Le Conviviabule, la petite bulle conviviale pour fomenter un avenir meilleur. Avec Florian Candelieri, archéologue, numismate, ancien co-président du SEL (système d’échange local) de La Chaux-de-Fonds.Et si nous nous offrions des bulles inspirantes dès la rentrée ? La petite bulle conviviale pour fomenter un avenir meilleurMERCREDI 1er octobre 2025, 18h ATELIER : Et si nous vivions sans argent? Avec Florian Candelieri, archéologue, numismate, ancien co-président du SEL (système d’échange local) de La Chaux-de-Fonds.Au chapeau. Suivi d'un apéro dînatoire. A la coopérative d'en face (Edmond-de-Reynier 3, Neuchâtel). Inscription ici L'origine de l'argent est consubstantielle des systèmes de pouvoir et de domination. Quelles croyances nous habitent par rapport à l'argent? Pourquoi perpétuons-nous ces systèmes? Et qu'est-ce qui nous empêche de re-découvrir le don? Explorer ensemble ces questions pour permettre de faire émerger une véritable économie post-capitaliste est essentiel aujourd'hui, pour que la confiance remplace la méfiance, que la coopération remplace la compétition et enfin que la Paix remplace la guerre.
Le Conviviabule, la petite bulle conviviale pour fomenter des avenirs désirables. Avec Mariana et Aureliano Marin de Musica Social Saviez-vous que la musique possède un pouvoir inscoupçonné pour transformer des individus et les communautés, agissant comme un levier puissant pour la solidarité et l'intégration ? Lors de ce Conviviabule, Aureliano et Mariana Marin présenteront Musica Social : Quand la Musique Devient un Acte de Solidarité. Tous deux exploreront comment leurs valeurs - l'intégration, la solidarité, le partage, le respect, l'écologie et la non-violence- prennent vie à travers leurs projets. Le rôle de la musique comme langage universel sera abordé, un outil qui permet à chacun-e de trouver sa place, de s'exprimer et de renforcer le lien social. Pour illustrer ces enjeux, Aureliano et Mariana vous emmèneront au coeur de leurs ateliers. Découvrez l'énergie de leurs ateliers de percussion qui unissent par le rythme, l'harmonie de leur chorale et de leur "Groupe des Voisin-es" qui tisse des liens intergénérationnels, et la richesse de leurs divers ensembles. Nous verrons comment, loin de la concurrence, la musique peut nous enseigner la coopération et le développement de notre identité individuelle et collective. Rejoignez-nous pour imaginer ensemble une musique au service de la société !
Arpenter la robustesse (et déchirer un livre pour le lire en groupe, vous y croyez?) C’était un mercredi soir sur la terre. Vingt humains réunis pour vivre l’impensable : déchirer un livre en 20 parties pour le lire ensemble. C’est ça, l’arpentage. Lire ensemble. Oser dire qu’on ne comprend rien. Qu’on n’a pas aimé. Qu’on adoré. Qu’il y a ce truc incroyable à la page 128 qu’on n’aurait jamais lu si on s’était perdu-e seul-e à la page 12. Et franchement, nous n’avons pas été de trop pour venir à bout du texte dense et intimidant de Olivier Hamant, « La troisième voie du vivant ». C’est là tout le secret de l’arpentage : transformer un texte exigeant en une expérience vivante grâce à la force du collectif. Chacun-e de nous a apporté sa curiosité, ses questions, ses réactions, ses émotions. Ici, le texte n’était plus seulement un objet à lire, il est devenu un terrain de jeu pour explorer, débattre, rire et réfléchir. On a partagé nos impressions, confronté nos compréhensions, échangé nos étonnements. Des concepts compliqués sont devenus accessibles. Des idées abstraites ont pris corps dans nos discussions. Le plaisir de la lecture était réel, immédiat, et partagé. Nous avons parlé cabillaud, dopamine, vent dans les feuilles, hasard, sérendipité, droit mou, flagelles, tangping et pâte feuilletée. Et puis aussi redondance et abondance. Et ça nous a fait rire. Et ça nous a fait réfléchir. C’était bien, quoi… C’est ça, la force de l’éducation populaire : rendre vivantes des idées complexes, stimuler la réflexion critique, créer du lien et montrer que même les textes les plus exigeants peuvent nourrir un échange collectif riche et joyeux. À la fin de la séance, chacun·e est reparti avec plus qu’un livre lu : une expérience, des nouvelles perspectives, des rencontres, et le souvenir d’avoir lu ensemble. Merci au Conviviabule et à Nathalie Ljuslin d’avoir rendu ça possible ici. Merci à vous toutes et tous, lecteurices acharné-es. Et merci à toi, Arthur ☀️ Massonneau pour avoir guidé cette soirée exceptionnelle. (texte de Florence Hügi)
Le Conviviabule, la petite bulle conviviale pour fomenter un avenir meilleur. Gabriel Malek explore une question audacieuse : Et si les mangas japonais et leurs cousins coréens, les manhwas, portaient en eux les germes d’un nouveau monde ? Dans ces univers de fiction, il voit émerger une critique radicale du capitalisme, des dérives écologiques et des injustices sociales. Ces récits illustrés, plébiscités par les jeunes générations, pourraient-ils devenir des outils pour imaginer une société post-croissance ? Voire des manuels d’utopie en images ?Avec sa rigueur intellectuelle et sa vision engagée, Gabriel Malek propose une lecture novatrice de ces œuvres : loin d’un simple divertissement, elles deviennent des ressources critiques et créatives pour construire un monde plus juste, solidaire et durable. Cette conférence s’adresse à toutes et tous : passionné·es du monde des mangas et manhwas, curieux·ses de politique, étudiant·es, artistes, militant·es et toute personne souhaitant imaginer des futurs désirables.
Le Conviviabule, la petite bulle conviviale pour fomenter un avenir meilleur. Léa Winter et Hélène Agbémégnah participent à la création de la Calim à Genève dont l’idée a émergé suite à l'inscription du droit à l'alimentation dans la Constitution genevoise en 2023. Porté par cet élan, 6 organisations ont lancé un appel aux habitant-es de 2 quartiers pour réfléchir collectivement à la réappropriation de notre alimentation, par des choix faits en connaissance de cause. Deux comités citoyens se sont créés en 2024 et, au fil de visites, discussions et partages d’expériences, ont décidé de lancer un projet pilote de démocratie alimentaire axé autour d’un dispositif de caisse de l’alimentation solidaire.Inspirée par les expérimentations de socialisation de l’alimentation en France et en Belgique, la Calim vise à faciliter un accès digne à une alimentation de qualité pour tou.te.s tout en soutenant des filières alimentaires justes et durables. Les communes de Genève et de Meyrin ont été les premières à soutenir ce projet pilote suite au dépôt de motions dans leur parlement respectif.La vision qui porte ces expérimentations est celle d’une nouvelle assurance sociale alimentaire financée par des cotisations sociales qui, en Suisse, est portée par le réseau ASA.C'est cette aventure, porteuse de beaux futurs désirables, que nos deux intervenantes nous présentent.
Le Conviviabule, la petite bulle conviviale pour fomenter un avenir meilleur, un vivre-ensemble plus respectueux du vivant humain et non humain. Un podcast qui visibilise les initiatives de la transition écologique et sociale dans le canton de Neuchâtel (CH), et environs.En suivant le chemin d'une pomme, Blaise Mulhauser nous raconte le continuum du vivant. Ces interdépendances si saines entre bactéries, champignons, plantes et animaux, aujourd'hui et tout au long de l'histoire de notre planète. Surgit ainsi au fil de ses histoires, une nouvelle science du vivant, une sorte de philosophie encourageant à une posture de respect vis-à-vis du vivant. : la symbiologie. De manière très humble, en nous observant depuis les étoiles, Blaise Mulhauser nous encourage à accepter l’étendue de notre ignorance, mais aussi à admirer la résistance et l'exceptionnalité du vivant.
Le Convivabule, la petite bulle conviviale pour fomenter un avenir meilleur, accueille l'école alternative Scola. Elle s'inspire des postures, fondements et outils de différentes pédagogies actives tels que la pédagogie de la coopération, la pédagogie par projets, l’éducation intégrale, les apports de Maria Montessori, de Céline Alvarez «les rythmes naturels de l’enfant», ainsi que ceux de la Glücksschule et des écoles démocratiques.Scola met les enfants au cœur de leur apprentissage et offre un cadre de vie collective dans lequel chacun et chacune a la possibilité de participer activement aux prises de décision, à l’établissement des règles de vie et à la gestion de la structure. Lors de ce Conviviabule, nous avons l'occasion d'entendre des enfants scolarisés à Scola et l'un de leurs enseignant-e-s témoigner.
Le Conviviabule, la petite bulle conviviale pour fomenter des futurs désirables.Saviez-vous que la place financière suisse génère 18 fois plus d’émissions que l’ensemble de la Suisse ? Cet acteur est ainsi un grand levier pour freiner la catastrophe climatique.Lilian Schibli de l’Alliance Climatique présente la nouvelle Initiative sur la place financière, qui appelle à l’interdiction du financement de nouveaux projets destructeurs pour l’environnement. Le rôle de la Banque nationale suisse (BNS) est également abordé car cette institution publique continue d’investir massivement dans les énergies fossiles, perpétuant ainsi un modèle économique incompatible avec l’Accord de Paris. La BNS peut jouer un rôle clé pour la transition écologique à condition d'être encouragée par ses actionnaires principaux : les cantons et les banques cantonales.Pour illustrer ces enjeux, Raphaël Mahaim, conseiller national des Verts vaudois partage un exemple concret : comment, dans le cadre de l’Initiative vaudoise pour le climat, des discussions ont été menées avec la Banque Cantonale Vaudoise (BCV) pour aligner ses politiques sur les engagements climatiques du canton.
Moins ! est un journal bimestriel romand d’écologie qui existe depuis 2012. La rédaction, dont François Friche est membre depuis 2016, propose des analyses et des réflexions et trace également des pistes pour sortir de l’ornière des sociétés industrielles productivistes, et construire d’autres fa4ons de vivre ensemble, plus égalitaires, solidaires et soutenables. En 2024, le journal a sorti « La décroissance, chemins faisant », dont François Friche nous relate l’aventure. En dialoguant avec le public, ce journaliste remet en question l’exemplarité de la Suisse en matière d’écologie, la nécessite d’avoir un smartphone et une voiture, et rêve d’un quartier où les habitant-es se retrouvent et se parlent autour d’un pommier.
Avec Sylvie Mallard, conteuse et tisseuse de fils de l’imaginaire. Et si de nos mémoires rejaillissait ce monde nouveau où les un-es comptaient sur les autres ? Sylvie Mallard partage sans compter les contes de ses bouts du monde. Avec le vivre-ensemble et la manière habiter comme fil rouge, elle nous invite à la suivre dans des histoires autour du monde. On y découvrira comment habiter le monde, l’espace, la vie, nos villes, nos rencontres, nos partages. Et puisque la terre est ronde, on finira bien par se rejoindre. D’ailleurs on sait bien que ce ne sont pas les pierres qui bâtissent les maisons, mais celles et ceux qui les habitent. Après un voyage conté, Sylvie Mallard partage avec le public les coulisses, ses inspirations, ses valeurs et ses expériences autour des contes, notamment dans le contexte des prisons et auprès de jeunes élèves.
Avec Gaël Brulé, professeur assistant de la Haute école de santé de Genève, ingénieur et sociologue. Il est l'auteur de "Le coût environnemental du bonheur". Objectif de vie pour certain-es, démonstration de puissance pour l’Etat, le bonheur fait l’objet de nombreux classements. Les indicateurs utilisés résultent toutefois de constructions fondées sur différentes idées du bonheur, incluant de manière variable la préservation du vivant. Le bien-être des sociétés occidentales en particulier repose sur un imaginaire consumériste peu en phase avec les préoccupations écologiques. Mais est-il possible aujourd’hui d’être heureuse et heureux sans se soucier des limites planétaires ? Est-il possible d’indexer le bonheur sur d’autres récits, davantage axés sur l’émotion que sur la possession, la comparaison et leurs effets délétères ?
Et si on développait l'ethno-psychiatrie à Neuchâtel ? Avec Marco Motta, anthropologue et Dr Javier Sanchis Zozaya, médecin cadre et coordinateur cantonal pour la Santé Mentale des Migrant-es en situation de précarité pour le canton de Vaud, Département de Psychiatrie du CHUV. Discussion modérée par Marion Fresia, professeure à l'Institut d'ethnologie de l'Université de Neuchâtel. Collaboration avec le Centre Neuchâtelois de Psychiatrie (CNP) et la Haute école Arc Santé. L'ethnopsychiatrie, qu'on appelle aussi psychiatrie transculturelle, prend en compte les différents systèmes culturels d'interprétation et de traitement de l'infortune, de la souffrance et de la maladie. En quoi peut-elle aider à accompagner des personnes issues de la migration dans leur mal-être psychique ? En quoi remet-elle en question notre manière occidentale de traiter les patient-es ? L'anthropologue Marco Motta nous introduit aux enjeux et aux questions que suscite cette approche médicale différente. Le médecin Dr Javier Sanchis Zozaya nous présente quant à lui le modèle lausannois en oeuvre au CHUV. Marion Fresia, qui anime la table-ronde, nous amènera peu à peu à ouvrir de nouveaux possibles à Neuchâtel.
Avec Yves Froidevaux, historien et co-fondateur d'une coopérative d'habitant-es. Les coopératives sont diverses (production, consommation, habitat…) et s’inscrivent dans une histoire de lutte pour l’émancipation. Yves Froidevaux revient sur leur émergence, dans un contexte de précarité forte, et sur les personnalités politiques, utopistes, qui les ont inspirées, comme Robert Owen et la coopérative modèle de Rochdale au XIXe siècle. Il décrit ensuite le contexte particulier de l’émergence de nouvelles coopératives participatives aujourd’hui : une crise écologique importante, et une société devenue très individualiste. Il lance des pistes sur comment elles pourraient contribuer à forger une société plus égalitaire, durable et joyeuse, à condition – peut-être – de changements politiques profonds. Et si.. ?
Avec Valérie Kernen, ex-journaliste, médiatrice formée en justice restaurative et intervenante en thérapie sociale. Et si on utilisait la force des groupes pour créer le monde de demain ? Pour prendre en compte la complexité des enjeux de notre société en mutation ? Pour réparer les torts suite à un crime ou un délit ? Pour rêver plus grand et plus intelligent ? Valérie Kernen est passionnée par les groupes et leur capacité à répondre aux défis de ce monde. Elle évoque ses inspirations et ce qu’elle a appris à travers les peuples autochtones qu’elle a côtoyés, les groupes de rencontres victimes-auteurs en prison ou ailleurs et les outils étonnants de la thérapie sociale, qui au-delà des bonnes intentions aident à dépasser les peurs, les violences relationnelles et augmentent le pouvoir d’agir ensemble au service d’un monde qui nous inspire.
Avec Louis Jucker, musicien bricoleur à temps complet, lauréat du prix suisse pour la musique 2021, cofondateur du label Humus records et Loris Ruchet, créateur de Grand Voyage Records à Savièse, ingénieur-graveur indépendant.
Pour marquer le 25e Conviviabule, Nathalie Ljuslin et Christopher Richard ont créé un podcast spécial consacré au… Conviviabule. Les trois sources d’inspiration du Conviviabule sont explorées : la Coopérative d’en face, habitat participatif qui a vu naître cette initiative et qui a incité à creuser la thématique du vivre-ensemble; le convivialisme, philosophie politique qui est à la source du nom et de la volonté de trouver des dénominateurs communs entre artistes, scientifiques et activistes en rupture avec le monde néolibéral, et pour finir le pouvoir de l’imagination de Rob Hopkins, qui nous a incité à commencer nos soirées par des « Et si… ? »
Avec Alex Da Costa militant à Droit de Rester. Contrairement à son image de pays à « tradition humanitaire », la Suisse procède chaque année à des milliers d’expulsions de personnes venues chercher l’asile sur son territoire. Membre de l’Espace Schengen et signataire des accords de Dublin, elle participe de ce fait pleinement au phénomène de durcissement des politiques migratoires européennes observé ces dernières années. Membre de l’association Droit de Rester à Neuchâtel, Alex Da Costa revient, à l’occasion de la Journée internationale pour l’élimination de la discrimination raciale, sur la campagne #StopDublinCroatie qui milite pour l’arrêt des renvois en Croatie, pays où de nombreuses personnes réfugiées ont subi de graves violences de la part de la police croate.
Avec Véréna Keller, professeure honoraire à la Haute école de travail social et de la santé de Lausanne. Denknetz est un think-tank socio-critique de gauche, constitué de milieux de la recherche et des sciences, des mouvements sociaux et de la politique. En 2009, il a publié un premier livre d’analyse des lacunes du système de protection sociale suisse et présenté des propositions de réorganisation en profondeur. D’intenses discussions ont suivi et le résultat est la publication parue en 2022 : « Reconstruire la protection sociale pour toutes et tous » (Allgemeine Erwerbsversicherung AEVplus). C’est ce modèle que présente Véréna Keller, modèle qui propose de simplifer, d’unifier et d’élargir les prestations sociales à la place de la multiplicité actuelle d’institutions et de services.
Le sociologue Fabrice Plomb travaille depuis une vingtaine d’années sur les manières dont les questions économiques transforment la vie quotidienne, matérielle et subjective des individus. La question des jeunes, de leur insertion professionnelle, de leur socialisation économique, le lien entre travail et politique, les questions d’endettement et de financiarisation sont au cœur de ses recherches. Fabrice Plomb nous présente le « Second manifeste convivialiste » pour un monde post-néolibéral » signé par 300 personnalités de 33 pays différents, dont Alain Caillé, Susan George, Bruno Latour, Pablo Servigne et Noam Chomsky. Le convivialisme est la philosophie de l’art de vivre ensemble qui appelle à s’opposer sans se massacrer, à prendre soin de la nature et des humains. Le Second manifeste convivialiste énonce dans cet esprit cinq principes et un impératif. Ils ne tombent pas du ciel : ils animent en réalité toutes les personnes qui entendent bâtir un monde post-néolibéral à hauteur des défis de notre époque. Le Conviviabule est un lieu pour imaginer et agir en faveur d'un vivre-ensemble plus respectueux de l'humain et du vivant de manière plus large. www.conviviabule.ch.
Antoinette Rychner, autrice suisse, née en 1979 et diplômée de l’Institut Littéraire, écrit du théâtre et de la prose. Son premier roman, Le Prix, Buchet-Chastel, 2015, lui vaut un Prix suisse de littérature en 2016. Le deuxième, Après le monde, paraît en 2020, également chez Buchet-Chastel. Par ailleurs, elle produit des performances littéraires. En s’appuyant sur deux de ses romans, « Après les monde« , post-apocalyptique et écoféministe ainsi que sur » Peu importe où nous sommes« , récit relatant le cancer de son fils de 6 ans, Antoinette Rychner explore la question de l’entraide et de la solidarité qui permettent de traverser plus sereinement les effondrements personnels et collectifs. Le Conviviabule est un lieu pour imaginer et agir en faveur d'un vivre-ensemble plus respectueux de l'humain et du vivant de manière plus large. www.conviviabule.ch.