Depuis quelques mois, j'entends souvent les gens se plaindre des victimes qui passent par les réseaux sociaux plutôt que par les tribunaux. J'ai voulu donner la parole à quelqu'un qui a tenté la voie des tribunaux. Myriam Leroy a eu la générosité de partager son parcours pendant une heure. On couvre plus de sujets que prévus, il y a des digressions, mais il y a surtout une histoire très intéressante: la sienne. Je vous fais l'économie des citations les plus intéressantes ici. Ce ne serait pas leur rendre justice de les sortir de leur contexte.
Quelques années plus tard, je tente le même exercice. Je réponds à la question: "Selon toi, quel est l'avenir de la comédie ?" Selon moi, le retour de la comédie se fera dans un contexte ultra-festif d'après-guerre. Les sujets n'auront jamais été aussi sérieux. Il y aura 100 mutations en simultanés en ce qui concerne la forme. Et en moins de six mois, on aura un nouveau mutant ultra-performant. On peut en discuter avec grand plaisir ici. (Je me suis trompé dans l'épisode, je crois qu'il s'agit du numéro 69)
Pendant deux épisodes, je réponds à vos questions sur l'humour. "On ne peut plus rien dire ?" "Est-ce que l'humour est une thérapie ?" "Est-ce que les gens sont devenus fragiles?" Et plein d'autres questions. Dans ces deux numéros spéciaux en mode FAQ.
Pour ce 3e numéro dans la série sur la comédie, je parcours le livre Histoires Drôles volume 13, reçu quand j'étais jeune. Il fait suite à la lecture de Histoires Drôles volume 1 dans le numéro 66. Je tente à nouveau de faire rire mon épouse. Je croise quelques bons gags et je survis à plusieurs échecs.
En décembre 2013, je me suis assis pour écrire ma vision de l'humour la suite. Comme d'habitude dans ce genre d'exercice, le plus intéressant est de le revisiter quelques années plus tard pour essayer de déceler ce qui était juste et là où on était complètement à côté de l plaque. Je suis en train d'écrire la même chose pour l'année 2021. Mais en attendant, je vous propose de revenir avec moi sur ces prédictions du Nostradamus du pauvre de la farce.
Tout est étrange dans ce podcast. J'ai voulu expliquer pourquoi je suis disparu pendant trois semaines. À la fin du podcast, je me suis rendu compte que j'avais fait une erreur. Il a été enregistré par le micro de mon ordinateur plutôt que mon micro. Mais je sais que je ne serais pas capable de raconter cette histoire une deuxième fois avec la même sincérité. J'ai travaillé le son pour que ce soit aussi audible que possible. Mais je voulais vous prévenir qu'il sera moins bon que d'habitude. Bref, j'ai passé 25 minutes à vous raconter mes traumatismes des trois dernières semaines. Et je suis content de vous retrouver. (Vraiment, pas l'expression que tu dis quand tu ne sais pas comment terminer une description.)
Pour la première fois, je propose une fiction. Par contre: TW !! Ce n'est pas une histoire joyeuse. Du tout. Le titre ne laissait pas présager une énorme poilade, mais ça me semblait important de le préciser ici aussi. J'ai hésité longtemps avant de l'enregistrer, mais au final, je trouve que ça correspond à l'esprit du projet: Créer quelque chose qui soit toujours différent, mais toujours sincère. Je suis évidemment curieux d'avoir vos retours, donc n'hésitez pas à me dire ce que vous en avez pensé. De l'idée de faire parfois des fictions ou de celle-ci.
J'ai dû prendre quelques décisions importantes sur le plan professionnel et comme toujours, je suis allé chercher conseil dans un cimetière. Ou comment l'aura des gens qu'on a aimé continue d'avoir un impact même après leur décès. Une réflexion sur ce qui est glauque versus ce qui est apaisant.
Dans un récent podcast, j'ai demandé quelle genre de blague serait, selon vous, vue comme déplacée dans le futur alors que "tout le monde" semble à l'aise de les faire aujourd'hui. Un auditeur m'a parlé du fait d'utiliser des prénoms comme punchlines. Kevin est un "gag" depuis longtemps est Karen est carrément devenu une insulte. Tout ça m'a fait paser de ce sujet à celui du prénom en général et voici donc le premier d'une série de 2 ou 3 ou 4 podcasts ayant pour thème: le prénom.
Après être passée dans le podcast au début du confinement, mon épouse revient pour un suivi. Elle parle de ses crises, d'un été difficile, de la façon dont les gens qui ont une maladie mentale ne sont que rarement ceux qui en parlent. Et surtout, elle est là pour livrer un très joli message que je ne vais pas spoiler ici.
Ce premier débat présidentiel américain fut une horreur complète. Deux vieux monsieurs qui se sont engueulés pour savoir qui avait la plus grosse. Aucun respect du public, aucun projet, aucune idée. S'ils avaient brigué un poste de représentant de classe de 6e, on les aurait tous les deux envoyés se rasseoir. Voici ma réaction sur cet épouvantable farce. Avec en bonus, les tweets les plus marrants des humoristes qui ont regardé en live.
Vous avez vu le docu sur Paris Hilton ? Il est sur Youtube, il est gratuit et il est incroyable. Il permet de se poser plein de questions. Paris revient sur sa vie, ses traumatismes (ils sont nombreux et violents) et comment elle s'est forgée une carapace pour survivre. Tout en la regardant parler d'elle, on finit par se regarder soi. Notre rapport à la vulnérabilité, la célébrité, la façon dont on traite les gens dont on ne connait rien comme s'ils étaient des punching bags et des défouloirs d'une frustration dont ils ne sont pas la cause. Bref, un documentaire fascinant qui va vous donner envie de faire des hugs et d'être une meilleure personne. Enfin je crois.
Ce podcast part d'une question: Qui est le personnage principal de Friends ? Et surtout, de la seule bonne réponse: L'appartement de Monica. Quels sont les apparts les plus marquants des séries télé ? Pourquoi on développe un tel affect ? On part de tout ça et on termine en découvrant John Shaffner, l'homme qui, sans le savoir, a influencé votre vie via les apparts les plus mythiques de l'histoire de la télé.
J'ai toujours promis d'être le plus sincère possible dans ce podcast. J'avais enregistré tout un numéro sur les appartements dans les séries. Puis j'ai appris qu'on était officiellement dans la deuxième vague au Québec. J'ai supprimé l'épisode et j'ai décidé de ventiler un peu.
1) J'évoque l'idée d'un post sur les réseaux sociaux qui pourraient faire prendre conscience aux hommes à quel point toutes les femmes de leur entourage ont déjà vécu plusieurs expériences négatives liées à leur sexe. 2) En discutant de la journée d'action dans les écoles de France concernant l'habillement des filles, on dévie pour parler des initiatives des jeunes en général et d'à quel point il est important de ne pas se mettre des bâtons fantômes dans les roues.
Quand le titre se suffit à lui-même, inutile de mettre une longue description. Merci à feministe.revolution sur Instagram d'avoir accepté que je reprenne son travail pour faire ce podcast.
L'histoire s'est conclue cet été et elle ressemble à un film: Un riche excentrique cache un trésor dans les montagnes américaines. Les indices pour le retrouver sont dans un poème étrange. En dix ans, 350 000 personnes se lancent à la poursuite du coffre et des 3 millions de dollars. Voici le récit d'une idée de Forrest Fenn, qui coûtera la vie à au moins deux personnnes et ne se terminera pas avant au moins un braquage et quelques poursuites judiciaires.
La partie sur le nombre idéal de partenaires sexuels commence à 17m36. Avant, je parle de la suite pour ce podcast. Combien d'épisodes ? À quel ryhtme ? À quel prix ?
"Les victimes d'agressions sexuelles devraient aller à la police plutôt que sur Facebook." "Imaginez le nombre de carrières brisées suite à de fausse accusations." Alors qu'une autre personne se fait accuser au Québec aujourd'hui, je tenais à parler d'un phénomène en particulier: Toutes les entreprises qui prennent leur distance dix secondes après les accusations publiques comme si c'était la première fois qu'ils entendaient parler de ces rumeurs.
Ça fait plus d'un mois que je n'ai pas fait de podcast. Parce que la vie a été compliqueé. Je vous raconte pourquoi.