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Contrôle des personnes violentes
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Contrôle des personnes violentes

Author: Roger Roy

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Description

Cette série de 61 vidéos favorise l'apprentissage des principaux mouvements utiles à la maîtrise des trois compétences du programme Techniques policières : Défense contre les coups frappés; Défense contre le corps à corps; Maîtrise d'une personne violente. Voir le site Web à l'adresse suivante : http://controletp.ccdmd.qc.ca
61 Episodes
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1.01 Roulade avant

1.01 Roulade avant

2020-01-3001:35

La roulade avant est celle qui est la plus importante. On ne choisit pas de quel côté on roulera; c'est le partenaire d'entraînement qui en décide, en exécutant un contrôle articulaire. Il est important de maîtriser la roulade des deux côtés. Les roulades peuvent amortir la chute lorsque l'on saute d'un mur ou qu'on franchit un obstacle. Le bras et la jambe déterminent l'orientation de la roulade. Ici, l'épaule et la jambe droite commencent la roulade. La sortie se fait sur la hanche gauche. Au retour, il faut reprendre sur le côté gauche. La roulade se fait en ligne droite. Pour des raisons de sécurité, il est important de conserver cette ligne droite. Il est important d'amener le poids sur la jambe avant et de pousser pour donner une vitesse de rotation. Il faut développer une aisance à rouler d'un côté comme de l'autre, sans arrêt, tout en conservant son équilibre. Cette séquence est tirée du site web Contrôle des personnes violentes.
Pour le contact, on se tient fermement par le bras et la manche. Au début, le partenaire reproduit la roulade avant, en pleine confiance. Pour l'exécution de la chute plaquée, on reproduit les étapes du contact et de la roulade avant. Afin d'éviter les blessures, il faut retenir fermement le bras de l'exécutant pour contrôler sa chute. Il est important de suivre le partenaire dans l'axe de sa chute pour conserver son propre équilibre. À la fin de la chute, l'exécutant frappe le sol pour amortir l'impact et il doit se retrouver sur le côté. Les jambes ne doivent pas se croiser. Cette séquence est tirée du site web Contrôle des personnes violentes.
Il faut d'abord s'habituer à contrôler la descente en rentrant bien la tête entre les épaules et en collant le menton sur le sternum. Les effets de la chute sont amortis par la frappe des mains contre le sol. Dans le cas de la variante avec un partenaire à quatre pattes qui fait obstacle, il est important de bien rentrer la tête pour ne pas la cogner au sol. Cette séquence est tirée du site web Contrôle des personnes violentes.
Avant d'exécuter la chute avant plaquée, il faut apprendre à contrôler le poids du corps avec les mains et les avant-bras afin d'éviter les blessures au thorax. Pendant cette chute, il faut absolument frapper le sol avec les deux mains avant que la poitrine ne le touche. Cette séquence est tirée du site web Contrôle des personnes violentes.
Application dans les esquives et les frappes : poings, coudes et pieds Lorsque le policier s'adresse à une personne, dans le cadre de ses fonctions, il doit toujours adopter la position sécuritaire. Dans cette séquence, on peut observer l'application de cette position face à différentes techniques de frappe. Il faut d'abord reculer le pied de l'arme - le pied droit pour les droitiers. L'écart entre les deux pieds doit nous permettre de bouger rapidement tout en conservant un bon équilibre. Il est important de maintenir une distance sécuritaire, tout juste à l'extérieur de la portée de l'agresseur. Les mains peuvent être placées à la hauteur du menton avec les bras légèrement fléchis, afin de parer tous les coups éventuels, tant les coups de pied que les coups de poing. La hauteur de la garde ne doit pas rompre le contact visuel avec l'agresseur, qu'on doit toujours fixer dans les yeux. Pour garder la position sécuritaire au moment des déplacements et des esquives, on détermine le pied qui bougera en premier selon la direction du déplacement : pied droit si on veut aller à droite, pied arrière si l'on veut reculer, etc. Une bonne concentration permet de prendre les décisions appropriées aux différentes attaques. Une personne d'expérience saura anticiper le coup de pied ou le coup de poing longtemps avant que le geste ne puisse l'atteindre. Un fois le coup décodé, l'esquive permet au policier de retrouver la position sécuritaire afin d'appliquer un éventuel contrôle articulaire. L'utilisation d'une frappe peut se révéler dangereuse. Il faut avoir en tête qu'une frappe permet de faire diversion. Une diversion est efficace lorsque l'agresseur perd momentanément sa concentration. L'endroit où l'on frappe doit être déterminé avec précision afin d'avoir un meilleur contrôle au moment de l'emploi de la force. Outre le poing, le coude ou le pied, d'autres parties du corps peuvent servir à frapper : le genou, la paume de la main et la tête. L'apprentissage des frappes permet aussi, durant les pratiques, de mieux se défendre contre les coups frappés. Cette séquence est tirée du site web Contrôle des personnes violentes.
On distingue trois niveaux de bloc. La distance d'engagement est très importante, car elle permet d'agir rapidement. À partir de la position sécuritaire, on utilise toujours la main avant pour bloquer, peu importe le niveau. Le bloc supérieur est utilisé contre les coups sur la tête ou les attaques au visage. Il couvre la partie qui va des épaules jusqu'au-dessus de la tête. On l'effectue avec l'avant-bras de la main avant, parallèle au sol et au-dessus de la tête. La contre-attaque se fait avec la main arrière, le plus rapidement et le plus précisément possible. Il faut se déplacer légèrement en sortant de la ligne d'attaque pour bloquer et reprendre sa position sécuritaire après la contre-attaque. Le bloc moyen est utilisé contre les coups de poing ou toute autre forme d'attaque visant la partie qui va du plexus solaire jusqu'aux épaules. On l'effectue avec l'avant-bras de la main avant, vers le haut et perpendiculairement à l'attaque. La contre-attaque avec la main arrière est très rapide et on revient ensuite en position sécuritaire. Il faut sortir du plan de frappe de l'attaque sur les côtés, puis reprendre sa position sécuritaire après la contre-attaque. Le bloc inférieur est utilisé contre les attaques de pieds en bas de la ceinture. Il faut sortir à 45 degrés vers l'arrière en bloquant avec l'avant-bras de la main avant et reprendre sa place initiale pour la contre-attaque. La jambe du coup de pied de l'agresseur est plus puissante que le bloc de l'avant-bras. Il faut donc sortir de l'axe de l'attaque pour bloquer. La vitesse de déplacement est fonction de notre position de base. Cette séquence est tirée du site web Contrôle des personnes violentes.
Robuse La clé de coude permet de déséquilibrer le partenaire vers l'avant et de le faire plier en deux (flexion du tronc) pour avoir un meilleur contrôle. Au moment d'une attaque sur un coup de poing ou une saisie, l'esquive permet de déclencher le mouvement vers l'extérieur de l'attaque; on peut aussi faire diversion avec un coup de genou dans la cuisse pour lancer le mouvement. Par la suite, il faut saisir le poignet avec la main arrière en gardant le tranchant de la main de l'agresseur vers le haut, puis venir appuyer avec l'avant-bras de la main avant sur l'insertion du coude. On tire sur le bras saisi dans le sens de la ligne des épaules de l'agresseur. Finalement, on laisse aller le partenaire dans la roulade avant. Les gestes doivent être répétés avec souplesse afin de contrôler efficacement le mouvement. Cette séquence est tirée du site web Contrôle des personnes violentes.
Hiji kudaki L'efficacité de cette clé de coude repose sur le fait de poser la main à la hauteur de l'épaule du partenaire pour être en mesure d'appliquer l'aisselle sur son coude. Pendant la descente au sol, il faut bien contrôler la clé et conserver son équilibre de façon à pouvoir répéter le mouvement de manière sécuritaire. Au moment d'une attaque sur un coup de poing ou une saisie, l'esquive permet de déclencher le mouvement vers l'extérieur de l'attaque; on peut aussi faire diversion avec un coup de genou dans la cuisse pour lancer le mouvement. Si l'on veut maximiser l'efficacité de la clé au coude, il faut reculer la jambe près du partenaire tout en gardant la pression au coude et la main le plus haut possible. On peut aussi lui dire d'aller au sol pour l'aider à comprendre la direction à suivre. La pratique de ce mouvement doit se faire avec sécurité pour éviter les blessures au coude. Cette séquence est tirée du site web Contrôle des personnes violentes.
Kataha gaeshi C'est la clé de coude robuse qui lance ici le mouvement. La main sur le coude pivote afin de faire passer l'avant-bras du partenaire par-dessus le bras. Il faut tirer le coude dans la ligne des épaules pour déséquilibrer. En pivotant, on laisse aller le partenaire dans la roulade avant. Au moment d'une attaque sur un coup de poing ou une saisie, l'esquive permet de déclencher le mouvement vers l'extérieur de l'attaque; on peut aussi faire diversion avec un coup de genou dans la cuisse pour lancer le mouvement. Lorsque l'on tire sur le coude du partenaire dans la ligne de ses épaules, la clé d'épaule devient plus efficace. Les mains restent sur son coude pendant le mouvement. Dans le deuxième exemple, le bloc inférieur avec la main avant dirige l'attaque du partenaire vers le sol tout en l'amenant dans son dos. Une fois le coude saisi à deux mains, il faut tirer dans la ligne d'épaule pour augmenter l'efficacité du geste et déséquilibrer. Dans les deux façons de faire, la douleur apparaît à l'épaule. Cette séquence est tirée du site web Contrôle des personnes violentes.
Waki gatame Il faut saisir le poignet et tirer le bras du partenaire par en dessous au niveau du coude. Prendre le contrôle de son poignet à deux mains et appuyer sur les deux premières jointures pour faire plier le poignet et provoquer la douleur. Son coude sera appuyé sur votre poitrine ou à l'intérieur de votre aisselle. Pivoter et maintenir le déséquilibre, puis laisser aller. Au moment d'une attaque sur un coup de poing ou une saisie, l'esquive permet de déclencher le mouvement vers l'extérieur de l'attaque; on peut aussi faire diversion avec un coup de genou dans la cuisse pour lancer le mouvement. Afin de garder le contrôle du bras de l'agresseur, le déséquilibre dans la ligne d'épaule devient important pour éviter qu'il se sorte du mouvement ou contre-attaque avec une frappe. Si l'agresseur est très flexible, il faut appuyer sur les jointures de l'index et du majeur, puis tourner son poignet vers l'intérieur. Cette séquence est tirée du site web Contrôle des personnes violentes.
Ue ude garami Pour la clé d'épaule avant, il faut saisir le poignet du partenaire, puis frapper rapidement avec le côté de la main (pouce vers le sol) au niveau du coude. Ensuite, on doit amener le poignet du partenaire vers notre épaule, saisir notre propre poignet, tirer dans la ligne d'épaule et projeter vers l'arrière en avançant la jambe. Au moment d'une attaque sur un coup de poing ou une saisie, l'esquive permet de déclencher le mouvement vers l'extérieur de l'attaque; on peut aussi faire diversion avec un coup de genou dans la cuisse pour lancer le mouvement. La frappe du tranchant de la main, pouce vers le sol, nous permet de plier le bras du partenaire et de saisir son poignet. Afin de garder le contrôle sur le bras, il faut tirer dans la ligne d'épaule pour créer un déséquilibre chez le partenaire et éviter qu'il puisse contrer la technique. Il faut avancer la jambe proche du partenaire pour garder notre équilibre afin d'avoir un meilleur contrôle. La douleur sera ressentie au niveau de l'épaule. Cette séquence est tirée du site web Contrôle des personnes violentes.
Ude tenbin nage Il faut ici saisir le poignet et le tourner en supination, puis placer l'autre main à l'insertion du triceps de façon à ressentir le coude du partenaire dans le creux de notre main. Pivoter ensuite sur le pied avant et amener le poignet vers le partenaire en créant un effet de levier. Au moment d'une attaque sur un coup de poing ou une saisie, l'esquive permet de déclencher le mouvement vers l'extérieur de l'attaque; on peut aussi faire diversion avec un coup de genou dans la cuisse pour lancer le mouvement. Après avoir saisi le poignet et placé le coude du partenaire dans le creux de notre main, le fait de pivoter favorise le déséquilibre et permet d'appliquer efficacement la douleur au coude. Il faut avancer la jambe près du partenaire pour maintenir le contrôle afin de garder une position sécuritaire et d'assurer l'efficacité de la clé de coude. Cette séquence est tirée du site web Contrôle des personnes violentes.
Randori Voici une partie importante du cours, dans laquelle toutes les consignes théoriques et pratiques de la première compétence sont mises à contribution. Au moment de différentes attaques (coup de poing, crochet et coup de pied), l'esquive déclenche les mouvements et permet leur application. La pratique répétée des simulations de mouvements crée des automatismes tout en augmentant l'efficacité des techniques. La simulation des mouvements peut aussi se pratiquer avec plusieurs partenaires à la fois pour ainsi développer vitesse, contrôle et précision des gestes. L'entraînement avec des partenaires de grandeur, de grosseur et de sexe différents permet de vérifier l'efficacité des techniques et leur application. Il faut travailler en souplesse pendant l'apprentissage des techniques afin d'éviter les blessures, mais il faut aussi maintenir l'efficacité des techniques. Cette séquence est tirée du site web Contrôle des personnes violentes.
Lorsque l'on prend contact avec un agresseur, la compréhension du fonctionnement des articulations nous permet de travailler avec un minimum de force et de rapidité pour obtenir un maximum d'efficacité. La grandeur ou la grosseur d'un agresseur ne devraient jamais nuire à l'application des contrôles articulaires. Pour déclencher une douleur au niveau du coude, il faut tourner la main, côté tranchant vers le haut. L'orientation du tranchant de la main et le coude seront dans un même plan. Ensuite, il s'agit d'appuyer avec l'autre main à la hauteur du coude. En ce qui concerne l'épaule, il faut tirer vers soi, avec les deux mains, le coude du partenaire pour provoquer un étirement de l'articulation de son épaule. Par la suite, on doit relever son avant-bras en gardant appui sur son coude. Au niveau du poignet, le contrôle du coude en appui sur le sol ou dans la main permet de maximiser la douleur en exerçant de la pression sur les jointures de l'index et du majeur. Les cours ne sont qu'un laboratoire. Dès la sortie de l'école, nous oublions vite les bonnes habitudes. Il faut se responsabiliser dans la pratique et, par soi-même, rechercher la précision dans l'exécution des gestes. Le travail en souplesse permet de pratiquer d'une manière sécuritaire et de garder les techniques et les conseils en mémoire. Cette séquence est tirée du site web Contrôle des personnes violentes.
La chute plaquée constitue un apprentissage fondamental de cette compétence. Sentir qu'on soulève l'agresseur dans les airs tout en gardant son sang-froid pour contrôler sa chute devient une question de confiance. Il faut se placer perpendiculairement au partenaire, lui tenir le poignet et tirer sur son bras pour le déséquilibrer. Puis, on doit amener son corps en balance sur nos épaules, en le tenant droit et en fléchissant les jambes pendant qu'on le met sur nos épaules. Le partenaire empoigne la ceinture pour se retenir et il frappe par terre, de l'autre main, au moment où son corps touche le sol. La frappe par terre permet d'atténuer les ondes de choc au moment du contact avec le sol. Cette séquence est tirée du site web Contrôle des personnes violentes.
Gesa gatame Les immobilisations servent à limiter la liberté de mouvement du partenaire, tout en gardant soi-même une position sécuritaire au sol. Il faut d'abord s'asseoir près du partenaire, nos pieds dirigés vers sa tête. Par la suite, on enveloppe son bras sous notre aisselle en le contrôlant par la manche. On place ensuite son autre bras sous sa nuque, tout en appuyant contre son corps notre cuisse qui est en contact avec le sol. Il s'agit de rester le plus près possible du sol pour garder notre équilibre, les jambes écartées. Lorsque le partenaire tente de sortir, il faut être en mesure de contrôler ses déplacements et de le maintenir immobilisé. Cette séquence est tirée du site web Contrôle des personnes violentes.
Kata gatame Les immobilisations servent à limiter la liberté de mouvement du partenaire, tout en gardant soi-même une position sécuritaire au sol. Il faut d'abord contrôler le bras du partenaire en le rabattant vers son visage : il nous faut pour cela appuyer notre épaule sur son bras en joignant nos deux mains sous sa nuque, puis serrer fortement. Il s'agit de rester le plus près possible du sol pour garder notre équilibre et pouvoir changer l'orientation de nos jambes. Cette séquence est tirée du site web Contrôle des personnes violentes.
Kami shio gatame Les immobilisations servent à limiter la liberté de mouvement du partenaire, tout en gardant soi-même une position sécuritaire au sol. Il faut se placer à la tête du partenaire et glisser les bras sous ses épaules pour saisir fermement sa ceinture. Allonger ensuite les jambes et arquer le dos pour faire pression sur son visage. Lorsque le partenaire tente de sortir, il faut être en mesure de contrôler ses déplacements et de le maintenir immobilisé. Cette séquence est tirée du site web Contrôle des personnes violentes.
Yoko shio gatame Les immobilisations servent à limiter la liberté de mouvement du partenaire, tout en gardant soi-même une position sécuritaire au sol. Il faut ici se placer perpendiculairement au partenaire et glisser un bras sous sa nuque. L'autre bras s'insère entre ses jambes de manière à lui empoigner la ceinture. Lorsque le partenaire tente de sortir, il faut être en mesure de contrôler ses déplacements et de le maintenir immobilisé. Cette séquence est tirée du site web Contrôle des personnes violentes.
Tate shio gatame Les immobilisations servent à limiter la liberté de mouvement du partenaire, tout en gardant soi-même une position sécuritaire au sol. Il faut se placer à cheval sur le tronc du partenaire et prendre le contrôle d'un de ses bras en le plaçant sur son visage. La main glisse sous la nuque et l'épaule appuie sur le bras du partenaire. L'autre main doit être libre pour garder l'équilibre. Lorsque le partenaire tente de sortir, il faut être en mesure de contrôler ses déplacements et de le maintenir immobilisé. Cette séquence est tirée du site web Contrôle des personnes violentes.
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