La riche pluralité de son expression musicale est, de longue date, l’un des plus beaux traits de l’Algérie. Par-delà les sources berbères et araboandalouses, une certaine polarité géographique a pu se dessiner entre le malouf, que l’on lie à la région de Constantine, le chaâbi qui fait chanter celle d’Alger, ou encore le raï né à Oran. Ce troisième et dernier épisode vous est présenté par les conservatrices Camille Faucourt et Florence Hudowicz, introduction suivie d’une discussion avec Maya Saidani, ethnomusicologue spécialiste des musiques et danses traditionnelles de l’Algérie, Nedjim Bouizzoul leader du groupe Labess, modérée par l'historienne Naïma Yahi. Algérie-France, la voix des objets vous est proposé par le Mucem, musée des civilisations de l'Europe et de la Méditerranée. © musique générique : Labess Acoustic Session - Koul Men Chaf © musique conclusion : groupe Labess - Babour El LeuhHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Quasi-inexistante antérieurement, la représentation imagée a connu un foisonnant essor sous la présence française. Si le « regard colonial » s'y partage entre fascination pittoresque et célébration de l'ordre en place, cette production s'ouvre parfois à une vraie curiosité à l’égard du territoire et un certain intérêt pour l'Autre. Ce nouvel épisode vous est présenté par les conservatrices Camille Faucourt et Florence Hudowicz, introduction suivie d’une discussion avec Olivier Hadouchi, historien du cinéma et programmateur indépendant et Lyes Salem, acteur, scénariste et réalisateur, modérée par l'historienne Naïma Yahi. Algérie-France, la voix des objets vous est proposé par le Mucem, musée des civilisations de l'Europe et de la Méditerranée. © musique générique : Labess Acoustic Session - Koul Men Chaf © musique conclusion 'La carte de résidence' : Slimane Azem, Mouss et Hakim sur l'album Origines Contrôlées. Ce morceau est extrait du ciné concert CinéMusica, une proposition artistique audiovisuelle de Mouss & Hakim et Nabil Djedouani, mêlant cinéma burlesque algérien et chansons de l’immigration.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Produit de toute l’histoire et de la géographie d’un si vaste territoire, la pluralité des langues parlées en Algérie constitue la première richesse d’une population pouvant pratiquer au moins trois langues selon les besoins d’expression et faisant preuve dans cet usage partagé d’une inventivité toujours renouvelée. Ce deuxième épisode vous est présenté par les conservatrices Camille Faucourt et Florence Hudowicz, introduction suivie d’une discussion avec Kaoutar Harchi écrivaine et sociologue et Ouafa Mameche journaliste, modérée par l'historienne Naïma Yahi. Algérie-France, la voix des objets vous est proposé par le Mucem, musée des civilisations de l'Europe et de la Méditerranée. © musique générique : Labess Acoustic Session - Koul Men Chaf © musique conclusion : Samira Brahmia - Ezzi Essaa. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
En parlant d’une « seconde indépendance » ou d’une « Deuxième République », les membres du hirak exigent que la population reconquière une souveraineté pluraliste dont elle a été dépossédée dès juillet 1962. Les bases mêmes du « système » en place depuis lors sont ainsi remises en débat. Quel type de vie civique inventer, qui puisse échapper au contrôle par les forces de « l’État profond » ? Comment garantir la sincérité des élections, et une réelle séparation des pouvoirs ? Qu’attendre à l’avenir des Algériens de France et des binationaux ? Une discussion avec l’historienne Charlotte Courreye et le romancier et dramaturge Mohamed Kacimi. Modérée par la journaliste Daikha Dridi © Crédit musique : Dar Zeineb - Trio Sabâ (Agathe Di Piro, Malik Ziad et Mehdi Laifaoui)Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Un mouvement qui a réuni en masse des femmes et des hommes de tous âges, origines et conditions, invite à réinterroger nombre des questions propres à l’émergence du peuple algérien dans l’histoire : quelles mobilisations professionnelles ou locales ont préparé le mouvement actuel ? Quel rôle ont joué les femmes dans l’action collective, aujourd’hui comme hier, et quel statut auront-elles dans l’Algérie de demain ? Comment la jeunesse actuelle se réapproprie-t-elle l’histoire de la libération nationale et celle de l’Algérie indépendante ? Comment les Algériens ont-il fait du langage et de l’humour l’une des meilleures armes de leur combat ? Une discussion avec : La romancière Maïssa Bey et l’historien Pierre Vermeren © Crédit musique : Dar Zeineb - Trio Sabâ (Agathe Di Piro, Malik Ziad et Mehdi Laifaoui)Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
La population algérienne porte la mémoire d’une longue tradition de l’action publique de masse. L’évocation de ces précédents permet d’interroger la manière dont le hirak (que l’on peut traduire par « mouvement populaire », ou « mobilisation citoyenne ») a reconquis la rue comme espace public, et y a imposé une présence organisée de ses symboles : drapeau, slogans, chants. Qu’est-ce qui fait la force de cette mobilisation pacifique ? Quelles leçons a-t-elle tirées des grands mouvements de 1980 et de 1988 ? Quels risques doit-elle affronter ? Une discussion avec les historiens Omar Carlier et Marie Chominot-Louanchi © Crédit musique : Dar Zeineb - Trio Sabâ (Agathe Di Piro, Malik Ziad et Mehdi Laifaoui)Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Une classe de collégiens de quatrième, aux histoires familiales très diverses, se joint à une artiste marseillaise, Dalila Mahdjoub, pour questionner les objets et les représentations de l’Algérie exposés au Mucem. Quelles significations revêtent-ils aujourd’hui ? Quels silences, quelles paroles libèrent-ils ? De leurs échanges émergera, en filigrane, un portrait, vécu ou imaginaire. Une discussion avec : Dalila Mahdjoub et Evelyne Ribert Suivie d’une lecture musicale de Lyes Salem et Hakim Hamadouche : Recherche Nina, désespérément © Crédit musique : Dar Zeineb - Trio Sabâ (Agathe Di Piro, Malik Ziad et Mehdi Laifaoui)Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
À partir de 1860, après les destructions urbaines du temps de la conquête, le pouvoir colonial en place en Algérie transforme et réaménage le territoire « à la française ». Pour attirer les investisseurs et dynamiser l’économie locale, de grands chantiers de construction sont lancés : refonte des principaux centres urbains ponctués d’importants monuments publics, développement des infrastructures de transport… Ce modernisme à l’occidentale modèle durablement le visage de la colonie. Qu’en advient-il aujourd’hui ? Comment caractérise-t-on et comment représente-t-on le territoire algérien à l’ère des nouveaux plans d’aménagement et d’urbanisme ? Une discussion avec : Halim Faïdi, François Dumasy et Nabil Djedouani © Crédit musique : Dar Zeineb - Trio Sabâ (Agathe Di Piro, Malik Ziad et Mehdi Laifaoui)Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
L’orientalisme a durablement influencé les imaginaires, français comme algériens, du XIXe siècle à nos jours. Chevaliers arabes en pleine fantasia, Mauresques fumant le narghilé dans leurs appartements, bergères et lavandières chichement vêtues, deviennent les poncifs d’un art occidental projetant ses frustrations et ses fantasmes. Tableaux, sculptures, photographies et cartes postales exposés au Mucem permettent l’examen des expressions, des mécanismes et des conséquences de cette quête d’exotisme devenue fabrique à clichés, ainsi que des regards que l’on porte aujourd’hui sur ces questions. Une discussion avec : Nadira Laggoune, Christine Peltre et Anissa Bouayed Accompagnement musical par Sidi Bémol en duo avec Abdenour Djémaï © Crédit musique : Dar Zeineb - Trio Sabâ (Agathe Di Piro, Malik Ziad et Mehdi Laifaoui)Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Les zones rurales et montagnardes de l’Algérie ont opposé une longue résistance à l’armée française. Réputée soumise en 1857, puis insurrectionnelle en 1871, la Kabylie sera très durement réprimée. Les ethnologues français trouveront dans cette société rurale isolée un sujet de recherche privilégié, tandis que certains administrateurs coloniaux y verront un terrain propice à la mise en place d’une politique plus volontaire en termes d’équipements publics. Cependant, la paupérisation de la Kabylie provoque dès 1900 les premières migrations vers la métropole, qui a besoin de main-d’œuvre ouvrière et de soldats à la veille de 1914. Ce nouvel épisode traite du pouvoir de fascination qu’ont exercé les peuples berbères sur les hommes politiques, les ethnologues et les collectionneurs français, du XIXe siècle à nos jours. Une discussion avec : Le journaliste, traducteur et chercheur Yassine Temlali et le chanteur Ali Amran Modérée par : Florence Hudowicz (conservatrice) et Tewfik Hakem (journaliste, producteur à France Culture) Accompagnement musical par : Ali Amran (guitare, chant), Fabien Mornet (guitare), Daniel Largent (basse) et Franck Mantegari (batterie) © Crédit musique : Dar Zeineb - Trio Sabâ (Agathe Di Piro, Malik Ziad et Mehdi Laifaoui)Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
En 1870, le ministre de la Justice Adolphe Crémieux publie une série de décrets dont le plus fameux permet la naturalisation des « Israélites indigènes d’Algérie ». Cette mesure exceptionnelle, qui provoque des réactions antisémites en Algérie et en France, déclare « citoyens français » plus de 35 000 personnes juives arabophones, mais les distingue dans le même temps des musulmans, demeurés quant à eux « indigènes ». Cette séparation initie une autre histoire : en 1962, la plupart de ceux qu’on appelait « juifs d’Algérie » s’exilent en France. Une discussion avec : L’historienne Annie Cohen-Solal, et l’auteur, illustrateur et réalisateur Joann Sfar Modérée par : Florence Hudowicz (conservatrice) et Tewfik Hakem (journaliste, producteur à France Culture) Accompagnés de l’Ensemble de musique Chaâbi formé par : Hassen Karbiche (chant, mandole), Farid Zebroune (bandjo), Zohir Djemai (violon) et Youcef Kasbadji (percussions) © Crédit musique : Dar Zeineb - Trio Sabâ (Agathe Di Piro, Malik Ziad et Mehdi Laifaoui)Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Les divisions au sein de la société coloniale algérienne finissent par provoquer la guerre et l’exil en France d’une partie notable de la population. Dans cette émigration se trouvent une partie des « Français musulmans » qui se sont enrôlés pendant la guerre aux côtés de la France. Ces « supplétifs », mieux connus sous le terme de « harkis », purent gagner la métropole malgré l’interdiction des dispositions officielles. Les harkis ont connu pendant cinquante ans un régime spécial, comme s’ils n’étaient ni totalement rapatriés, ni totalement français, tandis que l’Algérie les maintient encore à l’écart. Leurs familles ont dû reconstruire une manière de vivre et d’exister, forgeant leur histoire dans la transmission des mémoires intimes, qu’il reste à inscrire dans l’histoire collective. Une discussion avec : Éric Savarese, docteur en sciences politiques et Zahia Rahmani, historienne d’art et commissaire d’exposition Modérée par : Florence Hudowicz (conservatrice) et Tewfik Hakem (journaliste, producteur à France Culture) Accompagnés des musiques et chants berbères de : Malik Ziad (mandole, guitare, chant), Mheni Benlala (basse, chant) et Hassan Boukerou (percussions, chant) © Crédit musique : Dar Zeineb - Trio Sabâ (Agathe Di Piro, Malik Ziad et Mehdi Laifaoui)Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
1962 aurait dû marquer la fin de l’histoire coloniale de la France en Algérie. Les relations entre les deux pays restent pourtant complexes, alors que les relations interpersonnelles sont très actives et nombreuses. Le récit historique peine encore à rassembler les mémoires divergentes, tandis que la transmission intergénérationnelle de la mémoire familiale continue à jouer un rôle prédominant. Quelle est l’ampleur de ce ressassement, du manque et de la perte ? Faut-il favoriser la mémoire ou l’oubli ? Surtout : comment enfin dépasser 1962 ? Une discussion avec : Le psychiatre Boris Cyrulnik, Les historiens Ahmed Djebbar et Benjamin Stora Accompagnement musical par le quartet de : Sylvie Paz (chant, percussions), Gil Aniorte (mandole, guitare électrique), Malik Ziad (mandole, basse) et Mehdi Laifaoui (chant, derbouka, bendir) © Crédit musique : Dar Zeineb - Trio Sabâ (Agathe Di Piro, Malik Ziad et Mehdi Laifaoui)Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Aujourd’hui encore, il est difficile d’aborder sereinement l’histoire coloniale qui lie l’Algérie et la France. Comme si les traumatismes ne pouvaient se réparer. Parallèlement aux travaux des historiens, des politologues et des sociologues, la littérature semble avoir été l’art le plus constant pour la mise en récit de cette histoire qui n’en finit pas. Les affiches et tracts de propagande, tout comme les objets symbolisant la vie des soldats, nous permettent d’engager le débat. Une discussion avec : Les écrivains Alexis Jenni et Samir Toumi © Crédit musique : Dar Zeineb - Trio Sabâ (Agathe Di Piro, Malik Ziad et Mehdi Laifaoui)Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Les grandes cités algériennes, et en particulier Alger, portent les marques des destructions et des occupations successives qui s’y sont déroulées tout au long de l’histoire. Notamment celles de l’architecture à l’époque coloniale. Certains monuments issus de ce passé, comme la Grande Poste d’Alger, s’inscrivent désormais dans le patrimoine culturel local et semblent servir de repère à toutes les mémoires. Présentée au Mucem, la maquette de ce monument né en 1913 (comme Albert Camus) questionne l’héritage des architectures coloniales. Une discussion avec : Les architectes Nadir Tazdait et Pascale Langrand, ainsi que le photographe Bruno Boudjelal © Crédit musique : Dar Zeineb - Trio Sabâ (Agathe Di Piro, Malik Ziad et Mehdi Laifaoui)Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
L’émir Abdelkader, mais aussi, dans un rôle plus secondaire, l’empereur Napoléon III, figurent parmi les grands personnages de l’histoire des relations entre France et Algérie. Dès son accession au pouvoir, Napoléon III semble avoir voulu se distinguer de ses prédécesseurs en libérant l’émir, alors emprisonné en France. Le bilan de sa politique algérienne ne sera pourtant pas à la hauteur de son ambition initiale. Ce nouvel épisode pose la question de la nécessité et du rôle des grands noms, dans le récit et le partage de cette histoire. Une discussion avec : L’anthropologue François Pouillon, L’historien Ahmed Bouyerdene, et Jean-Robert Henry, ancien président du comité scientifique du Musée d'Histoire de la France et de l'Algérie. © Crédit musique : Dar Zeineb - Trio Sabâ (Agathe Di Piro, Malik Ziad et Mehdi Laifaoui)Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Au début des années 2000, la ville de Montpellier décidait de consacrer un lieu dédié à l’histoire coloniale de la France en Algérie. Mais le projet de « Musée d’Histoire de la France et de l’Algérie » est finalement abandonné en 2014. Il en subsiste une riche collection d’œuvres et d’objets, qui a rejoint les fonds du Mucem en 2017. Cette collection s’offre au partage et à la discussion, lors de ce premier épisode du cycle « Algérie-France, la voix des objets ». Avec : La politologue Françoise Vergès, la critique d’art Nadira Laggoune, et le potilogue Georges Morin, ex-membre du Conseil d’administration du Musée d’Histoire de la France et de l’Algérie. © Crédit musique : Dar Zeineb - Trio Sabâ (Agathe Di Piro, Malik Ziad et Mehdi Laifaoui)Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
La conquête de l’Algérie par la France au XIXe siècle coïncide avec l’émergence de nouvelles sciences, comme l’archéologie puis l’ethnologie, mises à profit pour une meilleure connaissance de ces nouveaux territoires et populations. Le lien entre savoirs et pouvoirs en temps colonial a durablement marqué ces pratiques, jusqu’à aujourd’hui. Ce nouvel épisode porte sur les usages coloniaux des patrimoines de la vie quotidienne ainsi que sur leurs répercussions actuelles. Une discussion avec : L’historienne et architecte Nabila Oulebsir, l’archéologue Mounir Bouchenaki, et l’anthropologue Benoît de l’Estoile. © Crédit musique : Dar Zeineb, trio Sabâ (Agathe Di Piro, Malik Ziad et Mehdi Laifaoui)Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Revivez la première saison du cycle « Algérie-France, la voix des objets ». Ce cycle de rencontres interroge les relations qu’entretiennent depuis près de deux siècles la France et l’Algérie, mais aussi leurs échos dans la vie actuelle de chacun des deux pays. S’appuyant sur le fonds d’objets conservés au Mucem, chercheurs et artistes croisent leurs regards sur ce patrimoine, et questionnent les enjeux d’une telle collection au regard de l'histoire et de ses répercussions présentes. Algérie France, la voix des objets, vous est proposé par le Mucem, musée des civilisations de l’Europe et de la Méditerranée. © Crédit musique : Dar Zeineb - Trio Sabâ (Agathe Di Piro, Malik Ziad et Mehdi Laifaoui)Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.