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Author: Madame Figaro

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Artistes, écrivains, chanteurs, chanteuses ou actrices, ils nous racontent leurs souvenirs et nous confient leur histoire. Toutes les semaines, Joseph Ghosn, rédacteur en chef adjoint de Madame Figaro, part à la rencontre d’une personnalité issue du monde du cinéma, de la culture, de la mode et lui propose de rebondir sur ses actualités. Conversations est un podcast de Madame Figaro, écrit et animé par Joseph Ghosn et produit par Figaro TV.
Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
55 Episodes
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Difficile d’être passé à côté du phénomène Marguerite. Après un passage très remarqué dans la saison 2024 de la « Star Academy », la chanteuse de 24 ans s’est imposée avec son single Les filles, les meufs, qui cumule plus de 60.000 écoutes sur Spotify. Invitée de l’émission « Conversations » de Madame Figaro, Marguerite s’est confiée sur la création de premier EP, Grandir, disponible depuis le 26 septembre.Un disque intime, qu’elle porte avec « tendresse et fierté ». La musicienne y aborde les thèmes du plaisir féminin, des préférences sexuelles, de la solitude, ou encore de la quête de soi. Des sujets qui parlent à « l’ado que j’étais », déclare-t-elle. Avant d’ajouter : « Ça a été réparateur pour moi ». La musicienne décrit cet EP comme un dialogue intérieur : « Quand j’écris, souvent, je fais des listes de questions. Ça fait du bien. Je crois qu’en se posant des questions, on se rapproche un peu plus de la réponse. » Sa participation à la saison 12 de la « Star Academy » reste une expérience que Marguerite chérit particulièrement. « C’était la première fois de ma vie que je faisais vraiment un choix, par moi-même et pour moi-même. Et ça, c’était aussi une grande libération », raconte la chanteuse. Cette expérience lui a permis de mieux cerner ses envies, ses limites et de libérer sa créativité.Conversations est un podcast de Madame Figaro, écrit et animé par Joseph Ghosn et produit par Figaro TV. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Invitée sur le canapé de l’émission « Conversations », Alice Isaaz a parlé de son dernier rôle dans la série française Nero, diffusée sur Netflix depuis le 8 octobre, dont elle partage l’affiche avec Pio Marmaï. Admiratrice du travail d’Allan Mauduit, coréalisateur de la série, la comédienne de 34 ans a été séduite par le ton décalé et la fantaisie de l’univers de Nero. « J’adore les projets d’époque », a-t-elle expliqué à Joseph Ghosn, directeur adjoint de la rédaction de Madame Figaro. Avant d’ajouter : « C’est vraiment un terrain de jeu. J’ai l’impression d’être une enfant ».Nouvelle figure à suivre du cinéma français, Alice Isaaz incarne Hortense, une héroïne qui s’affirme tout au long de la série. « J’adore les personnages qui dénotent un petit peu, qui éveillent ma curiosité. » Un rôle qui la ramène à sa propre évolution, notamment à ses débuts, lorsqu’elle est arrivée à Paris à l’âge de 18 ans dans le but de devenir actrice.Révélée dans le film La Crème de la crème (2014) de Kim Chapiron, et dans Espèces menacées (2017) de Gilles Bourdos, Alice Isaaz a connu une ascension fulgurante. La comédienne explique avoir été encouragée dans cette voie par son entourage : « J’ai grandi dans une famille qui m’a apporté plein d’amour, encore aujourd’hui. J’ai eu énormément de chance. Je pense que je suis bien accompagnée. »Conversations est un podcast de Madame Figaro, écrit et animé par Joseph Ghosn et produit par Figaro TV. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
« C’est une exploration assez large du pouvoir dans la société contemporaine », explique Karine Tuil à propos de son nouveau roman intitulé La Guerre par d’autres moyens et publié aux éditions Gallimard. Dans ce récit, elle raconte la vie de Dan Lehman, un ancien président de la République devenu alcoolique, qui voit son couple avec la jeune actrice Hilda Müller sombrer, et qui tente de revenir sur la scène médiatique. Invitée de l’émission « Conversations », l’auteure de La Décision explique à Joseph Ghosn, directeur adjoint de la rédaction Madame Figaro, qu’elle avait « envie de raconter ce point de bascule chez un homme qui chute d’un piédestal. (...) Ce qui m’intéresse en littérature c’est de saisir les êtres au moment où ils vacillent. Et ce livre parle de toutes les sortes de pouvoir : le pouvoir politique, l’après pouvoir, le pouvoir dans un couple (...), le pouvoir entre les hommes et les femmes après Me Too...». L’auteure poursuit aussi son étude du couple, cette entité « mystérieuse » à ses yeux, et comment il résiste au quotidien. « Je l’ai exploré dans mes romans, le sexe peut consolider un couple mais aussi devenir un élément de perturbation, de destruction », explique-t-elle.Au cours de cette émission, Karine Tuil a également évoqué son recueil de poésie intitulé Kaddish pour un amour et publié en 2023. « Après La Décision j’avais envie de revenir aux mots comme matériaux bruts. (...) Ça a été une expérience artistique et humaine, car la poésie touche quelque chose de plus intime, de plus authentique et politique ». Après La Guerre par d’autres moyens, la romancière révèle alors « retourner bientôt à (sa) solitude et écrire un prochain roman ».Conversations est un podcast de Madame Figaro, écrit et animé par Joseph Ghosn et produit par Figaro TV. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Invitée de l’émission « Conversations », Marina Foïs est à l’affiche du film Magma de Cyprien Vial, sorti en mars dernier. Elle y interprète Katia Reiter, une volcanologue faisant face avec Aimé, un jeune guadeloupéen qui apprend le métier avec elle, à un possible réveil du volcan la Soufrière. Elle explique à Joseph Ghosn, directeur adjoint de la rédaction Madame Figaro, que ce film « questionne la culture, l’histoire, les réflexes de pensée ». Puis, elle précise, en souriant : « Je me disais que c’était bien d’avoir comme partenaire principal un volcan, ça change ».Au cours de cette émission, l’actrice nommée quatre fois au César de la meilleure actrice évoque son « addiction » pour le cinéma, qui lui sert à se « divertir » et à « (s)’approfondir ». « L’année dernière, je n’ai pas tourné pendant six mois, et au bout de quelques mois ça me manquait viscéralement », raconte-t-elle. Une passion pour le septième art qui la conduit bientôt à « repartir aux Canaries pour tourner avec Rodrigo Sorogoyen et Javier Bardem ».Conversations est un podcast de Madame Figaro, écrit et animé par Joseph Ghosn et produit par Figaro TV. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
« Fatigant, excitant, exaltant.» Trois mots par lesquels Camille Razat résume sa carrière en pleine ascension. À 31 ans, l’actrice est à l’affiche de deux séries françaises à succès — Nero, diffusé sur Netflix, où elle joue aux côtés de Pio Marmaï et d’Alice Isaaz, et Les Disparues de la gare, inspirée d’une histoire vraie et disponible sur Disney +. Invitée dans l’émission « Conversations » de Madame Figaro, la comédienne est revenue sur son rôle dans la série policière.Un parcours en constante évolutionCamille Razat est une personnalité aux multiples facettes, qui ne souhaite pas rester se cantonner à un seul rôle. Mondialement connue pour son personnage dans la série Emily in Paris, elle cherche désormais à s’émanciper de cette image. « Je pense que peut-être les gens ont une projection de ce que j’aime ou de qui je pourrais éventuellement être, qui n’est pas forcément vrai, du fait qu’on m’ait connu par Emily in Paris », confie-t-elle.En parallèle de sa carrière d’actrice, elle a fondé Tazar Production, une société dédiée à la production de films et de clips musicaux. « Moi, ce qui me manquait dans ma vie, c’était d’être aussi un moteur pour les autres et de, pourquoi pas, fédérer, mais surtout d’avoir un esprit de collectivité », déclare-t-elle. Camille Razat évoque également une autre de ses passions, les jeux vidéo. Elle a notamment salué le jeu français Clair-Obscur : Expédition 33, sorti cette année et largement plébiscité à l’international.Conversations est un podcast de Madame Figaro, écrit et animé par Joseph Ghosn et produit par Figaro TV. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Anna Mouglalis se produit en ce moment sur les planches du théâtre de l’Atelier dans la pièce La chair est triste hélas, un texte écrit par l’autrice et réalisatrice Ovidie et publié par Vanessa Springora. Un récit qui parle des femmes, des violences sexuelles et de grève du sexe. Ce spectacle teinté d’humour dénonce « la violence de l’hétérosexualité comme système politique », a expliqué l’actrice de 47 ans à Joseph Ghosn, directeur adjoint de la rédaction de Madame Figaro.Invitée dans l’émission « Conversations », Anna Mouglalis s’est confiée sur ce rôle. « Ce texte est tellement personnel qu’il en devient complètement universel dans ce qu’elle vit d’une expérience de femme hétérosexuelle, dans les injonctions que crée la sexualité hétérosexuelle », a déclaré la comédienne.L’interprète de Gabrielle Chanel dans Coco Chanel et Igor Stravinsky (2009) s’est également exprimée sur la sortie récente de son album rock, intitulé Ô Guérillères, réalisé avec le groupe Draga et porté par le label CryBaby. Anna Mouglalis y reprend les textes engagés de l’écrivaine féministe Monique Wittig, une véritable source d’inspiration pour la comédienne.Lors de son entretien, Anna Mouglalis a en effet évoqué les femmes qui ont marqué de sa vie, notamment Brigitte Fontaine, une « figure de liberté » en « transgression permanente ». L’actrice a aussi déclaré son admiration pour Virginie Despentes et pour son œuvre King Kong Theory : « C’est un livre qui a changé énormément de choses, sur les violences sexuelles, nos expériences de femmes dans la domination masculine ». Des véritables porte-parole féministes, qui ont inspiré la carrière et les engagements d’Anna Mouglalis.Conversations est un podcast de Madame Figaro, écrit et animé par Joseph Ghosn et produit par Figaro TV. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
« Je mets la dernière pierre sur le cercueil de l’enfant battu. Ça y est, je suis grand, j’ai une famille, je peux oublier d’où je viens. » Pour Sorj Chalandon, la sortie de son dernier roman Le Livre de Kells signe la fin d’un cycle. De l’enfant battu au sans-abri jusqu’à l’écrivain émérite, il dresse le bilan de sa vie pour la dernière fois, avant de clore ce chapitre.« Ce livre-là, c’est un aveu. Et c’est un aveu qui est difficile. L’aveu d’avoir été dans la rue, l’aveu d’avoir pris de la drogue aussi, l’aveu d’être rentré dans un mouvement violent et d’être entré en violence, l’aveu d’en être sorti », a confié Sorj Chalandon à Joseph Ghosn, directeur adjoint de la rédaction de Madame Figaro, pour l’émission « Conversations ». Sorj Chalandon, qui a fait ses débuts à Libération et désormais journaliste au Canard enchaîné, est revenu sur les moments difficiles de sa jeunesse, après avoir quitté le domicile familial à 17 ans pour fuir un père violent.Lors de son entretien, Sorj Chalandon relate les rencontres qui ont marqué sa vie, notamment celle des militants maoïstes qui l’ont sorti de la rue. L’écrivain fait le choix d’évoluer en marge des idées antisémites et racistes de son père, et de se forger une opinion qui lui est propre. Il veut par ailleurs s’émanciper de son patrimoine culturel familial qu’il perçoit comme limité, une lacune qu’il a encore du mal à reconnaître.Sa jeunesse difficile reste néanmoins sa matière première lors de l’écriture de ses romans, qui sont souvent à la limite de l’autobiographie. « La phrase que je déteste la plus, c’est “il faut tourner la page”, a expliqué Sorj Chalandon à Joseph Ghosn. Moi, je ne tourne aucune page. Mon socle, ce sont mes blessures, tout ce que j’ai pu vivre de pire et de meilleur. » L’auteur explique vouloir néanmoins s’éloigner de sa vie pour ses futurs écrits, et tenter l’exercice de la fiction.Conversations est un podcast de Madame Figaro, écrit et animé par Joseph Ghosn et produit par Figaro TV. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
« C’est un état de fébrilité quand on sort un livre » confie Anne Berest à Joseph Ghosn à propos de la sortie de son nouveau livre Finistère. Sur le canapé de l’émission « Conversations », l’auteure a évoqué ce récit dédié à sa branche paternelle bretonne qui prolonge  la thématique de la mémoire, déjà au cœur de son précédent roman La Carte postale.  « D’une certaine façon, mon champ d’expérimentation littéraire est celui de la transmission par l’arbre généalogique » explique-t-elle.Habituée à l’écriture, elle distingue deux types d’auteurs. « Il y a ceux qui écrivent sans penser au lecteur, parce que c’est quelque chose qui sort d’eux, d’un jaillissement où ils ne se préoccupent pas de la réception, puis il y a ceux qui écrivent en pensant au lecteur ». Elle se reconnaît dans cette catégorie : « J’ai toujours mon lecteur dans la tête quand j’écris.»Un lien qui lui permet d’imaginer la réaction de ceux qui liront son roman :  « Mon souhait, c’est que, lorsque les gens refermeront ce livre, ils aient envie de parler à leur père. Il faut se dire qu’on s’aime, il faut se dire les mots. On ne peut pas passer les uns à côté des autres ». Finistère sonne donc comme une ode à la transmission.Conversations est un podcast de Madame Figaro, écrit et animé par Joseph Ghosn et produit par Figaro TV. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
« C’est une rentrée plutôt joyeuse, parce que j’ai de la visibilité sur mon année, des projets qui m’enthousiasment beaucoup et sur lesquels je suis coproductrice », explique Audrey Fleurot à Joseph Ghosn, directeur adjoint de la rédaction de Madame Figaro. Invitée de « Conversations », l’actrice est à l’affiche du film Regarde d’Emmanuel Poulain-Arnaud. Elle y interprète Chris, une femme divorcée d’Antoine (Dany Boon), avec qui elle peine à s’entendre. Mais lorsqu’ils apprennent que leur fils Milo va perdre la vue, ils décident de partir en vacances pour qu’il profite de ses derniers moments de vision.Plusieurs thématiques ont donné envie à l’actrice de jouer ce rôle : il s’agit de la représentation de la « phase de la vie quand les enfants commencent à grandir », mais aussi celle de « l’amoureuse déchue » et de la manière de « réinventer la famille ». Ce film explore un sujet intime : « C’est beaucoup à travers les enfants qu’on se découvre. Et ça m’intéressait de creuser ça, le deuil de sa propre adolescence, puisque Chris reste un peu figée dans cette époque ».Alors qu’elle est habituée au tournage de la série HPI, l’actrice explique la différence entre cette expérience et celle au cinéma, qu’elle qualifie d’« orfèvrerie ». « Au cinéma, on a vraiment le temps de creuser, de chercher, là où, en série, il faut produire. Mais j’aime beaucoup travailler dans l’urgence parce que ça met dans un état de création et de sollicitation permanente ».De projets en projets, l’actrice espère « beaucoup d’aventures ». « Plus on gagne en âge, moins on a de premières fois. Et je me souhaite encore beaucoup de premières fois, parce que c’est ce qui est le plus excitant ». Un vœu qui en dit long pour la suite de son parcours.Conversations est un podcast de Madame Figaro, écrit et animé par Joseph Ghosn et produit par Figaro TV. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
À l’affiche de Connemara, réalisé par Alex Lutz et adapté du prix Goncourt 2018 de Nicolas Mathieu, Mélanie Thierry était l’invitée de « Conversations », une émission animée par Joseph Ghosn, directeur adjoint de la rédaction de Madame Figaro. Dans ce film, l’actrice interprète Hélène, quadragénaire parisienne en burn-out qui revient vivre dans les Vosges, sa région natale, où elle entame une idylle avec Christophe Marchal (Bastien Bouillon), dont elle était amoureuse au lycée et qui est toujours resté dans la région.C’est particulièrement la représentation du « passage à la quarantaine » qui a donné à l’actrice l’envie de jouer ce rôle. « À la quarantaine, il y a quelque chose de plus profond qui se joue. C’est au moment où on est obligé de faire une forme de constat sur ce qu’on a réussi, ce qu’on a échoué. Puis à nouveau, il faut s’assumer davantage, être en accord avec ses désirs. (...) On découvre Hélène à un moment où elle a réussi d’une certaine façon sa vie de femme, elle s’épanouit dans son métier, elle a créé sa famille et voit ses enfants grandir. Mais il y a un coup de boomerang qui vient l’achever, il va falloir qu’elle se reconstruise. Ce que j’aime bien, c’est d’avoir la nécessité de se réinventer », explique l’actrice.Ce film, qu’elle qualifie de « millefeuille » d’enjeux, évoque notamment la notion de transfuge de classe et de retour à la région natale par le personnage d’Hélène qui vient d’un milieu modeste. Une expérience que l’actrice explique ainsi : « Il y a quelque chose d’ambivalent à vouloir s’échapper de sa terre natale, à devoir mettre loin de soi tout ce qui fait appel à l’enfance, à tous ses souvenirs. (...) Une fois que tu as un gros coup dur, l’endroit qui va t’accueillir à nouveau, c’est ce terreau dans lequel tu as tes repères. Pourtant, c’est douloureux d’y revenir.»Après ses rôles dans La Princesse de Montpensier, La Douleur, La Chambre de Mariana ou encore Au revoir là-haut, l’actrice poursuit dans Connemara son parcours marqué par des adaptations littéraires. « Ce qui est particulier quand tu découvres un livre en sachant que tu vas incarner le personnage, c’est qu’il faut lui donner vie. Tout ce que tu lis, tu t’en sers pour trouver les contours de ce que tu vas jouer. Tu n’as pas la même perception. » Une interprétation qui confirme son intérêt pour les personnages de papier.Conversations est un podcast de Madame Figaro, écrit et animé par Joseph Ghosn et produit par Figaro TV. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Invitée dans l’émission « Conversations », Mélanie Laurent revient sur la genèse et le tournage de son 8e long-métrage en tant que réalisatrice. La Parisienne sort sur Prime Vidéo le film Libre sur l’histoire vraie du braqueur Bruno Sulak, incarné par Lucas Bravo. Elle raconte à Joseph Ghosn, directeur adjoint de la rédaction de Madame Figaro, avoir eu envie de revenir sur ce destin étonnant après avoir lu le livre Sulak de Philippe Jaenada. Elle n’avait jamais entendu parler de ce braqueur gentleman qui a défrayé la chronique dans les années 1980 : « Il était au cœur des médias. Mais la vraie question, presque sociétale, que je me pose quand je commence à vouloir faire ce film est : “Pourquoi l’histoire oublie ceux qui n’ont tué personne ? Pourquoi en France on idolâtre nos bourreaux et nos mafieux ?” ».L’actrice césarisée pour son rôle dans Je vais bien, ne t'en fais pas explique aussi avoir souhaité donner une plus grande place aux femmes pour sortir des clichés de ce genre cinématographique : « En fait, le film de braquage (...) c’était vraiment un prétexte pour raconter cette magnifique histoire d’amour et la place de cette femme dans sa vie à lui ». Et de compléter en expliquant qu’elle appréciait «de rendre le film de braquage le plus féminin possible ».Elle nous dévoile aussi une photo prise avec Lou de Laâge et Joséphine Japy prise sur le tournage de son premier film Respire. L’occasion de revenir sur son rapport à la réalisation : « Je pourrais raconter ma vie en fonction des films que je réalise ». Multipliant les projets en tant qu’actrice et réalisatrice, elle révèle ainsi tourner dans le premier film de Joséphine Japy, finir de tourner une série avec Benoît Magimel, écrire une série et avoir fini la première version de son prochain film en tant que réalisatrice… De quoi nous faire patienter.Conversations est un podcast de Madame Figaro, écrit et animé par Joseph Ghosn et produit par Figaro TV. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Melvil Poupaud était l’invité de l’émission « Conversations » à l’occasion de la sortie au cinéma du nouveau film de Dominique Baumard, Les Règles de l’art. Il y interprète Yonathan, un expert en montres de luxe qui s’associe à Éric (Sofiane Zermani), un receleur et escroc. Lorsque Jo (Steve Tientcheu), cambrioleur, répond à une commande d’Éric en volant cinq peintures du Musée d’art moderne de Paris, tout s’accélère. Inspiré d’une histoire vraie, ce film offre un savant « équilibre entre comédie, film de gangsters, polar, film de braquage, film sur l’amitié (...) », explique l’acteur à Joseph Ghosn, directeur adjoint de la rédaction de Madame Figaro. Et de compléter : « Il y a aussi une réflexion sur l’art, sur ce que c’est que d’avoir un tableau ».Lors de l’émission, l’acteur et musicien est aussi revenu sur son rôle dans la série Ovni(s)  diffusée sur Canal +. « Je suis fan d’Ovni(s), je trouve que c’est un de mes meilleurs rôles, et quand on vient me parler de cette série, je suis toujours content parce que je sais que c’est profond. » En tournage d’une autre série actuellement, l’acteur a aussi évoqué un projet annexe à son métier : il a récemment rouvert un célèbre bar avec des amis dans le 14e arrondissement de Paris.Conversations est un podcast de Madame Figaro, écrit et animé par Joseph Ghosn et produit par Figaro TV. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Après avoir séduit le grand public dans le rôle du psy de la série En thérapie, Frédéric Pierrot est à nouveau irrésistible dans Les Musiciens, film choral et musical de Grégory Magne. Il y interprète un compositeur taiseux et solitaire qu’une héritière sollicite pour créer l’harmonie dans un quatuor de Stradivarius. Lors de l’émission « Conversations », l’acteur a expliqué à Joseph Ghosn, directeur adjoint de la rédaction de Madame Figaro, ce qui l’avait séduit dans la proposition de Grégory Magne : « Je n’ai pas dit par hasard, à un moment donné du film, que la musique était pour moi une manière d’échapper aux pesanteurs du langage. Je trouve qu’on est dans une période extrêmement délicate sur le plan du langage. (...) Il y a quelque chose qui s’est perdu. Il faut lire des beaux textes en ce moment. Des grands auteurs ».Pour entrer dans la peau de son personnage, il précise s’être inspiré d’un grand musicien et compositeur, Jean Françaix, qu’il rencontrait alors qu’il était technicien sur les tournages : « J’étais machiniste à l’époque, et je faisais un travelling d’un orchestre de Jean-Claude Casadesus qui jouait Françaix. Et il était là. »Et l’acteur d’évoquer aussi son approche du métier de comédien lors de cette interview. « Un film, c’est un travail collectif. Et les scènes, c’est quelque chose qu’on invente collectivement. Il faut absolument, à un moment donné, lâcher prise. On ne peut pas arriver avec une idée certaine de ce qu’il faut faire, ce n’est pas vrai. Il faut que ça se fasse avec les autres. Et ça c’est merveilleux. » L’acteur qui a joué des rôles particulièrement variés, notamment dans les films de François Ozon, Agnès Jaoui, Roschdy Zem ou Valérie Donzelli, est également revenu sur leur impact sur sa personnalité : « C’est curieux parce qu’on n’est aucun des personnages que l’on incarne. Et cependant, on l’est tout de même un peu, et on le reste ad vitam ». Et de compléter : « Je n’ai pas fait la guerre d’Espagne, mais j’ai fait un film dessus. (...) Et de temps en temps, quand j’entends parler de la guerre d’Espagne, je suis comme un vétéran qui l’aurait faite. » Il dévoile aussi son secret pour résister au chaos du monde : « Marcher, longtemps. Avec ma compagne, on part un mois, avec juste un sac ».Conversations est un podcast de Madame Figaro, écrit et animé par Joseph Ghosn et produit par Figaro TV. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
« Il y a sans doute encore des fragments de punk en moi, effectivement. Dans la transgression, dans la différence, dans le fait d’oser tout simplement », explique Jean-Charles Castelbajac à Joseph Ghosn, directeur adjoint de la rédaction de Madame Figaro, dans « Conversations ». Le créateur était invité à l’occasion de ses multiples actualités. En effet, il collabore à l’exposition « Le Style Snoopy » pour célébrer le 75e anniversaire des Peanuts, son tailleur Bambi de la collection « Go ! Go ! Diva » est exposé au musée du Louvre pour « Louvre Couture. Objets d’art, objets de mode » et il prépare sa rétrospective. Cette émission était l’occasion d’évoquer son début de carrière : « Très tôt, j’ai commencé à conquérir Paris parce que je venais de province, de Limoges. J’ai été appelé par les guitares des Yardbirds à Paris, à Londres. Et tout de suite, j’ai eu la chance de connaître un monde de création, un monde qui était une énergie... » Sa jeunesse dans le Limousin a été une source d’inspiration : « J’aimais ces terres. Je me souviens des premières photos pour les magazines américains, j’avais un mouton sur les épaules. Je revendiquais cet attachement à la terre, notamment dans les vêtements de travail, les uniformes, la tradition du feu ».Au cours de cet entretien, le styliste est aussi revenu sur son travail avec le diocèse de Paris : il avait conçu la paramentique portée par les officiants de la cérémonie de réouverture de l’église de Notre-Dame de Paris. « L’accomplissement de 40 années de création avec l’Église (...) sous les yeux de 1,3 milliard de personnes ». Le styliste avait débuté sa collaboration avec le comité d’art sacré en 1987, en concevant des « vêtements liturgiques » pour les messes célébrées dans le milieu carcéral, puis avait créé les habits portés par le pape Jean-Paul II pour les Journées mondiales de la jeunesse de 1997. « La couleur, c’est ce qu’avait dit Jean-Paul II, est un ciment universel. C’est un ciment de la foi, mais c’est surtout un ciment de paix », explique-t-il.Pour le créateur, l’émission a aussi été l’occasion d’évoquer sa conception du style : « Je crois que la mode est le plus grand langage universel aujourd’hui. C’est pour ça que tout le monde converge (...) : la mode devient de l’art à partir du moment où elle dépasse sa dimension fonctionnelle. » Un entretien à découvrir sur notre site.Conversations est un podcast de Madame Figaro, écrit et animé par Joseph Ghosn et produit par Figaro TV. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
« C’est une femme abîmée, qui essaie de retrouver ses marques », explique Zita Hanrot à Joseph Ghosn, directeur adjoint de la rédaction de Madame Figaro, à propos du personnage qu’elle incarne dans « Aux jours qui viennent, réalisé par Nathalie Najem. Sur le canapé de l’émission « Conversations », elle évoque ce nouveau film qui porte sur l’emprise et les violences conjugales. Elle y interprète le rôle de Laura, trentenaire en reconstruction après sa séparation avec Joachim (Bastien Bouillon) et élevant seule sa fille. Lorsque Shirine (Alexia Chardard), la nouvelle compagne de Joachim, a un accident, les deux femmes vont se rapprocher. « Ce qui m’a plu et ce que j’ai encore plus remarqué en voyant le film, c’est cette solidarité qui se met en place entre ces femmes. Lorsque nous le présentions en avant-première, Nathalie Najem parlait d’une levée de boucliers ensemble », souligne l’actrice.Celle qui avait remporté le César du meilleur espoir féminin en 2016 pour son rôle dans Fatima raconte les origines de son goût pour son métier : c’est en partant à dix-neuf ans à New York chez sa meilleure amie qu’elle a « pris la décision d’œuvrer » pour sa passion et de « passer les concours des écoles nationales et du Conservatoire ». Alors qu’elle avait déjà réalisé un court-métrage intitulé La Maman des poissons, elle révèle aujourd’hui « écrire un long-métrage ». Une nouvelle étape dans son parcours cinématographique.Conversations est un podcast de Madame Figaro, écrit et animé par Joseph Ghosn et produit par Figaro TV. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
« Quand je voudrai me souvenir de ce que j’étais de mes 16 à mes 26 ans, je pourrai réécouter cet album », explique Yoa à propos La Favorite. Invitée de l’émission « Conversations », animée par Joseph Ghosn, directeur adjoint de la rédaction de Madame Figaro, celle qui a été élue Révélation scène aux Victoires de la Musique 2025 a sorti ce premier album en début d’année. « Il a pour vocation de présenter l’artiste qu’il y a derrière. (...) C’est en étant très intime dans ses récits qu’on arrive à toucher beaucoup de monde ».Au cours de cette discussion, la chanteuse qui avait déjà publié deux EP, a évoqué son processus d’écriture : « J’ai une écriture très instinctive. Souvent, je garde les premiers jets, parce que j’ai l’impression que c’est ce qui est le plus sincère. »Après l’Olympia cette année, Yoa interprétera son album à la salle Pleyel en janvier 2026. Elle se projette aussi dans le prochain chapitre de sa carrière, et confie beaucoup écrire en ce moment. « C’est drôle, car mon album se termine avec une phrase qui se répète en boucle, et qui dit “Je n’ai pas écrit la suite” », s’amuse-t-elle. Une promesse qui en dit long sur son avenir musical.Conversations est un podcast de Madame Figaro, écrit et animé par Joseph Ghosn et produit par Figaro TV. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
C’est la révélation de l’année, propulsée par le succès de Culte, série Prime Video sur la fabrication de la téléréalité « Loft Story » où elle incarnait Loana. Au Festival de Cannes, Marie Colomb a reçu le trophée Chopard de la révélation féminine, remis des mains d’Angelina Jolie. Au Festival Canneseries, elle a été lauréate du prix Madame Figaro Rising Star Award. Lors de l’émission « Conversations », au micro de Joseph Ghosn, directeur adjoint de la rédaction Madame Figaro, l’actrice est revenue sur le rôle qui lui a permis d’exploser : « J’ai eu la sensation, même si j’ai eu d’autres très beaux rôles que j’ai aimés, d’avoir pu mettre tout mon cœur dedans. (...) »Au cours de cet entretien, l’actrice qui a fêté ses 30 ans au mois de juillet, explique l’impact de l’âge sur sa carrière : « Dans nos métiers, le rapport à l’âge est compliqué. (...) Récemment, j’ai fait un casting où je pouvais intéresser, et je pense que j’aurais eu vraiment mes chances quelques années plus tôt. Mais là, l’âge est vraiment le problème. Et carrément, j’ai fait un casting avec une maquilleuse qui me maquillait pour essayer de me rendre la plus jeune possible », raconte-t-elle. Celle qui a été élevée dans la musique par un père jazzman est ensuite prise d’émotion à l’écoute d’un morceau de Miles Davis.Conversations est un podcast de Madame Figaro, écrit et animé par Joseph Ghosn et produit par Figaro TV. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
« J’ai le syndrome de l’imposteur en permanence. J’ai des bouffées d’angoisse. Franchement, en ce moment, ce n’est pas génial d’être dans ma peau », confie Elsa Wolinski à Joseph Ghosn, directeur adjoint de la rédaction de Madame Figaro. Invitée de « Conversations », la journaliste, chroniqueuse et auteure évoque avec sincérité ses « vagues à l’âme ». « Ça fait longtemps que ça me fait ça. J’ai des périodes de mieux. Mais quand tout à coup, la faille s’ouvre, c’est difficile d’en sortir », raconte-t-elle.Celle qui traite de la ménopause sans tabou dans son podcast Allez j’ose, se dit « pleine d’injonctions », contrairement à ses deux filles. « Mes enfants sont ma plus grande réussite. J’ai fait des filles qui sont bien dans leur peau, qui n’en ont rien à faire de ce que l’on peut penser, de comment elles s’habillent, de comment elles sont, de combien elles pèsent. Elles sont heureuses de vivre ».Fille du dessinateur de presse Georges Wolinski, victime en 2015 de l’attentat contre Charlie Hebdo, et de la journaliste Maryse Wolinski, décédée d’un cancer en 2021, l’auteure estime parfois que cet « héritage l’étouffe » : « Quand on a des parents qui ont écrit, qui ont dessiné, qui ont existé à travers leurs œuvres, on se sent le devoir de continuer à les faire exister, parce que je sais que c’est ça qu’il faudrait faire. Mais je n’y arrive pas. » De son père, elle a hérité son « engagement » : « Mon intérêt pour l’être humain, mes combats contre les violences faites aux femmes et les violences intrafamiliales, ça vient de lui ». Des convictions qu’elle partage notamment à travers son podcast, ses chroniques et ses réseaux sociaux.Conversations est un podcast de Madame Figaro, écrit et animé par Joseph Ghosn et produit par Figaro TV. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Après six années d’absence discographique depuis Panorama, Vincent Delerm est de retour avec un huitième album intitulé La Fresque. Un nom évocateur, lié à la multitude de figures — allant de ses proches à des peintres, artistes, cinéastes, personnages — ayant forgé son inspiration, à l’image de la pochette de l’album où apparaissent de nombreuses silhouettes. Une manière, selon lui, de « célébrer toutes ces personnes ensemble ». « L’image mentale que j’avais sur ce disque était une sorte de grande fête dans un champ avant l’été, où on voyait tous les gens arriver d’un peu partout. Une fête qui réunissait tous les gens d’une vie. J’imaginais la personne qui m’a appris à jouer du piano en train de discuter avec Colombo, et ainsi de suite », confie-t-il à Joseph Ghosn, directeur adjoint de la rédaction de Madame Figaro, sur le canapé de l’émission « Conversations ».Il se confie sur son évolution depuis ses débuts en 2002, et son travail « pour transmettre quelque chose d’intime et émotionnel ». « L’enjeu c’est d’être réglo, aligné sur qui on est, de ne pas inventer une vie qu’on n’a pas », détaille-t-il. Sans être consensuel non plus : « Mettre tout le monde d’accord, c’est un talent que je n’ai pas », avoue-t-il.Le chanteur qui avait écrit la pièce Le Fait d’habiter Bagnolet raconte également son goût pour la scène, qui représente ce qu’il « préfère au-delà de tout » : « Pendant longtemps, quand j’ai commencé, je me disais que je pourrais faire des spectacles sans sortir d’album, mais qui contiendraient des chansons. L’idée d’être du côté du théâtre me plaisait ». Un attrait pour la représentation qu’il s’apprête à retrouver, puisqu’il prépare un nouveau spectacle.Conversations est un podcast de Madame Figaro, écrit et animé par Joseph Ghosn et produit par Figaro TV. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Elle a repris des titres de Dalida, Ben Mazué ou encore Orelsan dans son EP Caroussel. C’est aujourd’hui pour les compositions de son premier album Fille lacrymale que Styleto est invitée de l’émission « Conversations ». Celle qui organisait des concerts pour sa famille à « chaque repas de Noël » lorsqu’elle était enfant a commencé sa carrière de chanteuse en publiant ses reprises sur les réseaux sociaux, où elle dévoilait déjà des vidéos de sa vie quotidienne. « Quand j’ai commencé la chanson, j’ai fait le choix de ne pas supprimer tout ce que j’avais fait avant parce que je n’ai pas du tout honte de mon parcours. C’est une manière très chouette de garder un lien avec les gens » raconte-t-elle à Joseph Ghosn, directeur adjoint de la rédaction de Madame Figaro.Alors qu’elle « adore les reprises », l’auteure et interprète a pourtant éprouvé l’envie de se livrer à travers ses propres compositions. Sa chanson Fier de ta mère, évoque par exemple son hésitation à avoir des enfants, un sujet qu’elle aborde souvent avec ses proches : « J’ai souvent cette discussion avec mes amis, filles ou garçons. Je ne connais pas d’autres chansons qui en parlent ».Après un concert à l’Olympia complet, Styleto poursuit sa tournée en France et se produira le 5 décembre au Zénith de Paris. Écrivant actuellement de nouveaux titres, elle dit avoir « hâte de faire un autre album pour encore plus apprendre à se connaître ». Une carrière prometteuse se dessine.Conversations est un podcast de Madame Figaro, écrit et animé par Joseph Ghosn et produit par Figaro TV. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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