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Choses à Savoir TECH VERTE
Author: Choses à Savoir
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Tout ce qu'il faut savoir dans le domaine de la Green Tech.
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Faire renaître la glace en Arctique : une idée audacieuse portée par la start-up britannique Real Ice. Depuis deux ans, cette entreprise collabore avec des scientifiques pour tester une technologie capable de ralentir la fonte des glaciers. Selon CNN, les premiers essais ont été menés en Alaska, suivis d’une phase plus avancée à Cambridge Bay, au Canada. En janvier dernier, Real Ice a observé des résultats encourageants, affirmant que la glace s'était épaissie de 10 cm en seulement dix jours sur les zones expérimentées.Le concept ? Des pompes électriques submersibles ramènent de l’eau de mer à la surface, où elle gèle, créant une couche supplémentaire de glace. À terme, Real Ice ambitionne d’épaissir la banquise sur 600 000 kilomètres carrés – une zone deux fois plus grande que la Californie – grâce à des drones sous-marins alimentés par de l’hydrogène vert. Mais ce projet titanesque a un prix : entre 5 et 6 milliards de dollars par an.Si l’idée séduit certains, elle soulève aussi de vives critiques. En novembre dernier, un rapport cosigné par des scientifiques alerte sur les risques environnementaux des projets de géo-ingénierie polaire. La professeure Liz Bagshaw, spécialiste du changement environnemental polaire, juge l’initiative de Real Ice "moralement douteuse" et "éthiquement irresponsable". Elle craint des effets imprévus, comme une perturbation de l’écosystème marin et de la croissance des algues liée à l’épaisseur de la glace. Face aux critiques, Andrea Ceccolini, co-directeur général de Real Ice, reconnaît ces risques mais défend son projet : "Ne rien faire serait encore plus dramatique pour les écosystèmes." Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Regarder des vidéos sur TikTok ou scroller sur Instagram : des gestes anodins pour nous, mais coûteux pour la planète. Une étude menée par Greenly, une entreprise française spécialisée dans la comptabilité carbone, révèle l’empreinte environnementale inquiétante de nos applications sociales préférées. En tête du classement, TikTok affiche une empreinte carbone colossale de 53,7 millions de tonnes équivalent CO2 par an. Ce chiffre rivalise avec les émissions annuelles de pays comme la Grèce ou le Portugal. En cause ? L’énorme consommation énergétique liée au visionnage des vidéos.YouTube arrive en deuxième position avec 14,3 millions de tonnes de CO2, soit l’équivalent des émissions de l’Estonie. Malgré des efforts pour améliorer son efficacité énergétique, notamment avec un PUE (Power Usage Effectiveness) de 1,10, la plateforme reste gourmande en ressources, en particulier pour le streaming. Sur la troisième marche, Meta, qui regroupe Facebook, Instagram et Threads, totalise 7,4 millions de tonnes de CO2, un chiffre comparable aux émissions du Luxembourg. Toutefois, l’entreprise a réduit ses émissions opérationnelles de 94 % depuis 2017, grâce à des investissements massifs dans les énergies renouvelables.L’étude souligne également l’impact du mix énergétique. En France, où le nucléaire domine, les émissions des plateformes sont nettement inférieures à celles des États-Unis. Par exemple, TikTok émet 3,19 millions de kg de CO2 par an en France, contre 64,26 millions outre-Atlantique. Enfin, les services vidéo sont les plus énergivores : TikTok consomme 15,81 mAh par minute, loin devant Instagram (8,9 mAh). Pour réduire son empreinte, Greenly conseille de limiter le temps passé sur ces plateformes ou de privilégier les contenus texte et image. Un geste simple, mais essentiel pour alléger le poids numérique sur notre planète. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
La diffusion sportive connaît une véritable révolution. Finies les retransmissions lourdes, coûteuses en matériel et en personnel. Désormais, place à une diffusion en direct minimaliste, optimisée par le Cloud. Cette nouvelle approche promet des avantages majeurs : faible latence, haute qualité audio et vidéo, interaction avec les fans et sécurité renforcée.Amazon Web Services (AWS), leader de cette transformation, collabore avec plus de 1 600 chaînes, parmi lesquelles Warner Bros Discovery, DAZN (diffuseur de la Ligue 1), HBO et Netflix. Dans le sport, AWS s’est imposé comme un partenaire clé, optimisant la diffusion en direct et l’expérience des téléspectateurs grâce à ses solutions multimédias. Le Cloud permet une automatisation avancée. Les diffuseurs peuvent gérer les retransmissions « à la demande », avec une efficacité accrue. Un exemple marquant : la Bundesliga, le championnat allemand de football, où AWS a automatisé la création de moments forts (ou highlights) et même des commentaires dans différentes langues grâce à l’intelligence artificielle générative.Pour les commentateurs, le potentiel est immense. Des outils comme Amazon Q ou des partenaires comme Moments Labs permettent de rechercher des vidéos en moins de deux secondes à partir d’un simple prompt, ou d’afficher en temps réel des statistiques précises et engageantes. Résultat : un commentaire enrichi, rapide et pertinent. Les spectateurs ne sont pas en reste. En F1, en Bundesliga ou encore dans les vélodromes de l’Union cycliste internationale, des indicateurs comme la puissance en watts des compétiteurs apportent une nouvelle dimension immersive aux retransmissions. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Quand d'autres tâtonnent, les Néerlandais innovent. À Rotterdam, la start-up CarbonX a transformé une simple poudre noire de carbone en une solution révolutionnaire pour réduire la dépendance énergétique de l'Europe. Alors que l'UE importe 100 % de son graphite de la Chine, cette innovation pourrait bouleverser les équilibres industriels et géopolitiques.CarbonX a développé un matériau d'anode unique en son genre, issu du noir de carbone – ou noir de fourneau – reconfiguré en une architecture hexagonale complexe. Daniela Sordi, cofondatrice et directrice technique, explique que cette structure crée un réseau poreux où les ions lithium circulent plus librement qu’avec le graphite traditionnel. Résultat : des batteries plus performantes, une recharge accélérée pour les véhicules électriques et une autonomie accrue pour les smartphones.Au-delà de la performance, la technologie de CarbonX consomme nettement moins d'énergie que les procédés classiques, réduisant ainsi considérablement l’empreinte carbone. Un atout essentiel alors que l’Agence internationale de l’énergie prévoit que la demande mondiale en graphite sera multipliée par 20 à 25 d’ici 2040. Mais les enjeux sont aussi stratégiques. La dépendance de l’Europe à la Chine en matière de graphite pose un risque pour sa souveraineté énergétique. Rutger Van Raalten, cofondateur de CarbonX, insiste : une chaîne d’approvisionnement résiliente est cruciale pour l’électrification mondiale. La start-up prévoit d’implanter sa première usine dans le port de Rotterdam, en adaptant les infrastructures existantes de production de noir de carbone. Avec une capacité potentielle de 20 000 tonnes par an, CarbonX discute déjà avec les principaux fabricants mondiaux de batteries. Un premier accord commercial pourrait être signé dès mi-2025. Rotterdam pourrait ainsi devenir le cœur d’une filière européenne durable, reliant technologie, écologie et indépendance énergétique. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Stellantis fait un pas audacieux vers la transition écologique. Jeudi 12 décembre 2024, le géant automobile a inauguré une installation géothermique inédite sur son site de production de Caen, en Normandie. Un projet d’envergure, financé à hauteur de 7 millions d’euros, qui pourrait transformer le visage énergétique de l’industrie automobile.Après dix mois de travaux, cette centrale géothermique impressionne par son ambition technique. Trois kilomètres de tuyaux, trois pompes à chaleur et douze centrales de traitement d’air : un dispositif qui chauffe l’ensemble des bâtiments du site – soit 80 000 m² – tout en refroidissant les équipements industriels. Résultat : une réduction de 70 % de la consommation de gaz et 15 % de celle d’eau, couvrant 30 % des besoins énergétiques du site en toute autonomie.L’usine, qui emploie 1 300 salariés pour la production de transmissions hybrides et électriques, devient ainsi un laboratoire grandeur nature pour l’innovation industrielle durable. Ce projet s’inscrit dans la stratégie du groupe, qui vise la neutralité carbone dès 2028 et une autonomie énergétique à 80 % d’ici 2030. Soutenu par l’ADEME et des fonds européens, ce modèle pourrait faire école. Stellantis prévoit déjà des forages supplémentaires pour renforcer l’autonomie énergétique de son site normand. Une initiative qui prouve qu’industrie et transition écologique ne sont pas incompatibles. En Normandie, l’usine de Caen montre la voie, alliant performance environnementale et excellence industrielle. Avec cette installation, Stellantis passe du discours aux actes, espérant inspirer une transformation plus large du secteur automobile. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
C’est officiel : 2024 marquera un tournant dans l’histoire climatique. Selon le service européen Copernicus, cette année sera la première à franchir le seuil symbolique d’un réchauffement global de +1,5 °C par rapport à l’ère préindustrielle. Ce niveau, inscrit dans l’Accord de Paris comme la limite à ne pas dépasser à long terme, sera franchi sur l’ensemble de l’année, après un novembre exceptionnellement chaud.Avec une anomalie thermique de +1,62 °C par rapport à l’époque préindustrielle, novembre 2024 s’inscrit dans une série de mois records marqués par des catastrophes naturelles : typhons en Asie, sécheresses en Amazonie et en Afrique australe. Si l’Accord de Paris parle de tendances sur 20 ans pour considérer cette limite comme définitivement atteinte, les signaux sont clairs : le climat se réchauffe, actuellement de +1,3 °C en moyenne, et le GIEC estime que la barre des +1,5 °C sera inévitable d’ici 2030-2035, quel que soit le scénario d’émissions.Pourtant, l’action internationale reste insuffisante. Selon l’ONU Environnement, les politiques actuelles nous conduisent vers un réchauffement de +3,1 °C d’ici la fin du siècle, même si les engagements de réduction des émissions sont partiellement respectés. La COP29, qui s’est conclue récemment à Bakou, n’a pas permis d’accélérer la transition énergétique. Les 300 milliards de dollars promis aux pays en développement pour leur adaptation restent bien en deçà des besoins.Pourquoi 2024 explose-t-elle les records après une année déjà marquée par El Niño ? Les experts expliquent que la chaleur accumulée par ce phénomène climatique persiste et s’étale sur l’année suivante. Mais si la tendance ne s’inverse pas en 2025, le climatologue Robert Vautard avertit qu’il faudra reconsidérer nos modèles. En attendant, le réchauffement s’intensifie, amplifié par la fonte record de la banquise antarctique et des nuages moins réfléchissants. La sonnette d’alarme, déjà tirée, ne cesse de retentir. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Le réchauffement climatique s’accélère, et les chiffres sont alarmants. Entre 2011 et 2020, les températures mondiales ont grimpé de 1,1 °C par rapport à l’ère préindustrielle. En cause : l’émission de 2 400 milliards de tonnes de CO2 depuis 1850, dont près de la moitié au cours des trois dernières décennies. Selon le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC), les politiques actuelles nous mènent tout droit vers un réchauffement de +3 °C d’ici 2100.Mais des chercheurs des universités du Colorado, de Stanford et de l’ETH Zurich ont utilisé l’intelligence artificielle (IA) pour affiner ces prévisions. Grâce à l’apprentissage par transfert, une méthode qui réutilise des données issues de tâches similaires, ils ont analysé dix modèles climatiques et obtenu des prédictions plus précises à l’échelle régionale. Leurs conclusions, publiées dans la revue Environmental Research Letters, font froid dans le dos. Sur 46 régions étudiées, 34 dépasseront les 1,5 °C de réchauffement dès 2040. Et pour 26 d’entre elles, la barre des 3 °C sera franchie d’ici 2060. Des seuils critiques, atteints plus tôt que ne le prévoyaient les études précédentes.Les chercheurs insistent sur le rôle crucial de l’IA dans la modélisation climatique. Elle permet non seulement d’affiner les prévisions globales, mais aussi de mieux comprendre les impacts régionaux, souvent plus incertains. Ces avancées technologiques offrent ainsi un outil précieux pour éclairer les décisions politiques face à l’urgence climatique. Un message clair : si nous ne redoublons pas d’efforts pour limiter nos émissions, les impacts du réchauffement se feront sentir plus tôt et de manière plus intense que ce que l’on redoutait. Les scientifiques appellent donc à agir vite, pour freiner cette course contre la montre. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Les parkings français pourraient bientôt devenir des centrales solaires à ciel ouvert. C’est l’objectif du décret publié le 13 novembre 2024, qui applique l’article 40 de la loi « Accélération de la production d’énergies renouvelables ». Cette mesure impose aux parkings de plus de 1 500 m² de s’équiper d’ombrières photovoltaïques couvrant au moins 50 % de leur surface. Les délais sont fixés : d’ici juillet 2026 pour les parkings de plus de 10 000 m², et juillet 2028 pour ceux compris entre 1 500 et 10 000 m². Les premières concernées ? Les grandes surfaces, dont les zones de stationnement représentent environ 70 millions de mètres carrés en France. L’objectif est clair : rattraper le retard de la France en matière d’énergies renouvelables. En 2020, notre pays était le seul en Europe à ne pas atteindre les 23 % d’énergie renouvelable exigés par l’Union européenne. Le décret prévoit des sanctions sévères pour les réfractaires : une amende de 50 euros par mètre carré non équipé. Exemple à la clé, un parking de 3 000 m² qui ne respecterait pas la règle pourrait écoper d’une pénalité de 150 000 euros. De quoi faire grincer des dents les grandes surfaces, déjà hostiles à ce décret et qui avaient réclamé — sans succès — un report de deux ans. Au-delà des coûts, les bénéfices sont multiples. Ces ombrières solaires pourraient alimenter des bornes de recharge pour véhicules électriques ou redistribuer localement de l’énergie propre. Elles participeraient aussi à réduire l’empreinte carbone des supermarchés, souvent critiqués pour leur impact énergétique. En transformant des espaces souvent dévalorisés en sources d’énergie, cette mesure pourrait bien devenir un pilier de la transition énergétique en France. Reste à voir si son déploiement tiendra les délais. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Google frappe fort dans le domaine de la météorologie. Sa dernière innovation, l’IA GenCast, développée par DeepMind, promet des prévisions météo d’une précision inégalée, jusqu’à 15 jours à l’avance. Un bond technologique qui pourrait jouer un rôle crucial face à la recrudescence des catastrophes climatiques. Publiée dans la prestigieuse revue Nature, cette avancée dépasse les performances du Centre européen de prévisions météorologiques à moyen terme (ECMWF), considéré jusqu’alors comme la référence mondiale. Testé sur 1 320 désastres climatiques répertoriés en 2019, GenCast a surpassé l’ECMWF dans 97 % des cas. Mais la véritable révolution réside dans la rapidité d’exécution. Là où les systèmes actuels nécessitent plusieurs heures pour produire des prévisions, GenCast n’a besoin que de huit minutes. Basé sur quatre décennies de données climatiques (de 1979 à 2018), le modèle s’appuie sur des paramètres clés comme la température, la vitesse du vent et la pression atmosphérique. Les conséquences pourraient être majeures : mieux anticiper les vagues de chaleur meurtrières, comme celle qui a tué 21 personnes au Maroc cet été, ou encore les ouragans dévastateurs, à l’image d’Helene, qui a causé 237 décès en Floride en septembre. Les incendies de forêt, comme ceux d’Hawaï ayant fait une centaine de victimes, pourraient également être mieux maîtrisés grâce à des alertes précoces. Google insiste sur les capacités de GenCast à prévoir les extrêmes climatiques : chaleurs records, froids polaires et vents violents. Une avancée technologique qui pourrait révolutionner les dispositifs d’alerte et limiter les pertes humaines. Face à un climat de plus en plus imprévisible, cette IA montre que la science peut encore anticiper, et peut-être, protéger. Une innovation qui rappelle l’urgence d’investir dans des outils capables de répondre aux défis du réchauffement climatique. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Et si les diamants ne se contentaient pas d’être les meilleurs amis des joailliers, mais devenaient aussi ceux de l’énergie ? Une équipe de l’Université de Bristol a développé un diamant artificiel, chargé en carbone 14, capable de produire de l’électricité pendant... 5 000 ans. Une innovation révolutionnaire, au potentiel immense pour des applications médicales, spatiales ou électroniques. Tout repose sur la désintégration radioactive du carbone 14, un isotope naturellement présent dans l’environnement. Avec une demi-vie de 5 700 ans, il libère des électrons en se désintégrant. Les chercheurs ont enfermé ce radioélément dans une structure en diamant synthétique, qui capte ces électrons pour générer un courant électrique continu, stable et infime. Pourquoi le diamant ? Outre son prestige, sa structure atomique dense agit comme un bouclier protecteur, confinant les particules radioactives et facilitant la conversion en énergie. Résultat : une source autonome, sans recharge ni entretien, et sans risques de fuites radioactives. Les applications potentielles sont fascinantes. Dans le domaine médical, des implants comme les stimulateurs cardiaques ou pompes à insuline pourraient fonctionner toute une vie sans intervention. Dans l’espace, des sondes comme Voyager 1 pourraient transmettre des données pendant des siècles. Et dans l’électronique, cette technologie pourrait éliminer la dépendance aux batteries, offrant des appareils autoalimentés et plus durables. Bien sûr, il reste des défis : produire ces diamants à grande échelle et intégrer cette technologie dans nos systèmes actuels. Mais l’idée est là, et elle pourrait bien transformer notre façon d’utiliser et de penser l’énergie. Une véritable pépite technologique, taillée pour révolutionner notre avenir énergétique. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Les métaux lourds, souvent associés à la toxicité, suscitent des débats scientifiques sur leur impact réel. L'ASEF (Association Santé Environnement France) les définit comme des éléments métalliques naturels, d'une densité supérieure à 5 000 kg/m³. Mais pour le Professeur Manish Arora, expert en médecine environnementale, cette définition simplifie une réalité complexe : leur toxicité dépend avant tout de leurs interactions avec notre organisme. Certains métaux, comme le fer, le cuivre ou le zinc, sont vitaux pour des fonctions essentielles, mais leur excès peut causer des troubles graves. À l’inverse, des éléments comme le plomb, l’arsenic ou le mercure n’ont aucune utilité biologique et sont particulièrement nocifs. Par exemple, le plomb affecte le développement neurologique, tandis que le mercure altère les fonctions cognitives. Selon l’OMS, ces substances peuvent provoquer des cancers, des maladies cardiovasculaires ou des déficits intellectuels chez les enfants exposés. Les études récentes ont établi un lien entre l’exposition aux métaux lourds et les troubles du spectre autistique. Une recherche de 2023, menée par l’équipe de Kelly Bakulski, a montré que le cadmium, inhalé pendant la grossesse, augmente le risque d’autisme chez l’enfant. Ces découvertes soulignent la vulnérabilité particulière des jeunes en développement face à ces éléments. Cependant, ces avancées scientifiques ont parfois engendré des dérives. La thérapie par chélation, censée éliminer les métaux lourds, a été promue comme un remède à l’autisme sans preuve scientifique. Pire, cette pratique peut être mortelle, comme en témoigne le décès d’un enfant en 2005. L’industrialisation a largement contribué à la dissémination des métaux lourds dans notre environnement : peinture au plomb, aliments contaminés ou poissons riches en mercure. « Nous baignons dans un cocktail d’expositions », alerte le Professeur Arora. Une vigilance accrue est donc nécessaire pour limiter les impacts de ces substances invisibles, mais omniprésentes. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Le soleil, source inépuisable d’énergie pour la Terre, devrait continuer de briller encore 5 à 7 milliards d’années. Pourtant, les États-Unis, à travers la NASA et la NOAA, se mobilisent pour surveiller toute tentative humaine d’interférer avec ses rayons. Ce projet, financé par le Congrès, n’est pas le fruit d’une paranoïa, mais une réponse aux avancées de la géo-ingénierie solaire. Cette discipline controversée vise à moduler l’impact des rayons solaires sur la planète, notamment pour contrer le réchauffement climatique. Une idée qui fascine autant qu’elle inquiète : jouer avec l’intensité du rayonnement solaire pourrait bouleverser l’agriculture, les écosystèmes et les infrastructures humaines. L’objectif de la NASA et de la NOAA ? Surveiller et prévenir toute initiative imprudente, qu’elle vienne d’États, de groupes privés ou de militants. Concrètement, un ballon-sonde est lancé toutes les deux ou trois semaines depuis Boulder, Colorado. À 27 kilomètres d’altitude, il analyse les aérosols dans l’atmosphère, des particules capables de détourner les rayons solaires et de modifier leur impact. D’autres stations, situées en Alaska, à Hawaï, en Nouvelle-Zélande et ailleurs, participent également à cette surveillance. Le but final est de définir une base de référence mondiale pour la présence d’aérosols. Si des anomalies sont détectées, des avions équipés d’instruments ultra-précis seront prêts à enquêter. Pour l’instant, cette perspective reste théorique : aucun acteur ne manipule encore le climat à grande échelle, malgré les théories de certains complotistes. Avec ce programme de vigilance, la NASA et la NOAA rappellent qu’intervenir sur un phénomène aussi complexe que le rayonnement solaire exige prudence et responsabilité. La protection de notre étoile passe par une surveillance accrue, pour éviter que des apprentis sorciers ne jouent avec des forces dépassant l’entendement. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Et si la solution contre le réchauffement climatique se trouvait… sous terre ? Une équipe de chercheurs propose une méthode audacieuse pour lutter contre les émissions de gaz à effet de serre : enterrer du bois mort dans des cimetières géants. Cette technique, baptisée "Wood Vaulting", fait l'objet d'une étude publiée dans la revue Science. Le concept repose sur une découverte étonnante au Québec. En 2013, une souche de Genévrier de Virginie, vieille de 3 775 ans, a été retrouvée sous deux mètres d'argile. Son état de conservation remarquable a révélé qu'elle avait conservé la majorité du carbone absorbé durant sa vie. L'argile et le faible taux d'oxygène de son environnement auraient empêché sa décomposition, limitant ainsi le rejet de carbone dans l’atmosphère. Cette méthode pourrait s’avérer prometteuse : en enterrant du bois sous des couches de sol argileux, on empêcherait sa décomposition par des champignons et micro-organismes, responsables de la libération du carbone. Selon Ning Zeng, climatologue à l'Université du Maryland et principal auteur de l’étude, cette approche pourrait compenser jusqu’à un tiers des émissions annuelles de combustibles fossiles. En plus d’être efficace, la technique semble accessible. Les sols argileux sont répandus, et les terrains utilisés pour enterrer le bois pourraient même être réaffectés à l’agriculture. Zeng imagine aussi une extension de cette méthode aux plantes à croissance rapide, renforçant son potentiel à grande échelle. Si elle paraît simple, cette solution soulève des questions pratiques et environnementales. Mais face à l'urgence climatique, cette idée, à la croisée de l’ingéniosité scientifique et de la gestion durable, pourrait bien se frayer un chemin dans le débat mondial. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
C’est un cri d’alarme collectif : la France, l’Allemagne et la Suède pressent l’Union européenne d’agir face à la domination chinoise sur le marché des batteries électriques. Avec 85 % de la production mondiale contrôlée par Pékin, cette dépendance inquiète profondément les pays européens, échaudés par leur expérience avec le gaz russe. La souveraineté énergétique et technologique du Vieux Continent est en jeu, tout comme la réussite de la transition écologique. Mais l’Europe est à la traîne. L’industrie locale des batteries peine à décoller, les investissements restent timides, et des acteurs prometteurs comme Northvolt, autrefois fer de lance du secteur, vacillent dangereusement. En Suède, le gouvernement a refusé de secourir l’entreprise, symbole des ambitions européennes. Face à cette situation critique, Paris, Berlin et Stockholm appellent à un sursaut. Ils réclament une mobilisation massive : allègement des formalités administratives, accélération des autorisations pour les projets stratégiques, et création de nouveaux outils de financement pour soutenir les start-up innovantes. Bruxelles semble entendre le message. La nouvelle Commission européenne s’est engagée à publier une feuille de route dans les 100 jours pour relancer la compétitivité économique tout en répondant aux objectifs climatiques. Parmi les solutions envisagées : diversifier les sources d’approvisionnement en matières premières, avec des partenariats renforcés avec l’Australie, le Canada ou encore des projets de production de lithium sur le sol européen. Mais l’urgence est réelle. La ministre suédoise de l’Industrie, Ebba Busch, avertit : sans une action rapide, la transition écologique risque de se transformer en une "transition chinoise", comme cela a été le cas pour le solaire et l’éolien. Les États membres espèrent qu’un signal clair de Bruxelles redonnera confiance aux investisseurs et ravivera l’industrie européenne des batteries. Une course contre la montre s’engage. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Une poudre capable de capturer autant de carbone qu’un arbre, cela vous paraît utopique ? Pourtant, des chercheurs de l’Université de Berkeley, en Californie, affirment que cette innovation pourrait devenir une arme essentielle contre le changement climatique. D’après une étude publiée dans *Nature* et relayée par *The Guardian*, cette poudre révolutionnaire, d’environ 230 grammes, peut absorber autant de dioxyde de carbone qu’un arbre, avec des perspectives prometteuses pour le stockage ou des applications industrielles, comme les boissons gazeuses. Basée sur des liaisons chimiques puissantes, cette poudre poreuse et durable surpasse les matériaux actuels de captage du carbone. Testée en laboratoire par l’équipe du professeur Omar Yaghi, elle a prouvé son efficacité : elle peut être réutilisée plus de 100 fois en captant le carbone en deux heures, avant d’être chauffée à une température modérée de 50°C pour relâcher le gaz et recommencer le processus. Yaghi imagine un futur où chaque grande ville disposerait d’installations utilisant cette technologie. Avec sa société Atoco, basée en Californie, il espère produire plusieurs tonnes de cette poudre en moins d’un an. Les sites industriels, déjà producteurs de chaleur excédentaire, pourraient intégrer cette solution pour recycler le dioxyde de carbone. Toutefois, des défis subsistent. La faible concentration de CO₂ dans l’air (environ 0,04 %) implique le traitement de grandes quantités d’air, nécessitant une consommation énergétique importante. Shengqian Ma, chimiste à l’Université du Nord du Texas, pointe également le coût élevé des matériaux comme un obstacle à une adoption massive. Malgré ces limites, Omar Yaghi reste optimiste. Après 15 ans de recherche, il considère cette technologie comme une avancée majeure : "Il n’y a plus d’excuse pour ne pas réfléchir sérieusement à la capture du CO₂ dans l’air." Une promesse à surveiller. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
L’innovation a parfois des racines insoupçonnées. Science Co. ressuscite un concept audacieux : la machine à laver humaine. Inspirée du prototype dévoilé par Sanyo Electric en 1970 lors de l’exposition universelle d’Osaka, cette version revisitée promet de révolutionner l’expérience du bain. Concrètement, cette cabine high-tech intègre une baignoire avec un siège inclinable où l'utilisateur peut s'allonger. Une fois installé, le système ajuste la température et le débit d'eau grâce à des capteurs mesurant le rythme cardiaque et d'autres paramètres biologiques. Objectif : offrir un lavage efficace tout en maximisant le confort. Mais la véritable nouveauté réside dans son approche bien-être. Les capteurs scannent le niveau de stress et de fatigue de l’utilisateur, puis diffusent des images et sons apaisants en phase avec son état. Selon le quotidien japonais *The Mainichi Shimbu*, le lavage se fait avec une technologie à fines bulles, douce mais redoutablement efficace, avant qu’un flux d’air chaud ne sèche la peau avec délicatesse. Au-delà de son aspect futuriste, cette innovation répond à des besoins pratiques. Elle pourrait devenir un outil précieux pour les personnes âgées ou à mobilité réduite, tout en consommant moins d’eau qu’un bain classique. Une aubaine dans un monde où la durabilité est essentielle. Ce joyau technologique sera présenté lors de l’Exposition universelle d’Osaka Kansai en 2025, où quelques visiteurs privilégiés pourront en tester les bienfaits. Une version domestique est également prévue. Science Co. promet une expérience unique, mêlant relaxation et soin. « Les utilisateurs se sentiront rajeunis, mentalement et physiquement », assure le fabricant. Futur gadget de luxe ou solution inclusive pour le quotidien ? La machine à laver humaine pourrait bien être les deux. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Avec l’hiver, vos gadgets électroniques, notamment vos smartphones et vos véhicules électriques, peuvent souffrir des basses températures. Les batteries lithium-ion, omniprésentes dans ces appareils, voient leur autonomie diminuer sous l’effet du froid. Et ce n’est pas tout : les écrans tactiles, particulièrement les LCD, peuvent perdre en réactivité, rendant leur usage moins fluide. Pour éviter ces désagréments, quelques précautions simples s’imposent. Premièrement, équipez votre smartphone d’un étui isolant et étanche conçu pour le protéger des températures extrêmes. Si vous êtes en déplacement, préférez ranger votre téléphone dans une poche intérieure : la chaleur de votre corps aidera à maintenir une température idéale. Vous pouvez également opter pour des écouteurs et des commandes vocales pour limiter les manipulations directes en extérieur. Pour les batteries, veillez à partir avec un appareil bien chargé et, si possible, emportez une batterie externe. En effet, le froid peut accélérer la décharge, rendant l’utilisation prolongée plus compliquée. Attention également aux chocs thermiques ! Ne commencez pas à utiliser votre smartphone immédiatement après être passé d’un environnement glacial à un espace chauffé. Le brusque changement de température peut engendrer de la condensation à l’intérieur de l’appareil, risquant d’endommager ses composants. Quant aux véhicules électriques, adoptez les mêmes réflexes : surveillez le niveau de charge avant chaque trajet et essayez de stationner dans un endroit abrité. En somme, l’hiver met nos appareils à rude épreuve, mais avec ces astuces, vous pourrez continuer à profiter de vos outils technologiques sans encombre. Gardez-les au chaud, et ils vous le rendront bien ! Pour résumer :-Mettez votre appareil dans un étui ou une housse-Rangez-le dans une poche intérieure-Munissez-vous d'écouteurs pour éviter l'utilisation directe du mobile-Chargez bien votre téléphone-Surveillez votre niveau de batterie et équipez-vous d'un chargeur ou d'une batterie externe-N'utilisez pas tout de suite votre téléphone une fois que vous êtes au chaud Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Apple, souvent critiquée pour les prix élevés de ses produits et réparations, semble vouloir apaiser les esprits. Une récente note interne, révélée par *MacRumors*, annonce une bonne nouvelle pour les propriétaires de MacBook Pro : les réparations des haut-parleurs seront désormais plus abordables. Jusqu’à présent, lorsqu’un haut-parleur de MacBook Pro rencontrait un problème, le remplacement impliquait de changer tout le châssis supérieur, une opération coûteuse. Ce châssis comprend plusieurs composants, notamment la batterie, ce qui alourdissait considérablement la facture. Désormais, Apple autorise ses magasins et réparateurs agréés à remplacer les haut-parleurs individuellement, une mesure bien plus économique. Ce changement concerne principalement les modèles les plus récents : les MacBook Pro 14 pouces et 16 pouces équipés de la puce M4. Cependant, selon une source citée par *MacRumors*, cette possibilité s’étendra également aux MacBook Pro dotés d’un processeur Apple Silicon, produits depuis 2020. Si le coût exact de cette réparation individuelle n’a pas encore été dévoilé par Apple, une baisse significative des frais est attendue. Cela pourrait éviter à de nombreux clients de devoir payer pour des réparations dépassant parfois plusieurs centaines d’euros. Ce geste s’inscrit dans une tendance plus large chez Apple, qui cherche à améliorer la durabilité et la réparabilité de ses produits, en réponse aux critiques des consommateurs et à la pression réglementaire. Une initiative qui pourrait séduire une clientèle soucieuse de maîtriser ses dépenses tout en continuant à profiter de l’écosystème Apple. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
L'Europe, qui ambitionne de rivaliser avec la Chine dans la course aux véhicules électriques, fait face à un revers majeur. La société suédoise Northvolt, fleuron européen des batteries, vient d’annoncer son placement sous la protection de la loi américaine sur les faillites. Northvolt, déjà fragilisé après l’abandon de son usine à Skelleftea, affiche aujourd’hui des chiffres préoccupants : une dette colossale de 5,84 milliards de dollars et seulement 30 millions de liquidités, insuffisants pour tenir une semaine d’activité. Cette situation critique a conduit Peter Carlsson, PDG de l’entreprise, à démissionner, tout en précisant qu’il faudrait entre 1 et 1,2 milliard de dollars pour espérer relancer l’activité.Malgré cette crise, Northvolt ne baisse pas les bras. L’entreprise envisage une restructuration d’ici le premier trimestre 2025 et compte examiner des propositions d’investissement pour poursuivre son ambition de bâtir une industrie européenne des batteries. « Cette étape décisive permettra à Northvolt de répondre à la demande croissante en électrification des véhicules, malgré les défis actuels », a déclaré Tom Johnstone, directeur intérimaire du conseil d'administration. Pour l’Europe, cette annonce est un coup dur dans un secteur où la dépendance aux géants chinois, comme CATL et BYD, reste forte. Le Vieux Continent peine à établir une base industrielle solide face à une concurrence chinoise déjà bien implantée et bénéficiant de coûts de production plus bas. Alors que le marché des véhicules électriques explose, ce revers soulève des questions cruciales sur l’autonomie industrielle de l’Europe et sa capacité à tenir tête à ses rivaux asiatiques dans la transition énergétique. Les prochains mois seront décisifs pour Northvolt et, par extension, pour l’avenir de la filière européenne des batteries. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Depuis 2011, les plages idylliques des Caraïbes sont envahies par les sargasses, une algue brune synonyme de désastre écologique et touristique. Pourtant, ces algues malodorantes pourraient bien devenir une ressource précieuse. Une équipe de l’Université des West Indies (UWI) à la Barbade a réussi à produire un biocarburant innovant à partir de ces envahisseurs marins, propulsant une voiture avec succès. L’idée est née grâce à Brittney McKenzie, une étudiante frappée par les efforts massifs pour débarrasser les plages. Sous la direction du Dr Legena Henry, experte en énergies renouvelables, l’équipe a combiné les algues avec des eaux usées issues des distilleries de rhum locales pour créer un biogaz naturel compressé. Ce carburant a été testé sur une Nissan Leaf, avec des résultats prometteurs. Le projet a bénéficié d’un coup de pouce financier : en 2019, il a séduit la Fondation Blue Chip, qui a investi 100 000 dollars. Aujourd’hui, porté par la société Rum and Sargassum Inc., ce biocarburant offre une solution accessible : une voiture peut être adaptée en quatre heures pour environ 2 500 dollars. Les enjeux sont énormes pour les Caraïbes, qui dépendent des importations de carburants fossiles. À la Barbade, un investissement de 7,5 millions de dollars pourrait suffire à alimenter 300 taxis. Mais le potentiel est mondial : les sargasses touchent aussi l’Afrique de l’Ouest, l’Amérique du Sud et la Floride. L’équipe explore aussi d’autres usages pour ces algues, comme des produits antiparasitaires. Une station de biogaz est en projet pour augmenter la production et prouver la viabilité commerciale. Ce projet illustre comment une nuisance environnementale peut se transformer en opportunité, tout en démontrant le rôle clé des petites nations dans l’innovation climatique. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
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United States
bonjour, vos podcasts semblent tous saturés !!!
est il possible de se passer des cette phrase aussi systématique qu'intitule : "c'est ce que je vous propose de ville dans cet épisode" ?! ça me tapé sur les nerfs, surtout quand on en écoute plusieurs d'affilée. tant qu'à février ce qui ne va pas, je trouverais plus agréable de ne pas crier dans le micro et exprimer les faits comme s'ils allaient tous changer le monde. c'est plutôt oppressant. Merci de faire cet effort svp.
erreur d'épisode
quelle bouffonnerie, ça c'est bien du Green washing puisque les ces carburants détruisent des espaces de culture comme jamais. voir le matos au Mexique etc. Privez nous de ce type d'info intitule svp.
vous actualités son certes sympathiques, mais il me semble que vous exprimez un engouement bien excessif à l'égard de simples découvertes dans applications approuvées. Un peu de retenue dans le ton sûr-motivé me semblerait plus judicieux et plus agréable. merci.
Très bon comme d'habitude !!!
Merci d'ajouter le lien dans la description svp.