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Bienvenue sur Africa News : La Voix de l’Actualité Africaine en Mouvement.
Bienvenue sur Africa News : La Voix de l’Actualité Africaine en Mouvement.
Author: Félicité Amaneya VINCENT
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© Félicité Amaneya VINCENT
Description
Cette chaine de Podcast est dédiée à la promotion de la culture, de l'art, de la musique et de l'actualité du continent africain. Ici, vous trouverez des podcasts informatifs, des interviews exclusives, des clips musicaux, et bien plus encore, le tout dans le but de mettre en lumière la richesse et la diversité de l'Afrique. La Voix de l’Actualité Africaine en Mouvement est animée par Félicité Amaneya VINCENT, une passionnée de l'Afrique et de sa culture, qui souhaite partager sa passion avec le monde entier. Rejoignez-nous pour découvrir les trésors cachés de l'Afrique et pour rester informé
20 Episodes
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Bonjour, L’Europe semble avoir perdu la raison. Nous assistons à une gouvernance marquée par des décisions absurdes, dictées par des élites enfermées dans un délire
narcissique. Ces dirigeants, aveuglés par leur quête de domination, utilisent la haine, la violence et une arrogance destructrice pour imposer leur vision, menaçant ainsi non seulement leur propre stabilité, mais aussi celle du monde
entier. Face à cette dérive, il est urgent de poser un diagnostic : où en sommes-nous en Europe ? Comment échapper à cette spirale suicidaire ? L'Europe traverse actuellement une période complexe, marquée par des défis économiques, politiques et sociaux. Les tensions internes, les divergences politiques et les pressions économiques ont conduit à une situation où la cohésion et la stabilité de l'Union européenne sont mises à l'épreuve. Votre soutien est essentiel pour faire grandir ce projet ! Écoutez, partagez et faites découvrir ce podcast autour de vous. Nous avons besoin d’atteindre 100 écoutes pour débloquer la monétisation et continuer à vous informer sur les sujets qui comptent. Merci pour votre engagement et votre fidélité !
Où en sommes-nous en Europe ? Par Félicité Amaneyâ Râ VINCENT - https://linktr.ee/RADIOTAMTAM
Bonjour. Bienvenue dans ce nouvel épisode de notre podcast, où nous mettons en lumière des personnalités inspirantes qui œuvrent pour transformer les médias et valoriser la richesse culturelle de l’Afrique. Aujourd’hui, nous vous invitons à découvrir le parcours exceptionnel de Félicité
Vincent, journaliste et entrepreneure passionnée, fondatrice de RADIOTAMTAM AFRICA. Avec une vision audacieuse et engagée, Félicité Vincent mobilise ses ressources
personnelles et professionnelles pour faire de cette plateforme un espace unique, dédié à la culture, à l’information et à la promotion des talents
africains. À travers son travail, elle s’efforce de renforcer la voix de l’Afrique sur la scène mondiale, tout en créant des ponts entre le continent et sa diaspora.
Restez avec nous pour explorer son parcours, ses initiatives et sa vision pour un média africain indépendant et influent.
Bonjour à toutes et à tous,
Alors que nous approchons de la fin de 2024, il est temps de prendre un moment pour réfléchir à ce que nous avons accompli, appris, et surmonté ensemble. Cette année a été marquée par des défis, mais aussi par une incroyable démonstration de résilience et de solidarité collective. Chez RADIOTAMTAM AFRICA, nous avons grandi en restant fidèles à nos valeurs, tout en apportant une contribution significative à notre communauté. Mais cette réflexion va au-delà de notre radio : elle touche chacun de nous, car nos actions aujourd’hui façonnent l’avenir de demain.
2024 : Un bilan de résilience pour construire un avenir
porteur de sens en 2025. Chaque fin d'année est une invitation à faire le point, à regarder derrière nous pour mieux envisager ce qui est à venir. 2024, une année riche en défis et en bouleversements, nous a mis à l’épreuve. Elle a exigé de nous de la résilience, une capacité d’adaptation constante et une solidarité renouvelée. Mais au-delà des obstacles surmontés, une question reste essentielle. Qu’avons-nous appris ?
Et comment transformer ces leçons en bases solides pour bâtir un avenir qui a du sens ? Cette année, nous avons redécouvert que la résilience est une force collective. Ce n’est pas seulement la capacité de résister, mais celle d’évoluer ensemble, en construisant des solutions qui impactent durablement. Parmi ces leçons :
À l’aube de 2025, nous avons l'opportunité d’aller plus loin. Cette nouvelle année est une invitation à réinventer
nos façons de faire, en donnant du sens à chaque démarche.
Posons-nous les bonnes questions :
Grandir autrement, c'est choisir une croissance inclusive et humaine, qui ne laisse personne derrière et qui trace des chemins durables pour les générations futures. Pour ma part, je m’engage à :Et vous ? Quel sera votre engagement pour 2025 ? Alors que 2024 nous a appris à résister, 2025
sera l'année de l’audace : une année pour avancer avec
intention, bâtir des ponts, et œuvrer ensemble à un avenir meilleur. Je vous souhaite une année 2025 où : À toutes celles et ceux qui croient en un monde meilleur et agissent pour le construire : Merci. Continuons à
rêver, à créer, et surtout, à agir. Ensemble, traçons un avenir où chaque geste, aussi petit soit-il, contribue à bâtir un monde empreint de sens et d’espoir.
Je vous adresse mes meilleurs vœux pour cette période
des fêtes. Que 2025 soit une année de sérénité, de joie et
d’accomplissements pour vous et vos proches.
Regard vers le passé : Que laissons-nous derrière ?
Les leçons de résilience : Ensemble, tout est possible 2025 : Une année pour oser, ensemble. Mon engagement pour RADIOTAMTAM AFRICA en 2025. 2025 : Résilience, union et audace Un message de gratitude et d’espoir
Bonjour. Bienvenue sur LES
PODCASTS – RADIOTAMTAM AFRICA, votre rendez-vous pour explorer les grandes questions qui façonnent l’Afrique et son rôle dans le monde.
Dans cette édition de la chronique «
La Voix de l’Afrique en France », nous abordons un sujet
central : « Construire des ponts, briser les barrières ».
Le monde d’aujourd’hui est marqué par un paradoxe : à l’heure de l’interconnexion globale, des murs invisibles — économiques, numériques, culturels — continuent
de diviser les nations et de creuser les inégalités. Pourtant, bâtir un avenir commun, plus équitable et prospère, repose sur notre capacité à coopérer
au-delà de ces barrières. Alors, comment surmonter ces obstacles ? Comment favoriser une mondialisation
inclusive, où chaque nation a sa place et peut contribuer à l’épanouissement collectif ?
Plongez avec nous dans cette réflexion essentielle : par Félicité Amaneyâ Râ VINCENT
https://linktr.ee/RADIOTAMTAM
Bonjour et bienvenue dans Chronique d'Afrique, votre rendez-vous dédié à l’analyse des grands enjeux qui façonnent les relations entre l’Afrique et le monde. Aujourd’hui, nous abordons un sujet brûlant : le déclin de l'influence française sur le continent africain sous la présidence d'Emmanuel Macron. Une politique qualifiée par
certains d'arrogante, néocoloniale, et en décalage avec les aspirations des peuples africains.
À travers cette chronique, nous explorerons les tensions croissantes dans les relations entre la France et l'Afrique, notamment autour des dossiers sahraouis,
algérien, et des enjeux de coopération internationale. L'Afrique, plus que jamais, cherche à se réinventer et à établir des partenariats plus équitables
sur la scène mondiale. Restez avec nous pour une analyse approfondie de ces dynamiques complexes.
https://www.gofundme.com/f/supportez-radiotamtam-africa/
Bonjour et bienvenue sur RADIOTAMTAM
AFRICA, votre source incontournable pour décrypter l'actualité africaine. Je suis Félicité Amaneyâ Râ VINCENT,
journaliste chevronnée et fondatrice de cette plateforme engagée. Aujourd’hui, nous mettons en lumière une avancée politique majeure au Gabon. La Cour constitutionnelle a validé officiellement le "oui" au référendum constitutionnel, avec un résultat de 91,64 %, marquant une étape décisive pour le retour à un pouvoir civil après le coup d’État d’août 2023. Dans ce podcast de RADIOTAMTAM AFRICA, nous explorerons :
Les implications de cette nouvelle. Constitution pour la transition politique : Comment ce texte redéfinit les institutions et les mécanismes de gouvernance du Gabon.
Les défis et opportunités que ce changement
apporte pour le Gabon et ses citoyens : Quels seront les impacts concrets sur la vie politique, sociale et économique du pays ?
Restez à l’écoute pour un décryptage complet et des perspectives sur l’avenir de cette nation en pleine transformation.
C’était RADIOTAMTAM AFRICA, votre podcast dédié à l’actualité africaine. Aujourd’hui, nous avons analysé un moment historique pour le Gabon : la validation d’une nouvelle Constitution, symbole d’espoir et de défis pour le retour à une gouvernance civile. Votre avis nous intéresse ! Partagez vos réflexions sur nos réseaux sociaux et restez connectés pour d’autres analyses et débats sur l’actualité africaine.
Merci de votre écoute, et à très bientôt
pour un nouvel épisode de RADIOTAMTAM
AFRICA.✨RADIOTAMTAM AFRICA – La parole est
une force.
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Aujourd’hui, nous revenons sur un événement marquant qui a secoué la ville de Bezons, dans le Val-d’Oise. Mercredi dernier, en pleine journée, huit coups de feu ont retenti
rue Jean-Baillet, laissant un homme blessé par balle. Ce trentenaire, touché au bras et au mollet, a été transporté à l’hôpital d’Argenteuil, où son état est jugé stable. Que
s’est-il passé ce jour-là ? Qui sont les responsables de cet acte de violence ? Et comment la population locale réagit-elle face à ces événements ? Restez avec nous pour en savoir plus sur cette affaire qui soulève de nombreuses questions
et plonge un quartier sous tension. Votre soutien est essentiel pour faire grandir ce projet ! Écoutez, partagez et faites découvrir ce podcast autour de vous. Nous avons besoin d’atteindre 100 écoutes pour débloquer la monétisation et continuer à vous informer sur les sujets qui comptent. Merci pour votre engagement et votre fidélité !
Val-d’Oise : Fusillade en pleine rue à Bezons, un homme blessé par balle Par Félicité Amaneyâ Râ VINCENT
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Au Gabon, la Cour constitutionnelle a validé huit candidatures pour la présidentielle du 12 avril. L’opposant Jean-Rémy Yama est écarté. Une décision qui soulève desdoutes sur la transparence du processus électoral.En RDC, Félix Tshisekedi et Paul Kagame se sont rencontrés à Doha. Grâce à la médiation du Qatar, un cessez-le-feu immédiat a été convenu. Mais la situation dansl’Est reste incertaine.Aux États-Unis, Donald Trump et Vladimir Poutine ont tenu une discussion stratégique de 2h30. L’Afrique ne serait pas absente de ces échanges de haut niveau. Une nouvelle page de la géopolitique mondiale est peut-être en train de s’écrire.À Bezons, l’association Bezons Action Citoyenneté appelle à une démocratie locale plus forte et plus proche des habitants. C’est le moment de faire entendre votre voix pour un changement réel au niveau communal.RADIOTAMTAM AFRICA, c’est votre média libre, indépendant et panafricain.Informez-vous, partagez, et soutenez l’information indépendante !Soutenez-nous dès maintenant : Lien de don GoFundMeMerci pour votre fidélité. Ensemble, faisons résonnerla voix de l’Afrique !#RADIOTAMTAMAFRICA#AfriqueEnMouvement #ActualitéAfricaine #Gabon #RDC #Bezons #Trump #Poutine#PresseLibre #VoixDeLAfrique #SoutienAuxMédiasIndépendants
Bienvenue sur RADIOTAMTAMAFRICA, la voix libre et engagée de l’Afrique en mouvement.Aujourd’hui, cap sur le Gabon, où le climat politiquereste sous tension à moins d’un mois de l’élection présidentielle, prévue pourle 12 avril 2025.Le vendredi 21 mars, la Cour constitutionnellegabonaise a validé les recours de quatre candidats supplémentaires. Résultat : huitprétendants officiels sont désormais en lice.Parmi eux, Thierry Yvon Michel Ngoma, Axel StophèneIbinga Ibinga, Alain Simplice Boungoueres… et Zenaba Gninga Chaning, laseule femme de cette élection, jeune cheffe d’entreprise âgée de 36 ans.Mais cette ouverture n’est pas sans exclusion.Jean-Rémy Yama, figure syndicale de l’opposition, voitsa candidature rejetée pour dossier incomplet, malgré des tentatives derégularisation. Il dénonce une injustice et questionne : « Pourquoi ont-ilspeur de moi ? »Ce rejet suscite de nombreuses réactions. Certains yvoient une tentative d’affaiblir l’opposition, dans un contexte où le généralBrice Clotaire Oligui Nguema, président de la transition, part favori.Depuis le coup d’État d’août 2023, le Gabon vit unetransition militaire sous surveillance. Cette présidentielle représente uneopportunité de retour à l’ordre constitutionnel… mais aussi un test pour latransparence du processus électoral.Alors, le Gabon est-il prêt à tourner la page ?Entre tensions institutionnelles, candidaturesrecalées, et méfiance populaire, cette élection est une épreuve de maturitédémocratique.RADIOTAMTAM AFRICA suivra chaque étape, chaque voix,chaque vote.Restez connectés, informés, et engagés. Rejoignez la conversation sur nos réseaux avec le hashtag #Gabon2025.Merci de votre écoute, ici la parole est une force.
annonce le retrait officiel du Mali, du Burkina Faso et du Niger, formant l'Alliance des États du Sahel (AES), de l'Organisation internationale de la Francophonie (OIF). Cette décision, motivée par une suspension de l'OIF suite à des coups d'État et perçue comme une ingérence, marque une rupture symbolique et stratégique. Le départ de l'AES pourrait entraîner une perte de financements et de coopération dans des secteurs clés comme l'éducation et la culture, tout en soulevant des questions sur l'avenir de la Francophonie et les alliances géopolitiques en Afrique. L'article interroge les conséquences de ce retrait pour les pays concernés et pour l'OIF elle-même.
Chers lecteurs,
Dans un contexte mondial de plus en plus incertain, un bouleversement géopolitique majeur est en cours. La Russie et la Chine, à travers une série d'initiatives communes, affichent leur puissance sur la scène internationale, défiant la domination de l'Occident. Cet éditorial vous propose une analyse approfondie de cette alliance stratégique sino-russe et de son impact sur l'équilibre mondial. Alors que les forces occidentales vacillent sous le poids de crises internes, un nouvel ordre mondial se dessine, redéfinissant les règles du jeu global. Que signifie cette évolution pour l'avenir des relations internationales ? Nous allons y répondre.
La Russie et la Chine affichent leur puissance : un défi pour l'Occident face à la nouvelle réalité mondiale.
Dans un acte de démonstration de puissance sans précédent, Vladimir Poutine, en collaboration avec la Chine, a initié un exercice militaire d'envergure dans le Pacifique, mobilisant 90 000 soldats, 400 navires et 120 appareils aériens. Cet exercice de grande ampleur, qui a alerté les forces occidentales, confirme une réalité que les dirigeants européens et américains peinent à accepter : la multipolarité progresse, et l'entente sino-russe se présente comme un challenger de poids face à la suprématie occidentale.
Alors que les dirigeants occidentaux s'enlisent dans des sanctions inefficaces et des politiques économiques hasardeuses, la Russie et la Chine démontrent leur volonté de coopérer et de se soutenir mutuellement face aux pressions internationales. Ces manœuvres militaires ne sont pas de simples exercices ; elles constituent un message direct à l'OTAN et à ceux qui sous-estiment encore l'influence grandissante de cette alliance sur l'échiquier mondial. Malgré les tentatives des médias traditionnels de minimiser ces événements, il est évident que l'équilibre des pouvoirs est en pleine mutation.
L'Occident, accablé par des dettes croissantes, des divisions internes et des politiques économiques contre-productives, a perdu sa capacité à imposer ses règles sur la scène internationale. En revanche, la Russie et la Chine élaborent une alliance stratégique qui dépasse les intérêts économiques pour embrasser une vision commune de souveraineté et de résistance aux pressions de Washington et Bruxelles. Les manœuvres militaires dans le Pacifique ne sont que les prémices d'une nouvelle ère où les pays refusant la domination occidentale prennent en main leur destin.
En conclusion, la montée en puissance de la Russie et de la Chine face à un Occident en perte de vitesse est indéniable. Les récentes manœuvres militaires dans le Pacifique envoient un signal fort, marquant l'avènement d'une ère multipolaire. Il est crucial de comprendre que les dynamiques internationales évoluent et que la souveraineté et l'indépendance des nations sont désormais des enjeux centraux. Dans ce contexte, il devient impératif de s’appuyer sur des sources alternatives et indépendantes pour rester informé des transformations en cours. L'avenir du monde ne sera plus dicté par une seule voix, mais par un ensemble de nations qui redéfinissent ensemble l'ordre mondial.
Retrouvez les principaux titres qui marquent l'actualité à travers l'Afrique : économie, politique, culture, et plus encore. Restez au courant avec les sujets importants du jour, analysés par notre experte Félicité Amaneyâ Râ VINCENT.
Bonjour et bienvenue dans cette nouvelle édition de la Revue de Presse Afrique. En cette rentrée du 9 septembre 2024, nous vous offrons un format renouvelé, dynamique, et au plus près de l'actualité qui anime notre continent.
Chaque jour, nous examinons les titres importants, analysons les défis, et mettons en avant les acteurs qui façonnent l'Afrique d'aujourd'hui et de demain.
Restez avec nous pour une vue d'ensemble complète de ce qui occupe la une des médias africains et internationaux. Nous entamons une nouvelle saison
de la Revue de Presse Afrique, où l'information est vécue, partagée, et comprise !
Chaque soir à 19h00, suivez un résumé en direct de l'actualité du jour en streaming vidéo. Lors de la diffusion, apportez votre soutien en scannant le QR pour aider à pérenniser ce projet. Merci de votre soutien !
Ce soir, nous traitons un sujet essentiel du Gabon : la situation politique et sociale. Nous vous proposerons un regard dynamique sur l'actualité gabonaise, en explorant les récents développements, les enjeux actuels, et les
perspectives d'avenir du pays. Ne ratez pas cette analyse détaillée des événements.
Famille Bongo : De la richesse à la vulnérabilité ?
Au Gabon, la famille Bongo, autrefois symbole de prospérité et de pouvoir, traverse une période particulièrement sombre depuis le coup d'État
d'août 2023 qui a renversé Ali Bongo. Ce tournant historique semble marquer la fin de l'hégémonie d'un clan autrefois tout-puissant, désormais confronté à une
érosion rapide de ses privilèges et de ses ressources économiques.
Selon plusieurs analystes politiques, l’avenir de la dynastie Bongo s’annonce difficile. L’effondrement progressif des sources de revenus qui soutenaient leur empire financier laisse présager un possible entré dans une précarité sans précédent pour cette famille qui a régné pendant des décennies.
Les entreprises autrefois prospères, telles que Téléafrica et la Société gabonaise des services (SGS), affiliées au Groupe Delta Synergie, sont aujourd’hui en grande difficulté. Ces entreprises, jadis piliers de l’influence
économique des Bongo, peinent désormais à maintenir leur activité, certaines étant même dans l’incapacité de payer leurs employés. Ce déclin économique expose
l’étendue des pertes subies par la famille.
En parallèle, plusieurs avantages et privilèges qui garantissaient une certaine prospérité aux Bongo leur ont été retirés. Par exemple, le Comité pour
la Transition et la Restauration des Institutions (CTRI) a récupéré le Jardin Botanique de Libreville, un lieu stratégique que la famille louait à l’État pour des
événements privés. Ce retrait est emblématique du bouleversement qui s’opère dans le pays. Sur ce site, une stèle commémorative de la libération a été
dévoilée par le président de la Transition, Brice Clotaire Oligui Nguema, marquant l'avènement d'une nouvelle ère politique au Gabon.
L’une
des mesures les plus symboliques prises par les autorités militaires a été le
démantèlement de la tente de 70 mètres, appartenant à Pascaline Bongo, l’aînée
de la famille. Utilisée pendant quatorze ans pour des événements de grande envergure,
cette structure est désormais démantelée, marquant la fin d’une autre facette
des affaires lucratives de la famille.
Bonjour
à toutes et à tous, et bienvenue sur RADIOTAMTAM AFRICA. Je suis Félicité Vincent, et aujourd'hui, je vous
présente une tribune importante sur le projet de la nouvelle Constitution
gabonaise, plus précisément l'article 53, qui concerne directement la diaspora
gabonaise. Dans ce podcast, je vais vous expliquer pourquoi cet article est
injuste, en particulier pour le Dr Daniel Mengara, et pourquoi il est essentiel que nous, Gabonais de
la diaspora, demandions une révision immédiate. Je vous invite à rester avec
nous pour cette discussion essentielle sur l'avenir démocratique de notre pays.
Pour un Gabon
inclusif et démocratique : Appel à la modification de l'article 53 de la
nouvelle Constitution gabonaise
Le projet de la nouvelle constitution gabonaise, notamment dans son article 53, soulève de profondes inquiétudes concernant l’avenir démocratique de notre pays. Cet article exclut injustement les Gabonais de la diaspora, en particulier ceux ayant acquis une autre nationalité, d’exercer leurs droits fondamentaux.
Parmi eux, le Dr Daniel Mengara, naturalisé américain, est directement visé, bien qu’il lutte depuis 1999 pour un Gabon libre et démocratique, à travers son mouvement BONGO DOIT PARTIR, devenu le CONGRÈS DES
CITOYENS LIBRES. Dr. Mengara, figure incontournable de la résistance politique gabonaise, a dédié sa vie à la
libération du Gabon des systèmes oppressifs. Candidat déclaré à l'élection présidentielle de 2025, il se trouve désormais écarté par cette nouvelle disposition constitutionnelle, qui restreint les droits politiques des
Gabonais de la diaspora. Une telle exclusion n’est pas seulement injuste, elle prive le Gabon de précieuses compétences et expertises nécessaires à la
transformation de notre pays vers un avenir meilleur.
Nous, Gabonais de la diaspora, refusons cette marginalisation et demandons une révision
immédiate de l'article 53. Pour cela, nous sollicitons la médiation de la communauté internationale, notamment les États-Unis, le Sénégal et l'Afrique du Sud, afin que cet article soit modifié pour inclure tous les Gabonais, sans distinction de nationalité ou de lieu de résidence.
Dans ce contexte, nous saluons l'action des forces militaires qui ont mis fin au régime des BONGO-PDG. Ce renversement représente une opportunité historique de
réformer et de reconstruire un Gabon Nouveau. Les Gabonais de la diaspora sont prêts à contribuer activement à cette transformation en apportant
leur expertise et leur engagement pour un Gabon inclusif, démocratique et prospère. L’article 53
doit être revu pour permettre la participation pleine et entière des Gabonais de la diaspora dans la gestion des affaires nationales. Nous appelons la
communauté internationale à intervenir rapidement pour corriger cette injustice et garantir que les élections de 2025 soient un modèle de démocratie
participative pour notre pays. Le Gabon de
demain se construira avec tous ses citoyens, sans exclusion. Ensemble, faisons entendre la voix de la diaspora et contribuons à bâtir un Gabon plus fort et plus juste.
Merci
à toutes et à tous d'avoir écouté cette tribune sur RADIOTAMTAM AFRICA. Ensemble, nous pouvons œuvrer pour un Gabon Nouveau, inclusif et démocratique. N'oubliez pas, nous avons tous un rôle à jouer, où que nous soyons, pour construire un avenir
meilleur pour notre pays. Si vous souhaitez soutenir cette cause, partagez ce podcast et rejoignez-nous pour faire entendre la voix de la diaspora gabonaise.
À très bientôt pour une nouvelle édition de RADIOTAMTAM AFRICA. Merci et portez vous bien.
#NouvelleConstitutionGabon#DrDanielMengara#DiasporaGabon#InclusionPolitique
#Opinion : Enrichissement de Poutine en Afrique et
L'échec des Objectifs Américains
Walter Russell
Mead, dans le Wall Street Journal, souligne que l'enrichissement de Vladimir
Poutine par l'entremise des mercenaires russes en Afrique est en partie une
conséquence des décennies de politiques américaines visant des objectifs
nébuleux de démocratie et de développement. Cette analyse met en lumière
plusieurs points clés sur les dynamiques géopolitiques en Afrique, notamment au
Sahel.
1. Objectifs Nébuleux de Démocratie et de Développement:
Les États-Unis
ont longtemps poursuivi des objectifs de promotion de la démocratie et des
droits de l'homme en Afrique. Cependant, ces objectifs ont souvent été formulés
de manière vague et sans une compréhension approfondie des réalités locales.
Les initiatives américaines ont manqué de clarté et de direction, résultant en
des efforts dispersés et inefficaces. La démocratie ne peut pas être implantée
de manière artificielle, surtout dans des environnements où les conditions
nécessaires pour son développement durable n'existent pas.
2. Absence de Conditions Favorables au Sahel :
Le Sahel est une
région particulièrement difficile pour la promotion de la démocratie en raison
de son instabilité politique chronique, de la pauvreté, et des menaces
sécuritaires constantes. Les coups d'État fréquents et l'influence croissante
de groupes extrémistes montrent que les bases nécessaires à la stabilité
démocratique ne sont pas présentes. Les interventions américaines n'ont pas
réussi à créer les infrastructures politiques, économiques et sociales
nécessaires pour soutenir une transition démocratique durable.
3. Influence Croissante de la Russie :
L'inefficacité
des politiques américaines en Afrique a laissé un vide que la Russie a
rapidement exploité. En utilisant des groupes paramilitaires comme Wagner,
Poutine a pu s'enrichir et accroître l'influence russe sur le continent. Ces
mercenaires offrent des services de sécurité et établissent des alliances avec
des régimes locaux, souvent au détriment des intérêts occidentaux.
Contrairement aux États-Unis, la Russie adopte une approche plus pragmatique et
directe, se concentrant sur des gains immédiats et tangibles.
4. Leçons à Tirer :
Les États-Unis
doivent reconsidérer leur approche en Afrique. Plutôt que de poursuivre des
objectifs abstraits et mal définis, il serait plus efficace de se concentrer
sur des initiatives concrètes qui répondent aux besoins immédiats des
populations locales. Cela pourrait inclure le renforcement des infrastructures,
l'amélioration de l'éducation et la promotion de la sécurité alimentaire. De plus,
il est crucial de collaborer avec des partenaires locaux pour développer des
solutions adaptées aux contextes culturels et politiques spécifiques de chaque
région.
Conclusion
L'échec des
États-Unis à atteindre leurs objectifs de démocratie et de développement en
Afrique, notamment au Sahel, a ouvert la porte à une influence accrue de la
Russie, enrichissant Vladimir Poutine par le biais de mercenaires comme le
groupe Wagner. Pour éviter de répéter ces erreurs, les États-Unis doivent
adopter une approche plus pragmatique et conceptualisée, axée sur des résultats
tangibles et une coopération locale authentique. En reconnaissant les réalités
complexes de chaque région, il est possible de formuler des stratégies plus
efficaces qui bénéficient réellement aux populations locales et réduisent
l'influence des acteurs malveillants.
Bienvenue à la ©Revue de presse aperçue sur
l’actualité africaine du jeudi 05 octobre 2023 où nous explorons certaines des
plus grandes histoires du continent cinq fois par semaine à RadioTamTam
Africa.
Après le coup d’Etat au Gabon : Suite à la demande du premier ministre Raymond Ndong Sima la société civile gabonaise se prépare à envoyer ses
propositions sur la transition. Effectivement le Premier ministre installé par
la junte militaire au Gabon, Raymond Ndong Sima, a officiellement lancé un
appel à proposition à l’endroit de tous les Gabonais mardi 3 octobre. Ces
propositions seront débattues lors du dialogue national qui pourrait avoir lieu
entre avril et mai 2024. Il y a
plusieurs associations qui sont réunies au sein du Consortium de la société
civile pour la transparence électorale au Gabon (Coted) qui ont entamé mercredi
4 octobre une concertation pour élaborer leur feuille de route en réponse à cet
appel.
M.
Georges Bruno Ngoussi a dirigé cette
rencontre, il est l'un des leaders de la
société civile nommé quatrième vice-président du Sénat par la junte militaire.
Les propositions du Consortium portent
sur la durée de la transition et l’éligibilité du président de la Transition :
« Ce
n’est pas lui qui doit dire s’il va se présenter ou pas. En tout cas
cela dépendra de ce que les Gabonais voudront, il faudrait aussi que
tout vienne du peuple, que ce soit le peuple qui dise "voilà, il y aura
tel temps pour la transition", ou alors, pourquoi pas, "on ne
t’attribue pas ce temps-là, mais fais en sorte que le pays sorte de là où il
était". »
La
militante du Copil Citoyen Aminata Nzomba, le mouvement Copil Citoyen lutte contre la
mauvaise gouvernance. Elle veut inscrire sur la feuille de route, un meilleur
accès des gabonais aux soins médicaux : « Les Gabonais meurent pour 5 000
francs parce qu’il n’y a pas de médicament à l’hôpital. Vous trouvez que c’est
sérieux, avec une assurance maladie obligatoire ? Dans un pays sérieux, la
santé est primordiale, il faut équiper les médecins. »
Tous
les mouvements et partis politiques ont jusqu’au 30 novembre prochain pour
soumettre leurs propositions qui seront débattus lors du dialogue national
prévu entre avril et mai prochain. C’est enfin notre essor vers la félicité.
Je vous remercie.
Bonjour, je m’appelle Félicité VINCENT CEO Founder de RadioTamTam et
j'ai le grand plaisir de présenter la Revue des médias
africains RadioTamTam du 05 octobre 2023. N'oubliez pas que vous pouvez suivre
notre couverture de l'Afrique et du monde d’Afrique sur les réseaux sociaux et via notre site internet.
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suffit que chacun donne ce qu’il peut, quand il le peut.
Bienvenue à la ©Revue de presse aperçue sur
l’actualité africaine du mercredi 04 octobre 2023 où nous explorons certaines
des plus grandes histoires du continent cinq fois par semaine à RadioTamTam
Africa.
Après le coup d’Etat au Gabon : Tractations,
perspective de la transition entre premières promesses, de conférence
nationale. Cela fait un mois que le général Brice Clotaire Oligui Nguema a pris
la tête de la transition au Gabon. Le 4
septembre, lors de sa prestation de serment, il a fait de nombreuses promesses
politiques, économiques et sociales. Certains chantiers sont aujourd’hui, ouverts, mais sur d’autres
sujets, des interrogations demeurent.
Brice Clotaire Oligui
Nguema avait promis d’agir vite, et sur certains points, il a tenu parole. Les
premières semaines de la transition ont été marquées par les annonces
socio-économiques, destinées à « répondre à des demandes concrètes » des
Gabonais, explique le porte-parole de la transition, Max-Olivier Obame Ndong :
« On a le déblocage de plus de 1 000 postes budgétaires pour des enseignants en
attente de solde depuis des années, la gratuité des frais de scolarité dans les
écoles publiques et confessionnelles, des manuels scolaires gratuits, le
rétablissement des bourses pour le secondaire. Ils y a d’autres dossiers
confiés au gouvernement qui font l’objet d’instructions particulières, notamment
sur la révision des textes sur le foncier et sur l’acquisition de la
nationalité, des sujets qui posaient problème depuis plusieurs années.»
Des actions contre
la corruption ont été lancées, c’est l’opération « dignité ». Actuellement, il
y a une vingtaine de personnes sont
poursuivies, dont l’ex première dame Sylvia Bongo Ondimba, son fils Noureddin
Bongo Valentin, leur entourage, et au moins quatre anciens ministres. Bien que
controversée, la « task force » sur la dette interne et externe a été ressuscitée,
pour traquer les fraudes sur les marchés publics, et prouver que l’impunité est
« terminée », dixit Max-Olivier Obame Ndong, « car il ne s’agit pas de quelques
individus, mais d’un système dynastique avec des métastases. Même si ça va
prendre du temps et concerner tout le monde, même si bien sûr, il ne s’agit pas
d’exclure qui que ce soit a priori.» C’est enfin notre essor vers la félicité. Je vous
remercie.
Bienvenue à la ©Revue de presse aperçue sur
l’actualité africaine du lundi 02 octobre 2023 où nous explorons certaines des
plus grandes histoires du continent cinq fois par semaine à RadioTamTam Africa.
Gabon: Le général de brigade
Brice Clotaire Oligui Nguema était en visite au Congo pour relancer les
relations avec Brazzaville
Le
président de la transition gabonaise était ce dimanche 01 octobre au Congo-Brazzaville. Le général Brice
Clotaire Oligui Nguema a été reçu par le président Denis Sassou-Nguesso dans
son fief à Oyo. C'est son second voyage dans la sous-région après la Guinée Équatoriale voisine. C'est
l’occasion pour lui de relancer des relations en dents de scie depuis plus de
10 ans avec le Congo Brazzaville, alors que le Gabon a été sanctionné par les
États d’Afrique centrale depuis le coup d’État.
Cette
rencontre pourrait être le prélude d’un réchauffement des relations entre
Libreville et Brazzaville. Car les
tensions bilatérales sont d’abord des racines familiales suite au décès en 2009
d’Edith-Lucie Bongo Ondimba, à la fois épouse d’Omar Bongo et fille de Denis
Sassou-Nguesso. Le Gabon et le Congo
Brazzaville se disputent sa mémoire. Ces relations ont continué à se dégrader
la même année à la mort du patriarche gabonais, avec un bras de fer autour de
son héritage avec Ali Bongo Ondimba.
À
cela s’est ajouté l’affaire judiciaire des biens mal acquis en France. Les soupçons de Denis Sassou-Nguesso auraient
contre Pascaline Bongo, l’aînée de la fratrie Bongo, d’avoir mis en cause son
petit-fils Omar-Denis Junior Bongo, dit ODJB, également demi-frère d’Ali Bongo.
Des intrications familiales qui ont largement débordé sur la sphère politique.
Certains barons de l'ancien régime gabonais ont même soupçonné ODJB d’avoir des
visées présidentielles. Ces marionnettes
du régime déchu l’ont donc vu comme une menace pour Ali Bongo Ondimba.
Omar
Denis Junior Bongo a au contraire de bonnes relations avec le général Oligui
Nguema. selon les Kongossa qui le citent comme un acteur clé dans
l’organisation de cette rencontre. L’officier a lui montré sa volonté d’un
rapprochement, en envoyant en quelques jours plusieurs émissaires au Congo.
Notre Général de brigade cherche aussi à expliquer les raisons du putsch, à
démontrer sa bonne foi, afin de convaincre ses voisins de lever les sanctions,
notamment sa suspension de la Communauté des États d’Afrique Centrale et de
l’Union africaine. C’est enfin notre essor vers la félicité. Je vous
remercie.
Bonjour, je suis Félicité VINCENT CEO Founder de RadioTamTam et j'ai le
grand plaisir de présenter la Revue des médias africains
RadioTamTam du 2
octobre 2023. N'oubliez pas que vous
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« Un peuple qui oublie son passé se condamne à le revivre »
RadioTamTam, nous
travaillons sans relâche pour présenter au monde un récit africain plus nuancé,
représentant un côté confiant, avisé et entrepreneurial de l’Afrique. Dont notre activité est de partager un aperçu
sur l’actualité africaine pour comprendre l’avenir de l’Afrique… aujourd’hui. Notre
équipe, venons vers vous sur un rappel urgent sur l'avenir du projet de notre webradio,
pour espérer continuer à vous partager des contenus de qualité et des
actualités certifiées sur l’Afrique. Dans le cadre de bien continuer notre travail
d'information de la promotion des valeurs africaines, nous aimerons avoir
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Bienvenue à la ©Revue de presse aperçue sur
l’actualité africaine du mardi 19 septembre 2023 où nous explorons certaines
des plus grandes histoires du continent cinq fois par semaine à RadioTamTam Africa. https://www.radiotamtam.org
Après le coup d’Etat au Gabon Gabon: l'ancien ministre des Eaux et Forêts Lee White
a été interpellé. Les interpellations d’anciens
ministres du pouvoir d’Ali Bongo renversé par un coup d’État se poursuivent.
Après l’ex-Première dame Sylvia Bongo Ondimba, de son fils Noureddin Valentin
Bongo et d’autres proches collaborateurs de l’ancien chef d’État, les militaires
ne comptent pas s’arrêter là. Plusieurs sources annoncent l’interpellation de l’ex-puissant ministre des Eaux et Forêts, Lee White.
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Après le coup d’Etat au Gabon: les ministres du Pétrole et des Travaux publics
du régime déchu ont été arrêtés. Les
poursuites contre les anciens dirigeants du régime d'Ali Bongo Ondimba
continuent. Il y a une semaine Noureddin
Bongo Valentin, fils d’Ali Bongo, trois autres personnalités ont été placées
sous mandat de dépôt à la prison centrale de Libreville. Les ex-barons du
régime qui faisaient la pluie et le beau temps, il s'agit du ministre du Pétrole, d’un ancien ministre des
Travaux publics et d’un opérateur économique.
L’ex-baron
du Pétrole, Vincent de Paul Massassa était dans le collimateur dès les
premières heures du coup d’État du 30 août 2023. Il était en poste depuis quatre ans, le bon
pilleur de son pays le Gabon a été inculpé pour détournement de fonds publics,
concussion et blanchiment de capitaux.
Quant
à Léon Armel Bounda Balondzi, il avait quitté ses fonctions de ministre des
Travaux publics près d’un an avant le putsch du 30 août. Quand il a été
appréhendé, il était président du Conseil d’administration du juteux fonds
autonome national d’entretien routier. Il a été écroué pour corruption et
association de malfaiteurs en bande organisé.
Notre malfaiteur en col blanc aurait reçu des voitures cadeaux, selon
une source proche du dossier.
Le
dernier larron dans la nasse est Abdoul Houssein Moussavou. Notre
faussaire opérateur économique est poursuivi pour association de malfaiteurs,
inexécution de marché public et blanchiment de capitaux à des fins personnel.
Aucune expérience dans le BTP, il a obtenu un chantier de construction du
marché de Franceville pour un coût exorbitant jusqu’à 4 milliards de francs CFA
(environ 6 millions d'euros) alors que ses concurrents demandaient 900 millions
de francs CFA (approximativement 1,3 million d'euros). C’est enfin notre essor
vers la félicité. Je vous remercie.
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l’actualité africaine du jeudi 21 septembre 2023 où nous explorons certaines
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Africa.
Après le
coup d’Etat au Gabon: Le Général de brigade Brice Clotaire Oligui Nguema a choisi sa première visite à l'étranger la
Guinée équatoriale. C'est le mardi 19 septembre que le président de la
transition gabonaise a effectué son premier déplacement à l’étranger. Il était en Guinée équatoriale où il a
rencontré son homologue, le président Théodoro Obiang Nguema. Un symbole alors
que les relations entre les deux voisins étaient en dents de scie lorsqu’Ali
Bongo était au pouvoir. Les sujets de discussion n’ont pas manqué, les
explications du coup d'Etat, de la coopération sous régional, la levée des
sanctions de la CEEAC.
Le
Général de brigade Brice Clotaire Oligui
Nguema président de la transition gabonaise a voulu montrer qu’il prenait ce
voyage très au sérieux. Il s’est déplacé avec cinq ministres, son secrétaire
général, des membres de son cabinet et la présidente du Sénat. « C’est un pays
frère. Théodoro Obiang Nguema président équato-guinéen est le doyen de la
sous-région, il faut lui rendre hommage et écouter ses conseils ». Télesphore Obame Ngom porte-parole de la
présidence, explique que les deux chefs d’État se sont vus en tête-à-tête
pendant plus d’une heure. Cette entrevue durant laquelle le général gabonais a
voulu présenter le nouveau pouvoir et expliquer la situation de son pays.
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