Dans cet épisode de L’Afrique en marche, Jacques Cheminade, président du parti Solidarité et Progrès en France, étrille les bases de la logique guerrière des Européens à l’égard de la Russie. Il rappelle: "De Gaulle avait conçu l’arme nucléaire comme un moyen exclusivement de dissuasion qui n’est pas destiné à être utilisé contre aucun pays".
Dans cet épisode de L’Afrique en marche, Belaïd Abane, politologue et historien algérien, expose la nature idéologique et philosophique de la conquête coloniale française en Algérie. Avec le racisme, le racialisme et la déshumanisation comme principes, on comprend que "les Lumières n’ont jamais vraiment franchi les frontières de la France".
Dans cet épisode de L’Afrique en marche, Philippe Murer, économiste français, analyse les risques de déclenchement d’une grave crise financière et monétaire en cas de mise sur pied d’un yen carry trade inverse par les investisseurs japonais. "Cette situation critique refait de l’or la valeur refuge pour tous les investisseurs internationaux".
Dans cet épisode de L’Afrique en marche, Renaud Bouchard, économiste français à l’EHESS, à Paris, explique pourquoi le plan de réarmement de l’Europe a très peu de chance d’aboutir faute de moyens financiers, de compétences industrielles et d’ingénierie et enfin, d’effectifs. L’annonce de Macron est "totalement décalée de la réalité".
Dans cet épisode de L’Afrique en marche, l’ex-ministre et ambassadeur algérien Mohamed Laïchoubi dévoile les causes profondes franco-françaises de la nouvelle crise diplomatique entre Paris et Alger. Selon lui, "pour mener une politique étrangère rationnelle et efficace, il faut de la qualité dans les personnels politiques et diplomatiques".
Dans ce numéro de L’Afrique en Marche, le général français à la retraite Dominique Delawarde analyse le plan de réarmement européen d’Ursula von der Leyen et les déclarations belliqueuses d’Emmanuel Macron. Il décrypte comment ces annonces visent, selon lui, à "utiliser la peur pour essayer d’accéder à l'épargne des populations européennes".
Dans cet épisode de L’Afrique en marche, Roll Stéphane Ngomat, président de l’Union Paix et Sécurité Africaine, explique les origines historiques de ce problème. Il remonte à la période coloniale, aux politiques, aux questions économiques et sociales du déclenchement et de la persistance des conflits armés en Afrique.
Dans cet épisode de L’Afrique en marche, Serge Espoir Matomba, Premier secrétaire du parti du Peuple uni pour la rénovation sociale (PURS) au Cameroun, affirme qu’il y a une levée de boucliers en Afrique, dont les dirigeants, sûrs d’eux, demandent aux Européens la reconnaisse des torts et des dégâts de la colonisation et exigent des réparations.
"Le système politique français est complétement piégé dans l’idéologie gauchiste néoconservatrice américaine, contrairement à ce que l’on peut voir dans d’autres pays européens de l’Est", affirme dans L’Afrique en marche Xavier Moreau, fondateur et directeur de Stratpol. Ceci se voit dans "le comportement Macron en Afrique francophone ".
Dans cet épisode de L’Afrique en marche, Bertrand Scholler, analyste géopolitique, explique pourquoi ni Ukrainiens ni Européens n’étaient présents aux premiers pourparlers russo-américains, dont l’un des points discutés était le conflit en Ukraine. Trump a "bien compris que les BRICS, dont la Russie, n'étaient pas des ennemis".
Dans cet épisode de L’Afrique en marche, Ammar Mansouri, chercheur en Génie nucléaire, pointe la responsabilité de la France dans le blocage du dossier relatif à la décontamination des sols dans le Sahara algérien, pollués par les explosions nucléaires françaises entre 1960 et 1966. Pour les Algériens, la loi Morin "est une véritable fumisterie".
Dans cet épisode de L’Afrique en marche, Hélène Clément-Pitiot, économiste, chercheuse au Centre d'étude des modes d'industrialisation de l'EGE, à Paris, explique pourquoi l’annonce de Trump relative à l’application de droits de douane de 100% aux produits importés des pays des BRICS, vise à maintenir l’hégémonie du dollar.
Dans cet épisode de L’Afrique en marche, Ahmed Kateb, chercheur algérien en relations internationales, explique comment l’article 1502 de la loi Dodd-Frank Act, promulguée par Barack Obama en 2010, est au cœur de la guerre d’influence que mènent les États-Unis pour mettre la main sur les minerais de la RDC.
Dans cet épisode de L’Afrique en marche, Ryma Rouibi, enseignante-chercheuse à l’École nationale supérieure de journalisme et des sciences de l'information d'Alger, explique les vrais enjeux de la proposition de loi des députés algériens visant à interdire l'utilisation du français dans les documents officiels du pays.
Dans cet épisode de L’Afrique en marche, Serge Matomba, homme politique et médiatique camerounais, et Youssef Girard, historien français spécialiste du Mouvement national algérien et de la Guerre d’Algérie, expliquent qu’il ne faudrait rien attendre des rapports mémoriels commandés par l’Élysée sur la colonisation en Algérie et au Cameroun.
Dans cet épisode de L’Afrique en marche, l’économiste français Renaud Bouchard explique pourquoi le système financier et monétaire occidental, qui croule sous le poids d’une dette notamment souveraine abyssale, est condamné, ne laissant pratiquement aucune marge de manœuvre à la nouvelle administration américaine.
Dans cet épisode de L’Afrique en Marche, Jean-François Geneste, PDG de World Advanced Research Project Agency (WARPA), explore les défis posés par les technologies disruptives. De l’impact des missiles hypersoniques à l’éthique de l’intelligence artificielle, il livre une analyse approfondie sur les enjeux de sécurité et de stabilité mondiales.
Dans ce numéro de L’Afrique en marche, le géopoliticien et essayiste français François Martin donne les deux conditions dont l’administration de Donald Trump ne pourra faire l’économie si elle veut mettre en pratique sa politique de paix et de désescalade en Europe comme au Moyen-Orient : consolider le front intérieur et nettoyer le marécage.
Dans ce numéro de L’Afrique en marche, le général Dominique Delawarde évoque les probables évolutions des différents théâtres de conflits entretenus par les Occidentaux et l’Otan, dans le contexte de l’arrivée de Donald Trump à la Maison-Blanche qui ne manquera pas de provoquer des séismes. Néanmoins, "Trump n'a que peu de temps pour faire ce qu’il a promis".
"Quel est l’intérêt de la Russie à lâcher la Syrie, alors qu’elle y a d’importants relais logistiques qui, en plus de sa présence hautement stratégique [en] Méditerranée orientale, facilitent la projection de ses forces en Afrique?", s’interroge auprès de Radio Sputnik Afrique Me Arnaud Develay, consultant politique et journaliste indépendant.