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Dans l’œil du Photographe
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Dans l’œil du Photographe

Author: Sunday Night Productions

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Description

Par un photographe, sur un photographe, pour les photographes.

Être photographe, c’ est bien plus que du matériel ou de la technique. C’est un œil qui doit être unique.

Découvrons ensemble la philosophie et l’état d’esprit de mes invités photographes, et ce qui fait que leur œil est unique et original, mais aussi leur rapport à leur métier et à leur spécialité et les pistes qui les aident et peuvent vous aider à développer votre activité.

Il n’y a pas une seule bonne façon de faire, il y a un mélange de choses qui fonctionnent pour chacun. Trouvons ce qui fonctionnera pour vous.
125 Episodes
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Dans cet épisode de la Libre Antenne on essaie de tracer la ligne entre influenceur, qui produit du contenu pour des vues, et photographes, qui produit du beau pour lui-même. Rejoignez la Libre Antenne sur le Serveur Discord de DLODP.
A l’origine de cet épisode, il y a Canon et son expo « World Unseen » dont on va vous parler plus en détail au début de l’épisode. Mais avant tout, c’est pour moi une chance de rencontrer quelqu’un pour qui la photographie a a la fois un coté très personnel, qui fait qu’elle fonctionne parce qu’elle est avant tout faite pour lui-même, mais qui, d’un autre coté, est conscient de l’impact positif et négatif que peuvent avoir ses images sur les lieux auxquels il s’intéresse. Dans cet épisode, on va retrouver tout ce qui fait la base des grandes photos, de leur réalisation a leur partage, avec en bonus une dose de bon sens et de lucidité qui font parfois défaut a ceux qui vivent la photographie plus pour se montrer que pour montrer ce qui est face a eux. Et on va parler de rendre une image accessible a ceux pour qui elle n’est a priori pas vraiment faite, avec ce petit bonus, pour une fois dans un expo, qu’on peut mettre ses doigts sur la photo… Bienvenue dans l’oeil de Stéphane Granzotto.
Libre Antenne du Dimanche 28 octobre 2024. Thème: La flemme.
On dit souvent que les premiers contacts sont les plus importants, et fidèle à moi-même, j’ai bien raté mon premier contact avec André. Pire encore, j’ai totalement oublié que j’avais raté mon premier contact avec André. Heureusement, il a eu l’intelligence de tolérer mon humour bien à moi, et c’est tant mieux parce que j’aurais été triste de ne pas avoir l’occasion de discuter avec lui. André, alias Ded, vous en avez déjà entendu parler dans ce podcast. Lui et William Lambellet organisent Rise Up, une des meilleurs retraites/formations pour les photographes de mariage, qui se tient une fois par an à Chamonix. C’est là que j’ai appris un paquet de nouvelles choses coté photo, là que j’ai gagné la Rise Cup et pris le booster de confiance qui va avec, là que j’ai fait la connaissance de plein de collègues formidables, et là que j’ai pris conscience que oui, il y a bien des gens qui écoutent ce podcast de l’autre coté du micro. Mais André, c’est surtout un état d’esprit admirable, beaucoup de tolérance, et une belle vision du monde qu’il arrive à retranscrire dans ses images. C’est la personne dont vous ne partagez pas toutes les opinions, mais avec qui vous avez plaisir à débattre, en sachant que vous en sortirez grandi. C’est celui qui arrive à concilier deux activités totalement opposées, et à en tirer le meilleur en progressant dans les deux domaines. C’est un créatif très posé qui va être capable d’avoir une analyse poussée sur ce qui nous rend créatif, effet secondaire de toutes ces années a cumuler job créatif et job très cartésien. Et qui est capable de voir et d’apprécier le meilleur et le pire dans tout, y compris dans l’exemple ultime de ce qui peut cumuler à la fois le meilleur et le pire: la Magic Mouse d’Apple. Bref, André, c’est une belle rencontre, et je suis content de pouvoir, enfin, vous le présenter.
Dans cet épisode enregistré le soir du dernier jour du salon de la photo, on fait un petit debriefing de ces quatre jours, assez ironiquement avec beaucoup de gens qui n'y sont pas allés, mais également avec un retour de Francesco qui y a présenté son travail. Rejoignez-nous pour participer aux prochaines libre antennes: www.dlodp.fr/discord
Afghanistan, 2002. Trois jeunes reporters montent dans une voiture pour un périple qui va changer leur vie à tout jamais. Serge, un journaliste moraliste et bourreau de travail, Paolo, un photographe aussi jovial qu’inconscient, et Claude, un typographe suisse froussard qui s’improvise cinéaste. Et aujourd’hui, je vous invite dans l’oeil de Claude, qui, vingt ans après, a retrouvé les cassettes de ce périple (une histoire que vous découvrirez en regardant le film) et en a fait un témoignage touchant de son évolution personnelle, au moment où le monde vit un énième grand conflit, et juste avant que la photographie ne s’apprête à changer radicalement de cap. Claude qui, par son absence de tout formatage, découvre la liberté de faire sans contraintes, se trouve une nouvelle famille alors qu’il fait le deuil de la sienne, et devient, presque par accident, un vrai artiste. Cet épisode est une ode à l’absence de maîtrise, et par bien des aspects il est libérateur, parce que la grande leçon de tout ça, c’est que bien entouré et sans la peur de mal faire, on ne peut que bien faire les choses. Et des photos, beaucoup de photos, de tout et de rien, qui auront tôt ou tard, un sens. Bienvenue dans l'oeil de Claude Baechtold.
Dans la libre antenne, les auditeurs débattent avec moi sur un thème donné. Cette semaine, on se demande s'il est plus facile de photographier au coin de la rue ou au bout du monde? Enregistrement des libre antennes un dimanche soir sur deux sur le Discord de DLODP: https://discord.gg/CZWRumQtxf
Et si on plaquait tout pour partir découvrir le monde en famille? C’est l’idée folle qui est passée par la tête de mon invité, et en plus, le fou, il l’a fait. Six mois, plus de 200 jours à faire un demi tour du monde à quatre, avec des enfants très jeunes, ça demande une certaine organisation. Documenter tout ça, ça place la barre encore plus haut. Mais malgré les embuches et difficultés plus ou moins évidentes et visibles, pouvoir faire découvrir le monde à ses enfants et se reconnecter avec eux quand on est soi-même un grand enfant, c’est une expérience qui n’a pas de prix. Aujourd’hui, vous allez voir qu’on peut grandir humainement et professionnellement en sortant très loin de sa zone de confort, qu’on peut finalement faire beaucoup avec peu de choses, qu’il n’y a aucune obligation de se conformer aux attentes des autres, que les enfants sont la clef de beaucoup de contacts humains, et qu’il est possible de trouver une femme qui insiste pour qu’on emmène le drone en voyage (mais ne rêvez pas, elle est déjà prise). Bienvenue dans l'oeil de Bertrand Roguet.
114 - Libre Antenne

114 - Libre Antenne

2024-06-2601:35:58

On ne va pas se mentir, j’ai avant tout fait cet épisode parce que dans mon mois de juin surchargé, je n’ai pas eu le temps de planifier un épisode régulier d’interview. Mais je l’ai déjà dit, le podcast est pour moi un lieu de création, de rencontre, d’expression et d’expérimentations, et à ce titre j’avais depuis longtemps cette idée de libre antenne, que j’ai commencé à poser sans prendre le temps de la développer. Le seul point qui était très clair à mes yeux, c’est que d’avoir créé une communauté Discord était la bonne plate forme et une occasion parfaite pour se lancer dans ce genre d’échanges. Je suis un enfant des années 80 et 90 et de la bande FM, et ma jeunesse a été marquée par ces émissions tardives où on parlait de tout et de n’importe quoi.Pour cette première tentative, c’est précisément ce qu’on a produit: tout et n’importe quoi. C”est assez fouillis, j’oublie de présenter les gens qui parlent, il y a de longs blancs, et je n’ai absolument pas monté quoi que ce soit, donc c’est du brut de chez brut, du vrai live. Et j’aime bien. Les interviews ne s’en vont nulle part, mais je m’autoriserai, de la même manière que je suis parfois tout seul, à sortir ce genre d’épisodes de temps en temps. On va affiner un peu et prendre de bonnes habitudes, mais j’ai bien aimé donner la parole à qui veut la prendre, et on a passé un bon moment tous ensemble. Rejoignez nous donc sur le serveur Discord pour participer à la prochaine. Bienvenue dans les yeux des auditeurs du podcast.
Je pourrais choisir la facilité et vous dire que mon invitée fait des photos de nu féminin. Je pourrais, et vous savez que j’aime bien forcer le trait des clichés pour en ressortir aussi vite qu’on y est entrés. Mais quand on regarde de plus près, et on va le faire tout au long de cet épisode, on réalise vite que le travail d’Angélique est infiniment plus profond qu’une telle description ne le laisserait paraitre. Avant de photographier le corps, elle photographie l’esprit et le visage, qui relèguent tout le reste au second plan. Avant de parler de technique, elle parle de connexion et de rapport à l’autre, et de l’intimité qui peut se créer le temps d’un portrait entre photographe et modèle. Elle fait consciemment des choix qui ont un yin et un yang: l’argentique pour les contraintes qu’il lui impose, un corps nu pour mieux mettre en valeur un visage, créer pour soi mais partager pour que la création garde un sens, photographier les autres pour se photographier soi. Ne pas chercher LA photo mais savoir à quel moment on la tient. Bienvenue dans l'oeil d’Angélique Boissière.
S’il y a un nom qui revient très souvent dans les requêtes d’invités, c’est bien celui d’Elsa. Et à raison: en plus d’être une photographe lifestyle d’exception, elle a débarqué dans le paysage street Francophone en boulet de canon, s’imposant en moins de trois ans comme une des valeurs montantes du milieu. Rigoureuses, colorées, inventives, pleines d’humour et toujours dans le bon tempo, ses photos sont un magnifique exemple de ce vers quoi on devrait tous tendre au final: une image, une histoire. Et un petit coté où est Charlie qui n’est pas pour me déplaire. Dans cet épisode, nous allons parler des effets bénéfiques du confinement, que nous sommes finalement nombreux à avoir ressentis, de la place des femmes dans la photo de rue et des difficultés spécifiques qu’elles peuvent rencontrer, de la bonne façon de faire plein de choses très différentes, de la patience et d’évaluer ses chances, et d’un nouvel outil révolutionnaire pour évaluer si une photo est bonne: le poilomètre. Bienvenue dans l'oeil d’Elsa Lebaratoux. Page web de l'épisode: http://www.dlodp.fr/episodes/112
Pour la toute première fois en 111 épisode, je fais un Q&A où je réponds à toutes vos questions. Les questions: - As-tu déjà eu envie d'arrêter la photo? - Comment pallier au manque d'inspiration? - Qu'est ce que tu préfères/aimes le moins dans ton métier? - As-tu un projet de livre photo? - L'IA peut-elle sauver la photo? - Comment trouver ses premiers clients quand on est débutant? -Rise Up v5 - Compagnonnage Vs Workshop? Le discord tout neuf de DODP: https://discord.gg/be89m62Z7s
Lundi 28 avril, 10h. J’arrive sur le parking du rendez vous, au coeur de la forêt de Fontainebleau. Des retraités s’échauffent pour leur randonnée, bâtons de marche en main, et s’éloignent alors que je descends de ma voiture, me laissant seul avec un silence dont je n’ai plus l’habitude depuis longtemps, moi qui suis suis habitué à un fond sonore permanent typique de la vie dans une grande ville. Francesco est déjà là et me repère instantanément. Il est en tenue de randonneur, je suis en pantalon basket, le plus proche de ce que j’aurais pu imaginer devoir porter en ayant cette idée d’enregistrer cet épisode au coeur de son sujet, en pleine forêt. Il me fait visiter, me montre ses spots préférés, fait une photo en passant, connait la forêt comme je connais les rues en bas de chez moi, et nous escaladons un rocher pour nous retrouver devant une vue digne d’un tableau, où nous surplombons la forêt. C’est là que nous enregistrerons notre épisode, assis à même le sol, avec une vue à couper le souffle, et le vent qui menace de faire tomber mon enregistreur de plusieurs mètres à tout moment. D’habitude, je vous fais un résumé de ce que nous allons dire, mais cette fois, je pense que le récit de la rencontre vous donnera une bonne idée du personnage que je vais interviewer. Cette année, j’ai décidé que le podcast allait, comme la photo, me faire voir le monde en plus de me faire rencontrer du monde, et j’ai sauté sur l’occasion de découvrir un lieu mystérieux à mes yeux, et aussi de parler du rapport entre photographie et peinture, qui m’intéresse beaucoup en ce moment. Le mail de Francesco est arrivé pile à ce moment là. En Anglais, ça s’appelle “Serendipity”, l’univers qui répond à nos demandes. Bienvenue avec nous dans la forêt de Fontainebleau. Bienvenue dans l'oeil de Francesco Carovillano.
Il y a un vrai sujet à photographier son quotidien, et Paul Napo illustre parfaitement cette idée. Basé en Irlande du coté de Dublin, il photographie les gens qui l’entourent, et de son propre aveu, l’essentiel des photos qu’il publie sont prises dans un rayon de 2 kilomètres autour de chez lui. Notre conversation va donc beaucoup tourner autour du fait de photographier l’intimité des gens, de revenir encore et encore sur les mêmes lieux et les mêmes sujets, de la bonne manière d’approcher les gens, en éveillant la curiosité plutôt que la méfiance, de son talent pour faire des portraits d’enfants, de l’échec invisible, et de comment ça peut s’intégrer, ou pas, dans son quotidien de photographe de mariage. Bienvenue dans l'oeil de Paul Napo.
Shooter du sport en argentique, aujourd’hui, à l’heure où l’instantanéité de l’information est reine, c’est clairement pas banal, mais c’est la voie choisie par mon invité qui concilie ainsi deux de ses passions, le foot et le lifestyle qui va avec, et la photographie. De sa première rencontre pas très concluante avec la photo numérique à sa redécouverte du médium par l’argentique, nous allons voir que beaucoup de travail et un peu de débrouillardise, ajoutés à une grosse passion, peuvent être un cocktail détonnant pour se fabriquer une carrière sur mesure. Aujourd’hui, je vous invite dans une discussion avec un jeune homme qui a la tête bien sur les épaules, où on va parler de travail acharné, de passion dévorante, de l’importance d’être bien conseillé, de ne pas se former sur les réseaux sociaux, de savoir se relever, mais surtout, on va voir que parfois, m c’est l’imperfection qui rend la photo parfaite. Bienvenue dans l'oeil de Sabi Singh.
Gaelle, c’est à mes yeux LA personne facile à aborder, et je sais depuis que je la connais que cet épisode parlera avant tout émotion, connexion, et humour, car elle a un humour bien à elle, qu’on retrouve un peu partout dans son travail et dans tout ce qu’elle laisse voir d’elle. C’est aussi une vision radicalement différente de la mienne de l’enfance, et de la façon de la photographier, parce que nous avons beau avoir certaines expériences en commun, les miennes ont été transformées par la paternité, mais en même temps il n’est jamais trop tard pour ré-apprendre à faire autrement. Dans cet épisode, on va parler de connexion, d’humour, du langage de l’âme, de discuter avec tout le monde, de carapaces et de les casser, de conditionnement, et de têtards, les Rise-upiens sauront tout de suite de quoi je veux parler. Bienvenue dans l'oeil de Gaelle Caré.
La curiosité n’est pas un vilain défaut, bien au contraire. C’est en tout cas l’avis de mon invité qui est avant tout poussé par son envie de contact, d’échanges avec les autres, et sa soif de découvertes à toute épreuve. Aujourd’hui, nous allons écouter l’histoire de quelqu’un qui s’intéresse à tout, qui avance, qui se préoccupe davantage du chemin que de la destination, et de la joie que le chemin lui apporte plutôt que de sa rentabilité. Quelqu’un qui pratique en premier lieu, parce que la pratique, c’est l’endroit où se fabrique le talent. Bienvenue dans l'oeil de Romain De Sigalas.
Et si on parlait de se réinventer? Genaro Bardy était bien installé dans son métier de photographe Parisien, quand il est parti vivre au Brésil, renonçant à 50% de sa clientèle restée en France, pendant que le Covid et les confinements successifs se chargeaient de lui faire perdre les 50% restants. Face à la nécessité de se réinventer, il s’est dirigé vers l’éducation et le partage du savoir, les livres, ce qui fait une bonne photo, et tout ce qui touche à la street photography en général. Dans cet épisode, on va parler de ténacité, de faire et de consommer des livres, des échecs qui font avancer, d’être dans le flow, de fonctionner en séries, d’être sincère, de la peur et de ce qu’elle signifie vraiment, de l’effet Batman, de bien travailler sa scène, et de vivre pour photographier plutôt que de photographier pour vivre. Bienvenue dans l'oeil de Genaro Bardy.
Normalement, photographe et vidéaste de mariage, c’est chien et chat. Mais parfois, le chien et le chat non seulement parviennent à cohabiter, mais en plus sont meilleurs en équipe que l’un sans l’autre. Ne me dites pas non, vous savez que ça a été le point de départ de beaucoup de très bons films. J’avais déjà eu l’occasion de discuter avec Alison dans un précédent épisode du podcast, mais elle a sensiblement évolué depuis sa rencontre avec Adrien et ça valait une nouvelle discussion. Je n’avais pas encore eu l’occasion d’enregistrer avec Adrien, mais je savais après avoir vu son travail et avoir un peu discuté avec lui que son approche documentaire et du storytelling donneraient un épisode passionnant. Mais au-delà de ces deux épisodes qui auraient largement pu être distincts, il y a la rencontre, et comme tous mes épisodes sont finalement des histoires de vie, elle est en fait autant sinon plus importante que tout le reste. Dans cet épisode, on va bien évidemment parler de famille, mais aussi de l’environnement, de conjuguer maternité et entreprenariat, de trouver le fil rouge, d’avoir de l’intention, de ne pas reproduire bêtement ce qui fonctionne chez les autres, des détails et de la bonne façon de les incorporer dans son récit, de destructurer ses vidéos, d’images qui bougent, d’audio, et d’immortalité. Bienvenue dans l'oeil d’Alison et Adrien, the A-Team.
Quand on dit “Street Photography”, on pense tout de suite voyage, New York, situations incongrues et rues noires de monde, mais mon invité d’aujourd’hui est davantage le Friendly Neighborhood Street Photographer, qui est aussi à l’aise à faire des photos dans son petit village du Nord de la France que dans les rues commerçantes Parisiennes. Dans cet épisode, on va parler de curiosité, de faire quelque chose de ses idées, de rencontres, de prendre la peur comme un signal qu’un truc intéressant arrive, de flash, de galoches, de narration, de visibilité, de mode, et d’enfant intérieur. Bienvenue dans l'oeil d’Alex Dinaut.
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Comments (1)

Cécilou Durgux

Bonjour, j'aime beaucoup ce podcast, c'est très intéressant. Merci.Par contre ce qui m'interroge c'est la totale absence de femmes photographes pour ces interviews. On sait qu'elles ont plus de difficultés à "percer" que les hommes, c'est dommage que le podcast le reflète. Comme à chaque fois qu'il est question de photographes dans ce podcast, on entend "il", "le mec"...

Mar 27th
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