Dans ce numéro de L’Afrique en marche, Abderrahmane Hadj-Nacer, ex-gouverneur de la Banque d'Algérie, explique qu’il ne faudrait pas attendre grand-chose de l’administration de Donald Trump. Selon lui, «les Anglo-Saxons veulent contrer l’avancée de la Chine, de la Russie, de l’Iran et de la Corée du Nord et éviter l’effondrement de l’Occident».
Dans ce numéro de L’Afrique en marche, Karel Vereycken, vice-président du parti politique français Solidarité Progrès explique pourquoi il faut être prudent quant à ce que pourrait faire l’administration Trump en Eurasie et au Moyen-Orient. «Trump n’a pas de politique, c’est donc aux citoyens de lui dicter ce qu’il devrait faire».
Dans ce numéro de L’Afrique en marche, le journaliste d’investigation français, Claude Janvier, explique comment l’État profond américain contrôle les différentes administrations et Présidents US, qu’ils soient démocrates ou républicains. «Est-ce que Trump serait capable de leur imposer ses vues ? C’est ça le premier test de son administration».
Dans ce numéro de L’Afrique en marche, Jean-François Geneste, ex-directeur scientifique d’EADS/Airbus Group explique les atouts et les limites de l’Intelligence artificielle (IA) dans ses différents secteurs d’application, notamment militaire. Selon lui, « l’apport de l’IA, en Afrique, pour garder les attributs de l’hégémon US, sera limité ».
Dans ce numéro de L’Afrique en marche, le Dr Youssef Girard, historien français du Mouvement national algérien et de la Guerre d’Algérie, rappelle, à l’occasion du 70e anniversaire du déclenchement de la Révolution du 1er novembre 1954, que « les troupes françaises ont tout spolié à leur passage et chassé les Algériens de leurs terres ».
Dans ce nouveau numéro de L’Afrique en marche, le général français Dominique Delawarde analyse la dynamique multipolaire qui s’impose de plus en plus sur la scène internationale, notamment à l’aune des succès des chefs d’États de l’OCS et des BRICS+. «Les Russes et les Chinois ont compris très tôt qu’il fallait s’organiser» sur tous les plans.
Dans ce numéro spécial de L’Afrique en marche consacrée au Forum de l’agriculture AsiaExpo qui s’est tenu du 23 au 25 octobre à Sotchi, les ambassadeurs en Russie de la République de Guinée et de la République du Tchad, ainsi que le député russe, Andreï Parfionov, font le point sur les relations économiques afro-russes, pointant la différence avec les afro-occidentales.
Dans ce numéro de L’Afrique en marche, Ahmed Kateb, chercheur algérien en relations internationales, décortique avec nous la compétition géostratégique entre les grandes puissances sur le continent africain. Selon lui, une nouvelle "configuration africaine est intéressante parce qu'elle permet de lancer des politiques d'émancipation nationale loin des diktats de la Françafrique".
Dans ce numéro de L’Afrique en marche, Xavier Moreau, fondateur et directeur du centre d’analyses politico-stratégiques Stratpol, analyse les causes du déclin économique et militaire de l’hégémon US. Pour lui, «les États-Unis ne sont plus la puissance industrielle, scientifique et technologique héritée de la Seconde Guerre mondiale».
Dans ce numéro de L’Afrique en marche, Karine Bechet-Golovko, professeur de droit invité à l'Université d'État de Moscou, décortique d’une manière méthodique la tribune signée début octobre par Antony Blinken. Pour elle, c’est «une magnifique œuvre de propagande extrêmement bien structurée».
Dans ce numéro de L’Afrique en marche, Hélène Clément-Pitiot, chercheuse au Centre d'étude des modes d'industrialisation de l'École de Guerre Économique (EGE), explique les contraintes occidentales ayant poussé la Russie, la Chine, l’Inde et le Brésil à créer les BRIC en vue d’y échapper. Pour elle, le même but motive le Sud global.
Dans ce numéro de L’Afrique en marche, le géopolitologue français Aymeric Chauprade explique les dessous, les enjeux et la causes de la décision russe de changer de doctrine nucléaire. Selon lui, les armes hypersoniques «ont offert une supériorité écrasante aux Russes, qui ont rendu tout l’arsenal militaire occidental obsolète».
Dans ce numéro de L’Afrique en marche, Arnaud Develay, consultant politique et journaliste indépendant, explique les causes des sanctions américaines et occidentales à l’égard des médias publics russes.
Dans cette émission de L’Afrique en marche, l’économiste et ex-ministre algérien de l’Industrie Ferhat Aït Ali Braham analyse les causes structurelles endogènes et les causes exogènes -en l’occurrence mondiales- du déclin de l’économie française. Selon lui, «les pouvoirs publics [français] n’arrivent pas à trouver de solutions depuis au moins 40 ans».
Dans ce numéro de L’Afrique en marche, le premier secrétaire du parti du Peuple uni pour la rénovation sociale (PURS), au Cameroun, Serge Espoir Matomba, analyse les raisons qui se cachent derrière la décision des Occidentaux d’interdire les médias publics russes, RT et Sputnik, dont Sputnik Afrique. «Le temps de la tyrannie médiatique est révolu».
Lors d’un entretien accordé à L’Afrique en marche, Akram Kharief, fondateur et animateur du site d’information militaire Menadefense, analyse les dessous de la compétition stratégique entre l’Est et l’Ouest en Afrique australe. Pour lui, la Tanzanie «a tous les atouts pour garantir ses intérêts vitaux en bonne intelligence avec toutes les puissances».
Dans ce numéro de L'Afrique en Marche, Farid Benyahia, économiste et géopolitologue algérien, dresse un tableau très prometteur des possibilités et de l’avenir des relations économiques et financières entre la Russie et l’Algérie.
Dans ce numéro de L’Afrique en marche, Mohamed Achir, enseignant-chercheur algérien en économie, compare les teneurs des sommets économiques occidentaux et orientaux en termes de prise en charge des besoins vitaux des pays africains en développement multisectoriel. Pour lui, ce sont les Orientaux qui proposent le développement à l’Afrique.
Il serait difficile à la Turquie d’intégrer les BRICS vu «qu’elle est un membre important de l’Otan, dont elle est la deuxième armée après celle des États-Unis», affirme à Radio Sputnik Afrique le général Dominique Delawarde, retraité de l’armée française. Pour lui, les Turcs pourraient en revanche avoir un statut de partenaire privilégié.
Dans cette édition de L’Afrique en marche, un géopolitologue malien fait le point sur la situation sécuritaire dans son pays et au Sahel, appelant les hommes d’affaires et les chefs d’entreprises russes à venir investir au Mali et dans toute l’Afrique, un continent où, selon lui, «tout est à faire».