DiscoverCulture Numérique
Culture Numérique

Culture Numérique

Author: Siècle Digital

Subscribed: 1,611Played: 130,232
Share

Description

Culture Numérique c'est un flux de podcast édité par Siècle Digital qui embellit votre culture web chaque semaine. Nous y abordons des thématiques liées aux géants du numérique (Meta, Google, Apple, Amazon), à l'utilisation des technologies en Chine, mais aussi du marketing, des réseaux sociaux, et même de l'économie.

Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

1081 Episodes
Reverse
Du 25 au 31 mars se déroule le Podcasthon 2024, un événement durant lequel plus de 400 podcasts, leurs animateurs et animatrices se mobilisent pendant 7 jours. L’objectif : mettre en avant le monde associatif et ses valeurs. Cette année, Siècle Digital y participe et a décidé de tendre le micro à l’association Sistech. Créée il y a 7 ans, Sistech se bat pour l’émancipation des femmes réfugiées en les accompagnant et en les formant, afin de les aider à accéder à des emplois qualifiés dans la tech et le numérique. Présente dans plusieurs pays d’Europe, Sistech a pour ambition de soutenir 1 % des femmes réfugiées en âge de travailler sur le vieux continent d'ici 2033. Une mission qui permet aussi de répondre à la pénurie de main-d’œuvre dans certains secteurs et au manque flagrant de diversité dans ces écosystèmes.Grâce à l’association, 71% des femmes accompagnées ont trouvé une première opportunité. Dans cet épisode spécial, Joséphine Goube, CEO et fondatrice de Sistech, ainsi qu’Inès Massa, ancienne bénéficiaire et secrétaire de l'association, racontent leurs histoires et celle de Sistech.Les épisodes de Culture Numérique sont disponibles sur Siècle Digital et les plateformes de streaming. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
DMA, trois lettres qui impactent déjà les vies de millions d'Européens. Elles signifient Digital Markets Act, le nom d’un règlement européen historique, entré pleinement en vigueur le 7 mars. Le cousin du DSA, concerne les très grandes entreprises, son but étant d'augmenter la transparence et la concurrence sur les marchés numériques, en attaquant directement la domination des Big Tech. Apple, Microsoft, Google, Amazon, TikTok et Meta sont concernés. Plusieurs de leurs services ont donc eu le droit à des nouveautés, bon gré mal gré. Des changements qui impactent notre façon d’utiliser les smartphones et Internet.Aujourd'hui, si vous tapez une adresse dans Google, impossible d'être renvoyé rapidement vers Google Map. Avec un iPhone, il est obligatoire de choisir un navigateur par défaut. Quelques exemples découlant directement du DMA. Siècle Digital, s’est demandé quelle est la suite pour ce texte, si la Commission européenne est prête à faire face aux géants du numérique et à leurs contestations, mais aussi comment ces derniers intègrent les mesures du DMA. Des questions qui ont été posées à Joëlle Toledano, professeure émérite d’économie et membre du Conseil national du numérique.Les épisodes de Culture Numérique sont disponibles sur Siècle Digital et les plateformes de streaming. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Qui est Véronique Torner ? De temps à autre, nous vous proposerons dans cette émission d'explorer le parcours d’une personnalité du numérique et de la tech. Pour commencer ce format portrait, c'est Véronique Torner qui est venue au micro de Siècle Digital. Présidente de Numeum, syndicat et lobby de l’industrie du numérique, elle est également entrepreneuse. Son histoire, c’est celle d’une femme ayant mis son expérience dans le numérique au service des autres et d’une tech plus durable.Fille d'un cadre d'Alcatel, la nouvelle tête pensante du Numeum n’a pourtant pas toujours baigné dans le virtuel. D'abord étudiante puis ingénieure, développeuse puis entrepreneuse et mère de deux enfants, Véronique Torner est aujourd’hui présidente d’une organisation représentant 2 500 adhérents, réalisant 85% du chiffre d’affaires total du secteur. De quoi avoir un quotidien est bien rempli.Les épisodes de Culture Numérique sont disponibles sur Siècle Digital et les plateformes de streaming. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
L’ANSSI vient de publier son Panorama de la cybermenace 2023. L’occasion de faire un point sur les menaces constatées l’an passé. De ce panorama, il ressort que 2023 a été une nouvelle année chargée d’un point de vue cyber. Rançon, vol de données, recherche de notoriété et même espionnage : les pirates avaient de nombreuses intentions. Il faut aussi noter l’impact du contexte géopolitique mondial : guerre en Ukraine, dans plusieurs pays d’Afrique, en Israël, tensions entre la Chine et les États-Unis : la multiplication des conflits a un impact dans le monde virtuel.L’Agence nationale de la sécurité des systèmes d’information a notamment mis en avant plusieurs pays, dont la Chine et la Russie, sans toutefois faire d'attribution. Alors qu'en 2022, en France, le nombre de cyberattaques réussies contre des organisations a atteint 385.000 pour un coût de 2 milliards d’euros, le coût moyen d’une violation de données en 2023 s’élevait à 3,75 millions d’euros selon IBM. Ces données, le rapport de l'ANSSI, ainsi que l'actualité cyber foisonnante, ont poussé la rédaction de Siècle Digital à se demander comment était 2023 et quels enseignements en tirer pour 2024 ?Les épisodes de Culture Numérique sont disponibles sur Siècle Digital et les plateformes de streaming. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Sam Altman, PDG d’OpenAI, a un grand projet, titanesque, pour ne pas dire utopiste, à 7 000 milliards de dollars. L’homme d’affaires veut réorganiser l’industrie mondiale des semi-conducteurs, afin d'approvisionner OpenAI et de lui permettre de produire un jour ses propres puces. L’intelligence artificielle a besoin de puces, ou plus précisément de GPU, pour fonctionner. Par conséquent, avec le boom de l’intelligence artificielle, une course mondiale aux puces pour IA s’est engagée. Une société domine ce marché : Nvidia. Ses GPU haut de gamme permettent d’alimenter les IA les plus puissantes. Ils s’arrachent à prix d’or, entraînant une dépendance à ce géant américain et des risques de pénuries. Les petites entreprises, elles, ne peuvent pas toujours se payer ces GPU. Voilà pourquoi Sam Altman veut réorganiser l’industrie : pour mettre un terme à cette pénurie et sortir OpenAI de la dépendance à Nvidia. Cela coûterait entre 5 000 et 7 000 milliards de dollars, soit deux fois le PIB de la France. S'il en a déjà discuté avec plusieurs investisseurs et potentiels partenaires, comme TSMC, SoftBank, ou encore le gouvernement des Émirats arabes unis, rien n'indique que son projet réussira, ni que l'industrie est prête pour de tels changements. C'est en tout cas l'avis de Arrian Ebrahimi, chercheur en semi-conducteurs à Pékin.Les épisodes de Culture Numérique sont disponibles sur Siècle Digital et les plateformes de streaming. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
2024 sera une année électorale record : Union européenne, Brésil, Etats-Unis, Mexique, Indonésie, Inde, Pakistan ou encore le Bangladesh, tous ces territoires ont une élection programmée pour cette année. La moitié de la population mondiale en âge de voter se rendra aux urnes et 8 des 10 États les plus peuplés du monde sont concernés. Toutefois, qui dit élections dit désinformation. Il faut donc s’attendre à voir le nombre de fausses informations exploser. Avec le boom qu’a connu l’intelligence artificielle en 2023, il faut également s’attendre à voir exploser le nombre de deepfakes.Apparue au milieu des années 2010, la technique des deepfake utilise l’intelligence artificielle, entre autres, pour reproduire des comportements humains. Ainsi, un deepfake permet d’imiter la voix et le visage d’une personnalité politique par exemple et de lui faire dire ce que l’on veut. Les deepfakes peuvent être des outils de désinformation particulièrement efficaces, surtout en période électorale. Alors, est-ce un danger pour la démocratie ? C’est la question que Siècle Digital a posée à 2 experts, Ivan Kwiatkowski, chercheur en cybersécurité chez HarfangLab, et le journaliste Gerald Holubowicz.Les épisodes de Culture Numérique sont disponibles sur Siècle Digital et les plateformes de streaming. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Comment s’en sort Threads, le dernier né du géant des réseaux sociaux Meta ? Il a été lancé dans le monde entier en juillet 2023, avant de débarquer en Europe en décembre. Trois jours seulement après son lancement sur le vieux continent, Threads comptait 2,6 millions de téléchargements. Au niveau mondial, en octobre, Mark Zuckerberg, le PDG de Meta, évoquait le chiffre de 100 millions d’utilisateurs. À titre de comparaison, à ce moment-là X en comptait 245 millions. Une montée en puissance rapide et vertigineuse, qui augurait d’un avenir radieux. Le fonctionnement de Threads étant basé sur l’infrastructure d’Instagram, il facilite l’inscription et la création d’une audience. C’est également un lieu sans publicité, hybride, où information et instantanéité semblent se mélanger à du divertissement. En opposition à son concurrent X, Mark Zuckerberg a pensé Threads pour être positif, un endroit convivial pour discuter.Malgré tout cela, de nombreuses questions subsistent sur Threads : quels sont les contenus les plus prisés par ses utilisateurs ? Y a-t-il des opportunités pour les marques ? Quelles sont les communautés présentes ? Ou encore comment se comporte l’algorithme ? Devant tant d’interrogations, à Siècle Digital, nous avons décidé de faire un premier bilan sur Threads, après quasiment 2 mois de lancement dans l’Union européenne, avec Nathan Pillot, planeur stratégique chez We Are Social.Les épisodes de Culture Numérique sont disponibles sur Siècle Digital et les plateformes de streaming. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
2023 était-elle une année réussie pour la French Tech ? Si elle ne s'est pas révélée complètement ratée, elle n'était pas totalement réussie pour autant. En 2022, il y a eu 365 opérations de levées de fonds pour un total de 12,3 milliards d’euros récoltés par les start-up françaises. Mais en 2023, ce montant a chuté : 281 opérations pour 8,3 milliards d’euros. Une baisse importante en un an seulement. Est-ce vraiment étonnant ? L’année précédente était déjà placée sous le signe de la sobriété. Inflation, hausse des taux d’intérêt, frilosité des investisseurs et recherche de la rentabilité : ces facteurs ont entraîné une raréfaction de l’offre de financement.Pourtant, des champions français s’en sont bien sortis. Plus globalement, l’Hexagone a moins souffert du contexte économique difficile que certains de ses voisins, comme le Royaume-Uni. Alors qu'aujourd'hui, l’heure semble à la prudence, quels enseignements tirer des levées de fonds dans la French Tech en 2023 ? Quel bilan en dresser ? Qu’est-ce que cela dit de 2024 ? Quels sont les profils des investisseurs ? Pour répondre à toutes ces questions et bien d’autres encore, Siècle Digital est allé voir le cabinet de conseil KPMG, qui a dévoilé en janvier son baromètre annuel Tech Insights, et tout particulièrement Jean-Pierre Valensi, associé KPMG France.Les épisodes de Culture Numérique sont disponibles sur Siècle Digital et les plateformes de streaming. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Un géant français de la technologie est au bord du précipice : Atos, entreprise de services numérique tricolore historique. Cette société née dans les années 1990 avait pourtant tout pour réussir. Partenaire historique des Jeux Olympiques ou encore du gouvernement sur le nucléaire, Atos, c’est à l’origine des activités de gestion de serveurs informatiques. Mais avec le temps, ce mastodonte européen s’est diversifié. Depuis quelques années, il est présent sur des marchés porteurs, à l’instar de la cybersécurité. Aujourd’hui, il compte plus d’une centaine de milliers d’employés, dont plus de 50 000 en France. Des employés plongés dans l’incertitude la plus totale depuis près de 2 ans.Atos est cerné de dette, et les échéances de paiement approchent, avec l’urgence de trouver des liquidités. À cette fin, en 2022, un projet est lancé : la scission de ses activités en deux entreprises : Eviden d’un côté, Tech Foundations de l’autre. Un projet qui s'est invité dans les débats des députés français et qui a suscité l'opposition de certains actionnaires. Aujourd’hui, la situation de l'entreprise est critique. Pour faire un point sur les dernières péripéties d'Atos, Siècle Digital est allé voir Leïla Marchand, journaliste aux Échos.Les épisodes de Culture Numérique sont disponibles sur Siècle Digital et les plateformes de streaming. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Le CES, c'est la grande messe annuelle de l’électronique grand public. Depuis longtemps, il s'agit d'un rendez-vous incontournable pour les journalistes spécialisés, les passionnés et les grandes entreprises liées à la tech. Après des années covid un peu compliquée et une année 2023 de reprise, en 2024, le Consumer Electronics Show était bel et bien de retour. Le CES se tient chaque début d’année à Las Vegas. Il a été créé en 1967 par Jack Wayman et dès sa première édition, l’événement a réuni près de 200 exposants et 17 500 participants.Mais avec les années, ce salon a changé, muté. Il s’oriente de plus en plus vers du B2B. Pour d’autres, il se transforme peu à peu en salon de l’auto, tandis que les innovations présentées ressemblent de moins en moins à des gadgets inutiles. Véritable réussite, l’édition de cette année, qui s’est tenue du 9 au 12 janvier, a accueilli plus de 4 000 exposants, pour 130 000 visiteurs espérés. Dans cet épisode, Siècle Digital revient sur le CES 2024 et ses tendances, avec Jérôme Colombain, journaliste et créateur du média Monde Numérique.Les épisodes de Culture Numérique sont disponibles sur Siècle Digital et les plateformes de streaming. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
La loi française visant à sécuriser et réguler l'espace numérique est appelée loi SREN. Déposé sous forme de projet de loi par le gouvernement en mai 2023, ce texte a fait beaucoup parlé, au point de faire polémique. Pourtant, ses intentions sont louables. Concrètement, la loi SREN a notamment pour objectif de protéger les citoyens des arnaques en ligne, de protéger les mineurs contre la pornographie, ou encore de lutter contre le cyberharcèlement. Sous le feu de critiques : la méthode choisie. Plusieurs associations évoquent une loi autoritaire, qui viendrait remettre en cause le principe du pseudonymat sur internet.Une chose est certaine : ce projet de loi a d’énormes implications. Ne serait-ce qu'en voulant contrôler l’identité des personnes allant sur des sites pornographiques, tous les modes d’accès aux plateformes comme les réseaux sociaux changeraient. Le gouvernement souhaite aller tellement loin, que son texte vient empiéter sur le RGPD et le DSA, entraînant des avertissements de la Commission européenne. En compagnie de Marc Rees, journaliste au média l’informé, Siècle Digital décode les mesures de cette loi SREN, son avenir, ainsi que les raisons de la colère européenne.Les épisodes de Culture Numérique sont disponibles sur Siècle Digital et les plateformes de streaming. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Le vendredi 8 décembre, après 37 heures de négociations intenses, les instances de l'Union européenne sont tombées d'accord en trilogue sur l'AI Act, l'ambitieux texte européen devant encadrer l'intelligence artificielle. Réputé strict, ce texte est une première mondiale. La grande majorité des acteurs du secteur s'accordent aujourd'hui pour dire qu'un encadrement de l'IA est nécessaire. Fortement démocratisée à la fin de l’année 2022, cette technologie comment déjà à changer les quotidiens. Porteur et lucratif, c’est aujourd’hui un marché valorisé à plus de 327 milliards de dollars avec de forts enjeux de souveraineté face aux géants américains que sont OpenAI et Google. Cependant, derrière tous ses nombreux avantages, il y a aussi des risques, nombreux également.C’est pour prendre en compte tout cela que l’AI Act est né, pour mieux gérer les risques et accompagner l'innovation et les start-up européennes. Mais que contient, pour le moment, ce texte, fruit par excellence du compromis ? Quelle a été l’approche retenue, alors que les parlementaires voulaient un encadrement plus dur, quand certains pays, dont la France, souhaitaient une loi plus souple ? Dans cet épisode, Siècle Digital décode l’AI Act et ses mesures avec Chadi Hantouche, Partner IA et data au cabinet de conseil Waveston.Les épisodes de Culture Numérique sont disponibles sur Siècle Digital et les plateformes de streaming. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
2024 est là. Nouvelle année oblige, le nombre d’articles, de vidéo sur les tendances 2024, va exploser. Il y en aura partout et sur tout un tas de sujet. Culture Numérique a décidé d’ouvrir cette année sur les tendances social media. Les réseaux sociaux sont omniprésents de nos jours. Ces plateformes sont centrales pour garder du lien social, se tenir informé, se divertir, acheter aussi. Même pour les marques, les réseaux sociaux sont devenus incontournables. Mais ça, ce n’est pas nouveau. En revanche, ce qui est nouveau, c’est l’accélération de la multiplication des plateformes : X, Facebook, Instagram, TikTok, LinkedIn, BeReal, et maintenant Threads… Il y en a toute une foison.Ajoutez à cela le nombre croissant de fonctionnalités et l’arrivée de nouvelles technologies comme l’intelligence artificielle et vous obtenez un secteur en pleine ébullition. Dans un tel contexte, il est plus important que jamais de connaître les tendances social media à venir, pour éviter les faux pas. Bien choisir ses canaux pour mieux toucher sa cible, utiliser l’IA mais avec modération, la place des influenceurs, un environnement réglementaire plus dur… Il y a pas mal d’éléments à expliquer. Pour ce faire, Siècle Digital est allé voir un expert : Jonathan Noble, CEO et cofondateur de Swello.Les épisodes de Culture Numérique sont disponibles sur Siècle Digital et les plateformes de streaming. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
2023 touche à sa fin. Une année pleine de rebondissements, d’actualités fortes et complexes. Le boom de l’intelligence artificielle entraîné par ChatGPT a bouleversé notre société. Qui dit intelligence artificielle dit OpenAI et Sam Altman, mais aussi puces et processeurs. Un marché où de grandes entreprises du monde entier se livrent une bataille féroce. Bien sûr, il est impossible de parler de semi-conducteurs sans aborder les tensions extrêmes entre les États-Unis et la Chine. Comment ne pas également évoquer X, le réseau social d’Elon Musk. Entre polémiques, nouvelles fonctionnalités et arrivée de concurrents de taille, la plateforme a connu une année 2023 agitée. Bien sûr, cette année était aussi une année à réglementation : en Europe, le Digital services Act est officiellement entré en vigueur le 25 août. Un accord a été trouvé pour le salariat des travailleurs de plateformes et pour encadrer l’intelligence artificielle à travers l’AI Act, un texte historique. Voilà en résumé ce qui a fait l’actualité en 2023. Pour conclure en beauté et en légèreté cette année bien chargée, Siècle Digita a décidé de faire un épisode un peu spécial, avec Benjamin Terrasson, journaliste à Siècle Digital, et Valentin Blanchot, rédacteur en chef.Les épisodes de Culture Numérique sont disponibles sur Siècle Digital et les plateformes de streaming. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
2 milliards d’euros : c’est le coût estimé des cyberattaques en France en 2022. Cette année-là s’est révélée intense d’un point de vue cyber. Les menaces ont augmenté, de même que le nombre d’attaques. Le tout en pleine guerre entre l’Ukraine et la Russie, accentuant les risques. À la fin de l’année 2023, qu’en est-il, quel bilan cyber dresser ? Le contexte géopolitique n’a fait que gagner en instabilité, le conflit entre Israël et la Palestine venant s’ajouter à la guerre en Ukraine. Sans oublier les tensions entre la Chine et les États-Unis.Aujourd’hui, tout est numérique. Ainsi, PME et TPE, établissements publics et stratégiques, ou encore Monsieur et Madame tout le monde : nous sommes tous concernés par les cybermenaces. Selon le cabinet de conseil Asterès, le nombre de cyberattaques réussies contre des organisations publiques et privées en France a atteint 385 000 en 2022. D’année en année, ce nombre ne fait qu’augmenter et actuellement, il faut également composer avec une technologie qui s’est démocratisée : l’intelligence artificielle. En cette période de fêtes de fin d’année, Siècle Digital vous propose de revenir sur le cyber en 2023, et même de se projeter sur 2024 avec Bertrand Trastour, Directeur Général France du spécialiste de la cybersécurité Kaspersky.Les épisodes de Culture Numérique sont disponibles sur Siècle Digital et les plateformes de streaming. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Près de 2 Français sur 3 ont fait des emplettes durant le Black Friday 2023. Un succès toujours plus important, qui amène à une multiplication de ce genre d’événement promotionnel de fin d’année. Le mois de novembre est ainsi devenu le mois des promotions. Tout commence par le Single Day, événement promotionnel d’origine chinoise. Vient ensuite le Black Friday puis suit le Cyber Monday. Le Black Friday est tout particulièrement devenu l’événement promotionnel de fin d’année le plus attendu. Selon l'étude Strategy pour PwC Network, 43% des acheteurs français déclarent avoir profité l'an dernier de cet événement pour acheter leurs cadeaux. En cinq ans, le chiffre d'affaires total réalisé à l'occasion du Black Friday en France a augmenté de 22 % pour atteindre 398 millions d'euros en 2022. Mais malgré leur popularité indiscutable, ces événements doivent faire face à leur lot de défi. L'inflation galopante a-t-elle impacté négativement le volume d'achat réalisé ? Spoiler : non. Comment expliquer cet engouement toujours plus fort, même en période de crise ? Quel est le comportement d’achat des Français ? En 2023, ces grandes promotions sont également des nids à arnaques et beaucoup dénoncent aussi une ode à la surconsommation, un désastre écologique. Ces rendez-vous ont-ils encore de l’avenir ? Siècle Digital a décidé de revenir sur l’origine de ces grands événements promotionnels de fin d’année, ainsi que sur leur impact et leur place en France, avec Géraldine Chevallier, Directrice Business Development Consumer & Retail chez KPMG.Les épisodes de Culture Numérique sont disponibles sur Siècle Digital et les plateformes de streaming. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Les Français sont-ils prudents sur le Web ? Plus globalement, quelles sont leurs pratiques sur le numérique et quels enseignements en tirer ? Voici les questions de cet épisode. Des questions d’actualité : entre 2020 et 2022, le nombre de cyberattaques dans certains pays européens a augmenté de 300 à 400%. Selon Allianz, le nombre de victimes de ransomware a bondi de 143 % au niveau mondial au cours du premier trimestre de 2023. Enfin, d’après le cabinet Astérès, le nombre de cyberattaques réussies contre des organisations publiques et privées en France a atteint 385 000 en 2022, pour un coût global de 2 milliards d'euros.Dans un monde basé sur le numérique, où le nombre de cyberattaque augmente d’année en année, il convient d’être plus prudent que jamais / D'autant plus que les particuliers aussi sont concernés, tout le monde peut se voir viser. Ne pas cliquer sur n’importe quel lien reçu par SMS, faire attention à ce que l’on poste sur les réseaux sociaux, prendre des précautions lors de l’utilisation de services bancaires : Voilà quelques bonnes pratiques, qui ne sont pas assez mises en œuvre. Dans l’une de ses dernières études, le spécialiste de la cybersécurité Kaspersky dresse l’état des lieux des habitudes des Français sur le numérique, avec un paradoxe : si une majorité s’estime prudente, dans les faits, il y a encore des progrès à faire. C'est ce qu'explique Amine Bouzelgha, Social Media Manager chez Kaspersky.Les épisodes de Culture Numérique sont disponibles sur Siècle Digital et les plateformes de streaming. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Le nombre d’intelligence artificielle générative explose depuis le lancement de ChatGPT, le chatbot d'OpenAI, fin novembre 2022. Très puissante, cette IA capable de discuter et de générer toute sorte de contenu écrit a rapidement connu un succès planétaire. À tel point qu'une course mondiale à l'IA s'est engagée. Les startups comme les géants de la technologie ont accéléré ou se sont lancés dans le développement d’intelligences artificielles cette année. Le monde du travail promet également d’être bouleversé par cette technologie, tant le gain de productivité est énorme. Une révolution accompagnée de son lot de risques, technologiques comme sociétaux, amenant inévitablement à des sujets de régulation. Après une année intense dans le monde de l'intelligence artificielle, Siècle Digital a décidé de faire le point avec Nicolas Cavallo, Head of generative AI chez Octo Technology.Les épisodes de Culture Numérique sont disponibles sur Siècle Digital et les plateformes de streaming. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Green IT, numérique durable, responsable… Ces termes sont de plus en plus courants. À l’ère de la crise climatique, du changement environnemental, ils sont de plus en plus présents dans l’actualité et dans nos quotidiens, ce sont une réaction à cette crise. Parce que même le numérique est concerné. Le monde virtuel et les appareils électroniques qui sous-tendent son fonctionnement polluent. Les émissions de gaz à effet de serre dû au numérique ne cessent de croître, d’année en année. Il semble nécessaire aujourd’hui de sensibiliser, de changer les pratiques, de mieux penser l’élaboration des services et des outils numériques afin qu’ils consomment moins, que leur impact sur l’environnement soit moindre.34 milliards d’équipements informatiques dans le monde, 67 millions de serveurs : Pas de doute, dès lors qu’il est question de pollution, le numérique pèse lourd. En France, ce secteur représente environ 2,5% de l’empreinte carbone nationale. Un chiffre appelé à exploser dans les années à venir. Alors comment faire pour réduire ces impacts, pour améliorer les choses et aller dans le bon sens ? Dans cet épisode sponsorisé, nous allons parler de numérique responsable, et plus précisément d’éco-conception, en compagnie d’Annabel Vincent, Directrice de projet chez Kaliop, ainsi que d’Antonin Savoie, Lead Developper chez Kaliop également.Les épisodes de Culture Numérique sont disponibles sur Siècle Digital et les plateformes de streaming. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Le spatial Européen est-il en situation d’échec ? Voici la question de cet épisode. Depuis des mois, si ce n’est des années, les problèmes s’enchaînent pour l’Union européenne et l’Agence spatiale européenne, l’ESA. Les Européens ont dû confier le lancement de certains de leurs satellites à une entreprise américaine et étrangère : Space X. Leur lanceur, Ariane 6, a encore pris du retard. Son ancêtre, Ariane 5 ? À la retraite. Vega-C ? Impliqué dans un incident. Bref : l’Union européenne n’a aucun moyen souverain de lancer ses appareils en orbite.Alors à quoi bon investir des milliards d’euros pour explorer notre ciel et nos étoiles, alors que nous avons suffisamment de problèmes sur la terre ferme ? Souveraineté, militaires, géopolitiques, en réalité, les enjeux liés à l’espace sont nombreux. C’est également un marché lucratif. Ce marché représentera d’ici 2040 1 000 milliards de dollars de revenus annuels. Siècle Digital a décidé de faire le point sur la course spatiale européenne avec un spécialiste : Eric Bottlaende.Les épisodes de Culture Numérique sont disponibles sur Siècle Digital et les plateformes de streaming. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
loading
Comments (3)

R- Ho

"on a le temps de le voir...." PUB "...venir" "merci, au revoir " c'est quoi ces pubs qui coupent la parole ?

Nov 3rd
Reply

Sylvain Tbr

On t'entend pas du tout Valentin. faut parler plus fort !!!

Jul 24th
Reply

Zeetoony

Excellent podcast très instructif. Beau boulot continuez.

Jul 12th
Reply
Download from Google Play
Download from App Store