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Déclick - le podcast qui décrypte Google Ads

Author: Jérémy Lacoste

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Description


Vous souhaitez comprendre les rouages de Google Ads pour en faire un véritable levier de croissance de votre business? Avoir des retours d'expérience intransigeants? Profitez de tips pour dépasser vos concurrents? Vous êtes décidemment au bon endroit, allez entrer




Déclick, c'est le podcast qui décrypte Google Ads 1 fois par semaine en 4 minutes.

L'occasion de revenir de façon pragmatique sur les grandes problématiques qui travaillent l'univers du SEA et d'y apporter un éclairage nouveau et incisif. 




Que vous soyez un débutant désireux ainsi d'apprendre les rudiments de la plateforme, ou un utilisateur régulier dans une démarche de partage de bonnes pratiques, ce podcast répondra à vos attentes.

Il est présenté par Jérémy Lacoste, expert SEA depuis 8 ans, d'abord côté agence (Nextedia, Waisso) et aujourd'hui côté annonceur (Meilleurtaux).




Vous y trouverez 2 séries de podcasts:




* Les pastilles: Chaque semaine, j'explore de manière didactique une notion fondamentale du SEA ou reviens sur une nouvelle fonctionnalité que j'ai eu l'occasion de tester afin de vous livrer mon feedback et mes conseils pour éviter de dépenser à perte.




* Les actualités: Une fois par mois, je reviens sur les différentes annonces de l'écosystème search et vous partage à chaque fois mon point de vue. Idéal pour être sûr de ne rien louper et d'être toujours à jour des updates de la plateforme







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130 Episodes
Reverse
💡Une phrase à retenir ▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬   En récompensant 3 scientifiques issus de Google, l'instutition Nobel a donné un joli coup de pub à l'entreprise de Mountain View📢L'épisode du jour ▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬   Pour ce 97ème épisode, je vous propose de trancher un débat qui nous anime depuis 2 ans: pourquoi Google va remporter le mois de l'IA sur le search. Malgré les ratés, les couacs et les critiques1 - Google, acteur incontournable de l'IALes prix Nobel de Physique et Chimie sont venus rappeler que Google n'est pas seulement un challenger face à OpenIA mais est l'un des pioniers avec Deepmind et son modèle Transformers🔍 Un atout clé : son moteur de recherche Son moteur de recherche est un avantage compétitif énorme. Là où d'autres doivent multiplier les partenariats , Google s'appuie sur une infrastructure bien établie et un écosystème intégré, allant des terminaux aux OS, jusqu'au cloud.💰 Des investissements massifsAvec des fonds propres considérables, Google peut se permettre de recruter les meilleurs talents. Dernier exemple en date : Noam Shazeer, figure de l'IA, rejoint Google pour 2,7 milliards $. 🚀 Effets de réseauBien que Google ait connu quelques retards et ajustements sur les usages grand public, il reste l'acteur le mieux placé pour devenir leader de l’IA générative dans le seach, grâce aux usages et effets de réseaux 2 - L'évolution des SERPS boostées à l'IADepuis l'arrivée de l'IA grand public, Google ajuste ses SERP avec des outils comme Gemini et IA Overview. Même si les résultats sont encore en phase de test, on observe des évolutions, comme l’apparition de réponses "position 0" et de card au-dessus de la ligne de flottaison.🌐 Nouvelles sources de donnéesGoogle agrège pléthores de données comme les sites indexés, son Knowledge Graph, les éditeurs et le contenu UGC. Aujourd'hui, IA Overview semble surtout concentré sur les requêtes informationnelles, impactant les revenus des éditeurs💼 Publicités IADébut octobre, Google commence à intégrer des annonces payantes dans les réponses IA, apportant une nouvelle dimension à la recherche en ligne.3 - Dans Google AdsGoogle utilise l'IA depuis 2010, d'abord avec des stratégies d'enchères intelligentes sur sa plateforme publicitaire, offrant aux marketeurs des outils d'automatisation et de recommandations basés sur des données massives.Google Ads a rapidement intégré l’IA générative, avec des fonctionnalités comme Product Studio pour aider les e-commerçants à créer des visuels, la génération automatique d'assets créatifs, ou encore le lancement de campagnes via des prompts dans certains pays.🚀Donnez de la visibilité à Déclick gratuitement ▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬    1. Abonnez-vous 🔔 pour ne rien manquer2. Recevez les épisodes en avant-première grâce à la Liste VIP (gratuit)3. Laissez un avis sur ma page Apple Podcast  🙏Retrouvez tous mes contenus où je chronique l'actualité du marketing digital avec humour et acidité sur : https://www.linkedin.com/in/jérémy-lacoste/Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
💡Une phrase à retenir ▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬   Découvrer la vidéo du podcast directement sur Youtube => https://youtu.be/Ze6YnGJtb-w📢L'épisode du jour ▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬   Déclick, le podcast qui décrypte Google Ads par Jérémy Lacoste (10 ans d'expérience en marketing digital) Sans concession ni langue de bois, je donne la parole aux tops annonceurs afin de décortiquer leur stratégie de croissance digitale Bonne écoute!Pour cette 2ème sous format vidéo, j'ai le plaisir de recevoir Thibault Renouf qui dirige Partoo depuis bientôt 8 ansDans cet épisode, il nous offre une masterclass sur👉 Comment passer de 0 à 400 employés en quelques années👉 La sortie de la Google dépendance👉 La diversification des produits pour un SaaS👉 La production de contenu en tant que levier de scale👉 Pourquoi la préférence nationale ne touche pas la tech française👉 L'Europe se met-elle des batôns dans les roues avec DMA👉 Anticiper les impacts d'IA Overview🚀Donnez de la visibilité à Déclick gratuitement ▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬    1. Abonnez-vous 🔔 pour ne rien manquer2. Recevez les épisodes en avant-première grâce à la Liste VIP (gratuit)3. Laissez un avis sur ma page Apple Podcast  🙏Retrouvez tous mes contenus où je chronique l'actualité du marketing digital avec humour et acidité sur : https://www.linkedin.com/in/jérémy-lacoste/Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
💡Une phrase à retenir ▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬    La justice américaine reproche à Google d'avoir trop bien réussi📢L'épisode du jour ▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬     Chaque mois, je reviens sur l'actualité et les annonces Google Ads & Microsoft Ads1 - Update majeur sur Performance MaxDepuis 2 ans, Google met l'accent sur Performance Max et les évolutions commencent à porter leurs fruits :1️⃣ Mots-clés négatifs: D’ici la fin de l’année, les annonceurs pourront enfin ajouter des mots-clés négatifs directement dans les campagnes, sans passer par les account managers ou les bibliothèques partagées.2️⃣ Rapports enrichis : Google améliore la visibilité sur les performances avec des rapports plus détaillés, incluant les conversions par asset créatif3️⃣ Amélioration automatique des vidéos : Nouvelle fonctionnalité activée par défaut sur les campagnes, mais heureusement désactivables.2 - Nouveau procès en coursAprès avoir été reconnu coupable en août d'un monopole illégal avec Chrome, Google fait face à un nouveau procès depuis septembre, cette fois concernant son contrôle du marché publicitaire.L’enjeu ? Déterminer si cette domination est bénéfique ou si elle étouffe la concurrenceLe risque pour Google : un éventuel découpage de ses activités pour favoriser une meilleure concurrence. 3 - TikTok se lance sur le searchTikTok permet désormais aux annonceurs américains de diffuser des annonces en fonction des mots-clés recherchés, sur un modèle proche de Google Ads.De quoi redistribuer les cartes du marché quand on sait que les jeunes préfèrent le réseau social chinois au géant de Mountain View pour leurs recherches..4 - La fin du CPC optimiséAprès 14 ans de service, le CPC optimisé sera progressivement retiré début 2025. Pourquoi cette suppression ? Bien qu’il ait permis à de nombreux annonceurs de tester le smart bidding, il est désormais vu comme un frein à l’adoption des stratégies plus avancées5 - Les termes de rechercheIl y a quelques années, Google a commencé à invisibiliser une partie des termes de recherche. Mais une récente étude du Search Engine Land révèle que 40% des termes seraient désormais cachés, bien plus que les 10-15% annoncés initialement par Google.6 - La fin de VAC? Lancées il y a 2 ans, les campagnes Video for Action vont progressivement migrer vers Demand Gen courant 2025. La structuration du produit Google prend forme : Performance Max pour le bas du funnel et Demand Gen pour le haut🚀Donnez de la visibilité à Déclick gratuitement ▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬    1. Abonnez-vous 🔔 pour ne rien manquer2. Recevez les épisodes en avant-première grâce à la Liste VIP (gratuit)3. Laissez un avis sur ma page Apple Podcast  🙏Retrouvez tous mes contenus où je chronique l'actualité du marketing digital avec humour et acidité sur : https://www.linkedin.com/in/jérémy-lacoste/Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
💡Une phrase à retenir ▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬   Juriste est sûrement le métier qui a le plus d'avenir chez Google📢L'épisode du jour ▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬   Pour ce 96ème épisode, je vous propose un coup de projecteur sur les différents procès en cours auxquels est lié Google. Habitué des palais de justice, le géant américain n'en mène pas large car rarement le législateur a été aussi offensif à son encontre. Au point de rendre plausible un éventuel démantèlement?1 - Des procès en pagailleRien que ce mois-ci, Google est en proie à 4 procédures1️⃣ Pratiques anticoncurrentielles : Google est accusé de maintenir un monopole illégal en signant des accords, notamment avec Apple, pour imposer Chrome comme navigateur par défaut. Même si Google affirme que les utilisateurs préfèrent naturellement Chrome, la firme verse 18 milliards $ par an à Apple pour garantir cette position.Pour quoi faire?2️⃣ Monopole publicitaire : Google contrôle l'ensemble de la chaîne publicitaire via Google Adsense et Google Ads, ce qui inquiète le régulateur américain.En cause ? Une distorsion de marché.Pour Google, le risque est d'aboutir à un démantèlement possible.L'Europe et le Royaume-Uni ont également porté cette affaire en justice2 - La justice peut-elle faire bouger les choses?Comme tous les leaders de la tech, Google est un habitué des cours de justice.. mais pour quel résultat? ✅ Sanctions financières : Depuis 2017, Google a été condamné à payer près de 8 milliards de dollars pour diverses infractions, soit seulement 2,5 % de son CA annuel.Une paille✅ Changements fonctionnels : La CNIL a temporairement interdit Google Analytics, et le Digital Markets Act (DMA) a forcé Google à ne plus favoriser Google Maps dans sa SERP. D’autres ajustements ont touché Google Shopping et le e-commerce, 15 ans trop tardPas de quoi fouetter un chat3 - Et aujourd'hui?Les sanctions contre Google s’intensifient, avec des amendes croissantes dénonçant notamment des pratiques d'enchères opaques révélées. Le vent tourne, mais un démantèlement de l'entreprise semble peu probable. Pourquoi ?1️⃣ Enjeu géopolitique : En pleine concurrence avec la Chine et la Russie, il paraît peu probable que les États-Unis affaiblissent un acteur aussi stratégique que Google.2️⃣ Faible dynamisme des marchés financiers : Peu d'acteurs auraient les liquidités nécessaires pour racheter des parties de Google si démantelement il y a🔍 Menace réelle : L'ubérisation du marché publicitaire par l'essor de plateformes comme Amazon ou TikTok, qui captent l'attention des utilisateurs et dominent la data transactionnelle.🚀Donnez de la visibilité à Déclick gratuitement ▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬    1. Abonnez-vous 🔔 pour ne rien manquer2. Recevez les épisodes en avant-première grâce à la Liste VIP (gratuit)3. Laissez un avis sur ma page Apple Podcast  🙏Retrouvez tous mes contenus où je chronique l'actualité du marketing digital avec humour et acidité sur : https://www.linkedin.com/in/jérémy-lacoste/Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
💡Une phrase à retenir ▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬   l'eCPC réussit à mettre tout le monde d'accord contre lui : trop manuel pour certains, pas assez automatique pour d'autres📢L'épisode du jour ▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬   Pour ce 95ème épisode, essayons de comprendre pourquoi Google met un coup d'arrêt au eCPC, symbole du smart bidding, alors que la firme n'a de cesse de pousser à l'automatisation et au machine learning1 - Que veut dire la fin du eCPC? 1 an après les campagnes Shopping, Google annonce qu'il va mettre fin au eCPC, d'abord pour les nouvelles campagnes dès le mois prochain, et ensuite pour les campagnes actuelles en mars 2025.Résultat: tout basculera sur du CPC manuelUn choix surprenant qui s'inscrit à rebours de la stratégie de Google de pousser les annonceurs à basculer sur du smart bidding2 - Reculer pour mieux sauter?Lors de sa création en 2010, la promesse de Google était belle: laisser l'algorithme ajuster les enchères en fonction de la probabilité de conversion. De quoi faire converger les intérêts des annonceurs (+ de performance & - de travail) et ceux de l'éditeur (+ de revenu).Au point que la courbe inflationniste des CPC semble suivre scrupuleusement la démocratisation des stratégies de smart bidding depuis 15 ansAlors Google avec cette annonce veut-il revenir au CPC manuel? C'est évidemment l'inverse. Je prends le pari que d'ici quelques mois, années, il ne restera plus que Maximiser les conversions et Maximiser les valeurs de conversionsLes 2 stratégies disponibles pour Performance Max3 - Le CPC manuel est-il ménacé?Pas à court terme. Et ce pour 3 raisons1️⃣ Suivi des conversions insuffisant : Beaucoup d’annonceurs n’ont pas encore les outils ou compétences pour un tracking précis, rendant difficile l'adoption massive des stratégies d’enchères automatiques.2️⃣ L'importance de l'historique : Le CPC manuel reste utile pour les nouvelles campagnes ou produits, permettant de collecter des données avant de passer à des stratégies plus avancées.3️⃣ Crédibilité : En gardant le CPC manuel, Google montre qu’il ne force pas les annonceurs à adopter uniquement le smart bidding, évitant ainsi les controverses. Malin🚀Donnez de la visibilité à Déclick gratuitement ▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬    1. Abonnez-vous 🔔 pour ne rien manquer2. Recevez les épisodes en avant-première grâce à la Liste VIP (gratuit)3. Laissez un avis sur ma page Apple Podcast  🙏Retrouvez tous mes contenus où je chronique l'actualité du marketing digital avec humour et acidité sur : https://www.linkedin.com/in/jérémy-lacoste/Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
💡Une phrase à retenir ▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬    La justice américaine a reconnu que Google était le moteur de recherche le plus puissant du marché. C'est mieux qu'une publicité 😁📢L'épisode du jour ▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬     Chaque mois, je reviens sur l'actualité et les annonces Google Ads & Microsoft Ads1 - Suite et suite du procès Google: Le verdict est tombé: Google maintiendrait un monopole illégale en vertu de son contrat d'exclusivité avec Apple pour être le moteur de recherche par défaut. A la clé: 20 milliards de dollars par anQuelques réflexions :Google est largement reconnu pour sa supériorité technologique en tant que moteur de recherche, alors pourquoi avoir besoin de payer Apple?Les utilisateurs d'Apple peuvent changer de moteur de recherche, mais ne le font pas. A croire que Google remporte tous les suffragesUn procès similaire contre Microsoft & Windows a eu lieu il y a 20 ans. Devinez la suiteLa vraie menace pour Google me semble surtout venir du changement d'usage des jeunes générations qui utilisent les réseaux sociaux comme moteur de recherchePlus structurant: Un nouveau procès antitrust se profile en septembre, cette fois sur les activités publicitaires de Google, qui domine l'écosystème avec Google Ads, le réseau display et AdSense.2 - Perplexity se lance dans le SEA: Et c'est prévu pour Q4 2024 sur une quinzaine de verticalesAvec 230 millions de requêtes par mois dans le monde, l'entreprise américaine va permettre aux annonceurs de se positionner sur des questions sponsorisées via des annonces textuelles ou vidéos.La cible: des CSP+3 - Du neuf pour le Merchant Center: D'abord avec une fuite de données qui a vu certains annonceurs avoir accès au flux produit d'autres annonceurs. Avec marges & CPC 🤯Quid de la responsabilité de Google et d'un éventuel dédomagement? Ca grogne aux US, mais quitus en France.Ensuite, le déploiement du Google Merchant Center Next boosté à l'IA avec partage des tendances de recherches; meilleure alignement sur le stock de marchandise et stratégie d'enchères avancées4 - La fin des smart campaigns: Google a annoncé la suppression des Smart Campaigns, conçues pour aider les PME à lancer leurs premières campagnes publicitaires. La promesse: un set-up minimal et un pilotage 100% confié à GoogleC'est donc de l'histoire ancienne. Les smart campaigns basculeront progressivement en Performance Max5 - Youtube, des updates à foison: YouTube s'inspire de la Télévision en lançant des formats Pause Ads, plus longs & ressérés. Objectif: augmenter de 50% le temps de visionnage ininterrompu.En parrallèle, il sera possible de recibler les audiences ayant regardé des créateurs spécifiques, parfait pour toucher des communautés de niche. La creator economy est en marche🚀Donnez de la visibilité à Déclick gratuitement ▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬    1. Abonnez-vous 🔔 pour ne rien manquer2. Recevez les épisodes en avant-première grâce à la Liste VIP (gratuit)3. Laissez un avis sur ma page Apple Podcast  🙏Retrouvez tous mes contenus où je chronique l'actualité du marketing digital avec humour et acidité sur : https://www.linkedin.com/in/jérémy-lacoste/Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
💡Une phrase à retenir ▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬   Il y a 10 ans, je détestais Youtube. Désormais, la plateforme video est sûrement l'un des produits les plus dynamiques de la galaxie Google📢L'épisode du jour ▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬   Pour ce 94ème épisode, demandons-nous si Youtube n'est pas en train de tuer les plans medias à destination de la télévision. Avec un CA à 30 milliards de dollars et une croissance dynamique, la plateforme video attire de plus en plus les budgets des top annonceurs et semble avoir réussi sa mue. Eelements de réponse1 - Un carrefour d'audience: En France, YouTube rassemble chaque mois plus de 40 millions de personnes, dont 93 % des 18-34 ans. Avec une moyenne de 42 minutes de vidéos consommées par jour, l’engagement est au rendez-vous. S'ajoute la diversité des formats : des émissions, des compétitions en live, des podcasts, et désormais des Shorts. Avec une video sur deux consommées en TV connectée. De quoi damner le pion de la concurrenceEnfin, YouTube est LA plateforme qui rémunère le mieux ses créateurs, avec 70 milliards de dollars reversés en 3 ans. La creative economy comme on l'entend2 - La mesure media: Avec une partie de l'audience désertant la TV, les annonceurs n'ont pas eu d'autres choix que de faire la bascule. Et Youtube de les y aider. D'abord en staffant une équipes d'AM dédiés ciblant les directeurs de la marques et en définissant une agenda à part: Youtube Festival, Cannes..Ensuite, en se renforçant sur le volet mesure. La clé pour convaincreLa plateforme propose désormais des études de mesure gratuites, similaires à celles de la TV :Brand Lift Survey : mesure l'évolution de la notoriété de la marque face à ses concurrents.Search Lift Survey : évaluation du trafic incrémental généré par une publicité.DAR avec Nielsen : analyse la complémentarité TV-YouTube.3 - Les formats à l'honneur: Penser son plan media sur Youtube, c'est s'acheter de la flexibilité avec un droit de rétractation qui peut dépasser les 3 semaines avant diffusionC'est aussi miser sur des formats innovants: Pause ads : une annonce qui s'affiche lorsque l'utilisateur met la vidéo en pause.Formats de 30 secondes non skippables, proches de l'expérience TV.Insertion de QR Codes et brand extensions pour prolonger l'interaction.Ou sur des dispositifs premium:YouTube Select : diffusion sur les chaînes les plus populaires, ciblées par centres d'intérêt.First Position : diffusion de la publicité en première position, captant ainsi toute l'attention.4 - Et ça marche alors? Avec Meilleurtaux, nous basculons une partie du budget media sur Youtube. Réponse donc fin d'année. Mais 3 réflexionsPerformance Max : Tous les annonceurs communiquent déjà sur Youtube, sans trop le vouloir/savoir. Malin de la part de GoogleReach Planner : Cette plateforme de modélisation est enfin robuste et semble s'aligner sur les standards de la télévision. Encore bien joué pour GoogleImpact potentiel : A budget équivalent, YouTube me permet de toucher 5 millions de personnes supplémentaires et d'améliorer le taux de répétition de 15%. En théorie. A voir dans le réel🚀Donnez de la visibilité à Déclick gratuitement ▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬    1. Abonnez-vous 🔔 pour ne rien manquer2. Recevez les épisodes en avant-première grâce à la Liste VIP (gratuit)3. Laissez un avis sur ma page Apple Podcast  🙏Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
💡Une phrase à retenir ▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬    Quand Google est en crise, c'est 14% de croissance. Et Search GPT n'est pas prêt de changer la donne📢L'épisode du jour ▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬     Chaque mois, je reviens sur l'actualité et les annonces Google Ads & Microsoft Ads1 - Lancement de Search GPT: La rumeur qui courrait depuis 1 an prend enfin forme. Aujourd'hui encore en béta fermée, le moteur de recherche à la sauce IA commence déjà à faire parler de lui: connecté au web; prise en charge de l'historique de l'échange; intégration de liens & formats créatifsQuelques questions en suspens toutefois:·       Quel modèle économique, là où un Google se finance à 90% avec la pub ?·       Quelle intégration ? A priori, on se dirige vers une ingestion de Search GPT dans Chat GPT·       Quel niveau d’adoption vis-à-vis du grand public ?2 - Croissance chez Google: +14% versus Q2 2023 avec une dynamique qui concerne tous les produits. Une masterclass au vu du contexte macro et des effectifs qui tendent à se réduire chez le géant de Mountain View. 3 - Rétropédalage sur les cookies tiers: Google envoie la responsabilité de l'acception du consentement chez l'internaute, un peu à la manière de ce qu'a fait Apple il y a quelques années. MalinQu'est-ce que cela change? Pas grand-chose honnetement car aujourd'hui, 1 impression publicitaire sur 2 n'est pas concernée par un cookie. => Sur Privacy Sandox, les travaux vont continuer afin de proposer une alternative cookie first vers un modèle autour de centres d'intérêts & clusters=> Sur les modèles cookieless, la bascule continuera, ne serait-ce que pour répondre aux enjeux du cross-domaines ou du cross-device4 - Rachats manqués: Après Hubspot, c'est maintenant au tour de Wiz de refuser l'offre de rachat de Google pour 23 milliards de dollars. Le premier deal n'est pas allé au bout en raison de réglementation antitrust; le deuxième deal car la société de cybersécurité désire continuer sa route vers une introduction en bourse seulConclusion tout de même: Google semble avoir des liquidités à investir5 - Google séduit toujours: Alors qu'une récente enquête soulignant que le temps passé sur les SERP augmentait en raison d'une moins bonne efficacité des réponses générés, un récent sondage vient positionner Google sur la toute première marche des produits web. Loin devant TikTok, Youtube, Meta, Microsoft6 - Le large par défaut: Désormais, lors de la création de campagnes, le large sera activé lorsqu'il y a utilisation du smart bidding. Vigilance doncMa recommandation va toujours sur un usage exact & expression au démarrage avant de basculer progressivement sur de l'exact & du largePlus globalement, on sent bien que Google prépare un pivot du mot-clé vers les thèmes de recherche7 - De l'aide sur le suivi avancé des conversions: Après un lancement timide en 2018, le suivi avancé des conversions est devenu central en 2024. Mais reste toujours compliqué à déployer puisqu'il faut modifier les scripts de collectePour faciliter son set-up, Google met à disposition un plugging Chrome EC Assist, un peu à la manière de qu'ils avaient fait avec le consent mode V2.Mieux, des consultants sont dépéchés pour aider les tops annonceurs à basculer8 - Microsoft se met au Brand Lists: Désormais les annonceurs pourront exclure jusqu'à une vintaine de marques de la diffusion de leurs annonces Performance Max. Mispellings compris🚀Donnez de la visibilité à Déclick gratuitement ▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬    1. Abonnez-vous 🔔 pour ne rien manquer2. Recevez les épisodes en avant-première grâce à la Liste VIP (gratuit)3. Laissez un avis sur ma page Apple Podcast  🙏
💡Une phrase à retenir ▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬   A quand un moteur qui trouve?📢L'épisode du jour ▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬   Pour ce 93ème épisode, demandons-nous si Google n'est pas en train de terminer sa mue vers un moteur de réponse. C'est en tout cas le sens de l'histoire et le pivot nécessaire pour l'acteur américain s'il veut conserver son hégémonie1 - Des challenges sur tous les fronts: Côté pile, comme le montre Statista, Google tend progressivement à perdre des parts de marché sur le search classique au profit d'une légère croissance pour Bing: +2 points en 2 ans.Côté face, d'après une étude de Forbes Advisor, les jeunes générations préfèrent utiliser les réseaux sociaux (Youtube compris) lorsqu'ils sont en recherche d'information: pertinence, confiance & personnalisation sont les clés2 - Google est-il en voie d'ubérisation? Autrement dit, la SERP est-elle encore le meilleur dispositif de réponse?L'étude de Scorpion & Dynata montre une baisse de la qualité ressentie de recherche par les internautes qui déclarent à 54% passer plus de temps à trouver leurs réponses sur les SERP. Pire, seulement 12% considèrent les publicités Google Ads comme pertinentesL'étude Sparktoro souligne que sur les 8,5 milliards de requêtes quotidiennes 60% n'aboutissent à aucun clic et 30% des clics sont redirigés vers les produits GoogleConclusion: il y a un intérêt stratégique pour les annonceurs à travailler ces 75% qui leur échappent3 - Quelles réponses des concurrents? Microsoft n'a pas perdu de temps en déploiement Chat GPT, renommé Copilot dans ses SERP afin de proposer une expérience conversationnelle par defaut qui pioche autant dans les ressources de l'entreprise que sur le webApple suit le mouvement en négociant avec Open IA & Google afin de donner un nouvel élan à Siri et booster la recherche vocalePerplexity se positionne comme un Google à l'envers. Ici, pas de liens cliquables, mais uniquement une approche conversationnelle4 - Et Google alors?Google a déjà posé des jalons depuis des années avec des positions 0, des richs snippets, des comparateurs intégrés... puis demain avec IA Overview , un moteur de réponse boosté à l'IAReste deux sujets à cracker pour finaliser cette bascule: Développer l'approche communautaire comme sur les réseaux sociaux. C'est pourquoi Google a pris le parti d'indexer le contenu issu de ces plateformes et d'investir massivement sur YoutubeProposer une expérience de plateformisation sans couture sur le volet payement multi-marques🚀Donnez de la visibilité à Déclick gratuitement ▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬    1. Abonnez-vous 🔔 pour ne rien manquer2. Recevez les épisodes en avant-première grâce à la Liste VIP (gratuit)3. Laissez un avis sur ma page Apple Podcast  🙏Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
💡Une phrase à retenir ▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬    On n'y croyait plus: Google est capable d'entendre les annonceurs📢L'épisode du jour ▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬     Chaque mois, je reviens sur l'actualité et les annonces Google Ads & Microsoft AdsEn juin, finis les procès, leaks, bad buzz, Google déroule sa roadmap et ça fonctionne!1 - Update majeur sur les mots-clés: Google contredit Google. Alors que depuis des années, la firme américaine dit qu'il faut faire confiance à l'algorithme, elle semble faire un pas de côté sur le volet sémantique. 4 updates: la possibilité de faire de l'inclusion marque pour les campagnes larges; la possibilité inverse d'exclure des marques sur toutes les campagnes & annonces; la prise en compte des misspellings dans les exclusions; et l'affichage des misspellings également dans les termes de recherche2 - L'attribution évolue: En rendant persistant le Gclid, Google Analytics 4 améliore la mesure de la contribution du SEA. A l'inverse, Google Ads prend aussi désormais en compte les vues dans son modèle attributifLe SEA y gagne à chaque fois3 – Des résultats de recherche moins efficaces: Rallongement du temps passé sur les SERP; difficulté à trouver la bonne requête; aller & retour vers les sites.. d'après un récent sondage, les irritants progressent sur le moteur de recherche.Ca tombe bien, IA Overview devrait y remédierPlus étrange, le SEA semble être l'une des formes de publicité jugées comme étant la moins pertinentes derrière la TV ou les réseaux sociaux4 - Google Ads fait peau neuve: A partir du 30 août, tous les annonceurs devront composer avec la nouvelle plateforme Google Ads. Qu'est-ce qui change? Pas grand-chose si ce n'est l'organisation des modules. Et un temps de chargement démesurément long5 - Lancement de Google TV: Aujourd'hui, près de la moitié des impressions Youtube Ads sont consommées sur les smarts TV. Google lance Google TV pour accompagner cette dynamique et monétiser 125 chaînes gratuites aux Etats-Unis6 - Fin du scroll continu: En test depuis 2021, Google vient d'annoncer pourtant le retour de la pagination. La raison? Pas d'uplift constaté pour l'internaute. En langage Google: pas de gain sur les révenus publicitaires. Je fais l'hypothèse surtout que cela doit consommer du temps serveur7 - Copilot, un nouveau créatif: Intégré à Microsoft Ads directement, Copilot est aujourd'hui capable de produire des creas à la chaîne en se basant sur des URL8 - Product Studio: Très bientôt disponible en France, cet outil de génération créatif basé sur de l'IA continue sa mue en embarquant désormais des templates et des animations videos🚀Donnez de la visibilité à Déclick gratuitement ▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬    1. Abonnez-vous 🔔 pour ne rien manquer2. Recevez les épisodes en avant-première grâce à la Liste VIP (gratuit)3. Laissez un avis sur ma page Apple Podcast  🙏Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
💡Une phrase à retenir ▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬   Et si la vraie révolution était une mise en transparence totale du système d'enchère et de ses règles?📢L'épisode du jour ▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬   Pour ce 92ème épisode, mettons les pieds dans le plat: Google a manqué un peu d'inspiration avec l'arrivée tonitruante de l'IA Générative sur le marché, au point que cela a déclenché une "alerte rouge" en interne.Résultat, à marche forcée l'entreprise a concentré ses forces pour lancer rapidement IA Overview avec les aléas que l'on connait.Une situation assez similaire à ce qu'a connu le géant de Mountain View en 2011 au moment du triomphe des réseaux sociaux. "C’est exactement ce qu’il s’est passé avec le lancement précipitée de Google +. C’était une réaction hystérique face à Facebook" se remémore Scott Jenson, ancien GooglerReste que les crises font naturellement parties des dynamiques d’entreprises et constituent des moment clés pour des pivots. L’année 2019 a été à ce titre central dans l’évolution de Google et continue à impacter sa trajectoire alors même qu’elle est passée sous silence. Retour sur les moments forts de la séquence1 - Moteur de recherche vs moteur de publicité: C'est Ben Gomes, l'ancien responsable du moteur qui tire la sonnette d'alarme suite au déclenchement en interne d'un "code jaune": les objectifs de rentabilité sont tels qu'ils aboutissent à prioriser la monétisation du moteur de recherche vs sa mission première d'organiser l'information mondialeIl n'aura pas gain de cause. Et Google fera évoluer différents paramètres pour mieux valoriser son inventaire: invisibilisation des annonces; misspellings; changement de direction2 - Manipulation des enchères: Pour combler ce retard sur les objectifs annuels, Jerry Dischler, ancien directeur de la branche Google Ads a expliqué au cours du procès antitrust que les équipes étaient parfois amenées à augmenter arbitrairement les enchères de 5 à 15%. Au nez des annonceursUne dynamique qui n'est finalement que l'aboutissement du projet "Momiji" visant à handicaper les enchères de second prix afin de mieux valoriser leur prix3 - L'effet Adam Smith: On connaissait la main invisible du marché, moins celle de Google. Or en 2019, c'est le démarrage de la séquence d'invisibilisation des leviers de pilotage: ouverture du matchtype exact; fin de l'exhaustivité des termes de recherche... De quoi rendre difficilement pilotable la machineAlors certes, Google est une entreprise privée et est reine dans son royaume. Mais sa position monopolistique lui confert un statut qui rend difficile toute mise en concurrence, aboutissant bien souvent les annonceurs à acter des évolutions. Sans trop de moyens d'agir🚀Donnez de la visibilité à Déclick gratuitement ▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬    1. Abonnez-vous 🔔 pour ne rien manquer2. Recevez les épisodes en avant-première grâce à la Liste VIP (gratuit)3. Laissez un avis sur ma page Apple Podcast  🙏Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
💡Une phrase à retenir ▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬   Sortir à tout prix de la position du donner d'ordre vs l'exécutant📢L'épisode du jour ▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬   Pour ce 91ème épisode, continuons à questionner la relation agence - annonceur. Choisir une agence ne représente que 1% du travail, il faut ensuite lui donner les moyens de réussir dans sa mission de piloter nos campagnes SEA avec succès. Et ne pas attendre qu'elle fasse tout1 - Jouer la transparence: Parfais, accéder aux données essentielles au pilotage d'un compte peut s'avérer être périllieux: marge, bases clients ou même tout simplement objectifs...Alors que le fonctionnement algorithmique de Google nécessite justement cette claire-transparence afin que l'algo prenne les bonnes décisionsIl n'y a que des coups et coûts à prendre à jouer la carte de la confidence2 - L'onboarding: Avec la démocratisation de l'expertise SEA, la différence se joue de plus en plus dans le partage des connaissances métiers.Quels sont les concurrents? Quelles sont les dynamiques marché et réglementaires? Comment se positionne les produits promus?... Et c'est précisemment de la responsabilité de l'annonceur de faire ce travail d'onboardingC'est un pré-requis pour sortir d'un pilotage qui serait soit trop conventionnel (on applique les best practices) soit trop copié (on fait la même chose en shopping ou lead gen)3 - Le SEA ne fonctionne pas en vase clos: A tort certains annonceurs peuvent attendre des miracles de la part de leur agence. Et après l'exercice éreintant de l'AO se retire presque du pilotage SEA... Or, c'est là que tout commenceL'annonceur doit mettre à disposition l'ensemble des éléments nécessaires pour le bon fonctionnement d'un compte: tracking au point, assets creatives de qualité, LP optimales, délivrer un produit avec un fort market fit etcSans ces conditions minimales, point de salut4 - Confiance et contrôle: Souhaite-on avoir une agence qui exécute ou qui monte également sur le volet stratégie? Il n'y a pas de mauvaise réponses, si ce n'est d'être transparent au début de la relation, au risque sinon de créer des frustrationsPour un annonceur mature, c'est plutôt pertinent de garder la main sur le pilotage stratégique. A l'inverse, il faut éviter de tomber dans l'excès de tout déléguer, au détriment sinon de la pertinence des recommandations apportéesEnfin, il faut créer les conditions d'une écoute: si l'agence a été choisie, c'est qu'à un moment il y a eu une adhésion autour de sa proposition de valeur🚀Donnez de la visibilité à Déclick gratuitement ▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬    1. Abonnez-vous 🔔 pour ne rien manquer2. Recevez les épisodes en avant-première grâce à la Liste VIP (gratuit)3. Laissez un avis sur ma page Apple Podcast  🙏Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
💡Une phrase à retenir ▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬   Soyez l'agence avec laquelle vous aimeriez collaborer📢L'épisode du jour ▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬   Pour ce 90ème épisode, dévoilons un secret de polichinelle: qu'attendent vraiment les annonceurs des agences? Spoiler: au-delà de la performance, c'est surtout sur la qualité produit qu'il faut se concentrer1 - Une expertise technique et métier: Un annonceur sollicite une agence soit pour combler un déficit d'expertise, soit pour pallier à un manque d'effectif. Dans les 2 cas, l'agence est choisie pour ses références et ses compétences.A cela doit s'ajouter une expertise métier, véritable game changer. Il faut connaître le secteur d'activité de son client, ses concurrents, ses dynamiques..3 red flags: les agences qui positionnent des consultants multi-leviers; celles qui déploient des stagiaires alors qu'en AO, ce sont les head of qui se sont déplacés; celles enfin qui appliquent à la lettre les bonnes pratiques Google2 - Toujours un coup d'avance : Pour un annonceur, il n'y a rien de pire que l'absence de réponse et l'absence d'échéance. En agence, le temps est une ressource rare: afin d'être réactif, il faut donc s'évertuer à automatiser et à sur-communiquer en donnant de la visibilitéMême punition sur l'évolution d'un compte: une agence qui fait le service minimum avec un set-up qui n'a pas changé depuis 5 ans prend le risque de perdre le compte. Il faut naturellement être force de proposition, tester les innovations & bétas3 - Plus c'est court et mieux c'est : Aux decks de 100 slides, aux calls hebdos sur les performances et aux emails sur les CTR, préférons 3 lignes sur les performances. Les annonceurs veulent travailler avec des prestas qui leur font gagner du temps, pas ceux qui leur en consommentLa bonne approche: un doc qui reprend toutes les actions menées, un email recap hebdo et des calls ponctuels sur les enjeux stratégiques4 - Pas de faux semblant: Lorsque l'on pilote un compte Google Ads, il y a toujours un risque d'erreur et il est vain à mon sens de se cacher derrière son petit doigt. Pour une raison simple: les annonceurs finissent toujours par les découvrirJouer la carte de la transparence, c'est une manière de mettre l'annonceur à son niveau et rendre mature la relation client/prestaEvidemment, il faut éviter les boulettes à répétition5 - La transversalité: Les agences ont la chance de pouvoir capitaliser sur un réseau de clients et de partenaires foisonnant et pourtant elles n'en font pas grand choseRares sont celles qui jouent les entre-metteuses et organisent des échanges entre clients ou les invitent aux événements adtech alors qu'elles y auraient tout à gagner🚀Donnez de la visibilité à Déclick gratuitement ▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬    1. Abonnez-vous 🔔 pour ne rien manquer2. Recevez les épisodes en avant-première grâce à la Liste VIP (gratuit)3. Laissez un avis sur ma page Apple Podcast  🙏Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
💡Une phrase à retenir ▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬    "Les emmerdes, ça vole toujours en escadrille" disait Jacques Chriac📢L'épisode du jour ▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬     Chaque mois, je reviens sur l'actualité et les annonces Google Ads & Microsoft AdsEn mai, les mauvaises nouvelles s'accumulent alors que cela devait être la fête avec Google Marketing Live et Google I/O1 - Et voilà les Google leaks: Après Yandex en 2023, c'est au tour de Google de voir une partie de sa secret sauce dévoilée au grand public. Si pour la communauté SEO, il s'agit de secrets de polichinelle pour la plupart des informations, il y a quelques pépites ça et là à glaner. Le navboost en 1er lieu qui confirme que les clics sur les annonces et la navigation site sont fortement pris en compte par l'algortihme de Google2 - Fin du procès antitrust: Et c'est la douche froide pour Google. 120 slides qui détaillent comment Google manipule les enchères depuis au moins 2017 en mettant en place des modèles qui visent à priori à fausser les règles du jeu. Ajoutons à cela toute la littérature autour de l'Adrank, Ad Strenght, QS... et on comprend pourquoi la confiance des annonceurs s'érode3 – Retour sur le Google Marketing Live: Au-delà des annonces que j'ai détaillées lors de l'épisode 89, GML semble avoir deçu les annonceurs. Au-delà du manque de surprise avec l'IA comme sujet incontournable, c'est surtout le manque d'ambition qui a été relevée. Quid des réponses sur les enjeux autour du tracking, du e-commerce, de la privacy etc4 - Google se rapproche encore plus d'Hubspot: C'est Bloomberg qui le dit! Les discussions continuent entre les 2 organisations autour d'un budget de 30 milliards. Cela va évidemment dans le bon sens afin de proposer ce qui pourrait être la 1ère solution all in one du marché5 - Les patrons de Google font le service après-vente: Alors que Google a annoncé le déploiement d'AI Overview aux Etats-Unis, e nouveau nom de SGE, c'est à dire l'intégration de l'IA dans les résultats search, certains annonceurs et internautes se sont montrés dubitatifs.Les premiers par peur de voir le trafic s'éffondrer; les second à cause des nombreuses hallucinations de l'IA. Pour calmer le jeu, l'actuel et l'ancien PDG de Google sont revenus sur la stratégie du géant de Mountain View: l'enjeu premier reste "d'organiser l'information mondiale" en trouvant le meilleur moyen de la restituer à chaque requête. Manière de dire que les liens bleus demeurent mais risquent de voir leur visibilité baisser6 - AI Overview déteint sur Reddit: Depuis l'accord entre Google et Reddit, les contenus du clèbre forum américain rankent désormais sur les serp et sont utilisés pour alimenter AI Overview. De quoi donner des idées au patron de Reddit qui souhaiterait proposer du SEA dans son propre moteur de recherche. A la clé: 1 milliards de requête par mois7 - Microsoft gagne des parts de marché: C'est le frémissement qu'a connu le marché du search lorsque Statcount a publié ses chiffres de part de marché des moteurs de recherche. Après vérification, il semblerait qu'il y avait bien une coquille. Néanmoins, depuis 1 ans, Google a tout de même perdu 2,5 points8 - Updates sur Google Shopping: Il sera possible pour les annonceurs d'intégrer un élément de social proof dans les annonces shopping indiquant le nombre de ventes du produit concerné9 - Plus de contrôle sur Demand Gen : Google donnera prochainement la possibilité aux annonceurs de choisir le format de diffusion pour chacune des videos, permettant ainsi de whitelister les shorts, in-feed ou in-stream par exemple🚀Donnez de la visibilité à Déclick gratuitement ▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬    1. Abonnez-vous 🔔 pour ne rien manquer2. Recevez les épisodes en avant-première grâce à la Liste VIP (gratuit)3. Laissez un avis sur ma page Apple Podcast  🙏
💡Une phrase à retenir ▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬   Si c'est la publicité qui fait vivre Google, c'est bien l'IA qui capte toute son attention📢L'épisode du jour ▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬   Pour ce 89ème épisode, je vous propose d'analyser les différentes annonces faites lors du Google Marketing Live 2024. Sans concession. Alors que retenir? 1 - SGE n'est plus, vive IA Overview: Alors que Google teste depuis plusieurs mois l'intégration de l'IA generative dans les serp, le déploiement à grande échelle d'IA Overview aux Etats-Unis a été annoncé. Et avec lui, l'intégration d'annonces search & shopping, de quoi rassurer les experts SEA.2 chiffres intéressants à garder en tête: les requêtes de plus de 5 mots-clés ont progressé de +50% en 1 an et les requêtes depuis Google Lens ont atteint les 12 milliards. De quoi inciter Google a acceléré fortement sur l'IA2 - Performance Max, en veux-tu en voilà? Depuis 3 ans, Performance Max occupe l'essentiel de la roadmap produit de Google. Et ce n'est pas prêt de changer car la firme de Mountain View vient d'annoncer la possibilité pour les annonceurs d'intégrer leur charte graphique dans la production creative, ainsi que la mise à disposition de KPI additionnels au niveau creaDeux bonnes nouvelles, même si on aurait préféré du mouvement plutôt sur l'arbitrage au niveau des inventaires de diffusion3 - Ca bouge côté Shopping: C'est clairement l'enjeu n°1 pour Google afin d'éviter de se faire distancer par Amazon, Temu et Shein dans la course au retail media. Et les réponses apportées semblent bien timides: nouveaux formats d'annonces, lancement d'approches plus immersives avec de la 3D, profile marque... Pas de quoi reprendre le lead. Google doit encore cracker les sujets du multi-achats, de la logistique et de la gamification4 - Youtube: En forte croissance depuis plusieurs mois grâce à une politique anti-adblocker et au lancement des formats shorts, Youtube va sûrement continuer à rayonner. La preuve avec le déploiement prochaine de campagnes collaboratives & l'ajout de stickers dans les formats shorts.Google doit aussi continuer à réflechir à bien monétiser la consommation Youtube sur TV qui progresse toujours plus5 - Quid du tracking? DMA, RGPD, fin des cookies tiers.. il est faible de dire que l'alimentation des campagnes avec les bons signaux constitue un défi majeur. Si Google a plutôt bien anticipé l'ensemble de ces enjeux jusqu'ici, les nouvelles réponses apportées ici avec le déploiement de Data Manager d'un côté et du modèle MMM Meridian de l'autre semble plutôt relever de l'ordre de la rustine🚀Donnez de la visibilité à Déclick gratuitement ▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬    1. Abonnez-vous 🔔 pour ne rien manquer2. Recevez les épisodes en avant-première grâce à la Liste VIP (gratuit)3. Laissez un avis sur ma page Apple Podcast  🙏Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
💡Une phrase à retenir ▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬   Pourquoi faire simple quand on peut faire compliquer?📢L'épisode du jour ▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬   Pour ce 88ème épisode, parlons de l'Ad Rank, un concept qui a permis à Google d'être leader sur son marché. Pourtant aujourd'hui, ce classement des annonces devient une métrique incompréhensible et impilotable. Que faire?1 - L'orginie de l'Ad Rank: Pendant du Page Rank en SEO et inventé en 2006 par Google, l'Ad Rankprenait histoiquement en compte le Quality Score et l'enchère. FacileUne bonne façon pour Google d'inciter les annonceurs à jouer le jeu du long terme en favorisant l'investissement, mais aussi des résultats de qualité pour garder l'audience captiveC'est d'ailleurs l'un des enjeux du procès actuel de Google avec la Cour de justice américaine: certains annonceurs se plaignent du manque de transparence autour des critères de classement des annonces où malgré des CPC élevés & un état de l'art respecté sur les annonces, Google peut être amené à privilégier d'autres annonces répondant mieux à ses exigences de seuils minimaux 2 - Comment fonctionne l'Ad Rank? A chaque mise aux enchères, l'Ad Rank de l'annonce est recalculé selon le même protocole: celle-ci est-elle élligible? Et le cas échéant, comment se positionne-t-elle par rapport à la concurrenceL'Ad Rank, c'est aujourd'hui l'agrégation de 6 critères:* Les enchères: Plus elles sont élevées, plus les chances d'être diffusé sont fortes* La compétitivité de l'enchère: A classement équivalent, c'est l'enchère la plus élevée qui passe devant* La qualité de l'annonce et de la LP: Le QS avant tout* Le contexte de recherche: C'est l'équivalent de l'intention de recherche en SEO. Google prend en compte des éléments extérieurs comme le device, les horaires, l'historique etc* L'impact des composants: En plus de renseigner les internautes, d'occuper plus d'espace sur les SERP, les extensions favorisent la diffusion des annonces* Les seuils minimaux de classement: Règles arbitraires de qualité définit par Google et non transparentes pour les annonceurs3 - L'Ad Rank a-t-il aujourd'hui trop de poids? Alors que l'Ad Rank a droit de vie et mort sur la diffusion des annonces, il est étonnant aujourd'hui de constater à quel point, ce KPI semble difficilement pilotable et ce pour 4 raisons:* Ce KPI n'existe pas: Dans la plateforme Google Ads, il n'y a pas de métrique Ad Rank disponible. Conséquence, impossible de connaître précisemment son score* Des proxys flous: Depuis la fin de la position moyenne, Google invite les annonceurs à utiliser des KPI proxys comme les taux d'impression en 1ère position ou 1ère position absolue. Si on voulait noyer le poisson, on ne fera pas mieux* Des dynamiques non expliquées: Si le taux d'impression perdue pour cause de classement se met à chuter drastiquement, bon courage à l'annonceur pour corriger le tir car comment savoir d'où vient la dépréciation. Je rappelle que l'Ad Rank, c'est l'agrégation de 6 critières plus ou moins flous* Absence d'alerting: Autant, la plateforme met en avant la limitation des campagnes pour cause de budget ou d'enchères, mais pas un mot sur l'évolution du classement des annonces4 - Qu'en conclure? Pourquoi être si transparent sur la mécanique des enchères et si peu sur l'Ad Rank? A moins que Google souhaite que les annonceurs se concentrent plutôt sur le premier que sur le second🚀Donnez de la visibilité à Déclick gratuitement ▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬    1. Abonnez-vous 🔔 pour ne rien manquer2. Recevez les épisodes en avant-première grâce à la Liste VIP (gratuit)3. Laissez un avis sur ma page Apple Podcast  🙏
💡Une phrase à retenir ▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬   Découvrer la vidéo du podcast directement sur Youtube => https://www.youtube.com/watch?v=PVcjei4aX9Q📢L'épisode du jour ▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬   Déclick, le podcast qui décrypte Google Ads par Jérémy Lacoste (10 ans d'expérience en marketing digital) Sans concession ni langue de bois, je donne la parole aux tops annonceurs afin de décortiquer leur stratégie de croissance digitale Bonne écoute! Pour cette 1ère sous format vidéo, j'ai le plaisir de recevoir Pierre-Emmanuel Vannini, Head of SEA chez SNCF depuis 4 ans Dans cet épisode, tu vas apprendre à 👉 Mettre du smart bidding et des automatisations un peu partout 👉 Comment utiliser l'IA au quotidien👉 Pourquoi faire du SEA quand on est en quasi monopole👉 Comment faire de Search Ads 360 un compagnon de route 👉 Les tips qui permettent de faire la différence lorsque l'on gère des comptes à plusieurs millions d'euros d'investissement👉 Comment essayer de mettre en place des ponts avec le SEO 👉 Anticiper les impacts de DMA et SGE🚀Donnez de la visibilité à Déclick gratuitement ▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬    1. Abonnez-vous 🔔 pour ne rien manquer2. Recevez les épisodes en avant-première grâce à la Liste VIP (gratuit)3. Laissez un avis sur ma page Apple Podcast  🙏Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
💡Une phrase à retenir ▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬   Google a le don de rendre opaque ce qui est primordial et transparent ce qui relève du gadget📢L'épisode du jour ▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬   Pour ce 87ème épisode, démélons le vrai du faux dans le débat qui anime la communauté du search autour de l'Ad Strength ou Efficacité de l'annonce en bon Français. Pour le dire d'un mot: faut-il avoir 100% de ses annonces en "excellente"?1 - L'orginie de l'Ad Strength: Ce KPI mesure l'efficacité de 4 éléments: le nombre de titres, la pertinence et présence de mots-clés dans les annonces, l'unicité des titres et l'unicité des descriptions.. cela aboutit à un score au niveau des annonces allant de "incomplet" à "excellent"Les AM Google en font l'alpha et l'omega de leurs recommandations en brandissant le chiffre totémique de +12% de conversions pour les annonces excellentes. Invérifiable.A date, l'Ad Strength semble surtout être du nudge marketing incitant les annonceurs à investir côté créas, ce qui va dans le bon sens. Tant que cela ne vise pas à être obnubilé par le 100% d'annonces excellentes 2 - Quel rôle pour l'Ad Strength? C'est Ginny Marvin de Google qui le ditL'Ad Strength est-il pris en compte dans les enchères? Non, comme le QS d'ailleursUn Ad Strength mauvais empêchet-il la diffusion de l'annonce? Pas directement, mais l'annonceur perd des opportunités car cela est souvent synonyme d'assets créatifs manquants ou non pertinentsEst-ce le pendant du QS? Si le QS concerne les mots-clés et l'Ad Strength les annonces et que les 2 ne sont pas pris en compte dans les enchères, il y a une autre différence de taille: le QS joue lui un rôle dans le classement des annonces, vértiable boîte noire aujourd'hui3 - Des pas de côtés? 4 bonnes habitudes à avoirContinuer à fournir des annonces denses et complètes sur l'ensemble des assets créatifsEpingler quelques titres et descriptions afin de mettre en avant les éléments fortsDuppliquer les annonces à raison de 3 max par adgroup pour tester des approches créatives différentesPrendre du recul sur les recommandations automatiques de Google ou autres suggestions4 - Qu'en conclure? Comme beaucoup d'annonceurs, je fais le constat que des annonces moins bien scorées peuvent obtenir de meilleures performances.. de là à se demander si lAd Strength ne serait pas un KPI cosmétique?Seulement, je parie sur sa future prise en compte comme critère dans le classement des annonces qui me paraît être un élément primordial pour le pilotage des campagnes.Pas le choix donc que de l'optimiser🚀Donnez de la visibilité à Déclick gratuitement ▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬    1. Abonnez-vous 🔔 pour ne rien manquer2. Recevez les épisodes en avant-première grâce à la Liste VIP (gratuit)3. Laissez un avis sur ma page Apple Podcast  🙏Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
💡Une phrase à retenir ▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬    Fin des cookies tiers, SGE, DMA... malgré cet agenda chargé, Google trouve le moyen de réaliser sa plus forte croissance depuis de nombreux mois📢L'épisode du jour ▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬     Chaque mois, je reviens sur l'actualité et les annonces Google Ads & Microsoft AdsEn avril, pas mal d'annonces sur fond d'IA, de croissance et de rumeurs de rachats1 - La fin des cookies encore repoussée: Qui l'eut cru? Annoncée depuis 2020, la fin des cookies tiers sur Chrome est repoussée au 1er trimestre 2025. Et c'est une bonne nouvelle car cela laissera le temps de trouver des alternatives efficaces. A date, il est faible de dire que la Privacy Sandox n'a pas tenu toutes ses promesses. Pire, elle semble faire baisser la rémunération des éditeurs et accentuer le monopole de GoogleEn parrallèle, Chrome travaille pour masquer en partie les IP de localisation et Google teste le déploiement de formats dits d'intentions publicitaires permettant le ciblage par contenu2 - Google en croissance forte: +15% de croissance de CA pour atteindre 80 milliards de dollars sur le 1er trimestre 2024. Search classique, Youtube, Google Cloud, tout progresse... et même le cours de bourse puisque Google dépasse les 2 000 milliards de capitalisation3 – Rachat d'Hubspot : Annoncée il y a 3 semaines par The Financial Times, la rumeur sur un éventuel rachat a fait long feu. Depuis? Plus rien. Ce move stratégique serait hyper bénéfique pour Google néanmoins qui se positionnerait comme le seul acteur à proposer une suite marketing 100% intégrée. Une promesse à 34 milliards de dollars4 - SGE payant? C'est ce qu'a laissé entendre Google car l'IA, c'est bien, mais il faut bien la financer. Et les requêtes SGE coûtent 10 fois plus chères qu'une requête normale. Alors, à date, Google est encore en train de se défaire de DMA et il n'est pas encore en ligne pour un déploiement de SGE en Europe. Reste que la monétisation ou facturation de SGE ferait courrir le risque d'un web à 2 vitesses. Une hérésie pour la firme qui a batî son modèle sur du gratuit5 - L'IA, toujours l'IA: Deux annonces intéressantes avec d'un côté un accord monde entre WPP et Google sur la mise à disposition de Gemini pour la génération de voix off, la rédaction de script et la production de visuel; et d'un autre le déploiement de l'IA générative dans Demand Gen afin de créer des assets à la volée6 - Lancement PLA pour vehicules: La voiture se met au shopping et il est désormais possible de voir des flux avec pricing, modèles, photos du véhicules etc. Une bonne façon pour Google de reprendre la main sur les comparateurs 7 - Du nouveau sur l'affichage des annonces: Certains internautes attentifs ont vu passer des mentions types "en lien avec votre recherche" ou "les internautes s'intéressent aussi" au sein des annonces SEA. Du SEO dans le texte... et une invitation à peine voilée à se positionner sur des requêtes marques concurrentes8 - Updates en masse chez Microsoft: Microsoft déploie la stratégie maximiser la valeur de conversion pour ses campagnes et siffle la fin de la recré pour le CPC manuel qui va basculer progressivement en CPC optimisé. La fin d'une époque9 - Rapport Tinuiti : Comme chaque trimestre, nous avons eu droit à la livraison du rapport du cabinet Tinuiti sur le search aux US: +17% d'investissement, +13% sur les CPC et des clics qui n'augmentent que très légèrement. La compétition est donc rude, même si cette étude n'est pas forcément représentative de tout le marché, mais seulement des très nombreux clients de Tinuiti🚀Donnez de la visibilité à Déclick gratuitement ▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬    1. Abonnez-vous 🔔 pour ne rien manquer2. Recevez les épisodes en avant-première grâce à la Liste VIP (gratuit)3. Laissez un avis sur ma page Apple Podcast  🙏
💡Une phrase à retenir ▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬   Chaque internaute rapporte aujourd'hui 48 dollars par an à Google grâce aux clics sur les annonces sponsorisées📢L'épisode du jour ▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬   Pour ce 86ème épisode, mettons les 2 pieds dans le plat: est-ce la fin programmée du search gratuit? C'est en tout cas ce que laisse à penser l'information révélée par The Financial Times sur une possible monétisation de SGE par Google. La fin d'un tabou peut-être. Rappelons qu'aujourd'hui déjà Gemini Advanced est vendu 20 dollars par mois, mais les SERP semblent encore préservées. Jusqu'à quand?1 - Une histoire de gratuité: C'est notamment grâce à son positionnement sur le gratuit que Google a connu depuis 25 ans une croissance fulgurante. La recette est connue: création d'un produit performant mis à disposition du plus grand nombre gratuitement afin de monétiser in fine la donnée aux annonceurs.Google Map, Youtube, Android, Gmail et évidemment le moteur de recherche fonctionnent selon ce principe d'airan.En B2B même combat avec Google Analytics, GTM ou encore Adsense2 - Une incursion du payant: Si le search représente 70% du chiffre d'affaires de Google, l'acteur américain tente tout de même de diversifier ses sources de revenu. 3 exemplesLancement de Youtube Premium en 2014 pour éviter les publicitésDéploiement des API Google Map pour inerver les store locatorGoogle Cloud Plateform & Google One, du stockage à foisonEt cette semaine, c'est même Chrome qui bascule sur une version payante3 - Alors pourquoi un SGE payant? D'un côté une croissance qui ne va pas assez vite et de l'autre des vents juridiques de face... Google voit sûrement dans l'IA generative un nouveau cycle de développement. A condition de rentabiliser les investissements. Rappelons qu'une requête SGE coûte 10 fois plus chère qu'une requête classiqueSi les concurrents comme Microsoft ont déjà franchi le rubicon, pas sûr que Google se risque à mettre à mal cette idée de la gratuité. Mais bon ne sait-on jamais: Facebook s'y est bien risqué4 - Y-a-t-il un risque d'avoir un web à 2 vitesses? C'est évidemment la crainte que tout le monde partage avec d'un côté des résultats standards pour les utilisateurs gratuits et de l'autres des résultats premium pour les users payants. On en est loin à mon avisJe fais l'hypothèse que les SERP seront les mêmes pour tout le monde, avec simplement des fonctionnalités d'IA generative en plus pour les utilisateurs payants. Mieux, SGE sera sûrement déployé majoritairement sur des requêtes informationnelles afin de ne pas déshabiller les revenus venant du SEAComme toujours, SGE me semble plutôt être une bonne opportunité pour accroître le revenu unitaire par internaute🚀Donnez de la visibilité à Déclick gratuitement ▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬    1. Abonnez-vous 🔔 pour ne rien manquer2. Recevez les épisodes en avant-première grâce à la Liste VIP (gratuit)3. Laissez un avis sur ma page Apple Podcast  🙏Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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