 22 novembre au Théâtre de Chaoué à Allonnes. CHOREGRAPHIE _ MARIE LENFANTINTERPRETES LOIS HUSSON MARYLOU BOURDEAU_ AMBERLEE TOUMANGUELOVCREATION SONORE _ THIERRY MABONSCENOGRAPHIE _ OLIVIER CLAUSSECOSTUMES _ LISA GODETPHOTOS ET VIDEO _ PASCAL BOUDETEntre vibrations et ondes, 363 la nouvelle chorégraphie de la Compagnie Marie Lenfant invite à faire l'expérience d'une autre appréhension du temps, pour redécouvrir le corps en tant qu'évènement et à travers celui-ci retrouver l'incroyable beauté du vivant. MusiqueLow – FlyDhaher Youssef – le Soupir éternelThe cure – The hanging gardenPile – Deep clayClelia Vega – Undalating Entretien Fabien HeckPrise de son : entretien, des cigales et du plongeon dans la piscine : MELVIL HECK-BELEYMusique : Adrien DE ARAUJOCréation visuel Ah que l’art est belle : Stéphane PERRAUXPhoto visuel Ah que l’art est belle : Philipe LEVYContact Mail : whobyfireandheart@gmail.comHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Photo Olivier PeltierRun Ronie RunNotre invitée semble descendre tout droit de la chanson de Jacques Higelin : Tombé du ciel et possède non pas plusieurs cordes à son arc mais à son trapèze et quand elle n'est pas en l'air elle se transforme en cousine éloignée de Kim Gordon des Sonic Youth, en Kim Dim des Breeders ou des pixies ou D'arcy la bassiste puisque c'est de saison du groupe américain Les smashing pumpkins; Véro Oudin alias Bambi rock donc la bassiste du groupe Run ronie Run qui enseigne au Plongeoir, pôle national du cirque au Mans. C'est lors du Show cirque Rock'n circus présenté à l'Abbaye de l'Epau au Mans qui est inspiré du livre de l'écrivaine finlandaise Sofi Oksanen Purge intégrant des chansons de deux albums : Sordid cabaret et B..... le monde.Oscillant entre rock alternatif incisif, noise-punk racé et pop grungie aussi électrique que fougueuse, groovy à souhait mais également intimiste et fiévreux ...Ce trio rock débordant de sensibilité et de rages contenues, prend plaisir sans limite à nous faire entrer dans leur univers si singulier...Musique Hole : Celebrity skin Run Ronie Run : By a threadKilling Joke : Love like bloodBellerays : Black LIGHTNINGHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
ZAZA FOURNIER / MUSIQUE / et la metteuse en scène LENA PAUGAM / FIEVRE HUMAINENotre invitée semble sortir en zig zagant d’un film de Marcel Carné « Les enfants du Paradis » et pourrait très bien fonction de ses chansons, de ses émotions incarner à elle seule tous les personnages de ce film.Elle est arrivée dans notre paysage culturelle avec un accordéon qui a fait sensation puis s’en est délestée.On l’appelle Zaza mais son véritable prénom c’est Camille.En quatre albums, elle a fait des sauts de puces d’un univers à l’autre dont le dernier album Fièvre humaine nous emmène dans des contrées plus électroniques et où le beat nous fait tressaillir le cœur.Présenté au dernier festival d’Avignon 2025 la création scénique de Fièvre humaine est mise en scène par Lena Paugam (dont vous pourrez entendre une itw en seconde partie du podcast) et elle est accompagnée de deux musiciens : Pierre-François Blanchard et Mathieu Penot.Elle sera en concert un peu partout en France prochainement mais bientôt le 3 novembre à La maison des métallos à Paris.Plongeons dans cet été sans fin…MusiqueEn introduction : un extrait de « Les enfants du Paradis » de Marcel CarnéZaza Fournier : Fiévre humaine & Cœur oiseau &Vodka fraiseEntretien Fabien HeckPrise de son : entretien, des cigales et du plongeon dans la piscine : MELVIL HECK-BELEYMusique : Adrien DE ARAUJOCréation visuel Ah que l’art est belle : Stéphane PERRAUXPhoto visuel Ah que l’art est belle : Philipe LEVYContact Mail : whobyfireandheart@gmail.comHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Photo Robi : Theo MartinNotre invitée est arrivée dans l’univers de la pop Française comme un chien dans un jeux de quille. Avec ce premier titre « On ne meurt plus d’amour » elle imposait une rythmique, une tonalité et un certain goût pour les mots, pour leur sens et parfois pour leur double sens.Univers doux, univers chahuté, l’on pense à la voix de Jeanne Moreau lisant cette phrase dans Un condamné à mort de Jean Genet : Rêvant mélancolique à notre pauvre amour…Robi nous revient pour un quatrième album Mantra dont le premier single Vers où aller nous emmène dans ces contrées qu’a parcouru notre invité…Voyage imaginaire, voyage de l’intime, elle sculpte les mots et les sons et plus que jamais nous avons besoin de sa langue, de son territoire de mots alors Attrapons les étoiles ce soir c’est nuit de fête…Entretien Fabien HeckPrise de son : entretien, des cigales et du plongeon dans la piscine : MELVIL HECK-BELEYMusique : Adrien DE ARAUJOCréation visuel Ah que l’art est belle : Stéphane PERRAUXPhoto visuel Ah que l’art est belle : Philipe LEVYHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Photo de Stanislas Nordey : Jean-Louis FernandezNotre invité Stanislas Nordey a eu mille vies. Comédien, metteur en scène de théâtre et d’Opéra, directeur de théâtre, professeur de théâtre, éditeur mais aussi simple citoyen qui s’indigne.Il arpente la vie et la scène obstiné avec une rigueur et un engagement infaillible. Il faut le voir sur scène, habiter l’espace, lancer des mots avec son phrasé unique, Audrey Bonnet dit de lui « il sculpte l’air ».Nous étions dans son appartement, en ce mois d’octobre 2025. Le ciel emplissait la pièce principale qui lui sert de bureau.Sur une table des livres, des feuilles griffonnées, plus loin sur une étagère des manuscrits qui attendent fiévreusement un choix définitif.Il parle beaucoup toujours de façon précise. Il est pudique et ne se disperse pas dans des contrées sentimentales…pourtant les deux choix musicaux de Stanislas Nordey soit Danielle Darieux et Jeanne Moreau dévoile un pan de son existence et l’on pense alors à la chanson de Leonard Cohen « So Long, Marianne » Composée et écrite pour Mariane Ihlen. A l’heure de sa mort Leonard Cohen lui écrit ceci “Marianne, le temps où nous sommes si vieux et où nos corps s’effondrent est venu, et je pense que je vais te suivre très bientôt. Sache que je suis si près derrière toi que si tu tends la main, je pense que tu pourras atteindre la mienne. » Entretien Fabien HeckPrise de son : entretien, des cigales et du plongeon dans la piscine : MELVIL HECK-BELEYMusique : Adrien DE ARAUJOCréation visuel Ah que l’art est belle : Stéphane PERRAUXPhoto visuel Ah que l’art est belle : Philipe LEVYContact Mail : whobyfireandheart@gmail.comHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
En direct de la 79ème édition du festival d’Avignon. A nouveau arpenter la ville. A la recherche de l’essentiel. Des mots tus. Des disparus, des oubliés. D’une certaine idée de la justice. « Du beau et du bien puisque c’est tellement mieux que tout » me disait mon ami le cinéaste Polonais Andrzej Zulawski, réalisateur de L’important c’est d’aimer. ROBERTO ZUCCODe Bernard-Marie KoltèsMise en scène Rose NoëlAvec Natalia Bacalov, Lola Blanchard, Simon Cohen, Laurence Côte, Suzanne Dauthieux ou Mélie Torrell, Maxime Gleizes ou Thomas Rio, Axel Granberger, Akrem Hamdi, Rose Noël, Martin SevrinLe Collectif 13Une nuit, Roberto Zucco s’évade de la prison dans laquelle il a été incarcéré pour le meurtre de son père. Il va alors mener une cavale délirante où il y fera plusieurs rencontres, toutes illustratrices de la quête d’identité de l’Homme. Alors qu’il est sans cesse traque par les inspecteurs, son visage d’ange ne fera qu’intriguer:Comment un garçon si beau peut-il agir ainsi? Inspiré du véritable fait divers, Roberto Zucco parle de la violence qui dort en chacun de nous et questionne notre propre rapport à celle-ci. Qui sommes-nous ? Quelle place trouver dans notre sociéte ?Quelle est notre part de liberté ?Comment répondre à notre soif de désir ? Les mots de Koltès tentent d’y répondre. Cette histoire est une épopée que le personnage de Zucco, ainsi que ses rencontres, traversent avec violence, poésie, peur, et désir.Musique : BiVio (Natalia Bacalov & Martin Sevrin)Bodigo & Martin Eden & Shell of fears Prise de son : entretien, des cigales et du plongeon dans la piscine : MELVIL HECK-BELEYMusique : Adrien DE ARAUJOCréation visuel Ah que l’art est belle : Stéphane PERRAUXPhoto visuel Ah que l’art est belle : Philipe LEVYContact Mail : whobyfireandheart@gmail.comHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Aujourd’hui nous rencontrons lors du formidable festival Rock in the barn qui a lieu à Vernon en Normandie, l’incroyable Julia Menard-Rossini. Dans ce podcast, nous allons évoquer les bienfaits du blues, d’un village Corse, d’un autocollant sur une basse, de la notion d’être ensemble, des vertus du féminisme, de manager des groupes musicaux masculins, d’être par exemple en 4ème b au fond d’une classe et d’être timide et de ne pas oser prendre la parole… MusiqueLambrini girls – Cuntology 101 en concertà Paris le 11 décembre.Merry Prunelle – Bitter bluesQui sort son nouvel album Mental breakdown le 24 octobre 2025Entretien et texte d’introduction: Fabien HECKPrise de son : entretien, des cigales et du plongeon dans la piscine : MELVIL HECK-BELEYMusique : Adrien DE ARAUJOCréation visuel Ah que l’art est belle : Stéphane PERRAUXPhoto visuel Ah que l’art est belle : Philipe LEVYContact Mail : whobyfireandheart@gmail.comHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Live from the Les siestes Teriaki festival, at the Royal Abbey of L'Épau in the French city of Le Mans.It is difficult to think of another 12th-century writer whose work has had as lasting an influence as Hildegard's. The Ukrainian duo Heinali & Andriana-Yaroslava, aka Saienko, are longtime admirers of the abbess's poems and mystical compositions, and use her figure as a distant mirror to reflect on, process, and transcend their wartime experiences. This program is a reimagining of Hildegard's music. It combines the vocal sound production approaches of authentic Ukrainian folk singing with modular synthesis techniques drawn from early medieval polyphony and monophony. Oleh Shpudeiko, aka Heinali, is a composer and sound artist who has spent the past few years reimagining early music using his custom-made modular systems, notably on his 2020 album 'MADRIGALS'."O Ignis Spiritus Paracliti" is an energetic, impetuous, and ardent prayer for life. The composition unfolds slowly, moving from gentle drones to a monumental wave of sound that engulfs the finale.The colder, more contemplative composition "O Tu Suavissima Virga," humming in a murmurando style, pays homage to the Virgin Mary. Bass drones provide the foundation for Saienko's vocals, which evolve with solemnity and concentration.Entretien et texte d’introduction: Fabien HECKPrise de son : entretien : MELVIL HECK-BELEYMusique : Adrien DE ARAUJOCréation visuel Ah que l’art est belle : Stéphane PERRAUXPhoto visuel Ah que l’art est belle : Philipe LEVYContact Mail : whobyfireandheart@gmail.comHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
En direct du festival Rock in the barn à Vernon. Rencontre avec Camion Bip Bip, groupe de musique électronique, festive et militante. Héritières des scènes queer et punk, de Peaches à Sexy Sushi, les quatre artistes fabriquent un son club et percutant. Entre concert et performance le groupe Camion Bip Bip composé de Louise, Melino, Elo et Tate cassent toutes les frontières, pour faire, ensemble, la fête et la révolution.Le groupe est clairement engagé contre les violences faites aux femmes et minorités de genre, contre l’homophobie et toutes violences systémiques, et surtout pour l’adelphité. Ce mot dérivé du grec ancien dit les liens très forts qui unissent les frères et sœurs, sans distinction de sexe ni de genre.MusiqueCAMION BIP BIP : Garçon ouin ouin & All the same (feat Maddy street) Ce podcast est le deuxième d’un cycle basé sur la différence : avec Malou et Laure pour la lecture musicale : Les femmes artistes sont subversives, avec la danseuse/dessinatrice Lou, mais aussi La reine garçon et le collectif More women on stage. Entretien et texte d’introduction: Fabien HECKPrise de son : entretien, des cigales et du plongeon dans la piscine : MELVIL HECK-BELEYMusique : Adrien DE ARAUJOCréation visuel Ah que l’art est belle : Stéphane PERRAUXPhoto visuel Ah que l’art est belle : Philipe LEVYContact Mail : whobyfireandheart@gmail.comHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
En 2012, un film Laurence Anyways de Xavier Dolan, balayait les codes et ouvrait sur le débat public une réflexion. N’est ce pas aussi le pouvoir de l’art que de transgresser la réalité, de donner à voir un autre monde, de faire entendre des voix différentes ?Le groupe La reine garçon est de celle là. Avec leurs deux albums La reine garçon & Tout renaitra différente, leur univers ouvrait une brèche dans l’intimité d’un couple et s’approchait au plus près d’une mue. Floé & Delphine nous offrait des éclats de leur vie de cette transformation. Un homme désire devenir la personne qu’elle est profondément dans son for intérieur. Réalisé par la chanteuse Lonny, ils s’inscrivaient dans la lignée musicale pure d’un certain Leonard Cohen, donner à entendre dans la douceur, la dureté d’un monde intérieur & extérieur, les regards…Le couple allait il résister à cette tempête émotionnelle ? Vous saurez donc la réponse en écoutant ce podcast enregistré lors du Laydyfest à Alençon (festival organisé par l’association Transtopie) ce samedi 4 octobre 2025…Ah que l’art est belle vous dit bonjour ou bonsoir et vous souhaite la bienvenue MusiqueLA FÉLINE – SÉPARÉSLA REINE GARÇON – DIFFÉRENTE & J’AI VU DES CHEVAUX SOUS LA MERCe podcast est le premier d’un cycle basé sur la différence : avec Malou et Laure pour la lecture musicale : Les femmes artistes sont subversives, avec la danseuse/dessinatrice Lou, mais aussi le groupe Camion BIP BIP et le collectif More women on stage.Entretien et texte d’introduction: Fabien HECKPrise de son : entretien, des cigales et du plongeon dans la piscine : MELVIL HECK-BELEYMusique : Adrien DE ARAUJOCréation visuel Ah que l’art est belle : Stéphane PERRAUXPhoto visuel Ah que l’art est belle : Philipe LEVYContact Mail : whobyfireandheart@gmail.comHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
En direct de la 79ème édition du festival d’Avignon. A nouveau arpenter la ville. A la recherche de l’essentiel. Des mots tus. Des disparus, des oubliés. D’une certaine idée de la justice. « Du beau et du bien puisque c’est tellement mieux que tout » me disait mon ami le cinéaste Polonais Andrzej Zulawski, réalisateur de L’important c’est d’aimer. Vibrer, vivre, encore vivant, ici et maintenant.Incendies de Wajdi Mouawad, par le Collectif 1-110, issu d’ATEA Sup – Atelier théâtre de l’École Alsacienne. Metteurs en scène : Lucas Hérault & Alexis Roque Constitué de 8 comédiennes et comédiens Clara Audoli, Lou Delpech,Elio Gaudé, Natasha Kingston, Marie-des-Fleurs Lanneau,Gabriel Peyrache, Matteo Riou, Eulalie UguenEt c’était au Théâtre du Collège de la Salle à Avignon. À la mort de leur mère, Jeanne et Simon reçoivent deux lettres : l'une destinée à un père qu'ils croyaient mort, l'autre à un frère dont ils ignoraient l'existence. Ils entament alors un voyage au cœur du pays de leurs origines, ravagé par la guerre, et s’enfoncent dans un dédale de révélations bouleversantes. Inspirée des grands mythes tragiques, Incendies explore les blessures du monde contemporain et interroge l’amour, la violence et la mémoire.Sur le plateau, il y a un cercle. À l’intérieur, chaque comédien devient tour à tour personnage ou témoin, acteur ou spectateur, selon les scènes. Le public assiste à l’engagement des artistes qui, par leur corps et leur regard, font surgir les différentes époques du récit. Cette circulation des rôles fait de la tragédie un acte collectif, une mémoire partagée au cœur de la cité. MusiqueInterzone – SounounouDayazell - Ya racha el fettane Entretien et texte d’introduction: Fabien HECKPrise de son : entretien, des cigales et du plongeon dans la piscine : MELVIL HECK-BELEYMusique : Adrien DE ARAUJOCréation visuel Ah que l’art est belle : Stéphane PERRAUXPhoto visuel Ah que l’art est belle : Philipe LEVYContact Mail : whobyfireandheart@gmail.comHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Oh là là mais que c’était bon de revoir SuperBravo pour l’avant dernière date de leur tournée européenne au Mans à la brasserie Septante deux en cet fin de mois de septembre 2025.Il y a un an sortait leur quatrième album La digue avec son single rafraichissant Elli (pour Elli Medeiros)…SuperBravo est composée d’Armelle Pioline (échappée du groupe Holden) et de Michel Peteau (échappé de Cheval Fou), bien que sur le deuxième et troisième album Julie Gasnier participait joyeusement et poétiquement à l’aventure). Mais Julie est partie vivre une nouvelle expérience en solo.Voici donc notre duo, carte routière en poche qui a sillonné l’Europe de Haut en bas et de bas en Haut de Thessalonique à Stockholm, de Porto à Prague… et qui nous livrait ce jeudi soir donc un set électrique, éclectique, fantomatique, romantique et nostalgique avec une reprise bonus du Velvet Underground I’ll be your mirror. Le lendemain matin, un vendredi, jour de marché nous nous retrouvions attablé à un café, près d’une fontaine, à l’ombre de la cathédrale du Mans pour évoquer le temps qui passe, les rencontres, comment on tombe en amour, les joies de prendre la route et plein de belles choses encore ! Alors Ah que l’art est belle vous dit bonjour ou bonsoir, vous souhaite la bienvenue pour ce premier et vous invite à plonger dans cet été sans fin et vous dit ou la la MusiqueSuperBravo : Les oiseaux bleus & La digueElli & Jacno : Oh là là Entretien et texte d’introduction: Fabien HECKPrise de son : entretien, des cigales et du plongeon dans la piscine : MELVIL HECK-BELEYMusique : Adrien DE ARAUJOCréation visuel Ah que l’art est belle : Stéphane PERRAUXPhoto visuel Ah que l’art est belle : Philipe LEVYContact Mail : whobyfireandheart@gmail.comHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
79ème édition du festival d’Avignon. Vibrer, vivre, encore vivant, ici et maintenant.La langue Arabe était l’invitée d’honneur de ce 79ème édition du festival d’Avignon. Un spectacle créé par la compagnie Nuit Orange proposait en français et arabe surtitré, le classique de Jean Racine : Bérénice, Mise en scène par Marie Benati et assistée de : Sanae Assif. Ce Bérénice ouvrait une brèche dans l’espace temps, car Bérénice est reine de Palestine. Dans ce moment présent où l’état Israélien perpétue un génocide en Palestine et que la France vient de reconnaître l’état de Palestine comme un état souverain, comme il était bon d’entendre cette langue résonner dans cette ville d’Avignon, dans ce festival de tous les possibles et de tous les espoirs. Aller à la rencontre de ce spectacle au théâtre du Balcon à Avignon en juillet 2025, permettait aussi de découvrir une actrice Libanaise Ghina Daou, d’une grande délicatesse, d’une sensibilité désarmante mais aussi d’une puissance dévastatrice. Alors de quoi parle Bérénice ? Après huit jours de deuil suite au décès de l’empereur Vespasien, son fils, Titus, vient enfin d’être sacré empereur à son tour. Tous les yeux se tournent maintenant vers Bérénice, sa maîtresse, reine de Palestine.Et la même question flotte sur toutes les lèvres : Titus osera-t-il élever au trône des Césars une reine étrangère ? Toujours en quête de résonances poétiques et humanistes, la compagnie Nuit Orange revisite ce classique théâtral à travers un dispositif inédit : une version bilingue, mêlant alexandrins raciniens et arabe littéraire surtitré, qui porte au premier plan les enjeux politiques de la pièce. Dans cette version où la xénophobie joue le premier rôle, la poésie – celle des alexandrins de Racine et celle de l’arabe littéraire – demeure un pont entre les êtres, entre les cultures, l’outil de l’amour et de la résistance. Rencontre avec celle qui incarne Bérénice pour un portrait sensible la comédienne Ghina Daou. L’entretien a été enregistré un matin de juillet 2025, dans une rue d’Avignon, attablé à l’ombre de la terrasse d’un café, dans un mouvement car le festival d’Avignon est un tourbillon.Ah que l’art est belle ! vous dit bonjour ou bonsoir, vous invite à plonger dans cet été sans fin et vous souhaite la bienvenue. MusiqueBeach house – Space songNTO & SOFIANE PAMART – Bagarre Entretien et texte d’introduction: Fabien HECKPrise de son : entretien, des cigales et du plongeon dans la piscine : MELVIL HECK-BELEYMusique : Adrien DE ARAUJOCréation visuel Ah que l’art est belle : Stéphane PERRAUXPhoto visuel Ah que l’art est belle : Philipe LEVYContact Mail : whobyfireandheart@gmail.comHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Et oui c’est déjà l’automne, mais la musique peut vous faire oublier tout ça. Alors petit retour en arrière, direction la 79ème édition du festival d’Avignon au Théâtre du collège de la salle. Nous sommes en présences de deux monstres sacrés qui ont révolutionnés le rock’n’roll ! Voici La première pièce qui vous raconte les Beatles, le secret de leur succès mondial et surtout l'histoire d'une incroyable amitié qui a changé le monde.Et si John Lennon et Paul McCartney, les deux légendes des Beatles, s'étaient enfin retrouvées un matin de novembre 1980. Et si…Nous sommes à New York le 27 novembre 1980 ? Et si Paul était venu sonner chez John ? soit quelques jours avant ce funeste 8 décembre 1980 où John Lennon était assassiné devant le Dakota, sa résidence à New York. Réconciliation imaginaire…toute la magie du théâtre et on en a bien besoin.Auteur : Germain Récamier, mise en scène : Joseph Laurentles comédiens: Simon Froget-Legendre ( Paul McCartney) et Tristan Garnier (John Lennon). MusiqueBeatles : Help & A Hard day’s night Entretien et texte d’introduction: Fabien HECKLecture en Anglais du texte d’introduction de la Prise de son : entretien, des cigales et du plongeon dans la piscine : MELVIL HECK-BELEYMusique : Adrien DE ARAUJOCréation visuel Ah que l’art est belle : Stéphane PERRAUXPhoto visuel Ah que l’art est belle : Philipe LEVYContact Mail : whobyfireandheart@gmail.comHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Since 2011, the St Morris Sinners have been delivering touching and raw dirty blues punk stories of lost love, death, and addiction embodied by Stephen "Slippery" Johnson, a singer inspired by the light of despair and the absurdity of the world.And when you see him on stage, notebook in hand, you think of the film The Night of the Hunter by Charles Laughton with Robert Mitchum, whose fingers write LOVE and the other hand HATE.Deep lyrics, haunting vocals, incandescent guitar and bass (Django Martin-Rowe and George Thalassoudis), and masterful drums (Angus Mason): the St Morris Sinners are in the worthy lineage of the glorious Nick Cave, Beast of Bourbon, or Gun Club.Songs that come to life in a roar of frustration and under the guise of an exalted Stephen Johnson, with a diabolically perverse charm. Pray for us poor sinners!Are you ready to dive into this endless summer ? Ok ? let’s go. Dernier album : Nightmares (BEAST RECORDS) Photo de Stephen "Slippery" Johnson : Stéphane PERRAUXMusique :St MORRIS SINNERS : Scarecrow barrey & Welcome to viagra Entretien et texte d’introduction: Fabien HECKLecture en Anglais du texte d’introduction de la Prise de son : entretien, des cigales et du plongeon dans la piscine : MELVIL HECK-BELEYMusique : Adrien DE ARAUJOCréation visuel Ah que l’art est belle : Stéphane PERRAUXPhoto visuel Ah que l’art est belle : Philipe LEVYContact Mail : whobyfireandheart@gmail.comHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.