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Agnès Podcast

Author: Agnès Podcast

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Description

Agnès Podcast a vocation à aborder de façon libre et ouverte, diverses questions qui peuvent préoccuper une jeune femme de 26 ans. De l'écologie, au féminisme, en passant par la santé mentale ou des sujets plus légers comme le cinéma, ce podcast sera l'écho de mes pensées quotidiennes.

Instagram : @agnes.podcast

Contact : podcastagnes@gmail.com
27 Episodes
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«Les voyages forment la jeunesse» disait le philosophe Montaigne. Formateurs, loin des sentiers battus, ils permettent de découvrir un monde jusqu’alors ignoré, d’élargir ses horizons, de se cultiver … De grandir en somme.  Jusqu’à l’année dernière, voyager n’était pas un impératif pour Nina. Cette jeune belge vivait une existence tranquille dans une ville proche de sa famille où elle exerçait le métier d’assistance sociale. Elle se pensait comblée jusqu’à l’été 2022 où sa vie a pris un nouveau tournant. En effet, lors d’un voyage familial sur l’ile de la Réunion, elle prend sur un coup de tête une décision totalement radicale : celle de tout quitter pour s’installer dans cette région du monde qui, elle le sentait, avait tellement à lui apporter. Ne suivant que son instinct, elle a tout organisé en quelques mois pour changer de vie et partir seule, vivre une aventure qu’elle n’aurait jamais imaginée peu de temps avant. Entre grandes joies, émotions fortes et petites galères, Nina nous raconte son changement de vie aussi radical, qu’inattendu.  Alors à tous, je souhaite bon voyage et belle écoute ! 
L’anorexie est un trouble alimentaire qui touche environ 230 000 personnes en France. Cette pathologie entraine la mort dans 5 à 10% des cas ce qui en fait l’une des maladies mentales les plus meurtrières. Au-delà du cliché d’une personne (souvent une femme, jeune) qui refuse de manger, l’anorexie affecte toutes les sphères de la vie de la personne qui en souffre. Tel un poison, elle détruit tout sur son passage, du corps du malade, à son esprit, en passant par ses relations sociales.  Pendant plusieurs années, Mathilde a traversé cet enfer. Au terme d’une bataille courageuse contre la maladie, elle peut aujourd’hui s’en dire guérie. Son histoire aurait pu s’arrêter là, elle aurait pu choisir de laisser l’anorexie derrière elle et tout faire pour l’oublier. Mais Mathilde avait à cœur de partager son expérience pour aider les autres afin de faire en sorte que son histoire serve à d’autres malades. C’est dans cette idée qu’elle a créé le concept de « No rain, no flower », un compte Instagram, un podcast et des programmes d’accompagnement dédiés à la guérison de l’anorexie.  Aujourd’hui, Mathilde a accepté de nous raconter son histoire et de nous parler de son projet. C’est avec une très grande joie et beaucoup d’admiration que je la reçois aujourd’hui. Bonne écoute ! Instagram de Mathilde : norain.noflower Instagram : agnes.podcast Mail : podcastagnes@gmail.com
Il y a des épisodes plus simples que d’autres à enregistrer. En effet, il y a des parcours qui sont plus éloignés de notre réalité, avec lesquels on est simplement en empathie. Et puis, il y en a d’autres qui font violemment écho à notre histoire, car ils se ressemblent, se confondent même parfois. C’est le cas de l’histoire de mon amie Caroline. Caroline, je l’ai rencontrée il y a presque 5 ans, alors que nous nous apprêtions toutes les deux à passer le concours de la magistrature. Pendant plusieurs années, nous avons partagé les doutes, les joies mais surtout les épreuves. Car pour elle, comme pour moi, ce concours a été une véritable déflagration dans nos vies. Après des études de droit de droit pénal international couronnées de succès, c’est avec des rêves plein la tête que Caroline s’est attaquée au prestigieux concours de l’école nationale de la magistrature. Pourtant, les années de prépa et les échecs successifs ont fini par avoir raison, non seulement du projet professionnel qu’elle nourrissait depuis longtemps, mais également de sa confiance en elle. C’est très éprouvée qu’en 2021 elle a dit « stop » à ces concours déshumanisants. Elle a eu le courage de prendre le temps de se retrouver, de reconnecter avec ses passions, pour finalement faire connaissance avec la personne qu’elle est vraiment. Si elle ne s’est pas trouvée sur tous les plans, elle a su exploiter des talents dont elle ignorait tout pour créer sa propre marque de bijoux faits main. Plus encore, elle a su saisir l’opportunité de reconnecter avec sa passion première : le voyage. C’est désormais en globe trotteuse accomplie et en artiste qu’elle se présente face à moi, et je suis très honorée qu’elle me confie son parcours. Aujourd’hui à mon micro, elle nous raconte.
Le lien entre le métier d’infirmière et le milieu de la mode n’est pas évident. A l’exception des aiguilles et des points, il semble difficile de trouver deux mondes plus éloignés. Après le lycée, suivre une formation pour devenir infirmière semblait être une évidence pour Elena. Reçue du premier coup à l’école d’infirmière, son parcours aurait pu être parfaitement linéaire. Pourtant, dès ses premiers stages à l’hôpital, son instinct lui dit qu’elle n’est pas à sa place. Une fois en poste, ce qui n’était au début qu’un vague doute, s’impose comme une évidence : elle ne se sent pas faite pour ce métier. Cependant, Elena persévère pendant plusieurs années, multipliant les expériences afin de trouver un sens dans cette profession à laquelle elle croit profondément malgré tout. Un jour, elle a enfin un déclic, et décide de démissionner. Commence alors pour elle, une période de doutes, de recherches et de découverte d’elle-même, qui la mettra finalement sur un chemin qu’elle n’aurait jamais imaginé emprunter : celui de la mode. Aujourd’hui à mon micro, Elena vient nous confier son parcours et ses hésitations. Elle nous relatera le bouleversement qu’a connu sa vie et surtout, les leçons qu’elle retire de cette expérience. Merci à elle pour sa confiance, j’espère que son parcours vous inspirera.
Dans cet épisode, j'avais envie d'aborder un sujet qui concerne beaucoup de monde, mais qui reste contre toute attente assez tabou : celui de la solitude. Loin de ne concerner qu'un petit nombre de personnes aujourd'hui, ce sentiment est très largement éprouvé et ce, malgré un entourage parfois étoffé. Pourquoi ? On en discute. Bonne écoute ! Mail : podcastagnes@gmail.com Instagram : agnes.podcast
Aujourd'hui, c'est un épisode plus spontané, moins construit que je vous propose. J'espère qu'il vous plaira. Bonne écoute ! Instagram : agnes.podcast Mail : podcastagnes@gmail.com
S’il y a bien un milieu qui souffre de nombreux clichés, et particulièrement de stéréotypes de genre, c’est bien celui de l’esthétique. De l’image d’Epinal de prestations uniquement dédiées aux femmes, à l’idée que la beauté féminine rime avec épilation et maquillage sans défauts, en passant par les clichés sur le ou la professionnel(le), les préjugés sont innombrables. Pour tordre le cou à ces images erronées, j’ai décidé d’aller interroger Coline et Tristan qui ont eu la gentillesse de prendre un petit moment pour répondre à mes questions.  Pour vous présenter cette équipe de choc, je commencerai par évoquer Tristan qui est étudiant en marketing et en communication. Dans le cadre de sa formation, il a choisi de commencer une alternance dans un institut de beauté en tant que community manager. Pour lui, ce choix peu commun résonnait avec ses convictions et sa vision très déconstruite des stéréotypes de genre. C’est d’ailleurs sur ce point qu’il s’est entendu avec Coline, notre seconde invitée. Pour l’introduire rapidement, je dirai que Coline, ce n’est pas n’importe qui. Cheffe d’entreprise à 24 ans, elle a décidé de donner une approche féministe et inclusive à son métier d’esthéticienne. Dans son institut aux couleurs neutres trône un flayer à la mention sans équivoque : « toutes nos prestations sont mixtes ». Ainsi, il serait possible de s’affranchir de stéréotypes de genre, y compris dans le milieu de l’esthétique. Lorsqu’elle réalise des épilations délicates, Coline n’hésite pas à ouvrir le débat et à mettre l’accent sur le caractère personnel des choix que l’on fait pour son corps.  Décidément, cette vision des choses avait tout pour me plaire, et c’est pourquoi je suis honorée de les avoir tous les deux à mon micro aujourd’hui pour échanger avec eux. Bonne écoute !  Kumo Institut ************** Instagram : https://www.instagram.com/kumo.institut/ Google : https://goo.gl/maps/5km6jYh9stEjAkcm7?coh=178572&entry=tt Agnès Podcast **************** Instagram : agnes.podcast Mail : podcastagnes@gmail.com
Dans ce dernier épisode de notre série consacrée aux stéréotypes de genre, j’avais envie de revenir sur une notion que j’ai abordée à plusieurs reprises dans les deux épisodes précédents : celle d’injonction. Ce terme peut être défini comme l’ordre, le commandement précis, non discutable, qui doit être obligatoirement exécuté et qui est souvent accompagné de la menace de sanctions. Une injonction sociale est donc, l’ordre implicitement adressé aux membres d’une communauté, de respecter un certain nombre de règles qui en constituent le cadre informel. S’il n’y a pas de sanction à proprement dit en cas de non-respect des injonctions (car, de la même manière, il n’existe pas d’obligation formelle de s’y conformer), l’individu s’éloignant de celles-ci se voit souvent mis au ban de la société. L’exclusion plus ou moins violente de la communauté est ainsi une façon de sanctionner le fait de ne pas se plier aux codes implicites de celle-ci. Pour l’Homme qui est un animal social, il existe en réalité peu de punitions plus difficiles que celle qui consiste à être rejeté par ses pairs.  On le comprend donc, les injonctions sont nombreuses dans notre société. Souvent nimbées de stéréotypes de genre, elles s’imposent à tous, concernent toutes les générations. Aujourd’hui, j’avais envie d’aborder la question des injonctions massivement diffusées par les réseaux sociaux et, de leur réception par les individus, selon leur genre.  Mail : podcastagnes@gmail.com Instagram : agnes.podcast
« Tu seras viril mon kid  Je veux voir ton teint pâle se noircir de bagarres Et forger ton mental pour qu’aucune de ces dames Te dirigent vers des contrées roses, néfastes Pour de glorieux gaillards » Dans la chanson Kid, le chanteur Eddy de Pretto dénonce les stéréotypes de genre dont souffrent les hommes. Il pointe du doigt les injonctions à la virilité, au courage et à la violence dont sont parfois abreuvés les jeunes garçons.  Dans ce deuxième point de notre série du mois consacrée aux stéréotypes de genre, j’avais envie d’aborder ceux qui touchent les hommes. En effet, on peut parfois avoir tendance à l’oublier, mais les hommes aussi font l’objet d’injonction et peuvent parfois être l’objet de modes de pensées sexistes. Si les inégalités qui touchent les hommes sont moins visibles dans notre société, certaines n’en demeurent pas moins présentes. Par ailleurs, la gent masculine est particulièrement concernée par les injonctions sociales qui induisent une très forte pression. Plus encore, ces sujets parfois très problématiques sont souvent invisibilisés dans une société qui, paradoxalement, lutte contre l’avènement d’une forme de masculinité toxique. Accompagner la prise de conscience de l’existence de ces stéréotypes me semble important afin de contribuer à rendre la société plus égalitaire.  Mail : podcastagnes@gmail.com Instagram : agnes.podcast
Dans ce premier point de notre série du mois consacrée aux stéréotypes de genre, je vous propose d’aborder la question des stéréotypes qui touchent les femmes. Ce sont en général les premiers qui nous viennent à l’esprit lorsque l’on envisage la problématique des stéréotypes de genre. Les filles seraient plus délicates, plus douces, plus fragiles, plus émotives que les hommes. Aussi, cette supposée sensibilité innée induit de nombreuses conséquences sur la vie quotidienne des femmes. Durant leurs études, elles seront orientées en priorité vers les matières littéraires. Dans leur vie professionnelle, leur insertion sera facilitée dans le domaine du « Care » ou de l’enfance (parfois même, au détriment des hommes comme l’illustre d’ailleurs le récent film « Sage-Homme de Jennifer Devoldere). Dans la vie privée, elles souffriront d’injonctions comportementales : sois calme, reste tranquille, occupe-toi de tes enfants …. Alors oui, aujourd’hui les stéréotypes de genre féminins font l’objet d’une déconstruction de plus en plus importante. Pourtant, ils demeurent encore très présents dans notre société et induisent encore de lourdes conséquences. On en discute aujourd’hui. Bonne écoute ! Mail : podcastagnes@gmail.com Instagram : agnes.podcast
Bonjour à tous et bienvenue dans ce dernier épisode d’Agnès Podcast consacré au thème du «wokisme». Dans les épisodes précédents, nous avons commencé par évoquer les origines de ce terme et sa définition. Par la suite, je suis revenue sur l’une des causes expliquant la volonté d’une partie de l’opinion de stigmatiser les modes de pensée inclusifs à savoir, leur mauvaise réception dans le contexte français.  Dans ce dernier épisode de la série sur le «wokisme», je voudrais me pencher sur le principal reproche adressé à la diffusion des pensées progressistes : celle d’une éventuelle restriction de la liberté d’expression. En effet, on a parfois tendance à penser que les concepts «woke» conduisent à lisser les discours afin de tendre vers le politiquement correct. Aujourd’hui, on se penche sur ce point.  Mail : podcastagnes@gmail.com Instagram : agnes.podcast
Bonjour à tous et bienvenue dans ce deuxième épisode de la série du mois consacrée au concept de «wokisme». La semaine dernière, nous avons abordé les origines de cette notion et l’usage qui en est fait en France. J’avais expliqué qu’il s’agissait d’une notion polémique, car le terme est toujours utilisé dans une acception péjorative pour désigner les modes de pensée progressistes. Aujourd’hui, je voudrais expliquer la raison pour laquelle les idées progressistes, et leur traitement, en particulier par la pop culture, sont mal reçus en France. En effet, beaucoup de ces concepts viennent des EU et la façon de les traiter est propre à leur culture. Ce choc culturel peut donc naturellement générer certaines incompréhensions dans notre contexte national. C’est ce dont nous allons parler aujourd’hui.  Mail : podcastagnes@gmail.com Instagram : agnes.podcast
Le «wokisme» … Depuis le début de l’année 2021, vous n’avez pas échappé à l’émergence de ce néologisme tout droit venu des États-Unis. Utilisé par une partie des penseurs de droite, d’extrême droite, voire par certains socialistes, il désigne péjorativement ceux qui sont engagés dans les luttes antiracistes, féministes, LGBTQ+ ou écologistes. Ce sujet m’interroge autant qu’il me met en colère. Je suis d’ailleurs farouchement opposé à l’emploi de ce néologisme. Si j’ai voulu revenir dessus, c’est parce que j’ai le sentiment que la notion de wokisme émerge de plus en plus dans le débat public et notamment sur les réseaux sociaux. Il me semble extrêmement dangereux de ne pas faire de travail de réflexion sur ce point, car il est souvent mal compris, ce qui conduit à une minimisation de ses conséquences sur l’ordre social. Certains estiment que les modes de pensée «woke» porteraient atteinte à la liberté d’expression, qu’ils imposeraient une pensée lisse, politiquement correcte. Pourtant, nous le verrons, la notion de «wokisme» est plus un instrument de stigmatisation qu’un véritable objet de protestation. Cette série d’épisodes va donc détricoter cette notion. Bonne écoute. 
Au début de l’année 2023, mon copain et moi lancions Agnès Podcast. Loin d’être murement réfléchi, ce projet s’est imposé de lui-même, après quelques minutes de conversation. Par ce biais, j’avais à cœur de m’exprimer librement sur des sujets qui me tenaient à cœur. Si mon mode d’expression privilégié avait toujours été l’écrit, j’avais le sentiment que m’exprimer à l’oral pouvait être un moyen plus direct pour échanger avec les autres. Grâce aux compétences en son et en mixage de mon copain, le podcast est né et il nous porte depuis plusieurs mois. Aujourd’hui, j’ai envie de faire un premier bilan de cette expérience, ce que cela nous a apporté, mais également d’évoquer avec vous les perspectives pour l’avenir. 
Depuis une dizaine d’années, se développent des modes d’éducation dits «alternatifs». En effet, l’éducation «classique» que nous avons reçue est aujourd’hui remise en question par la nouvelle génération de parents. Il lui est reproché d’être trop violente, contraignante, voire irrespectueuse des besoins fondamentaux des enfants. Cette nouvelle approche de la parentalité s’est développée concomitamment aux neurosciences cognitives qui ont mis en avant un certain nombre de découvertes relatives au développement cérébral de l’enfant.  Désormais, un nombre croissant de parents appréhendent l’éducation sous un nouvel angle qui se veut plus bienveillant. Exit les punitions, le chantage et autres négociations pour finir ses épinards, ce que certains nomment des violences éducatives ordinaires (ou VEO) sont le symbole de techniques éducatives considérées comme rétrogrades. Si vous n’êtes pas familiarisés avec ce terme, les VEO peuvent être définies comme des violences physiques, verbales et psychologiques qualifiées d’éducatives en ce qu’elles font partie intégrante de l’éducation à la maison et dans tous les lieux de vie de l’enfant, dont l’école. Cette notion recouvre des comportements extrêmes variés, pouvant aller des fessées au fait de changer la couche d’un bébé sans lui demander son consentement. Les actes les plus graves sont d’ailleurs réprimés en France depuis la loi du 10 juillet 2019. Toutefois, bien au-delà des fessées et autres menaces, certains parents ont une conception si large des VEO qu’elle peut conduire à une absence totale de contrainte exercée sur l’enfant. Le système scolaire peut alors être considéré par une partie d’entre eux, comme incompatible avec une éducation bienveillante.  Face à cette méfiance croissante vis-à-vis du système d’enseignement public, j’ai décidé d’interroger mon amie Lauriane, qui est une jeune professeure des écoles. J’ai voulu recueillir son avis sur l’école, ses évolutions et sur son caractère potentiellement incompatible avec le bien-être de notre progéniture. 
On le connait tous, ce sentiment qui nous prend comme une lame de fond au milieu de la nuit. Il nous foudroie, nous laisse les yeux grands ouverts jusqu’à 4h du matin, fait battre notre cœur de manière irrégulière et couvre le dessus de nos lèvres d’une affreuse pellicule de transpiration. Vous l’aurez compris, j’ai nommé l’angoisse. Cette dernière peut se définir comme une intense sensation d’inquiétude face à un danger qui nous semble imminent, mais qui demeure vague. Si nous sommes tous plus ou moins concernés par ce sujet, certaines personnes parviennent aisément à gérer ces épisodes de stress tandis que pour d’autres, ceux-ci peuvent devenir envahissants, voire chroniques. Dans ces hypothèses, les personnes concernées peuvent être sujettes à des crises d’angoisse si pénibles qu’elles leur donnent le sentiment d’être en train de mourir d’une crise cardiaque, de respirer par une paille ou de se sentir écrasé par une tonne de béton.  Lorsque l’angoisse prend une telle place, vivre normalement peut devenir difficile. Les actions simples du quotidien comme prendre les transports en commun, circuler avec sa voiture ou sortir boire un verre avec ses amis peuvent devenir mission impossible. Si dans ces situations extrêmes, une prise en charge médicale peut être nécessaire, il existe pourtant un certain nombre de gestes simples qui, lorsqu’ils sont effectués avec une certaine régularité, peuvent réellement améliorer la situation. On en discute aujourd’hui. 
De l’émission «  Faites entrer l’accusé  », aux séries Netflix revenant sur le parcours de criminels célèbres comme Ted Bundy ou Jeffrey Dammer, en passant par des émissions radio ou des chaînes Youtube dédiées, les récits de faits divers criminels semblent fasciner bon nombre de spectateurs. Loin d’être récent, cet attrait pour ce que les anglophones nomment le «  True crime  » s’est développé à la fin du 19e siècle avec émergence des rubriques «  faits divers  » dans les journaux. La fascination pour Jack l'éventreur constitue l'un des premiers exemples de l'attrait du public pour ce type de sujet. Par la suite, des magasines spécialisés apparaitront comme Détective en 1928 ou du Nouveau détective dans les années 50. Aujourd'hui, le fait divers se porte toujours bien comme le montre le récent succès du reportage Netflix sur l'affaire Michel Fourniret. Beaucoup de gens reconnaissent être fascinés par ce type de contenu qu'ils trouvent effrayant, captivant et mystérieux. Pourtant, lorsque l'on y regarde de plus près, les affaires relatées sont souvent en lien avec des crimes comme des homicides ou des actes de tortures. Cet attrait partagé par une grande partie du public interroge donc. Au fond, apprécier ce type de contenu est-il réellement anodin  ? Pis encore, la consommation de ces récits n'est-elle pas quelque peu malsaine  ? On en discute aujourd'hui. Mail : podcastagnes@gmail.com Instagram : agnes.podcast
Le 8 mars, la France et le Québec célèbrent la Journée internationale du droit des femmes ou Journée internationale des femmes selon l’ONU. En France, elle a été consacrée depuis 1982 suite à l’action de la ministre déléguée aux droits des femmes, Yvette Roudy. Cette journée a pour objectif « d’informer, d’interpeller et de sensibiliser les citoyens sur les inégalités et les discriminations que vivent encore les femmes aujourd’hui ». Vous le savez, la question du droit des femmes au sens large me tient particulièrement à cœur. Alors, à l’occasion de cette journée, j’avais envie de faire un épisode particulier avec celle qui a constitué mon premier modèle féminin et qui a joué un rôle dans ma construction en tant que femme : ma mère. Riches d’expériences différentes, mais aussi d’âges différents, nous vous proposons aujourd’hui notre échange au sujet des questions féministes en général. Bonne écoute. Instagram : agnes.podcast Mail : podcastagnes@gmail.com
Au début d’une relation amoureuse, on est dans la séduction, on veut que l’autre nous voie sous notre meilleur jour. Chaque instant passé avec l’élu de notre cœur est vécu comme un moment privilégié. On a des papillons dans le ventre, on voudrait que ces moments durent toujours. On se voit chez l’un, puis chez l’autre. Au final on est tout le temps ensemble. C’est alors que se pose LA question : «et si on s’installait ensemble ? Ça permettrait d’économiser un loyer et puis, on aurait enfin notre chez nous». Souvent, l’installation est un moment charnière dans la vie d’un couple. On a d’ailleurs tendance à penser que ça passe ou ça casse. En effet, après la frénésie des premiers émois, commence le vrai défi : celui de partager un quotidien à deux, de se retrouver tous les soirs en face en face et de tout vivre ensemble, les bons comme les mauvais moments. Vivre à deux, c’est parfois accepter de laisser le glamour sur le palier, c’est accepter les petites manies de l’autre, lui faire de la place dans tous les sens du terme. Loin d’être aisé, vivre à deux s’apprend, on en discute aujourd’hui. Mail : podcastagnes@gmail.com Instagram : agnes.podcast
Lorsqu’avec mon copain nous avons créé Agnès Podcast, nous avions envie de bâtir un espace dans lequel nous pourrions nous exprimer sur des sujets nous tenant à cœur. Mais nous avions également dans l’idée de donner la parole aux personnes qui nous entourent. Car, lorsque l’on prête l’oreille à l’histoire des autres, qu’on y est vraiment attentifs, on s’aperçoit souvent que leurs vécus, leurs expériences, sont riches d’enseignement. Dans ces épisodes au format un peu différent, j’ai envie de tendre le micro vers mes proches pour qu’ils puissent, eux aussi, partager leurs histoires. Pour ce premier échange, je tenais à interroger Stecy car elle fait partie de ces personnes au parcours semé d’embuches, mais qui savent rebondir et qui donnent tout son sens au terme «résilience». En effet, si pour certains scolarité rime avec sérénité, pour elle cela s’est avéré être un véritable parcours du combattant. Après une période lycéenne dilettante, elle échoue au baccalauréat et se retrouve en décrochage. Mais, grâce aux bons conseils d’une conseillère d’orientation, des professeurs attentifs et surtout, beaucoup de courage, elle a su se relever et trouver une nouvelle voie par un biais encore trop peu connu : le micro-lycée. Aujourd’hui, elle nous raconte son histoire. Instagram : agnes.podcast Mail : podcastagnes@gmail.com
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