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Choses à Savoir TECH VERTE
Author: Choses à Savoir
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Tout ce qu'il faut savoir dans le domaine de la Green Tech.
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Le Sénat débat ce lundi 27 janvier d’une proposition de loi visant à « lever les contraintes à l’exercice du métier d’agriculteur ». Au cœur du texte, une mesure controversée : réautoriser certains néonicotinoïdes, ces insecticides interdits en France depuis 2018 pour leur impact sur les abeilles. Très utilisés dans la culture de la betterave sucrière, notamment dans le nord de la France, ces produits sont pourtant remplaçables, selon l’Institut national de recherche pour l’agriculture, l’alimentation et l’environnement (Inrae). À Estrée-Mons, dans la Somme, l’institut mène des essais depuis 2012 sur des parcelles cultivées sans pesticides. Résultat ? « On arrive à produire efficacement sans produits chimiques », affirme Sébastien Darras, technicien de recherche.L’approche repose sur la biodiversité. En intégrant des bandes fleuries et enherbées autour des champs, les chercheurs favorisent les insectes auxiliaires, comme les coccinelles, qui prédatent les pucerons, responsables de la jaunisse des betteraves. En complément, l’Inrae recommande d’éliminer les repousses de betteraves après récolte, une méthode efficace pour empêcher la transmission virale par les pucerons. Pour Christian Huyghe, ancien directeur scientifique à l’Inrae, revenir sur l’interdiction des néonicotinoïdes serait une erreur. « Ces produits ont un impact environnemental démontré et persistent longtemps dans les sols. Ignorer ces faits scientifiques serait irresponsable. »Les sénateurs favorables à cette réintroduction estiment toutefois que la France ne peut se priver d’armes utilisées par d’autres pays européens comme l’Allemagne. Mais pour les chercheurs, maintenir l’interdiction et miser sur les solutions alternatives est une occasion de concilier agriculture et respect de la biodiversité. Le débat promet d’être tendu, entre intérêts économiques immédiats et préoccupations environnementales de long terme. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Donald Trump, officiellement 47ᵉ président des États-Unis, a surpris en abordant la question des voitures électriques lors de son discours inaugural. Un sujet inattendu pour un discours de politique générale, mais utilisé par le milliardaire pour annoncer un virage clair : la fin des mesures favorisant leur démocratisation. « Nous mettrons fin au Green New Deal et révoquerons le mandat sur les véhicules électriques, sauvant ainsi l’industrie automobile et respectant mon engagement envers les ouvriers américains », a-t-il déclaré. Selon lui, cela redonnera aux Américains la liberté de « choisir la voiture qu’ils souhaitent », tout en relançant la production automobile à des niveaux inédits.Ce rejet des politiques écologiques marque aussi un retour en force des énergies fossiles. Trump a promis de faire des États-Unis le leader mondial du forage de pétrole et de gaz, et un exportateur majeur de ces ressources. Le « mandat pour les voitures électriques » évoqué fait référence à une réglementation instaurée sous Joe Biden. Celle-ci visait à réduire progressivement les émissions de carbone des constructeurs automobiles, avec pour ambition d’atteindre 50 % de ventes de véhicules zéro émissions d’ici 2030. Ce cadre inclut des crédits d’impôt pour les particuliers et 7,5 milliards de dollars pour déployer 500 000 bornes de recharge.Si cette décision semble nuire à des entreprises comme Tesla, l’acteur dominant de l’électromobilité avec 49 % de parts de marché aux États-Unis, les experts jugent qu’elle pourrait paradoxalement renforcer sa position. Les nouvelles barrières à l’entrée pour les concurrents profiteront au constructeur d’Elon Musk, désormais allié de Trump. Le discours, résolument tourné vers le protectionnisme et les énergies traditionnelles, laisse entrevoir des affrontements politiques et économiques à venir, tant sur le plan environnemental qu’industriel. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
C’est officiel : Polestar, la marque suédoise de véhicules électriques haut de gamme, fait enfin son entrée sur le marché français. Longtemps attendue par les électromobilistes, son arrivée marque un tournant stratégique dans sa conquête de l’Europe. Initialement retardée par un litige avec Citroën en 2019 sur la ressemblance de leurs logos, l’interdiction de Polestar en France est désormais levée après un accord conclu en 2022. La marque s’apprête à lancer ses premiers modèles dans l’Hexagone d’ici l’été 2025, faisant de la France sa priorité absolue pour cette année.Les véhicules Polestar seront disponibles en ligne, mais une présence physique est également prévue via le réseau Volvo, dont Polestar est une émanation. Trois modèles seront proposés : la berline Polestar 2, le SUV Polestar 3 et le SUV Coupé Polestar 4, tous résolument tournés vers l’innovation et le haut de gamme. L’arrivée de Polestar coïncide avec une période de turbulences pour Tesla. Alors que les déclarations controversées d’Elon Musk déstabilisent sa marque, Polestar adopte une stratégie offensive pour séduire les clients déçus de son rival américain. Le constructeur sino-suédois espère inverser la tendance après une baisse de 15 % de ses ventes mondiales en 2024.« Notre priorité est claire : capter l’attention des acheteurs mécontents de Tesla », aurait confié le PDG de Polestar à ses équipes. Avec une gamme bien positionnée et une stratégie commerciale ambitieuse, Polestar se prépare à concurrencer des géants comme Porsche, Tesla, et Mercedes. L’entrée sur le marché français pourrait bien marquer un tournant pour Polestar, qui mise sur l’instabilité de ses concurrents pour s’imposer comme un acteur incontournable de l’électrique premium. Les premiers mois de 2025 s’annoncent décisifs pour ce nouveau challenger. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Après Volkswagen et son robot de charge présenté en 2020, c’est au tour de Huawei d’entrer dans la course à la recharge autonome. Le géant chinois, déjà connu pour ses smartphones et sa voiture électrique SU7, élargit son écosystème électrique avec une innovation spectaculaire : une borne de recharge équipée d’un bras robotisé.Imaginez un futur où recharger votre véhicule électrique ne nécessite plus aucune intervention humaine. C’est ce que promet Huawei avec sa technologie avancée. Grâce à un système de conduite autonome, les voitures compatibles, comme la berline électrique Maextro S800, se garent automatiquement à proximité de la borne. Le clapet de recharge s’ouvre de lui-même, et un bras robotisé connecte la prise au port de charge, sans que le conducteur n’ait à quitter son siège. Ce n’est pas un simple concept : Huawei assure que cette solution est prête à être déployée dans les prochains mois. Et ce n’est pas tout. La borne offre une puissance de recharge impressionnante, allant jusqu’à 600 kW, rendant les temps d’attente bien plus courts. En outre, cette technologie n’est pas exclusive à Huawei. Elle est déjà compatible avec des véhicules de marques comme BYD, Li Auto ou Aito, ouvrant ainsi la voie à une adoption massive.Alors que les infrastructures de recharge deviennent un enjeu clé dans la transition énergétique, cette innovation pourrait transformer notre façon d’utiliser les véhicules électriques, en particulier dans les environnements urbains où l’espace est limité. Les premières bornes devraient être installées en Chine, mais leur potentiel mondial est indéniable. Huawei s’inscrit ainsi dans la vision d’un futur où la recharge est rapide, autonome et accessible à tous. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Dans sa quête pour devenir une entreprise « zéro déchet », « carbone négatif » et « eau positive » d'ici 2030, Microsoft prend une nouvelle mesure importante pour réduire son impact environnemental : améliorer la réparabilité de ses consoles Xbox. À partir du 20 janvier, les joueurs auront plus de possibilités pour réparer leurs consoles Xbox Series X et S, avec l’arrivée de uBreakiFix comme premier fournisseur agréé de services de réparation. L'entreprise, présente dans 700 magasins à travers les États-Unis, offrira désormais ses services de réparation, qui étaient jusqu’à présent uniquement disponibles via le Microsoft Store.Cette initiative vise à offrir aux joueurs une alternative plus pratique et plus accessible pour prolonger la durée de vie de leurs consoles. En parallèle, Microsoft élargit aussi l’accès aux pièces détachées, avec des composants comme des blocs d’alimentation, des cartes Wi-Fi et des ventilateurs disponibles à l’achat sur le Microsoft Store et via le Microsoft Repair Hub sur iFixit. Une démarche qui s’inscrit dans un objectif plus large : réduire les déchets électroniques en favorisant la réutilisation.Si cette démarche ouvre de nouvelles options pour les réparations, certains prix restent élevés, comme la carte mère de la Xbox Series S, affichée à près de 350 euros. Cependant, comme le souligne Trista Patterson, responsable de la durabilité chez Xbox, cette initiative permet de prolonger la longévité des appareils tout en réduisant l'impact écologique de la production de nouvelles consoles.Microsoft poursuit ainsi ses efforts pour rendre ses produits plus durables, une démarche soutenue par des fonctionnalités d’optimisation énergétique intégrées dans l’interface de la console. Une fois de plus, la technologie s'engage au service de la planète. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Et si l’intelligence artificielle révolutionnait la science des matériaux ? Microsoft vient de lever le voile sur MatterGen, une plateforme novatrice qui pourrait transformer le secteur des énergies renouvelables. En combinant intelligence artificielle et modélisation avancée, MatterGen accélère la découverte de matériaux optimisés pour des applications comme les batteries ou les panneaux solaires, tout en réduisant les coûts de recherche.Jusqu’ici, la conception de nouveaux matériaux était un processus long, nécessitant des années d’expérimentations. Désormais, l’IA explore un vaste champ de combinaisons chimiques en quelques heures. MatterGen ne génère pas des formules au hasard : ses algorithmes de machine learning prédisent les propriétés des matériaux et orientent les recherches vers les solutions les plus prometteuses. Une véritable révolution pour un secteur en quête d’innovation. Les bénéfices de cette technologie sont multiples. Rapidité : là où un chercheur mettait des mois à tester un alliage, l’IA propose des milliers d’options instantanément. Économie : moins d’expérimentations physiques signifie une réduction des coûts. Efficacité : MatterGen cible des propriétés spécifiques, comme une conductivité électrique élevée ou une faible densité, en répondant à des besoins précis.Les premiers résultats sont spectaculaires. Microsoft affirme que les matériaux générés par MatterGen sont 2,9 fois plus stables que les modèles actuels et 17,5 fois plus proches d’un minimum énergétique local, garantissant leur robustesse. Les implications sont immenses. La prochaine génération de batteries ultra-performantes ou de panneaux solaires révolutionnaires pourrait bien voir le jour grâce à cette technologie. Alors que le monde cherche des solutions durables pour répondre à la crise climatique, MatterGen ouvre une nouvelle ère d’exploration rapide et ciblée dans la science des matériaux. Une promesse d’innovation pour un futur plus vert. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Après les propriétaires de Tesla et certains investisseurs, les entreprises allemandes se détournent désormais du constructeur américain. En cause : les prises de position controversées d’Elon Musk, PDG de Tesla, qui s’immisce dans des débats politiques sensibles. Le mouvement a été initié par Rossmann, une grande chaîne européenne de droguerie, qui a décidé de se séparer de l’intégralité de sa flotte Tesla. L’entreprise a dénoncé une incohérence entre les déclarations de Musk et les valeurs prônées par Tesla : « Rossmann ne fera plus l’acquisition de nouvelles Tesla. »Dans la foulée, LichtBlick, fournisseur majeur d’électricité verte en Allemagne, a suivi le même chemin. Kevin Lütje, responsable des installations, a déclaré : « Le soutien d’Elon Musk à Donald Trump et à un parti populiste de droite en Allemagne est incompatible avec nos engagements pour la diversité et la démocratie. » Les chiffres témoignent de cette désaffection. En 2024, les ventes de Tesla en Allemagne ont chuté de 41 %, soit une baisse de 26 000 unités par rapport à 2023. Si la réduction des subventions pour les véhicules électriques joue un rôle, les autres constructeurs restent performants.La situation s’est aggravée après que Musk a publiquement appelé à voter pour l’AfD (Alternative für Deutschland), un parti populiste de droite controversé, actuellement deuxième dans les sondages pour les élections fédérales anticipées du 23 février. Plus de 60 organisations académiques allemandes et autrichiennes ont réagi en boycottant la plateforme X et, par extension, les véhicules Tesla. Face à cette crise, les actionnaires de Tesla pourraient envisager de renouveler le conseil d’administration pour contenir les dégâts. Les experts prévoient que les tensions autour des prises de position de Musk pourraient encore nuire à la marque en 2025. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Un incendie s’est déclaré jeudi 16 janvier 2025, dans l’usine Vistra de Moss Landing, en Californie, le plus grand site mondial de stockage d’énergie par batteries au lithium. Cette installation, capable de stocker 750 mégawatts d’électricité grâce à ses 110 000 modules, redistribue l’énergie renouvelable produite dans la région, notamment la nuit.Le sinistre, signalé à 15 h, a rapidement pris de l’ampleur, mettant en évidence la complexité des feux de batteries au lithium. Ceux-ci brûlent à très haute température, émettent des gaz toxiques et nécessitent des protocoles d’intervention spécifiques. Les pompiers ont dû laisser le feu s’éteindre de lui-même, tout en surveillant la qualité de l’air. Face à l’urgence, les autorités ont évacué 1 200 résidents, notamment au sud d’Elkhorn Slough et à l’ouest de Castroville Boulevard. L’autoroute 1 a été fermée dans les deux sens. Un centre d’évacuation a été installé à Castroville pour accueillir les habitants déplacés.L’usine de Moss Landing, déjà touchée par quatre incendies depuis 2019, suscite de vives inquiétudes. Glenn Church, superviseur du comté de Monterey, demande une enquête indépendante : « Ce sera sans doute le dernier incident. » Les précédents incendies, en 2021 et 2022, avaient été causés par des dysfonctionnements des systèmes de sécurité. Ces incidents relancent le débat sur la sécurité des installations de stockage d’énergie. En 2022, une loi californienne imposait de nouvelles normes suite à des accidents similaires, comme celui de Grand-Couronne en France. Pour le sénateur John Laird, « atteindre nos objectifs d’énergie propre passe par des systèmes de sécurité qui protègent les communautés environnantes. » Avec une capacité totale de batteries multipliée par sept en cinq ans, la Californie continue de miser sur cette technologie. Mais à quel prix pour la sécurité locale ? Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Les microplastiques envahissent notre quotidien, et leur présence dans les emballages alimentaires est désormais bien documentée. Mais saviez-vous que vos sachets de thé pourraient être une source majeure de contamination ? Une étude récente de l’université autonome de Barcelone alerte sur les risques des sachets en nylon ou en plastique, utilisés par certains fabricants pour une prétendue diffusion optimale des arômes.Les chercheurs ont démontré que ces sachets libèrent des milliards de microplastiques et nanoplastiques lorsqu’ils sont plongés dans de l’eau bouillante. Leurs analyses, publiées dans la revue Chemosphere, révèlent que les sachets en polypropylène, nylon-6 ou cellulose diffusent des particules microscopiques à des niveaux alarmants. Par exemple, un sachet en polypropylène libère environ 1,2 milliard de particules par millilitre d’eau, d’une taille moyenne de 136 nanomètres. Les sachets en cellulose, pourtant considérés comme plus naturels, ne sont pas en reste avec 135 millions de particules libérées par millilitre.L’étude ne s’arrête pas là : pour la première fois, des tests ont montré que ces particules sont absorbées par les cellules intestinales humaines. Une fois dans le système digestif, elles peuvent atteindre la circulation sanguine et se propager dans tout l’organisme. Les chercheurs ont même observé des plastiques pénétrant jusqu’au noyau des cellules intestinales, une découverte préoccupante. Cette étude souligne l’urgence de repenser l’utilisation des plastiques dans les emballages alimentaires pour limiter l’exposition chronique à ces particules. « Alors que leur usage continue de croître, il est crucial d’agir pour garantir la sécurité alimentaire et protéger la santé publique », concluent les auteurs. Un avertissement à méditer la prochaine fois que vous préparez votre thé. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Depuis ce mercredi 8 janvier 2025, la France franchit un cap dans la lutte contre l'obsolescence programmée. Désormais, toutes les télévisions commercialisées sur le territoire doivent afficher un indice de durabilité : une note sur 10 évaluant à la fois leur fiabilité et leur réparabilité. Une initiative qui vise à mieux informer les consommateurs et à inciter les fabricants à concevoir des produits plus robustes.Cet indice, qui remplacera progressivement l'ancien indice de réparabilité, s’appuie sur deux piliers majeurs. D’abord, la réparabilité, qui prend en compte la facilité de démontage, l’accès aux pièces détachées et leur coût. Ensuite, la fiabilité, qui évalue la résistance à l’usure, l’entretien et les garanties offertes. Une notation visible en magasin et en ligne permettra aux acheteurs de faire des choix plus éclairés. Après les téléviseurs, l’obligation s’étendra aux lave-linge dès avril. Ce déploiement progressif permettra de peaufiner le système. Toutefois, le dispositif, initialement prévu pour inclure les smartphones, a été limité par une décision européenne excluant ces appareils.Si l’association HOP (Halte à l’Obsolescence Programmée) salue cette avancée, elle pointe certains ajustements nécessaires. Par exemple, des critères jugés trop simples, comme les conseils d’entretien, pourraient gonfler artificiellement les notes. Par ailleurs, le dispositif ne concerne pour l’instant que deux catégories de produits, laissant de côté des équipements comme les écouteurs ou le petit électroménager. Malgré ces limites, la France fait figure de pionnière en Europe. Ce modèle inspire déjà des voisins comme la Belgique et pourrait être étendu à l’échelle européenne. Reste à voir si consommateurs et fabricants s’approprieront cet outil, qui pourrait transformer durablement notre rapport aux appareils électroniques. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
L’omniprésence des microplastiques inquiète de plus en plus les scientifiques. Alors que la consommation de plastique est passée de 1,5 million de tonnes par an dans les années 1950 à plus de 400 millions aujourd’hui, la pollution générée par ces matériaux atteint des proportions alarmantes. D’ici 2050, on estime que 12 milliards de tonnes de plastique pourraient s’accumuler dans les décharges et la nature.Face à cette crise, les discussions politiques piétinent. En novembre dernier, 170 pays réunis en Corée du Sud n’ont pas réussi à finaliser un traité international contre la pollution plastique. Pendant ce temps, les chercheurs poursuivent leurs travaux pour évaluer l’impact de cette pollution sur l’environnement et la santé humaine. Une revue récente menée par des scientifiques chinois, publiée dans Trends in Analytical Chemistry, révèle que les microplastiques (moins de 5 mm) et nanoplastiques (moins de 100 nanomètres) s’infiltrent partout : dans nos voies respiratoires, digestives, et même dans nos organes, tels que le foie, le placenta ou les poumons. Ces particules, souvent inhalées, semblent particulièrement nocives pour les enfants et les personnes âgées.Des études toxicologiques commencent à établir des liens entre l’accumulation de ces particules et des maladies comme les inflammations chroniques, la thrombose ou certains cancers. Une corrélation inquiétante : les tissus lésés présentent des concentrations de microplastiques plus élevées. Cependant, reste à déterminer si ces particules sont la cause ou la conséquence des lésions. Une certitude : leur rôle dans le stress oxydatif, les inflammations et la mort cellulaire est établi. Les chercheurs appellent à agir rapidement. En attendant des preuves irréfutables, les décideurs sont invités à limiter l’exposition humaine aux microplastiques et à réduire la production plastique. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Météo France s'apprête à donner un véritable coup de pouce à la précision de ses prévisions météorologiques en renouvelant ses supercalculateurs. Ces machines géantes, qui simulent l’évolution de l'atmosphère à partir des données collectées, sont essentielles pour comprendre et anticiper les conditions climatiques. En 2025, l’organisme lancera un appel d'offres pour moderniser ces supercalculateurs, avec un premier déploiement prévu pour 2027. L'objectif : une puissance de calcul six fois plus grande d’ici 2029.Les avancées sont spectaculaires. Actuellement, le modèle Arome, utilisé pour les prévisions à court terme, offre une précision de 1,3 kilomètre. Avec les nouveaux supercalculateurs, cette précision sera portée à 750 mètres. Le modèle Arpège, dédié aux prévisions à plus long terme, passera quant à lui de 5 kilomètres à 2,5 kilomètres. À titre de comparaison, dans les années 90, les premiers supercalculateurs de Météo France avaient une précision de 35 kilomètres.Ces améliorations auront un impact concret sur notre quotidien. D’abord, elles permettront de mieux anticiper les alertes orange et rouge, avec des préavis de six heures minimum. Les prévisions de précipitations et de rafales seront améliorées de 10 % et la fiabilité des prévisions pour les cyclones et les risques de crues en Outre-mer sera renforcée. Le secteur aérien, particulièrement sensible aux conditions climatiques, bénéficiera également de prévisions plus précises pour mieux gérer le trafic. Enfin, ces supercalculateurs offriront une meilleure anticipation des phénomènes climatiques extrêmes, un enjeu majeur face au réchauffement climatique.Avec ce projet ambitieux, Météo France entend non seulement améliorer la précision des prévisions, mais aussi mieux préparer la société face aux aléas du climat. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Mercedes-Benz dévoile un projet novateur qui pourrait révolutionner l’autonomie des véhicules électriques : un revêtement solaire ultrafin capable de recharger les batteries tout en roulant. D’une épaisseur de seulement cinq micromètres, ce revêtement, plus fin qu’un cheveu et pesant 50 grammes par mètre carré, peut être appliqué sur presque toute la carrosserie du véhicule. Flexible et transparent, il s’adapte facilement à la forme des voitures électriques.Selon Mercedes-Benz, un SUV équipé d’une surface photovoltaïque de 11 m² pourrait générer assez d’énergie pour parcourir jusqu’à 12 000 kilomètres par an dans des conditions optimales, comme celles de Stuttgart, où les tests ont été réalisés. Ce revêtement fonctionne même lorsque la voiture est à l’arrêt, augmentant ainsi son efficacité globale. L’efficacité varie toutefois selon l’ensoleillement. À Stuttgart, où les conducteurs parcourent en moyenne 52 kilomètres par jour, 62 % de cette distance pourrait être couverte grâce à l’énergie solaire. À Los Angeles, avec son ensoleillement généreux, ce chiffre pourrait grimper à près de 100 %.Un autre avantage clé : tout surplus d’énergie pourrait être renvoyé vers le réseau domestique via une borne de recharge bidirectionnelle. Ce revêtement, en plus d’être performant, est écologique : il n’utilise aucun matériau rare ou toxique, est peu coûteux à produire et facile à recycler. Mercedes-Benz envisage de développer cette technologie pour l’adapter à tous ses modèles, quelle que soit leur forme. Si cette innovation se concrétise, elle pourrait non seulement augmenter l’autonomie des véhicules électriques, mais aussi réduire leur dépendance aux infrastructures de recharge, ouvrant ainsi une nouvelle ère pour la mobilité durable. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Spectaculaires et festifs, les feux d’artifice enchantent nos soirées estivales. Mais derrière ces explosions de lumière se cache un impact écologique et sanitaire bien réel. D’abord, leur effet sur la biodiversité. Les oiseaux, notamment, sont particulièrement perturbés, parfois au point de quitter leur habitat. Plus alarmant encore, les feux d’artifice sont responsables de 31 000 incendies aux États-Unis rien qu’en 2022.Mais leurs conséquences ne s’arrêtent pas là. Composés de nitrates, chlorates, soufre, carbone et divers métaux pour les couleurs, les feux d’artifice relâchent une véritable cocktail de polluants atmosphériques. Une étude parue dans Atmospheric Environment révèle que la pollution de l’air augmente de 42 % en moyenne dans les zones où ils sont tirés. Particules fines, métaux lourds, microplastiques et produits cancérigènes pénètrent nos voies respiratoires, affectant la santé humaine. Le perchlorate, par exemple, est reconnu pour perturber la thyroïde. Ces polluants retombent ensuite au sol, s’infiltrent dans les eaux et contaminent sols, cultures et écosystèmes. Résultat : toute la chaîne alimentaire, humains compris, finit par en subir les effets.Face à ce constat, certains fabricants innovent avec des feux d’artifice dits "éco-responsables". Exit le soufre, place au nitrogène, et le plastique est remplacé par du papier biodégradable. Ces alternatives réduisent les émissions de fumée et de produits toxiques, mais ne sont pas totalement neutres pour l’environnement. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Quand on évoque les origines scientifiques de l’effet de serre, les noms de John Tyndall et de Svante Arrhenius viennent naturellement à l’esprit. Mais que dire d’Eunice Newton Foote, scientifique américaine et militante des droits des femmes, dont les travaux précurseurs ont été éclipsés par l’histoire ?En 1856, soit trois ans avant les recherches de Tyndall, Eunice Foote a démontré que des concentrations accrues de dioxyde de carbone dans l’atmosphère pouvaient provoquer un réchauffement climatique significatif. Avec des moyens modestes — deux cylindres en verre, des thermomètres et une pompe à vide — elle a isolé des gaz et mesuré leur capacité à retenir la chaleur sous les rayons du soleil. Elle théorisa que l’atmosphère terrestre, enrichie en CO₂, entraînerait une hausse des températures. Ce qu’elle décrivait alors n’était autre que l’effet de serre.Mais à cette époque, les femmes étaient exclues des cercles scientifiques. Lors d’un congrès de l’Association américaine pour l’avancement des sciences, ses travaux furent présentés par un homme, Joseph Henry, et publiés dans l’anonymat presque total. Résultat, son nom sombra dans l’oubli tandis que les recherches masculines prenaient toute la lumière. Foote, cependant, n’était pas qu’une scientifique. Militante féministe, elle fut une figure clé de la Convention de Seneca Falls en 1848, première assemblée dédiée aux droits des femmes. Une vie à la croisée des sciences et des luttes sociales. Aujourd’hui, reconnaître son apport, sans minimiser les découvertes de Tyndall, c’est rendre justice à une femme dont les travaux ont ouvert la voie à la compréhension moderne du climat. Une héroïne méconnue d’une science qui continue, encore aujourd’hui, à révéler les liens entre humanité et atmosphère. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
La Norvège confirme une fois de plus son statut de leader mondial de l’électromobilité. En 2024, le pays nordique a établi un nouveau record, atteignant une part de marché électrisante de 88,9 % pour les véhicules électriques. Un pas de plus vers son objectif ambitieux : 100 % de ventes électriques dès 2025.Selon la Fédération routière de Norvège, cet objectif n’a pas encore été totalement atteint, mais aucun autre pays n’est aussi proche d’une transition complète. En 2024, sur 128 691 véhicules vendus, 114 409 étaient électriques. À titre de comparaison, en septembre dernier, 96,4 % des immatriculations étaient déjà des voitures électriques. Le secret de ce succès ? Une politique incitative qui combine exonération de TVA pour les véhicules électriques et nouvelles taxes dissuasives pour les voitures thermiques, à partir d’avril 2025. Des mesures qui rendent la transition à l’électrique non seulement écologique, mais aussi économiquement avantageuse.Côté marques, Tesla continue de dominer le marché norvégien. La Model Y s’impose en tête des ventes avec près de 17 000 unités écoulées en 2024, suivie de la Model 3 (7 264 ventes). La Volvo EX30 complète le podium, avec 7 229 unités vendues. Ce modèle norvégien inspire de nombreux pays en quête de solutions pour réduire leurs émissions de CO₂ dans le secteur des transports. Mais atteindre 100 % de voitures électriques reste un défi, même pour cette nation pionnière. Reste à savoir si les dernières mesures fiscales et l’engouement des Norvégiens suffiront à transformer cet objectif en réalité dès l’année prochaine. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Alors que l’intelligence artificielle continue de révolutionner nos vies, un débat s’intensifie dans les coulisses : comment alimenter en énergie les immenses data centers nécessaires à ces technologies ? Si leur multiplication pose déjà des défis environnementaux, un autre problème, tout aussi inquiétant, émerge : leur impact direct sur les réseaux électriques et leurs voisins. Un rapport récent de Bloomberg, basé sur des données de Whisker Labs et DC Byte, révèle que 50 % des foyers américains ayant subi les pires distorsions de puissance se trouvent à moins de 30 kilomètres d’un data center d’IA. En élargissant le périmètre à 80 kilomètres, ce chiffre grimpe à 75 %. Ces infrastructures énergivores, implantées de façon accélérée, dépassent largement les capacités prévues des réseaux électriques actuels. « Aucun réseau n’a été conçu pour gérer ce type de fluctuations de charge, surtout avec plusieurs data centers opérant en simultané », explique Aman Joshi, directeur commercial chez Bloom Energy. Les conséquences pour les foyers voisins ? Elles sont préoccupantes : risques accrus de pannes, de coupures de courant, voire de dommages sur les appareils électriques. Et ce n’est pas tout. Ces surcharges pourraient également augmenter les vulnérabilités aux incendies électriques, selon le rapport. En parallèle, les data centers ont souvent recours à des sources d’énergie traditionnelles, notamment les hydrocarbures, accentuant ainsi leur empreinte carbone. Cette course à la puissance, nécessaire pour faire fonctionner des IA toujours plus sophistiquées, pose donc une question essentielle : comment équilibrer innovation technologique et durabilité énergétique ? Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Une astuce méconnue du compteur Linky pourrait permettre de réaliser encore plus d’économies. Ajuster la puissance de son compteur, voilà une solution simple pour réduire sa consommation énergétique et son budget électricité, sans bouleverser ses habitudes. Le principe est accessible : il suffit de diminuer la puissance du compteur, par exemple de 6 à 3 kilowatts, pour s’adapter aux besoins réels du foyer. Attention toutefois, cette manipulation nécessite de contacter son fournisseur d’électricité, comme le rappelle Enedis. Résultat ? Une économie annuelle pouvant atteindre 10 à 15 euros par kilowatt. Pour un foyer passant de 6 à 3 kilowatts, cela représente jusqu’à 45 euros économisés par an. Mais avant de modifier la puissance, il est crucial d’évaluer ses besoins énergétiques. Une puissance trop faible risque de provoquer des coupures si plusieurs appareils énergivores fonctionnent simultanément. Pour aider les consommateurs à mieux gérer leur consommation, des outils connectés comme « Eco-conso » d’Engie ou « Conso Live » de TotalEnergies offrent une visibilité en temps réel des usages, moyennant un abonnement de 2 euros par mois.Une expérimentation menée début 2024 dans le Puy-de-Dôme a d’ailleurs montré les bénéfices d’une telle approche. Enedis a mobilisé 110 000 foyers volontaires, réduisant temporairement leur puissance de 6 à 3 kilowatts pendant deux heures par jour. Résultat : une baisse de consommation de 20 % pour la majorité des participants, avec seulement 4 000 disjonctions enregistrées. Si des ajustements techniques restent nécessaires, cette initiative pourrait bien inspirer des solutions généralisées à l’avenir. De quoi transformer le compteur Linky en allié des économies énergétiques. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Une révolution dans le secteur minier ? La start-up KoBold Metals vient de lever 537 millions de dollars pour transformer l’exploration des métaux stratégiques grâce au machine learning. Son objectif : analyser d’immenses volumes de données géologiques pour identifier les plus grands gisements de cuivre, nickel et cobalt dans le monde, tout en réduisant les risques d’échec. Aujourd’hui, seuls 3 projets miniers sur 1 000 aboutissent. KoBold Metals s’appuie sur des investisseurs prestigieux comme Andreessen Horowitz, Durable Capital Partners et Breakthrough Energy Ventures, soutenu par Bill Gates et Jeff Bezos. La société prévoit d’exploiter un gigantesque gisement de cuivre en Zambie, une ressource essentielle à l’électrification des transports et à la transition énergétique. Mais l’utilisation de l’IA dans ce secteur n’est pas encore généralisée. Les obstacles sont nombreux : équipes qualifiées rares, coûts élevés et besoin de données propres et fiables. Pourtant, KoBold prouve que cette technologie peut métamorphoser l’industrie. Ses algorithmes permettent de détecter rapidement les anomalies, d’optimiser la maintenance des équipements, de limiter les pannes et de réduire le gaspillage énergétique.Les avantages ne s’arrêtent pas là. En rendant l’extraction plus précise et plus sûre, l’IA pourrait faciliter l’émergence de mines écoresponsables, essentielles à une industrie minière plus respectueuse de l’environnement. Avec une demande croissante en métaux critiques pour les batteries de véhicules électriques et autres technologies vertes, l’innovation devient stratégique. KoBold Metals ouvre également la porte à une nouvelle ère où exploration rime avec automatisation. Les robots et l’IA pourraient bientôt collaborer sur des sites connectés. Loin des clichés sur les chatbots, cette avancée montre que l’IA a le potentiel de redéfinir l’industrie minière en la rendant plus efficace, plus propre et mieux adaptée aux défis climatiques. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Les Jeux Olympiques de Paris 2024 affichent une réduction de leur empreinte carbone de 54,6 % par rapport aux éditions précédentes, selon les chiffres dévoilés ce mercredi 11 décembre. Une annonce saluée par Georgina Grenon, directrice de l’excellence environnementale des JO, qui souligne un effort collectif "jusqu’à la dernière minute". Avec un bilan carbone estimé à 1,59 million de tonnes équivalent CO2 (teqCO2), Paris 2024 atteint presque son objectif de 1,58 million teqCO2, tout en divisant par deux l’empreinte moyenne des Jeux de Londres 2012 et Rio 2016, qui s’élevait à 3,5 millions teqCO2.La stratégie ? Miser sur l’existant. Pas moins de 95 % des infrastructures utilisées étaient déjà présentes ou temporaires, à l’opposé de la Coupe du Monde 2022 au Qatar, critiquée pour son empreinte écologique. De plus, des choix techniques ont permis de réduire les émissions liées aux opérations des Jeux (hébergement, restauration, énergie) à seulement 18 % du total, contre un tiers initialement prévu. Cependant, les déplacements ont pesé plus lourd que prévu dans le bilan carbone, représentant 53 % des émissions. La raison ? Des records de fréquentation, avec un afflux de spectateurs extra-européens, notamment Américains et Brésiliens, venus en avion.Pour compenser ces émissions, les organisateurs ont financé des projets de séquestration et d’énergies renouvelables, notamment en Afrique et en Asie. Sur le front des plastiques, Paris 2024 a tenu son pari : une réduction de 52 % des plastiques à usage unique dans la restauration par rapport à Londres 2012. Mais tout n’est pas sans controverse. L’ONG France Nature Environnement a porté plainte contre Coca-Cola, sponsor des Jeux, pour "tromperie écologique" autour de promesses de "zéro déchet". Une affaire qui rappelle que la vigilance reste de mise, même dans une édition résolument tournée vers la durabilité. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
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United States
bonjour, vos podcasts semblent tous saturés !!!
est il possible de se passer des cette phrase aussi systématique qu'intitule : "c'est ce que je vous propose de ville dans cet épisode" ?! ça me tapé sur les nerfs, surtout quand on en écoute plusieurs d'affilée. tant qu'à février ce qui ne va pas, je trouverais plus agréable de ne pas crier dans le micro et exprimer les faits comme s'ils allaient tous changer le monde. c'est plutôt oppressant. Merci de faire cet effort svp.
erreur d'épisode
quelle bouffonnerie, ça c'est bien du Green washing puisque les ces carburants détruisent des espaces de culture comme jamais. voir le matos au Mexique etc. Privez nous de ce type d'info intitule svp.
vous actualités son certes sympathiques, mais il me semble que vous exprimez un engouement bien excessif à l'égard de simples découvertes dans applications approuvées. Un peu de retenue dans le ton sûr-motivé me semblerait plus judicieux et plus agréable. merci.
Très bon comme d'habitude !!!
Merci d'ajouter le lien dans la description svp.