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Cinéphiles de notre temps
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Cinéphiles de notre temps

Author: Phane Montet et Clément Coucoureux

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Description

La cinéphilie c’est fini ? Phane Montet et Clément Coucoureux proposent des portraits de cinéastes, critiques, techniciens, programmateurs, exploitants…par le biais des films qu’ils aiment (ou non). Ensemble, ils discutent aussi de ce qui les obsède au cinéma, de la meilleure façon de transmettre des films, ou de la diversité des conditions de visionnage à l’ère numérique. Pour s’interroger sur ce terme imposant qu’est la “cinéphilie”, mais surtout, pour donner envie de voir des films !
82 Episodes
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Pour accompagner le passage à l’heure d’hiver mais aussi pour célébrer sa carte blanche à la Cinémathèque Française, nous avons eu la joie d’accueillir Nine Antico. Elle fait des BD parfois inspirées par le cinéma, elle illustre parfois pour le cinéma (tout le coffret Rohmer de Potemkine c’est elle), et parfois elle fait des films aussi, tout simplement, comme le très rock Playlist avec Sarah Forestier, Laetitia Dosch et une très belle…playlist !Ensemble nous avons parlé de ses premiers émois cinéphiles à chercher du côté de chez Kazan (Un tramway nommé désir, La fièvre dans le sang), des films de son père (des comédies italiennes comme Le Fanfaron) et de quelques films generationnels délicieusement 90s : Buffalo 66 et le très chouette Génération 90 réalisé par Ben Stiller.Elle nous a raconté comment elle avait concocté sa programmation pour la cinémathèque.Ah et on a aussi parlé musique au cinéma ! Nous remercions notre invitée Nine Antico ainsi que Melanie Haoun et Xavier Jamet de la Cinémathèque mais aussi Elodie Imbeau et Pierre Senechal sans qui cet entretien n’aurait pu se faire. Inscrivez-vous à la newsletter en cliquant sur ce lien : https://forms.gle/HgDMoaPyLd6kxCS48 Pour nous soutenir, rendez-vous sur https://www.patreon.com/cinephilesdnt I. PORTRAIT - 3’06 Un duo au cinéma ? - Thelma & Louise (Ridley Scott, 1991) - 3’06 Une voiture au cinéma ? - La Lancia Aurelia B24 du Fanfaron (Dino Risi, 1962) - 6’36 Un hors-champ/quelque chose de caché au cinéma ? - La sœur, toujours enfermée dans la salle de bain, dans La main de dieu (P. Sorrentino, 2021) - 9’35 II. LE CINÉMA DANS TOUS SES ETATS - 11’38 Nine Antico sur sa carte blanche pour la Cinémathèque Française - 11’38 Des BO galvanisantes : la musique des films de Scorsese - 19’52 Une BD à adapter au cinéma : Love and Rockets (Los bros Hernandez) - 23’33 Le souvenir d’une scène de sexe gênante, drôle mais touchante : Greenberg (N. Baumbach, 2010) - 32’20 CARTE BLANCHE - 36’05La fièvre dans le sang (E. Kazan, 1961) III. CINEMA & TRANSMISSION - 44’34 Le rapport de Nine Antico aux objets de cinéma : VHS, photo, DVD… - 44'34 Les photos découpées des VHS dans la chambre d’ados de Nine Antico - 47’34 REFUGE - 48’37 Génération 90 (Ben Stiller, 1994) BONUS - 55’38La petite maison dans la prairie (1974-1983) EXTRAITS FILMS La fièvre dans le sang - Elia Kazan - Warner Bros Le Fanfaron - Dino Risi - Solaris Distribution Génération 90 - Ben Stiller EXTRAITS MUSICAUX Stayin alive - Bee Gees - RSO Records, actuellement sous licence Universal Music Group Don't let me be misunderstood - Santa Esmeralda - Columbia My Sharona - The Knack - Capitol Records CRÉDITSPatreons : un grand merci à Mahaut, Paul et Clara pour leur soutien !Musique : Gabriel RénierGraphisme : Lucie AlvadoCréation & Animation : Phane Montet & Clément Coucoureux
Pour clôturer cette belle saison de podcasts, nous vous proposons quelqu’un qui était présent pour nos 5 ans, sur l’écran et sur la scène du Grand Action : le cinéaste, monteur, affichiste…William Laboury.Dans ses propres films ou pour d’autres, à travers les génériques, les bandes annonces ou les affiches qu’il crée, notre invité aime jouer avec les matières analogiques ou numériques, le grain et le pixel, allant jusqu’à puiser dans cette grande mémoire mondiale qu’est internet.Avide d’expériences plastiques fortes, notre invité a également le goût des idées et des concepts. Ainsi, il nous emmène dans la matrice des sœurs Wachowski, découverte à l’adolescence et aux quatre coins du monde avec le presque jeune Sir Attenborough proposant déjà dans les années 70 de sidérants documentaires scientifiques. Il raconte son goût pour les effets spéciaux liquides comme ceux de James Cameron et rend hommage au Chris Marker joueur de Level Five. Pour l'été, plongez dans le cinéphilie fluide de William Laboury. Allez au cinéma, puis sortez la tête de vos écrans pour regarder la nature (c’est lui qui le dit aussi) ! Bonne écoute, bel été ! Nous remercions notre invité William Laboury ainsi qu’Élodie Imbeau et Pierre Sénéchal sans qui cet entretien n’aurait pu se faire. Inscrivez-vous à la newsletter en cliquant sur ce lien : https://forms.gle/HgDMoaPyLd6kxCS48 Pour nous soutenir, rendez-vous sur https://www.patreon.com/cinephilesdnt I. PORTRAIT - 3’51 - 19’19 Un frère/une soeur au cinéma : Soy Libre (Laure Portier, 2021) - 3’51 Une couleur : le vert de Matrix (Lana & Lilly Wachowski, 1999) - 8’25 Une entité virtuelle : le pseudopod dans The Abyss (James Cameron, 1989) - 15’53 II. CONDITIONS DE VISIONNAGE, MÉMOIRE & SOMMEIL - 19’19 - 39’09 Un film dont le souvenir s’effrite : Kairo (K. Kurosawa, 2001) - 19’19 Un film qui a nourri le goût de William Laboury pour “les images internet” : Level Five (Chris Marker, 1997) - 25’02 Le rapport de William Laboury à la matière et à la texture des images (numérique, analogique…) - 30’48 CARTE BLANCHE - 39’04Room (Lenny Abrahamson, 2015) CINEMA & TRANSMISSION - 46’47 Un film à envoyer dans l’espace : Life on earth, S01 ep 13 (Sir David Attenborough, 1979) REFUGE - 55’44The Mask (Chuck Russell, 1994) EXTRAITS FILMSThe Matrix Reloaded trailer - Lana & Lilly Wachowski - Warner BrosLevel Five - Chris Marker - Tamasa DistributionLife On Earth, S01 ep 13 : The Compulsive Communicators - David Attenborough, BBCThe Mask - Chuck Russell - Pathé Distribution EXTRAITS MUSICAUXThis will destroy you - The mighty Rio Grande - ℗ 2008 Dark Operative Publishing CRÉDITSPatreons : un grand merci à Mahaut, Paul et Clara pour leur soutien !Musique : Gabriel RénierGraphisme : Lucie AlvadoCréation & Animation : Phane Montet & Clément Coucoureux
En ce début d'été ombrageux, nous vous proposons de faire une pause au gré de la cinéphilie d’Hélène Frappat.Écrivaine-enquêtrice, notre invitée jongle avec la fiction et la philosophie - et le cinéma est l’une des matières premières de son travail. On lui doit récemment l’essai Le gaslighting ou l'art de faire taire les femmes à partir d’un film de Cukor et Trois femmes disparaissent, belle enquête élégiaque autour de la lignée d’actrices Tippi Hedren-Melanie Griffith-Dakota Johnson. Mieux qu’une simple interview, nous vous proposons de remonter le temps au gré des réponses de notre invitée. Car pour elle, tous les films sont liés et, entrelacés ensemble, ils forment le tissu de sa mémoire, allant jusqu’à faire remonter des souvenirs bien enfouis, à l’instar de l’horloge à l’envers de Twixt (F. Coppola)N’ayez crainte et laissez-vous porter par notre invitée, du soleil Sicilien du Parrain à la pluie du film noir Follow me quietly (R. Fleischer). Vous y croiserez aussi la poésie de Tarkovski et la pugnacité d’Erin Brockovich (S. Soderbergh). Et qui sait, vous vous souviendrez peut-être de quelque chose en cours d’écoute ? Nous remercions notre invitée Hélène Frappat ainsi qu’Elodie Imbeau et Pierre Sénechal sans qui cet entretien n’aurait pu se faire. Inscrivez-vous à la newsletter en cliquant sur ce lien : https://forms.gle/HgDMoaPyLd6kxCS48 Pour nous soutenir, rendez-vous sur https://www.patreon.com/cinephilesdnt I.PORTRAIT 3’29 Une mère au cinéma : Erin Brockovich (S.Soderbergh, 2000) Une langue au cinéma : le russe que parle l’actrice blonde au début du Miroir (A. Tarkovski, 1975) - 5’54 Une détective au cinéma : la jeune journaliste dans Follow Me Quietly (R. Fleischer, 1949) - 12’14 II. CONDITIONS DE VISIONNAGE, MEMOIRE ET SOMMEIL - 18’22 Des films qu’Hélène Frappat a voulu fuir : ceux de Lars Von Trier - 18’22 Un film comme une séance d’hypnose : Le Parrain (F. Coppola, 1972) - 23’5 Un film qui a levé l’amnésie d’enfance d’Hélène Frappat : Twixt (F. Coppola, 2011) - 31'24 Un texte critique qui a changé la cinéphilie d’Hélène Frappat : ceux de Serge Daney sur l'enfance et Les Contrebandiers de Moonfleet - 40'23 III. CINEMA & TRANSMISSION - 48’38Le cinéma comme “affaire de point de vue” (male/female/queer gaze…) : Showgirls (P. Verhoeven, 1995) REFUGES - 54’07Tout film aimé par Hélène Frappat dès le générique EXTRAITS FILMSLe miroir - A. Tarkovski - 1975 - Potemkine FilmsCéline et Julie vont en bateau - J. Rivette - 1974 - Potemkine Films EXTRAITS MUSICAUXRichard Wagner - Tristan und Isolde, Prélude - Cond : W. Furtwangler - ℗ A Warner Classics release, ℗ 1953 Parlophone Records Limited. Remastered 2021 Parlophone Records LimitedNino Rota, Gofather Waltz (from The Godfather) - SONY ATV HARMONY, SONY MUSIC PUBLISHING (FRANCE) CRÉDITSPatreons : un grand merci à Mahaut, Paul et Clara pour leur soutien !Musique : Gabriel RénierGraphisme : Lucie AlvadoCréation & Animation : Phane Montet & Clément Coucoureux
Alors que les beaux jours revenaient, au début du mois d’avril, notre émission fêtait ses 5 ans. Au même moment, Messina Film structure produisant et diffusant des courts métrages nous invitait à programmer des films au Grand Action dans sa programmation Merci le court. L’occasion était trop belle ! Nous avons alors choisi 3 films liés à notre émission :It was on earth that I knew joy, réalisé par Jean-Baptiste de Laugier aka Para One et produit par sixpack France.Hotaru réalisé par William Laboury et produit par La Fémis.Every Heaven in between réalisé par Helio Pu et produit par La Fémis. Puis nous avons invité leurs auteurs à en parler sur scène. Ensemble nous avons parlé de mémoires, de format de cinéma, de vapor wave, et de bien d’autres choses encore… Cet épisode est le souvenir de ce beau moment ✨ Un grand merci à Adrio Guarino de Messina Films pour l'organisation de la séance et au cinéma le Grand Action pour l'accueil. Pour l'occasion, vous pouvez retrouver gratuitement les 3 films aux liens ci-dessous : It was on earth that I knew joy Hotaru Every Heaven in Between Inscrivez-vous à la newsletter en cliquant sur ce lien : https://forms.gle/HgDMoaPyLd6kxCS48 Pour nous soutenir, rendez-vous sur https://www.patreon.com/cinephilesdnt EXTRAITS FILMS It was on earth that I knew joy - JB de Laubier - 2009 - Sixpack France Hotaru - W. Laboury - 2015 - La Fémis Every heaven in between - Helio Pu - 2022 - La Fémis CRÉDITSPatreons : un grand merci à Mahaut, Inès, Paul, Bernard et Clara pour leur soutien !Musique : Gabriel RénierIllustration : Phoebe Eddleston (Bureau for everyday exploration)Graphisme : Lucie AlvadoCréation & Animation : Phane Montet & Clément Coucoureux
Dans ce nouveau format, nous sortons de notre petit studio sous terre pour nous enfermer dans les salles obscures ! Puis en sortant de la salle, nous en discutons au grand jour, en pleine rue, dans un parc ou un café… Pour apporter un peu de recul critique nous mêlons nos subjectivités à une petite revue de presse sur le film. Pour ce premier épisode nous nous sommes laissés aguichés par l’aura “chic et cool” entourant The Sweet East et le bouche à oreille favorable dont jouit le film de Sean Price Williams depuis Cannes 2023.Avec néanmoins quelques questions en tête : est-ce le film indépendant américain que nous n’attendions plus ? Est-ce un film de poseur ? Ayo Ederibi est-elle notre nouveau crush ? Le film est encore un peu à l’affiche ! Bon ciné, bonne écoute ! Inscrivez-vous à la newsletter en cliquant sur ce lien : https://forms.gle/HgDMoaPyLd6kxCS48 Pour nous soutenir, rendez-vous sur https://www.patreon.com/cinephilesdnt Extraits Sean Price Williams, réalisateur de «The Sweet East», et Talia Ryder : «On adore la nature expérimentale des Etats-Unis», Libération, Olivier Lamm, Mars 24 Qui est Talia Ryder, jeune actrice qui porte le film « The Sweet East » ?, Elle, Anouk Sarfati, Mars 24 “The Sweet East”, ou l’art de manier l’humour, Jacky Goldberg, Les Inrockuptibles, Mai 23 Trailer The Sweet East, Potemkine Film CRÉDITSCréation; Animation; production; montage; mixage : Phane Montet & Clément CoucoureuxAvec les voix de : Phoebe Eddleston et Paul RobeinMusique : Gabriel RénierGraphisme : Lucie AlvadoPatreons : un grand merci à Paul, Bernard, Clara, Inès et Mahaut pour leur soutien !
Pour finir l’hiver et nous préparer au printemps, Gabrielle Stemmer nous fait l’honneur d’être notre invitée. Elle monte des films (Coma de B. Bonello, Tout le monde aime Jeanne de Céline Devaux), des clips (ceux de Flavien Berger notamment) et des séries (Split d’Iris Brey). Elle met aussi sa science du montage au service de ses propres films (Clean with me after dark, Femmes sous algorithmes), réalisés à partir d’image des autres, souvent glanées sur internet. Attentive aux images les plus contemporaines, elle nous parle de son goût pour l’hybridation (Reality de T. Satter) et les films la confrontant au malaise (Eût-elle été criminelle de J-G. Périot). Artiste interrogeant le quotidien et le domestique, elle nous parle de l’empreinte durable laissée par le Jeanne Dielman de Chantal Akerman. Puis elle nous emmène dans ses films refuges, ceux dans lesquelles elle se sent à la maison, qu’il s’agisse des classiques hollywoodien des années 40-50 ou de l’entêtant On connaît la chanson d’Alain Resnais. Inscrivez-vous à la newsletter en cliquant sur ce lien : https://forms.gle/HgDMoaPyLd6kxCS48 Pour nous soutenir, rendez-vous sur https://www.patreon.com/cinephilesdnt PORTRAIT - 3’08 Un geste de cinéma ? La coupe ! - 3’11 Une chambre au cinéma ? La room 237 de Shining (S. Kubrick, 1980) - 6’31 Une scène de danse au cinéma ? Le spectacle de marionnettes de La Double vie de Véronique (K. Kieslowski, 1991) - 10’12 CONDITIONS DE VISIONAGE, MÉMOIRE & SOMMEIL - 17'56 Le rapport de Gabrielle Stemmer aux différents régimes d’images (internet…) et Reality (T. Satter, 2023) - 17'56 Un film vécu à la première personne par Gabrielle Stemmer : Jeanne Dielman, 23, quai du Commerce, 1080 Bruxelles (C. Akerman, 1975) - 24’09 Un film pour réfléchir au malaise (cringe) : Eût-elle été criminelle (J-G. Périot, 2006) - 30’07 Une série pour rester eveillé·e la nuit : Grey’s Anatomy (S. Rimes, 2005) - 35’29 Un (auto)portrait de femmes au cinéma : Notre corps (C. Simon, 2023) - 39’20 CARTE BLANCHE - 43’52La nuit du chasseur (C. Laughton, 1955) REFUGES - 52’13Les classiques hollywoodiens des 40s-50s BONUS : FILM-MAISON - 55’06On connaît la chanson (A. Resnais, 1997) EXTRAITS FILMSThe Shining - S. Kubrick - 1980 - Warner Bros TransatlanticEût-elle été criminelle - J-G Périot - 2006 - Envie de tempête productionLa nuit du chasseur - C. Laughton - 1955 - Carlotta Films EXTRAITS MUSICAUXZbigniew Preisner - Les Marionnettes (from La double vie de Véronique OST) - Preisner productionsZbigniew Preisner - Van den Budenmayer Concerto in mi mineur (SBI 152) Version de 1798 (from La double vie de Véronique OST) - Preisner productionsPsapp - Cosy in the rocket (Grey's anatomy OST) CRÉDITSPatreons : un grand merci à Paul, Bernard, Clara et Inès pour leur soutien !Musique : Gabriel RénierGraphisme : Lucie AlvadoCréation & Animation : Phane Montet & Clément Coucoureux
Pour commencer notre année de podcasts en beauté, c’est Bertrand Bonello qui ouvre le bal. Alors que sa “Bête” a été lâchée dans les salles il y a quelques semaines, nous nous associons à la Cinémathèque française qui consacre une rétrospective totale au cinéaste du 28 février au 8 mars prochain.Bertrand Bonello fait des films, courts et longs, depuis plus d’une vingtaine d'années. Des films nocturnes, des films peuplés de fêtes mélancoliques et de beaux solitaires.Cinéaste autodidacte, il revisite les classiques qui l’ont nourri, de la Dolce Vita à Vertigo en passant par l'œuvre à laquelle il vient sans cesse se ressourcer et qu’il aime sans réserves : La trilogie du Parrain. Soucieux de la jeunesse, il raconte également l’importance de montrer ces films à la génération de sa fille.Précis lorsqu’il s’agit de partager les films qu’il aime, il nous a raconté bien d’autres choses, que vous pourrez découvrir dans notre nouvel épisode ! Inscrivez-vous à la newsletter en cliquant sur ce lien : https://forms.gle/HgDMoaPyLd6kxCS48 Pour nous soutenir, rendez-vous sur https://www.patreon.com/cinephilesdnt 1. PORTRAIT - 3’56 Une fête au cinéma : La dolce Vita (F. Fellini, 1960) - 3’56 Une lettre au cinéma : La maman et la putain (J. Eustache, 1973) - 8’05 Une bête/un monstre au cinéma : Twin Peaks fire Walk with me (D. Lynch, 1992) - 13’29 2. CONDITIONS DE VISIONAGE, MÉMOIRE & SOMMEIL - 17’35 Le rapport de Bertrand Bonello à la musique de films - 17’35 Le rapport de Bertrand Bonello à la nuit (comme cinéaste et spectateur) - 27’12 Le rapport de Bertrand Bonello au format court - 29’15 CARTE BLANCHE - 36’42La fin du Parrain 1 (F. Coppola, 1972) 3. CINEMA & TRANSMISSION - 41’20Transmettre des “classiques” aux générations futures - 41’20 REFUGE - 46’46La trilogie Le Parrain (F. Coppola, 1972-1990) EXTRAITS MUSICAUXNino Rota, La Dolce Vita, 1960 - C A M CREAZIONI ARTISTICHE M LI S R L, NORD SUD EDIZIONI MUSICALIAngelo Badalamenti, Laura Palmer's Theme (from Twin Peaks) - 1990 Warner Records Inc.Nino Rota, Godfather Waltz (from The Godfather) - SONY ATV HARMONY, SONY MUSIC PUBLISHING (FRANCE)Nino Rota, Godfather Finale (from The Godfather) - SONY ATV HARMONY, SONY MUSIC PUBLISHING (FRANCE) EXTRAITS FILMS/VIDÉOSAngelo Badalamenti explains how he wrote Laura Palmer's theme, Youtube CRÉDITSMerci à Elodie Imbeau, Pierre Sénécal, Xavier Jamet et Mélanie Haoun d'avoir rendu cet épisode possible.Patreons : un grand merci à Paul, Bernard et Clara pour leur soutien !Musique : Gabriel RénierGraphisme : Lucie AlvadoCréation & Animation : Phane Montet & Clément Coucoureux
Pour finir l’année en beauté, nous vous proposons l’une des plus belles moustaches intermittentes du cinéma français de ces dernières années : Christophe Paou !Il est comédien sur les planches et pour les caméras. Il est connu pour son rôle sulfureux dans L’inconnu du lac d’Alain Guiraudie, et ces vingt dernières années, il a aussi joué pour quelques autres grands aventureux du cinéma français, des Frères Larrieu à Jean-Christophe Meurisse en passant par Lucie Borleteau.A cette occasion, Christophe Paou spectateur éclectique et enthousiaste nous a parlé de quelques comédiens qu’il admire, du moustachu Michel Serrault à Peter Sellers, en passant par le premier “monstre” du cinéma muet, Lon Chaney, acteur fétiche du cinéaste Todd Browning. Engagé, il a convoqué quelques films pour « rester vertical » (Eau Argentée, Rue Case-nègres) et quelques remèdes dans ce monde de brutes, de l’amour torride de « L’eau tiède sous un pont rouge » à l’humour burlesque de The Party. Inscrivez-vous à la newsletter en cliquant sur ce lien : https://forms.gle/HgDMoaPyLd6kxCS48 Pour nous soutenir, rendez-vous sur https://www.patreon.com/cinephilesdnt I. PORTRAIT - 3’29 Une moustache de cinéma : celle intermittente de Michel Serrault - 3’29 Des amours au cinéma : De l’eau tiède sous un pont rouge (Shōhei Imamura, 2001); Elephant Man (D. Lynch, 1980) - 6’37 Des paysages au cinéma : la jungle de Tropical Malady (A. Weerasethakul, 2004); l’Arctique d’Atanarjuat (Zacharias Kunuk, 2001); la ville futuriste de Blade Runner (R. Scott, 1982) - 10’29 CONDITIONS DE VISIONNAGE, MEMOIRE ET SOMMEIL - 15’42 Le plaisir d’être déstabilisé au cinéma selon Christophe Paou : Tamala 2010 (T.O.L, kuno, K., 2002) ; Big Man Japan (Hitoshi Matsumoto, 2007) - 15’59 Souvenirs télévisuels de Christophe Paou : Les mystères de l’Ouest; Les enfants du rock - 20’58 Comment l’esprit de certains comédiens accompagne Christophe : Alberto Sordi dans Une vie difficile (Dino Risi, 1961) - 24’53 Des films à voir en bord de lac : The Host (Bong Joon-ho, 2005); Comme un avion (Bruno Podalydès, 2015) CARTE BLANCHE - 32’27L’inconnu (Todd Browning, 1927) TRANSMISSION - 38’05Des films pour rester vertical : Eau argentée (Wiam Simav Bedirxan, Oussama Mohammad, 2014); Rue Cases-Nègres (Euzhan Palcy, 1983) - 38’05 REFUGES - 49’04The Party (Blake Edwards, 1968); Koyaanisqatsi (Godfrey Reggio, 1982) EXTRAITS Rachel's song, Vangelis (Blade Runner (Music From The Original Soundtrack) ℗ 1994 Warner Music UK Ltd The Wild Wild West TV Intro Une vie difficile (Dino Risi) - Les Acacias Eau Argentée (Wiam Simav Bedirxan, Oussama, Mohammad, 2014) - Meteore Film Nothing To Lose (The Party/Soundtrack Version) · Claudine Longet, Henry Mancini - ℗ 1968 A&M Records Koyaanisqatsi · Philip Glass - ℗ 1983 The Island Def Jam Music Group CRÉDITSMerci à Elodie Imbeau d'avoir rendu cet épisode possible.Patreons : un grand merci à Paul, Corentin, Irène, Dominique, Bernard et Clara pour leur soutien !Musique : Gabriel RénierGraphisme : Lucie AlvadoCréation & Animation : Phane Montet & Clément Coucoureux
Pour commencer cette nouvelle saison, nous accueillons Caroline Champetier, directrice de la photographie connue et reconnue sur les plateaux de tournages (elle a collaboré avec Chantal Akerman, Jean-Luc Godard, Leos Carax, ou encore aujourd’hui avec Wang Bing…) mais aussi dans les laboratoires de restauration de film. C’est notamment grâce à son oeil expert que nous pouvons enfin redécouvrir L’Amour Fou de Jacques Rivette, évènement patrimoine de cette rentrée cinéma rendu possible par les historiques Films du Losange. A cette occasion, Caroline Champetier nous a parlé de technique, certes, mais aussi de lumière, de regard et de la façon dont son plaisir de spectatrice infuse dans son travail. Avec nous, elle évoque entre autres l’oeil acéré de Jane Campion, les noirs de David Lynch, la lumière du directeur de la photographie Vilmos Szigmond et bien sûr, le cinéma de Jacques Rivette. Inscrivez-vous à la newsletter en cliquant sur ce lien : https://forms.gle/HgDMoaPyLd6kxCS48 Pour nous soutenir, rendez-vous sur https://www.patreon.com/cinephilesdnt I. PORTRAIT 6'55 Un regard au cinéma : celui de Jane Campion - 6'55 Une ombre ou un noir au cinéma : les noirs de David Lynch - 11'15 II. CIRCONSTANCES & CONDITIONS DE VISIONNAGE 18'04Le souvenir d’une séance spéciale de Stromboli (R. Rossellini, 1950)L’importance de la météo dans le cinéma de Šarūnas Bartas et particulièrement dans Few of us (1996) - 23'21 III. MEMOIRE & SOMMEIL 27'51 Une révélation qui hante Caroline Champetier : la lumière de Vilmos Szigmond dans Le Privé (R. Altman, 1973) - 27'51 Un film qui a tenu Caroline Champetier éveillée “toute une nuit” : Ludwig ou le crépuscule des Dieux (L Visconti, 1973) - 35'46 IV. CINEMA & TRANSMISSION 39'18La restauration de L’amour fou (J. Rivette, 1967) REFUGE 54'29La porte du Paradis (M. Cimino, 1980) EXTRAITSStromboli (R. Rossellini, 1950), Société parisienne de production / Bac Film DistributionThe Long Goodbye (John Williams, 1973)L'amour Fou (J. Rivette, 1967), Les Films du Losange CRÉDITSMerci à Audrey Grimaud (Agence Valeur Absolue) d'avoir rendu cet épisode possible.Patreons : un grand merci à Paul, Corentin, Irène, Dominique, Bernard et Clara pour leur soutien !Musique : Gabriel RénierGraphisme : Lucie AlvadoCréation & Animation : Phane Montet & Clément Coucoureux
Dans cette pastille exclusive, notre invité, le compositeur Pierre Oberkampf, revient sur la façon dont musique et image s'articulent dans son travail. Pour illustrer son propos il évoque le film d'Agnès Patron L'heure de l'ours dont il a signé la partition et qu'il a même interprété en ciné-concert. Inscrivez-vous à la newsletter en cliquant sur ce lien : https://forms.gle/HgDMoaPyLd6kxCS48 Pour nous soutenir, rendez-vous sur https://www.patreon.com/cinephilesdnt CRÉDITSMusique : Pierre Oberkampf (Extraits de L'heure de l'ours)Graphisme : Lucie AlvadoCréation & Animation : Phane Montet & Clément Coucoureux
Pour ce nouvel épisode, nous accueillons Pierre Oberkampf, compositeur et sound designer très prolifique côté courts métrages. Nous lui devons notamment toute l’identité sonore du césarisé “L’heure de l’ours” d’Agnès Patron. Avec nous, il évoque son rapport aux bandes originales et nous raconte son goût pour les compositions risquées voire improvisées, de celles de Jon Brion pour Gondry et Paul Thomas Anderson à la batterie d’Antonio Sanchez pour le Birdman d'Iñárritu. Il égraine aussi quelques uns de ses courts métrages préférés (Nuvole Mani de l’italien Simone Massi, J’entends ton cri de l’argentin Pablo Lamar). Mais surtout, il nous emmène vers des chemins buissonniers de cinéma où l’enfance est toujours présente avec ce qu’elle comporte de jeux, d’aventures (Mud, Moonrise Kingdom) et de violence (There Will be blood, Morse…) Inscrivez-vous à la newsletter en cliquant sur ce lien : https://forms.gle/HgDMoaPyLd6kxCS48 Pour nous soutenir, rendez-vous sur https://www.patreon.com/cinephilesdnt I. PORTRAIT - 4’44 Des enfants de cinéma : Antoine Doinel dans Les 400 coups (F. Truffaut, 1959); Eli et Oskar dans Morse (T. Alfredson, 2009); Ellis et Neckbone dans Mud (J. Nichols, 2012); Sam et Susie dans Moonrise Kingdom (W. Anderson, 2012) - 4’44 Une atmosphère : celle de Bright Star (J. Campion, 2009) - 9’14 Une violence au cinéma : celle de There Will be blood (P.T Anderson, 2007) II. CIRCONSTANCES & CONDITIONS DE VISIONNAGE - 18’43 Des courts métrages marquants : Nuvole, Mani (S. Massi, 2009); J’entends ton cri (Pablo Lamar, 2010) - 18’43 Des bandes originales pour sauter de son fauteuil : celle de Jon Brion pour Eternal Sunshine of the spotless mind (M. Gondry, 2004); celle d’Antonio Sanchez pour Birdman (A. Iñárritu) - 26’15 III. MEMOIRE & SOMMEIL - 31’52 Un film que Pierre aurait aimé rêver : Eternal Sunshine of the spotless mind (M. Gondry, 2004) CARTE BLANCHE - 36’31 There Will be blood (P.T Anderson, 2007) TRANSMISSION - 45’55 Une bande originale improvisée à faire connaître : celle de Alex Zhang Hungtai pour Godland (H. Palmason, 2022) Un film à transmettre aux adolescents : Two Lovers (J. Gray, 2008) - 49’57 REFUGES - 54’12 Les filmographies d’Aki Kaurismaki et de Wes Anderson EXTRAITSL'heure de l'ours, Pierre OberkampfLes derniers feux, Pt. 1, Pierre OberkampfTheme, Jon Brion (from Eternal Sunshine of the spotless mind), Hollywood records, incTheme from Godland, Alex Zhang Hungtai (Jour2fête) CRÉDITSPatreons : un grand merci à Paul, Corentin, Irène, Dominique, Bernard et Clara pour leur soutien !Musique : Gabriel Rénier, Pierre OberkampfGraphisme : Lucie AlvadoCréation & Animation : Phane Montet & Clément Coucoureux
Pour ce nouvel épisode, nous accueillons Pascale Faure grande spécialiste du court métrage devant l’éternel, de l’unité des programmes courts et créations de Canal + où elle a travaillé près de 20 ans jusqu’à ses expériences au sein de divers jurys de festivals.Avec nous, elle évoque l’importance de la télévision dans son expérience de spectatrice mais aussi celle de la salle et des festivals. Elle raconte son travail et ses récentes découvertes de dénicheuses de talent (les films de Vincent Fontano ou Noah Coen).Mais surtout, faisant fi des médiums et des formats, notre invitée déroule une cinéphilie joyeuse, parfois fétichiste, allant de Kenneth Anger à Mike Leigh, en passant par Bunuel et les Teletubbies ! Inscrivez-vous à la newsletter en cliquant sur ce lien : https://forms.gle/HgDMoaPyLd6kxCS48 Pour nous soutenir, rendez-vous sur https://www.patreon.com/cinephilesdnt I. PORTRAIT - 2'49 Une histoire d'amitié au cinéma : les films de Laurel et Hardy Un oeil au cinéma : celui - acéré - de Luis Bunuel - 5'52 Des génériques de films : Les demoiselles de Rochefort (J. Demy, 1967); Les Teletubbies (Anne Wood et Andrew Davenport, 1997) - 8'51 II. CIRCONSTANCES & CONDITIONS DE VISIONNAGE - 13'14 Un artiste découvert par le biais d'internet : le vidéaste norvégien Jan Hakon Erichsen La place de la télévision dans la cinéphilie de Pascale Faure - 18'20 III. MEMOIRE & SOMMEIL - 22'59 Des films à ne voir qu'en pleine nuit : The Tribe (M Slaboshpytskiy, 2014); Scorpio Rising (K. Anger, 1963); Le Guerrier silencieux (N Winding-Refn, 2009); It's such a beautiful day (D. Hertzfeld, 2012) CARTE BLANCHE - 33'16L'ouverture de Another Year (Mike Leigh, 2010) IV. CINEMA & TRANSMISSION - 41'08 Le secret d'une bonne programmation de courts métrages - 41'08 Quelques jeunes cinéastes à suivre : Noah Coen, Vincent Fontano - 49'20 REFUGES - 53'34 Voyage en Italie (R. Rossellini, 1954) Victoria (J. Triet, 2016) Anna (P Koralnic, 1967) EXTRAITS :Vidéos de Jan Hakon Erichsen, InstagramWipe Out - The Surfaris, UMG (au nom de Geffen)Another Year: Opening Credits (From "Another Year") · Gary Yershon ℗ 2011 Varese Sarabande RecordsArchive INA : Jacques Tati et l'importance du court métrageVictoria, Justine Triet - Le PacteLove Letters, Metronomy - Because Music (au nom de Because Music Ltd.) CRÉDITSPatreons : un grand merci à Paul, Corentin, Irène, Dominique, Bernard et Clara pour leur soutien !Musique : Gabriel RénierGraphisme : Lucie AlvadoCréation & Animation : Phane Montet & Clément Coucoureux
Ça y est, Cinéphiles de notre temps a 4 ans. Pour l’occasion, nous vous proposons non pas 1 mais 2 épisodes en partenariat avec la Plateformes Préludes, une plateforme montrant et restaurant les premiers gestes de cinéma. Nous avons donc rencontré deux cinéastes associées à Préludes : Lora Mure Ravaud et Yolande Zaubermann. Yolande Zaubermann cinéaste jonglant allègrement avec la fiction (Moi Ivan, toi Abraham) et le documentaire (de Classified People au choc M) a ouvert une porte sur sa cinéphilie alors qu’elle est en montage de son nouveau film.Celle qui a aujourd’hui besoin de découvrir inlassablement de nouveaux films revient avec nous sur quelques oeuvres qui, à tout jamais, l’ont marquée au point parfois de lui apprendre à vivre.Durant notre entretien notre invitée se souvient avec légèreté de l’importance de la nouvelle vague dans sa vie, du choc enfantin de la nuit du chasseur ou de sa récente nuit blanche à visionner Angels in America. Gravité et joie n'étant jamais loin elle convoque également le terrible La vérification de Guerman et le pétillant To be or not to be de Lubitsch. Inscrivez-vous à la newsletter en cliquant sur ce lien : https://forms.gle/HgDMoaPyLd6kxCS48 Pour nous soutenir, rendez-vous sur https://www.patreon.com/cinephilesdnt I. PORTRAIT - 4’39Un amour au cinéma : Les amants crucifiés (K. Mizoguchi, 1954) -Une violence : The Killer inside me (M. Winterbottom, 2010) - 6’51Une langue au cinéma : le Yiddish - 10’25Une première fois : La nuit du chasseur (C. Laughton, 1955) - 13’20 II. CIRCONSTANCES & CONDITIONS DE VISIONNAGE - 15’14Un court métrage marquant : Le roi David (L. Pinell, 2021) III. MEMOIRE & SOMMEIL - 18’19Un film à ne voir qu’en pleine nuit : la série Angels in America (M. Nichols, 2003)Le rapport de Yolande à la nuit CARTE BLANCHE - 22’41A bout de souffle ‘(JL Godard, 1960) IV. TRANSMISSION - 29’41Un film brouillant les frontières entre documentaire et fiction : La vérification (A. Guerman, 1985) REFUGE - 36’18To be or not to be (E. Lubitsch) EXTRAITS :Le roi David, Lila Pinell - Ecce FilmsAngels in America, main title - Thomas Newman - WMG (au nom de Nonesuch)A bout de souffle, Jean-Luc Godard - Carlotta Films CRÉDITSPréludes : Merci à Louise Gerbelle et Thomas Carillon de la Plateforme PréludesPatreons : un grand merci à Paul, Corentin, Irène, Dominique, Bernard et Clara pour leur soutien !Musique : Gabriel RénierGraphisme : Lucie AlvadoCréation & Animation : Phane Montet & Clément Coucoureux
Ça y est, Cinéphiles de notre temps a 4 ans. Pour l’occasion, nous vous proposons non pas 1 mais 2 épisodes en partenariat avec la Plateformes Préludes, une plateforme montrant et restaurant les premiers gestes de cinéma. Nous avons donc rencontré deux cinéastes associées à Préludes : Lora Mure Ravaud et Yolande Zaubermann. Lora Mure Ravaud a récemment marqué les esprit avec Euridice, Euridice, premier beau moyen métrage primé un peu partout, de Locarno à Brive. Attentive aux gestes, aux langues et aux corps comme cinéaste, elle l’est tout autant comme cinéphile. Durant notre entretien, notre invitée exhume quelques perles, comme L'âme soeur, du suisse Fredi Murer ou le doux porno Equation à un inconnu. Elle évoque également deux courts métrages aventureux (First Time et Jukebox) et nous emmène dans sa ville refuge, la cinégénique Rome. Découvrez ici gratuitement de beaux premiers gestes de cinéma : https://preludes.fr Inscrivez-vous à la newsletter en cliquant sur ce lien : https://forms.gle/HgDMoaPyLd6kxCS48 Pour nous soutenir, rendez-vous sur https://www.patreon.com/cinephilesdnt I. PORTRAIT- 6’33Un amour au cinéma : L’âme soeur (Fredi Murer, 1985) - 6’33Une violence au cinéma : Le mépris (Jean-Luc Godard, 1963) - 11’30Une langue au cinéma : la langue des films de Rohmer - 13’29Une première fois au (dans) un cinéma : le premier fim pornographique en salle, Equation à un inconnu (Francis Savel, 1980) - 16’07 II. CIRCONSTANCES & CONDITIONS DE VISIONNAGE - 20’56Un court métrage marquant vu en salle : Juke Box (Ilan Klipper, 2013) III. MEMOIRE ET SOMMEIL - 25’53Un film à ne voir qu’en pleine nuit : La Dolce Vita (F. Fellini, 1960) - 25’53Des inspirations pour penser la pénombre au cinéma : Une femme sous influence (J. Cassavetes, 1974) et Les hauts de Hurlevent (Andrea Arnold, 2011) - 28’39 IV. CARTE BLANCHE - 31’28First Time (the Time for all but sunset - violet) (Nicolaas Schmidt, 2021) V. CINEMA & TRANSMISSION - 36’41Des films abolissant la frontière entre fiction et documentaire : le travail de John Cassavetes REFUGE - 43’12L’italie EXTRAITS :Equation à un inconnu, Francis SavelLa Dolce Vita , Christophe, Jean-Michel Jarre, Francis Dreyfus Music SARL, a BMG CompanyUne femme sous influence, John Cassavetes, Orly Films CRÉDITSPréludes : Merci à Louise Gerbelle et Thomas Carillon de la Plateforme PréludesPatreons : un grand merci à Paul, Corentin, Irène, Dominique, Bernard et Clara pour leur soutien !Musique : Gabriel RénierGraphisme : Lucie AlvadoCréation & Animation : Phane Montet & Clément Coucoureux
Pour ce nouvel épisode, nous accueillons la programmatrice et ancienne directrice du festival international du film d’Amiens, Annouchka de Andrade, également fille de la cinéaste Sarah Maldoror, pionnière du cinéma africain. Notre invitée plonge dans son enfance pour nous raconter ses premiers émois devant les films de Chaplin à la cinémathèque algérienne, son amitié avec le réalisateur Chris Marker, ou encore comment elle a découvert le fabuleux « Napoléon » d’Abel Gance en croyant voir le film d’Akira Kurosawa « Les 7 samouraïs ». Mêlant le cinéma et la Grande Histoire, Annouchka trace les contours d’une cinéphilie internationale, politique, et éminemment joyeuse et généreuse. Inscrivez-vous à la newsletter en cliquant sur ce lien : https://forms.gle/HgDMoaPyLd6kxCS48 Pour nous soutenir, rendez-vous sur https://www.patreon.com/cinephilesdnt I. PORTRAIT - 2'33 Des disparitions au cinéma : celle dans Hyènes (Djibril Diop Mambety, 1992), celle de Pier Paolo Pasolini - 2'33 Ce que cela fait d'être "fille de cinéaste" - 5'33 Un lieu de cinéma : L'école de cinéma San Antonio de los Baños à Cuba - 9'35 II. CIRCONSTANCES & CONDITIONS DE VISIONNAGE - 13'00 La forte impression de découvrir un film jamais vu auparavant : Si j'avais quatre dromadaires (Chris Marker, 1966) - 13'00 Des projections de cinéma rêvées : Une projection au bord du fleuve Magdalena en Colombie / Un ciné-bal de Hair (Milos Forman, 1979) - 19'24 III. MÉMOIRE & SOMMEIL - 24'42 Des films qui se mélangent à la vie d'Annouchka De Andrade : les films de sa mère Sarah Maldoror : Sambizanga (1972) et Des fusils pour Banta CARTE BLANCHE - 34'11 Tosca (Benoît Jacquot, 2001) IV. CINÉMA & TRANSMISSION - 45'19 Des films transmis à Annouchka par sa mère : Napoléon (Abel Gance, 1927) - 45'19 Des héritières de cinéma reprenant les combats de Sarah Maldoror - 48'14 REFUGE - 51'45 Koi Mil Gaya (Rakesh Roshan, 2003) EXTRAITS : Si j'avais quatre dromadaires, Chris Marker Aquarius, Gil MacDermot, Top Pierson, SME (au nom de RCA Records Label) Tosca, Benoît Jacquot - Giacomo Puccini, dirigé par Antonio Pappano Koi Mil Gaya, Alka Yagnik, Udit Narayan, Sangeet Music Pvt. Ltd. CRÉDITSPatreons : un grand merci à Paul, Corentin, Irène, Dominique, Bernard et Clara pour leur soutien !Musique : Gabriel RénierGraphisme : Lucie AlvadoCréation & Animation : Phane Montet & Clément Coucoureux
Pour ce nouvel épisode, nous accueillons l’enseignante-chercheuse, critique et programmatrice Alice Leroy, dont la plume est présente sur internet et dans les kiosques, notamment dans les pages des Cahiers du cinéma ou de Panthere Premiere. Du cinéma le plus expérimental de Stan Brakhage, Daïchi Saïto ou Barbara Rubin, aux séries les plus cultes (« The twilight Zone »), Alice Leroy nous emmène au coeur des films qui ont formé sa cinéphilie, avec précision et passion. Elle évoque la filmographie trop méconnue de la cinéaste Angela Schanelec, celle tous azimuts de Peter Watkins, ou encore celle, refuge, de Jonas Mekas - et ce faisant, elle dresse le portrait d’un cinéma en quête d’utopies. Inscrivez-vous à la newsletter en cliquant sur ce lien : https://forms.gle/HgDMoaPyLd6kxCS48 Pour nous soutenir, rendez-vous sur https://www.patreon.com/cinephilesdnt I. PORTRAIT - 4’55 Des corps au cinéma : Fantomas (Louis Feuillade, 1913) Une foule au cinéma : celle de communards dans La commune (Peter Watkins,2000 ) - 9’47 Des territoires de cinéma : Earth Earth Earth (Daïchi Saito, 2021), Dog Star Man (Stan Brakhage, 1961-1964) - 15’41 II. CIRCONSTANCES & CONDITIONS DE VISIONNAGE - 19’24 Des films longtemps fantasmés : Candy Mountain (R. Frank, R. Wurlitzer, 1987), Running on empty (S. Lumet, 1988) III. MEMOIRE & SOMMEIL - 27’22 Un fantôme de cinéma qui hante Alice : Etienne Gaspard Robertson et ses fantasmagorie au 18è siècle CARTE BLANCHE - 32’50Des places dans des villes (Angela Schanelec, 1997) TRANSMISSION - 41’57 Un film à montrer aux Aliens : La série « La quatrième dimension » (Rod Serling, 1959-64) - 41’57 Un film pour « faire corps ensemble » : Christmas on earth (Barbara Rubin, 1963) - 47’50 REFUGES - 54’01Lost lost lost (1976) et Walden (1968) de Jonas Mekas EXTRAITS Candy Mountain (R. Frank, R. Wurlitzer, 1987) California, Joni Mitchell ; WMG (au nom de Warner Rhino Off Roster-Audio) The Twilight Zone : générique Walden (J. Mekas, 1976); éditions Re:voir CRÉDITSPatreons : un grand merci à Paul, Corentin, Irène, Dominique, Bernard et Clara pour leur soutien !Musique : Gabriel RénierGraphisme : Lucie AlvadoCréation & Animation : Phane Montet & Clément Coucoureux
Dans ce nouvel épisode, nous accueillons Helio Pu, monteur, réalisateur, et acteur un petit peu parfois aussi.Avec légèreté et mélancolie, et avec enthousiasme surtout, il nous a évoqué les films qui comptent pour lui comme autant « d’interstices de paradis » (pour reprendre le titre de son dernier film « Every heaven un between »).De l’univers queer adolescent de Gregg Araki à l’univers queer SF des sœurs Wachowski, de la pellicule au glitch numérique, de l’expérimental (Koyaanisqatsi de G. Reggio) au plus mainstream (Spider Man 2 de Sam Raimi), Helio a déroulé une cinéphilie plurielle et inclusive en français, en cantonnais, en anglais, mais aussi en danse et en chansons. Inscrivez-vous à la newsletter en cliquant sur ce lien : https://forms.gle/HgDMoaPyLd6kxCS48 Pour nous soutenir, rendez-vous sur https://www.patreon.com/cinephilesdnt I. PORTRAIT - 3’29Un costume au cinéma : ceux, queer et grunge, des films de Gregg Araki - 3'29Un corps au cinéma : les corps virtuels et fluides de Matrix (Lilly & Lana Wachowski, 1999), le corps chimérique d’Hauru dans Le chateau ambulant (H. Miyazaki, 2004) - 6’22Une langue au cinéma : le cantonnais dans les films de Wong Kar Wai, le français dans J’ai froid, j’ai faim (C. Akerman, 1984) - 11’26 II. CIRCONSTANCES & CONDITIONS DE VISIONNAGE - 16’53Le rapport d’Helio à la pellicule et au numérique + le court-métrage Hotaru (William Laboury, 2015) III. MÉMOIRE & SOMMEIL - 25’56Une chanson de film qui le hante : Finale de Para One pour Naissance de pieuvres (Céline Sciamma, 2007) - 25'56Des souvenirs d’enfance et d’adolescence dans des films : Nobody knows (Hirokazu Kore-Eda, 2004), Paranoid Park (Gus Van Sant, 2007) - 31’32 CARTE BLANCHE - 35’37L'ouverture dansée de Climax (G. Noé, 2018) IV. CINEMA & TRANSMISSION - 41’47Un film à transmettre aux générations passées : Koyaanisqastsi (G. Reggio, 1987)Un film qui a déplacé le regard d’Helio : Everything, everywhere, all at once (les Daniels, 2022) - 46’18 FILMS REFUGES - 53’39Spider Man 2 (Sam Raimi, 200') EXTRAITS J'ai froid, j'ai faim (C. Akerman, 1984) Cerrone, Supernature (instrumental CLIMAX edit), Because Music (au nom de Malligator Préférence) Para One, Finale, Institutes Philip Glass, Koyaanisqatsi, UMG Recordings inc CRÉDITSPatreons : un grand merci à Paul, Corentin, Irène, Dominique, Bernard et Clara pour leur soutien !Musique : Gabriel RénierGraphisme : Lucie AlvadoCréation & Animation : Phane Montet & Clément Coucoureux
Dans ce nouvel épisode, nous accueillons Pacôme Thiellement, critique-écrivain-essayiste-cinéaste ou - en un mot - exégète professionnel (la définition de ce mot est dans l’épisode).Tel Colin Maillard, le personnage joué par Jean-Pierre Léaud dans Out 1 (l'un de ses cinéastes de chevet), Pacôme a enquêté avec nous sur sa cinéphilie. Affable et agile, il a convoqué les transes de Zulawski ("Possession"), les ténèbres intérieures de Lynch ("Inland Empire") ou encore la belle amitié de Céline et Julie ("Céline et Julie vont en bateau"). Partant de ce cocktails de références enivrant, il nous a parlé de sa mémoire et de ses habitudes de spectateur nocturne et nous a plongé dans un grand rêve... Inscrivez-vous à la newsletter en cliquant sur ce lien : https://forms.gle/HgDMoaPyLd6kxCS48 Pour nous soutenir, rendez-vous sur https://www.patreon.com/cinephilesdnt I. Portrait – 4’34 Un·e enquêteur·euse au cinéma ? Colin Maillard dans Out 1 (Jacques Rivette, 1971) - 4'34 Une transe au cinéma ? Possession (Andrzej Zulawski, 1981) - 9’38 Un amour au cinéma ? Jamais plus toujours (Yannick Bellon, 1976) - 13’33 II. Circonstances & conditions de visionnage - 18’51 Un film que à projeter lors d’une cérémonie religieuse/païenne/sacrée dans le cinéma abandonné de Charm el-Cheikh ? Fata Morgana (Werner Herzog, 1971) - 18'51 Une salle de prédilection : l’Archipel où se tient le cinéclub de Pacôme Thiellement, “les dimanches de Charm El-Cheikh" 22’27 III. Mémoire & Sommeil - 24’50 Existe-t-il un film que vous arrivez à oublier pour toujours le redécouvrir avec un oeil nouveau ? Le monde sur le fil (R.W Fassbinder, 1973) - 24’50 Un film devant lequel vous vous êtes endormi et dont vous auriez rêvé ? L'avant-dernier épisode de la série The Leftovers (D. Lindelof, T. Perrotta, 2014-2017) 30’40 Carte Blanche - 34’49La fin d’Inland Empire (David Lynch, 2006) IV. Cinéma & Transmission - 42’33 Pourquoi internet n’est pas forcément un espace privilégié pour parler de cinéma - 42’33 Le film à transmettre aux générations futures ? After Blue de Bertrand Mandico - 47’42 Film refuge - 51’11Céline et Julie vont en bateau (Jacques Rivette, 1974) EXTRAITS : Out 1, Jacques Rivette (Carlotta Films) Le monde sur le film, R.W Fassbinder (Carlotta Films) Céline et Julie vont en bateau, Jacques Rivette (Potemkine Films) Sinnerman, Nina Simone CRÉDITSPatreons : un grand merci à Paul, Corentin, Irène, Dominique, Bernard et Clara pour leur soutien !Musique : Gabriel RénierGraphisme : Lucie AlvadoCréation & Animation : Phane Montet & Clément Coucoureux
Pour ce nouvel épisode, nous accueillons la cinéaste Patricia Mazuy, dont le dernier film « Bowling Saturne » est sorti mercredi 26 octobre 2022 au cinéma. Tel un cow boy ou une catcheuse - sortie tout droit d’un de ses films fétiches « Deux filles au tapis » (R. Aldrich) - notre invitée a mené l’entretien avec une énergie brute, sans fioriture. Passant de l’éclatante séquence d’ouverture de « Il était une fois la révolution » (S.Leone) à la douceur et la précision des plans de « Certain Women » (K. Reichardt), en passant par l’humour parfois glaçant des comédies italiennes de Dino Risi et Comencini, Patricia Mazuy fait état d’un cinéma en prise avec le présent, dont l’actualité nous bouleverse, nous questionne et nous tient en haleine, hagard, jusqu’aux dernières minutes. Inscrivez-vous à la newsletter en cliquant sur ce lien : https://forms.gle/HgDMoaPyLd6kxCS48 Pour nous soutenir, rendez-vous sur https://www.patreon.com/cinephilesdnt I. PORTRAIT - 5'06Des animaux de cinéma : les tortues et les crocodiles - 5'06Un acte de violence au cinéma : la mort - 6'52Un type de paysage au cinéma : les forêts de feuillus - 8'53 II. CIRCONSTANCES & CONDITIONS DE VISIONNAGE - 10'14Un film à voir au coeur de la nuit : Deux filles au tapis (Robert Aldrich, 1980) - 10'14Patricia Mazuy à propos de l'argentique, du numérique et de la façon de filmer la nuit au cinéma - 12'23 III. MÉMOIRE & SOMMEIL - 15'22Une musique de film qui vous hante : Le bon, la brute et le truand (Ennio Morricone); tout Nino Rota; la chanson du Privé (John Williams) - 15'22Des films pour ne pas s'endormir : les comédies sociales italiennes en général et Le grand embouteillage (L. Comencini, 1979) en particulier - 16'39 IV. CARTE BLANCHE - 20'45L'ouverture d'Il était une fois la révolution (Sergio Leone, 1971) V. CINEMA & TRANSMISSION - 27'48Des westerns à transmettre aux générations futurs : La chevauchée des bannis (André de Toth, 1958); L'homme qui tua Liberty Valance (John Ford, 1962) - 27'48Un film pour "rester vertical" : Certaines femmes (Kelly Reichardt, 2016) REFUGE - 34'50Habemus Papam (Nanni Moretti, 2011) EXTRAITS :Deux filles au tapis (Robert Aldrich, 1981)Il était une fois la révolution (Sergio Leone, 1971), Carlotta Films CRÉDITSPatreons : un grand merci à Paul, Corentin, Irène, Dominique, Bernard et Clara pour leur soutien !Musique : Gabriel RénierGraphisme : Lucie AlvadoCréation & Animation : Phane Montet & Clément Coucoureux
Dans ce nouvel épisode, nous accueillons le jeune réalisateur et ami cinéphile Paul Rigoux, auteur du bien nommé film "Rapide", pour évoquer une thématique spéciale au cinéma : celle du temps.Des films à la lenteur magnifique à ceux qui donnent envie de courir vite, des lunettes profilées de la trilogie Matrix au studio d’enregistrement de « Memoria », notre invité nous offre une traversée du temps à travers les films qui ont marqué sa vie. Nous discutons ensemble des films de train, et de la surprenante salle de cinéma que peut constituer un voyage en train, mais aussi de l’importance de la musique dans notre perception du temps au cinéma. Car s’il est bien un moment où le temps se transforme, c’est celui du cinéma, des films et de notre visionnage de ceux- ci. Extraits :« Rapide », Paul Rigoux (production Le Grec, 2022)« Les harmonies Werckmeister », Béla Tarr Inscrivez-vous à la newsletter en cliquant sur ce lien : https://forms.gle/HgDMoaPyLd6kxCS48 Pour nous soutenir, rendez-vous sur https://www.patreon.com/cinephilesdnt I. PORTRAIT - 4'24 Une histoire d'amour rapide/lente : Before Sunrise (R. Linklater, 1995) - 4'24 Des course-poursuites : Mad Max : Fury Road (G. Miller, 2015) / Fais-moi plaisir (E. Mouret, 2009) Un objet rapide : les lunettes de Neo dans Matrix (Lana et Lilly Wachowski, 1999) II. CIRCONSTANCES & CONDITIONS DE VISIONNAGE - 13'37Un film qui donne envie de courir vite : Annette (Leox Carax, 2021)La perception temporelle des films en fonction de leur mode de visionnage - 16’47De l’importance de voir des films dans le train - 19’53 III. CARTE BLANCHE SPECIALE LENTEUR - 23'36Une séquence magnifiquement longue : l’ouverture des Harmonies Werckmeister (Béla Tarr, 2000)Une séquence que Paul souhaiterait ralentir : la recherche du son dans la salle de mixage de Memoria (A. Weerasethakul, 2021) - 29’48 IV. MUSIQUES - 34'26Une BO qui arrête le temps : I’ve seen it all de Björk (Dancer in the dark, Lars von Trier, 2000) - 34’26Une BO qui accélère le temps : la musique de Oneothrix point never pour Good Time (Les Frères Safdie, 2017) - 38’11 REFUGE - 41’08Un film où le temps est parfait : Paterson (Jim Jarmusch, 2016) CRÉDITSPatreons : un grand merci à Paul, Corentin, Irène, Dominique, Bernard et Clara pour leur soutien !Musique : Gabriel RénierGraphisme : Lucie AlvadoCréation & Animation : Phane Montet & Clément Coucoureux
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