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Brève d'art

Author: Coupe-File Art | Web-magazine culturel

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Description

Après Parole d'art, deuxième format audio proposé par le web-magazine culturel Coupe-File Art.

Des épisodes courts, pour en savoir plus sur une exposition, un événement ou appréhender la vie d'un artiste. 


Produit par Nicolas Bousser


24 Episodes
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Le regard perçant et grave derrière sa petite paire de lunettes, le député de la Seine Adolphe Thiers, ancien président de la République, pense tenir sa revanche. Installé sur les bancs de l’opéra royal de Versailles où se tient la séance de l’Assemblée nationale, il prend part à un événement majeur de l’histoire de France. L’ambiance est plus que pesante ce 30 janvier 1875 à l’instant où chacun doit s’exprimer, en son âme et conscience, sur l’adoption d’un amendement déposé par le député Henri Wallon concernant la loi constitutionnelle relative à l’organisation des pouvoirs publics en France... Ecriture : Aurélien Delahaie  Voix : Aurélien Delahaie et Nicolas Bousser Pistes sonores et arrangements : Julien Bousser
Par une matinée comme les autres, le Prince Ferdinand-Philippe, Duc d’Orléans, met le pied dans invraisemblable affaire. A l'occasion d'Halloween, accompagnons le temps d'une lecture ce personnage intrépide et débonnaire tel que l'imagine en 1907 Hans Heintz Ewers, dans une des nouvelles les plus gothiques et les plus sombres de son œuvre. Invité à une danse macabre par le peintre Martin Drölling, le Prince pénètrera dans la nuit profonde d’un atelier sépulcral, sale et sordide – antre de la goule ou de l’esthète rendu fou par la haine et ivre de son art... Sous la plume décadente d’Ewers, précurseur de la littérature horrifique, nous entrons dans un précieux moment d'épouvante ou le conte-à-faire-peur rencontre la Grande Histoire. Pour vous narrer cette ténébreuse légende qui murmure encore de nos jours un sinistre soupçon sur un tableau conservé au Musée du Louvre, nous avons invité Rémi Ethuin, comédien et Ami de la rédaction, à interpréter cette nouvelle en deux épisodes. Écriture : Joséphine Journel Lecture : Rémi Ethuin Montage et arrangements sonores : Nicolas Bousser & Julien Bousser
Par une matinée comme les autres, le Prince Ferdinand-Philippe, Duc d’Orléans, met le pied dans invraisemblable affaire. A l'occasion d'Halloween, accompagnons le temps d'une lecture ce personnage intrépide et débonnaire tel que l'imagine en 1907 Hans Heintz Ewers, dans une des nouvelles les plus gothiques et les plus sombres de son œuvre. Invité à une danse macabre par le peintre Martin Drölling, le Prince pénètrera dans la nuit profonde d’un atelier sépulcral, sale et sordide – antre de la goule ou de l’esthète rendu fou par la haine et ivre de son art... Sous la plume décadente d’Ewers, précurseur de la littérature horrifique, nous entrons dans un précieux moment d'épouvante ou le conte-à-faire-peur rencontre la Grande Histoire. Pour vous narrer cette ténébreuse légende qui murmure encore de nos jours un sinistre soupçon sur un tableau conservé au Musée du Louvre, nous avons invité Rémi Ethuin, comédien et Ami de la rédaction, à interpréter cette nouvelle en deux épisodes. Écriture : Joséphine Journel Lecture : Rémi Ethuin Montage et arrangements sonores : Nicolas Bousser & Julien Bousser Couverture : Le cœur et les os d'une cage thoracique humaine. Crayon et aquarelle. J.C Wishaw, 1854 © Wellcome Library
C’est un privilège rare et sans doute presque inédit dans l’histoire du cinéma de pouvoir rendre compte de la projection en première mondiale d’une version d’un film tourné en 1927. La Cinémathèque française et ses partenaires, au premier rang desquels figurent le CNC, Netflix, Radio France, France Télévisions, la Fondation Napoléon ou encore la Golden Globes Foundation, se sont proposés de nous offrir cette opportunité les 4 et 5 juillet 2024 à la Seine musicale en diffusant la Grande Version du Napoléon d’Abel Gance. Durant sept heures, oui nous parlons bien de sept heures, les spectateurs ont pu découvrir cette œuvre retraçant la jeunesse de Napoléon Bonaparte dans une version inédite se voulant au plus proche de ce que son auteur avait imaginé, accompagnés de l’orchestre de Radio France, de l’Orchestre National de France et du Chœur de Radio France, sous la direction de Frank Strobel. Coupe-File Art a eu la chance de participer à cet évènement et de s’en faire aujourd’hui l’écho. Introduction & réalisation : Nicolas Bousser  Ecriture et voix : Aurélien Delahaie Musique et arrangements : Julien Bousser
"Au Ritz, c'est l'heure du thé (…) Seule, sans bagages, immédiatement détachée de ce qui l'entoure, j'aperçois de dos une longue silhouette mince sous un grand chapeau de feutre : The Honourable Victoria Sackville-West est, pour un jour, l'hôte de Paris."  C'est en ces termes que la journaliste Yvette Jeandet croque le portrait de Vita, aristocrate anglaise, poétesse, romancière, journaliste critique et gardener de génie dans Les Nouvelles Littéraires du 4 février 1939. Arrivée quelques jours auparavant en France, Vita avait accordé un entretien au sortir de la dernière réunion du Rapprochement Intellectuel. Ce cercle est alors présidé par le Duc d'Harcourt, qui l'invite à faire la promotion de son dernier ouvrage : Pépita, dangereuse gitane, une biographie de sa grand-mère. Alors que la rénovation du domaine de Sissinghurst bat son plein, elle tient à jour le Journal de mon jardin : ce même jardin qui, de nos jours, compte parmi les plus visités d'Angleterre. Dans ce traité publié à titre posthume se mêlent avec beaucoup de saveur des considérations d'horticulture, des descriptions poétiques et des portraits de fleurs qui ressemblent à s'y méprendre à des portraits de mœurs, d'une grande littérarité... Réalisation : Nicolas Bousser  Ecriture et voix : Joséphine Journel Musique et arrangements : Julien Bousser
Un après-midi d’août 2023, dans le 16e arrondissement de Paris. Au sortir de la station Jasmin, nous avançons dans la rue du Docteur Blanche. Bientôt, nous quittons la grande rue pour pénétrer dans une calme voie privée (impasse du Docteur Blanche) : verdoyante et peuplée de voitures rutilantes, la rue demeure habitée, témoignage d’une intense période de construction de luxueux logements fonctionnels. Au bout de l’impasse apparaissent bientôt les lignes géométriques blanches (enduit Cimentaline c’est-à-dire ocre jaune clair) d’une maison, ou plutôt, de deux maisons fusionnées : elles semblent nues, étant dénuées de la végétation qui se déploie sur toutes les autres habitations. Un panneau sur la porte prolonge cette ambiance intimiste : « Sonnez avant d’entrer » est-il écrit, comme si le propriétaire allait nous recevoir. Nous nous apprêtons à pénétrer dans l’une des premières réalisations de Pierre Jeanneret et Charles-Édouard Jeanneret-Gris, que nous connaissons mieux sous le nom de Le Corbusier : la maison La Roche !  Réalisation : Nicolas Bousser  Ecriture et voix : Juliette Gicquel-Molard et Nicolas Bousser Musique et arrangements : Julien Bousser
Sept millions de dollars. C’est le prix à payer, selon la romancière américaine Patricia Cornwell, pour prouver la culpabilité d’un peintre. Durant de nombreuses années, l’auteur de polars à succès entreprend d’acquérir toiles et lettres exécutées de la main de l’artiste britannique Walter Sickert dans un seul et unique but : dévoiler la seconde identité du peintre impressionniste qui ne serait autre que Jack l’Eventreur. D’analyses ADN maladroites en conjectures alambiquées, les conclusions de son enquête parue en 2002 ne laissent selon elle pas de doutes, Walter Sickert n’est autre que le terrible tueur du quartier londonien de Whitechapel recherché depuis bientôt cent quarante ans… Soumis à de nombreux spécialistes de cette affaire criminelle et de biographes de l’artiste, l’exposé de Patricia Cornwell en laissa plus d’un sur leur faim. Alors, Walter Sickert alias Jack l’Eventreur ? C’est ce que nous allons voir… Réalisation : Nicolas Bousser  Ecriture et voix : Aurélien Delahaie et Nicolas Bousser Musique et arrangements : Julien Bousser
9h du matin, un dimanche d’hiver dans le quartier du Montparnasse. Quelques badauds arpentent les rues autour du carrefour Edgar Quinet pendant que d’autres boivent leur café matinal à la Coupole, au Sélect et à la Rotonde. La ville semble encore endormie et l’agitation n’est pas revenue sur le carrefour Vavin. Au 221 du boulevard Raspail, non loin de la rue Campagne-Première, une épaisse porte s’ouvre. Des bruits feutrés de pas se font entendre au fond de la cour. Ce sont ceux d'un peintre de 90 ans, Jean-Pierre Burgart, fils de l'actrice Orane Demazis et de Marcel Pagnol. Il expose quelques-unes de ses œuvres dans l'atelier de la sculptrice  Claude de Soria. Un lieu à découvrir !  Ecriture et voix : Nicolas Bousser Réalisation : Nicolas Bousser et Julien Bousser  Musiques : Julien Bousser Avec la participation de Jean-Pierre Burgart et Alexis Consigny Pour visiter l'atelier de Claude de Soria : https://www.claudedesoria.com/
31 mai 1908. Le jour est à peine levé, c’est l’ébullition dans une allée de 15e arrondissement. Au 6 bis, les corps sans vie du peintre Adolphe Steinheil et de sa belle mère, Madame Japy, viennent d’être retrouvés tandis que sa femme, Marguerite, est ligotée sur son lit. Les pendules de la maison se sont arrêtées à minuit douze. L’alerte a été donnée par Rémy Couillard, le domestique, à son réveil. L’homme n’a étrangement rien entendu durant la nuit, agitée par de très fortes pluies. L'impasse Ronsin connait l’une des heures les plus sombres de son histoire. Mais avant de faire la une des journaux nationaux dans un contexte bien macabre, l’impasse Ronsin est une calme voie nichée non loin de Montparnasse, en perpendiculaire des rues de Vaugirard et de Sèvres. D’abord assez résidentielle, les artistes vont rapidement s’y intéresser sous l’impulsion d’Alfred Boucher…  Réalisation : Nicolas Bousser Écriture et voix : Nicolas Bousser et Aurélien Delahaie  Musiques et pistes sonores : Julien Bousser Couverture : L’atelier Del Debbio dans l'impasse Ronsin, 1970. Bâle, Musée Tinguely.
Le musée d’Arts de Nantes présente, jusqu’au 11 février 2024, une vaste exposition consacrée à Suzanne Valadon, initiée dans un premier temps par le Centre-Pompidou Metz. Cette réunion de 120 oeuvres témoigne du retour en grâce de cette artiste originale, qui fut dès son plus jeune âge au cœur de foyers artistiques montmartrois. Cela nous a donc donné envie de poser notre regard sur ces relations artistiques intenses de Valadon, de modèle à peintre elle-même, d’un côté et de l’autre de la toile.  Ecriture et réalisation : Nicolas Bousser Voix : Nicolas Bousser et Antoine Bouchet  Musique et pistes sonores : Julien Bousser
9h du matin, un vendredi de juin à Aubusson. Les métiers à tisser en basse-lisse résonnent dans toute la ville, si ce n’est dans toute la Creuse. Aujourd’hui est une journée particulière, la Cité internationale de la tapisserie s’apprête à dévoiler la nouvelle pièce de la tenture consacrée à l’univers d’Hayao Miyazaki, devant une foule dense et toutes les huiles de la région.  Réalisation : Nicolas Bousser  Ecriture et voix : Nicolas Bousser et Alexis Consigny  Musiques et pistes sonores : Julien Bousser Avec la participation de Jean-Philippe Trapp, chargé de mission au développement économique de la Cité internationale de la tapisserie d'Aubusson
Appréhender l’art de Léonard Sarluis n’est pas chose aisée. Sa personnalité, encore moins. De son coup de pinceau à son aspect physique, l’artiste aura fasciné ses contemporains, avant de connaître un oubli fatal aux premières lueurs de la Seconde Guerre mondiale. Singulier, il le fut sans aucun doute. Ses créations, très peu conservées en contexte muséal mais aisément trouvables en salles des ventes, nous permettent d’effleurer quelque peu le cas Sarluis. Evoquons la vie et l’œuvre de ce peintre, né à La Haye en 1874. Réalisation, écriture et voix : Nicolas Bousser Musiques et pistes sonores : Julien Bousser Avec la participation de Pauline Ameye et Alexis Consigny 
Evoquer l’histoire des époux Granville, c’est raconter une aventure singulière du monde des arts au XXe siècle. Lui est français, elle est américaine. Ensemble, Pierre et Kathleen vont tout connaitre de l’art : sa pratique, sa collection, sa conservation. Raconter leur vie, c’est rencontrer tour à tour des écrivains, des peintres, des sculpteurs, des galeristes mais aussi un ministre, un directeur du musée du Louvre, des conservateurs et des professeurs d’histoire de l’art. Les noms de ces personnalités, nos auditeurs les reconnaitront sûrement en tout ou partie : ils sont une part d’histoire de notre patrimoine. De 1908 à 1996, autour des figures de Pierre et Kathleen Granville, Coupe-File Art vous invite à découvrir un siècle de passion artistique. Réalisation : Nicolas Bousser Ecriture : Aurélien Delahaie Voix : Nicolas Bousser & Aurélien Delahaie  Musiques et pistes sonores : Julien Bousser
Sculpteur, dinandier, ébéniste, laqueur et même peintre... Jean Dunand aura toute sa vie durant placé l'expérimentation au centre de sa pratique. Les superlatifs ne manquent pas pour qualifier sa carrière et l'étendue de sa production. Les prix élevés auxquels s'arrachent aujourd'hui encore ses réalisations sur le marché témoignent d'un engouement sur lequel le temps et les modes n'ont pas d'emprise. Retour sur la vie et l'Œuvre prolifique d'un artiste pluriel, né dans une petite bourgade suisse. Réalisation : Nicolas Bousser Écriture : Margaux Granier-Weber & Nicolas Bousser  Voix : Margaux Granier-Weber & Nicolas Bousser  Musique et arrangements sonores : Julien Bousser 
« Cette fois sera la bonne » a dû penser la citoyenne Corday en franchissant à nouveau la porte du 30, rue des Cordeliers à Paris le 13 juillet 1793. La jeune femme n’a qu’un objectif depuis son départ de Caen quelques jours auparavant : rencontrer à son domicile le député Jean-Paul Marat. Mais y parvenir ne sera pas chose aisée. On le dit très malade et surveillé depuis qu’il a appelé ouvertement dans son journal à l’exécution des partisans girondins qu’il désigne comme des ennemis de l’intérieur. Finalement, c’est par Marat lui-même, curieux de cette femme qui tente de le voir à plusieurs reprises dans la journée, que viendra la solution. Enfin ! Il demande à sa compagne, Simone Evrard, de la laisser entrer... Réalisation : Nicolas Bousser Écriture : Aurélien Delahaie   Voix : Nicolas Bousser & Aurélien Delahaie  Musique et arrangements sonores : Julien Bousser 
Travailleur acharné, alcoolique colérique, séducteur érudit, Amedeo Modigliani (1884-1920) aura tout suscité, sinon l'indifférence. Né en Toscane, l'artiste italien se forme à l'Académie des beaux-arts de Livourne, de Florence puis de Venise et part s'installer à Paris en 1906, à seulement vingt et un ans. Il s'y bâtit une solide réputation d'excentrique, sans doute un peu romancée par la suite. Au-delà du mythe de l'artiste maudit, c'est surtout sa personnalité contrastée et l'attention particulière qu'il porte à la figure humaine qui font de Modigliani l'une des personnalités les plus influentes du Montparnasse des années 1900 et 1910. Réalisation : Nicolas Bousser Écriture : Alexis Consigny  Voix : Nicolas Bousser & Alexis Consigny  Musique et arrangements sonores : Julien Bousser     
Fin 1917 à Paris : le service bat son plein dans une brasserie. Les cliquetis des couverts se superposent aux voix des clients. Dans un coin, un italien profère des insultes envers on ne sait qui, tandis qu’une troupe de joyeux copains chante à tue-tête, enchaînant les verres. De l’autre côté de la salle, une jeune femme qui n’a pas encore dix-huit ans s’installe, vêtue d’un couvre-chef de fortune. Elle sort d’une séance de pose. Au bar, le patron observe avec satisfaction ces tableaux de vie. Ce tohu-bohu déborde bientôt sur le boulevard, celui du Montparnasse. Le centre du monde est là, au carrefour Vavin, sur les banquettes rouges de La Rotonde.  Réalisation, écriture et voix : Nicolas Bousser Arrangements sonores : Julien Bousser  Couverture : Willy Maywald, Taxi Renault devant la Rotonde la nuit en 1938. Musée Carnavalet. 
C’est un lieu difficile d’accès, dissimulé derrière une épaisse porte de la rue Saint-Guillaume en plein cœur de Saint-Germain-des-Prés, mais qui n'a pourtant plus rien de secret. Il s’agit de l’une des plus importantes réalisations architecturales de la première moitié du XXe siècle, mondialement célébrée et étudiée par quiconque s’intéresserait de près ou de loin à l’architecture. Quatre-vingt-dix ans après sa conception, la Maison de verre continue de fasciner.  Réalisation, écriture et voix : Nicolas Bousser Arrangements sonores : Julien Bousser  Couverture : Vue du grand salon de la Maison de verre, vers 1931. Jean Collas (1900-1986) - Fonds photographique Pierre Chareau. Musée des Arts Décoratifs, Paris
Kiki de Montparnasse, c'est avant tout une silhouette familière, aperçue dans des dizaines de tableaux. C'est aussi une histoire : celle de Montparnasse pendant les années folles, où se côtoient moult artistes parmi les plus importants de la première moitié du XXe siècle. Mais c'est surtout la vie rocambolesque d'un modèle qui, à force de caractère, s'est imposé comme l'une des personnalités majeures de son époque. Réalisation : Nicolas Bousser Écriture : Alexis Consigny Voix : Nicolas Bousser et Alexis Consigny Arrangements sonores : Julien Bousser 
Quelle artiste du XIXe siècle fut à la fois une figure incontournable des Salons, une véritable égérie artistique outre Atlantique et décorée de la Légion d’Honneur par l’impératrice Eugénie en personne ? Vous l’aurez peut-être deviné, il s’agit de Rosa Bonheur. Née à Bordeaux un 16 mars il y a tout juste 200 ans, la peintre du célèbre Marché aux chevaux conservé au Metropolitan Museum of Art de New York était à son époque une exception du monde de l’art. Le musée des Beaux-Arts de Bordeaux et le musée d’Orsay se sont associés pour l’occasion afin de lui rendre un vibrant hommage. L’exposition actuellement présentée sur les bords de le Garonne fera ensuite le déplacement jusque sur les quais de Seine. Réalisation : Nicolas Bousser Écriture et voix : Aurélien Delahaie Musique et pistes sonores : Julien Bousser  Logo : Alexis Consigny 
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