Pour sa rentrée, Cinéphiles de notre temps vous apporte sur un plateau un entretien avec l’ours d’argent 2025 Lucile Hadzihalilovic !A l’occasion de sa rétrospective à la Cinémathèque Française mais aussi de la sortie de son nouveau film La tour de glace, nous avons eu la chance de nous entretenir avec cette cinéaste rare à l’univers vénéneux.Inspirée par la noirceur et la tendresse des contes, notre invitée nous a emmené dans sa cinéphilie, de L’esprit de la ruche à la nuit du Chasseur. Adepte des énigmes et autres labyrinthes elle nous emmène également à Marienbad ou dans la jungle de Tropical Malady.Dans cet entretien, il est aussi question de sons, de possessions et d’eaux d’artifice mais pour ça, il faut s’y abandonner. Nous remercions notre invitée Lucile Hadzihalilovic ainsi que Juliette Armentier, Melanie Haoun et Xavier Jamet de la Cinémathèque mais aussi Elodie Imbeau et Pierre Senechal sans qui cet entretien n’aurait pu se faire. Inscrivez-vous à la newsletter en cliquant sur ce lien : Pour nous soutenir, rendez-vous [sur notre Patreon](https://www.patreon.com/cinephilesdnt] Bonne écoute et bonne rentrée ! I. Si j’étais - 5'02 Un enfant : Ana dans L'esprit de la ruche (V. Erice, 1973) - 5'02 Une réplique : la dernière phrase de HAL dans 2001 L'Odyssée de l'espace (S. Kubrick, 1968) - 8’17 Un son du corps humain : ceux de la fille possédée dans L'Exorciste (W. Friedkin, 1973) - 12'18 II. Le cinéma dans tous ses états - 16'19 Un film dans lequel Lucile se sent immergée : Eaux d'artifice (K. Anger, 1953) - 16'19 Des films dont Lucile ne se souvient que par fragments - 22'02 Un film de transe : Valérie ou la semaine des merveillex (J. Jires, 1970) - 28'07 CARTE BLANCHE - 32’07Tropical Malady (A. Weerasethakul, 2004) III. Cinéma & Transmission - 38'20 Un film à montrer aux adolescents : The Walkabout (N. Roeg, 1971) Un conte de cinéma ayant construit le regard de Lucile : La nuit du chasseur (C. Laughton, 1955) REFUGESLes chaussons rouges (M. Powell E. Pressburger, 1948) EXTRAITS 2001 L'odyssée de l'espace © 1968 Warner Bros picture France Tropical Malady © 2004 Ad Vitam La nuit du chasseur, Carlotta Films Archive radiophonique : Extrait de l’émission “Ciné Club”, sur France Culture, en décembre 1998 avec Dario Argento CRÉDITSMusique : Gabriel RénierGraphisme : Lucie AlvadoCréation & Animation, Réalisation : Phane Montet & Clément CoucoureuxMerci à Julien Crauet pour son aide au mix
L’été est bien entamé et avant de partir en vacances, nous vous livrons un épisode à écouter collé à votre ventilateur.Dans le cadre de sa carte blanche de juin « Parlons cinéma » à la Cinémathèque Française, nous avons eu la joie de discuter longuement avec la scénariste Maud Ameline. Cinéphile couchant les films sur papier en collaboration avec divers cinéastes (Mikhaël Hers, Noémie Lvovsky), Maud Ameline raconte les films qui l’accompagnent depuis presque toujours, les narrant comme une conteuse ou tout simplement une scénariste.En cette période estivale, elle nous propose donc de réviser nos classiques pendant les vacances, de Manhattan à Persona et nous emmène nous rafraîchir à Venise en hiver avec le sublime Ne vous retournez pas de Nicolas Roeg.Comme c’est l’été nous avons aussi parlé de films musicaux et plus particulièrement d’une scène qui fend le coeur de notre invitée dans Les parapluies de Cherbourg. Il y a eu d’autres souvenirs émus de spectatrice. Mais pour ça, il faut tout écouter !Nous remercions notre invitée Maud Ameline ainsi que Melanie Haoun et Xavier Jamet de la Cinémathèque mais aussi Elodie Imbeau et Pierre Senechal sans qui cet entretien n’aurait pu se faire.Inscrivez-vous à la newsletter en cliquant sur ce lien : https://forms.gle/HgDMoaPyLd6kxCS48 Pour nous soutenir, rendez-vous sur https://www.patreon.com/cinephilesdnt Bonne écoute et bel été ! I. Si j’étais - 3’21 Un dialogue au cinéma : le monologue de fin dans Manhattan (W. Allen, 1979) - 3’21 Une famille au cinéma : la famille Ekdahl dans Fanny et Alexandre (I. Bergman, 1982) - 9’17 Un personnage secondaire : Le couple formé par Lisette (jouée par Paulette Dubost) et Marceau (joué par Julien Carette) dans La Règle du jeu (J. Renoir, 1939 - 14’48 II. Le cinéma dans tous ses états - 19’38 Un scénario resté mystérieux aux yeux de Maud Ameline : Ne vous retournez pas (N. Roeg, 1974) - 19’38 Un duo scénariste - cinéaste admiré par Maud Ameline : Eskil Vogt - Joachim Trier - 27’06 Le film qui a confronté Maud Ameline à une violente intimité : Persona (I. Bergman, 1966) - 31’12 Le scénario que Maud Ameline aurait aimé rêver : Mirages de la vie (D. Sirk, 1959) - 37’22 CARTE BLANCHE - 44’07Les parapluies de Cherbourg (J. Demy, 1964) III. Cinéma & Transmission - 51’03Un film à montrer aux générations passées : Annette (L. Carax, 2020) REFUGESWoody Allen et Hayao Miyazaki CREDITS Manhattan © 1979 United Artists. Distribution France : Artistes Associés / CIC / UIP. Tous droits réservés. La règle du jeu © 1939 Nouvelle Édition Française. DVD : Éditions Montparnasse / MGM Home Entertainment. Tous droits réservés. Love Scene (OST Ne vous retournez pas) © 1973 Pino Donaggio. Distribution France : Silva Screen Records. Tous droits réservés. Mirages de la vie © 1959 Universal Pictures. Distribution France : Universal. Tous droits réservés. Les Parapluies de Cherbourg © 1964 Parc Film / Madeleine Films / Beta Film. Distribution France : Ciné‑Tamaris. Tous droits réservés. CRÉDITSMusique : Gabriel RénierGraphisme : Lucie AlvadoCréation & Animation : Phane Montet & Clément Coucoureux
La tempête cannoise est à peu près passée, les beaux jours sont à peu près là. Nous profitons donc de cette accalmie pour vous proposer un heure en compagnie de la reine Bonnie Banane ! Chanteuse cinéphile apparue plusieurs fois devant la caméra (chez Bonello et Mandico pour des films, chez Mati Diop ou William Laboury pour des clips), musicienne nourrie par le cinéma, elle nous parle de sa passion pour Prince devant la caméra (Purple Rain) ou dans la BO d’un Spike Lee oublié (Girl 6) mais également de sa voix de cinéma préférée, celle de Jean Negroni dans La Jetée (Chris Marker). Femme de scène, elle nous parle de son costume de cinéma préféré mais également de son besoin de rester spectatrice, puis revient sur ce qu’elle fait du regard des metteurs en scène masculins aujourd’hui. En point d’orgue, elle convoque Anouk Grinberg. Puis elle nous remmène dans la salle de cinéma, refuge ultime en toutes circonstances. Évidemment, au détour de la conversation, Bonnie nous a cité une poignée d’autres pépites. Mais pour les découvrir, il faut écouter ! Nous remercions notre invitée Bonnie Banane ainsi qu'Elodie Imbeau et Pierre Senechal sans qui cet entretien n’aurait pu se faire.Nous remercions enfin Hugo Cohen qui par son mix, nous a permis de rendre les pistes à nouveau audibles ! Inscrivez-vous à la newsletter en cliquant sur ce lien : https://forms.gle/HgDMoaPyLd6kxCS48 Pour nous soutenir, rendez-vous sur https://www.patreon.com/cinephilesdnt I. PORTRAIT - 3’24 Un costume de cinéma : La bête dans La belle et la bête (J. Cocteau, 1946) Des prostituées au cinéma : le personnage d’Anouk Grinberg dans Mon Homme (B. Blier, 1996) et Girl 6 (S. Lee, 1996) Une voix au cinéma : la voix de Jean Négroni dans La Jetée (Chris Marker, 1962) LE CINEMA DANS TOUS SES ETATS - 21’59 Des films pour se détourner de la tristesse et de l’angoisse mondiales : Woman on top (Fina Torres, 2000) et Matilda (Danny DeVito, 1997) Un film dans lequel Bonnie aimerait évoluer avec autant de fluidité que dans un jeu : La petite sirène (R. Clements, J. Musker, 1990) CARTE BLANCHE - 33’23Sombre (P. Grandrieux, 1998) CINEMA & TRANSMISSION - 40’18 Un film sexy à transmettre aux jeunes générations : Purple Rain (A. Magnoli, 1985) pour ce que dégage Prince à l’écran - 40’18 Un film à envoyer sur une autre planète : Koyaanisqatsi (G. Reggio, 1983) - 45’41 REFUGE - 49’17 Birth (J. Glazer, 2004) La salle de cinéma EXRTAITS La Jetée, Chris Marker, 1962, Argos Films Just the Two of Us – Interprétée par Bill Withers et Grover Washington Jr.Écrite par Bill Withers, Ralph MacDonald et William Salter℗ 1981 Elektra Records / Warner Music Group Purple Rain – Interprétée par Prince and the RevolutionÉcrite et composée par Prince℗ 1984 Warner Bros. RecordsTous droits réservés aux ayants droit Prologue (Birth) · Alexandre DesplatBirth (Original Score)℗ 2004 Warner Bros. Entertainment Inc. CRÉDITSPatreons : un grand merci à Mahaut, Paul et Clara pour leur soutien !Musique : Gabriel RénierCollaboration au mixage : Hugo CohenGraphisme : Lucie AlvadoCréation & Animation : Phane Montet & Clément Coucoureux
Pour accompagner le vrai retour du printemps mais aussi pour célébrer sa carte blanche à la Cinémathèque Française dans le cadre du programme “Parlons cinéma”, nous avons eu le bonheur de mener une discussion tambour dansant avec Patric Chiha.Cinéaste dont la cinéphilie est née dans les vieilles salles de cinéma de la capitale Autrichienne, il se remémore quelques découvertes adolescentes fondamentales (Paris is Burning, les films de Derek Jarman) et égraine avec nous ses obsessions de spectateurs et de cinéastes (ce qui est la même chose) : la fête, les costumes, l’attente, l’hybridation entre documentaire et fiction…Alors enfilez vos plus beaux costumes et laissez vous guider de la Sicile de Rossellini (Voyage en Italie) jusqu’aux confins de la Russie (D’est) avant de rentrer à la maison (Simone Barbès ou la vertu) Nous remercions notre invité Patric Chiha ainsi que Melanie Haoun et Xavier Jamet de la Cinémathèque mais aussi Elodie Imbeau et Pierre Senechal sans qui cet entretien n’aurait pu se faire. Inscrivez-vous à la newsletter en cliquant sur ce lien : https://forms.gle/HgDMoaPyLd6kxCS48 Pour nous soutenir, rendez-vous sur https://www.patreon.com/cinephilesdnt I. PORTRAIT - 4’49 Un corps au cinéma : celui d’Ingrid Bergman dans Voyage en Italie (R. Rossellini, 1954) - 4’49 Des costumes au cinéma : les tenues dans Paris is Burning (J. Livingston, 1990) - 7’24 Un décor ou une lumière au cinéma : Edward II et Blue (Derek Jarman) - 12’44 II. LE CINEMA DANS TOUS SES ETATS - 18’51 Une film à voir la nuit : Sleep (Andy Warhol, 1963) Un film de transe : Passage à l’acte (Martin Arnold, 1993) Un film pour apprendre à attendre - Où est la maison de mon ami (A. Kiarostami, 1987) - 26’44 Un film pour rentrer à la maison - Simone Barbès ou la vertu (M-C Treilhou, 1980) - 30’26 CARTE BLANCHE - 35’36D’Est (Chantal Akerman, 1993) CINEMA & TRANSMISSION - 42’57 Un film pour penser l’amour et la solitude : France (B. Dumont, 2021) Un film pour penser l'hybridation documentaire-fiction : Tous les autres s’appellent Ali (R.W Fassbinder, 1974) - 48’09 REFUGELe rayon vert (E. Rohmer, 1986)Pink Flamingos (J. Waters, 1972) EXTRAITS Extrait de "Deep in Vogue (12'' Video Version)" interprété par Malcolm McLaren & The Bootzilla Orchestra, © 1989 Epic Records, tous droits réservés. Extrait audio tiré de "D'est" (1993), un film de Chantal Akerman. © Chantal Akerman Foundation. Tous droits réservés. CRÉDITSPatreons : un grand merci à Mahaut, Paul et Clara pour leur soutien !Musique : Gabriel RénierGraphisme : Lucie AlvadoCréation & Animation : Phane Montet & Clément Coucoureux
Comme tout le monde, la mort de Lynch en ce sordide mois de janvier, alors que brûlait Los Angeles, nous a bouleversés.Mais après avoir re-revu Twin Peaks, après avoir lu plusieurs fois d’affilée l’hommage de Kyle Maclachlan à son ami, après avoir partagé comme tout le monde pléthore d’articles et d’images, et après avoir jalousé une dernière fois les cheveux du bonhomme, nous nous somme dits que nous aussi on pouvait faire quelque chose.En plus de cinq ans, pas mal d’invité•es os sont venus nous raconter leur Lynch (on a tous un Lynch intime et des raisons différentes de l’aimer). On a donc décidé d’entrelacer ces témoignages pour dresser le portrait de cet invité rêvé. Nous remercions nos invités Caroline Champetier, Bertrand Bonello, Helio Pu, Matthieu Macheret, Para One, Pacôme Thiellement, Elodie Imbeau et Rodolphe Cobetto Caravannes pour leurs hommages habités ! L’épisode est dispo au lien en bio et sur toutes les plateformes. Et n’oubliez pas, everyday once a day, give yourself a present ☕️ Inscrivez-vous à la newsletter en cliquant sur ce lien : https://forms.gle/HgDMoaPyLd6kxCS48 Pour nous soutenir, rendez-vous sur https://www.patreon.com/cinephilesdnt Extraits Twin Peaks : The red room ambiance - Twin Peaks Sounds - YouTube Angelo Badalamenti explains how he wrote Laura Palmer's Theme - YouTube Twin Peaks © 1990 Lynch/Frost Productions, distribuée par CBS Television Distribution. Tous droits réservés. Twin Peaks: The Return © 2017 Showtime Networks Inc., Lynch/Frost Productions et Rancho Rosa Partnership. Tous droits réservés. Lynch, D. (Réalisateur). (2006). Inland Empire [Film]. Absurda, StudioCanal. Sinnerman © 1965 Philips Records. Interprété par Nina Simone. Tous droits réservés aux ayants droit. I've Told Every Little Star © 1961 Canadian-American Records. Linda Scott Tous droits réservés aux ayants droit.
Pour accompagner le passage à l’heure d’hiver mais aussi pour célébrer sa carte blanche à la Cinémathèque Française, nous avons eu la joie d’accueillir Nine Antico. Elle fait des BD parfois inspirées par le cinéma, elle illustre parfois pour le cinéma (tout le coffret Rohmer de Potemkine c’est elle), et parfois elle fait des films aussi, tout simplement, comme le très rock Playlist avec Sarah Forestier, Laetitia Dosch et une très belle…playlist !Ensemble nous avons parlé de ses premiers émois cinéphiles à chercher du côté de chez Kazan (Un tramway nommé désir, La fièvre dans le sang), des films de son père (des comédies italiennes comme Le Fanfaron) et de quelques films generationnels délicieusement 90s : Buffalo 66 et le très chouette Génération 90 réalisé par Ben Stiller.Elle nous a raconté comment elle avait concocté sa programmation pour la cinémathèque.Ah et on a aussi parlé musique au cinéma ! Nous remercions notre invitée Nine Antico ainsi que Melanie Haoun et Xavier Jamet de la Cinémathèque mais aussi Elodie Imbeau et Pierre Senechal sans qui cet entretien n’aurait pu se faire. Inscrivez-vous à la newsletter en cliquant sur ce lien : https://forms.gle/HgDMoaPyLd6kxCS48 Pour nous soutenir, rendez-vous sur https://www.patreon.com/cinephilesdnt I. PORTRAIT - 3’06 Un duo au cinéma ? - Thelma & Louise (Ridley Scott, 1991) - 3’06 Une voiture au cinéma ? - La Lancia Aurelia B24 du Fanfaron (Dino Risi, 1962) - 6’36 Un hors-champ/quelque chose de caché au cinéma ? - La sœur, toujours enfermée dans la salle de bain, dans La main de dieu (P. Sorrentino, 2021) - 9’35 II. LE CINÉMA DANS TOUS SES ETATS - 11’38 Nine Antico sur sa carte blanche pour la Cinémathèque Française - 11’38 Des BO galvanisantes : la musique des films de Scorsese - 19’52 Une BD à adapter au cinéma : Love and Rockets (Los bros Hernandez) - 23’33 Le souvenir d’une scène de sexe gênante, drôle mais touchante : Greenberg (N. Baumbach, 2010) - 32’20 CARTE BLANCHE - 36’05La fièvre dans le sang (E. Kazan, 1961) III. CINEMA & TRANSMISSION - 44’34 Le rapport de Nine Antico aux objets de cinéma : VHS, photo, DVD… - 44'34 Les photos découpées des VHS dans la chambre d’ados de Nine Antico - 47’34 REFUGE - 48’37 Génération 90 (Ben Stiller, 1994) BONUS - 55’38La petite maison dans la prairie (1974-1983) EXTRAITS FILMS La fièvre dans le sang - Elia Kazan - Warner Bros Le Fanfaron - Dino Risi - Solaris Distribution Génération 90 - Ben Stiller EXTRAITS MUSICAUX Stayin alive - Bee Gees - RSO Records, actuellement sous licence Universal Music Group Don't let me be misunderstood - Santa Esmeralda - Columbia My Sharona - The Knack - Capitol Records CRÉDITSPatreons : un grand merci à Mahaut, Paul et Clara pour leur soutien !Musique : Gabriel RénierGraphisme : Lucie AlvadoCréation & Animation : Phane Montet & Clément Coucoureux
Pour clôturer cette belle saison de podcasts, nous vous proposons quelqu’un qui était présent pour nos 5 ans, sur l’écran et sur la scène du Grand Action : le cinéaste, monteur, affichiste…William Laboury.Dans ses propres films ou pour d’autres, à travers les génériques, les bandes annonces ou les affiches qu’il crée, notre invité aime jouer avec les matières analogiques ou numériques, le grain et le pixel, allant jusqu’à puiser dans cette grande mémoire mondiale qu’est internet.Avide d’expériences plastiques fortes, notre invité a également le goût des idées et des concepts. Ainsi, il nous emmène dans la matrice des sœurs Wachowski, découverte à l’adolescence et aux quatre coins du monde avec le presque jeune Sir Attenborough proposant déjà dans les années 70 de sidérants documentaires scientifiques. Il raconte son goût pour les effets spéciaux liquides comme ceux de James Cameron et rend hommage au Chris Marker joueur de Level Five. Pour l'été, plongez dans le cinéphilie fluide de William Laboury. Allez au cinéma, puis sortez la tête de vos écrans pour regarder la nature (c’est lui qui le dit aussi) ! Bonne écoute, bel été ! Nous remercions notre invité William Laboury ainsi qu’Élodie Imbeau et Pierre Sénéchal sans qui cet entretien n’aurait pu se faire. Inscrivez-vous à la newsletter en cliquant sur ce lien : https://forms.gle/HgDMoaPyLd6kxCS48 Pour nous soutenir, rendez-vous sur https://www.patreon.com/cinephilesdnt I. PORTRAIT - 3’51 - 19’19 Un frère/une soeur au cinéma : Soy Libre (Laure Portier, 2021) - 3’51 Une couleur : le vert de Matrix (Lana & Lilly Wachowski, 1999) - 8’25 Une entité virtuelle : le pseudopod dans The Abyss (James Cameron, 1989) - 15’53 II. CONDITIONS DE VISIONNAGE, MÉMOIRE & SOMMEIL - 19’19 - 39’09 Un film dont le souvenir s’effrite : Kairo (K. Kurosawa, 2001) - 19’19 Un film qui a nourri le goût de William Laboury pour “les images internet” : Level Five (Chris Marker, 1997) - 25’02 Le rapport de William Laboury à la matière et à la texture des images (numérique, analogique…) - 30’48 CARTE BLANCHE - 39’04Room (Lenny Abrahamson, 2015) CINEMA & TRANSMISSION - 46’47Un film à envoyer dans l’espace : Life on earth , S01 ep 13 (Sir David Attenborough, 1979) REFUGE - 55’44The Mask (Chuck Russell, 1994) EXTRAITS FILMSThe Matrix Reloaded trailer - Lana & Lilly Wachowski - Warner BrosLevel Five - Chris Marker - Tamasa DistributionLife On Earth, S01 ep 13 : The Compulsive Communicators - David Attenborough, BBCThe Mask - Chuck Russell - Pathé Distribution EXTRAITS MUSICAUXThis will destroy you - The mighty Rio Grande - ℗ 2008 Dark Operative Publishing CRÉDITSPatreons : un grand merci à Mahaut, Paul et Clara pour leur soutien !Musique : Gabriel RénierGraphisme : Lucie AlvadoCréation & Animation : Phane Montet & Clément Coucoureux
En ce début d'été ombrageux, nous vous proposons de faire une pause au gré de la cinéphilie d’Hélène Frappat.Écrivaine-enquêtrice, notre invitée jongle avec la fiction et la philosophie - et le cinéma est l’une des matières premières de son travail. On lui doit récemment l’essai Le gaslighting ou l'art de faire taire les femmes à partir d’un film de Cukor et Trois femmes disparaissent, belle enquête élégiaque autour de la lignée d’actrices Tippi Hedren-Melanie Griffith-Dakota Johnson. Mieux qu’une simple interview, nous vous proposons de remonter le temps au gré des réponses de notre invitée. Car pour elle, tous les films sont liés et, entrelacés ensemble, ils forment le tissu de sa mémoire, allant jusqu’à faire remonter des souvenirs bien enfouis, à l’instar de l’horloge à l’envers de Twixt (F. Coppola)N’ayez crainte et laissez-vous porter par notre invitée, du soleil Sicilien du Parrain à la pluie du film noir Follow me quietly (R. Fleischer). Vous y croiserez aussi la poésie de Tarkovski et la pugnacité d’Erin Brockovich (S. Soderbergh). Et qui sait, vous vous souviendrez peut-être de quelque chose en cours d’écoute ? Nous remercions notre invitée Hélène Frappat ainsi qu’Elodie Imbeau et Pierre Sénechal sans qui cet entretien n’aurait pu se faire. Inscrivez-vous à la newsletter en cliquant sur ce lien : https://forms.gle/HgDMoaPyLd6kxCS48 Pour nous soutenir, rendez-vous sur https://www.patreon.com/cinephilesdnt I.PORTRAIT 3’29 Une mère au cinéma : Erin Brockovich (S.Soderbergh, 2000) Une langue au cinéma : le russe que parle l’actrice blonde au début du Miroir (A. Tarkovski, 1975) - 5’54 Une détective au cinéma : la jeune journaliste dans Follow Me Quietly (R. Fleischer, 1949) - 12’14 II. CONDITIONS DE VISIONNAGE, MEMOIRE ET SOMMEIL - 18’22 Des films qu’Hélène Frappat a voulu fuir : ceux de Lars Von Trier - 18’22 Un film comme une séance d’hypnose : Le Parrain (F. Coppola, 1972) - 23’5 Un film qui a levé l’amnésie d’enfance d’Hélène Frappat : Twixt (F. Coppola, 2011) - 31'24 Un texte critique qui a changé la cinéphilie d’Hélène Frappat : ceux de Serge Daney sur l'enfance et Les Contrebandiers de Moonfleet - 40'23 III. CINEMA & TRANSMISSION - 48’38Le cinéma comme “affaire de point de vue” (male/female/queer gaze…) : Showgirls (P. Verhoeven, 1995) REFUGES - 54’07Tout film aimé par Hélène Frappat dès le générique EXTRAITS FILMSLe miroir - A. Tarkovski - 1975 - Potemkine FilmsCéline et Julie vont en bateau - J. Rivette - 1974 - Potemkine Films EXTRAITS MUSICAUXRichard Wagner - Tristan und Isolde, Prélude - Cond : W. Furtwangler - ℗ A Warner Classics release, ℗ 1953 Parlophone Records Limited. Remastered 2021 Parlophone Records LimitedNino Rota, Gofather Waltz (from The Godfather) - SONY ATV HARMONY, SONY MUSIC PUBLISHING (FRANCE) CRÉDITSPatreons : un grand merci à Mahaut, Paul et Clara pour leur soutien !Musique : Gabriel RénierGraphisme : Lucie AlvadoCréation & Animation : Phane Montet & Clément Coucoureux
Alors que les beaux jours revenaient, au début du mois d’avril, notre émission fêtait ses 5 ans. Au même moment, Messina Film structure produisant et diffusant des courts métrages nous invitait à programmer des films au Grand Action dans sa programmation Merci le court. L’occasion était trop belle ! Nous avons alors choisi 3 films liés à notre émission :It was on earth that I knew joy, réalisé par Jean-Baptiste de Laugier aka Para One et produit par sixpack France.Hotaru réalisé par William Laboury et produit par La Fémis.Every Heaven in between réalisé par Helio Pu et produit par La Fémis. Puis nous avons invité leurs auteurs à en parler sur scène. Ensemble nous avons parlé de mémoires, de format de cinéma, de vapor wave, et de bien d’autres choses encore… Cet épisode est le souvenir de ce beau moment ✨ Un grand merci à Adrio Guarino de Messina Films pour l'organisation de la séance et au cinéma le Grand Action pour l'accueil. Pour l'occasion, vous pouvez retrouver gratuitement les 3 films aux liens ci-dessous : It was on earth that I knew joy Hotaru Every Heaven in Between Inscrivez-vous à la newsletter en cliquant sur ce lien : https://forms.gle/HgDMoaPyLd6kxCS48 Pour nous soutenir, rendez-vous sur https://www.patreon.com/cinephilesdnt EXTRAITS FILMS It was on earth that I knew joy - JB de Laubier - 2009 - Sixpack France Hotaru - W. Laboury - 2015 - La Fémis Every heaven in between - Helio Pu - 2022 - La Fémis CRÉDITSPatreons : un grand merci à Mahaut, Inès, Paul, Bernard et Clara pour leur soutien !Musique : Gabriel RénierIllustration : Phoebe Eddleston (Bureau for everyday exploration)Graphisme : Lucie AlvadoCréation & Animation : Phane Montet & Clément Coucoureux
Dans ce nouveau format, nous sortons de notre petit studio sous terre pour nous enfermer dans les salles obscures ! Puis en sortant de la salle, nous en discutons au grand jour, en pleine rue, dans un parc ou un café… Pour apporter un peu de recul critique nous mêlons nos subjectivités à une petite revue de presse sur le film. Pour ce premier épisode nous nous sommes laissés aguichés par l’aura “chic et cool” entourant The Sweet East et le bouche à oreille favorable dont jouit le film de Sean Price Williams depuis Cannes 2023.Avec néanmoins quelques questions en tête : est-ce le film indépendant américain que nous n’attendions plus ? Est-ce un film de poseur ? Ayo Ederibi est-elle notre nouveau crush ? Le film est encore un peu à l’affiche ! Bon ciné, bonne écoute ! Inscrivez-vous à la newsletter en cliquant sur ce lien : https://forms.gle/HgDMoaPyLd6kxCS48 Pour nous soutenir, rendez-vous sur https://www.patreon.com/cinephilesdnt Extraits Sean Price Williams, réalisateur de «The Sweet East», et Talia Ryder : «On adore la nature expérimentale des Etats-Unis», Libération, Olivier Lamm, Mars 24 Qui est Talia Ryder, jeune actrice qui porte le film « The Sweet East » ?, Elle, Anouk Sarfati, Mars 24 “The Sweet East”, ou l’art de manier l’humour, Jacky Goldberg, Les Inrockuptibles, Mai 23 Trailer The Sweet East, Potemkine Film CRÉDITSCréation; Animation; production; montage; mixage : Phane Montet & Clément CoucoureuxAvec les voix de : Phoebe Eddleston et Paul RobeinMusique : Gabriel RénierGraphisme : Lucie AlvadoPatreons : un grand merci à Paul, Bernard, Clara, Inès et Mahaut pour leur soutien !
Pour finir l’hiver et nous préparer au printemps, Gabrielle Stemmer nous fait l’honneur d’être notre invitée. Elle monte des films (Coma de B. Bonello, Tout le monde aime Jeanne de Céline Devaux), des clips (ceux de Flavien Berger notamment) et des séries (Split d’Iris Brey). Elle met aussi sa science du montage au service de ses propres films (Clean with me after dark, Femmes sous algorithmes), réalisés à partir d’image des autres, souvent glanées sur internet. Attentive aux images les plus contemporaines, elle nous parle de son goût pour l’hybridation (Reality de T. Satter) et les films la confrontant au malaise (Eût-elle été criminelle de J-G. Périot). Artiste interrogeant le quotidien et le domestique, elle nous parle de l’empreinte durable laissée par le Jeanne Dielman de Chantal Akerman. Puis elle nous emmène dans ses films refuges, ceux dans lesquelles elle se sent à la maison, qu’il s’agisse des classiques hollywoodien des années 40-50 ou de l’entêtant On connaît la chanson d’Alain Resnais. Inscrivez-vous à la newsletter en cliquant sur ce lien : https://forms.gle/HgDMoaPyLd6kxCS48 Pour nous soutenir, rendez-vous sur https://www.patreon.com/cinephilesdnt PORTRAIT - 3’08 Un geste de cinéma ? La coupe ! - 3’11 Une chambre au cinéma ? La room 237 de Shining (S. Kubrick, 1980) - 6’31 Une scène de danse au cinéma ? Le spectacle de marionnettes de La Double vie de Véronique (K. Kieslowski, 1991) - 10’12 CONDITIONS DE VISIONAGE, MÉMOIRE & SOMMEIL - 17'56 Le rapport de Gabrielle Stemmer aux différents régimes d’images (internet…) et Reality (T. Satter, 2023) - 17'56 Un film vécu à la première personne par Gabrielle Stemmer : Jeanne Dielman, 23, quai du Commerce, 1080 Bruxelles (C. Akerman, 1975) - 24’09 Un film pour réfléchir au malaise (cringe) : Eût-elle été criminelle (J-G. Périot, 2006) - 30’07 Une série pour rester eveillé·e la nuit : Grey’s Anatomy (S. Rimes, 2005) - 35’29 Un (auto)portrait de femmes au cinéma : Notre corps (C. Simon, 2023) - 39’20 CARTE BLANCHE - 43’52La nuit du chasseur (C. Laughton, 1955) REFUGES - 52’13Les classiques hollywoodiens des 40s-50s BONUS : FILM-MAISON - 55’06On connaît la chanson (A. Resnais, 1997) EXTRAITS FILMSThe Shining - S. Kubrick - 1980 - Warner Bros TransatlanticEût-elle été criminelle - J-G Périot - 2006 - Envie de tempête productionLa nuit du chasseur - C. Laughton - 1955 - Carlotta Films EXTRAITS MUSICAUXZbigniew Preisner - Les Marionnettes (from La double vie de Véronique OST) - Preisner productionsZbigniew Preisner - Van den Budenmayer Concerto in mi mineur (SBI 152) Version de 1798 (from La double vie de Véronique OST) - Preisner productionsPsapp - Cosy in the rocket (Grey's anatomy OST) CRÉDITSPatreons : un grand merci à Paul, Bernard, Clara et Inès pour leur soutien !Musique : Gabriel RénierGraphisme : Lucie AlvadoCréation & Animation : Phane Montet & Clément Coucoureux
Pour commencer notre année de podcasts en beauté, c’est Bertrand Bonello qui ouvre le bal. Alors que sa “Bête” a été lâchée dans les salles il y a quelques semaines, nous nous associons à la Cinémathèque française qui consacre une rétrospective totale au cinéaste du 28 février au 8 mars prochain.Bertrand Bonello fait des films, courts et longs, depuis plus d’une vingtaine d'années. Des films nocturnes, des films peuplés de fêtes mélancoliques et de beaux solitaires.Cinéaste autodidacte, il revisite les classiques qui l’ont nourri, de la Dolce Vita à Vertigo en passant par l'œuvre à laquelle il vient sans cesse se ressourcer et qu’il aime sans réserves : La trilogie du Parrain. Soucieux de la jeunesse, il raconte également l’importance de montrer ces films à la génération de sa fille.Précis lorsqu’il s’agit de partager les films qu’il aime, il nous a raconté bien d’autres choses, que vous pourrez découvrir dans notre nouvel épisode ! Inscrivez-vous à la newsletter en cliquant sur ce lien : https://forms.gle/HgDMoaPyLd6kxCS48 Pour nous soutenir, rendez-vous sur https://www.patreon.com/cinephilesdnt 1. PORTRAIT - 3’56 Une fête au cinéma : La dolce Vita (F. Fellini, 1960) - 3’56 Une lettre au cinéma : La maman et la putain (J. Eustache, 1973) - 8’05 Une bête/un monstre au cinéma : Twin Peaks fire Walk with me (D. Lynch, 1992) - 13’29 2. CONDITIONS DE VISIONAGE, MÉMOIRE & SOMMEIL - 17’35 Le rapport de Bertrand Bonello à la musique de films - 17’35 Le rapport de Bertrand Bonello à la nuit (comme cinéaste et spectateur) - 27’12 Le rapport de Bertrand Bonello au format court - 29’15 CARTE BLANCHE - 36’42La fin du Parrain 1 (F. Coppola, 1972) 3. CINEMA & TRANSMISSION - 41’20Transmettre des “classiques” aux générations futures - 41’20 REFUGE - 46’46La trilogie Le Parrain (F. Coppola, 1972-1990) EXTRAITS MUSICAUXNino Rota, La Dolce Vita, 1960 - C A M CREAZIONI ARTISTICHE M LI S R L, NORD SUD EDIZIONI MUSICALIAngelo Badalamenti, Laura Palmer's Theme (from Twin Peaks) - 1990 Warner Records Inc.Nino Rota, Godfather Waltz (from The Godfather) - SONY ATV HARMONY, SONY MUSIC PUBLISHING (FRANCE)Nino Rota, Godfather Finale (from The Godfather) - SONY ATV HARMONY, SONY MUSIC PUBLISHING (FRANCE) EXTRAITS FILMS/VIDÉOSAngelo Badalamenti explains how he wrote Laura Palmer's theme, Youtube CRÉDITSMerci à Elodie Imbeau, Pierre Sénécal, Xavier Jamet et Mélanie Haoun d'avoir rendu cet épisode possible.Patreons : un grand merci à Paul, Bernard et Clara pour leur soutien !Musique : Gabriel RénierGraphisme : Lucie AlvadoCréation & Animation : Phane Montet & Clément Coucoureux
Pour finir l’année en beauté, nous vous proposons l’une des plus belles moustaches intermittentes du cinéma français de ces dernières années : Christophe Paou !Il est comédien sur les planches et pour les caméras. Il est connu pour son rôle sulfureux dans L’inconnu du lac d’Alain Guiraudie, et ces vingt dernières années, il a aussi joué pour quelques autres grands aventureux du cinéma français, des Frères Larrieu à Jean-Christophe Meurisse en passant par Lucie Borleteau.A cette occasion, Christophe Paou spectateur éclectique et enthousiaste nous a parlé de quelques comédiens qu’il admire, du moustachu Michel Serrault à Peter Sellers, en passant par le premier “monstre” du cinéma muet, Lon Chaney, acteur fétiche du cinéaste Todd Browning. Engagé, il a convoqué quelques films pour « rester vertical » (Eau Argentée, Rue Case-nègres) et quelques remèdes dans ce monde de brutes, de l’amour torride de « L’eau tiède sous un pont rouge » à l’humour burlesque de The Party. Inscrivez-vous à la newsletter en cliquant sur ce lien : https://forms.gle/HgDMoaPyLd6kxCS48 Pour nous soutenir, rendez-vous sur https://www.patreon.com/cinephilesdnt I. PORTRAIT - 3’29 Une moustache de cinéma : celle intermittente de Michel Serrault - 3’29 Des amours au cinéma : De l’eau tiède sous un pont rouge (Shōhei Imamura, 2001); Elephant Man (D. Lynch, 1980) - 6’37 Des paysages au cinéma : la jungle de Tropical Malady (A. Weerasethakul, 2004); l’Arctique d’Atanarjuat (Zacharias Kunuk, 2001); la ville futuriste de Blade Runner (R. Scott, 1982) - 10’29 CONDITIONS DE VISIONNAGE, MEMOIRE ET SOMMEIL - 15’42 Le plaisir d’être déstabilisé au cinéma selon Christophe Paou : Tamala 2010 (T.O.L, kuno, K., 2002) ; Big Man Japan (Hitoshi Matsumoto, 2007) - 15’59 Souvenirs télévisuels de Christophe Paou : Les mystères de l’Ouest; Les enfants du rock - 20’58 Comment l’esprit de certains comédiens accompagne Christophe : Alberto Sordi dans Une vie difficile (Dino Risi, 1961) - 24’53 Des films à voir en bord de lac : The Host (Bong Joon-ho, 2005); Comme un avion (Bruno Podalydès, 2015) CARTE BLANCHE - 32’27L’inconnu (Todd Browning, 1927) TRANSMISSION - 38’05Des films pour rester vertical : Eau argentée (Wiam Simav Bedirxan, Oussama Mohammad, 2014); Rue Cases-Nègres (Euzhan Palcy, 1983) - 38’05 REFUGES - 49’04The Party (Blake Edwards, 1968); Koyaanisqatsi (Godfrey Reggio, 1982) EXTRAITS Rachel's song, Vangelis (Blade Runner (Music From The Original Soundtrack) ℗ 1994 Warner Music UK Ltd The Wild Wild West TV Intro Une vie difficile (Dino Risi) - Les Acacias Eau Argentée (Wiam Simav Bedirxan, Oussama, Mohammad, 2014) - Meteore Film Nothing To Lose (The Party/Soundtrack Version) · Claudine Longet, Henry Mancini - ℗ 1968 A&M Records Koyaanisqatsi · Philip Glass - ℗ 1983 The Island Def Jam Music Group CRÉDITSMerci à Elodie Imbeau d'avoir rendu cet épisode possible.Patreons : un grand merci à Paul, Corentin, Irène, Dominique, Bernard et Clara pour leur soutien !Musique : Gabriel RénierGraphisme : Lucie AlvadoCréation & Animation : Phane Montet & Clément Coucoureux
Pour commencer cette nouvelle saison, nous accueillons Caroline Champetier, directrice de la photographie connue et reconnue sur les plateaux de tournages (elle a collaboré avec Chantal Akerman, Jean-Luc Godard, Leos Carax, ou encore aujourd’hui avec Wang Bing…) mais aussi dans les laboratoires de restauration de film. C’est notamment grâce à son oeil expert que nous pouvons enfin redécouvrir L’Amour Fou de Jacques Rivette, évènement patrimoine de cette rentrée cinéma rendu possible par les historiques Films du Losange. A cette occasion, Caroline Champetier nous a parlé de technique, certes, mais aussi de lumière, de regard et de la façon dont son plaisir de spectatrice infuse dans son travail. Avec nous, elle évoque entre autres l’oeil acéré de Jane Campion, les noirs de David Lynch, la lumière du directeur de la photographie Vilmos Szigmond et bien sûr, le cinéma de Jacques Rivette. Inscrivez-vous à la newsletter en cliquant sur ce lien : https://forms.gle/HgDMoaPyLd6kxCS48 Pour nous soutenir, rendez-vous sur https://www.patreon.com/cinephilesdnt I. PORTRAIT 6'55 Un regard au cinéma : celui de Jane Campion - 6'55 Une ombre ou un noir au cinéma : les noirs de David Lynch - 11'15 II. CIRCONSTANCES & CONDITIONS DE VISIONNAGE 18'04Le souvenir d’une séance spéciale de Stromboli (R. Rossellini, 1950)L’importance de la météo dans le cinéma de Šarūnas Bartas et particulièrement dans Few of us (1996) - 23'21 III. MEMOIRE & SOMMEIL 27'51 Une révélation qui hante Caroline Champetier : la lumière de Vilmos Szigmond dans Le Privé (R. Altman, 1973) - 27'51 Un film qui a tenu Caroline Champetier éveillée “toute une nuit” : Ludwig ou le crépuscule des Dieux (L Visconti, 1973) - 35'46 IV. CINEMA & TRANSMISSION 39'18La restauration de L’amour fou (J. Rivette, 1967) REFUGE 54'29La porte du Paradis (M. Cimino, 1980) EXTRAITSStromboli (R. Rossellini, 1950), Société parisienne de production / Bac Film DistributionThe Long Goodbye (John Williams, 1973)L'amour Fou (J. Rivette, 1967), Les Films du Losange CRÉDITSMerci à Audrey Grimaud (Agence Valeur Absolue) d'avoir rendu cet épisode possible.Patreons : un grand merci à Paul, Corentin, Irène, Dominique, Bernard et Clara pour leur soutien !Musique : Gabriel RénierGraphisme : Lucie AlvadoCréation & Animation : Phane Montet & Clément Coucoureux
Dans cette pastille exclusive, notre invité, le compositeur Pierre Oberkampf, revient sur la façon dont musique et image s'articulent dans son travail. Pour illustrer son propos il évoque le film d'Agnès Patron L'heure de l'ours dont il a signé la partition et qu'il a même interprété en ciné-concert. Inscrivez-vous à la newsletter en cliquant sur ce lien : https://forms.gle/HgDMoaPyLd6kxCS48 Pour nous soutenir, rendez-vous sur https://www.patreon.com/cinephilesdnt CRÉDITSMusique : Pierre Oberkampf (Extraits de L'heure de l'ours)Graphisme : Lucie AlvadoCréation & Animation : Phane Montet & Clément Coucoureux
Pour ce nouvel épisode, nous accueillons Pierre Oberkampf, compositeur et sound designer très prolifique côté courts métrages. Nous lui devons notamment toute l’identité sonore du césarisé “L’heure de l’ours” d’Agnès Patron. Avec nous, il évoque son rapport aux bandes originales et nous raconte son goût pour les compositions risquées voire improvisées, de celles de Jon Brion pour Gondry et Paul Thomas Anderson à la batterie d’Antonio Sanchez pour le Birdman d'Iñárritu. Il égraine aussi quelques uns de ses courts métrages préférés (Nuvole Mani de l’italien Simone Massi, J’entends ton cri de l’argentin Pablo Lamar). Mais surtout, il nous emmène vers des chemins buissonniers de cinéma où l’enfance est toujours présente avec ce qu’elle comporte de jeux, d’aventures (Mud, Moonrise Kingdom) et de violence (There Will be blood, Morse…) Inscrivez-vous à la newsletter en cliquant sur ce lien : https://forms.gle/HgDMoaPyLd6kxCS48 Pour nous soutenir, rendez-vous sur https://www.patreon.com/cinephilesdnt I. PORTRAIT - 4’44 Des enfants de cinéma : Antoine Doinel dans Les 400 coups (F. Truffaut, 1959); Eli et Oskar dans Morse (T. Alfredson, 2009); Ellis et Neckbone dans Mud (J. Nichols, 2012); Sam et Susie dans Moonrise Kingdom (W. Anderson, 2012) - 4’44 Une atmosphère : celle de Bright Star (J. Campion, 2009) - 9’14 Une violence au cinéma : celle de There Will be blood (P.T Anderson, 2007) II. CIRCONSTANCES & CONDITIONS DE VISIONNAGE - 18’43 Des courts métrages marquants : Nuvole, Mani (S. Massi, 2009); J’entends ton cri (Pablo Lamar, 2010) - 18’43 Des bandes originales pour sauter de son fauteuil : celle de Jon Brion pour Eternal Sunshine of the spotless mind (M. Gondry, 2004); celle d’Antonio Sanchez pour Birdman (A. Iñárritu) - 26’15 III. MEMOIRE & SOMMEIL - 31’52 Un film que Pierre aurait aimé rêver : Eternal Sunshine of the spotless mind (M. Gondry, 2004) CARTE BLANCHE - 36’31 There Will be blood (P.T Anderson, 2007) TRANSMISSION - 45’55 Une bande originale improvisée à faire connaître : celle de Alex Zhang Hungtai pour Godland (H. Palmason, 2022) Un film à transmettre aux adolescents : Two Lovers (J. Gray, 2008) - 49’57 REFUGES - 54’12 Les filmographies d’Aki Kaurismaki et de Wes Anderson EXTRAITSL'heure de l'ours, Pierre OberkampfLes derniers feux, Pt. 1, Pierre OberkampfTheme, Jon Brion (from Eternal Sunshine of the spotless mind), Hollywood records, incTheme from Godland, Alex Zhang Hungtai (Jour2fête) CRÉDITSPatreons : un grand merci à Paul, Corentin, Irène, Dominique, Bernard et Clara pour leur soutien !Musique : Gabriel Rénier, Pierre OberkampfGraphisme : Lucie AlvadoCréation & Animation : Phane Montet & Clément Coucoureux
Pour ce nouvel épisode, nous accueillons Pascale Faure grande spécialiste du court métrage devant l’éternel, de l’unité des programmes courts et créations de Canal + où elle a travaillé près de 20 ans jusqu’à ses expériences au sein de divers jurys de festivals.Avec nous, elle évoque l’importance de la télévision dans son expérience de spectatrice mais aussi celle de la salle et des festivals. Elle raconte son travail et ses récentes découvertes de dénicheuses de talent (les films de Vincent Fontano ou Noah Coen).Mais surtout, faisant fi des médiums et des formats, notre invitée déroule une cinéphilie joyeuse, parfois fétichiste, allant de Kenneth Anger à Mike Leigh, en passant par Bunuel et les Teletubbies ! Inscrivez-vous à la newsletter en cliquant sur ce lien : https://forms.gle/HgDMoaPyLd6kxCS48 Pour nous soutenir, rendez-vous sur https://www.patreon.com/cinephilesdnt I. PORTRAIT - 2'49 Une histoire d'amitié au cinéma : les films de Laurel et Hardy Un oeil au cinéma : celui - acéré - de Luis Bunuel - 5'52 Des génériques de films : Les demoiselles de Rochefort (J. Demy, 1967); Les Teletubbies (Anne Wood et Andrew Davenport, 1997) - 8'51 II. CIRCONSTANCES & CONDITIONS DE VISIONNAGE - 13'14 Un artiste découvert par le biais d'internet : le vidéaste norvégien Jan Hakon Erichsen La place de la télévision dans la cinéphilie de Pascale Faure - 18'20 III. MEMOIRE & SOMMEIL - 22'59 Des films à ne voir qu'en pleine nuit : The Tribe (M Slaboshpytskiy, 2014); Scorpio Rising (K. Anger, 1963); Le Guerrier silencieux (N Winding-Refn, 2009); It's such a beautiful day (D. Hertzfeld, 2012) CARTE BLANCHE - 33'16L'ouverture de Another Year (Mike Leigh, 2010) IV. CINEMA & TRANSMISSION - 41'08 Le secret d'une bonne programmation de courts métrages - 41'08 Quelques jeunes cinéastes à suivre : Noah Coen, Vincent Fontano - 49'20 REFUGES - 53'34 Voyage en Italie (R. Rossellini, 1954) Victoria (J. Triet, 2016) Anna (P Koralnic, 1967) EXTRAITS :Vidéos de Jan Hakon Erichsen, InstagramWipe Out - The Surfaris, UMG (au nom de Geffen)Another Year: Opening Credits (From "Another Year") · Gary Yershon ℗ 2011 Varese Sarabande RecordsArchive INA : Jacques Tati et l'importance du court métrageVictoria, Justine Triet - Le PacteLove Letters, Metronomy - Because Music (au nom de Because Music Ltd.) CRÉDITSPatreons : un grand merci à Paul, Corentin, Irène, Dominique, Bernard et Clara pour leur soutien !Musique : Gabriel RénierGraphisme : Lucie AlvadoCréation & Animation : Phane Montet & Clément Coucoureux
Ça y est, Cinéphiles de notre temps a 4 ans. Pour l’occasion, nous vous proposons non pas 1 mais 2 épisodes en partenariat avec la Plateformes Préludes, une plateforme montrant et restaurant les premiers gestes de cinéma. Nous avons donc rencontré deux cinéastes associées à Préludes : Lora Mure Ravaud et Yolande Zaubermann. Yolande Zaubermann cinéaste jonglant allègrement avec la fiction (Moi Ivan, toi Abraham) et le documentaire (de Classified People au choc M) a ouvert une porte sur sa cinéphilie alors qu’elle est en montage de son nouveau film.Celle qui a aujourd’hui besoin de découvrir inlassablement de nouveaux films revient avec nous sur quelques oeuvres qui, à tout jamais, l’ont marquée au point parfois de lui apprendre à vivre.Durant notre entretien notre invitée se souvient avec légèreté de l’importance de la nouvelle vague dans sa vie, du choc enfantin de la nuit du chasseur ou de sa récente nuit blanche à visionner Angels in America. Gravité et joie n'étant jamais loin elle convoque également le terrible La vérification de Guerman et le pétillant To be or not to be de Lubitsch. Inscrivez-vous à la newsletter en cliquant sur ce lien : https://forms.gle/HgDMoaPyLd6kxCS48 Pour nous soutenir, rendez-vous sur https://www.patreon.com/cinephilesdnt I. PORTRAIT - 4’39Un amour au cinéma : Les amants crucifiés (K. Mizoguchi, 1954) -Une violence : The Killer inside me (M. Winterbottom, 2010) - 6’51Une langue au cinéma : le Yiddish - 10’25Une première fois : La nuit du chasseur (C. Laughton, 1955) - 13’20 II. CIRCONSTANCES & CONDITIONS DE VISIONNAGE - 15’14Un court métrage marquant : Le roi David (L. Pinell, 2021) III. MEMOIRE & SOMMEIL - 18’19Un film à ne voir qu’en pleine nuit : la série Angels in America (M. Nichols, 2003)Le rapport de Yolande à la nuit CARTE BLANCHE - 22’41A bout de souffle ‘(JL Godard, 1960) IV. TRANSMISSION - 29’41Un film brouillant les frontières entre documentaire et fiction : La vérification (A. Guerman, 1985) REFUGE - 36’18To be or not to be (E. Lubitsch) EXTRAITS :Le roi David, Lila Pinell - Ecce FilmsAngels in America, main title - Thomas Newman - WMG (au nom de Nonesuch)A bout de souffle, Jean-Luc Godard - Carlotta Films CRÉDITSPréludes : Merci à Louise Gerbelle et Thomas Carillon de la Plateforme PréludesPatreons : un grand merci à Paul, Corentin, Irène, Dominique, Bernard et Clara pour leur soutien !Musique : Gabriel RénierGraphisme : Lucie AlvadoCréation & Animation : Phane Montet & Clément Coucoureux
Ça y est, Cinéphiles de notre temps a 4 ans. Pour l’occasion, nous vous proposons non pas 1 mais 2 épisodes en partenariat avec la Plateformes Préludes, une plateforme montrant et restaurant les premiers gestes de cinéma. Nous avons donc rencontré deux cinéastes associées à Préludes : Lora Mure Ravaud et Yolande Zaubermann. Lora Mure Ravaud a récemment marqué les esprit avec Euridice, Euridice, premier beau moyen métrage primé un peu partout, de Locarno à Brive. Attentive aux gestes, aux langues et aux corps comme cinéaste, elle l’est tout autant comme cinéphile. Durant notre entretien, notre invitée exhume quelques perles, comme L'âme soeur, du suisse Fredi Murer ou le doux porno Equation à un inconnu. Elle évoque également deux courts métrages aventureux (First Time et Jukebox) et nous emmène dans sa ville refuge, la cinégénique Rome. Découvrez ici gratuitement de beaux premiers gestes de cinéma : https://preludes.fr Inscrivez-vous à la newsletter en cliquant sur ce lien : https://forms.gle/HgDMoaPyLd6kxCS48 Pour nous soutenir, rendez-vous sur https://www.patreon.com/cinephilesdnt I. PORTRAIT- 6’33Un amour au cinéma : L’âme soeur (Fredi Murer, 1985) - 6’33Une violence au cinéma : Le mépris (Jean-Luc Godard, 1963) - 11’30Une langue au cinéma : la langue des films de Rohmer - 13’29Une première fois au (dans) un cinéma : le premier fim pornographique en salle, Equation à un inconnu (Francis Savel, 1980) - 16’07 II. CIRCONSTANCES & CONDITIONS DE VISIONNAGE - 20’56Un court métrage marquant vu en salle : Juke Box (Ilan Klipper, 2013) III. MEMOIRE ET SOMMEIL - 25’53Un film à ne voir qu’en pleine nuit : La Dolce Vita (F. Fellini, 1960) - 25’53Des inspirations pour penser la pénombre au cinéma : Une femme sous influence (J. Cassavetes, 1974) et Les hauts de Hurlevent (Andrea Arnold, 2011) - 28’39 IV. CARTE BLANCHE - 31’28First Time (the Time for all but sunset - violet) (Nicolaas Schmidt, 2021) V. CINEMA & TRANSMISSION - 36’41Des films abolissant la frontière entre fiction et documentaire : le travail de John Cassavetes REFUGE - 43’12L’italie EXTRAITS :Equation à un inconnu, Francis SavelLa Dolce Vita , Christophe, Jean-Michel Jarre, Francis Dreyfus Music SARL, a BMG CompanyUne femme sous influence, John Cassavetes, Orly Films CRÉDITSPréludes : Merci à Louise Gerbelle et Thomas Carillon de la Plateforme PréludesPatreons : un grand merci à Paul, Corentin, Irène, Dominique, Bernard et Clara pour leur soutien !Musique : Gabriel RénierGraphisme : Lucie AlvadoCréation & Animation : Phane Montet & Clément Coucoureux
Pour ce nouvel épisode, nous accueillons la programmatrice et ancienne directrice du festival international du film d’Amiens, Annouchka de Andrade, également fille de la cinéaste Sarah Maldoror, pionnière du cinéma africain. Notre invitée plonge dans son enfance pour nous raconter ses premiers émois devant les films de Chaplin à la cinémathèque algérienne, son amitié avec le réalisateur Chris Marker, ou encore comment elle a découvert le fabuleux « Napoléon » d’Abel Gance en croyant voir le film d’Akira Kurosawa « Les 7 samouraïs ». Mêlant le cinéma et la Grande Histoire, Annouchka trace les contours d’une cinéphilie internationale, politique, et éminemment joyeuse et généreuse. Inscrivez-vous à la newsletter en cliquant sur ce lien : https://forms.gle/HgDMoaPyLd6kxCS48 Pour nous soutenir, rendez-vous sur https://www.patreon.com/cinephilesdnt I. PORTRAIT - 2'33 Des disparitions au cinéma : celle dans Hyènes (Djibril Diop Mambety, 1992), celle de Pier Paolo Pasolini - 2'33 Ce que cela fait d'être "fille de cinéaste" - 5'33 Un lieu de cinéma : L'école de cinéma San Antonio de los Baños à Cuba - 9'35 II. CIRCONSTANCES & CONDITIONS DE VISIONNAGE - 13'00 La forte impression de découvrir un film jamais vu auparavant : Si j'avais quatre dromadaires (Chris Marker, 1966) - 13'00 Des projections de cinéma rêvées : Une projection au bord du fleuve Magdalena en Colombie / Un ciné-bal de Hair (Milos Forman, 1979) - 19'24 III. MÉMOIRE & SOMMEIL - 24'42 Des films qui se mélangent à la vie d'Annouchka De Andrade : les films de sa mère Sarah Maldoror : Sambizanga (1972) et Des fusils pour Banta CARTE BLANCHE - 34'11 Tosca (Benoît Jacquot, 2001) IV. CINÉMA & TRANSMISSION - 45'19 Des films transmis à Annouchka par sa mère : Napoléon (Abel Gance, 1927) - 45'19 Des héritières de cinéma reprenant les combats de Sarah Maldoror - 48'14 REFUGE - 51'45 Koi Mil Gaya (Rakesh Roshan, 2003) EXTRAITS : Si j'avais quatre dromadaires, Chris Marker Aquarius, Gil MacDermot, Top Pierson, SME (au nom de RCA Records Label) Tosca, Benoît Jacquot - Giacomo Puccini, dirigé par Antonio Pappano Koi Mil Gaya, Alka Yagnik, Udit Narayan, Sangeet Music Pvt. Ltd. CRÉDITSPatreons : un grand merci à Paul, Corentin, Irène, Dominique, Bernard et Clara pour leur soutien !Musique : Gabriel RénierGraphisme : Lucie AlvadoCréation & Animation : Phane Montet & Clément Coucoureux